Ainsi c'était la fin de l'armure et de ses palpitantes aventures sur les mers.
Palpitantes? Pathétique serait un meilleur adjectif, cueillis comme les pommes à la bonne saison dès l'arrivé sur Grand Line l'équipage rétrécis se démenait pour se rebeller mais lorsque vous faites facile quarante centimètres de moins que vos geôliers et que votre force est aussi importante que vos premiers boutons d'acné c'est pas gagné.
Et sur ce navire-garderie la petite capitaine s'enferme dans ce qui est sa chambre. Parce que oui les enfants n'ont pas vocation à être enfermés comme les adultes non au contraire les femmes, valkyries de Lance procèdent à un beau lavage de cerveau sur les plus faibles tandis que les plus endurants sont simplement ignorés ou déconsidérés afin d'éveiller l'envie et la jalousie chez eux. Mais pour certains et c'est le cas de la petite blonde dont la chevelure décoloré fait ressortir sa rousseur, rien ne marche. Ni les punitions, ni les encouragement. Simplement rien, carcasse vide de tout se laissant lentement dépérir, comme un vieux lion sentant la fin approcher.
La porte s'ouvre, sans même un regard la créature balafre dans l'ombre ne bouge pas de sa cachette. Dans un placard qui tangue alors que les vagues tentent de renverser la flotte de Lance. Et c'est justement Lance en personne qui rentre dans la pièce en fermant la porte derrière elle. Son visage est presque miné, comme fatigué par un mal invisible à tous. Ce mal c'est l'amour, l'amour maternelle qu'elle porte à chacun qui tombe sous sa coupe. Il suffit qu'un d'entre eux aille mal et c'est toute la marmaille qui prend. Et si elle s'attendait à une sorte de rebellions ce comportement l'intrigue, l'attriste et lui fait peur. Un suicide à petit feu c'est moche, immonde encore plus quand c'est un enfant qui le fait. Bien sur qu'elle s'avait que tous ne sauteraient pas de joie mais même dans le rejet des institutions et de ses règles ses prisonniers vivent, et là? Une capitaine qui s'enferme, qui reste de marbre depuis le début et qui ne va même pas prendre des nouvelles de ses anciens nakamas.
-C'est quoi le problème?
Dans un long soupir la supernova prononce la fatidique phrase. Mais la petite chose ne bouge même pas, continue de fixer le plancher et de rester dans une position recroquevillé comme une bête frappée et battue par ses maîtres.
-C'est l'armure le soucis? T'en veux une autre?
La petite rousse/blonde lève légèrement la tête cadavérique depuis une semaine qu'elle traîne et son regard vitreux semble traverser entièrement Lance. Hors de question que la brune fasse le premier pas, c'est inutile et des enfants elle en a vu pleins c'est son rayon et celle là. Elle n'arrive pas encore à la cerner à la définir, quelque chose cloche mais elle ne sait pas quoi.
-Je te tuerais.
Une réaction, pas celle escompté mais au moins c'est un signe de vie. C'est déjà ça, néanmoins les menaces ne marchent pas sur la capitaine et mère de famille nombreuse. Elle ne rigole même pas, reste impassible et la tension revient avant qu'en se grattant la tête Lance se lève.
-Change de discours 'Pitaine, pour me tuer faudrait avoir de l'énergie. Hors tu es plus proche de la mort que de la vie, et tu oses...
-JE TE TUERAIS
La gueulante est poussé, et à la place d'une gifle c'est le bruit d'un applaudissement qui se fait entendre. Pendant que la petite chose tousse jusqu'à cracher ses poumons comme si son tabagisme semblait faire effet maintenant aussi.
-Maintenant que t'as finit de crier et de te faire du mal tu remarqueras que dehors le soleil brille et qu'il faut en profiter avant de me tuer 'Pitaine. Va voir ton équipage d'ailleurs, profite en avant que je te prenne par les bras et que je te file deux trois corrections devant tout le monde. Ma patience à des limites pirate. Savoir être bon perdant c'une qualité aussi. On arrive bientôt chez moi, enfin chez toi maintenant.
Et la porte se referme, et rampant comme le cloporte qu'elle est dans des habits sale elle regarde par la fenêtre et le soleil la renvoie vers l'ombre d'ou elle vient. Elle se regarde dans un miroir, partager sa chambre avec le capitaine et bourreau à l'origine de vos problèmes n'est ce pas le pire supplice? Elle souffle, se met debout difficilement et s'habille avec ce qu'elle trouve. Des habits pour gosse tous mettant en valeur sa kawaiattitude. Elle râle un peu mais le toque-ment sur le bois de la porte la fait se raidir et elle se précipite dehors.
Elle a mal aux yeux mais elle sait que tous la regardent. Un silence de mort qui règne.
Parce qu'elle est la capitaine déchue et sans son armure elle étouffe, elle voudrait se cacher mais il n'y a personne.
Seul face au monde de nouveau
Palpitantes? Pathétique serait un meilleur adjectif, cueillis comme les pommes à la bonne saison dès l'arrivé sur Grand Line l'équipage rétrécis se démenait pour se rebeller mais lorsque vous faites facile quarante centimètres de moins que vos geôliers et que votre force est aussi importante que vos premiers boutons d'acné c'est pas gagné.
Et sur ce navire-garderie la petite capitaine s'enferme dans ce qui est sa chambre. Parce que oui les enfants n'ont pas vocation à être enfermés comme les adultes non au contraire les femmes, valkyries de Lance procèdent à un beau lavage de cerveau sur les plus faibles tandis que les plus endurants sont simplement ignorés ou déconsidérés afin d'éveiller l'envie et la jalousie chez eux. Mais pour certains et c'est le cas de la petite blonde dont la chevelure décoloré fait ressortir sa rousseur, rien ne marche. Ni les punitions, ni les encouragement. Simplement rien, carcasse vide de tout se laissant lentement dépérir, comme un vieux lion sentant la fin approcher.
La porte s'ouvre, sans même un regard la créature balafre dans l'ombre ne bouge pas de sa cachette. Dans un placard qui tangue alors que les vagues tentent de renverser la flotte de Lance. Et c'est justement Lance en personne qui rentre dans la pièce en fermant la porte derrière elle. Son visage est presque miné, comme fatigué par un mal invisible à tous. Ce mal c'est l'amour, l'amour maternelle qu'elle porte à chacun qui tombe sous sa coupe. Il suffit qu'un d'entre eux aille mal et c'est toute la marmaille qui prend. Et si elle s'attendait à une sorte de rebellions ce comportement l'intrigue, l'attriste et lui fait peur. Un suicide à petit feu c'est moche, immonde encore plus quand c'est un enfant qui le fait. Bien sur qu'elle s'avait que tous ne sauteraient pas de joie mais même dans le rejet des institutions et de ses règles ses prisonniers vivent, et là? Une capitaine qui s'enferme, qui reste de marbre depuis le début et qui ne va même pas prendre des nouvelles de ses anciens nakamas.
-C'est quoi le problème?
Dans un long soupir la supernova prononce la fatidique phrase. Mais la petite chose ne bouge même pas, continue de fixer le plancher et de rester dans une position recroquevillé comme une bête frappée et battue par ses maîtres.
-C'est l'armure le soucis? T'en veux une autre?
La petite rousse/blonde lève légèrement la tête cadavérique depuis une semaine qu'elle traîne et son regard vitreux semble traverser entièrement Lance. Hors de question que la brune fasse le premier pas, c'est inutile et des enfants elle en a vu pleins c'est son rayon et celle là. Elle n'arrive pas encore à la cerner à la définir, quelque chose cloche mais elle ne sait pas quoi.
-Je te tuerais.
Une réaction, pas celle escompté mais au moins c'est un signe de vie. C'est déjà ça, néanmoins les menaces ne marchent pas sur la capitaine et mère de famille nombreuse. Elle ne rigole même pas, reste impassible et la tension revient avant qu'en se grattant la tête Lance se lève.
-Change de discours 'Pitaine, pour me tuer faudrait avoir de l'énergie. Hors tu es plus proche de la mort que de la vie, et tu oses...
-JE TE TUERAIS
La gueulante est poussé, et à la place d'une gifle c'est le bruit d'un applaudissement qui se fait entendre. Pendant que la petite chose tousse jusqu'à cracher ses poumons comme si son tabagisme semblait faire effet maintenant aussi.
-Maintenant que t'as finit de crier et de te faire du mal tu remarqueras que dehors le soleil brille et qu'il faut en profiter avant de me tuer 'Pitaine. Va voir ton équipage d'ailleurs, profite en avant que je te prenne par les bras et que je te file deux trois corrections devant tout le monde. Ma patience à des limites pirate. Savoir être bon perdant c'une qualité aussi. On arrive bientôt chez moi, enfin chez toi maintenant.
Et la porte se referme, et rampant comme le cloporte qu'elle est dans des habits sale elle regarde par la fenêtre et le soleil la renvoie vers l'ombre d'ou elle vient. Elle se regarde dans un miroir, partager sa chambre avec le capitaine et bourreau à l'origine de vos problèmes n'est ce pas le pire supplice? Elle souffle, se met debout difficilement et s'habille avec ce qu'elle trouve. Des habits pour gosse tous mettant en valeur sa kawaiattitude. Elle râle un peu mais le toque-ment sur le bois de la porte la fait se raidir et elle se précipite dehors.
Elle a mal aux yeux mais elle sait que tous la regardent. Un silence de mort qui règne.
Parce qu'elle est la capitaine déchue et sans son armure elle étouffe, elle voudrait se cacher mais il n'y a personne.
Seul face au monde de nouveau