- Résumé de la quête en cours:
- Le vaisseau de Sliman arrive, et commence à canonner tout le monde. S'en suit une bataille navale où tout part en vrille, le contrôle est perdu, en principe. Les bateaux étant endommagés, les combats se poursuivent sur la terre ferme.
Un duel entre les bretteurs commence dès lors. Au terme de ce combat, les équipages sont fait prisonniers. Mais ne peuvent être laissé sur Little Garden Drum. Clotho va donc se souvenir de ce que son contact sur Drum lui a dit. A savoir qu'il existe des chasseurs de prime travaillant pour la révolution. Il va alors les contacter, ils vont venir chercher les cibles (pour 140M) et reverser l'intégralité de la somme à la révolution. Puis des collègues révos en route vers Armada qui viennent nous chercher et nous explique la mission sur MégaVéga. Malheureusement, la marine va nous apercevoir. Donc avant de partir, on va devoir les semer.
==> Suite de Une navigation difficile
* Quelques jours plus tard, au large de Drum *
Drum … Nous y voilà enfin. Après tout ce qui s'est passé … On y étaient la dernière fois. Malheureusement, on est pas resté plus de quelques minutes, puisqu'on a pris la Translinéenne directement pour Reverse Mountain. Cette fois, on y est. L'île est plus loin. On la voit quand même. Les températures diminuent malgré la distance.
« Rappelle moi pourquoi on va se geler les miches là bas ?
Parce qu'on peut aider la révolution. Parce que c'est un peu obligé pour passer à l'île suivante. Parce qu'il y a la marine.
Tu crois qu'on va rencontrer le contre amiral qui a tué Sergueï ?
J'espère bien. J'ai quelques petites choses pour lui en réserve.
T'es de taille tu penses ?
La dernière fois, je venais juste de manger mon logia. Là, j'ai plus d'expérience, plus de maîtrise, moins d'appréhension. Mais surtout, j'ai la meilleure arme du monde.
C'est quoi ?
Ma volonté de vous protéger. Je ne laisserai rien ni personne vous blesser toi et les autres. J'en ai fait la promesse en t'épousant. Je la respecterai.
Mais le contre amiral …
Il est puissant, c'est clair. Il a l'expérience, les hommes, les navires, la force, le haki, et dieu seul sait quoi d'autre. Pourtant, rien n'est dit qu'il va gagner.
Comment ça ? T'as un plan ?
Ca se pourrait bien. Mais souvient toi des temps passés. Quand Chapeau de paille a affronté MarineFord pour sauver son frère. Personne n'aurait misé sur lui. Mais il a réussit. Il a affronté les amiraux et a survécu. Il a battu DonFlatrucchcouette, un corsaire et a gagné alors qu'il partait grand perdant. Personne n'aurait jamais dit qu'il allait battre Ener avant qu'il le fasse non plus. Ne sous-estime pas une personne parce que les chances sont contre elles. On ne sait jamais ce qui peut arriver. Regarde, malgré tout ce que je peux faire, malgré ma puissance, il suffit que je tombe dans l'eau pour mourir comme un bébé. Il suffit d'une variable pour tout changer, pour passer de vivant à mort. Ne l'oublie jamais. »
Franck reste perplexe. Moi aussi à vrai dire. Je n'ai aucune idée de comment battre un contre amiral aussi puissant. Le retarder, l'emmerder, je peux facilement. Mais le défaire, c'est une toute autre histoire. J'enfile plusieurs couches de vêtements histoire de ne pas avoir trop froid. J'suis pas habitué à l'hiver. A Troop erdu, c'est pas grand chose. Là, c'est non stop ce climat de taré. Quelques minutes plus tard, l'alerte est donnée quand on nous canonne.
« Il se passe quoi ?
Navire pirate droit devant. Il nous fonce dessus !
Et pourquoi tu nous l'a pas dit plutôt ?
J'dormais.
Et merde. J'espère qu'ils sont pas trop forts, qu'il n'ont ni haki ni granit marin. »
Comme d'habitude, je déploie ma terre pour protéger le navire. Ca serait quand même bien qu'on ait un bateau capable de résister à quelques coups quand même … J'commence à en avoir marre de jouer les boucliers. Voyant que leurs attaques ne nous atteignent plus, ils arrêtent de canonner. Mauvaise idée. Parce que ça veut dire que je suis libre d'agir maintenant. Et j'suis pas content. Personne ne touche à mon navire. Personne ne bombarde mon navire. Je laisse tomber ma terre dans l'eau, puis avance sur le pont. Le navire ennemi nous rattrape. Chose pourtant presque impossible. Je sais que la marine à des vaisseaux sur Drum. Aussi, pour ne pas les attirer ici, mieux vaut éviter d’être trop voyant. Donc on agit discrètement. L'autre navire est aussi de petite taille. Le découper ne devrait pas être un soucis pour moi. Ceci dit, je préfère la diplomatie avant tout. Une fois qu'on est à portée, je hurle.
« Arrêter de nous attaquer ou on sera forcé de vous affronter.
T'as peur ou quoi ? Trouillard ! J'suis Mark Pop'Kinz, primé à 60 000 000. Tremblez devant moi. Je vais … tous vous massacrer. »
Encore un vantard. J'y crois pas. Combien il y en a sur cette mer ? 60 000 00 de berrys ? Ca en fait du fric ça. Sauf que j'peux plus rien toucher. Merde. J'suis plus marin. Pas grave. Vu ses paroles, il a pas l'air bien net dans sa tête. J'vais l'mettre à l'amende rapidement. « Mani. Approche nous d'eux. Il est temps que je m'échauffe avant Drum. » Sauf que leur navire ait des manœuvres bizarre que je e comprends pas de trop. Droite, gauche, droite, devant … Faudrait choisir au bout d'un moment. Et c'est bien trop tard que je saisis la portée de son action. Les courants. Le vent. Il le fait ses alliés. Il recommence à nous canonner. Je sors mon sabre, tranchant dans le vif du sujet. Pratique ces lames d'air. Pas besoin de sauter, il me suffit simplement de fendre l'air de mon sabre en visant les boulets. Ces armes sont sans aucun doute l'avantage de son bateau. S'ils étaient automatique, nul doute qu'il gagnerait rien qu'avec eux. Malheureusement, derrière chaque canon il y a des hommes. Et les hommes sont faillibles. Les hommes sont lents. Les hommes mettent du temps avant de placer un autre boulet dans le canon, allumer la mèche puis viser.
Ce qui fait que le rythme de tir est saccadé. Pour faire simple, j'ai le temps de trancher avant que les attaques ne nous touchent. Sauf que le vent de proue pour nous me souffle dans le yeux, m'obligeant à les réduire, voire les fermer parfois. Pour eux, il augmente la portée de leurs attaques qui se dirigent de plus en plus vers mon navire. Il augmente leur vitesse, se rapprochant de nous. Le courant nous empêche de bouger. Saloperie. Il nous a piégé. Ce qui ne signifie qu'une seule chose. Il a l'avantage et devrait logiquement baisser sa défense pour se concentrer sur l'attaque. Leur navire fonce droit sur nous. Il ricane. Même à cette distance, on peut lire la folie dans ses yeux.
« Paré à se faire aborder ?
Tu peux pas l'en empêcher ?
Si.
Pourquoi tu le fais pas alors ?
Parce qu'on a besoin de son navire proche pour repartir d'ici.
Hein ?
T'inquiète chéri, je gère.
Les fonds marins sont rempli de personnes gérants … »
Mark et ses hommes posent les planches de bois entre nos rafiots. Ils courent droit sur nous. Je laisse les premiers avancer jusqu'à moi, qui suis en première ligne. Lorsque les seconds arrivent, je lance de la terre sur le sol, puis la fait rouler en arrière. Les pirates tombent comme des mouches. Ils ne peuvent tenir debout. On me traite de sorcier. La deuxième vague arrive. Puis trébuche, comme la première. Moi ? J'avance tranquillement vers le capitaine, allant sur son navire. Il déploie ses sabres. Pendant ce temps, sa femme atterrit sur le mien. Tous les non combattants se sont réfugiés à l'abri dans le bateau. Ne reste que Franck, Stanislas et Ragnar sur le pont du Révacier. Mark sort ses six sabres et se prépare au combat. Il jubile à l'idée de me trancher. Je laisse le navire au soin de mes hommes. Les siens finissent par se relever. Faut croire que lorsque je coupe tout lien entre ma terre et mes techniques, ces dernières s'arretent. Le trio se retrouve donc en face d'une ancienne capitaine pirate et d'une trentaine de matelots. Comment vont-ils gérer ça ?
« Rappelle moi pourquoi on va se geler les miches là bas ?
Parce qu'on peut aider la révolution. Parce que c'est un peu obligé pour passer à l'île suivante. Parce qu'il y a la marine.
Tu crois qu'on va rencontrer le contre amiral qui a tué Sergueï ?
J'espère bien. J'ai quelques petites choses pour lui en réserve.
T'es de taille tu penses ?
La dernière fois, je venais juste de manger mon logia. Là, j'ai plus d'expérience, plus de maîtrise, moins d'appréhension. Mais surtout, j'ai la meilleure arme du monde.
C'est quoi ?
Ma volonté de vous protéger. Je ne laisserai rien ni personne vous blesser toi et les autres. J'en ai fait la promesse en t'épousant. Je la respecterai.
Mais le contre amiral …
Il est puissant, c'est clair. Il a l'expérience, les hommes, les navires, la force, le haki, et dieu seul sait quoi d'autre. Pourtant, rien n'est dit qu'il va gagner.
Comment ça ? T'as un plan ?
Ca se pourrait bien. Mais souvient toi des temps passés. Quand Chapeau de paille a affronté MarineFord pour sauver son frère. Personne n'aurait misé sur lui. Mais il a réussit. Il a affronté les amiraux et a survécu. Il a battu DonFlatrucchcouette, un corsaire et a gagné alors qu'il partait grand perdant. Personne n'aurait jamais dit qu'il allait battre Ener avant qu'il le fasse non plus. Ne sous-estime pas une personne parce que les chances sont contre elles. On ne sait jamais ce qui peut arriver. Regarde, malgré tout ce que je peux faire, malgré ma puissance, il suffit que je tombe dans l'eau pour mourir comme un bébé. Il suffit d'une variable pour tout changer, pour passer de vivant à mort. Ne l'oublie jamais. »
Franck reste perplexe. Moi aussi à vrai dire. Je n'ai aucune idée de comment battre un contre amiral aussi puissant. Le retarder, l'emmerder, je peux facilement. Mais le défaire, c'est une toute autre histoire. J'enfile plusieurs couches de vêtements histoire de ne pas avoir trop froid. J'suis pas habitué à l'hiver. A Troop erdu, c'est pas grand chose. Là, c'est non stop ce climat de taré. Quelques minutes plus tard, l'alerte est donnée quand on nous canonne.
« Il se passe quoi ?
Navire pirate droit devant. Il nous fonce dessus !
Et pourquoi tu nous l'a pas dit plutôt ?
J'dormais.
Et merde. J'espère qu'ils sont pas trop forts, qu'il n'ont ni haki ni granit marin. »
Comme d'habitude, je déploie ma terre pour protéger le navire. Ca serait quand même bien qu'on ait un bateau capable de résister à quelques coups quand même … J'commence à en avoir marre de jouer les boucliers. Voyant que leurs attaques ne nous atteignent plus, ils arrêtent de canonner. Mauvaise idée. Parce que ça veut dire que je suis libre d'agir maintenant. Et j'suis pas content. Personne ne touche à mon navire. Personne ne bombarde mon navire. Je laisse tomber ma terre dans l'eau, puis avance sur le pont. Le navire ennemi nous rattrape. Chose pourtant presque impossible. Je sais que la marine à des vaisseaux sur Drum. Aussi, pour ne pas les attirer ici, mieux vaut éviter d’être trop voyant. Donc on agit discrètement. L'autre navire est aussi de petite taille. Le découper ne devrait pas être un soucis pour moi. Ceci dit, je préfère la diplomatie avant tout. Une fois qu'on est à portée, je hurle.
« Arrêter de nous attaquer ou on sera forcé de vous affronter.
T'as peur ou quoi ? Trouillard ! J'suis Mark Pop'Kinz, primé à 60 000 000. Tremblez devant moi. Je vais … tous vous massacrer. »
Encore un vantard. J'y crois pas. Combien il y en a sur cette mer ? 60 000 00 de berrys ? Ca en fait du fric ça. Sauf que j'peux plus rien toucher. Merde. J'suis plus marin. Pas grave. Vu ses paroles, il a pas l'air bien net dans sa tête. J'vais l'mettre à l'amende rapidement. « Mani. Approche nous d'eux. Il est temps que je m'échauffe avant Drum. » Sauf que leur navire ait des manœuvres bizarre que je e comprends pas de trop. Droite, gauche, droite, devant … Faudrait choisir au bout d'un moment. Et c'est bien trop tard que je saisis la portée de son action. Les courants. Le vent. Il le fait ses alliés. Il recommence à nous canonner. Je sors mon sabre, tranchant dans le vif du sujet. Pratique ces lames d'air. Pas besoin de sauter, il me suffit simplement de fendre l'air de mon sabre en visant les boulets. Ces armes sont sans aucun doute l'avantage de son bateau. S'ils étaient automatique, nul doute qu'il gagnerait rien qu'avec eux. Malheureusement, derrière chaque canon il y a des hommes. Et les hommes sont faillibles. Les hommes sont lents. Les hommes mettent du temps avant de placer un autre boulet dans le canon, allumer la mèche puis viser.
Ce qui fait que le rythme de tir est saccadé. Pour faire simple, j'ai le temps de trancher avant que les attaques ne nous touchent. Sauf que le vent de proue pour nous me souffle dans le yeux, m'obligeant à les réduire, voire les fermer parfois. Pour eux, il augmente la portée de leurs attaques qui se dirigent de plus en plus vers mon navire. Il augmente leur vitesse, se rapprochant de nous. Le courant nous empêche de bouger. Saloperie. Il nous a piégé. Ce qui ne signifie qu'une seule chose. Il a l'avantage et devrait logiquement baisser sa défense pour se concentrer sur l'attaque. Leur navire fonce droit sur nous. Il ricane. Même à cette distance, on peut lire la folie dans ses yeux.
« Paré à se faire aborder ?
Tu peux pas l'en empêcher ?
Si.
Pourquoi tu le fais pas alors ?
Parce qu'on a besoin de son navire proche pour repartir d'ici.
Hein ?
T'inquiète chéri, je gère.
Les fonds marins sont rempli de personnes gérants … »
Mark et ses hommes posent les planches de bois entre nos rafiots. Ils courent droit sur nous. Je laisse les premiers avancer jusqu'à moi, qui suis en première ligne. Lorsque les seconds arrivent, je lance de la terre sur le sol, puis la fait rouler en arrière. Les pirates tombent comme des mouches. Ils ne peuvent tenir debout. On me traite de sorcier. La deuxième vague arrive. Puis trébuche, comme la première. Moi ? J'avance tranquillement vers le capitaine, allant sur son navire. Il déploie ses sabres. Pendant ce temps, sa femme atterrit sur le mien. Tous les non combattants se sont réfugiés à l'abri dans le bateau. Ne reste que Franck, Stanislas et Ragnar sur le pont du Révacier. Mark sort ses six sabres et se prépare au combat. Il jubile à l'idée de me trancher. Je laisse le navire au soin de mes hommes. Les siens finissent par se relever. Faut croire que lorsque je coupe tout lien entre ma terre et mes techniques, ces dernières s'arretent. Le trio se retrouve donc en face d'une ancienne capitaine pirate et d'une trentaine de matelots. Comment vont-ils gérer ça ?
- Spoiler:
- Mark Pop'Kinz
SauvageTrancher, c'est marrant.Mark est un de ces types au passé trouble. Tout ce qu'on sait de lui, c'est qu'un jour, il a mit le feu à son église. Un dimanche banal quoi. ce qui l'est moins, c'est de le faire au moment de la messe, quand tout le monde est dedans. Femmes, enfants, vieillards, malades, tout le monde y est passé. Une fois les flammes éteintes, après trois jours, il s'est amusé à trancher dans le vif du sujet. Heu, dans les corps je veux dire. Il les a tailladé pendant des jours et des nuits juste pour s'amuser. Quand des habitants des villages voisins sont arrivés pour voir le carnage, sa folie l'a repris. Puisque trancher des cadavres c'est amusant, tuer des êtres vivants ça doit l’être encore plus. Il a donc décimé d'autres villages avant d'en avoir marre et de voler un bateau. Comprenant que ça ne se fait pas tout seul, il a refréné ses ardeurs et a engagé du monde. Pour l'instant, il se maîtrise, massacrant juste tous ceux sur sa route, civils, mercenaires, pirates, marins ... Il excelle dans le maniement au sabre, avec ses 6 sabres.
Trancher de la chair humaine, c'est jouissif !
Niveau évalué :
Dorikis : 3400
PP : - 270
PI : - 174
PRIME : 60 000 000
Habiletés/Pouvoirs :POUVOIRS
- Spoiler:
- Mary Pop'Kinz
Seconde de MarkTranche, tranche.Mary est la femme de Mark. Ils se sont rencontré durant un abordage sur un navire marchand. Après avoir massacré l'équipage, ils se sont affronté. Une alchimie est née entre eux. Mary a juré allégeance à Mark depuis. Ils massacrent ensemble le monde entier, ayant fusionné leur équipage. Mary est une sabreuse également.
Niveau évalué :
Dorikis : 2400
PP : - 150
PI : - 100
PRIME : 40 000 000
Habiletés/Pouvoirs :POUVOIRS
Dernière édition par Clotho le Sam 29 Aoû 2015 - 16:28, édité 1 fois