>> Myosotis De Ville
Pseudonyme : / Age: 20 ans. Sexe : Homme. Race : Humain. Métier : Diseur de bonne aventure. Groupe : Civil. But :Prendre sa revanche sur ceux qui l'ont bafoué (c.f histoire). Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Je ne dis pas non à un Fruit, pourquoi pas en rapport avec son "faux" métier ou son œil noir mais sinon...aucune idée ! Équipement : Cartes de tarot divinatoire, boule de cristal, cravache. Codes du règlement : Parrain :/ Ce compte est-il un DC ? : Nope ! Si oui, quel @ l'a autorisé ? : ... |
>> Physique
« Laissez moi faire battre votre cœur, laissez moi prendre le contrôle... ! »
Myosotis possède une apparence assez enfantine et légèrement androgyne, il est plutôt difficile de croire qu'il a déjà atteint sa majorité en ne regardant que sa tête tant il fait jeune. Un taille moyenne, des yeux bleus et brillants comme de l'azur, des cheveux noirs de jais aux reflets bleutés parfaitement coiffés sur sa petite tête, d'un blanc immaculé, un petit nez en trompette et un sourire d'ange, difficile de ne pas être attendrie face à tant de douceur, mais comme le dit le proverbe : il faut se méfier de l'eau qui dort.
Ayant grandi dans un milieu fortuné, le style vestimentaire de Myosotis s'inspire de toutes les figures familiales figurant fièrement sur les portraits du manoir dans lequel il a grandi. Rubans, soie, bottes, hauts-de-forme, lavallières, faux cols, il est capable de dépenser beaucoup pour pouvoir se parer des plus beaux ensembles, preuve de son amour incontestable pour le luxe et la fortune, privilégiant ses couleurs fétiches : le noir, le bordeaux mais aussi le violet.
Le jeune homme n'est pas vraiment musclé, au contraire, plutôt malingre et gracile, ce qui ne lui permet pas vraiment de frapper fort, mais bénéficie d'une certaine dextérité et s'avère surprenamment rapide. Il n'accorde guère d'importance au perfectionnement de sa force ni de sa musculature, aimant jouer de sa carrure frêle pour surprendre ses adversaires, les faisant douter, ces derniers le sous-estimant quasi toujours.
S'étant choisi un métier de diseur de bonne aventure, il use constamment de son apparence inoffensive pour charmer ses clients lors de ses pseudo-séances de voyance, leur mentant habilement avec un gracile battement de cils. Son physique lui sert également à obtenir ce qu'il désire lorsque quelqu'un détient quelque chose qu'il veut, il n'a pas peur de l'utiliser comme une arme encore plus tranchante et douloureuse qu'un katana.
Myosotis possède une apparence assez enfantine et légèrement androgyne, il est plutôt difficile de croire qu'il a déjà atteint sa majorité en ne regardant que sa tête tant il fait jeune. Un taille moyenne, des yeux bleus et brillants comme de l'azur, des cheveux noirs de jais aux reflets bleutés parfaitement coiffés sur sa petite tête, d'un blanc immaculé, un petit nez en trompette et un sourire d'ange, difficile de ne pas être attendrie face à tant de douceur, mais comme le dit le proverbe : il faut se méfier de l'eau qui dort.
Ayant grandi dans un milieu fortuné, le style vestimentaire de Myosotis s'inspire de toutes les figures familiales figurant fièrement sur les portraits du manoir dans lequel il a grandi. Rubans, soie, bottes, hauts-de-forme, lavallières, faux cols, il est capable de dépenser beaucoup pour pouvoir se parer des plus beaux ensembles, preuve de son amour incontestable pour le luxe et la fortune, privilégiant ses couleurs fétiches : le noir, le bordeaux mais aussi le violet.
Le jeune homme n'est pas vraiment musclé, au contraire, plutôt malingre et gracile, ce qui ne lui permet pas vraiment de frapper fort, mais bénéficie d'une certaine dextérité et s'avère surprenamment rapide. Il n'accorde guère d'importance au perfectionnement de sa force ni de sa musculature, aimant jouer de sa carrure frêle pour surprendre ses adversaires, les faisant douter, ces derniers le sous-estimant quasi toujours.
S'étant choisi un métier de diseur de bonne aventure, il use constamment de son apparence inoffensive pour charmer ses clients lors de ses pseudo-séances de voyance, leur mentant habilement avec un gracile battement de cils. Son physique lui sert également à obtenir ce qu'il désire lorsque quelqu'un détient quelque chose qu'il veut, il n'a pas peur de l'utiliser comme une arme encore plus tranchante et douloureuse qu'un katana.
>> Psychologie
« Dansez au bout de mes fils... ! »
Il est difficile de déterminer les bons des méchants, chaque être est capable de surprendre le monde s'il le souhaite, mais dans l'esprit des autres il est inconcevable qu'une âme puisse n'être ni bonne ni mauvaise et pourquoi ? Parce que personne ne peut concevoir qu'un être est capable du meilleur...comme du pire.
Myosotis est un être au cœur sombre, un être pour qui toute notion d'altruisme n'existe pas et pour cause, il n'aide personne sans que cela ne lui rapporte quelque chose. Le jeune homme ne pense qu'à son propre intérêt et par son propre intérêt et voit la vie de manière assez simple : tout les êtres vivants qu'il croise ne sont que des pions, comme sur un grand échiquier, avec lesquels il joue et tente de manipuler. Fin stratège malgré son âge, Myosotis n'est pas un être à sous-estimer, seulement pour satisfaire son désir et obtenir ce qu'il souhaite, il est prêt à mentir, manipuler, trahir, tromper , ou pire...Une chose est sûr, il n'est jamais bon de faire confiance à ce jeune homme au visage lumineux et au sourire angélique, car derrière son apparence d'archange, vous pourrez découvrir une âme maléfique emplie de colère et de cruauté.
Malgré tout, on ne naît pas mauvais, on le devient, et Myosotis le sait. Même si c'est un être foncièrement mauvais, il lui arrive par moments de se sentir plutôt seul et de se mettre à espérer, qu'un jour, quelqu'un viendra vers lui et lui montrera qu'il est capable d'obtenir enfin la fin heureuse dont il rêve depuis tellement longtemps...
Contrairement à ce qu'on pourrait penser, il n'est pas vantard ou narcissique, son humilité rendant le venin qu'il répand encore plus nocif.
Il est difficile de déterminer les bons des méchants, chaque être est capable de surprendre le monde s'il le souhaite, mais dans l'esprit des autres il est inconcevable qu'une âme puisse n'être ni bonne ni mauvaise et pourquoi ? Parce que personne ne peut concevoir qu'un être est capable du meilleur...comme du pire.
Myosotis est un être au cœur sombre, un être pour qui toute notion d'altruisme n'existe pas et pour cause, il n'aide personne sans que cela ne lui rapporte quelque chose. Le jeune homme ne pense qu'à son propre intérêt et par son propre intérêt et voit la vie de manière assez simple : tout les êtres vivants qu'il croise ne sont que des pions, comme sur un grand échiquier, avec lesquels il joue et tente de manipuler. Fin stratège malgré son âge, Myosotis n'est pas un être à sous-estimer, seulement pour satisfaire son désir et obtenir ce qu'il souhaite, il est prêt à mentir, manipuler, trahir, tromper , ou pire...Une chose est sûr, il n'est jamais bon de faire confiance à ce jeune homme au visage lumineux et au sourire angélique, car derrière son apparence d'archange, vous pourrez découvrir une âme maléfique emplie de colère et de cruauté.
Malgré tout, on ne naît pas mauvais, on le devient, et Myosotis le sait. Même si c'est un être foncièrement mauvais, il lui arrive par moments de se sentir plutôt seul et de se mettre à espérer, qu'un jour, quelqu'un viendra vers lui et lui montrera qu'il est capable d'obtenir enfin la fin heureuse dont il rêve depuis tellement longtemps...
Contrairement à ce qu'on pourrait penser, il n'est pas vantard ou narcissique, son humilité rendant le venin qu'il répand encore plus nocif.
>> Biographie
« Au cœur des ténèbres... »
« Je m'appelle Myosotis De Ville, et comme tout les contes de fée mon histoire commence par un Il était une fois mais ne se termine pas avec une fin heureuse.
Je suis né à East Blue dans une famille de juristes émérites. Mes parents étaient connus dans le milieu, c'étaient de grand avocats célèbres et dont la renommée n'était plus à prouver. Je vivais donc avec mes parents et mon frère dans un manoir près d'une ville, il y faisait bon vivre, je me souviens encore du parfum des lavandes et des roses qui poussaient dans le jardin, les étés passés près d'un étang ou sous un saule-pleureur...Vu comme ça, tout avait l'air parfait, mais comme toutes les œuvres d'art, celle-ci possède aussi ses accros et points noirs. En effet, voyez-vous, ma famille me haïssait, et je la haïssait tout autant en retour.
Je vous entend déjà demander comment est-ce possible qu'un père, une mère et un frère puisse haïr un membre de leur propre famille ? Et bien la réponse est on ne peut plus simple : je n'avais aucune affinité avec le droit.
Et oui, aucune affinité avec le droit ! Et encore, c'est peu dire, je m'endormais à chaque fois qu'on m'en parlait trop longtemps. Je n'arrivais pas à concevoir qu'on puisse vouer sa vie à quelque chose d'aussi ennuyeux, trouver ça intéressant, se bouffer des pages et des pages de théorie, des heures et des heures d'apprentissage pour, au final, peu de pratique. Moi, je rêvais d'art, je rêvais d'être un acteur, pouvoir monter sur les planches et devenir quelqu'un d'autre, chanter sous les projecteurs et être applaudi par des salles éblouies par mes performances, être un tragédien qui peut faire pleurer des salles entières, un acteur acclamé par des spectateurs qui auraient voyagé du monde entier pour le voir jouer, me produire dans des grands cabarets ou des casinos ! Enfin, une vie de rêve en somme. Malheureusement pour moi, ma famille s'y est mis corps et âme pour prendre mes phantasmes et les écraser en me riant au nez. Et le pire dans tout ça, c'est que jamais je n'aurais pu demander de l'aide à qui que ce soit, personne ne m'aurait cru, tout le monde aurait pensé que je mentais ! Après tout, comment des gens aussi respectés qu'eux pouvaient être aussi infects ?
Madeline, ma mère. C'était une femme élégante, distinguée, elle adorait se sentir belle, mais ce qu'elle aimait par dessus tout, plus que sa famille, c'était être le centre d'attention. Elle n'avait jamais aimé réellement mon père, c'était une femme vénale et égoïste uniquement intéressée par le luxe et la gloire, c'était d'ailleurs pour ça qu'elle avait épousé mon père. Elle a donné naissance à mon frère en espérant faire de lui son « poulain » et ça n'a pas manqué, il a très vite été virtuose du barreau et est rapidement devenu son préféré. Lorsque cette pathétique idiote a vu que je ne voulais pas avoir la même carrière, elle n'a tout simplement pas cherché plus loin et m'a délaissé comme si je n'étais qu'un chien...Elle même est allée jusqu'à oublier mon prénom ! Oui, vous avez parfaitement entendu, elle a oublié le prénom de son fils ! Elle m'a croisé un jour dans la maison, m'a bousculé et m'a demandé de ne plus jamais lui barrer la route juste avant de m'appeler par un prénom qui n'était pas le miens. Elle l'a ensuite fait plusieurs fois. Je la déteste, je ne souhaite qu'une chose, qu'elle s'étouffe avec l'argent qu'elle chérit tant !
Maximilien, mon père. Tout comme ma mère, c'était un homme extrêmement fier. Tout le monde le prenait pour quelqu'un de grand et de bon...s'ils savaient...
Mon père me détestait encore plus que ma mère, à chaque fois qu'il essayait d'éveiller en moi un soupçon d'intérêt pour la matière juridique, il se rendait vite compte que ça ne servait à rien et finissait par me battre avec tout ce qu'il trouvait à portée de lui, ceinture, martinet, ses poings...Chaque jour j'essayais de me cacher pour ne pas me faire frapper parce que je savais que ça se terminerait comme ça ! Est-ce que vous savez ce que ça fait de voir un père s'acharner avec autant de rage et de haine sur son propre enfant, un ceinturon à la main et lui rabattre de toutes ses forces la boucle sur la tête, les jambes et les bras juste parce qu'il n'est pas comme il le veux ?! Il me mutila jusqu'à m'handicaper en me forçant à boire une bouteille entière d'encre qui changea à jamais la couleur de mon œil droit. Regardez sous mon cache-œil, mon iris est devenu entièrement noir et je ne peux plus voir aucune couleur avec cet œil ci ! Il s'arrêta bien vite de m'enseigner quoi que ce soit, mais continuait cependant de me battre pour soulager sa conscience frustrée et meurtrie à cause d'un vilain petit canard qui n'avait rien demandé à personne.
Et enfin, il y avait Milan, mon frère. Le bien-né, celui qu'ils adoraient ! Il avait eu la chance de pouvoir aimer le droit et est très rapidement devenu le préféré de mère et père, celui qu'ils couvraient de cadeaux, de beau vêtements et d'objets plus chers et inutiles les uns que les autres. Ils lui avaient offert trois grands chiens noirs avec lesquels il s'amusait à me tourmenter, les lançant à ma poursuite dans le jardin, me forçant à grimper aux arbres pour ne pas qu'ils ne me mordent avec leurs crocs...enfin, quand j'arrivais à monter assez vite, parce que lorsqu'ils arrivaient à m'attraper ils me mordaient et me griffaient, les jambes et les bras en sang. Ils me faisaient tellement peur... Ce minable adorait me voir souffrir, il se vantait sans arrêt devant moi, me prenait pour un incapable...
Trois ombres, trois gangrènes, trois vermines qui me crachaient au visage, me refusant même jusqu'au droit de vivre. Ils avaient réussi à me corrompre jusqu'à l'os, ils ont pris mon âme innocente et l'ont perverti en la nourrissant de haine et de ridicule, ne laissant qu'un cœur sombre et rempli de ténèbres. Je n'avais pas d'autre choix, car lorsque vous êtes rongé par la peine, vous n'avez que deux possibilités : ne rien faire et souffrir en pleurant, ou vous transformer en monstre et contre-attaquer.
C'était un dimanche, père et mère étaient partis pour une réception en ville, me forçant à rester seul avec mon frère à la maison, j'étais dans la cuisine lorsqu'on frère est arrivé, en compagnie de ses trois molosses. Il a commencé à me pousser contre le plan de travail en me donnant une claque, ensuite, il poussa un de ses chiens à m'attaquer. La bête s'était avancée, montrant ses longs crocs acérés, grognant et crachant entre ses babines. Le chien était prêt à sauter, j'attrapais rapidement un couteau de cuisine posé sur le plan derrière moi qui s'enfonça doucement dans la gueule de l'animal, transperçant son palais lorsque celui-ci me sauta dessus. Il couina avant de retomber au sol, inanimé. J'avais les mains maculées de sang, mon frère restait là, incrédule, ses joues s'empourprant de fureur, malheureusement pour lui, je fus plus rapide. J'ai pris deux autres couteaux et les ai lancé successivement sur les deux chiens restants, ils reçurent les lames en pleine tête et suivirent vite leur frère dans l'au-delà. En parlant de frère...cette fois-ci le miens n'arrivait plus à bouger, littéralement abasourdi par ce qui venait de se passer. Mais, voyez-vous, je ne me suis pas arrêté là, j'ai pris le hachoir cette fois, oui le hachoir. Je me suis approché, il ne bougeait pas, trop apeuré, il tremblait et ne remarqua même pas lorsque je lui ai tranché la gorge avec, se contentant de tomber sur le sol.
Je suis resté face au cadavre de Milan pendant très longtemps, presque une demie-heure à le fixer en respirant avec force, en sueur, tremblotant, un sentiment étrange me parcourant l'échine, un frisson mêlant excitation, soulagement, joie mais aussi plaisir. Cette émotion...Vous auriez dû voir sa tête lorsque le sang a fusé de son cou, m'éclaboussant la figure...un souvenir que jamais je n'oublierai ! Il l'a mérité, toutes ses années à me tourmenter et à me torturer, cette ordure le méritait. Des larmes commencèrent à perler sur mes joues, des larmes de bonheur, pour une fois, pour la première fois depuis tant d'années, j'avais gagné. Je me suis enfui bien avant que père et mère ne rentrent, j'ai tué mon frère comme le pathétique roquet qu'il était mais j'avais besoin d'une vengeance plus...douloureuse, pour mes parents, je voulais les voir ployer devant moi, me supplier à genoux. Je voulais qu'ils souffrent le martyr pour ce qu'ils m'ont fait, qu'ils se tortillent d'affliction comme des vers sur hameçon !
Je projette de m'allier avec des pirates, il paraît que certains d'entre eux ont des pouvoirs...plutôt spéciaux...je suis certain que si j'arrive à en trouver ou à en posséder je deviendrai inarrêtable. Mais en attendant il a bien fallu que je gagne un peu d'argent, alors me voici, bossant comme diseur de bonne aventure, racontant des conneries à tout les idiots qui passent sous ma tente. C'est tellement facile d'arnaquer des gens en leur racontant tout un tas d'idioties juste en regardant leur main ! Mon petit manège marche plutôt bien, tout le monde raconte que je suis un véritable médium, que j'ai de véritables talents ! Haha, le talent de manipuler tout le monde comme des poupées de chiffon plutôt !
D'ailleurs...vous vouliez connaître mon histoire c'est chose faite, tirez une carte maintenant. Oh...la Mort...tellement prévisible... ! »
« Je m'appelle Myosotis De Ville, et comme tout les contes de fée mon histoire commence par un Il était une fois mais ne se termine pas avec une fin heureuse.
Je suis né à East Blue dans une famille de juristes émérites. Mes parents étaient connus dans le milieu, c'étaient de grand avocats célèbres et dont la renommée n'était plus à prouver. Je vivais donc avec mes parents et mon frère dans un manoir près d'une ville, il y faisait bon vivre, je me souviens encore du parfum des lavandes et des roses qui poussaient dans le jardin, les étés passés près d'un étang ou sous un saule-pleureur...Vu comme ça, tout avait l'air parfait, mais comme toutes les œuvres d'art, celle-ci possède aussi ses accros et points noirs. En effet, voyez-vous, ma famille me haïssait, et je la haïssait tout autant en retour.
Je vous entend déjà demander comment est-ce possible qu'un père, une mère et un frère puisse haïr un membre de leur propre famille ? Et bien la réponse est on ne peut plus simple : je n'avais aucune affinité avec le droit.
Et oui, aucune affinité avec le droit ! Et encore, c'est peu dire, je m'endormais à chaque fois qu'on m'en parlait trop longtemps. Je n'arrivais pas à concevoir qu'on puisse vouer sa vie à quelque chose d'aussi ennuyeux, trouver ça intéressant, se bouffer des pages et des pages de théorie, des heures et des heures d'apprentissage pour, au final, peu de pratique. Moi, je rêvais d'art, je rêvais d'être un acteur, pouvoir monter sur les planches et devenir quelqu'un d'autre, chanter sous les projecteurs et être applaudi par des salles éblouies par mes performances, être un tragédien qui peut faire pleurer des salles entières, un acteur acclamé par des spectateurs qui auraient voyagé du monde entier pour le voir jouer, me produire dans des grands cabarets ou des casinos ! Enfin, une vie de rêve en somme. Malheureusement pour moi, ma famille s'y est mis corps et âme pour prendre mes phantasmes et les écraser en me riant au nez. Et le pire dans tout ça, c'est que jamais je n'aurais pu demander de l'aide à qui que ce soit, personne ne m'aurait cru, tout le monde aurait pensé que je mentais ! Après tout, comment des gens aussi respectés qu'eux pouvaient être aussi infects ?
Madeline, ma mère. C'était une femme élégante, distinguée, elle adorait se sentir belle, mais ce qu'elle aimait par dessus tout, plus que sa famille, c'était être le centre d'attention. Elle n'avait jamais aimé réellement mon père, c'était une femme vénale et égoïste uniquement intéressée par le luxe et la gloire, c'était d'ailleurs pour ça qu'elle avait épousé mon père. Elle a donné naissance à mon frère en espérant faire de lui son « poulain » et ça n'a pas manqué, il a très vite été virtuose du barreau et est rapidement devenu son préféré. Lorsque cette pathétique idiote a vu que je ne voulais pas avoir la même carrière, elle n'a tout simplement pas cherché plus loin et m'a délaissé comme si je n'étais qu'un chien...Elle même est allée jusqu'à oublier mon prénom ! Oui, vous avez parfaitement entendu, elle a oublié le prénom de son fils ! Elle m'a croisé un jour dans la maison, m'a bousculé et m'a demandé de ne plus jamais lui barrer la route juste avant de m'appeler par un prénom qui n'était pas le miens. Elle l'a ensuite fait plusieurs fois. Je la déteste, je ne souhaite qu'une chose, qu'elle s'étouffe avec l'argent qu'elle chérit tant !
Maximilien, mon père. Tout comme ma mère, c'était un homme extrêmement fier. Tout le monde le prenait pour quelqu'un de grand et de bon...s'ils savaient...
Mon père me détestait encore plus que ma mère, à chaque fois qu'il essayait d'éveiller en moi un soupçon d'intérêt pour la matière juridique, il se rendait vite compte que ça ne servait à rien et finissait par me battre avec tout ce qu'il trouvait à portée de lui, ceinture, martinet, ses poings...Chaque jour j'essayais de me cacher pour ne pas me faire frapper parce que je savais que ça se terminerait comme ça ! Est-ce que vous savez ce que ça fait de voir un père s'acharner avec autant de rage et de haine sur son propre enfant, un ceinturon à la main et lui rabattre de toutes ses forces la boucle sur la tête, les jambes et les bras juste parce qu'il n'est pas comme il le veux ?! Il me mutila jusqu'à m'handicaper en me forçant à boire une bouteille entière d'encre qui changea à jamais la couleur de mon œil droit. Regardez sous mon cache-œil, mon iris est devenu entièrement noir et je ne peux plus voir aucune couleur avec cet œil ci ! Il s'arrêta bien vite de m'enseigner quoi que ce soit, mais continuait cependant de me battre pour soulager sa conscience frustrée et meurtrie à cause d'un vilain petit canard qui n'avait rien demandé à personne.
Et enfin, il y avait Milan, mon frère. Le bien-né, celui qu'ils adoraient ! Il avait eu la chance de pouvoir aimer le droit et est très rapidement devenu le préféré de mère et père, celui qu'ils couvraient de cadeaux, de beau vêtements et d'objets plus chers et inutiles les uns que les autres. Ils lui avaient offert trois grands chiens noirs avec lesquels il s'amusait à me tourmenter, les lançant à ma poursuite dans le jardin, me forçant à grimper aux arbres pour ne pas qu'ils ne me mordent avec leurs crocs...enfin, quand j'arrivais à monter assez vite, parce que lorsqu'ils arrivaient à m'attraper ils me mordaient et me griffaient, les jambes et les bras en sang. Ils me faisaient tellement peur... Ce minable adorait me voir souffrir, il se vantait sans arrêt devant moi, me prenait pour un incapable...
Trois ombres, trois gangrènes, trois vermines qui me crachaient au visage, me refusant même jusqu'au droit de vivre. Ils avaient réussi à me corrompre jusqu'à l'os, ils ont pris mon âme innocente et l'ont perverti en la nourrissant de haine et de ridicule, ne laissant qu'un cœur sombre et rempli de ténèbres. Je n'avais pas d'autre choix, car lorsque vous êtes rongé par la peine, vous n'avez que deux possibilités : ne rien faire et souffrir en pleurant, ou vous transformer en monstre et contre-attaquer.
C'était un dimanche, père et mère étaient partis pour une réception en ville, me forçant à rester seul avec mon frère à la maison, j'étais dans la cuisine lorsqu'on frère est arrivé, en compagnie de ses trois molosses. Il a commencé à me pousser contre le plan de travail en me donnant une claque, ensuite, il poussa un de ses chiens à m'attaquer. La bête s'était avancée, montrant ses longs crocs acérés, grognant et crachant entre ses babines. Le chien était prêt à sauter, j'attrapais rapidement un couteau de cuisine posé sur le plan derrière moi qui s'enfonça doucement dans la gueule de l'animal, transperçant son palais lorsque celui-ci me sauta dessus. Il couina avant de retomber au sol, inanimé. J'avais les mains maculées de sang, mon frère restait là, incrédule, ses joues s'empourprant de fureur, malheureusement pour lui, je fus plus rapide. J'ai pris deux autres couteaux et les ai lancé successivement sur les deux chiens restants, ils reçurent les lames en pleine tête et suivirent vite leur frère dans l'au-delà. En parlant de frère...cette fois-ci le miens n'arrivait plus à bouger, littéralement abasourdi par ce qui venait de se passer. Mais, voyez-vous, je ne me suis pas arrêté là, j'ai pris le hachoir cette fois, oui le hachoir. Je me suis approché, il ne bougeait pas, trop apeuré, il tremblait et ne remarqua même pas lorsque je lui ai tranché la gorge avec, se contentant de tomber sur le sol.
Je suis resté face au cadavre de Milan pendant très longtemps, presque une demie-heure à le fixer en respirant avec force, en sueur, tremblotant, un sentiment étrange me parcourant l'échine, un frisson mêlant excitation, soulagement, joie mais aussi plaisir. Cette émotion...Vous auriez dû voir sa tête lorsque le sang a fusé de son cou, m'éclaboussant la figure...un souvenir que jamais je n'oublierai ! Il l'a mérité, toutes ses années à me tourmenter et à me torturer, cette ordure le méritait. Des larmes commencèrent à perler sur mes joues, des larmes de bonheur, pour une fois, pour la première fois depuis tant d'années, j'avais gagné. Je me suis enfui bien avant que père et mère ne rentrent, j'ai tué mon frère comme le pathétique roquet qu'il était mais j'avais besoin d'une vengeance plus...douloureuse, pour mes parents, je voulais les voir ployer devant moi, me supplier à genoux. Je voulais qu'ils souffrent le martyr pour ce qu'ils m'ont fait, qu'ils se tortillent d'affliction comme des vers sur hameçon !
Je projette de m'allier avec des pirates, il paraît que certains d'entre eux ont des pouvoirs...plutôt spéciaux...je suis certain que si j'arrive à en trouver ou à en posséder je deviendrai inarrêtable. Mais en attendant il a bien fallu que je gagne un peu d'argent, alors me voici, bossant comme diseur de bonne aventure, racontant des conneries à tout les idiots qui passent sous ma tente. C'est tellement facile d'arnaquer des gens en leur racontant tout un tas d'idioties juste en regardant leur main ! Mon petit manège marche plutôt bien, tout le monde raconte que je suis un véritable médium, que j'ai de véritables talents ! Haha, le talent de manipuler tout le monde comme des poupées de chiffon plutôt !
D'ailleurs...vous vouliez connaître mon histoire c'est chose faite, tirez une carte maintenant. Oh...la Mort...tellement prévisible... ! »
Autres : Myosotis possède un bandeau sur son œil droit, cachant un iris devenu complètement noir à cause de la bouteille d'encre que son père lui a forcé à avaler.
Il n'a pas de grandes connaissances sur le combat mais s'avère plutôt doué avec une cravache ou un fouet, il manie également la rapière avec plus ou moins de dextérité. Il se bat essentiellement avec sa tête plutôt qu'avec ses muscles.
Il n'a pas de grandes connaissances sur le combat mais s'avère plutôt doué avec une cravache ou un fouet, il manie également la rapière avec plus ou moins de dextérité. Il se bat essentiellement avec sa tête plutôt qu'avec ses muscles.
>> Test RP
Red a écrit:Alors que tu es en vadrouille du coté d'Inari et que, comme à ton habitude, tu fais de l'argent en faisant miroiter un avenir imaginaire à des gogos, tu es pris à parti par les membres d'une secte, Les Marcheurs du Long Chemin Semé d'Embuches qui s'opposent catégoriquement à toutes les disciplines visant à connaitre l'avenir et donc à en éviter les problèmes. Brandissant torches et batons et hurlant leur cri de guerre "Sauve un futur, mange un voyant !" Ils ont visiblement l'intention affirmée de démolir ton fond de commerce avant de te passer soigneusement à tabac.
Raconte nous comment tu t'es sorti de ce mauvais pas.
Son porte-feuille à la main, Myosotis souriait lorsqu'il se mettait à compter son chiffre du jour, il fourra le porte-feuille dans sa sacoche de cuir noir qu'il portait en bandoulière, aux côtés de sa boule de cristal et de ses cartes de divination. Plus tôt dans la matinée, le jeune homme avait réussi à gagner plusieurs berries, de belles sommes, sur des bourgeois farfelus et autres bobos faciles à arnaquer. Les derniers billets qu'il avait reçu provenaient d'une grosse dame à qui il avait promis monts et merveilles, truquant son jeu et sortant notamment la carte de l'Amoureux, unes de celles qui faisaient le plus sensation. Les gens aimaient bien se sentir flattés et il fallait toujours aller dans leur sens, et cette fois l'idiote avait mordu à l'hameçon en même pas trois secondes ! Elle était toute excitée à l'idée de pouvoir enfin trouver l'âme sœur, bah voyons ! Elle allait surtout trouver la boulangerie la plus proche et se farcir toute une fournée d'éclairs chocolatés, se dit le faux médium en ricanant sous cape.
*Deux cents berrys en plus ce matin...total, mille cinq cent cinquante berrys ! Pas mal !*
Passant sa main droite dans ses cheveux, il était prêt à repartir, il ne lui restait plus qu'à plier sa tente, la ranger et se mettre en quête du prochain village qui ne devait pas être très loin, la météo était clémente et le voyage ne devrait pas être trop long ni fatigant, de toute façon il trouverait bien une maison dans laquelle squatter, vivre chez l'habitant et ne payer qu'avec une prédiction mensonge, c'était le pied !
*Hein ?*
Un étrange bruit provenant de derrière lui attira son attention, il se retourna promptement pour voir, non loin de lui, une dizaine de personnes habillées de bures grisâtres tenant dans leurs mains tout un tas d'outils divers, essentiellement des fourches mais aussi des bâtons, des torches, des bêches, enfin bref : tout l'attirail de péquenaud qui a la rage et qui a soif de justice. Ils beuglaient à s'en rompre la gorge.
« Sauve un futur ! Mange un voyant ! Mange un voyant ! Un voyant ! »
* Et merde... !*
Myosotis avait déjà entendu parler de cette brochette de crétins mais ne les avait jamais vu de ses propres yeux auparavant. La secte des Marcheurs du Long Chemin Semé d’Embûches, une bande de hippies qui se montrent particulièrement agressifs contre les voyants et ceux qui prédisent l'avenir. Ça tombait vraiment mal, lui qui comptait partir...ces gus étaient ses principaux adversaires, ceux capables de ruiner son petit business, il allait falloir faire preuve d'ingéniosité pour pouvoir s'en tirer. Le petit androgyne fit mine de ne pas les avoir vu, soupira doucement avant de rentrer rapidement sous la tente avant qu'ils n'aient le temps de l'atteindre.
« Sors de là voyant ! Sors de là !! »
Ils étaient tous postés devant la tente, Myosotis pouvaient distinguer leurs ombres difformes derrière les pans de toiles ainsi que leurs longues armes du pauvre. Cravache à la main, il s'apprêtait à sortir, il fallait que l'illusion soit parfaite, ils seraient ses marionnettes et le laisserait partir. Ça risquait d'être amusant en plus. Réajustant son haut de forme noir et s'époussetant les épaules, il sortit de la tente et lança un caillou au dehors qui finit par atterrir sur le pied d'un des marcheurs qui grimaça en réceptionnant la pierre.
« Qu'est ce que c'est que ce raffut ?! »
Ils avaient l'air tous penauds et fixèrent le garçon tout de noir vêtu pendant environ six ou huit secondes, ils ne s'attendaient visiblement pas à ce qu'on leur résiste ou tienne tête et étaient plutôt surpris, tout fonctionnait selon le plan de Myosotis. Ils recommencèrent petit à petit à scander encore une fois leur clameur sans queue ni tête.
« Sauve un futur ! Mange un voyant ! Mange un voyant ! Espèce de voyant, on va te fracasser ! »
CLAC !
Ils se turent une fois encore, le petit avait fait claqué sa cravache contre l'une de ses bottes et fit mine d'adopter une figure outrée. Aucun d'eux ne bougeaient.
« Un voyant ?! Pardon ? Non mais vous m'avez bien regardé ou quoi, bandes d'abrutis ! Est-ce que j'ai une tête de voyant ? »
Les Marcheurs ouvraient de grands yeux ronds, éberlués et ne sachant plus quoi répondre, ils étaient pourtant sûrs d'avoir affaire à un voyant, deux d'entre eux s'étaient mis à chuchoter, un autre commençait à mâchouiller un bout de sa manche, l'air simplet, une femme à la peau pâle et au visage stupide se mit à contempler ses sandales tandis que le reste, ne sachant plus quoi faire, cherchait une solution en tentant de croiser le regard de leurs camarades. L'un d'eux, celui armé d'une bêche, s'avança doucement, ses yeux brumeux semblant perdus dans un quelconque rêve sous narcotique.
« Euh bah...on cherche le voyant ! Il était sous cette tente et... ! »
CLAC !
Myosotis refit claquer une nouvelle fois sa cravache, ce qui eut pour effet d'effrayer l'homme qui en lâcha sa bêche sur le sol. Le garçon, vif comme un serpent, lui rabattit son arme sur la figure, ce qui le fit reculer de quelques pas, tenant sa tête entre ses mains et affichant une mine aussi choqué qu'un bébé sur le point de pleurer. L'air du jeune homme était plus sévère.
« Non mais vous me prenez pour qui ? Je sais bien qu'il était ici ! Je me balade pas sous une tente pour le plaisir figurez-vous, crétins ! »
Il frappa du pied sur le sol, posant ses mains sur ses hanches, toisant tout le monde en adoptant un regard suffisant, les foudroyant de son œil sombre comme le plumage d'un corbeau. L'homme à la bêche revint à la charge, sa voix moins assurée et tremblotante à la vue de la courbache.
« Ce...Euh...on pensait que c'était vous le voyant et que... ? »
CLAC ! CLAC !
Cette fois-ci le fanatique en fut tellement apeuré qu'il en tomba sur son fessier en reculant, la moue du jeune homme était toujours aussi renfrognée et Myosotis se mit ensuite à taper du talon sur le sol pour parfaire encore son imitation d'agacement.
« Comment ? Le voyant... ? Moi ?! »
Derrière l'homme au sol, les autres serraient déjà des dents, ils avaient beau être une dizaine, tous munis d'armes nettement plus imposantes qu'une cravache, mais ils ne pouvaient s'empêcher d'appréhender la réaction de celui qui se dressait face à eux. L'attitude forte de Myosotis semblait les effrayer, ils doutaient, commençaient à penser qu'ils s'étaient tromper, y avait-il réellement un voyant ici ? Ou leur folie les avait fait marcher sur la route d'un innocent ? Voyant que son plan marchait et que les membres de la secte semblaient confus, l'arnaqueur expert continua son manège.
« Vous voyez pas que je suis en train de le chercher moi aussi ? J'ai été client du voyant ! »
La femme à l'air bête pencha sa tête de côté et ouvrit la bouche, béate, suivie très vite par le reste du groupe. Celui qui était à terre se releva et repris son ustensile, le posant sur le sol en le tenant comme une canne.
« Vous...un client ? »
« Parfaitement ! Un client oui ! Il m'a prédit que j'allais gagner gros sur un jeu d'argent, alors j'ai misé, et j'ai perdu ! Je suis venu ici pour lui dire ce que je pense de ses prédictions ! Malheureusement pour moi il est parti bien avant que je n'arrive... »
Ils se remirent à chuchoter bruyamment, baissant tous leurs armes, ne sachant plus vraiment quoi faire ni croire.
« Mais du coup, on va taper qui ? »
« Je comprends plus rien moi...il est où le voyant ? »
« On devait le manger mais il est parti... »
« Euh, on fait quoi du coup ? »
CLAC !
« Fermez-la ! On s'en fiche de ce que vous devez faire, qui est-ce qui va me rembourser maintenant hein ? Vous peut-être ?! »
Le jeune De Ville ne s'attendait pas à ce que certains agitent leur tête, comme un enfant qui dit « non », et il dû se mordre l'intérieur de la joue pour ne pas pouffer de rire et briser sa couverture. Il se dit qu'il était grand temps pour lui de les faire partir.
« Bon j'ai autre chose à faire, je vais garder la tente comme remboursement, vous pouvez vous tirez maintenant ! »
« Mais euh...vous savez où il est parti le voyant ? Et à quoi il ressemble du coup ? »
C'était le marcheur qui s'était prit le caillou qu'il avait lancé en sortant de la tente, un espèce de grand barbu malingre avec un gros nez constellé de points noirs. Myosotis souffla, agacé, et posa sa main sur sa tête en faisant mine de réfléchir.
« C'est un vieux avec un turban sur la tête, il a un grand bâton et un pendule. J'ai aucune fichue idée d'où il est parti, essayez dans le village derrière la forêt ! Aller, foutez le camp ! »
« Bon bon d'accord... »
Ils repartirent tous d'un pas nettement moins assuré et tous déçus, ils n'avaient pas pu attraper le fameux « voyant » qu'ils étaient venus chercher. En plus de ça, Myosotis les avait envoyé fouillé dans le village précédent celui dans lequel il avait fait halte en leur donnant un portrait robot vague qu'ils ne trouveraient très certainement jamais, ces Marcheurs aux allures de caïds étaient finalement des gens plutôt stupides qui ne réfléchissaient même pas plus de trois secondes et il en vient à se demander s'il n'aurait pas pu se les faire juste avec sa cravache compte tenu de la manière dont ils étaient apeurés par ses claquements. Il les regarda partir au loin, disparaître au bout du sentier en esquissant un rictus narquois.
*Les cons... !*
Informations IRL
Prénom ://
Age :19 ans, bientôt 20.
Aime :Dessiner, mater des séries (Once Upon a Time, Docteur Who), lire, regarder des conneries sur Youtube, le martini dry.
N'aime pas :Le céleri, être à cours de laque.
Personnage préféré de One Piece :J'aime beaucoup l'ensemble de l'équipage Chapeau de Paille, mais si je devais sélectionner un personnage, je choisirais Nami, ou Robin !
Caractère : J'suis plutôt quelqu'un de gentil, mais uniquement entre minuit et 1h le dimanche soir. <3
Fait du RP depuis :5~6 ans.
Disponibilité approximative :Fréquence de participation relativement bonne, je préviens lorsque j'ai des empêchements.
Comment avez-vous connu le forum ?Via les Top-sites.
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N'aime pas :Le céleri, être à cours de laque.
Personnage préféré de One Piece :J'aime beaucoup l'ensemble de l'équipage Chapeau de Paille, mais si je devais sélectionner un personnage, je choisirais Nami, ou Robin !
Caractère : J'suis plutôt quelqu'un de gentil, mais uniquement entre minuit et 1h le dimanche soir. <3
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Dernière édition par Myosotis De Ville le Jeu 4 Mai 2017 - 12:59, édité 8 fois