>> Huhu ^-^
Hana | Pseudonyme : Hana Suchiru Age: Environ 24 ans. Sexe : Femme Race : Cyborg Humaine Métier : Scientifique (Diplômée d'un doctorat en médecine et en techno-sciences spécifiée aux technologies cyborg) elle à aussi pour passion le domaine des distillat. Groupe : Révolution. But : Ne sais pas vraiment, dans le fond. Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : C'est une scientifique, un cerveau bien avant d'être un muscle sur patte. Ses aptitudes vont dans la création de cyborg et prothèse cybernétiques. Équipement : Quelques membres cyborgs déjà. Un Alambic de sa confection pour une distillation rapide des grains et autres aromates. Codes du règlement : Parrain : Heu, Malek ? Ce compte est-il un DC ? : Non. Si oui, quel @ l'a autorisé ? : Pikachu-sama |
>> Psychologie
Décrivez les traits de caractères forts de votre personnage : que pense-t-il face à un adversaire ? Comment voit-il le monde ? Qu’aime-t-il dans sa vie, que n’aime-t-il pas, que ne supporte-t-il pas ?
Personne d'une grande intelligence, Hana fait partis de ses gens ayant la capacité à tout retenir, jusqu'au moindre détail. Cela bien avant de devenir partiellement machine et de s'implanter un processeur pour gérer ses mécanismes divers. Ça grande intelligence ne la rend pas moins naïve, facilement influençable et surtout, terriblement idéaliste. Son rêve serait sans doute un monde en paix, où elle pourrait élever des animaux gentils qui parlent et où il ferait toujours beau ! Monde qu'elle parcourt au travers de son subconscient, la rendant assez triste lorsqu'elle est obligée de se réveiller le matin venu.
Parfois introvertie, surtout jusqu'au moment du chocolat chaud et des tartines de pain recouvertes d'une épaisse couche de pâte a tartiner chocolat noisette et huile ! Après ça, c’est l'opposée totale, extravertie et très joyeuse, c'est un véritable rayon de soleil pour qui aime ses gamineries. Cette grande jovialité, parfois forcée, lui viens de son besoin permanent de se faire apprécier d'autrui, vivant très mal d'être mal-aimée par les gens qu'elle côtoie ou croise. Ce besoin permanent lui venant très certainement de son enfance, ayant reçue trop peu d'attention de ses parents.
Ses pensées sont libres et elle aime à garder se sentiment de libertés, son indépendance est donc prioritaire dans la plupart de ses initiatives sociales. Généreuse, c'est aussi un trait pouvant la caractériser. Car, elle n'hésite pas à partager, aider ou donner du siens ? Peut-être ait-ce inconsciemment pour s'attirer l'adoration d'autrui. Pour qu'on l'aime ou l'apprécie juste un peu. Voir le bonheur des autres est aussi un grand plaisir et souvent la demoiselle s'exclue pour observer avec plaisir et joie. D'autant plus lorsqu'elle y à contribué mais même sans cela, si son cœur balance entre tristesse et déprime, cette technique suffira souvent à lui redonner le sourire.
L'un de ses autres grands plaisir va aux nouvelles expériences, intellectuelles, physique ou visuelle, tel que donnée par le voyage. Pouvant s'extasier devant de nouveaux paysages parce qu'une simple teinte lumineuse change véritablement du tableau. Sa principale qualité pourrait être sa capacité intellectuelle extrême et très rapide. Son plus grand défaut quand à lui viendrait de sa nervosité constante. Facilement irritable et très rancunière pour pas un sous, elle se met vite en boule et redescend d'ailleurs tout aussi promptement. Pouvant coller une baffe avec rage puis câliner avec la plus grande des tendresses. Imprévisible est têtue, elle aime à avoir raison.
Pouvant parfois prendre des décisions trop hâtive et frisant l'incorrection, la demoiselle est en général plutôt réfléchie sur les choses importantes et scientifiques. Deux mondes séparant deux mentalités distinctes donc, le côté science et le reste des choses de la vie. L'intellectuelle et la naïve. Il serait donc assez facile de diviser cette jeune femme en deux personnes distinctes mais, qui seraient tellement moins étonnante et appréciable qu'elle ne l'est !
Personne d'une grande intelligence, Hana fait partis de ses gens ayant la capacité à tout retenir, jusqu'au moindre détail. Cela bien avant de devenir partiellement machine et de s'implanter un processeur pour gérer ses mécanismes divers. Ça grande intelligence ne la rend pas moins naïve, facilement influençable et surtout, terriblement idéaliste. Son rêve serait sans doute un monde en paix, où elle pourrait élever des animaux gentils qui parlent et où il ferait toujours beau ! Monde qu'elle parcourt au travers de son subconscient, la rendant assez triste lorsqu'elle est obligée de se réveiller le matin venu.
Parfois introvertie, surtout jusqu'au moment du chocolat chaud et des tartines de pain recouvertes d'une épaisse couche de pâte a tartiner chocolat noisette et huile ! Après ça, c’est l'opposée totale, extravertie et très joyeuse, c'est un véritable rayon de soleil pour qui aime ses gamineries. Cette grande jovialité, parfois forcée, lui viens de son besoin permanent de se faire apprécier d'autrui, vivant très mal d'être mal-aimée par les gens qu'elle côtoie ou croise. Ce besoin permanent lui venant très certainement de son enfance, ayant reçue trop peu d'attention de ses parents.
Ses pensées sont libres et elle aime à garder se sentiment de libertés, son indépendance est donc prioritaire dans la plupart de ses initiatives sociales. Généreuse, c'est aussi un trait pouvant la caractériser. Car, elle n'hésite pas à partager, aider ou donner du siens ? Peut-être ait-ce inconsciemment pour s'attirer l'adoration d'autrui. Pour qu'on l'aime ou l'apprécie juste un peu. Voir le bonheur des autres est aussi un grand plaisir et souvent la demoiselle s'exclue pour observer avec plaisir et joie. D'autant plus lorsqu'elle y à contribué mais même sans cela, si son cœur balance entre tristesse et déprime, cette technique suffira souvent à lui redonner le sourire.
L'un de ses autres grands plaisir va aux nouvelles expériences, intellectuelles, physique ou visuelle, tel que donnée par le voyage. Pouvant s'extasier devant de nouveaux paysages parce qu'une simple teinte lumineuse change véritablement du tableau. Sa principale qualité pourrait être sa capacité intellectuelle extrême et très rapide. Son plus grand défaut quand à lui viendrait de sa nervosité constante. Facilement irritable et très rancunière pour pas un sous, elle se met vite en boule et redescend d'ailleurs tout aussi promptement. Pouvant coller une baffe avec rage puis câliner avec la plus grande des tendresses. Imprévisible est têtue, elle aime à avoir raison.
Pouvant parfois prendre des décisions trop hâtive et frisant l'incorrection, la demoiselle est en général plutôt réfléchie sur les choses importantes et scientifiques. Deux mondes séparant deux mentalités distinctes donc, le côté science et le reste des choses de la vie. L'intellectuelle et la naïve. Il serait donc assez facile de diviser cette jeune femme en deux personnes distinctes mais, qui seraient tellement moins étonnante et appréciable qu'elle ne l'est !
>> Physique
Décrivez votre personnage, sa taille, sa masse, sa musculature (ou son absence), ses tics de comportement, sa façon de parler, de marcher... Soyez créatifs, il y a toujours à dire sur la manière d’être de quelqu’un !
Le bois encadre une salle de taille moyenne, un bois brut et solide, propre et luisant, celui d'un navire riche, d'un navire commerçant sans nul doutes. Il s'y trouve un petit lit simple en bois massif et à la literie d'un niveau social acceptable, digne d'une famille bourgeoise. Une petite commode finement taillée et une chaise en face, tous ses détails sont visibles parce que, malgré les rideaux tirés et la nuit déjà tombée, la zone est éclairée par quatre bougies sous cloche. La porte grince un peu, l'humidité de la navigation ne 'laide en rien. D'un pas léger et tranquille la voilà qui rentre dans la pièce, un livre rose et scellé dans la main droite. La personne, une jeune femme a la taille élégante, balance ce dernier sur le lit. Baillant longuement, une main délicate aux longs doigts couvrant sa bouche. La porte se claque d'elle-même. Puis se verrouille... Un petit système sortit tous droit de son cerveau.
C'est une demoiselle de hauteur moyenne, mesurant alentour des un mettre soixante-sept. Soit à peine au-dessus de la moyenne féminine de son îlot d'origine. Son corps forme une sorte de huit prenant plus de rondeur à la poitrine ainsi qu'aux hanches, en somme, une belle taille très sensuelle que toutes les femmes n'ont pas. Sa poitrine, dont on voit la forme sous sa tenue semble être de taille relativement moyenne. Peut-être un peu encombrant pour le combat ou le sport si mal maintenus. Sa peau aux teintes oscillant entre albâtre et ambre semble d'une douceur peu commune. Pour les zones qui en sont visibles tout au moins. La voilà qui retire tranquillement sa robe. Dévoilant son corps... Et quelle surprise pour l'œil du voisin de chambre regardant par un trou dans la boiserie de découvrir son corps; l'un de ses bras est totalement fait d'un acier sombre et teinté de lumières verdâtres par de petites ouvertes. Cela en est de même pour l'une de ses jambes et son autre pied.
Dénudée, la jeune femme s'asseye sur le lit et sort d'un recoin du matelas, un tournevis. Commençant a retirer quelques plaques pour se nettoyer. Ses couleurs ébènes dû à ses zones robotisée s'harmonise merveilleusement bien avec les couleurs verts pâle et acidulés de sa crinière et de son regard taciturne. Empourpré ce soir d'une grande tristesse, a l'inverse de la journée ou un doux sourire parcours constamment ses lèvres. La jeune femme à l'aide de son tournevis, une fois ses parties métalliques visiblement propres en interne, soulève une zone de peau avec l'outil. Cela engendrant quelques saignements, elle dévoile malgré tout quelques étranges branchements auquel la voilà qui ajoute de nouveau recouvrement en acier sombre. Ses parties lui sont utiles au bon fonctionnement de son système, bien que peu esthétique, a l'inverse du bras et de la jambe qui sont entièrement robotisés. Le tout formant un ensemble cybernétique homogène permettant à son corps fragile de se maintenir en bonne santé et d'auto recharger ses composants. Cela finit, ses deux bars et jambes recouverts, quelques parties sur son crane, tout son cou et son dos. Ne reste alors plus grand-chose d'humain sinon 'avant de son buste et son visage.
Le bois encadre une salle de taille moyenne, un bois brut et solide, propre et luisant, celui d'un navire riche, d'un navire commerçant sans nul doutes. Il s'y trouve un petit lit simple en bois massif et à la literie d'un niveau social acceptable, digne d'une famille bourgeoise. Une petite commode finement taillée et une chaise en face, tous ses détails sont visibles parce que, malgré les rideaux tirés et la nuit déjà tombée, la zone est éclairée par quatre bougies sous cloche. La porte grince un peu, l'humidité de la navigation ne 'laide en rien. D'un pas léger et tranquille la voilà qui rentre dans la pièce, un livre rose et scellé dans la main droite. La personne, une jeune femme a la taille élégante, balance ce dernier sur le lit. Baillant longuement, une main délicate aux longs doigts couvrant sa bouche. La porte se claque d'elle-même. Puis se verrouille... Un petit système sortit tous droit de son cerveau.
C'est une demoiselle de hauteur moyenne, mesurant alentour des un mettre soixante-sept. Soit à peine au-dessus de la moyenne féminine de son îlot d'origine. Son corps forme une sorte de huit prenant plus de rondeur à la poitrine ainsi qu'aux hanches, en somme, une belle taille très sensuelle que toutes les femmes n'ont pas. Sa poitrine, dont on voit la forme sous sa tenue semble être de taille relativement moyenne. Peut-être un peu encombrant pour le combat ou le sport si mal maintenus. Sa peau aux teintes oscillant entre albâtre et ambre semble d'une douceur peu commune. Pour les zones qui en sont visibles tout au moins. La voilà qui retire tranquillement sa robe. Dévoilant son corps... Et quelle surprise pour l'œil du voisin de chambre regardant par un trou dans la boiserie de découvrir son corps; l'un de ses bras est totalement fait d'un acier sombre et teinté de lumières verdâtres par de petites ouvertes. Cela en est de même pour l'une de ses jambes et son autre pied.
Dénudée, la jeune femme s'asseye sur le lit et sort d'un recoin du matelas, un tournevis. Commençant a retirer quelques plaques pour se nettoyer. Ses couleurs ébènes dû à ses zones robotisée s'harmonise merveilleusement bien avec les couleurs verts pâle et acidulés de sa crinière et de son regard taciturne. Empourpré ce soir d'une grande tristesse, a l'inverse de la journée ou un doux sourire parcours constamment ses lèvres. La jeune femme à l'aide de son tournevis, une fois ses parties métalliques visiblement propres en interne, soulève une zone de peau avec l'outil. Cela engendrant quelques saignements, elle dévoile malgré tout quelques étranges branchements auquel la voilà qui ajoute de nouveau recouvrement en acier sombre. Ses parties lui sont utiles au bon fonctionnement de son système, bien que peu esthétique, a l'inverse du bras et de la jambe qui sont entièrement robotisés. Le tout formant un ensemble cybernétique homogène permettant à son corps fragile de se maintenir en bonne santé et d'auto recharger ses composants. Cela finit, ses deux bars et jambes recouverts, quelques parties sur son crane, tout son cou et son dos. Ne reste alors plus grand-chose d'humain sinon 'avant de son buste et son visage.
>> Biographie
Se redressant, reprenant son livre, elle s'assied sur la chaise positionnée juste en avant du chevet. Posant le bouquin et le déverrouillant, saisissant de quoi écrire ; Il est enfin temps de commencer...
« Cher Journal ! J'ai vingt-cinq ans et je te commence pour la première fois. Sais-tu qu'il n'y en a jamais eu avant toi ? Hé oui, tu es mon premier. Tu as beaucoup de pages alors, j'espère que tu dureras suffisamment longtemps pour que je me lasse. Mais là, j'ai besoin de te raconter un peu mon histoire, puisque je ne l'ai fai avec personne. Je tâcherai de passer sur ce qui me semble important uniquement, concernant mon passé et je te donnerai tous les détails au jour le jour de mon histoire ensuite ! Ça te vas ? Bien sûr que cela te va, puisque tu n'es pas vivant, ou plus vivant.. Si on considère que tes feuilles proviennent d'arbre qui eux étaient bel et bien vivant. Haha, voilà que je me lance dans la schizophrénie !. »
Mon premier souvenir, c'est mon plus secret. C'est le plus dur à te raconter journal mais, je commencerais par lui. Il remonte à loin, l'époque où j'étais une gamine de cinq.. Peut-être six ans. Je ne sais plus très bien. J'ai souvenir que j'étais déjà assez intelligente pour mon âge. Une enfant surdouée, de parents tenancier d'une grande auberge sur le port d'une petite île au carrefour des mondes. Je ne me souviens plus trop d'eux... Ils travaillaient tout le temps, le jour comme la nuit avec une jeune employée et un vieillard. Était-ce un parent ou pas ? Jamais je ne l'ai su. Ça n'a que peu d'importance au final. Dans ce petit monde, j'étais l'enfant, trop douée pour être à l'unique école ; trop chétive et jeune pour rester dehors. Surtout, trop haïe des autres enfants stupides pour jouer avec.. mais j'aimais mon univers, un jeune homme charmant tenait la bibliothèque et me prêtait les livres, c'était mon prince charmant. Je crois.. J'apprenais ainsi et j'aimais beaucoup ça. Lorsque je n'étudiai ni ne lisait de roman, j'allais dans la salle et me portait de toute ma naïveté d'enfant, aux tables des voyageurs. Parfois de gros alcooliques puants et dégoûtant, parfois de nobles marchand dignes et fatigués. J'écoutais leurs récits, fatigués et bien heureux d'avoir une oreille insouciante toute à leur écoute.
Je pense, maintenant que je l'écris, qu'un grand nombre d'entre eux exagérait leurs aventures, maintenant que je connais la vérité sur la réalité... J'aimais beaucoup ses instants à l'époque. Tout dégénéra rapidement. J'étais d'une faible constitution et un hiver, je tombais grièvement malade. Je devais avoir, bien, huit ans. Les médecins ne savaient pas quoi faire, j'ai le souvenir que l'employée, la jeune femme, se tenait souvent à mon chevet et qu'elle me racontait les histoires rocambolesques de clients habitués, triste de ne pas me voir cette fois-ci. Ma maladie se prolongea et m'attaqua gravement les poumons et le foie, mais je restais vivante. Très affaiblie, je ne sortais que peu de mon lit et quasiment plus de ma chambre. Ma vie, terne, s'assombrit alors que jeu en main mon premier livre sur la technologie. Une chose rare, un cadeau d'un voyageur. Je ne me souviens plus de son nom, mais je sais que j'adorai ses histoires. Je me plongeais alors dans ce domaine, instinctivement, comme l'animal carnivore broutant l'herbe pour ce purger d'une mauvaise alimentation récente. J'y trouvais mon salut.
Je sortais de nouveau de ma chambre vers mes onze ans et allait même dehors. Non sans mal. Sur les dock, je me procuras alors un tas d'immondices d'acier et composants électroniques, rare donc. Mais souvent jeter aux ordures bêtement. Avec tout cet attirail, je confectionnais mes premiers appareils. Aidée par mon intelligence excessivement grande, je pus rapidement fabriquer des palliatifs à mes organes fragilisés. D'abord, peu efficaces et dangereux bien sûr. Certains aggravèrent même mon cas. L'un d'eux, pourvu d'un microprocesseur, j'ose que je ne connaissais pas, me fit même perdre la tête durant quelques semaines.
Survint alors le second événement important de mon histoire, l'arrestation de mes parents et sans que je ne sache bien pourquoi, de ma petite personne. Ils furent fusillés tandis qu'on m'envoyait en prison, âgée de quatorze ans. Probablement était-je considérée comme complice d'actes qu'on ne m'exposa jamais. J'y rencontrais Malek, 'jetais faible, naïve, mais intelligente. Orgueilleuse de ce fait, je pensais pouvoir tout résoudre avec ma tête et nous attira beaucoup d'ennuis desquels il nous sortit toujours. J'y appris plus ou moins à me défendre mais j'étais faible et le manque de sources d'apprentissage intellectuel ou de matériaux ne m'aida pas à plus me transforme pour être résistante. Malek fut mon premier ami, je l'en remercie encore aujourd'hui, car sans lui je serai morte à cette période, ou bien alors aurais-je finie comme traînée d'un prisonnier plus balaise que les autres, avant qu'il ne se fasse battre et qu'un autre me récupère. J'en frissonne et suis bien heureuse de ne pas avoir terminé de la sorte. Toujours est-il que ce furent mes tentatives scientifiques avec de la ficelle et quelques cuillères rouillées qui nous attirât la haine des geôliers.. Nous pûmes, lors du transfert nous évader et vivre quelques folles aventures. J'y découvris le monde à ses côtés lui qui était déjà bien habitué avec ce dernier. Lui qui n'avait que peu de culture, ne sachant ni lire ni écrire.
Malheureusement pour nous, nous étions évadés et donc recherchés. Un jour alors que nous ne nous y attendions pas, un duo de chasseur de prime nous attaqua. Le combat fut compliqué, d'autant que je n'étais pas très utile à Malek. Dans l'action, l'un des chasseurs de prime me colla un mini explosif, j'y perdis un bras, une jambe et mes deux pieds, ainsi que mon ami, qui disparut. Moi, on pris mon corps, échanger contre la monnaie de ma faible prime. La marine jeta mon corps dans une décharge pratiquée par des gens de bidonville. Adorables et pris de pitié, probablement, ils me portèrent les premiers soin, j'eus une chance inouïe de ne pas attraper quelque horrible maladie due à la saleté des lieux, le manque d'hygiène y étant permanent. J'étais estropiée, un semi cul de jatte en quelques sortes. Mais il me restait une main utilisable et mon atout principal : mon cerveau ! En plus maintenant, s'offrait à moi une source énormissime de matières première. De la ferraille, des rouages de machines cassées, de quoi créer, tester, a moindre frais...
Et surtout, j'avais le cobaye idéal : moi-même. Mes premiers attributs cyborg visibles furent donc un pied, puis un début de jambe... Et finalement une jambe complète, fait d'assemblages de tuyaux de cuivres et de morceaux de ferrailles, les rouages employés étant tordus, souvent cramer et un peu fondus, fonctionnaient difficilement mais, cela me permit de me déplacer de nouveau pour trouver moi-même dans la décharge ce dont j'avais besoin. Alors que l'on m'hébergeait aimablement et que je leur apportai mon intelligence pour améliorer leurs conditions : récupération et filtrage de l'eau efficace et propre, pour exemple et comme première chose que je fis une fois suffisamment opérationnelle. Le temps s'écoula et une année passa. Je ne cachai pas encore mes membres cyborgs lorsqu'un groupe d'hommes vint se réfugier ici. Parmi eux il y avait quelques blessés mineurs et un gravement. Condamné à mourir ; je fis leur rencontre à ce moment. Ils étaient révolutionnaires. Je me porta volontaire pour soigner leur compagnon. J'avais les compétences pour ça, car j'avais appris dans les livres et sur mon propre corps. Aussi, avais-je pus m'exercer sur les habitants des lieux pour tenter comme sus-dit, de leur apporter mon aide. Ce fut une réussite. Mon talent médicinal et en technologie les intéressa et ils parvinrent à me convaincre de les suivre. J'étais toujours assez naïve, je le suis encore aujourd'hui. Journal, mon cher journal. J'aime te parler de moi !
Je rejoignis ce qui devait s'apparenter au pôle scientifique de la révolution, dans un laboratoire top secret. Rejoignant de temps à autres des missions en arrière ligne, ceux qui soignent le soldat qui survivent à leurs objectifs. C'est lors d'une de ses missions que je revis Malek. Ahhh, Malek... Je ne pensais vraiment pas revoir ce traître un jour et je l'ai cogné bien comme il faut. D'autant que j'avais déjà à cette époque pus améliorer mes prothèses. Je les cachez d'ailleurs une fois au sein de la révolution. Ceux-ci considérant que ceci pouvait attirer l'attention. Car, ce genre de technologie est au final rarement bien maîtrisé sinon même terriblement méconnue. Quelques années passèrent où je m'investit beaucoup dans la révolution, profitant de leur pôle technologique et eux-même usant des mes compétences. Je profita aussi de ce laps de temps pour passer sur différentes îles un doctorat en médecine et un autre en techno-sciences. Bien moins fragile qu'avant, je m'installa dans un hangar désaffecté sur une île d'un archipel ou se trouvait à la fois une base révolutionnaire et une de la marine. C'est un an avant ce jour. Je désirais alors m'en faire un laboratoire personnel. Ce que je fis avec mes pauvres moyens. Désireuse de parfaire mes créations. De m'améliorer moi-même aussi. J'inventai alors un système fonctionnant avec de l'alcool de pâte a tartiner chocolat noisette. Cet alcool était auto généré via un système de mini alambic interne auquel il fallait une cuillerée de pâte a tartiner par jour pour faire fonctionner correctement chaque processeur d'un cyborg intégral. Cette innovation personnelle était surtout pour me permettre de me nourrir d'une chose dont 'jetais addicte et dont je suis toujours dépendante.
Je fis mon petit bonhomme de chemin dans ce domaine sur une année quasi complète. Ce ne fut que très récemment. Presque un an a passer sur des choses technologiques, jusqu'à ce que ne tombe devant moi lors d'une ballade, un jeune homme. Grièvement blessé. Masaki se nommait-il. Je le soigna, et l'hébergea ensuite dans mon labo'. Qui fut un beau matin sans crier gare, attaquer par les forces de la marine baser sur l'archipel. Probablement avait-on fait lien entre ma tête et celle de la fugitive que j'étais. Seule dans ce grand hangar, car mon protégé n'était pas là. Je fus capturée et renvoyée en prison, dans la cellule d'un gamin, Riku. C'est là que je te ferme cher journal, rangeant ce beau document dans le « Mes Documents », il faut que je m'éveille. Pour un jour de plus derrière les barreaux d'une prison de ceux que je déteste.
« Cher Journal ! J'ai vingt-cinq ans et je te commence pour la première fois. Sais-tu qu'il n'y en a jamais eu avant toi ? Hé oui, tu es mon premier. Tu as beaucoup de pages alors, j'espère que tu dureras suffisamment longtemps pour que je me lasse. Mais là, j'ai besoin de te raconter un peu mon histoire, puisque je ne l'ai fai avec personne. Je tâcherai de passer sur ce qui me semble important uniquement, concernant mon passé et je te donnerai tous les détails au jour le jour de mon histoire ensuite ! Ça te vas ? Bien sûr que cela te va, puisque tu n'es pas vivant, ou plus vivant.. Si on considère que tes feuilles proviennent d'arbre qui eux étaient bel et bien vivant. Haha, voilà que je me lance dans la schizophrénie !. »
Mon premier souvenir, c'est mon plus secret. C'est le plus dur à te raconter journal mais, je commencerais par lui. Il remonte à loin, l'époque où j'étais une gamine de cinq.. Peut-être six ans. Je ne sais plus très bien. J'ai souvenir que j'étais déjà assez intelligente pour mon âge. Une enfant surdouée, de parents tenancier d'une grande auberge sur le port d'une petite île au carrefour des mondes. Je ne me souviens plus trop d'eux... Ils travaillaient tout le temps, le jour comme la nuit avec une jeune employée et un vieillard. Était-ce un parent ou pas ? Jamais je ne l'ai su. Ça n'a que peu d'importance au final. Dans ce petit monde, j'étais l'enfant, trop douée pour être à l'unique école ; trop chétive et jeune pour rester dehors. Surtout, trop haïe des autres enfants stupides pour jouer avec.. mais j'aimais mon univers, un jeune homme charmant tenait la bibliothèque et me prêtait les livres, c'était mon prince charmant. Je crois.. J'apprenais ainsi et j'aimais beaucoup ça. Lorsque je n'étudiai ni ne lisait de roman, j'allais dans la salle et me portait de toute ma naïveté d'enfant, aux tables des voyageurs. Parfois de gros alcooliques puants et dégoûtant, parfois de nobles marchand dignes et fatigués. J'écoutais leurs récits, fatigués et bien heureux d'avoir une oreille insouciante toute à leur écoute.
Je pense, maintenant que je l'écris, qu'un grand nombre d'entre eux exagérait leurs aventures, maintenant que je connais la vérité sur la réalité... J'aimais beaucoup ses instants à l'époque. Tout dégénéra rapidement. J'étais d'une faible constitution et un hiver, je tombais grièvement malade. Je devais avoir, bien, huit ans. Les médecins ne savaient pas quoi faire, j'ai le souvenir que l'employée, la jeune femme, se tenait souvent à mon chevet et qu'elle me racontait les histoires rocambolesques de clients habitués, triste de ne pas me voir cette fois-ci. Ma maladie se prolongea et m'attaqua gravement les poumons et le foie, mais je restais vivante. Très affaiblie, je ne sortais que peu de mon lit et quasiment plus de ma chambre. Ma vie, terne, s'assombrit alors que jeu en main mon premier livre sur la technologie. Une chose rare, un cadeau d'un voyageur. Je ne me souviens plus de son nom, mais je sais que j'adorai ses histoires. Je me plongeais alors dans ce domaine, instinctivement, comme l'animal carnivore broutant l'herbe pour ce purger d'une mauvaise alimentation récente. J'y trouvais mon salut.
Je sortais de nouveau de ma chambre vers mes onze ans et allait même dehors. Non sans mal. Sur les dock, je me procuras alors un tas d'immondices d'acier et composants électroniques, rare donc. Mais souvent jeter aux ordures bêtement. Avec tout cet attirail, je confectionnais mes premiers appareils. Aidée par mon intelligence excessivement grande, je pus rapidement fabriquer des palliatifs à mes organes fragilisés. D'abord, peu efficaces et dangereux bien sûr. Certains aggravèrent même mon cas. L'un d'eux, pourvu d'un microprocesseur, j'ose que je ne connaissais pas, me fit même perdre la tête durant quelques semaines.
Survint alors le second événement important de mon histoire, l'arrestation de mes parents et sans que je ne sache bien pourquoi, de ma petite personne. Ils furent fusillés tandis qu'on m'envoyait en prison, âgée de quatorze ans. Probablement était-je considérée comme complice d'actes qu'on ne m'exposa jamais. J'y rencontrais Malek, 'jetais faible, naïve, mais intelligente. Orgueilleuse de ce fait, je pensais pouvoir tout résoudre avec ma tête et nous attira beaucoup d'ennuis desquels il nous sortit toujours. J'y appris plus ou moins à me défendre mais j'étais faible et le manque de sources d'apprentissage intellectuel ou de matériaux ne m'aida pas à plus me transforme pour être résistante. Malek fut mon premier ami, je l'en remercie encore aujourd'hui, car sans lui je serai morte à cette période, ou bien alors aurais-je finie comme traînée d'un prisonnier plus balaise que les autres, avant qu'il ne se fasse battre et qu'un autre me récupère. J'en frissonne et suis bien heureuse de ne pas avoir terminé de la sorte. Toujours est-il que ce furent mes tentatives scientifiques avec de la ficelle et quelques cuillères rouillées qui nous attirât la haine des geôliers.. Nous pûmes, lors du transfert nous évader et vivre quelques folles aventures. J'y découvris le monde à ses côtés lui qui était déjà bien habitué avec ce dernier. Lui qui n'avait que peu de culture, ne sachant ni lire ni écrire.
Malheureusement pour nous, nous étions évadés et donc recherchés. Un jour alors que nous ne nous y attendions pas, un duo de chasseur de prime nous attaqua. Le combat fut compliqué, d'autant que je n'étais pas très utile à Malek. Dans l'action, l'un des chasseurs de prime me colla un mini explosif, j'y perdis un bras, une jambe et mes deux pieds, ainsi que mon ami, qui disparut. Moi, on pris mon corps, échanger contre la monnaie de ma faible prime. La marine jeta mon corps dans une décharge pratiquée par des gens de bidonville. Adorables et pris de pitié, probablement, ils me portèrent les premiers soin, j'eus une chance inouïe de ne pas attraper quelque horrible maladie due à la saleté des lieux, le manque d'hygiène y étant permanent. J'étais estropiée, un semi cul de jatte en quelques sortes. Mais il me restait une main utilisable et mon atout principal : mon cerveau ! En plus maintenant, s'offrait à moi une source énormissime de matières première. De la ferraille, des rouages de machines cassées, de quoi créer, tester, a moindre frais...
Et surtout, j'avais le cobaye idéal : moi-même. Mes premiers attributs cyborg visibles furent donc un pied, puis un début de jambe... Et finalement une jambe complète, fait d'assemblages de tuyaux de cuivres et de morceaux de ferrailles, les rouages employés étant tordus, souvent cramer et un peu fondus, fonctionnaient difficilement mais, cela me permit de me déplacer de nouveau pour trouver moi-même dans la décharge ce dont j'avais besoin. Alors que l'on m'hébergeait aimablement et que je leur apportai mon intelligence pour améliorer leurs conditions : récupération et filtrage de l'eau efficace et propre, pour exemple et comme première chose que je fis une fois suffisamment opérationnelle. Le temps s'écoula et une année passa. Je ne cachai pas encore mes membres cyborgs lorsqu'un groupe d'hommes vint se réfugier ici. Parmi eux il y avait quelques blessés mineurs et un gravement. Condamné à mourir ; je fis leur rencontre à ce moment. Ils étaient révolutionnaires. Je me porta volontaire pour soigner leur compagnon. J'avais les compétences pour ça, car j'avais appris dans les livres et sur mon propre corps. Aussi, avais-je pus m'exercer sur les habitants des lieux pour tenter comme sus-dit, de leur apporter mon aide. Ce fut une réussite. Mon talent médicinal et en technologie les intéressa et ils parvinrent à me convaincre de les suivre. J'étais toujours assez naïve, je le suis encore aujourd'hui. Journal, mon cher journal. J'aime te parler de moi !
Je rejoignis ce qui devait s'apparenter au pôle scientifique de la révolution, dans un laboratoire top secret. Rejoignant de temps à autres des missions en arrière ligne, ceux qui soignent le soldat qui survivent à leurs objectifs. C'est lors d'une de ses missions que je revis Malek. Ahhh, Malek... Je ne pensais vraiment pas revoir ce traître un jour et je l'ai cogné bien comme il faut. D'autant que j'avais déjà à cette époque pus améliorer mes prothèses. Je les cachez d'ailleurs une fois au sein de la révolution. Ceux-ci considérant que ceci pouvait attirer l'attention. Car, ce genre de technologie est au final rarement bien maîtrisé sinon même terriblement méconnue. Quelques années passèrent où je m'investit beaucoup dans la révolution, profitant de leur pôle technologique et eux-même usant des mes compétences. Je profita aussi de ce laps de temps pour passer sur différentes îles un doctorat en médecine et un autre en techno-sciences. Bien moins fragile qu'avant, je m'installa dans un hangar désaffecté sur une île d'un archipel ou se trouvait à la fois une base révolutionnaire et une de la marine. C'est un an avant ce jour. Je désirais alors m'en faire un laboratoire personnel. Ce que je fis avec mes pauvres moyens. Désireuse de parfaire mes créations. De m'améliorer moi-même aussi. J'inventai alors un système fonctionnant avec de l'alcool de pâte a tartiner chocolat noisette. Cet alcool était auto généré via un système de mini alambic interne auquel il fallait une cuillerée de pâte a tartiner par jour pour faire fonctionner correctement chaque processeur d'un cyborg intégral. Cette innovation personnelle était surtout pour me permettre de me nourrir d'une chose dont 'jetais addicte et dont je suis toujours dépendante.
Je fis mon petit bonhomme de chemin dans ce domaine sur une année quasi complète. Ce ne fut que très récemment. Presque un an a passer sur des choses technologiques, jusqu'à ce que ne tombe devant moi lors d'une ballade, un jeune homme. Grièvement blessé. Masaki se nommait-il. Je le soigna, et l'hébergea ensuite dans mon labo'. Qui fut un beau matin sans crier gare, attaquer par les forces de la marine baser sur l'archipel. Probablement avait-on fait lien entre ma tête et celle de la fugitive que j'étais. Seule dans ce grand hangar, car mon protégé n'était pas là. Je fus capturée et renvoyée en prison, dans la cellule d'un gamin, Riku. C'est là que je te ferme cher journal, rangeant ce beau document dans le « Mes Documents », il faut que je m'éveille. Pour un jour de plus derrière les barreaux d'une prison de ceux que je déteste.
>> Test RP
C'est un drôle de jour pour la petite cyborg, elle vient de tout perdre. Jusqu'à ses vêtements et n'en regagner qu'une horrible tenue de prisonnier, trois fois trop grand pour elle. Les manches lui tombent bien dix centimètres trop bas et ses pieds marchent sur le surplus aux jambes lorsque ceux-ci pourtant remonter finissent sous ses pieds... C'est inexorable. Et la gamine se pète la gueule, lamentablement. Son entrée dans la vie carcérale ne c'est donc pas faite de manière très badass. Une enfant de douze ans à peine, tombant à cause de ses vêtements trop longs. Ont à voulu aussi lui couper les cheveux, pour éviter le suicide. Mais balancer une gamine parmi d'immondes truands principalement mâle... Autant dire franchement les choses, les geôliers lui ont laissés par pur pitié cette porte de sortie de macabre. Dans son malheur que d'être nouvelle, fille, jeune et prisonnière, en plus que d'avoir donc tout perdus. Il y a une bonne nouvelle : son ventre crie famine et elle est incarcérée juste à l'heure de la pitance ! Une nouvelle salvatrice. Après deux trois chutes ridicules elle arrive dans la file d'attente, a l'inverse de certains « résidents », elle n'est pas pourvue de chaîne ou de boulet. Pouvant alors se saisir d'un plateau ayant la forme de plusieurs emplacements, certainement pour séparer les immondes purées, le dessert et la viande.
Elle marche à tout petit pas tandis qu'on la regarde avec de grands yeux ; il y à bien un autre enfant dans la prison, mais il fait carrément plus adulte, du fait de sa maturité, de son expérience de la vie. C'est quelqu'un à même de survivre en prison. Plus âgé de deux ans aussi, c'est surtout un garçon. Hana elle, marche à petit pas concentrés, arborant un large sourire limite crétin par rapport aux circonstances, on dirait bien une gamine, ce qu'elle est, niaise et sans expérience de la vie. Elle arrive à table sans rien renverser et s'installe aux côtés d'un homme poisson sans lui demander s'il est ok, chance pour elle, ce n'est pas un caïd et il mange seul cette table. Regardant son plat avec envie ; ce que ne fait aucun autre prisonnier ! Elle y remarque donc un superbe écrasé de patate, écrasé parce qu'il n'y a pas le lait ou la crème pour qu'on puisse nommer ceci une purée. Il y a aussi deux belles saucisses bien trop cuites et en dessert, un fruit, fruit qui fait la gueule. C'est une banane qui, deux jours avant devait être bien tigrée : et donc mure a point ! Mais aujourd'hui, elle est complètement sombre. Mais entre une banane trop mure ou jaune, donc pas assez mure ! Autant prendre celle qui l'est trop, au moins, cela a du goût.
Il n'y a pas de fourchette, ni de couteau, trop dangereux. Ils n'ont qu'une cuillère en bois pour se nourrir, en bois.. Trop on dus essayer de creuser des tunnels avec des cuillères en fer. C'est ce à quoi penses de suite la gamine, les trouvant bien stupide. Elle s'en saisie donc et s'attaque à la purée... 'Boing !' La cuillère rentre à peine dans la purée ! Un poing d'interrogation au-dessus de la tête, la gamine sort un peu la langue sur le côté de sa bouche et s'attaque à se problème épineux en renvoyant cette dernière... « BOING ! » Même effet ! Bizarre ! La voilà qui ré essayé dix, douze fois de suite et... Et surprise ! Un petit museau mignon en sort ! L'écraser de pomme de terre a donné naissance à une bébête ! Enfin... Elle sait bien que non. Et pense aussi que la créature devait dormir. Elle se secoue et balance de la patate sur la table et en sort un beau gros rat ! « Trop .. Mignon ! » La seconde bonne nouvelle de la journée pour la petite cyborg. Il est gris, tacheté de brun et de blanc. C'est sa première vraie rencontre dans ce trou à... Rats. Aucun mauvais jeu de mot mais, réaliser cela la fis sourire et même doucement rigoler alors que l'animal croque dans une de ses saucisses, elle parle à vois basse : je vais t'appeler saucisse petit gourmand ! » Déclare elle a son premier animal de compagnie. Un rat solitaire, probablement un soumis. Mais surtout, un bon moyen de lui faire oublier ses peines, malgré que son premier repas fut partiellement dévoré par ce dernier et que son estomac cria encore famine après celui-ci... Ainsi elle sortit du réfectoire, l'animal repus caché dans son ample vêtement de prisonnière.
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _________Elle marche à tout petit pas tandis qu'on la regarde avec de grands yeux ; il y à bien un autre enfant dans la prison, mais il fait carrément plus adulte, du fait de sa maturité, de son expérience de la vie. C'est quelqu'un à même de survivre en prison. Plus âgé de deux ans aussi, c'est surtout un garçon. Hana elle, marche à petit pas concentrés, arborant un large sourire limite crétin par rapport aux circonstances, on dirait bien une gamine, ce qu'elle est, niaise et sans expérience de la vie. Elle arrive à table sans rien renverser et s'installe aux côtés d'un homme poisson sans lui demander s'il est ok, chance pour elle, ce n'est pas un caïd et il mange seul cette table. Regardant son plat avec envie ; ce que ne fait aucun autre prisonnier ! Elle y remarque donc un superbe écrasé de patate, écrasé parce qu'il n'y a pas le lait ou la crème pour qu'on puisse nommer ceci une purée. Il y a aussi deux belles saucisses bien trop cuites et en dessert, un fruit, fruit qui fait la gueule. C'est une banane qui, deux jours avant devait être bien tigrée : et donc mure a point ! Mais aujourd'hui, elle est complètement sombre. Mais entre une banane trop mure ou jaune, donc pas assez mure ! Autant prendre celle qui l'est trop, au moins, cela a du goût.
Il n'y a pas de fourchette, ni de couteau, trop dangereux. Ils n'ont qu'une cuillère en bois pour se nourrir, en bois.. Trop on dus essayer de creuser des tunnels avec des cuillères en fer. C'est ce à quoi penses de suite la gamine, les trouvant bien stupide. Elle s'en saisie donc et s'attaque à la purée... 'Boing !' La cuillère rentre à peine dans la purée ! Un poing d'interrogation au-dessus de la tête, la gamine sort un peu la langue sur le côté de sa bouche et s'attaque à se problème épineux en renvoyant cette dernière... « BOING ! » Même effet ! Bizarre ! La voilà qui ré essayé dix, douze fois de suite et... Et surprise ! Un petit museau mignon en sort ! L'écraser de pomme de terre a donné naissance à une bébête ! Enfin... Elle sait bien que non. Et pense aussi que la créature devait dormir. Elle se secoue et balance de la patate sur la table et en sort un beau gros rat ! « Trop .. Mignon ! » La seconde bonne nouvelle de la journée pour la petite cyborg. Il est gris, tacheté de brun et de blanc. C'est sa première vraie rencontre dans ce trou à... Rats. Aucun mauvais jeu de mot mais, réaliser cela la fis sourire et même doucement rigoler alors que l'animal croque dans une de ses saucisses, elle parle à vois basse : je vais t'appeler saucisse petit gourmand ! » Déclare elle a son premier animal de compagnie. Un rat solitaire, probablement un soumis. Mais surtout, un bon moyen de lui faire oublier ses peines, malgré que son premier repas fut partiellement dévoré par ce dernier et que son estomac cria encore famine après celui-ci... Ainsi elle sortit du réfectoire, l'animal repus caché dans son ample vêtement de prisonnière.
Informations IRL
Prénom : Ca ne te regarde pas ^-^
Age : 25ans.
Aime : Beaucoup de choses.
N'aime pas : Peu de choses.
Personnage préféré de One Piece : Aucun..
Caractère : Bah non je suis sur un forum rp pour rp pas pour me décrire lol
Fait du RP depuis : 15ans aux bas mots.
Disponibilité approximative : 7j/7.
Comment avez-vous connu le forum ? Une connaissance y a quelques années.
Prénom : Ca ne te regarde pas ^-^
Age : 25ans.
Aime : Beaucoup de choses.
N'aime pas : Peu de choses.
Personnage préféré de One Piece : Aucun..
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Disponibilité approximative : 7j/7.
Comment avez-vous connu le forum ? Une connaissance y a quelques années.
Dernière édition par Hana Suchīru le Mer 2 Sep 2015 - 12:58, édité 2 fois