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Terry J. Donnelly

>> Terry J. Donnelly

Une image de 200*300 pixels.
Terry J. Donnelly 258103Terry1
Pseudonyme : Le peintre.
Age: 18 ans
Sexe : Homme
Race : Humain

Métier : Peintre
Groupe :Cipher Pol
But : Peindre ce monde en rouge. S’élever et obtenir un pouvoir démesuré afin de pouvoir perpétrer « des œuvres » à la hauteur de la folie qui l’habite.

Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Rokushiki. Color Trap.
Équipement : Un couteau

Codes du règlement :

Parrain : Google

Ce compte est-il un DC ? : Non
Si oui, quel @ l'a autorisé ? : ...

>> Physique

Keith aurait dû la boucler. Voilà ce que se dit sa petite amie prostrée contre un mur dans cette sombre venelle. Elle est le seul témoin de ce carnage perpétré par ce charmant garçon bien élevé et courtois, mais qui s’est révélé être un lion affamé. Sa crinière teinte d’un rouge cramoisi est le signe le plus distinctif chez lui. Sa coupe en arrière est relevée en plusieurs mèches dans un désordre organisé. Son visage est encore tapi dans la pénombre de l’endroit tant et si bien qu’elle peine à distinguer ce sourire aiguisé et tranchant qui habite ses lèvres qui semblaient si douce lorsqu’il était venu lui parler.

A présent, ce ne sont que de petits rires nerveux ponctués par quelques gloussements qui s’en échappent. Son nez aquilin se voit surplomber par deux perles d’eau d’un marron clair et qui ressemblent à présent à deux orbites d’un rouge vif où se côtoient l’excitation et la folie.
Elle ne peut pas y croire, comment un tel fauve pouvait-il être si charmant et agréable l’instant d’avant ? Elle revoit cette mâchoire puissante qui soulignait son visage impeccable dont il semblait prendre soin. Athlétique, elle pouvait deviner les muscles saillants et secs que laissait transparaitre son jean du jour et son débardeur blanc. Elle l’avait même pensé un brin coquet à cause de son manteau de cuir dont le large col était recouvert d’un duvet de plume aussi sombre que ses intentions.

De bonne taille, il devait bien dépasser le mètre quatre-vingt et il parait encore plus grand et large lorsqu’elle l’observe de dos, pilonnant son pauvre copain qui avait eu le malheur de s’immiscer entre elle et lui. Tétanisé après avoir assisté à toute la scène, la belle ne pouvait pas bouger. Sous son regard, le jeune homme approchait. Baroudeur, ses épaules accentuait sa démarche désinvolte. Arrivé à sa hauteur, il sortit son briquet de métal avec lequel il se plaisait à jouer au comptoir du bar. Grillant une petite tige de tabac, elle n’osa pas croiser le regard de la brute alors que quelques volutes de fumée seulement les séparaient. Quelques pas et quelques mots plus tard, elle était finalement revenue à elle, son esprit ressassant la voix clair et grave de ce cauchemar qui avait pris les traits d’un bellâtre cette nuit-là.

Trouve toi quelqu’un d’autre.

>> Psychologie

Comme beaucoup d’enfants, Terry vivait dans un écrin d’innocence. Dans un monde illusoire où la justice et l’équité étaient les valeurs de tous et où elles s’appliquaient à tout un chacun. Et lorsque la véracité de la réalité déchira ce voile de mensonges que l’on avait brodé sous ses yeux, c’est tout un monde qui s’effrita et dont les fondations profondes se lézardèrent pour finalement disparaitre en poussière.

Dès lors, il vit la ruine être le vrai visage de ce monde. La tromperie et les faux semblants. Les forts qui foulent du pied les faibles. Le vice et l’amertume inondèrent son cœur qui n’éprouva alors et jusqu’aujourd’hui plus aucuns des nobles sentiments qui l’habitaient étant enfant.

Dans la conception qu’il se fait du monde qui l’entoure, tout est à prendre, tout est à vendre. Il ne s’attache à rien si ce n’est aux plaisirs de voir les autres souffrir. De leur infliger les pires sévices et les tourments les plus abjects que peuvent façonner cet être dont les souffrances psychiques l’obligent à devoir recourir à divers drogue pour rester fonctionnel. Et c’est là tout un cercle vicieux qui le conduit toujours plus loin sur le sentier de la folie. Une folie maitrisée et meurtrière côtoyant une rare intelligence qui font de lui un outil parfait pour le gouvernement.

Un gouvernement qu’on lui a imposé puis qu’il a choisi de suivre  tant son influence et sa main mise sur le monde lui ouvre toutes les portes. Comme un jardin d’enfant où il prend un malin plaisir à s’amuser en toute impunité au détriment de tous tant que lui prend son pied.  Le bonheur des uns provoquant le malheur des autres, il y croit. Tout autant qu’aux intérêts égoïstes, qu’a la cupidité et aux autres péchés qui font de l’homme ce qu’il est. Peindre le monde à sa façon, devenir quelqu’un pour ne plus à écouter personne, voilà à quoi il aspire et il ne reculera devant aucuns moyens pour arriver à ses fins.

>> Biographie

Noir. Comme la nuit qui règne au dehors. Comme cette pièce dans laquelle il vient de s’isoler. Comme son cœur en cet instant qui lui semble être un fragment d’éternité. Une éternité de souffrance qui le ronge et le dévore de l’intérieur. Pareil à des aiguilles qui s’insinueraient dans son cerveau, ce mal lui inflige les pires supplices. Et c’est assis sur son fauteuil matelassé qu’il tente de faire le vide et de réprimer cette mer de souffrance qui le submerge. Son facies de bellâtre se plisse et se grimace sous la douleur. Ses mains cramponnent le cuir rembourré. Impossible, il lui est impossible de faire front seul et c’est avec dégout et résignation qu’il porte sa main jusqu’à l’objet de son salut : une tige de tabac imbibé d’opium.

Portant l’objet à sa bouche, il en tire une première bouffée et ses orbites se révulsent en même temps que les traits de son visage s’adoucissent. Une autre bouffée et c’est la félicité qui l’emporte sur son mal. Il quitte les maux des enfers pour vagabonder dans les Champs Elysées du paradis : Libre et en paix. Ses yeux se ferment, son corps s’affale sur son fauteuil et c’est à présent le sommeil qui le gagne lorsqu’un sourire vient doucement souligner son visage. La cigarette lui échappe des mains et le voilà parti pour le monde de Morphée, une nouvelle fois.

Les premières lueurs du jour percent la baie vitrée d’une large pièce. Devant celle-ci, on y retrouve un homme dans la force de l’âge. Son regard brille et tandis qu’il observe ses chalutiers depuis les appartements de son navire, il caresse la tête de son fils qui se tient à ses côtés. Minuscule, sa frêle main tient faiblement le pantalon de son père. Pour lui il est le plus fort des hommes. Une montagne, un édifice. Bien que tout jeune, il sait que son père peut se montrer à la fois tendre, mais aussi des plus autoritaires. Nombreux sont ceux qui vont et viennent dans son bureau pour lui rendre compte ou lui demander conseil. Sans cesse sur ses bateaux de pèches, ils contrôlent les marchandises, organise les tournées et s’occupe ensuite des autorisations et autres papiers administratifs nécessaire à la bonne marche de son commerce.

Puis, tout s’accélère. Les jours les mois et les années passent, mais il n’y a que quelques heures qui semblent s’être écoulé dans ce large bureau où le soleil à son zénith pénètre dans la large cabine. On y retrouve l’enfant, il a quelque peu grandit. Il porte à présent l’uniforme d’une école privée et ô combien prestigieuse. Autour de lui, dans ce bureau, tout semble s’être enrichi. Le bois précieux et les nobles matières habillent le bureau. De large lampe surplombent les murs pour éclairer des bibelots impeccablement rangés. Des amis et des ouvriers saluent l’homme d’affaire en pleine expansion. L’entreprise jouit à présent d’un capital au beau fixe et la réussite drape ce père qu’il n’a cessé de vénéré et qu’il respecte plus que tout, comme un modèle à suivre.

A nouveau le temps file à vive allure. Les promesses de l’aube ont laissé place aux tentations du crépuscule. Les amis et les ouvriers ne sont plus là. Sourires et rires semblent avoir fui l’endroit. Tout est froid, tout est sombre et terne jusqu’au visage de son père n’est plus aussi serein qu’avant. Ses yeux ne sont plus hantés par le même éclat. Les prémices d’un avenir radieux s’en sont allé. Il n’est plus face à la baie vitrée pour observer les fruits d’une vie. Non, avachi dans son fauteuil, les épaules basses, ses mains peinent à garder le papier qu’il tient entre ses doigts. Ce n’est plus qu’une ombre, qu’une statue d’antan qui a perdu de sa superbe sous le regard médusé d’un fils qui n’a alors plus de repère.

Perdu, paniqué et seul, l’enfant est à présent un tout jeune adolescent. A bout de souffle, il court dans cet étroit corridor dont les murs se rapprochent inéluctablement. Il court et pourchasse l’ombre de son père qu’il ne distingue que de dos et qui s’éloigne malgré toutes ses tentatives désespérés pour tenter de s’en rapprocher. Il a eu beau crié et supplier, rien n’y a fait et puis passé un fragment d’éternité à le pourchasser, le voici à présent devant une porte qu’il connait bien : celle qui mène aux appartements de celui qu’il aime par-dessus tout. La porte coulisse et grince. Elle laisse entrevoir une pièce sens dessus-dessous. Tout est en désordre. Le verre des lampes brisées est éparpillé sur le sol. La pièce jadis si chaude et accueillante n’est plus qu’un taudis sous la blafarde lumière d’une lune pleine qui semble se rire de lui. Des rires macabres qui font échos aux rires de joies d’autrefois. Soudain, les ombres se mettent à danser face à lui pour finalement prendre la forme d’hommes de main en costume noir. Aucuns de leurs visages ne lui apparait clairement et tous sont regroupés devant le large bureau où est affalé un homme au milieu d’une pile de papier devenu cramoisi par le liquide écarlate qui s’échappe lentement du défunt.

Avant que son songe ne s’estompe, il revoit sa main empoigné un vêtement. Cependant, il ne s’agit plus du pantalon de son père qu’il observait avec admiration. Non, ses frêles petits doigts venaient de se saisir de la gabardine d’un enquêteur officiel du gouvernement qui avait su déceler en lui toute la détermination et la haine qui animait se regard empreint d’une tristesse insondable. Soudain la réalité le rattrape et le voici qui s’extirpe des affres de l’opium pour émerger à nouveau à la surface, dans le monde des vivants. Pourtant, il n’y a que des cadavres qui recouvrent le sol de cet appartement de luxe où il venait de somnoler. Lentement, il se redresse non sans s’appuyer sur le cuir rembourré du fauteuil et il lui faut bien quelques pas pour retrouver tout son empire sur sa personne.

La mine réjouie et satisfaite, il farfouille et fouine. Ses mains tâtent ici et là. Son regard affuté observe les moindres détails et il lui faut bien toute son expertise de jeune agent pour finalement mettre le doigt sur un porte manteau en métal qui était à peine plus incliné que son vis-à-vis. Sésame, ouvre-toi : un tiroir jusque-là invisible jaillit du mur du fond et c’est en se frottant les mains qu’il s’en approche pour découvrir Berrys et bijoux de toutes sortes. Consignant le tout dans son calepin qui l’accompagne partout, il finit par emporter le butin. Mais avant, il dépose une de ses mèches rouge sur le bureau puis disparait dans la noirceur de la nuit, laissant derrière lui un compte de longue date enfin soldé et la satisfaction d’une vengeance longuement attendue.


>> Test RP
Tout ce qui compte, c’est que l’on raconte tous la même histoire.
1625 – North Blue
Driiiiing.... Driiiiing... Catcha
Moshi moshi ?
C’est J. T’en a mis un temps à répondre gras du bide. Chut. Silence ! Boucle-la et écoute... N’oublie pas de m’appeler à cette heure précise, le timing est important, j’ai déjà tout prévu.

Cette histoire nous conduit sur une ile inconnue, perdue au milieu de l’immensité de North Blue. Un vent froid et lugubre sillonnait le seul village du rocher isolé. Le bois des maisons gémissaient au moindre souffle et chacune d’elle ressemblait trait pour trait ou presque à celle d’à côté. Le sol était pavé par endroit, le reste n’était que boue recouvert d’eau croupie. Ici, il n’y avait rien à voir ni rien à faire, cependant jadis, c’était un petit coin animé. Une mine de diamant contenait des filons par dizaine et l’exploitation n’avait de cesse de rallier à elle les aventuriers de tous horizons, les incrédules et les marchands.

Aujourd’hui, il en est autrement. La mine a fermé, car pour le gouvernement elle causait plus de dommages collatéraux qu’elle ne générait de bénéfices. Dans la course folle aux intérêts, il n’en fallut pas plus pour que les derniers sillons ne soit extrait avant que les canons d’un bâtiment de la marine ne fasse parler la poudre. C’est donc une population décroissante et à peine sevré d’un passé faste qui hante ces lieux. Péniblement reconvertit en point de chute pour gens de passage, ici on rafistole plus qu’on ne répare les vaisseaux. On gamelle plus qu’on ne mange et on pisse plus qu’on ne boit. C’est aussi là que se rassemble dans la clandestinité la plus totale les jeunes pousses et les membres confirmés du Cipher Pol. L’agence la plus puissante du monde a des antennes partout, même dans des lieux oubliés... Surtout dans ces lieux-là d’ailleurs. A l’heure ou l’école, la seule, vient de fermer ses portes, J. pouvait observer la lassitude et tout le poids d’une vie fade et éphémère de ce tout petit bout d’homme qui avait grande peine à porter son cartable usé. Cette vision poussa son esprit à remonter le temps et l’espace. Il se revoyait dans son uniforme, l’air fier. Son contrôle d’arithmétique réussit à la main, le souvenir de son A entouré par un smiley emplissait son cœur bien vide à présent.

Qu’est-ce que tu voulais nous dire J. ?

Les images se brouillent soudainement et cette voix désagréable le rappel au présent. Les mains dans les poches, les épaules levées et la tête rentrée, ses oreilles tentent de trouver un peu de chaleur auprès du duvet qui embrasse toute la largeur de son col. Grelottant de froid et pas habillé pour l’endroit, il trépigne et grimace en ponctuant quelques injures et en maudissant cet endroit et les pauvres âmes qui vivent là.

On a merdé. On aura beau retourner la situation dans tous les sens, force est de constaté que la dernière mission a été un échec. Et les échecs dans notre organisation se paye comptant. Alors on peut soit se renvoyer la balle, soit anticiper et la jouer fine, ensemble.

Son regard se posa sur la montagne qui lui faisait face. Les bras croisés et la mine embarrassé, ce lourdaud eut toutes les peines du monde à formuler quelques mots qui ne quittèrent jamais ses lèvres. Finalement, il s’était tourné vers la louve du groupe qui venait de quitter l’ombre de la venelle pour apparaitre clairement aux yeux de son interlocuteur.

Qu’as-tu en tête ?

Elle. La peste comme il se plait à l’appeler. Un serpent déguisé en femme attrayante. Si elle n’avait été qu’une civile, il aurait fait des pieds et des mains pour la séduire et la faire sienne le temps d’une nuit. Mais voilà, ce n’est ni une civil, ni une facile. Aussi froide que la lame d’un couteau et aussi aiguisé que sa pointe, c’était elle dont il fallait se méfier et non pas de l’armoire à glace qui pensait plus avec ses poings qu’avec sa tête. A n’en pas douter, elle avait déjà une certaine emprise pour ne pas dire une emprise certaine sur la montagne.

C’est simple. Tout ce qui compte, c’est que l’on raconte tous la même histoire...

Et les conspirateurs s’étaient mis à conspirer. A écouter en premier lieu puis à affirmer ou infirmer les dires des uns et des autres. Le temps s’écoulait et avec lui, les files d’une toile tissée dans le mensonge prenait peu à peu forme dans l’esprit de chacun jusqu’à devenir plus vraisemblable que la vérité elle-même. Certes, ce n’était pas encore des agents confirmés. Ils n’étaient d’ailleurs rien ou presque aux yeux de l’agence. Toutefois, ils avaient été entrainé et formé à de nombreuses éventualités et aujourd’hui, ils allaient utiliser ce savoir à bon escient. Enfin, c’est ce qu’ils se racontaient...

Driiiiing.... Driiiiing... Catcha
Oui ? Tu déranges effectivement... Oui... Hum, ça parait complexe, mais...

Et le voilà qui remerciait ses deux acolytes et complices pour s’éloigner, un den den mushi à l’oreille.

Bordel le gros ! Soit plus précis la prochaine fois ! J’ai dû fignoler plus que je n’étais censé le faire... Bref ! Bien sûr qu’ils m’ont cru. Quoi que je devrais dire qu’ils ont voulu m’en convaincre. Ils sauveront leur peau en m’enfonçant, c’est certain. C’est bien plus facile de désigner un coupable que de tenter de s’innocenter. A l’heure qu’il est, ils doivent déjà retoucher les pans de notre histoire pour me mettre en défaut. Prie pour qu’ils fassent cela... Comment ça t’es pas croyant ?!

Et la nuit chassait le jour. En temps normal les rues étaient déjà déserte ou presque. Mais le soir, on pouvait réellement se demander si l’endroit était encore habité. Les volets se fracassaient durement contre les parois des bicoques sous l’effet du vent. Un ivrogne crachait au monde son dégout et... Et puis c’était tout. Tout du moins, c’était tout ce qu’il pouvait entendre depuis la pièce dans laquelle il se trouvait. A l’intérieur, tout était aussi vétuste et spartiate que ne le suggérait l’ile à son arrivée. Son derrière vissé sur un tambour,  il faisait face à deux vieux de la vieille qui en avait vu de toutes les couleurs dans leurs longues carrières d’agents. Devenus bureaucrate pour l’agence, ils n’avaient aucuns égards pour les agents de terrain et encore moins pour le menu fretin comme lui. Pire encore, si l’esprit de corps n’était qu’une illusion bonne pour la marine, le chacun pour soi prenait ici tout son sens et c’était encore plus vrai dans la situation dans laquelle il se trouvait. Chacun de ses gestes étaient notés puis répertoriés. Les deux compères se regardaient parfois en souriant pour mettre mal à l’aise et déstabiliser. Il savait déjà tout cela, il n’était pas un vieux loup de mer, certes, cependant il était de ceux qui avaient des facultés à rapidement comprendre et à déduire les choses : une perspicacité innée au service d’un esprit cultivé.

La fumée des cigares dansaient sous son regard, à la lumière de la bougie. La flamme avait grand mal à éclairer la chambre et son esprit avait de plus en plus de difficultés à lui obéir. Quelques mots lui échappaient parfois et c’est alors qu’il comprit le stratagème qui se mettait doucement en place. Le tabac à fumer devait contenir un agent chimique qu’il n’arrivait pas encore à deviner Néanmoins, sa bouche sèche et ses absences ainsi que sa perte motrice étaient autant de symptômes qui venaient confirmer sa thèse.  Après tant d’années, les deux enquêteurs avaient naturellement développé une tolérance au narcotique qu’ils utilisaient, mais ce qu’ils ne savaient pas, c’est qu’il en était de même pour J. L’opium et lui, ça ne datait pas d’hier et avant cette belle rencontre, il avait déjà de nombreux essais en tout genre à son actif. Se raccrocher aux faits factices, rabâcher son histoire avant de la servir, c’était tout ce qu’il pouvait faire en cet instant.

C’est étrange ce que tu nous dis là petit... Tes acolytes nous disent qu’eux sont bien arrivé sur les lieux du rendez-vous à 6 heure précise, mais que toi tu n’y étais pas!

Un éclair de lucidité venait de le percuter de plein fouet. Le moment fatidique qu’il attendait venait d’arriver. Ses deux compères avaient mordu à l’hameçon. Il se revoit dans la venelle en train de dire à la montagne et à la louve le cheminement qu’ils avaient tous les trois empruntés. Il se revoit prononcer l’heure du premier chalutier en partance pour cette ile où cette mission avait capoté. Cependant, elle avait justement capoté, car ils n’avaient jamais pu savoir où avait eu lieu le déroulement de l’échange qu’ils étaient sensé faire échouer. C’était là sa clé de voute. La seule notion de temps qu’il avait apporté au récit inventé de toutes pièces, la seule faille dans l’armure du mensonge qu’ils avaient forgés ensemble, quelques heures auparavant.

Plus tard, J. aurait été vu seul sur une ile à quelques miles de là. Dans le même temps, ses partenaires de mission eux avaient été conduit sous bonne escorte, direction Enies Lobby. La lumière faite sur cette affaire et après vérification, le seul chalutier en partance pour l’ile où les attendaient la mission n’étaient pas arrivé avant 7 heure, soit l’heure qu’il avait confié aux deux autres qui, en modifiant l’horaire pour mieux paraitre, venaient de tomber dans les mailles de son filet.

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Informations IRL

C'est Albafica les amis! Ci dereeeeeek

Prénom :
Age :
Aime :
N'aime pas :
Personnage préféré de One Piece :
Caractère : Quelques mots pour vous décrire ? C’est toujours plus agréable de savoir avec qui on écrit...
Fait du RP depuis :
Disponibilité approximative :
Comment avez-vous connu le forum ?

Quand vous estimez avoir terminé vos descriptions et votre biographie, signalez-le par un nouveau message et demandez votre test RP. Pour plus de lisibilité vous pouvez aussi l'indiquer dans le sous-titre de votre présentation par la mention [En attente de Test RP]. Plus ce sera visible, moins vous avez de chance que les modérateurs ne vous loupent (ce qui n’arrive pas très souvent).[/justify]


Dernière édition par Terry J. Donnelly le Jeu 10 Sep 2015 - 20:59, édité 5 fois
  • https://www.onepiece-requiem.net/t15407-terry-j-donnelly
  • https://www.onepiece-requiem.net/t15296-terry-j-donnelly
Salut Alba, tu connais la maison, Up quand tu veux ton test.
    Hello. Je demande mon test. Merci!
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    • https://www.onepiece-requiem.net/t15296-terry-j-donnelly
    Et voila le test,

    Y'a une règle au Cipher Pol qui dit, "Privilégiez le travail d'équipe, au minimum, ça offre plus de cibles à l'ennemi". Accessoirement, ça permet aussi de ne pas être le seul responsable quand on vient de louper une mission. Comme maintenant par exemple. Ou toi et deux de tes collègues vous retrouvez face au chef après avoir raté un boulot à plusieurs millions. L'ambiance est tendue, quelqu'un doit payer pour cette erreur. Et si ce n'est pas toi, alors ça doit être un des autres...
    Raconte nous comment tu t'es sorti de la crise.

    Bon jeu.
      Test terminé. Very Happy
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      Yop !

      Premier passage pour la valid’, merci d’avoir patienté ^^

      Concernant le physique, y’a pas mal de trucs, la mise en scène est chouette, mais

      A partir de la psychologie, je me suis rendu compte que j’adorais les mots, les expressions, l’ambiance que tu posais avec ton vocab’. Sur ce passage, j’ai juste une retenue : tu n’indiques pas la raison du comportement de ton personnage. Bon, en écrivant ça je sens que je vais le lire dans la bio, et que ça va être bien amené, hein. N’empêche que lire qu’il était innocent et tout gentil puis qu’il est devenu le contraire avec un chouette détail sans savoir pourquoi ce revirement, ça affaibli un peu le truc. Chuis subjectif, je dis ce qui me passe par la tête.

      A ce stade, je crois avoir relevé plus de fautes dans le physique que dans la psycho’, au fait.

      J’ai trouvé les deux premiers paragraphes de la bio chouettement décrits mais ptêtre un peu long (les belles formules, faut pas trop en aligner non plus ^^). Avec l’arrivée du petit enfant et la suite, j’ai embarqué dans le train et c’était hyper agréable à lire.

      Oh, et mauvaise nouvelle : on commence le RP avec une poignée de berries en poche au maximum ^^

      Par contre, arrivé là… du coup t’as pas du tout développé les circonstances du changement de

      Pis bon, « je suis la folie du mal parce que le malheur m’a frappé quand des mafieux ont tué mon père », je trouve ça décevant. J’m’attendais honnêtement à un détail, un cheminement pour enrober super bien le truc. Il a peut être eu lieu, tu l’as peut être en tête, mais on en a aucune trace ici et ça aurait pu donner lieu à un superbe développement.

      Pour le test RP, je réitère ce que j’ai dis pour le style dans la psycho : j’adore. Totalement mon style. Chais pas si c’est pompeux ou bien ronflant ou si y’a d’autres mots plus avantageux pour ça, mais j’fan. Par contre j'ai aucunement senti l'ambiance de tes deux descriptions dans le test RP. Limite elles appartiendraient à une autre fiche, et glissées ici par accident, que ça me surprendrait pas. Le résultat en RP est chouette de toute manière.

      J’crois que t’as loupé ta première balise couleur, aussi.

      J’ai pas pigé la solution de ton petit mind game… je me sens idiot xD…

      Oh putain, j’ai compris à la troisième lecture avec le paragraphe final. Maintenant j’me sens encore plus idiot.

      Par contre c’est pas parce qu’un CP a foiré lamentablement une mission qu’il finira devant le juge, et j’même pas sûr que ça soit le cas pour avoir essayé de cacher ça et de s’être fait pincer. Surtout que c’est méga courant, dans le CP. J’verrais plus des sanctions internes dans les bureaux à Marijoa, perso.

      Bienvenue sur OPR ! (Et ce n’est qu’au moment d’écrire ça que je lis que Red indiqua Alba, ben tant pis : bienvenue quand même xD).

      700, ça m’semble propre.
      • https://www.onepiece-requiem.net/t9650-sig-peluche
      • https://www.onepiece-requiem.net/t9504-sig
      Salut l'ami,

      Je passe pour ta validation du coup avec un commentaire bien plus court que celui de mon compère qui a déjà dit le plus gros de ce qu'il y avait à dire. Dans ma poche, j'ai quand même pas mal de compliments à te donner. Comme Sig, j'ai vraiment adoré ton style et la tournure de tes phrases, mais c'était le genre de remarque que je t'avais déjà fait du temps d'Albafica dans les RPs que j'avais lu. Y'a pas de doute, tu as une plume vraiment très agréable, très poétique.

      A côté de ça, j'avoue été un peu perdue. Si les descriptions sont complètes et lyriques à souhait, que la description physique plante vraiment bien le personnage, et que la psychologie est dans la même lignée, j'ai trouvé l'histoire et le test RP un poil plus nébuleux. La faute à quoi, je ne sais pas ? Pour le test RP, je pencherais pour le scénario que j'ai pas forcément trouvé très clair à la lecture, j'aurais aimé le raccrocher à plus de détails pour comprendre de quoi il en retournait. Pour la biographie, c'était peut-être la manière dont c'était présenté. Au bilan, on a surtout une ambiance et un moment de vie pour Terry qui a tout fait basculé, mais le reste semble absent. Par exemple, je suis assez surprise que la mère soit absente du récit, qu'on en fasse même pas mention. La famille semble se réduire seulement au père et donc à sa mort.

      Bref, je suis sur du 700D aussi, c'était une très bonne fiche.

      Je te valide, et bon jeu parmi nous !
      • https://www.onepiece-requiem.net/t3945-fiche-technique-de-lilou#4
      • https://www.onepiece-requiem.net/t2202-