…Et c’est alors que la marine m’a mis le grappin dessus, fort heureusement que je fus plus rapide qu’eux, sinon j’aurais pu finir en prison et je ne serais pas là aujourd’hui.
-Vous avez vraiment fini à poil ? demanda l’un des révolutionnaires qui m’écoutait
-Soit, mais ce qu’il faut retenir, c’est qu’il n’y a pas de vacances en tant que révolutionnaire
-Hihihi à poil !
-Ces jeunes, je vous jure…
Elle était belle la jeunesse révolutionnaire. Elle avait certes le cœur à l’ouvrage, mais cette relève me paraissait un brin inconsciente et un tantinet fana des blagues pipi caca. Je tentais donc tant bien que mal de finir mon histoire en supportant les railleries de mes collègues, mais fort heureusement qu’un révolutionnaire plus gradé arriva par les escaliers menant de la cave à la taverne, car il faut tout de même rappeler que l’un des quartiers généraux d’Hinu Town se trouve dans la cave d’un magasin. L’homme m’interrompit directement, ce qui n’était visiblement pas du goût de l’assemblée qui se composait de trois révolutionnaires dont Shiroe
-Bradstone ?
-Et c’est ainsi que… Oui Lucien ?
-On vous demande à l’escargophone.
-Vous pouvez lui dire d’attendre une minute ?
-C’est-à-dire que ce n’est pas le genre de personne à attendre.
-D’accord j’arrive… Bon, je vous raconterai la suite de mes péripéties un autre jour.
Je montais rapidement les escaliers tandis que Lucien se dépêchait de m’amener à l’escargophone, si bien qu’on n’eut même pas le temps de contempler la taverne pour se retrouver directement dans l’arrière-boutique. Au vu de sa réaction, je devais m’attendre au pire avec la personne qui me demandait au combiné. Une fois dans la petite pièce remplie de cartons d’alcools en tous genres, Lucien me montra la table sur laquelle était posé un escargophone avec les yeux montrant des signes d’impatience. Je me posai donc sur la chaise, attrapai le combiné avant de lancer à mon correspondant
-Pulup, pulup pulup… Ici Richard Bradstone, que puis-je pour vous ?
-Vous avez vraiment fini à poil ? demanda l’un des révolutionnaires qui m’écoutait
-Soit, mais ce qu’il faut retenir, c’est qu’il n’y a pas de vacances en tant que révolutionnaire
-Hihihi à poil !
-Ces jeunes, je vous jure…
Elle était belle la jeunesse révolutionnaire. Elle avait certes le cœur à l’ouvrage, mais cette relève me paraissait un brin inconsciente et un tantinet fana des blagues pipi caca. Je tentais donc tant bien que mal de finir mon histoire en supportant les railleries de mes collègues, mais fort heureusement qu’un révolutionnaire plus gradé arriva par les escaliers menant de la cave à la taverne, car il faut tout de même rappeler que l’un des quartiers généraux d’Hinu Town se trouve dans la cave d’un magasin. L’homme m’interrompit directement, ce qui n’était visiblement pas du goût de l’assemblée qui se composait de trois révolutionnaires dont Shiroe
-Bradstone ?
-Et c’est ainsi que… Oui Lucien ?
-On vous demande à l’escargophone.
-Vous pouvez lui dire d’attendre une minute ?
-C’est-à-dire que ce n’est pas le genre de personne à attendre.
-D’accord j’arrive… Bon, je vous raconterai la suite de mes péripéties un autre jour.
Je montais rapidement les escaliers tandis que Lucien se dépêchait de m’amener à l’escargophone, si bien qu’on n’eut même pas le temps de contempler la taverne pour se retrouver directement dans l’arrière-boutique. Au vu de sa réaction, je devais m’attendre au pire avec la personne qui me demandait au combiné. Une fois dans la petite pièce remplie de cartons d’alcools en tous genres, Lucien me montra la table sur laquelle était posé un escargophone avec les yeux montrant des signes d’impatience. Je me posai donc sur la chaise, attrapai le combiné avant de lancer à mon correspondant
-Pulup, pulup pulup… Ici Richard Bradstone, que puis-je pour vous ?