>> Lily-Rose Forest
Pseudonyme : Mes collègues m'en donneront un. Age: On ne demande pas son âge à une femme voyons ! Sexe : Une femme Race : Humaine jusqu'à preuve du contraire Métier : Marine Groupe : Marine d'élite But : Maintenir le semblant de paix qui existe dans ce monde Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Je verrais sans doute après ma validation Équipement : Un sabre de la marine, un briquet et le minimum syndical pour survivre en mission Codes du règlement : Parrain : / Ce compte est-il un DC ? : De Richard Bradstone Si oui, quel @ l'a autorisé ? : Tonton Téton |
>> Physique
Rapport du docteur Phinéas Oldmonsen du 17/03/1620
Patient : Seconde classe Forest
-Jeune femme caucasienne et brune d’une vingtaine d’années qui malgré son mètre soixante-dix a l’air de pouvoir bien se défendre. Elle ne montre aucun signe de blessures corporelles et ses muscles semblent bien travaillés… Ainsi que ses deux arguments et son fessier…
-Veuillez vous concentrer Oldmonsen !
-Excusez-moi lieutenant.
-Continuez je vous prie.
-Soit. Ajouta-t-il avant de continuer Si elle semble avoir un physique un peu passe-partout, ce qui ma foi me semble un avantage indéniable, il semblerait que Forest dégage une aura particulière.
-Vous pouvez m’en dire plus ?
-Je ne sais pas trop comment vous l’expliquer, mais disons juste que lorsque je l’ai eu en face de moi, la seule chose que je souhaitais éviter était toute forme d’altercation.
-Pourquoi donc.
-Son aura pardi, cette fille m’a fichue une sacrée frousse…
-Mais elle n’a pas l’air de faire bien peur, elle semble même un peu frêle par moments non ?
-Détrompez-vous lieutenant, cette femme a apparemment réussi haut la main la plupart des tests de sélection pour l’entrée dans la marine d’élite.
-Vous dites ?
-Il se dirait même qu’elle est approché par le Cipher Pol.
-Si vous le dites Oldmonsen.
-En tout cas si j’étais à votre place, j’éviterais de la froisser, qui sait ce qui peut arriver
-Je suis lieutenant Oldmonsen, ce n’est pas une seconde classe qui risque de me faire peur.
-Si vous le dites…
-Qu’avez-vous dit Docteur ?
-Rien…
Un blanc s’installa pendant quelques secondes, puis le docteur Oldmonsen reprit la parole
-Cela n’empêche que cette fille ne passe pas inaperçue.
-Que voulez-vous dire docteur ?
-Vous savez bien lieutenant, en plus de son aura, elle a une façon unique de se déplacer…
-Elle vole ? Elle fait du skateboard ou nage ?
-Non, disons juste qu’elle sait mettre en avant ses arguments…
-De quoi parlez-vous bon sang !
-Vous savez très bien de quoi je parle lieutenant et nous n’allons pas épiloguer dessus.
-…Vous avez remarqué d’autres choses susceptibles de m’intéresser ?
-Attendez que je réfléchisse… Hum… après quelques minutes de blancs J’ai bien remarqué qu’elle avait des tics ?
-Quel genre de tics ?
-Apparemment elle aimerait les nombres impairs, ce qui la pousse à avoir qu’une épée, une boucle d’oreille et ce n’est que le début…
-Encore une folle…
-Tout le monde a des tics et des tocs lieutenant et d’ailleurs si vous me laissez vous examiner, je suis sûr que je pourrais en tirer des résultats intéressants.
-On est là pour le soldat Forest, pas pour une visite médicale Oldmonsen !
-D’ailleurs elle a un autre tic de langage.
-Ce n’est pas la première et sans doute pas la dernière dans ce cas docteur, passons si vous avez d’autres choses intéressantes
-Honnêtement le plus intéressant, C’est cette aura dont je vous ai parlé tout à l’heure.
-Oui elle est menaçante, elle fait peur, elle est potentiellement dangereuse, est-ce là tout ce que je dois retenir docteur ?
-Oui et qu’elle a une plastique des plus agréables.
-Pff… Vous les docteurs, vous êtes tous pareils, pensez à sortir de votre cabinet Oldmonsen, un bol d’air frais vous ferez le plus grand bien.
-J’aimerais bien lieutenant, mais ce n’est pas comme si vous m’envoyez de nouveaux patients tous les jours…
-Il faut bien que quelqu’un protège le peuple et qui plus est ça vous fait toujours un bon salaire.
-Si vous le dites…
Patient : Seconde classe Forest
-Jeune femme caucasienne et brune d’une vingtaine d’années qui malgré son mètre soixante-dix a l’air de pouvoir bien se défendre. Elle ne montre aucun signe de blessures corporelles et ses muscles semblent bien travaillés… Ainsi que ses deux arguments et son fessier…
-Veuillez vous concentrer Oldmonsen !
-Excusez-moi lieutenant.
-Continuez je vous prie.
-Soit. Ajouta-t-il avant de continuer Si elle semble avoir un physique un peu passe-partout, ce qui ma foi me semble un avantage indéniable, il semblerait que Forest dégage une aura particulière.
-Vous pouvez m’en dire plus ?
-Je ne sais pas trop comment vous l’expliquer, mais disons juste que lorsque je l’ai eu en face de moi, la seule chose que je souhaitais éviter était toute forme d’altercation.
-Pourquoi donc.
-Son aura pardi, cette fille m’a fichue une sacrée frousse…
-Mais elle n’a pas l’air de faire bien peur, elle semble même un peu frêle par moments non ?
-Détrompez-vous lieutenant, cette femme a apparemment réussi haut la main la plupart des tests de sélection pour l’entrée dans la marine d’élite.
-Vous dites ?
-Il se dirait même qu’elle est approché par le Cipher Pol.
-Si vous le dites Oldmonsen.
-En tout cas si j’étais à votre place, j’éviterais de la froisser, qui sait ce qui peut arriver
-Je suis lieutenant Oldmonsen, ce n’est pas une seconde classe qui risque de me faire peur.
-Si vous le dites…
-Qu’avez-vous dit Docteur ?
-Rien…
Un blanc s’installa pendant quelques secondes, puis le docteur Oldmonsen reprit la parole
-Cela n’empêche que cette fille ne passe pas inaperçue.
-Que voulez-vous dire docteur ?
-Vous savez bien lieutenant, en plus de son aura, elle a une façon unique de se déplacer…
-Elle vole ? Elle fait du skateboard ou nage ?
-Non, disons juste qu’elle sait mettre en avant ses arguments…
-De quoi parlez-vous bon sang !
-Vous savez très bien de quoi je parle lieutenant et nous n’allons pas épiloguer dessus.
-…Vous avez remarqué d’autres choses susceptibles de m’intéresser ?
-Attendez que je réfléchisse… Hum… après quelques minutes de blancs J’ai bien remarqué qu’elle avait des tics ?
-Quel genre de tics ?
-Apparemment elle aimerait les nombres impairs, ce qui la pousse à avoir qu’une épée, une boucle d’oreille et ce n’est que le début…
-Encore une folle…
-Tout le monde a des tics et des tocs lieutenant et d’ailleurs si vous me laissez vous examiner, je suis sûr que je pourrais en tirer des résultats intéressants.
-On est là pour le soldat Forest, pas pour une visite médicale Oldmonsen !
-D’ailleurs elle a un autre tic de langage.
-Ce n’est pas la première et sans doute pas la dernière dans ce cas docteur, passons si vous avez d’autres choses intéressantes
-Honnêtement le plus intéressant, C’est cette aura dont je vous ai parlé tout à l’heure.
-Oui elle est menaçante, elle fait peur, elle est potentiellement dangereuse, est-ce là tout ce que je dois retenir docteur ?
-Oui et qu’elle a une plastique des plus agréables.
-Pff… Vous les docteurs, vous êtes tous pareils, pensez à sortir de votre cabinet Oldmonsen, un bol d’air frais vous ferez le plus grand bien.
-J’aimerais bien lieutenant, mais ce n’est pas comme si vous m’envoyez de nouveaux patients tous les jours…
-Il faut bien que quelqu’un protège le peuple et qui plus est ça vous fait toujours un bon salaire.
-Si vous le dites…
>> Psychologie
Enregistrement audio de Ferguson du 13/03/1620
Patient : Lily-Rose Forest
-Que pensez-vous du Gouvernement Mondial mademoiselle Forest ?
-Le Gouvernement ? Globalement, je pense qu’il s’agit d’un bon système bien qu’un peu caduc par moments, mais il aura au moins le mérite de maintenir la paix dans le monde.
-Cette paix justement, vous ne pensez pas qu’elle est menacée par la recrudescence de nouveaux pirates provenant de tous les horizons.
-La plupart de ses menaces ne sont que de petites frappes, mais certains je dois vous avouer me font peur…
-Des noms en particulier ?
-Red, Toji Arashibourei, Mantle Shoma et encore je n’ai cité que des pirates parmi les plus connus
-De vraies terreurs effectivement… Et la révolution, qu’en pensez-vous ?
-Elle a un bon fond, mais leurs méthodes sont quelque peu archaïques… Ca ce dit défenseur du peuple et sauveur du monde, mais elle n’hésitera pas à faire exploser des villes, tuer les mauvaises personnes juste pour se mettre le Gouvernement Mondial à dos.
-Faudrait-il l’éliminer ?
-Je pense qu’il faudrait mettre en prison les éléments perturbateurs et recruter les autres dans les rangs, puisqu’après tout le gouvernement a toujours besoin d’hommes.
-Ce n’est pas forcément le choix le plus judicieux.
-Tout comme accorder les pouvoirs à des incompétents consanguins… (comprenez ici les dragons célestes)
-Vous avez dit ?
-Je réfléchissais toute seule.
-Soit… Et maintenant que nous en savons un peu plus sur votre opinion vis-à-vis de nous, pouvez-vous nous parler de vos méthodes.
-Pour le combat ?
-Aussi en mission de manière générale, tout ce que vous pouvez dire peut être intéressant.
-Si vous le souhaitez… je pris une inspiration avant de continuer Typiquement, je commence par un travail de reconnaissance avec mes équipiers, ce qui passe donc par un détour par la taverne du coin, car il faut dire ce qui est, si vous recherchez une information, la taverne est le meilleur endroit de la ville pour récolter ce que vous cherchez. Ensuite, une fois l’information trouvée, je m’en vais jusqu’au lieu de ma mission, puis je fais ce qui doit être fait !
-C’est-à-dire ?
-Vous savez très bien Ferguson !
-Je veux vous l’entendre dire…
-Bon très bien… Alors si la mission concerne un pirate, je m’approche de lui, neutralise ses acolytes, puis je lui fais un sermon et si jamais ça ne marche pas ce qui est le cas neuf fois sur dix, je lui met une rouste et je l’attache dans la cale du prochain navire qui l’amènera dans la prison la plus proche.
-Des méthodes quelque peu archaïques.
-Mais qui s’avère plus qu’efficace Ferguson ! Vous savez le pirate n’a pas peur de la mort, il a juste peur de croupir dans un trou au milieu de nulle part car c’est contraire aux principes de liberté qu’ils s’accordent. Vous mettez en prison des grands pirates comme Red et là c’est comme taper avec une dock-martins dans la fourmilière.
-Encore faut-il le trouver…
-Le trouver n’est pas le plus dur Ferguson, à vrai dire c’est assez simple si vous faites chanter un pirate, le souci c’est encore de pouvoir le capturer, vous savez avec son fruit du démon toussa toussa…
Enregistrement audio de Ferguson du 24/06/1620
Patient : Lily-Rose Forest
-Je commence à mieux cerner ce qu’il y a sous cette carapace Lily-Rose, mais vous ne m’avez toujours pas dit ce que vous appréciez et ce qui vous répugne…
-Sans doute parce que je vous paie pour m’écouter et non pour devenir ami avec moi Ferguson !
-Ca fait partie du processus, si vous refusez de coopérer je vais devoir vous prescrire un autre collègue.
-…
-Alors, vous allez répondre à ma question oui ou non ?
-Très bien Ferguson… Ce que j’aime, c’est les sucreries, le café sans sucre et bien corsé, la tranquillité, les beaux paysages et aussi mon sabre !
-Pourquoi votre sabre ?
-Parce qu’il m’a sauvé la vie à maintes reprises et qu’en plus il est très beau.
-Ce que je vois ici est un sabre classique pourtant…
-Chaque arme a une histoire Ferguson, une âme, vous savez un peu comme votre perruche qui n’arrête pas de me fixer depuis tout à l’heure avec son sourire narquois.
-Vous êtes parano Lily-Rose, Tobias n’est pas du genre à se moquer de mes clients.
-CLIEEEEENT CLIEEENT
-Vous voyez Ferguson ! Il se moque encore de nous
-C’est une perruche, c’est normal qu’elle répète ce qu’elle entend, un peu comme les bébés… En parlant de ça, vous ne m’avez jamais parlé de votre enfance.
-Sans doute parce que vous vouliez que je vous parle de mes goûts et de ma couleur préférée.
-C’est vrai, revenons-en à nos moutons. Il regarde ses notes quelques instants, puis il continue Et concernant ce que vous détestez, ce qui vous méprise ?
-Et bah ?
-Bah dites en plus !
-Je n’aime pas les repas trop diététiques, les gens qui parlent dans mon dos, les chiens, les chats, le piment d’Espelette, les raclures, les champs car généralement ils sentent la bouse de vache, le soleil lorsqu’il tape trop fort, les…
-Bon, je pense que l’on va en arrêter là pour aujourd’hui, sinon on va y passer la nuit entière à lister tout ce que vous détestez…
Patient : Lily-Rose Forest
-Que pensez-vous du Gouvernement Mondial mademoiselle Forest ?
-Le Gouvernement ? Globalement, je pense qu’il s’agit d’un bon système bien qu’un peu caduc par moments, mais il aura au moins le mérite de maintenir la paix dans le monde.
-Cette paix justement, vous ne pensez pas qu’elle est menacée par la recrudescence de nouveaux pirates provenant de tous les horizons.
-La plupart de ses menaces ne sont que de petites frappes, mais certains je dois vous avouer me font peur…
-Des noms en particulier ?
-Red, Toji Arashibourei, Mantle Shoma et encore je n’ai cité que des pirates parmi les plus connus
-De vraies terreurs effectivement… Et la révolution, qu’en pensez-vous ?
-Elle a un bon fond, mais leurs méthodes sont quelque peu archaïques… Ca ce dit défenseur du peuple et sauveur du monde, mais elle n’hésitera pas à faire exploser des villes, tuer les mauvaises personnes juste pour se mettre le Gouvernement Mondial à dos.
-Faudrait-il l’éliminer ?
-Je pense qu’il faudrait mettre en prison les éléments perturbateurs et recruter les autres dans les rangs, puisqu’après tout le gouvernement a toujours besoin d’hommes.
-Ce n’est pas forcément le choix le plus judicieux.
-Tout comme accorder les pouvoirs à des incompétents consanguins… (comprenez ici les dragons célestes)
-Vous avez dit ?
-Je réfléchissais toute seule.
-Soit… Et maintenant que nous en savons un peu plus sur votre opinion vis-à-vis de nous, pouvez-vous nous parler de vos méthodes.
-Pour le combat ?
-Aussi en mission de manière générale, tout ce que vous pouvez dire peut être intéressant.
-Si vous le souhaitez… je pris une inspiration avant de continuer Typiquement, je commence par un travail de reconnaissance avec mes équipiers, ce qui passe donc par un détour par la taverne du coin, car il faut dire ce qui est, si vous recherchez une information, la taverne est le meilleur endroit de la ville pour récolter ce que vous cherchez. Ensuite, une fois l’information trouvée, je m’en vais jusqu’au lieu de ma mission, puis je fais ce qui doit être fait !
-C’est-à-dire ?
-Vous savez très bien Ferguson !
-Je veux vous l’entendre dire…
-Bon très bien… Alors si la mission concerne un pirate, je m’approche de lui, neutralise ses acolytes, puis je lui fais un sermon et si jamais ça ne marche pas ce qui est le cas neuf fois sur dix, je lui met une rouste et je l’attache dans la cale du prochain navire qui l’amènera dans la prison la plus proche.
-Des méthodes quelque peu archaïques.
-Mais qui s’avère plus qu’efficace Ferguson ! Vous savez le pirate n’a pas peur de la mort, il a juste peur de croupir dans un trou au milieu de nulle part car c’est contraire aux principes de liberté qu’ils s’accordent. Vous mettez en prison des grands pirates comme Red et là c’est comme taper avec une dock-martins dans la fourmilière.
-Encore faut-il le trouver…
-Le trouver n’est pas le plus dur Ferguson, à vrai dire c’est assez simple si vous faites chanter un pirate, le souci c’est encore de pouvoir le capturer, vous savez avec son fruit du démon toussa toussa…
Enregistrement audio de Ferguson du 24/06/1620
Patient : Lily-Rose Forest
-Je commence à mieux cerner ce qu’il y a sous cette carapace Lily-Rose, mais vous ne m’avez toujours pas dit ce que vous appréciez et ce qui vous répugne…
-Sans doute parce que je vous paie pour m’écouter et non pour devenir ami avec moi Ferguson !
-Ca fait partie du processus, si vous refusez de coopérer je vais devoir vous prescrire un autre collègue.
-…
-Alors, vous allez répondre à ma question oui ou non ?
-Très bien Ferguson… Ce que j’aime, c’est les sucreries, le café sans sucre et bien corsé, la tranquillité, les beaux paysages et aussi mon sabre !
-Pourquoi votre sabre ?
-Parce qu’il m’a sauvé la vie à maintes reprises et qu’en plus il est très beau.
-Ce que je vois ici est un sabre classique pourtant…
-Chaque arme a une histoire Ferguson, une âme, vous savez un peu comme votre perruche qui n’arrête pas de me fixer depuis tout à l’heure avec son sourire narquois.
-Vous êtes parano Lily-Rose, Tobias n’est pas du genre à se moquer de mes clients.
-CLIEEEEENT CLIEEENT
-Vous voyez Ferguson ! Il se moque encore de nous
-C’est une perruche, c’est normal qu’elle répète ce qu’elle entend, un peu comme les bébés… En parlant de ça, vous ne m’avez jamais parlé de votre enfance.
-Sans doute parce que vous vouliez que je vous parle de mes goûts et de ma couleur préférée.
-C’est vrai, revenons-en à nos moutons. Il regarde ses notes quelques instants, puis il continue Et concernant ce que vous détestez, ce qui vous méprise ?
-Et bah ?
-Bah dites en plus !
-Je n’aime pas les repas trop diététiques, les gens qui parlent dans mon dos, les chiens, les chats, le piment d’Espelette, les raclures, les champs car généralement ils sentent la bouse de vache, le soleil lorsqu’il tape trop fort, les…
-Bon, je pense que l’on va en arrêter là pour aujourd’hui, sinon on va y passer la nuit entière à lister tout ce que vous détestez…
>> Biographie
Il y a cent ans, les gens criaient à la mort de Marineford, que jamais cette ville ne pourrait se reconstruire et pourtant un siècle plus tard, voilà que la base de la marine refait surface plus belle et flamboyante que jamais.
Cette île, c’est l’endroit où je suis née et où j’ai vécu la plus grande partie de ma vie avant de m’inscrire dans la marine d’élite qui m’a poussé à prendre le large direction East Blue pour maintenir la paix dans un endroit gangrénée par la révolution et la piraterie. Cette mer, c’est également là où mon père a travaillé durant toutes ces années afin de tenter d’obtenir une promotion qu’il n’a jamais eue. J’aime mon père, mais il n’était pas le plus futé pour grimper les échelons. D’ailleurs il m’arrive parfois de le rencontrer sur mes missions de terrains bien que ce soit rare, car la marine a le chic de mettre les éléments les moins bons derrières les bureaux à faire de la paperasse… Fort heureusement que je ne mange pas de ce pain-là et j’espère ne jamais à devoir le faire. Je préférerais encore travailler à mon compte plutôt que de rester les fesses sur une chaise à ne rien faire de la journée.
Concernant ma mère, elle a toujours tenu son rôle de mère au foyer à cœur même si pour elle ça exigeait parfois des sacrifices. On ne vivait pas dans le grand luxe, mais on était plutôt bien lotis par rapport à d’autres et ça ma mère le savais. Elle était pludto calme et gentille, même si l’âge la rendait de plus en plus aigris… Sans doute que mon départ a dû peser beaucoup sur ses nerfs qui ne sont pas d’acier contrairement à ceux de mon père ou aux miens. Ma mère était du genre à idolâtrer mon père, à le mettre même sur un piédestal, sans doute pour ça que de manière indirecte je suis devenue une soldat du gouvernement.
Vu le métier de mon père, l’idéologie de ma mère et de ses fréquentations ainsi que des miennes, tout me laisser à croire que j’étais pré destinée à entrer dans la marine, ce qui avec le recul s’avère être le choix le plus judicieux que j’ai pu faire. Bien qu’il y ait des choses à revoir dans les méthodes du gouvernement, leur façon d’agir est globalement bonne et elle se révèle toujours meilleure que les méthodes pirates ou des révolutionnaires. Mon entrée se fit assez tardivement, puisque j’entrai dans les rangs du gouvernement mondial qu’à l’âge de vingt ans. Pourquoi une entrée si tardive… Tout simplement parce que mon père refusait de me voir entrer dans les rangs, il avait peur que je ne perde la vie sur le terrain, après tout j’étais sa petite protégée. Avec le recul, je comprends mieux sa façon de penser et je la trouve légitime, mais à l’époque j’ai fait tout un cinéma à lui et ma mère qui prenait son parti. Officiellement, les deux voulaient que j’occupe un poste dans l’administration, la dernière chose que je souhaitais. J’envisageais même de m’inscrire au Cipher Pol pendant un moment sans leur autorisation, mais le remords m’aurait rongé et au final j’ai préféré me désister. Le Cipher Pol pour moi ça serait pour plus tard, lorsque j’aurais montré à mes supérieurs de quoi je suis capable.
Je fis donc mon entrée dans la marine d’élite en 1619, soit trente ans après l’entrée de mon père dans la marine régulière et plus d’un siècle après la carrière du fameux Garp. Contrairement à la marine régulière où un simple entretien peut suffire, j’ai dû passer des tests d’aptitude physiques et également un test psychologique qui je dois l’avouer m’a un peu surpris… d’ailleurs j’ai failli ne pas rentrer dans la marine à cause de ce fameux test à la noix. Mais maintenant j’y suis et ce depuis sept ans, je tiens à dire que ce test était du vent. Si certains accordent beaucoup d’importances à ses résultats comme pour mon supérieur, ce n’est pas mon cas. D’ailleurs c’est de sa faute si depuis presque six ans, une partie de mon salaire est dilapidé dans un psychologue. Fort heureusement que Sigmund Ferguson est quelqu’un de plutôt sympathique, je dirais même qu’avec le temps il est presque devenu un ami, le seul vrai que j’ai à vrai dire.
Mais pourquoi donc engager un psychologue pour une femme comme main qui en apparence est saine d’esprit ? La raison remonte en début d’année 1619 où l’on m’envoya sur le terrain pour arrêter avec ma garnison un équipage de pirates sanguinaires. La logique voulait que l’on puisse les arrêter facilement avec la supériorité numérique, mais le groupe en question encercla tout le village et prit en otages les habitants. Comment je ne sais pas, mais tout est-il que ce jour-là deux cents civils trouvèrent la mort et le traumatisme fut énorme. C’est sans doute depuis ce jour-là que lorsque je vois une personne s’en prendre à un innocent, il y a une chance sur d’eux qu’elle gis au sol avec des membres cassées et des dents en moins, en plus de connaître un passage par la case prison. Oui cet incident m’avait choqué, mais c’est également celui qui me rendit beaucoup plus forte.
Cette île, c’est l’endroit où je suis née et où j’ai vécu la plus grande partie de ma vie avant de m’inscrire dans la marine d’élite qui m’a poussé à prendre le large direction East Blue pour maintenir la paix dans un endroit gangrénée par la révolution et la piraterie. Cette mer, c’est également là où mon père a travaillé durant toutes ces années afin de tenter d’obtenir une promotion qu’il n’a jamais eue. J’aime mon père, mais il n’était pas le plus futé pour grimper les échelons. D’ailleurs il m’arrive parfois de le rencontrer sur mes missions de terrains bien que ce soit rare, car la marine a le chic de mettre les éléments les moins bons derrières les bureaux à faire de la paperasse… Fort heureusement que je ne mange pas de ce pain-là et j’espère ne jamais à devoir le faire. Je préférerais encore travailler à mon compte plutôt que de rester les fesses sur une chaise à ne rien faire de la journée.
Concernant ma mère, elle a toujours tenu son rôle de mère au foyer à cœur même si pour elle ça exigeait parfois des sacrifices. On ne vivait pas dans le grand luxe, mais on était plutôt bien lotis par rapport à d’autres et ça ma mère le savais. Elle était pludto calme et gentille, même si l’âge la rendait de plus en plus aigris… Sans doute que mon départ a dû peser beaucoup sur ses nerfs qui ne sont pas d’acier contrairement à ceux de mon père ou aux miens. Ma mère était du genre à idolâtrer mon père, à le mettre même sur un piédestal, sans doute pour ça que de manière indirecte je suis devenue une soldat du gouvernement.
Vu le métier de mon père, l’idéologie de ma mère et de ses fréquentations ainsi que des miennes, tout me laisser à croire que j’étais pré destinée à entrer dans la marine, ce qui avec le recul s’avère être le choix le plus judicieux que j’ai pu faire. Bien qu’il y ait des choses à revoir dans les méthodes du gouvernement, leur façon d’agir est globalement bonne et elle se révèle toujours meilleure que les méthodes pirates ou des révolutionnaires. Mon entrée se fit assez tardivement, puisque j’entrai dans les rangs du gouvernement mondial qu’à l’âge de vingt ans. Pourquoi une entrée si tardive… Tout simplement parce que mon père refusait de me voir entrer dans les rangs, il avait peur que je ne perde la vie sur le terrain, après tout j’étais sa petite protégée. Avec le recul, je comprends mieux sa façon de penser et je la trouve légitime, mais à l’époque j’ai fait tout un cinéma à lui et ma mère qui prenait son parti. Officiellement, les deux voulaient que j’occupe un poste dans l’administration, la dernière chose que je souhaitais. J’envisageais même de m’inscrire au Cipher Pol pendant un moment sans leur autorisation, mais le remords m’aurait rongé et au final j’ai préféré me désister. Le Cipher Pol pour moi ça serait pour plus tard, lorsque j’aurais montré à mes supérieurs de quoi je suis capable.
Je fis donc mon entrée dans la marine d’élite en 1619, soit trente ans après l’entrée de mon père dans la marine régulière et plus d’un siècle après la carrière du fameux Garp. Contrairement à la marine régulière où un simple entretien peut suffire, j’ai dû passer des tests d’aptitude physiques et également un test psychologique qui je dois l’avouer m’a un peu surpris… d’ailleurs j’ai failli ne pas rentrer dans la marine à cause de ce fameux test à la noix. Mais maintenant j’y suis et ce depuis sept ans, je tiens à dire que ce test était du vent. Si certains accordent beaucoup d’importances à ses résultats comme pour mon supérieur, ce n’est pas mon cas. D’ailleurs c’est de sa faute si depuis presque six ans, une partie de mon salaire est dilapidé dans un psychologue. Fort heureusement que Sigmund Ferguson est quelqu’un de plutôt sympathique, je dirais même qu’avec le temps il est presque devenu un ami, le seul vrai que j’ai à vrai dire.
Mais pourquoi donc engager un psychologue pour une femme comme main qui en apparence est saine d’esprit ? La raison remonte en début d’année 1619 où l’on m’envoya sur le terrain pour arrêter avec ma garnison un équipage de pirates sanguinaires. La logique voulait que l’on puisse les arrêter facilement avec la supériorité numérique, mais le groupe en question encercla tout le village et prit en otages les habitants. Comment je ne sais pas, mais tout est-il que ce jour-là deux cents civils trouvèrent la mort et le traumatisme fut énorme. C’est sans doute depuis ce jour-là que lorsque je vois une personne s’en prendre à un innocent, il y a une chance sur d’eux qu’elle gis au sol avec des membres cassées et des dents en moins, en plus de connaître un passage par la case prison. Oui cet incident m’avait choqué, mais c’est également celui qui me rendit beaucoup plus forte.
>> Test RP
-Forest ramènes-toi on a du boulot qui nous attends !
-Barnes, surveiller un chantier j’appelle pas ça un boulot…
-C’est pourtant pour ça qu’on nous paie.
-Bon vous venez ou quoi ? ajouta le soldat Desprate
-Oui c’est bon on arrive ! répondit Forest d’un timbre de voix présentant des signes de colère
Si le soldat Forest s’était retrouvée là, c’était dû à une magouille administrative de la part de son père et de sa mère qui ne voulait pas la voir sur le terrain, mais ça bien sûr elle ne le savait pas. Jean Forest avait soudoyé un de ses supérieurs et même promis de payer les dix prochaines tournées à la taverne en échange de quoi sa fille ne quitterait pas Marineford pendant un moment. Bien sûr il fallait trouver une raison, alors on engagea la demoiselle pour superviser un chantier, le genre de mission en total opposition avec ce qu’elle imaginait de la marine d’élite. Mais le pire pour Lily-Rose, c’était la présence de sa mère dans les parages. Elle aimait bien sa mère, mais elle se disait parfois qu’elle l’empêchait de gagner en crédibilité lorsque par exemple elle arrivait avec des paniers de nourritures pour son unité. Si son unité ne trouvait rien à redire là-dessus, Lily-Rose était de plus en plus agacée, surtout lorsque ça faisait bientôt un mois que la rénovation du quartier Sakazuki avait commencé.
Trente longues journées où Lily-Rose broyait du noir, même si certains de ses collègues tentaient tant bien que mal de la faire sourire. Il y avait Barnes, un type sympathique mais très à cheval sur les principes moraux. C’était d’ailleurs avec lui que Forest s’entendait le mieux, car il était l’un des seuls qui venaient lui parler pour autre chose que de l’engueuler. Il y avait ensuite Desprate, qui comme son nom l’indique était désespéré. Ne croyant à rien d’autre qu’aux principes moraux de la marine, il appliquait à la lettre les règles, ce qui avait le don d’agacer Lily-Rose au plus haut point. Il était ce genre d’individu qui était capable d’arracher le sandwich de son collègue en pleine pause repas pour avoir dépassé l’heure indiquée, bref elle le détestait au plus haut point et visiblement il le savait et en jouait, pas comme son troisième collègue que le groupe avait surnommé Dog. Légèrement atteint au niveau psychologique, il avait le don de baver quand on lui parlait d’acte violent, ce qui ne plaisait pas trop à Lily-Rose. Les autres collègues officiant dans son unité n’étaient pas des lumières et éviter le plus possible de lui parler, sans doute parce qu’elle était la seule fille du lot.
L’unité de dix marins se baladaient donc dans le quartier Satazuki en pleine reconstruction. Lily-Rose avait entendu dire que des complexes de logements pour personnes riches allaient se faire dans le coin, en plus d’une totale refonte des rez-de-chaussée pour y accueillir des boutiques de luxe et de vêtements, mais évidemment c’étaient les projets de la ville, la réalité était tout autre. Pourtant, le projet semblait prometteur puisque c’était Idalgo Piano en personne qui supervisait le projet. Architecte de formation, il était notamment connu pour avoir refait une grande partie des autres quartiers de la ville, mais également pour avoir conçue les plans de la villa des Albenas ou encore les quartiers de Couak, le célèbre juge d’Ennie Lobbies. Autant dire un ponte dans le milieu… Certains affirmeraient même qu’il a conçu le logement de fonction d’Adam Freeman en personne, mais ça rien n’est moins sûr puisque personne n’a jamais vérifié.
Piano avait fait en sorte que le style ancien ressorte un maximum, ce qui selon ses dires était à la mode en ce moment, mais pas particulièrement du goût de Lily-Rose. Ses collègues eux cependant semblaient apprécier les bâtisses, même Dog qui pourtant n’avait pas l’air d’avoir l’œil d’un architecte. Mais alors que le groupe faisait tranquillement le tour du pâté de maisons, des ouvriers crièrent sur l’un des chantiers environnants. Par réflexe, l’escouade arriva sur les lieux et une fois devant le problème, le groupe resta figé un moment, jusqu’au moment où Forest prit les devants
-Veuillez reculer immédiatement et surtout aucun geste brusque… Barnes tu restes avec moi, les autres vous bouclez le quartier !
-On a pas d’ordre à recevoir de toi ! répondit Desprate
-Alors peut-être que tu veux t’occuper du problème. surenchérit Barnes afin de prendre ma défense
-Non c’est bon, je vous laisse à vos occupations, les mecs venez…
-Bon un problème de moins, n’empêches qu’on a encore l’obus sur les bras…
-T’as une idée Forest ?
-Bah écoutes Barnes, à part boucler le périmètre et évacuer tout le monde, je ne pense pas qu’on puisse faire quelque chose.
-Tu as le denden sur toi ?
-Non Barnes, je l’ai confié à Dog tout à l’heure.
-Dog ? A quoi tu pensais ?
-C’est encombrant et j’avais plus de place dans mon sac… Du coup j’évacue les derniers ouvriers pendant que tu appelles le QG pour nous envoyer un démineur ?
-On fait comme ça !
Tandis que Barnes se dépêche de retrouver Dog qui doit être sans doute en train de boucler le quartier, Forest fixa l’obus qui était littéralement planté dans l’immeuble, ce qui la surpris au plus haut point. La plupart du temps quand un obus entre en collision avec un bâtiment, ce dernier explose, mais visiblement ici ce n’était pas le cas.
Pour elle ce n’était pas ça le pire, c’était de savoir qu’elle avait vécu tout ce temps à côté d’une potentielle bombe à retardement ou alors qu’il s’agissait de son seul jour trépidant à Marineford…
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _________-Barnes, surveiller un chantier j’appelle pas ça un boulot…
-C’est pourtant pour ça qu’on nous paie.
-Bon vous venez ou quoi ? ajouta le soldat Desprate
-Oui c’est bon on arrive ! répondit Forest d’un timbre de voix présentant des signes de colère
Si le soldat Forest s’était retrouvée là, c’était dû à une magouille administrative de la part de son père et de sa mère qui ne voulait pas la voir sur le terrain, mais ça bien sûr elle ne le savait pas. Jean Forest avait soudoyé un de ses supérieurs et même promis de payer les dix prochaines tournées à la taverne en échange de quoi sa fille ne quitterait pas Marineford pendant un moment. Bien sûr il fallait trouver une raison, alors on engagea la demoiselle pour superviser un chantier, le genre de mission en total opposition avec ce qu’elle imaginait de la marine d’élite. Mais le pire pour Lily-Rose, c’était la présence de sa mère dans les parages. Elle aimait bien sa mère, mais elle se disait parfois qu’elle l’empêchait de gagner en crédibilité lorsque par exemple elle arrivait avec des paniers de nourritures pour son unité. Si son unité ne trouvait rien à redire là-dessus, Lily-Rose était de plus en plus agacée, surtout lorsque ça faisait bientôt un mois que la rénovation du quartier Sakazuki avait commencé.
Trente longues journées où Lily-Rose broyait du noir, même si certains de ses collègues tentaient tant bien que mal de la faire sourire. Il y avait Barnes, un type sympathique mais très à cheval sur les principes moraux. C’était d’ailleurs avec lui que Forest s’entendait le mieux, car il était l’un des seuls qui venaient lui parler pour autre chose que de l’engueuler. Il y avait ensuite Desprate, qui comme son nom l’indique était désespéré. Ne croyant à rien d’autre qu’aux principes moraux de la marine, il appliquait à la lettre les règles, ce qui avait le don d’agacer Lily-Rose au plus haut point. Il était ce genre d’individu qui était capable d’arracher le sandwich de son collègue en pleine pause repas pour avoir dépassé l’heure indiquée, bref elle le détestait au plus haut point et visiblement il le savait et en jouait, pas comme son troisième collègue que le groupe avait surnommé Dog. Légèrement atteint au niveau psychologique, il avait le don de baver quand on lui parlait d’acte violent, ce qui ne plaisait pas trop à Lily-Rose. Les autres collègues officiant dans son unité n’étaient pas des lumières et éviter le plus possible de lui parler, sans doute parce qu’elle était la seule fille du lot.
L’unité de dix marins se baladaient donc dans le quartier Satazuki en pleine reconstruction. Lily-Rose avait entendu dire que des complexes de logements pour personnes riches allaient se faire dans le coin, en plus d’une totale refonte des rez-de-chaussée pour y accueillir des boutiques de luxe et de vêtements, mais évidemment c’étaient les projets de la ville, la réalité était tout autre. Pourtant, le projet semblait prometteur puisque c’était Idalgo Piano en personne qui supervisait le projet. Architecte de formation, il était notamment connu pour avoir refait une grande partie des autres quartiers de la ville, mais également pour avoir conçue les plans de la villa des Albenas ou encore les quartiers de Couak, le célèbre juge d’Ennie Lobbies. Autant dire un ponte dans le milieu… Certains affirmeraient même qu’il a conçu le logement de fonction d’Adam Freeman en personne, mais ça rien n’est moins sûr puisque personne n’a jamais vérifié.
Piano avait fait en sorte que le style ancien ressorte un maximum, ce qui selon ses dires était à la mode en ce moment, mais pas particulièrement du goût de Lily-Rose. Ses collègues eux cependant semblaient apprécier les bâtisses, même Dog qui pourtant n’avait pas l’air d’avoir l’œil d’un architecte. Mais alors que le groupe faisait tranquillement le tour du pâté de maisons, des ouvriers crièrent sur l’un des chantiers environnants. Par réflexe, l’escouade arriva sur les lieux et une fois devant le problème, le groupe resta figé un moment, jusqu’au moment où Forest prit les devants
-Veuillez reculer immédiatement et surtout aucun geste brusque… Barnes tu restes avec moi, les autres vous bouclez le quartier !
-On a pas d’ordre à recevoir de toi ! répondit Desprate
-Alors peut-être que tu veux t’occuper du problème. surenchérit Barnes afin de prendre ma défense
-Non c’est bon, je vous laisse à vos occupations, les mecs venez…
-Bon un problème de moins, n’empêches qu’on a encore l’obus sur les bras…
-T’as une idée Forest ?
-Bah écoutes Barnes, à part boucler le périmètre et évacuer tout le monde, je ne pense pas qu’on puisse faire quelque chose.
-Tu as le denden sur toi ?
-Non Barnes, je l’ai confié à Dog tout à l’heure.
-Dog ? A quoi tu pensais ?
-C’est encombrant et j’avais plus de place dans mon sac… Du coup j’évacue les derniers ouvriers pendant que tu appelles le QG pour nous envoyer un démineur ?
-On fait comme ça !
Tandis que Barnes se dépêche de retrouver Dog qui doit être sans doute en train de boucler le quartier, Forest fixa l’obus qui était littéralement planté dans l’immeuble, ce qui la surpris au plus haut point. La plupart du temps quand un obus entre en collision avec un bâtiment, ce dernier explose, mais visiblement ici ce n’était pas le cas.
Pour elle ce n’était pas ça le pire, c’était de savoir qu’elle avait vécu tout ce temps à côté d’une potentielle bombe à retardement ou alors qu’il s’agissait de son seul jour trépidant à Marineford…
Informations IRL
Je vous laisse le soin d'aller voir la fiche de Richard Bradstone héhé
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Dernière édition par Lily-Rose Forest le Dim 13 Sep 2015 - 18:59, édité 2 fois