BLAMOKA Laïa
 | Pseudonyme : La fée à l'armure Age: 19 ans Sexe :Femme Race : Humaine Métier : Navigatrice & Soldat de la Marine Groupe : Marine But : Explorer les mers et devenir une officier supérieur de la marine. Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Fruit du Chevalier Équipement : Un sabre et une armure de qualité correct. Codes du règlement : & Parrain : Aucun Ce compte est-il un DC ? : Non Si oui, quel @ l'a autorisé ? : ... |
>> PARTIE 1 : LE COMMENCEMENT DE L'HISTOIRE
Pour raconter le début de mon histoire, je me dois de laisser la parole à mon père, car je n'ai aucun souvenir de ce que j'ai vécu avant le début de ma sixième année de vie...
« Le jour de la naissance de ma fille, Laïa, fut un moment de fête pour l'équipage de marin que je commandais avec le grade de commandant de vaisseau. D'un commun accord avec sa mère, avec ou sans l'aval du commandement d'East-Blue, c'est en mer, en vue de l'île qu'elle est née. Peut-être un peu par superstition, mais à l'époque j'espérais très tôt la prédisposer à entrer dans la marine. Mais sa mère, la voyait plus navigatrice sur un quelconque navire de croisière, de transport, ou d'autres encore.
Il ne se passa pas grand-chose pour elle jusqu'à l'âge de ses cinq ans. Rien n'avait prévu ce qui se passerait quelques jours après son anniversaire.
Ce fut dramatique, l'île et en particulier le village fut attaqué par des pirates alors que l'essentiel de la petite flotte de l'île se trouvait loin au large à effectuer des manœuvres d'entrainement. Moi-même, n'étant pas sur l'île, je ne connais de l'affaire que ce qui m'en a été rapporté par les survivants dont ne faisait pas partie notre colonel.
Un petit groupe de trois navires battant pavillon noir, sans doute une alliance de capitaines de secondes zone, qui débarquèrent au port, couvert par le tir de leurs canons qui eut tôt fait de détruire l'essentiel des bâtiments alentour dont l'unique navire de la marine s'y trouvant ne laissant aucune chance de riposte à son équipage. C'était le navire du colonel et il se trouvait à bord à ce moment précis. Les troupes terrestres de la marine, sans autre commandement que mon lieutenant resté à terre pour cause de blessure, fut contrainte de se replier sous une force supérieure en nombre et de s'enfermer à double à la caserne. Bien sur, la première chose qui fut faite, fut de contacter le plus haut gradé de la garnison, ce jouant du fait à l'ancienneté des trois commandants, qui n'était donc autres que moi-même...
De base, les pirates se contentaient de piller les maisons une à une, ne rencontrant aucune résistance des civils terrorisés. Ils étaient en train de charger leur maigre butin, lorsque, suite à l'aval de mes supérieurs, j'arrivais avec le gros de la garnison. La difficulté était clairement de limiter les pertes civiles. Ils étaient donc hors de question de jouer du canon contre les navires au port qui furent abordés à la suite par les trois équipages. Les pirates n'opposèrent vraisemblablement qu'une résistance de principe, mais les capitaines se trouvaient introuvables. S'ils n'étaient pas au village... Ils devaient s'être attaqués aux maisons plus isolé, dont la mienne faisait partie... J'avais peur pour ma femme et ma fille...
Me précipitant chez moi, suivi de quelques marins, ma théorie se trouvait être la réalité. Les trois capitaines étaient là, ma femme déjà saignée à mort, ils s'apprêtaient à s'en prendre à Laïa lorsqu'ils furent décapités par ma lame. J'appris plus tard, qu'ils étaient les trois fils d'un capitaine prêt à entrer en grande line que j'avais autrefois combattue et arrêtée, ce qui m'avait valu mon grade de commandant.
Souvenirs du colonel Rayan Blamoka, commandant la garnison de Rock Adam »
C'est ainsi que commença ma vie, par un drame. Et ce n'est que lors de mes quinze ans que mon père me raconta ce sombre passé.
« Le jour de la naissance de ma fille, Laïa, fut un moment de fête pour l'équipage de marin que je commandais avec le grade de commandant de vaisseau. D'un commun accord avec sa mère, avec ou sans l'aval du commandement d'East-Blue, c'est en mer, en vue de l'île qu'elle est née. Peut-être un peu par superstition, mais à l'époque j'espérais très tôt la prédisposer à entrer dans la marine. Mais sa mère, la voyait plus navigatrice sur un quelconque navire de croisière, de transport, ou d'autres encore.
Il ne se passa pas grand-chose pour elle jusqu'à l'âge de ses cinq ans. Rien n'avait prévu ce qui se passerait quelques jours après son anniversaire.
Ce fut dramatique, l'île et en particulier le village fut attaqué par des pirates alors que l'essentiel de la petite flotte de l'île se trouvait loin au large à effectuer des manœuvres d'entrainement. Moi-même, n'étant pas sur l'île, je ne connais de l'affaire que ce qui m'en a été rapporté par les survivants dont ne faisait pas partie notre colonel.
Un petit groupe de trois navires battant pavillon noir, sans doute une alliance de capitaines de secondes zone, qui débarquèrent au port, couvert par le tir de leurs canons qui eut tôt fait de détruire l'essentiel des bâtiments alentour dont l'unique navire de la marine s'y trouvant ne laissant aucune chance de riposte à son équipage. C'était le navire du colonel et il se trouvait à bord à ce moment précis. Les troupes terrestres de la marine, sans autre commandement que mon lieutenant resté à terre pour cause de blessure, fut contrainte de se replier sous une force supérieure en nombre et de s'enfermer à double à la caserne. Bien sur, la première chose qui fut faite, fut de contacter le plus haut gradé de la garnison, ce jouant du fait à l'ancienneté des trois commandants, qui n'était donc autres que moi-même...
De base, les pirates se contentaient de piller les maisons une à une, ne rencontrant aucune résistance des civils terrorisés. Ils étaient en train de charger leur maigre butin, lorsque, suite à l'aval de mes supérieurs, j'arrivais avec le gros de la garnison. La difficulté était clairement de limiter les pertes civiles. Ils étaient donc hors de question de jouer du canon contre les navires au port qui furent abordés à la suite par les trois équipages. Les pirates n'opposèrent vraisemblablement qu'une résistance de principe, mais les capitaines se trouvaient introuvables. S'ils n'étaient pas au village... Ils devaient s'être attaqués aux maisons plus isolé, dont la mienne faisait partie... J'avais peur pour ma femme et ma fille...
Me précipitant chez moi, suivi de quelques marins, ma théorie se trouvait être la réalité. Les trois capitaines étaient là, ma femme déjà saignée à mort, ils s'apprêtaient à s'en prendre à Laïa lorsqu'ils furent décapités par ma lame. J'appris plus tard, qu'ils étaient les trois fils d'un capitaine prêt à entrer en grande line que j'avais autrefois combattue et arrêtée, ce qui m'avait valu mon grade de commandant.
Souvenirs du colonel Rayan Blamoka, commandant la garnison de Rock Adam »
C'est ainsi que commença ma vie, par un drame. Et ce n'est que lors de mes quinze ans que mon père me raconta ce sombre passé.
>> PARTIE 2 : LA SUITE
Le temps passa, mon père marqué par la mort de ma mère combattait les pirates avec plus de haine, plus de hardiesse, plus de témérité et deux ans plus tard, il passa du grade de commandant à celui de colonel, officialisant son poste de chef de garnison, qu'il occupait alors par intérim.
Peu à peu cependant, tout l'amour qu'il avait pour sa femme, se combina avec l'amour paternel qu'il me portait, bien que durant les deux dernières années, il ne m'accorda que peu d’intérêt et ce fut le maire du village qui occupa le poste de nounou. Très vite, il fut noté que mes souvenirs, d'un passé encore proche pourtant, s’estompait peu à peu pour devenir une amnésie complète sur les événements d'avant l'anniversaire de ma sixième année.
Le temps passa encore, où le maire s’occupa de moi comme sa fille. Rien de spécial ne se passait plus, la réputation du colonel Blamoka étant faite, les pirates n'approchaient ou alors ils étaient interceptés bien avant.
Ce fut juste après le début de ma douzième année que mon père me repris vraiment en main, son intention était clairement de me faire entrer dans la marine. Peu à peu mes libertés disparurent et jusqu'à ma quinzième année, je n’eus plus du tout le droit de sortir de la caserne, passant mon temps à m'entraîner à l'utilisation d'armes blanches diverses et varié d'abord, puis au sabre uniquement apprenant les bases. Mon éducation fut celle imposée par un père qui rêvait dorénavant de me voir devenir officier de la marine, théorie de la navigation, renforcement musculaire, arts du sabre, météorologie... Tant de choses utiles pour le rêve du colonel, mais je me languissais du village....
Le temps passa encore, avec un retour de certains droits compensés par encore plus d'obligations. Je surpris plusieurs fois mon regard qui s'égarait vers le large, mes pensées qui rêvaient de liberté. J'avais envie des robes et... d'armures...
Très appréciée et aimée au village, en secret, je pus faire faire une robe blanche au tisserand et ma première armure par le forgeron... Dès que les deux me furent livrés je décidais de ne plus porter l'uniforme, tenant tête à mon père, a ce sujet, je me montrais intraitable, de sorte que son amour pour moi, le fit faire certes concession... Bon... je fus de corvée de chiotte et alors ? C'était un premier pas vers mon rêve de liberté et malheureusement pour lui, un pas en arrière vers la réalisation du rêve du colonel.
Encore parler de moi ? Bon... laissons la parole a quelqu'un d'autre...
« Il y a dans le monde, bien des gens... Au cours de mes voyages, mon attention fut attirer par une jeune femme qui se disait fille d'un colonel de la marine... C'était étrange... cela me fit vaguement penser à un certain Luffy... qui vivait sur une autre île où mon père avait longtemps vécu... Étrange... si différente de lui pourtant...
Donc, ce qui me marqua d'abord chez elle, c'est qu'elle ne voulait pas des privilèges d'être fille d'un officier... Elle était humble mais avait la manie d'être d'une curiosité sans fin... Elle se mêlait de tout... de tout ce dont elle pouvait, elle faisait vraiment partie de l'île où elle vivait... J’eus le désarrois de la voire dans une situation où elle due montrer ses capacités... Le colonel voulait donner une vision au grand public de la lutte incessante de la marine contre les pirates, pour ça, me sachant journaliste, il m'avait fait monter a bord de son navire de guerre, avec sa fille... pour une chasse aux pirates... Elle aussi, pourtant, était là pour observer...
Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'elle ne tenait pas en place... Avide de connaissance futiles, a bord, elle appliquait toute sa curiosité à questionner un a un les membres de l'équipage. Plutôt amusant a voire... Jusqu'à ce que le navire lança la poursuite d'un navire de pirate de seconde zone... qui fut assez vite rattraper et se fut l'abordage... La mission de Laïa fut de me protéger durant le combat... J’espérais qu'elle n'eut pas à le faire, elle me paraissait si... inapte a combattre, si faible... si fragile... Et pourtant... Si le gros du combat avait lieu sur le navire adverse... quelques pirates eurent l'idée de déjouer la vigilance de la marine, avec succès, en s'introduisant sur le navire du colonel Blamoka... Me mettant en danger en occurrence...
Je voulut, bien entendu, nous mettre à l'abri dans la cabine de son père mais... Elle restait planter là... sourire aux lèvres... presque terrifiante... sabre à la main et armure de combat légère a moitié dessus, a moitié en dessous d'une magnifique robe blanche... Si elle tenait tête efficacement à deux pirates, les trois autres me prenaient à partir et... voyant le danger, difficilement certes, elle les mis hors combat un par un... et au dernier elle avait dit :
"Personne... Personne ne touche à mes amis ! C'est clair ?"
Le dernier avait répondu par l'affirmatif... avant de détaler comme un lapin... avant de se faire arrêter... Ainsi, Laïa me considérait comme un ami... Prompte à faire confiance, manipulable mais extrêmement fidèle en amitié... Cela, c'était peu de temps avant son départ de l'île... J'en étais certain, la mer allait profondément la changer...
Souvenirs de Luk S. Samova, journaliste. »
Bon... Je n'aime pas parler de mon physique... alors... Je vais laisser témoigner quelqu'un d'autre...
« Ma fille... j'aurais tant voulue qu'elle choisisse la voie de la marine, surtout avec l'entraînement et l'éducation que je lui ais donné... La dernière fois que je l'ai vue, pas plus tard qu'hier, sur son petit navire, je la trouvais aussi belle que l'était sa mère a son âge... Mais bien plus indomptable...
Ses cheveux bonds dans le vent soufflant vers le large, ses yeux émeraudes observant le village emprunt d'un mélange de tristesse de quitter les siens et de joie de partir enfin à l'aventure. Une expression hésitante sur son visage, des larmes coulant sur ses joues. Elle se retourne pour regarder le large un moment, puis regarde vers le port a nouveau, souriante et pouce levé vers le ciel. D'une voix claire, dans un magnifique mezzo-soprano :
"Ne vous inquiétez-pas père, je reviendrais quand mon rêve sera une réalité !"
Pourtant, son rêve... son rêve... Elle ne m'a jamais parler d'un rêve... A moins que son rêve est d'abord de s'en trouver un... Le mien maintenant... serait qu'elle devienne officier de la marine comme moi...
Bon, poursuivons... Ma fille ce n'est pas que son visage... De l'entrainement que je lui ais prodiguée toute ses années, elle a gagner en force et en souplesse, en vitesse et en réflexe... Je me souviens du premier duel qu'elle a fait contre un de mes hommes... La pauvre... En un coup elle fut mise hors combat... Depuis elle a réussi a pouvoir en utiliser de diverse type... Mais je dirais que la plus belle est de loin celle qu'elle portait à son départ... Un mixte entre une armure de plaque et une robe blanche... couvrant ses avant bras, ses jambes et son thorax... Pourquoi la porter sans danger autour de soit ?
Ce fut en revenant chez moi, que je remarquais qu'elle avait pris avec elle sa tenu blanche de marin que je lui avait offerte pour ses dix-huit ans... Peut-être avait-elle l'intention de s'engager... Après tout... mon nom devrait lui permettre d'entrer vraiment dans la marine sans trop de difficultés.
Souvenirs de Rayan Blamoka, colonel de la marine »
« ce n'était pas facile, un véritable duel au sommet dans ma formation avec une adversaire de choix. Laïa avec son sabre et son armure est une combattante redoutable, elle a toujours refusé de porter l'uniforme des élèves officiers, ce qui lui a valu nombre de corvées de chiottes ou de pomme de terre mais, tout comme moi, elle était vue par nos instructeurs comme ayant un énorme potentiel. Une rivalité qui nous poussait vers le haut mais qui nous faisait voir nos camarades comme des subalternes et d'une manière ou d'une autre, nous soignions à la fois notre réussite et notre popularité au sein de notre promotion. Pourtant, je le sentais entre nous, je n'étais certain que, que se soit moi ou elle qui finit prima, nous serons très proches l'un de l'autre... Mais pour l'heure, la simulation battait son plein avec un avantage clair pris par les hommes de Laïa et ceux qui représentent la marine. Le tout, bien sur, sous l’œil de nos instructeurs, installé dans un troisième navire, bien plus gros pour une vision d'ensemble [...] »
Après une approche à coups du canon d'exercice, ce fur l'abordage par l'avant de mon rival... Et bientôt, la bataille fit rage avec les hommes d'Isaac, stratégie logique opposée à stratégie de ruse. Je me doutais que... L'abordage n'était qu'un test et j'avais déjà fait une erreur... J'avais engagé tous mes hommes dès le début dans le combat alors que maintenant, il me semblait évident qu'il avait gardé de la réserve à bord du navire de la marine camouflé en navire pirate pour l'occasion... Il ne restait que moi en réserve, bien visible un peu en arrière des combats... Je voulais le pousser à se montrer, le pousser à jouer ses dernières cartes avant d'entrer en jeu....
« Le combat tourna rapidement en ma défaveur sur le navire de Laïa et il me semblait qu'elle n'avait plus qu'une carte à jouer, elle-même... Alors qu'il m'en restait encore pas mal... Cependant je devais faire vite, sans doute avait-elle conscience de son erreur et semblait vouloir mettre fin au plus vite à ce premier round... Je devais faire vite pour jouer ma seconde carte, profiter de son erreur pour la mettre à terre. [...] »
Le combat était concentré sur la partie avant du navire et tout le reste était désert... Plus j'y pense, plus j'étais certaine qu'il essayera de profiter de mon erreur, c'était même une évidence. Pourtant, je ne laissais rien percevoir de ma stratégie qui naissait dans mon esprit, il allait très certainement envahir l'arrière de mon navire pour nous prendre à revers... Eh bien... qu'il y vienne !
« L'arrière était désert, il n'y avait aucun combattant de ma rivale dans les environs. C'est avec le restant de mes hommes que j'envahis cette partie du navire, j'étais certain que cela me donnerait un avantage conséquent quand soudain... Faire vite, c'est par bâbord que moi et les miens nous contournions Laïa pour arriver directement sur ses arrières... Mais... Deux coups du canon et nombre de mes hommes hors combats... Je ne compris pas tout de suite ce qu'il c'était passé. »
J'avais vu juste ! Et alors qu'il faisait mouvement, je ne perdais pas de temps pour sortir quelques hommes des combats pour leur faire tourner deux canons vers la zone bâbord du pont avant hors de vue du passage entre les cabines et le rebord du navire... Alors que derrière moi les combats se poursuivaient intensément, j'avais conscience qu'une telle contre-stratégie abîmerait le navire dans un combat réel, c'était certain, j'avais perdu des points en stratégie... Alors que lui en marquait... Reste à montrer ma valeur au combat...
« Surpris... Elle m'avait surpris avec un stratagème qui se montra efficace et qui le serait sans doute tout autant dans la réalité mais qui comportait le risque de se rater en beauté et d’endommager sévèrement le navire... Un risque que je n'aurais sans doute pas pris... Je remarquais que le nombre équilibré maintenant... Et j'avais hâte de gagner, pas de précipitation je devais ruser, l'attirer dans un endroit où j'aurais l'avantage... Elle représentait la marine, les armes de ses hommes de meilleure qualité, j'avais la force du nombre, je ne l'ai plus. Sans hésitation je mettais en évidence mes poings de guerre renforcée de coque en faire au niveau de la première articulation de mes doigts... et j'attaquais dans sa direction. [...] »
Pas d'hésitation, je l’attendais de pied ferme, mon sabre dé d’entraînement en main. Le temps semblait s'arrêter autour de nous, attirant l'attention de tous les belligérants proches qui arrêtèrent de se battre dans une trêve tacite comme lors d'affrontements entre les héros grecs en pleine bataille... De ses combats, dépendaient souvent de l'issue des combats car... même si la réalité permettrait la victoire, bien souvent quand le héros d'une armée se fait tuer en duel, eh bien... La morale baisse parmi les hommes et quand on y pense, c'est souvent le cas... quand deux capitaines se combattent de front...
« L'affrontement entre nous commença après une phase d'observation... Plus léger qu'elle est son armure, je devais pouvoir prendre un net avantage, mais son armure lui apporte une défense que je n'ai pas alors... un coup bien placé et elle pouvait très vite retourner la situation... Ma première attaque montra que son arme d’entraînement avait un porté qui me gênerait nettement... Avec son sabre, l'envergure de Laïa était supérieure, je devais me montrer rapide... »
Il attaqua, mais ce ne devait que pour me tester car un seul mouvement tranchant du sabre en bois et il recula... Je poursuivis le combat avec des coups de tailles et d'estocs... Il se contentait de reculer et... j'avançais... lentement, mais sûrement...
« Lentement, je reculais, une porte donnant sur un couloir était ouverte et a force, nous finîmes par nous retrouver tous les deux à l'intérieur... invisibles à la vue de nos hommes et de nos instructeurs... Gêné dans ses mouvements par les cloisons, je pus passer à l'attaque, la forçant à lâcher son sabre et la poussant dans un combat à sens unique d'attaque-défense que je me devais de gagner afin de prendre la suprématie sur la promotion et en finir prima.
Souvenir d'Isaac à. Sistéron »
je suis tombée dans son piège... Sans mon sabre je perdais mon avantage, les coups pleuvaient mais mon armure me protégeait, chaque coup la gondolait et me tirait un grognement, un grognement mais je ne répliquais pas... J'attendais le bon moment, misant sur mon endurance... Mais en avais-je plus que lui ? En tout cas, c'est certain, il avait plus de force... Ce fut plutôt long mais les coups se firent plus lents, il devait reprendre son souffle. Pas question de laisser passer ma chance, je frappais fort, trois coups qui le mire hors combat, d'abord au niveau du cœur, puis en puissance dans l'abdomen et enfin, un crochet du droit pour l’assommer... Mais je tombais à genoux sous le coup de la fatigue avant de le porter dehors... Fier de ma victoire physique... Mais peu encline à se glorifier pour sa stratégie....
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Informations IRL
Prénom :
Age : 24 ans
Aime :
N'aime pas :
Personnage préféré de One Piece :
Caractère : Quelques mots pour vous décrire ? C’est toujours plus agréable de savoir avec qui on écrit...
Fait du RP depuis : 2005, mais avec un niveau moyen
Disponibilité approximative :
Comment avez-vous connu le forum ?
Quand vous estimez avoir terminé vos descriptions et votre biographie, signalez-le par un nouveau message et demandez votre test RP. Pour plus de lisibilité vous pouvez aussi l'indiquer dans le sous-titre de votre présentation par la mention [En attente de Test RP]. Plus ce sera visible, moins vous avez de chance que les modérateurs ne vous loupent (ce qui n’arrive pas très souvent).
Peu à peu cependant, tout l'amour qu'il avait pour sa femme, se combina avec l'amour paternel qu'il me portait, bien que durant les deux dernières années, il ne m'accorda que peu d’intérêt et ce fut le maire du village qui occupa le poste de nounou. Très vite, il fut noté que mes souvenirs, d'un passé encore proche pourtant, s’estompait peu à peu pour devenir une amnésie complète sur les événements d'avant l'anniversaire de ma sixième année.
Le temps passa encore, où le maire s’occupa de moi comme sa fille. Rien de spécial ne se passait plus, la réputation du colonel Blamoka étant faite, les pirates n'approchaient ou alors ils étaient interceptés bien avant.
Ce fut juste après le début de ma douzième année que mon père me repris vraiment en main, son intention était clairement de me faire entrer dans la marine. Peu à peu mes libertés disparurent et jusqu'à ma quinzième année, je n’eus plus du tout le droit de sortir de la caserne, passant mon temps à m'entraîner à l'utilisation d'armes blanches diverses et varié d'abord, puis au sabre uniquement apprenant les bases. Mon éducation fut celle imposée par un père qui rêvait dorénavant de me voir devenir officier de la marine, théorie de la navigation, renforcement musculaire, arts du sabre, météorologie... Tant de choses utiles pour le rêve du colonel, mais je me languissais du village....
Le temps passa encore, avec un retour de certains droits compensés par encore plus d'obligations. Je surpris plusieurs fois mon regard qui s'égarait vers le large, mes pensées qui rêvaient de liberté. J'avais envie des robes et... d'armures...
Très appréciée et aimée au village, en secret, je pus faire faire une robe blanche au tisserand et ma première armure par le forgeron... Dès que les deux me furent livrés je décidais de ne plus porter l'uniforme, tenant tête à mon père, a ce sujet, je me montrais intraitable, de sorte que son amour pour moi, le fit faire certes concession... Bon... je fus de corvée de chiotte et alors ? C'était un premier pas vers mon rêve de liberté et malheureusement pour lui, un pas en arrière vers la réalisation du rêve du colonel.
>> PARTIE 3 : A BORD DU NAVIRE DU COLONEL // PSYCHOLOGIE
Encore parler de moi ? Bon... laissons la parole a quelqu'un d'autre...
« Il y a dans le monde, bien des gens... Au cours de mes voyages, mon attention fut attirer par une jeune femme qui se disait fille d'un colonel de la marine... C'était étrange... cela me fit vaguement penser à un certain Luffy... qui vivait sur une autre île où mon père avait longtemps vécu... Étrange... si différente de lui pourtant...
Donc, ce qui me marqua d'abord chez elle, c'est qu'elle ne voulait pas des privilèges d'être fille d'un officier... Elle était humble mais avait la manie d'être d'une curiosité sans fin... Elle se mêlait de tout... de tout ce dont elle pouvait, elle faisait vraiment partie de l'île où elle vivait... J’eus le désarrois de la voire dans une situation où elle due montrer ses capacités... Le colonel voulait donner une vision au grand public de la lutte incessante de la marine contre les pirates, pour ça, me sachant journaliste, il m'avait fait monter a bord de son navire de guerre, avec sa fille... pour une chasse aux pirates... Elle aussi, pourtant, était là pour observer...
Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'elle ne tenait pas en place... Avide de connaissance futiles, a bord, elle appliquait toute sa curiosité à questionner un a un les membres de l'équipage. Plutôt amusant a voire... Jusqu'à ce que le navire lança la poursuite d'un navire de pirate de seconde zone... qui fut assez vite rattraper et se fut l'abordage... La mission de Laïa fut de me protéger durant le combat... J’espérais qu'elle n'eut pas à le faire, elle me paraissait si... inapte a combattre, si faible... si fragile... Et pourtant... Si le gros du combat avait lieu sur le navire adverse... quelques pirates eurent l'idée de déjouer la vigilance de la marine, avec succès, en s'introduisant sur le navire du colonel Blamoka... Me mettant en danger en occurrence...
Je voulut, bien entendu, nous mettre à l'abri dans la cabine de son père mais... Elle restait planter là... sourire aux lèvres... presque terrifiante... sabre à la main et armure de combat légère a moitié dessus, a moitié en dessous d'une magnifique robe blanche... Si elle tenait tête efficacement à deux pirates, les trois autres me prenaient à partir et... voyant le danger, difficilement certes, elle les mis hors combat un par un... et au dernier elle avait dit :
"Personne... Personne ne touche à mes amis ! C'est clair ?"
Le dernier avait répondu par l'affirmatif... avant de détaler comme un lapin... avant de se faire arrêter... Ainsi, Laïa me considérait comme un ami... Prompte à faire confiance, manipulable mais extrêmement fidèle en amitié... Cela, c'était peu de temps avant son départ de l'île... J'en étais certain, la mer allait profondément la changer...
Souvenirs de Luk S. Samova, journaliste. »
>> PARTIE 4 : UN NOUVEAU DÉPART // PHYSIQUE
Bon... Je n'aime pas parler de mon physique... alors... Je vais laisser témoigner quelqu'un d'autre...
« Ma fille... j'aurais tant voulue qu'elle choisisse la voie de la marine, surtout avec l'entraînement et l'éducation que je lui ais donné... La dernière fois que je l'ai vue, pas plus tard qu'hier, sur son petit navire, je la trouvais aussi belle que l'était sa mère a son âge... Mais bien plus indomptable...
Ses cheveux bonds dans le vent soufflant vers le large, ses yeux émeraudes observant le village emprunt d'un mélange de tristesse de quitter les siens et de joie de partir enfin à l'aventure. Une expression hésitante sur son visage, des larmes coulant sur ses joues. Elle se retourne pour regarder le large un moment, puis regarde vers le port a nouveau, souriante et pouce levé vers le ciel. D'une voix claire, dans un magnifique mezzo-soprano :
"Ne vous inquiétez-pas père, je reviendrais quand mon rêve sera une réalité !"
Pourtant, son rêve... son rêve... Elle ne m'a jamais parler d'un rêve... A moins que son rêve est d'abord de s'en trouver un... Le mien maintenant... serait qu'elle devienne officier de la marine comme moi...
Bon, poursuivons... Ma fille ce n'est pas que son visage... De l'entrainement que je lui ais prodiguée toute ses années, elle a gagner en force et en souplesse, en vitesse et en réflexe... Je me souviens du premier duel qu'elle a fait contre un de mes hommes... La pauvre... En un coup elle fut mise hors combat... Depuis elle a réussi a pouvoir en utiliser de diverse type... Mais je dirais que la plus belle est de loin celle qu'elle portait à son départ... Un mixte entre une armure de plaque et une robe blanche... couvrant ses avant bras, ses jambes et son thorax... Pourquoi la porter sans danger autour de soit ?
Ce fut en revenant chez moi, que je remarquais qu'elle avait pris avec elle sa tenu blanche de marin que je lui avait offerte pour ses dix-huit ans... Peut-être avait-elle l'intention de s'engager... Après tout... mon nom devrait lui permettre d'entrer vraiment dans la marine sans trop de difficultés.
Souvenirs de Rayan Blamoka, colonel de la marine »
>> PARTIE 5 : EXAMEN FINAL // TEST RP
« ce n'était pas facile, un véritable duel au sommet dans ma formation avec une adversaire de choix. Laïa avec son sabre et son armure est une combattante redoutable, elle a toujours refusé de porter l'uniforme des élèves officiers, ce qui lui a valu nombre de corvées de chiottes ou de pomme de terre mais, tout comme moi, elle était vue par nos instructeurs comme ayant un énorme potentiel. Une rivalité qui nous poussait vers le haut mais qui nous faisait voir nos camarades comme des subalternes et d'une manière ou d'une autre, nous soignions à la fois notre réussite et notre popularité au sein de notre promotion. Pourtant, je le sentais entre nous, je n'étais certain que, que se soit moi ou elle qui finit prima, nous serons très proches l'un de l'autre... Mais pour l'heure, la simulation battait son plein avec un avantage clair pris par les hommes de Laïa et ceux qui représentent la marine. Le tout, bien sur, sous l’œil de nos instructeurs, installé dans un troisième navire, bien plus gros pour une vision d'ensemble [...] »
Après une approche à coups du canon d'exercice, ce fur l'abordage par l'avant de mon rival... Et bientôt, la bataille fit rage avec les hommes d'Isaac, stratégie logique opposée à stratégie de ruse. Je me doutais que... L'abordage n'était qu'un test et j'avais déjà fait une erreur... J'avais engagé tous mes hommes dès le début dans le combat alors que maintenant, il me semblait évident qu'il avait gardé de la réserve à bord du navire de la marine camouflé en navire pirate pour l'occasion... Il ne restait que moi en réserve, bien visible un peu en arrière des combats... Je voulais le pousser à se montrer, le pousser à jouer ses dernières cartes avant d'entrer en jeu....
« Le combat tourna rapidement en ma défaveur sur le navire de Laïa et il me semblait qu'elle n'avait plus qu'une carte à jouer, elle-même... Alors qu'il m'en restait encore pas mal... Cependant je devais faire vite, sans doute avait-elle conscience de son erreur et semblait vouloir mettre fin au plus vite à ce premier round... Je devais faire vite pour jouer ma seconde carte, profiter de son erreur pour la mettre à terre. [...] »
Le combat était concentré sur la partie avant du navire et tout le reste était désert... Plus j'y pense, plus j'étais certaine qu'il essayera de profiter de mon erreur, c'était même une évidence. Pourtant, je ne laissais rien percevoir de ma stratégie qui naissait dans mon esprit, il allait très certainement envahir l'arrière de mon navire pour nous prendre à revers... Eh bien... qu'il y vienne !
« L'arrière était désert, il n'y avait aucun combattant de ma rivale dans les environs. C'est avec le restant de mes hommes que j'envahis cette partie du navire, j'étais certain que cela me donnerait un avantage conséquent quand soudain... Faire vite, c'est par bâbord que moi et les miens nous contournions Laïa pour arriver directement sur ses arrières... Mais... Deux coups du canon et nombre de mes hommes hors combats... Je ne compris pas tout de suite ce qu'il c'était passé. »
J'avais vu juste ! Et alors qu'il faisait mouvement, je ne perdais pas de temps pour sortir quelques hommes des combats pour leur faire tourner deux canons vers la zone bâbord du pont avant hors de vue du passage entre les cabines et le rebord du navire... Alors que derrière moi les combats se poursuivaient intensément, j'avais conscience qu'une telle contre-stratégie abîmerait le navire dans un combat réel, c'était certain, j'avais perdu des points en stratégie... Alors que lui en marquait... Reste à montrer ma valeur au combat...
« Surpris... Elle m'avait surpris avec un stratagème qui se montra efficace et qui le serait sans doute tout autant dans la réalité mais qui comportait le risque de se rater en beauté et d’endommager sévèrement le navire... Un risque que je n'aurais sans doute pas pris... Je remarquais que le nombre équilibré maintenant... Et j'avais hâte de gagner, pas de précipitation je devais ruser, l'attirer dans un endroit où j'aurais l'avantage... Elle représentait la marine, les armes de ses hommes de meilleure qualité, j'avais la force du nombre, je ne l'ai plus. Sans hésitation je mettais en évidence mes poings de guerre renforcée de coque en faire au niveau de la première articulation de mes doigts... et j'attaquais dans sa direction. [...] »
Pas d'hésitation, je l’attendais de pied ferme, mon sabre dé d’entraînement en main. Le temps semblait s'arrêter autour de nous, attirant l'attention de tous les belligérants proches qui arrêtèrent de se battre dans une trêve tacite comme lors d'affrontements entre les héros grecs en pleine bataille... De ses combats, dépendaient souvent de l'issue des combats car... même si la réalité permettrait la victoire, bien souvent quand le héros d'une armée se fait tuer en duel, eh bien... La morale baisse parmi les hommes et quand on y pense, c'est souvent le cas... quand deux capitaines se combattent de front...
« L'affrontement entre nous commença après une phase d'observation... Plus léger qu'elle est son armure, je devais pouvoir prendre un net avantage, mais son armure lui apporte une défense que je n'ai pas alors... un coup bien placé et elle pouvait très vite retourner la situation... Ma première attaque montra que son arme d’entraînement avait un porté qui me gênerait nettement... Avec son sabre, l'envergure de Laïa était supérieure, je devais me montrer rapide... »
Il attaqua, mais ce ne devait que pour me tester car un seul mouvement tranchant du sabre en bois et il recula... Je poursuivis le combat avec des coups de tailles et d'estocs... Il se contentait de reculer et... j'avançais... lentement, mais sûrement...
« Lentement, je reculais, une porte donnant sur un couloir était ouverte et a force, nous finîmes par nous retrouver tous les deux à l'intérieur... invisibles à la vue de nos hommes et de nos instructeurs... Gêné dans ses mouvements par les cloisons, je pus passer à l'attaque, la forçant à lâcher son sabre et la poussant dans un combat à sens unique d'attaque-défense que je me devais de gagner afin de prendre la suprématie sur la promotion et en finir prima.
Souvenir d'Isaac à. Sistéron »
je suis tombée dans son piège... Sans mon sabre je perdais mon avantage, les coups pleuvaient mais mon armure me protégeait, chaque coup la gondolait et me tirait un grognement, un grognement mais je ne répliquais pas... J'attendais le bon moment, misant sur mon endurance... Mais en avais-je plus que lui ? En tout cas, c'est certain, il avait plus de force... Ce fut plutôt long mais les coups se firent plus lents, il devait reprendre son souffle. Pas question de laisser passer ma chance, je frappais fort, trois coups qui le mire hors combat, d'abord au niveau du cœur, puis en puissance dans l'abdomen et enfin, un crochet du droit pour l’assommer... Mais je tombais à genoux sous le coup de la fatigue avant de le porter dehors... Fier de ma victoire physique... Mais peu encline à se glorifier pour sa stratégie....
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Informations IRL
Prénom :
Age : 24 ans
Aime :
N'aime pas :
Personnage préféré de One Piece :
Caractère : Quelques mots pour vous décrire ? C’est toujours plus agréable de savoir avec qui on écrit...
Fait du RP depuis : 2005, mais avec un niveau moyen
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