Une nuit calme s'était avancé peu de temps après mon « incarcération » dans cette petite prison de fortune.Ce bâtiment sale, petit, peu aménager, était devenu bonder en une seule embarcation arrivé un peu par surprise.
Heureusement, le temps était de la partie et un soleil, quelque peu caché par quelques nuage, avait permis de faire un triage de tout les prisonnier. S’était l'un de ses nouvel arrivant.En premier lieu, un triage se fit. On sépara les hommes, à première vu prisonnier et les contrebandier avant d'envoyer les second dans une partie de la petite prison, tout les cinq ou six dans la même cellule.
Ensuite ce fis un petit passage entre les hommes par les marines et, très vite, deux groupe. Ceux qui était en train de crever de faim sur place et ceux qui pouvait encore supporter le manque de nourriture le temps d'un petit examen médical.Je mourrais de faim, je le savais et je le sentait, mais on ne m'avait pas mis avec ceux qui se régalais a manger la nourriture, quelque peu douteuse, mais consistante, sans vraiment faire les difficile. En même temps, certain des soldats questionnait les hommes déjà passer par l'examen.
Les première questions semblait simple pour eux, mais la dernière question semblait plus....Difficile. Parfois des non rapide, des paroles horrifié, souvent accompagner de regard dans ma direction, mais cela, je les ignorais royalement.Quand ce fus mon tour, un Marine resta près de moi tandis que le docteur me manipulais les bras, les faisant lever, ma bouche que j'ouvrais...Enfin, l'examen médical quoi, qui se fini pas quelques bandages par ci par là sur des blessures récentes de quelques jours .
Je pris alors ma gamelle que je regarda un moment avant de commencer à manger ma part avec appétit. J'avais l’impression d'en avoir eu un peu plus que les autres, mais je préférait ne pas m'attarder sur ça vu comment ma gamelle était devenu vide en quelques secondes.C'est alors ce moment là que les Marines commença à diriger sans vraiment être inquiéter les ex-captifs dans les cachots, Par rapport à celle des contrebandier, ils laissait les portes ouvertes, ceux ci était plus dans des « logements » le temps de trouver un bateau pour ramener chez eux tel personne ou tel personne chez lui.
Quand ce fus mon tour, une main m'agrippa l'épaule légèrement par l’arrière, ce qui me fis sursauter et faire un pas sur le coté par surprise. Le Marine, d’abord surpris, ce mit à ricaner avec un autre collègue sur quelque chose que je n'avait pas vraiment compris. On me mit alors seul dans mon cachot et l'un des soldat referma la porte en fer derrière moi. On se méfiais de moi, ça, s'était simple à deviner...
Ce fus comme ça que je passa la nuit dans ma « cage », le temps était passer d'un beau soleil à u violent orage, sûrement une tempête. Je me mis dans un angle mort pour échapper à la pluie qui passait par ma fenêtre à barreau., ayant un peur sans pour autant le montrer...Un bruit de clé se fis entendre et c'est avec ceux ci que je remarqua que l'on m'amenait de la visite. Mon «masque» ne le montrait pas, mais j’étais assez surpris de voir une femme avec seulement une jambe sans pied et un bras, que l'on posa dans un coin, « debout » avant de repartir. Je m'approcha... Et l'étrange personne se réveilla, pendant un moment je croyais avoir été mis avec un cadavre, mais le corps se présenta sous le nom d'Hana et me mis rapidement mieux à l'aise même si je ne le montrait toujours pas. Durant les deux ou trois jours où on a été ensemble, Celle ci me raconter malgré mon indifférence son histoire.Malgré le fait que je ne lui avait encore dit aucun mot, de même au Marines, ne m'avait pas empêcher de devenir extrêmement intéresser par son récit, que je dévorais des oreilles, aucun mot n'était rater pour moi, elle devait savoir que je l'écoutais quand je m'asseyait prés d'elle.
Ces quelques jours avait suffit à m'attacher à la révolutionnaire, mais aussi à sa cause.Je ne voulais pas devenir un Marine, je me souvenais que mon père avait été aussi un révolutionnaire, et celui ci était mon modèle, je ne voulais pas le décevoir et rejoindre la cause qu'il aura défendu jusqu’à sa mort.
....Riku.
Mon premier mot, depuis longtemps, je n'avait pas dit grand chose, cela me faisait une drôle de sensation. Une heure ou deux après, un groupe de soldat vins me chercher, moi et Hana, on puis remis alors ses membres mécanique, ils avait peur que celle ci me tue sûrement. On se fis alors escorter vers le port, accompagner d'une pile d'arme émousser dont ma faux, mais aussi une autre pile d'objet, étrange je dois dire. Je vois comme un rat mort à moitié robot tout au dessus.
J'appris mon sort, qui était de rejoindre une école pour faire de moi un Marine obéissant et docile et, pour Hana, une prison, où elle servirait alors de cobaye, elle qui vivait avec une part robotique en elle...
Heureusement, le temps était de la partie et un soleil, quelque peu caché par quelques nuage, avait permis de faire un triage de tout les prisonnier. S’était l'un de ses nouvel arrivant.En premier lieu, un triage se fit. On sépara les hommes, à première vu prisonnier et les contrebandier avant d'envoyer les second dans une partie de la petite prison, tout les cinq ou six dans la même cellule.
Ensuite ce fis un petit passage entre les hommes par les marines et, très vite, deux groupe. Ceux qui était en train de crever de faim sur place et ceux qui pouvait encore supporter le manque de nourriture le temps d'un petit examen médical.Je mourrais de faim, je le savais et je le sentait, mais on ne m'avait pas mis avec ceux qui se régalais a manger la nourriture, quelque peu douteuse, mais consistante, sans vraiment faire les difficile. En même temps, certain des soldats questionnait les hommes déjà passer par l'examen.
Les première questions semblait simple pour eux, mais la dernière question semblait plus....Difficile. Parfois des non rapide, des paroles horrifié, souvent accompagner de regard dans ma direction, mais cela, je les ignorais royalement.Quand ce fus mon tour, un Marine resta près de moi tandis que le docteur me manipulais les bras, les faisant lever, ma bouche que j'ouvrais...Enfin, l'examen médical quoi, qui se fini pas quelques bandages par ci par là sur des blessures récentes de quelques jours .
Je pris alors ma gamelle que je regarda un moment avant de commencer à manger ma part avec appétit. J'avais l’impression d'en avoir eu un peu plus que les autres, mais je préférait ne pas m'attarder sur ça vu comment ma gamelle était devenu vide en quelques secondes.C'est alors ce moment là que les Marines commença à diriger sans vraiment être inquiéter les ex-captifs dans les cachots, Par rapport à celle des contrebandier, ils laissait les portes ouvertes, ceux ci était plus dans des « logements » le temps de trouver un bateau pour ramener chez eux tel personne ou tel personne chez lui.
Quand ce fus mon tour, une main m'agrippa l'épaule légèrement par l’arrière, ce qui me fis sursauter et faire un pas sur le coté par surprise. Le Marine, d’abord surpris, ce mit à ricaner avec un autre collègue sur quelque chose que je n'avait pas vraiment compris. On me mit alors seul dans mon cachot et l'un des soldat referma la porte en fer derrière moi. On se méfiais de moi, ça, s'était simple à deviner...
Ce fus comme ça que je passa la nuit dans ma « cage », le temps était passer d'un beau soleil à u violent orage, sûrement une tempête. Je me mis dans un angle mort pour échapper à la pluie qui passait par ma fenêtre à barreau., ayant un peur sans pour autant le montrer...Un bruit de clé se fis entendre et c'est avec ceux ci que je remarqua que l'on m'amenait de la visite. Mon «masque» ne le montrait pas, mais j’étais assez surpris de voir une femme avec seulement une jambe sans pied et un bras, que l'on posa dans un coin, « debout » avant de repartir. Je m'approcha... Et l'étrange personne se réveilla, pendant un moment je croyais avoir été mis avec un cadavre, mais le corps se présenta sous le nom d'Hana et me mis rapidement mieux à l'aise même si je ne le montrait toujours pas. Durant les deux ou trois jours où on a été ensemble, Celle ci me raconter malgré mon indifférence son histoire.Malgré le fait que je ne lui avait encore dit aucun mot, de même au Marines, ne m'avait pas empêcher de devenir extrêmement intéresser par son récit, que je dévorais des oreilles, aucun mot n'était rater pour moi, elle devait savoir que je l'écoutais quand je m'asseyait prés d'elle.
Ces quelques jours avait suffit à m'attacher à la révolutionnaire, mais aussi à sa cause.Je ne voulais pas devenir un Marine, je me souvenais que mon père avait été aussi un révolutionnaire, et celui ci était mon modèle, je ne voulais pas le décevoir et rejoindre la cause qu'il aura défendu jusqu’à sa mort.
....Riku.
Mon premier mot, depuis longtemps, je n'avait pas dit grand chose, cela me faisait une drôle de sensation. Une heure ou deux après, un groupe de soldat vins me chercher, moi et Hana, on puis remis alors ses membres mécanique, ils avait peur que celle ci me tue sûrement. On se fis alors escorter vers le port, accompagner d'une pile d'arme émousser dont ma faux, mais aussi une autre pile d'objet, étrange je dois dire. Je vois comme un rat mort à moitié robot tout au dessus.
J'appris mon sort, qui était de rejoindre une école pour faire de moi un Marine obéissant et docile et, pour Hana, une prison, où elle servirait alors de cobaye, elle qui vivait avec une part robotique en elle...