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Evasion de dernieres minutes [PV Hana,Masaki, Malek]

Une nuit calme s'était avancé peu de temps après mon « incarcération » dans cette petite prison de fortune.Ce bâtiment sale, petit, peu aménager, était devenu bonder en une seule embarcation arrivé un peu par surprise.

Heureusement, le temps était de la partie et un soleil, quelque peu caché par quelques nuage, avait permis de faire un triage de tout les prisonnier. S’était l'un de ses nouvel arrivant.En premier lieu, un triage se fit. On sépara les hommes, à première vu prisonnier et les contrebandier avant d'envoyer les second dans une partie de la petite prison, tout les cinq ou six dans la même cellule.

Ensuite ce fis un petit passage entre les hommes par les marines et, très vite, deux groupe. Ceux qui était en train de crever de faim sur place et ceux qui pouvait encore supporter le manque de nourriture le temps d'un petit examen médical.Je mourrais de faim, je le savais et je le sentait, mais on ne m'avait pas mis avec ceux qui se régalais a manger la nourriture, quelque peu douteuse, mais consistante, sans vraiment faire les difficile. En même temps, certain des soldats questionnait les hommes déjà passer par l'examen.

Les première questions semblait simple pour eux, mais la dernière question semblait plus....Difficile. Parfois des non rapide, des paroles horrifié, souvent accompagner de regard dans ma direction, mais cela, je les ignorais royalement.Quand ce fus mon tour, un Marine resta près de moi tandis que le docteur me manipulais les bras, les faisant lever, ma bouche que j'ouvrais...Enfin, l'examen médical quoi, qui se fini pas quelques bandages par ci par là sur des blessures récentes de quelques jours .

Je pris alors ma gamelle que je regarda un moment avant de commencer à manger ma part avec appétit. J'avais l’impression d'en avoir eu un peu plus que les autres, mais je préférait ne pas m'attarder sur ça vu comment ma gamelle était devenu vide en quelques secondes.C'est alors ce moment là que les Marines commença à diriger sans vraiment être inquiéter les ex-captifs dans les cachots, Par rapport à celle des contrebandier, ils laissait les portes ouvertes, ceux ci était plus dans des « logements » le temps de trouver un bateau pour ramener chez eux tel personne ou tel personne chez lui.

Quand ce fus mon tour, une main m'agrippa l'épaule légèrement par l’arrière, ce qui me fis sursauter et faire un pas sur le coté par surprise. Le Marine, d’abord surpris, ce mit à ricaner avec un autre collègue sur quelque chose que je n'avait pas vraiment compris. On me mit alors seul dans mon cachot et l'un des soldat referma la porte en fer derrière moi. On se méfiais de moi, ça, s'était simple à deviner...

Ce fus comme ça que je passa la nuit dans ma « cage », le temps était passer d'un beau soleil à u violent orage, sûrement une tempête. Je me mis dans un angle mort pour échapper à la pluie qui passait par ma fenêtre à barreau., ayant un peur sans pour autant le montrer...Un bruit de clé se fis entendre et c'est avec ceux ci que je remarqua que l'on m'amenait de la visite. Mon «masque» ne le montrait pas, mais j’étais assez surpris de voir une femme avec seulement une jambe sans pied et un bras, que l'on posa dans un coin, « debout » avant de repartir. Je m'approcha... Et l'étrange personne se réveilla, pendant un moment je croyais avoir été mis avec un cadavre, mais le corps se présenta sous le nom d'Hana et me mis rapidement mieux à l'aise même si je ne le montrait toujours pas. Durant les deux ou trois jours où on a été ensemble, Celle ci me raconter malgré mon indifférence son histoire.Malgré le fait que je ne lui avait encore dit aucun mot, de même au Marines, ne m'avait pas empêcher de devenir extrêmement intéresser par son récit, que je dévorais des oreilles, aucun mot n'était rater pour moi, elle devait savoir que je l'écoutais quand je m'asseyait prés d'elle.

Ces quelques jours avait suffit à m'attacher à la révolutionnaire, mais aussi à sa cause.Je ne voulais pas devenir un Marine, je me souvenais que mon père avait été aussi un révolutionnaire, et celui ci était mon modèle, je ne voulais pas le décevoir et rejoindre la cause qu'il aura défendu jusqu’à sa mort.

....Riku.

Mon premier mot, depuis longtemps, je n'avait pas dit grand chose, cela me faisait une drôle de sensation. Une heure ou deux après, un groupe de soldat vins me chercher, moi et Hana, on puis remis alors ses membres mécanique, ils avait peur que celle ci me tue sûrement. On se fis alors escorter vers le port, accompagner d'une pile d'arme émousser dont ma faux, mais aussi une autre pile d'objet, étrange je dois dire. Je vois comme un rat mort à moitié robot tout au dessus.

J'appris mon sort, qui était de rejoindre une école pour faire de moi un Marine obéissant et docile et, pour Hana, une prison, où elle servirait alors de cobaye, elle qui vivait avec une part robotique en elle...
    Sa re-capture ne fut guère difficile, tandis que la marine pouvait noter que celle qui opérait pour la révolution en tant que médecin scientifique était quelqu'un qu'ils avaient pensés mort, attraper par des chasseurs de primes, un cadavre pissant le sang par des orifices déchirés. Comment auraient ils pus pensés qu'elle survivrait. Ainsi, il ne serait pas difficile de faire passer sa personne, notée comme morte, dans un labo d'analyse ou l'ont pourrait disséquer ses membres cybernétiques mais aussi son corps pour atteindre ses prothèses servant a remplacés ses organes malades ou tout au moins, les soutenir. Bref, elle passerait un sale moment avant de crever comme un rat de laboratoire. Avant cela, et bien qu'elle se doutait de cette suite logique, la jeune femme fut jetée dans une cellule, comme on jette un sac poubelle dans une benne a ordure trop remplie. Ses membres cybernétiques confisqués.

    Il y avait quelqu'un d'autre dans la cellule, qui fut contraint de l'aider à atteindre l'un des lit de la cellule, contraint aussi de lui apporter son repas. Durant leur séjour, hana ne bougea que pour ses besoins,ou la douche, et ce fut à chaque fois son compagnon de cellule qui fut contraint à l'y aider... Pour le reste, il ne parlait pas beaucoup, un gamin, qui lui rappelait elle et malek, sauf qu'il n'avait pas d'Hana ou de malek de son age avec lui. Et que les deux ne sortaient pas de cette geôle, protégés des autres taulard. Ce gamin qui ne décrochait aucun mot fut donc sa source d'activité principale. Ne pouvant guère se déplacer, hana parla : Ayant le contact assez facile et assez de niaiserie pour toute une armée. Elle raconta quelques événements de sa vie en essayant de pousser l'enfant a parler de son vécu. Mais jamais il ne répondait, alors, elle continuait avec ses histoires personnelles.. Lorsque le soir elle en était fatiguée, alors, la demoiselle cherchait une histoire, s'excusant de le prendre pour un enfant lui qui était en prison, et lui racontait donc une historie vraiment burlesque et fantastique pour un bon sommeil.

    Le contact ce fit quand même car rapidement, ce dernier vint s'asseoir à coté d'elle, quand elle ne parlait pas, ce qui était rare, et lançait aussitôt chez hana, un flot de paroles quasi inextinguible. Lorsqu'elle en vint a parler de la révolution, ayant donc déjà évoqué ses premiers prothèses faites de bric et de brac, vraiment pas adaptée ni pratique à l’inverse de ses actuels membres qu’on lui avait confisqués, et alors quelle terminait en disant « c'est ainsi que je les ait rejoint. » Il décrocha son premier mot, déclarant son nom. Hana sourit aussitôt pour rétorquer que sa vois est jolie, et qu'il ne devrait pas la cacher dans son mutisme. Et que cela valait aussi pour son nom. Une petite pause orale se marqua alors, et ont leur ouvris leur cage... Ce début de discutions mourant dans l’œuf a cause des événements.

    L'ont confirma a Hana son sort et déclara à riku lequel serait le sien, les deux attachés aux poignets  et au cou par des chaînes, l'un a coté de l'autre, ainsi que aux chevilles. Cela après avoir remis les prothèse de la jeune femme, ont les amenas vers le port, un petit port mal entretenu. Les déchets de la mer pourrissant et puant sur celui-ci, quelques navires de pêcheurs trop alcoolisés pour prendre la mer étant a quai, ainsi que celui de la marine : La voile percée, la coque pleine de crustacés, un vieux navire. L’équipage a bord, comment dire... Beaucoup d’hommes n'avaient même pas la tenue réglementaire. Leur escorte comportait une charrette tirée par un bœuf, avec un tas d'armes usagées, arrachées aux prisonniers lors de leurs captures probablement. Du lot dépassait un drôle de museau avec une mini plaque de fer sur la petite truffe ; son rat, Mr Saucisse, qui était mort, celons elle... Avait atterrit ici, probablement trins-ballé au fil de transfert d'une prison a l'autre. Hana sourit, de le savoir encore vivant, même écrasé sous cette pile d'arme, il lui parus évident qu'il se cachait juste.

    Malek à aussi rejoint la marine, je t'en ai parler non ? Si tu le vois.. Vus que tu vas les rejoindre de force, dis lui, que je ne lui en veux pas. » Elle sourit et semble joviale, même si son destin semble être bien funeste. « Ce serait sympa de ta part. Riku Kun. »
    HRP, Ps: Je code et corrige en détail plus tard '-'
    • https://www.onepiece-requiem.net/t15256-
    Cette fois c'était bien la dernière fois, Masaki ne resterait pas sans rien faire alors que Hana était privée de liberté. C'était une citoyenne modèle, et bien que de par sa présence elle soit complice de la révolution, ce n'était pas une raison pour l'arrêter, quelle qu'elle soit. S'attaquer à une base tout seul ou même à plusieurs était inenvisageable, par contre s'attaquer à un navire de la marine avait été facile. Ainsi Masaki a pu communiquer avec la base où était enfermée sa sauveuse afin de faire croire à un transfert via l'escargophone de la marine en empruntant un nom qu'il avait vu sur un uniforme. C'était plus facile si Hana n'était entourée que de quelques gardes, armés ou pas il allait bien en profiter. Cependant la révolution n'était pas comme la piraterie, il fallait établir une stratégie pour mieux les éliminer et les effacer de la surface de la planète pour de bon comme à son habitude.

    Le vent venant d'ouest soufflait plutôt fort, les prisonniers se trouvaient dans une base plus au nord et devaient traverser un chemin qui se dirigeait vers l'est où se trouvait le port. C'était le bon temps pour un assaut frontal, cependant ça ne saurait être aussi peu original que du simple bourrinage. En sa compagnie se trouvait Kyu qu'il avait rencontrée en premier et recrutée suite à ses grandes compétences en beuverie. On ne dirait pas comme ça, mais c'était utile pour plein de choses, et personne ne se méfiait d'une femme saoule en général, ce n'était normalement pas violent. Tandis que Malek qu'il avait rencontré dans le désert était de l'autre côté en train de regarder son capitaine ainsi que le plan qu'il allait pondre dans une bonne minute.

    Sans plus attendre, Masaki s'assit sur l'herbe fraîche du petit bois qui bordait la ville où se trouvait la base. Le chemin était clairement visible et il était facile de voir les marines sortir, surtout avec une énorme cage pour transporter les prisonniers transférés. Bien sûr il avait pris soin de déballer des matricules au hasard, pas forcément celui de Hana, mais aussi certains de la même cellule et la voisine, quand il avait épluché le dossier dans le navire. Ainsi le révolutionnaire prit dans son sac une grande carte de South Blue et la déballa en face de lui, marquant la position actuelle de son doigt ainsi que le port et la base afin de former un trajet imaginaire. C'était leur ouverture et ils n'en auraient pas d'autre, alors il fallait en profiter. Les marines dans le navire n'étaient pas morts, juste enfermés dans la cale solidement en cas d'interrogatoire surprise. À tout moment ils pouvaient s'échapper avec les renforts si ils venaient à monter sur l'embarcation, et cela ne devait pas se produire. L'échec n'était pas une option.


    -Voici notre zone d'action, cette petite route en bordure de la ville qui mène directement au port. Toi Kyu, tu vas jouer le rôle de la diversion, c'est un rôle crucial car il mettra l'effet de surprise de notre côté. Tu vas feindre un accident de la route, fais par exemple semblant qu'ils t'ont renversée et que tu veux porter plainte contre eux, ça va les faire un peu paniquer. Pendant ce temps, Malek et moi on débarque en pressing sur les côtés et on élimine symétriquement les troupes. Il faut qu'on essaye de ne pas répandre de sang, sinon on irait tout de suite croire à un accident et des poursuites seraient engagées. Nous irons les enterrer plus tard, pour le moment ils doivent disparaître sans laisser de trace.

    C'est ok pour tout le monde ou vous avez autre chose à proposer de plus efficace ?
    • https://www.onepiece-requiem.net/t14996-masaki-no-jimeri

    Malek se sentait agité, nerveux. Depuis qu’il avait mis les pieds sur cette fichue île, quelque chose le mettait mal à l’aise. Il n’aurait su dire si c’était à cause de leur mission ou de la proximité d’une base de la Marine. Malek n’avait plus approché des installations de la Marine depuis qu’il en était parti. Il était un peu anxieux. Bien que les risques soient infimes, il avait passé la majeure partie de sa carrière dans les Blues. Que se passerait-il si un soldat le reconnaissait? … Probablement rien, se dit-il après un instant de réflexion. Personne n’était au courant de son alliance avec les Révolutionnaires. Pas encore, tout du moins. Mais tout pouvait changer à l’issue de cette mission.

    La mission? Il ne voulait pas y penser. Rien que l’idée qu’ils pouvaient échouer lui donnait la nausée. Grâce aux réseaux de renseignement des Révolutionnaires, il avait enfin pu retrouver Hana, dans une prison sordide sur cette même île où il se trouvait à présent. Prison de laquelle son petit groupe se proposait de la faire sortir. Homme de multiples talents, Masaki avait réussi à organiser un faux transfert en se faisant passer pour un officier de la Marine. Si, d’abord, Malek avait pensé que ça ne marcherait jamais, force était de constater que certaines bases de la Marine méritait une petite inspection. L’ancien Marine qu’il était, était sidéré que le plan ait fonctionné. Mais il n’allait certainement pas s’en plaindre. Si la chance restait de leur coté encore un moment, ce n’était plus qu’une question de minutes avant qu’il ne retrouve enfin Hana. Et cette fois, ce ne serait pas en tant qu’ennemi.

    Encore fallait-il que le plan fonctionne!

    Pour l’instant, le plus gros était à faire. Certes, la ruse de Masaki allait permettre de faire sortir Hana des murs de la prisons, mais il leur restait encore à éliminer l’escorte, à libérer les prisonniers et à fuir cette maudite île. Le tout en quelques minutes et sans attirer l’attention. Malek avait l’habitude des missions commandos mais cette fois, il ne se sentait pas à son aise. Non pas qu’il se soit déjà sentit à l’aise dans ce genre de situation, il pensait d’ailleurs qu’on ne s’habituait jamais à ce genre de mission. Il restait toujours une part de stresse et de peur au fond de lui quoi qu’il fasse, et tant mieux, car, de son avis, c’était justement ça qui lui avait permis de rester en vie jusque là.

    Cette fois cependant, Malek avait des raisons de ne pas se sentir à l’aise. D’abord la vie de Hana était en jeu et sa liberté dépendait de leur réussite. Si ce n’était pas un facteur de stress, ça, qu’est-ce qui l’était? Ensuite, son équipe n’était plus à ses cotés et il se retrouvait à faire équipe avec des Révolutionnaires dont il ne savait pratiquement rien. En temps normal, le jeune homme aurait certainement refusé la mission, mais pas cette fois. Il devait être là. Il devait faire tout ce qui était en son pouvoir pour arracher Hana à cette sombre prison. Tant pis si l’équipe n’était pas à la hauteur. Tant pis s’il se faisait prendre. Au moins il aurait la satisfaction de savoir qu’il avait fait tout ce qu’il pouvait.

    Les bras croisés sur le torse, le jeune homme écoutait Masaki exposer son plan d’action. En bon militaire, Malek le laissait parler sans l’interrompre, enregistrant toutes les informations importantes pour plus tard. Il ne pouvait pas dire qu’il était d’accord avec le plan exposé par son partenaire mais dans leur situation, il savait qu’ils n’avaient pas vraiment le choix.

    – Tu sais que je suis plus efficace de loin, n’est-ce pas, fit-il remarquer quand Masaki eu fini son speech. En soutiens, depuis cette colline, je pourrais couper la route de toute tentative de renforts avec Nightfall. Mais bien sûre si c’est sur la discrétion que tu comptes, je suppose que je n’ai pas  le choix. Mais ne t’attend pas à ce que je sois très efficace au corps à corps!
    Bien sûr, Malek avait bénéficier d’un entraînement au corps à corps et au combat à main nues pendant son entraînement, mais il avait toujours préféré traquer ses cibles et les abattre de loin, tandis qu’elles ignoraient sa présence. C’était sa façon de se battre même si pour beaucoup c’était lâche et déloyal. Il se moquait de ce qu’on pouvait en penser.

    – Utiliser Griffon n’est pas non plus une option, j’imagine? Demanda-t-il en vérifiant le barillet de son revolver. Mais si tu veux faire disparaître les corps vite et définitivement, pas besoin de les enterrer. Suffit de les jeter à l’eau, les requins et les autres bestioles marines s’en occuperont pour nous.
    Il remit Griffon dans son holster à sa taille, sans ce soucier des regards braqués sur lui.

    – Quand tu veux, capitaine, je te suis!
      Les deux prisonnier......Enfin, non, la prisonnière ainsi que moi même, qui ne l'était pas vraiment, avançons entouré de gardes. Pour ma voisine de lit, tout avait été mis en œuvre pour s'assurer qu'elle ne ferait rien durant le transfert. Pour moi ? Il semblerait que  l'on est juger  que je n'ai pas la nécessité d'avoir les pieds et mains lié. Après tout, j'allais être former, voire même endoctriné dans cette armée qu'est la Marine.Le chemin état plutôt simple et sans encombre physique, on aurait presque dit une petite promenade si il n'y avait pas les uniformes. Un des soldat commença à me parler.


      " hé gamin, o t'a déjà tout prévu là bas, t'aura ton lit, ton uniformes et ton coin à toi pour ranger tes trucs ! "


      Je commença a regarder les oiseau au dessus de nous, je savais que s'était que des mouettes, mais étrangement, ils me faisait plus penser à des charognards qui attendait nos carcasses encore chaud qu'autre chose....Malek. Ce nom que venait de sortir Hana  resterait dans ma mémoire, quoiqu'il arrive, je n'avais pas envie de rejoindre leurs rang, même si, à ce moment là, je m'y était préparer. J'aurais bien voulu rejoindre la révolution, suivre  les traces de mon père ainsi que ceux d'Hana, mais c'est la vie... Je vais devoir défendre quelque chose que ses deux personnes cher a mes yeux ( car oui,je m'était attacher à Hana par son histoire) ont, durant toute leurs vie tenter de se débarrasser, quelle ironie...

      Le convoi, donnant une marche plutôt lente, je pus me permettre de délaisser Hana pour marcher légèrement plus vite. Mise a part le soldat que j'ai totalement ignorer et qui semblais pas avoir apprécier, aucun ne firent attention à moi, préférant surveiller l'autre prisonnière. Je suivais alors les pas de celui qui ouvrait la marche.

      ....Alors....Je vais finir chez la Marine ? Vous allez faire en sorte à ce que je soit un bon petit toutou qui va suivre des ordres aveuglément, c'est ça ?

      Mes paroles n'était pas curieuse, mais plutôt agressive, presque moqueuse. Me rappelant des quelques méthodes que mon m'avait raconté après l'avoir lui même entendu. Il paraît même que s'était pour ça qu'il était parti en mer avec moi car ma mère voulait m'envoyer dans l'une de ses institutions. L'autre soldat, qui avait entendu mes paroles, m'attrapa par l'épaule avec une forte poigne pour me forcer à être à sa hauteur. J'avais un peu mal,  car il n'avait pas décider de m'épargner ce que je venait de dire.C'est à ce moment là que celui ci se pencha vers moi, ou plutôt prés de mon oreille.

      "Toi....Rien que pour ça, on va te briser en petit morceau jusqu'à ce que tu obéisse aveuglement à la Marine et la justice... "

      Le soldat serra encore plus son emprise sans en dire plus. Je ne sortait qu'un léger soupir, pas un mot, mais assez  pour mettre dans une colère noir celui ci . Si on était tout seul, il m'aurait sûrement fais passer un très mauvais moment, mais il ne pouvait rien me faire pour le moment, pas encore du moins. Celui ci me poussa  au point que je failli tomber, mais je réussi a rester debout sur mes petites jambes, retournant au coté de Hana, sans un mot au début, mais je parla discrètement à Hana.

      .....Je ferait tes derniers souhait.....et résisterait du mieux que je peux à ce qu'ils me feront.Pour toi ais aussi pour mon père...

      J’espérai au fond de moi qu'elle avait compris que j’étais fils d'un révolutionnaire qui n'était aujourd'hui plus de ce monde.....
        Tout s’écroulait soudain dans un monde étrangement numérisé. Des Zero suivis de Un par dizaines et entrecoupés de nouveaux Zero, certains mal formés, d'autres cisaillé d'incohérence. Tout n’était que cela et pourtant tellement plus ! Cette suite sur la droite simulait adroitement l'odeur de camembert bien fait, tandis que celle tout à gauche imagé sans erreur la sensation d'un doux câlin. Étrange vision du monde pour un rat, complètement bugé. Il est, dans le monde réel, dans un tas d'ordure métallique, son petit cœur bat encore bien vite mais il est comme mort. Ce qui l'y avait entraîné ? Un bout de fromage perdu dans ce tas. Puis, en voulant s'y faufiler, bout de métal qui tombe et enclenche sur un bouton poussoir sa mise en veille prolongée. Un genre de petit paradis duel le vieux rat virevolte au gré de ses envies. Mais soudain, une vois enclenche le départ de ce monde. C'est la vois de l'Humain Purée ; ce nom, c’est celui que donne sa petite cervelle à Hana. Il tien beaucoup a cet humain purée, sans savoir trop pourquoi. Ses paupières s’ouvrent soudain, ses yeux rouges pointé vers le bout de fromage, ou plus exactement, une marque verte, signe que quelqu'un l'à devancer... Probablement ses sales mouches ! Le rat se faufile dans le tas de ferraille et renifle a l'endroit pour être bien certain que le fromage ne 'c’est pas caché ou camouflé... mais non... Triste, mais il à plus important a faire, il doit retrouver le retse de sa communauté : l'humain purée !

        Pendant ce temps là, Riku clash avec les marines, Hana refflechie a comment s'enfuir ; il à forcément une échappatoire, son regard se porte un instant vers les quai et le navire le plus sale et son esprit va a repenser a ses folles escapades d’évadés avec se traître de Malek. Fut un temps ou il aurait accouru pour la secourir mais ce temps est, depuis longtemps révolu. Et tellement de choses ont changées. Elle n’a jamais vraiment choisie de camp, juste vécue, ballot de paille souffler par des vents contraires. Et elle vas mourir dans un labo' de scientifiques probablement dérangés. Elle soupire, écoutant d'une oreille distraite ce qu'il se dit alentours. Peut-être qu'une tempête empêcheras leurs transferts respectifs... Peut-être... Elle ne peux rien faire. Ses poignets sont noués, ses doigts gigotent pour essayer de defaire le lien uqi est décidément bien serré. On ne la regarde pas a cause de Riku, tant mieux, ca lui laisse l'ombre d'un espoir. Elle sourit au gamin lorsqu'il répond a ce qu'elle avais dis plus tôt.

        Hana : « Tu es gentil, merci, Riku Kun. »

        C'ets là qu'elle s etourna vers une garde en un geste d'une fluidité et d'une rapidité assez rare, ses poignets séparés, un poing se leva, propulsé par une petite flamme au niveau du coude, un direct dans la face qui projeta au sol celui qui ne s'y attendait pas. Pas mort mais suffisamment sonné pour ne plus bouger. L'instant d’après deux des quatre gardes enserrent chacun l'un de ses bras, le troisième lui mis son poing dans la figure et réitéra l'acte une bonne dizaine de fois jusqu'à suffisamment tuméfier le visage d'Hana.

        Garde : « Bien, comme ca t'essayeras plus quoi que ce quoi, grognasse de merde » les deux autres se mirent a rire, le quatrième était debout depuis un moment, sonné mais s'occupent de renouer les mains de la jeune femme pendant qu’elle prenait les coups.
        • https://www.onepiece-requiem.net/t15256-
        Maintenant que tout le monde était prêt, le plan pouvait commencer, ces marines allaient bientôt regretter d'avoir emprisonné Hana, celle à qui il doit sa vie depuis ce tragique accident. Tout ce qu'il avait sur lui, c'était sa hallebarde, et comme compagnons un tireur d'élite et une picoleuse, de loin le meilleur élément de son énorme équipage de quatre personnes. Heureusement ils n'étaient pas bien nombreux, seulement une dizaine autour de la cage des prisonniers. Hana n'était pas la seule transférée, il fallait en ajouter d'autres pour qu'elle passe inaperçue, notamment un certain Riku dont le casier judiciaire ne semblait pas très gros, un Jean-Pierre gaufrier et Louis qui était forgeron. Masaki n'avait aucune idée de pourquoi ils avaient été accusés tous autant qu'ils étaient, même Hana, mais le plus important était de délivrer les prisonniers et de faire disparaître les corps discrètement.

        Pour les besoins de cette opération, Malek ne devait pas utiliser son arme, répandre le sang ferait croire à une attaque, même avec une petite balle à bout portant. Et puis il avait suivi un entraînement au corps à corps, alors il n'y avait pas de quoi s'en faire. Il aurait de toute façon des occasions de tirer, comme par exemple lors d'une altercation entre pirates et marines où le premier coup de feu serait décisif pour mettre le feu aux poudres entre eux. Mais là il fallait jouer de prudence afin que petit à petit la marine diminue en effectifs sans même s'en apercevoir. Masaki ne savait pas encore si il allait éliminer la base entière ou juste délivrer Hana et les autres détenus. Après tout si il arrivait à faire croire au gouvernement qu'il n'y a jamais eu de base à cet endroit ce serait une bonne chose. Plus de marine, plus d'esclavagisme, plus de domination, la liberté totale était à portée de main. Après ce n'était pas forcément nécessaire tout de suite, pour le moment le plus important était Hana, la révolte serait pour plus tard.

        Ainsi l'attaque pouvait débuter, comme prévu Kyu alla se mettre en position loin devant la carriole de transport dans son état d'ébriété habituel tandis que les deux autres se positionnaient de part et d'autre du chemin. Il fallait bien plus que simplement donner l'assaut, car Kyu devait choisir le bon endroit pour attaquer, de préférence sur un terrain plat et pas en plein tournant. Par chance elle se débrouilla bien en feignant l'alcoolique emmerdante qui empêchait les marines d'avancer. À ce moment il fallait agir très vite, car la diversion n'allait pas durer bien longtemps, vu que Kyu était loin de prendre tout le chemin en largeur, ils auraient vite fait de la dépasser simplement. Cela dit elle avait quelques atouts non négligeables en jeu, ce qui leur faisait gagner de précieuses secondes. Masaki fit un vif et ample geste de la main afin de donner le début de l'assaut pour Malek qui se trouvait à une centaine de mètres. Sans la moindre hésitation, le duo se rua vers le groupe de marines, le capitaine ayant empoigné sa hallebarde à l'envers pour se servir de la garde au lieu de la lame.

        Sans plus attendre, le révolutionnaire salamandre se jeta sur le premier dans un cri de stupeur de celui-ci avant d'abattre le manche de son arme sur la figure du suivant pour le sonner. Pendant ce temps, Kyu avait retourné sa veste et se chargeait des quelques marines de devant par son style de combat tout à fait particulier et inlassable pour les yeux. Quant à Malek, il se débrouillait bien mieux que ce qu'il pensait quelques minutes plus tôt, les marines n'arrivaient pas à lui faire plier le moindre genou. De son côté, Masaki non plus ne se débrouillait pas mal, il s'arrangeait pour ne pas tomber contre plusieurs à la fois en misant plus sur la douleur que la vraie mise au tapis. C'est ainsi qu'il vint à bout des marines à l'aide de tout son corps, pas seulement sa hallebarde. La capitaine plaça alors la lame de son arme au niveau de la serrure afin de déboîter la porte de la cage d'un coup sec. Il tendit alors la main vers Hana avec un petit sourire victorieux et compatissant, avant de se rendre compte qu'elle ne pouvait pas lui tendre la sienne vu qu'elle était attachée. D'un air gêné, il planté sa lame dans le bois tout en tranchant les liens de la cyborg au passage. Il invita d'ailleurs les autres à se présenter devant lui afin qu'il coupe leurs liens de la même façon afin de les laisser s'en aller, mais en leur rappelant bien qu'il était important qu'ils n'en fassent pas trop une fois de retour dans la ville, histoire que leur évasion reste discrète.


        -Bienvenue à la maison, Hana, je suis vraiment content que tu sois indemne ! J'espère qu'ils ont été corrects avec toi durant ton séjour, je voudrais pas devoir raser la base plus tôt que prévu.

        Enfin Hana était de retour et elle était en pleine forme. Même si son visage présentait des contusions de toutes sortes à un tel point qu'elle faisait peine à voir, il savait qu'elle était solide, étant révolutionnaire. Surtout qu'elle n'avait pas l'air de présenter plus graves blessures comme des membres brisés ou des bouts en moins, donc le reste se soignerait efficacement. Tant qu'elle n'était pas en danger de mort ou privée de mouvements libres, c'était considéré comme être indemne pour lui. Après tout la révolution n'avait que faire des douillets, ceux qui devaient intégrer son équipage n'avaient pas le droit de pleurnicher avant d'avoir de quoi se plaindre vraiment. En cas de combat contre des officiers, ils devraient donner tout ce qu'ils avaient, il n'y aurait pas de place pour les bobos. D'ailleurs en parlant de recrue, Masaki avait remarqué que l'un d'entre les prisonniers ne semblait pas avoir envie de s'enfuir à toutes jambes pour retrouver sa liberté, est-ce que Hana s'était fait un ami en prison ? C'était bien son genre, monsieur Saucisse avait toujours eu un certain charisme avec les gens en général. "Au fait qui c'est lui ? Ton compagnon de cellule ?". Il n'était pas vraiment important qu'il sache qui c'était, mais c'était toujours bien si il pouvait recruter des révolutionnaires potentiels. Mais bien sûr il n'avait pas oublié le plus important après la fin de mission, à savoir les lauriers à distribuer. Ainsi il s'incrusta entre Kyu et Malek en leur prenant une épaule par bras, les serrant contre lui un instant.

        -Félicitations vous deux, j'ai toujours su que vous auriez ça dans le sang ! Vous savez pas qui c'est encore, mais je vous assure que c'est un membre crucial de la révolution, on peut lui faire confiance ! Sans elle je serais mort et enterré, aussi longtemps qu'elle sera dans le besoin je serai là pour l'aider.
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        Suivant le plan qui avait été établi par Masaki, Malek alla se poster d’un coté de la route tandis que Kyu, se dirigeait vers le convoi pénitentiaire en titubant plus que de raison. Le jeune homme n’arrivait pas à déterminer si l’alcoolique était plus ivre qu’à l’accoutumé ou si elle s’amusait à exagérer sa démarche. D’ailleurs Malek ne comprenait pas vraiment pourquoi Masaki avait décidé d’embarquer la jeune femme avec eux. Il ne la connaissait pas très bien, ne l’ayant rencontrée que quelques jours plus tôt, et il ne l’avait encore jamais vu sobre. Mais il semblait que Masaki avait vu quelque chose en elle qui l’avait incité à la prendre dans leur embryon d’équipage. Malek n’était pas dès plus sociable, il en était conscient, ce qui expliquait certainement qu’il ne voyait pas encore ce que Masaki avait découvert en Kyu. Enfin, il n’allait pas se voiler la face, tant que la mission était un succès et qu’ils libéraient Hana, Masaki pouvait prendre qui il voulait avec eux.

        Malek suivit Kyu du regard jusqu’à ce qu’elle arrive à la hauteur du convoi. Elle semblait d’autant plus gracile que la voiture transportant les prisonniers était énorme et haute sur roue. Malek pensa un instant qu’elle n’avait aucune chance de ralentir le convoi à elle seule et encore moins de l’arrêter. Ils auraient peut-être dû l’assommer et l’étaler en plein travers de la route? Non mauvaise idée. Ils auraient besoin d’elle dès que la bagarre commencerait. Le jeune homme se détourna de la cage roulante pour tourner son attention vers Masaki. Il ne s’agissait pas de louper le signal de l’attaque.

        Malek était nerveux. Une sensation étrange se répandait en lui, impatience et appréhension mêlées. Dire que Hana se trouvait à portée de la main, après toutes ces années. Il avait du mal à y croire. Dire que dans quelques heures … quelques minutes, il allait la revoir. Enfin si le plan fonctionnait. Il avait l’impression d’être un ado stupide craquant sur son premier flirt. C’était ridicule. Il se demanda à quel moment Hana avait cessé d’être une simple amie. Il ne l’avait pas vu venir!

        Après un instant d’attente, Masaki donna enfin le signal. Ce n’était plus le moment de se perdre dans ses rêveries d’ado. Malgré son genoux estropié, il s’élança en boitant vers le flanc de la voiture carcérale. Il repéra un soldat qui traînait un peu la jambe à l’écart du véhicule et lui sauta dessus. Bien que le corps à corps ne soit pas son point fort, la formation qu’il avait reçu de la Marine faisait de lui un adversaire redoutable. En un clin d’œil, il enroula son bras gauche autour du cou du soldat, lui coupant les voies respiratoires et l’immobilisant jusqu’à ce qu’il tombe au sol comme une poupée de chiffon, sans un bruit. Abandonnant là le corps, il plongea rapidement dans la végétation qui bordait la route pour s’y camoufler.

        Un deuxième soldat imprudent subit le même sort avant qu’un hurlement ne donne l’alerte. Aussitôt tous les soldats se mirent en garde. Malek attendit un instant avant de sortir de sa cachette pour attaquer deux qui s’étaient éloignés des autres. Il manquait certes d’agilité avec sa patte folle, mais il compensait par un solide crochet capable de mettre K-O les mauviettes lui faisant face. Trois autres soldats se jetèrent sur lui alors qu’il achevait son deuxième adversaire. Son premier réflexe fut de porter la main à sa cuisse, là ou se trouvait le holster contenant Griffon, son revolver, mais au moment où ses doigts touchaient le bois de la crosse, il se souvint ce que Masaki avait dit. Il hésita un instant avant d’empoigner l’arme et de la dégainer. Les trois soldats se figèrent dès que le canon de l’arme se leva vers eux. Un sourire mauvais se dessina sur les lèvre de Malek au moment où il s’élançait, utilisant la crosse de son arme comme un gourdin pour assommer l’un des soldats. Il profita de la stupéfaction des deux autres pour sauter sur le plus proche et le frapper à son tour. Le troisième réagit une fraction de seconde trop tard, au moment où il s’élançait vers Malek, arme brandit, le jeune homme lui lança son arme au visage. Le lourd revolver lui fracassa le nez et la mâchoire, l’arrêtant net. Malek se jeta sur lui et lui brisa la nuque avant de récupérer son arme au sol.

        – Je t’ai trouvé un nouvel usage, on dirait! Marmonna-t-il en la remettant dans son holster.
        Un peu plus loin, il vit Masaki se débarrasser de plusieurs adversaires avec une certaine facilité avant de fracasser la porte de la voiture carcérale. Un instant plus tard, plusieurs prisonniers en sortirent. Mais c’est un seul d’entre eux qui attira le regard de Malek.

        Hana, enfin! En chair et en … oui enfin, presque! Malek avait du mal à y croire. Il s’approcha lentement, la courte lute ayant réveillé sa douleur dans le genoux, sans que ses yeux ne quittent Hana. Elle avait probablement vu des jours meilleurs. Son visage portait des traces et des ecchymoses et sa peau pâle indiquait qu’elle n’avait pas dû voir le soleil depuis un certain temps. Elle semblait aussi avoir perdu du poids depuis la dernière fois que Malek l’avait vu. Ce n’était pas étonnant. Ils venaient de l’arracher à sa prison après tout.

        Malek l’observa un instant en silence, sans savoir quoi dire. Que pouvait-il dire à la fille qu’il avait cru morte avant de la retrouver dans le camp opposé, la fille qu’il avait fait semblant de pourchasser tout en essayant discrètement de la protéger. La fille qui le prenait certainement encore pour un ennemi. Il n’eut pas besoin de dire quoi que ce soit, finalement, car Masaki les attrapa par les épaules, Kyu et lui, avant de prendre la parole. Malek se retint à grand peine de lever les yeux au ciel. Parce que cet idiot pensait qu’il était le seul à vouloir se dévouer à la protection de Hana, peut-être? Ça éveilla en lui un sentiment qu’il n’avait pas ressenti depuis longtemps. La jalousie.

        Se détachant de Masaki, le jeune homme fit quelques pas vers Hana, remarquant soudain à quel point elle avait l’air fragile. Probablement résultat de son incarcération. Ça ne fit que renforcer le désir de Malek de la protéger. Et pourtant ...

        – Salut Hana!
        Ce fut tout ce qu’il parvint à dire.

        Lamentable!