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Jiba Machouil [Terminé]

>> Jiba Machouil


Jiba Machouil [Terminé] 110430010614764518

Pseudonyme : Aucun
Age: 26
Sexe : Homme
Race : Homme
Rang : Aucun

Métier : Professeur reconverti
Groupe : Chasseurs de primes
Déjà un équipage : Non
But : Survivre dans un monde de brutes incultes et ingrates.

Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Aucunes aptitudes à déclarer, je n'ai pas non plus dans mes idées de manger un fruit...
Équipements : Une épée, enfin un sabre ? Un katana de bonne qualité.
Codes du règlement (2) :

Parrain :

>> Physique

Jeune homme au physique plutôt flatteur, il ne demande pas son reste auprès de la gente féminine. Un regard perçant, qui, la plupart du temps, semble serein. Nés de parents aux yeux blonds et yeux bleus, il est assez étrange qu'il ait les yeux bruns, et le cheveux de la même couleur. Ses yeux sont couleur noisette, très clair au soleil, mais presque noirs dans l'ombre. Ses cheveux étaient autrefois longs, mais, en quête de nouveauté, il s'est décidé à raccourcir un peu (beaucoup) la longueur. Et puis des cheveux aussi long rendait la visibilité plus faible, et les mouvements sont plus gênants à faire avec une masse improbable de cheveux qui recopient le moindre de vos gestes, avec un peu de retard. A se demander comment font les femmes...

Jiba est grand, fort, musclé, puissant, il dispose de toutes les qualités physique d'un combattant. Mais à ces qualités s'ajoute le fait qu'il n'a jamais réussi à prendre de la masse corporelle. Il est plutôt léger, malgré les nombreux repas gastronomique qu'il engloutit sur une journée. Sa silhouette est longiligne, du haut de son mètre 90, il doit peser aux alentours des 80 kilos (surement moins). Il est pourtant doté d'une musculature accrue lui permettant de battre des mastodontes aux bras de fers, mais sa légèreté le rend si facile à envoyer voler. Autre détail qui pourrait paraître insignifiant, mais qui est pourtant d'une grande importance : Jiba a des grands pieds.

Pourquoi est-ce important me demanderez-vous ? Pour l'équilibre mes amis, l'équilibre. Les personnages aux grand pieds, ont plus facilement de l'équilibre que les autres. Mais bon, il est certains que sa taille n'aidant pas beaucoup, malgré ses grands pieds, Jiba n'a pas plus d'équilibre que Bambi... Ses appuis sont formidables, mais à la moindre gêne, si la concentration n'y est pas, c'est la chute assurée. C'est pour cette raison qu'il s'est plusieurs fois retrouvés dans des situations plutôt... Gênante... Nous en arrivons donc à son style vestimentaire, un style des plus classique.

Il s'habille fréquemment d'une simple tunique, souvent différentes, mais surtout, toutes semblables. Par dessus cette fameuse tunique de tissu léger, il met un foulard autour de la taille, qu'il va utiliser comme ceinture. Et pour bien charger sa taille, il y a aussi installer son fourreau, dont il ne peut jamais se séparer, dormir, manger, jouer avec : tel est la voie de l'épéiste. Bien sur, il enfile aussi un pantalon, au style tout aussi simple que la robe, un simple pantalon de tissu, large, pour ne pas gêner les mouvements. Les chaussures quant à elle, sont des petites chaussures en tissus, légères et solides, pour ne pas déranger les mouvements.

Passons maintenant à son allure, l'allure de Jiba semble plutôt sereine, chacun de ses gestes parait calculé, et il ne semble jamais bouger le bras pour rien. Ses gestes sont ceux d'un homme ayant pratiqué le Yoga durant des années, ayant une maîtrise formidable de son corps. Lent mais rapide à la fois, il se déplace avec une légèreté sans commune mesure. C'est un jeune homme imposant par sa taille, qui est pourtant doté d'une légèreté que l'on découvre rapidement, ne serait-ce que par son allure.



>> Psychologie

Jiba est jeune, sans vraiment l'être, il y a quelques années encore, on aurait dit d'un jeune homme de 26 ans qu'il est jeune, beau et qu'il a la vie devant lui, aujourd'hui, les aventuriers se lancent dans un voyage improbable plus jeunes les uns, que les autres. Il n'est même plus rare de croiser des jeunes enfants - à 16 ans et 2 jours, ce sont des enfants sur les mers, enfin c'est mon point de vue - qui crient haut et fort être le prochain seigneur des pirates. Alors quand on voit arriver un "vieux" de 26 ans, qui n'est ni réputé, ni primé, ni gradé, ni même quoi que ce soit, quelle est la première réaction ? Ça dépend des jours, des gens et de l'endroit. Parfois, c'est le rire (souvent) le rire moqueur déclenché par l'aveu d'un rêve irréalisable, vous voyez duquel je parle ? Le petit rictus du père quand son fils lui dit vouloir inventer la plus grande invention du monde, ou plutôt, dans ce cas-ci le rêve de devenir connu à travers le monde, connu pour sa présence d'esprit et ses aptitudes martiales.

Oui, Jiba veut devenir célèbre, connu. Mais il ne veut pas le faire par une organisation si importante que la marine, dans laquelle il se ferait vite écraser par le charisme de certains, et la force brute d'autres. Il ne veut pas non plus être un vil pirate, ces gens sans fois ni lois, ce qu'on déteste et qu'on n'aime pas. Comment peut-on tirer du mérite à piller, saccager, brûler, voler et tout ces autres actes sournois, fourbes que je ne citerais pas... C'est pourquoi il veut le devenir par ses propres moyens, entièrement par ses propres moyens, tout seul comme un grand (un vieux de 26 ans...). Et pour faire d'une pierre deux coups, il a décidé de devenir chasseur de primes. Il deviendrait célèbre par ses propres exploits, et pour cela, il serait adulé de la population. Mais pourquoi deux coups ? Parce qu'il voue une haine incommensurable envers les pirates, ces êtres décrits plus tôt dans le paragraphe. Ils sont souvent moches, gros et puant, avec un rire diabolique à faire frissonner une moule fermée! Un rire de boulet quoi.

Bien sur, son envie de renommée ne le caractérise pas entièrement, mais je trouvais ça plutôt approprié de commencer par là. Et surtout, je ne voulais pas vraiment aborder les aspects plus... délicats de son mental pour commencer. Il faut savoir que Jiba est plutôt, comment dire... bizarre, voila, bizarre. Ancien professeur, il a de grandes connaissances et une logique plutôt poussée. Cependant, cette dite "logique" n'est pas toujours facile à suivre. Jiba a tendance à s'emballer, sans s'en rendre compte, le plus sérieusement du monde. Il rentre dans ces moment là, dans un autre monde, un monde qui lui est propre avec lequel il est en totale symphonie. Il est malheureusement le seul a comprendre sa logique tordue, qui doit surement avoir une signification, c'est juste que personne ne la connait.

Il sait beaucoup de choses, notamment le fait qu'il sait beaucoup de choses, mais il sait aussi que les gens ne savent pas qu'il sait des choses qu'il ne savent pas (m'suivez?). Et malgré sa grande humilité, et son autodérision poussée jusqu'à son paroxysme, il a tendance à profiter de ce que les gens ne savent pas, et à s'en servir à leurs dépens, pour par exemple, se moquer d'eux... Et oui, l'une des grandes qualités de Jiba, hormis son autodérision, est son sens accru de l'humour. En sa compagnie, ce sont les blagues et les jeux de mots qui fusent, tous aussi nuls les uns que les autres, mais les mauvais jeu de mots sont - pour une raison que j'ignore - ceux qui déclenche le plus souvent le rire.

Pour l'instant, Jiba parait être un homme parfait, sans défauts, aux nombreuses qualités, au savoir infini et au physique de rêve, mais que nenni ! Pour le Jiba, le sens du devoir est une caractéristique morale inutile, qualifié de, je cite : "C'est une invention du gouvernement pour nous rendre plus facile à contrôler, et qui ne rend notre vie que plus difficile!" En effet, à quoi bon se sentir obligé d'aider les gens en danger ? A quoi bon se sentir obligé de rattraper un voleur, si, en échange on ne gagne rien ? On le ferait juste pour se sentir mieux, pour avoir l'impression d'avoir fait quelque chose de bien ? Et bien Jiba lui, ne croit pas en tout ça. D'ailleurs, il ne croit pas en grand chose... Ces histoire sur l'amitié, qu'elle serait soi-disant plus forte que tout... Pire encore, l'amour, cette chose inutile dont tant de gens sont à la recherche. L'amour est une chose qui ne fait que blesser, rien d'autre.

Au final, Jiba n'est rien d'autre qu'un rebelle incrédule à la recherche de la gloire, mais il est aussi un sage à l'humour accru et poussé qui ne croit qu'en une seule valeur : Lui-même.




>> Biographie

L'histoire de Jiba débute par les quelques mots en rapport avec lui écrit dans le journal du maire d'un village isolé, sur une petite île de North Blue, que la marine n'avait pas encore définie comme étant son domaine.

21 juillet

Hier, alors que je me baladais dans la forêt, à la recherche de quelques champignons médicinal, j'ai fait une découverte ahurissante. J'ai trouvé un panier suspendu dans les airs par une lanière de cuir étonnement longue, enserrée autour d'une branche, qui elle aussi m'étonna de par sa hauteur. Qui avait bien pu l'accrocher là ? Qui avait bien pu mettre un panier dans cette forêt, et dans quel but ? La curiosité l'emportant sur la méfiance, je décidais de m'approcher. J'eus un cri de surprise en découvrant le bébé endormi à l'intérieur de ce panier. Il était calme, mais pourtant seul... Quel être ignoble pouvait donc abandonner son enfant dans la forêt ? Je n'aurait été que plus horrible de le laisser là, destiné à se faire manger par les carnivores nocturnes, je décidais donc de l'emporter avec moi. Je réfléchissais sur le chemin à ce que j'allais en faire, et je me souvenais que mon frère, impuissant, ne pouvait pas avoir d'enfant avec son être aimée, peut-être la nouvelle allait-il lui faire plaisir.

26 juillet

Tu dois surement t'en souvenir journal, je t'avais parlé d'un jeune bébé trouvé dans la foret, il y a quelques jours. Mon frère fut émerveillé par la nouvelle, et lui et sa femme décidèrent de s'en occuper comme s'il était leur fils. Surement seraient-ils dans une situation gênante, le jour ou il devrait annoncer la véritable provenance de celui-ci. Mais pour l'instant ils sont heureux, et c'est surement ce qui importe le plus! Le bébé ne parait pas avoir remarqué qu'il a changé de parents, surement est-il trop jeune pour penser à cela. Il considère déjà mon frère et sa femme comme papa et maman, on peut le voir dans son regard. Ils ont décidé de le nommer Jiba.


---

Jiba avait aujourd'hui 9 ans, et il était déjà fasciné par cette art qu'est l'épéisme. En découvrant cette fascination, ses parents, le comblant depuis sa plus tendre enfance, l'avaient directement emmené voir le maître du dojo, réputé pour ses qualité martiales. Ils lui avaient demandé d'apprendre tout ce qu'il savait au jeune garçon, le vieux maître n'ayant plus rien à faire aujourd'hui, accepta et pris sous son aile le jeune Jiba. Il s'entrainait dur et faisait de rapides progrès. Il grandissait rapidement et suivait un enseignement, autant physique que mental, des plus strict. On lui apprenait toutes sortes de valeurs morale, leurs significations et leurs applications, des tas de phrases philosophiques ennuyantes, et aussi, on lui apprenait à savoir que trois plus quatre font sept... Bien que rien ne l'intéressait, à part les cours ou il devait manier son sabre de bois, il vouait trop de respect envers son maitre pour oser se dresser contre ses demandes. Du matin au soir, il s'entrainait, méditait et apprenait. Il eut le même train de vie jusque ses 14 ans, à cette âge la, on le jugea assez entrainé et expérimenté pour lui remettre son premier sabre. Son premier VRAI sabre je veux dire. Maintenant il avait le droit de trancher les épouvantails d'entrainements. Il avait aussi le droit de chasser - aussi bizarre que cela puisse paraitre - des créatures avec son sabre. Les chasseurs armés d'une simple épée ne sont pas très fréquents, préférant généralement éviter le contact physique avec des être plus gros, plus fort et plus rapide qu'eux. C'était aussi l'âge auquel le maître demanda aux parents de Jiba de lui donner la garde du petit, pour parfaire son enseignement. Après certaines réticences, les parents finirent par céder aux supplications incessantes du jeune garçon.

Commença alors de longues années d'entrainement drastique, ou son seul droit était de s'entrainer. Il ne pouvait manger que le fruit de sa propre chasse, et n'avait jamais le droit de se séparer de son katana. Même si ce mode de vie peut paraître éprouvant et invivable, Jiba l'endurait, et il le faisait avec un certain plaisir. Bientôt son maître le qualifia de bretteur à part entière, ce fut l'un des plus beau jour de la vie de Jiba, il avait 17 ans, et une grande cérémonie fut organisée, au cours de laquelle il reçut l'objet qu'il allait chérir pendant de nombreuses années : son fourreau, orné de l'emblème du dojo de l'île. Quelques mois plus tard, son maître périt, il mourut de vieillesse dans son sommeil, et ce fut à Jiba de le retrouver, sans vie. Des funérailles d'honneur furent organisées sur une île ou tout le monde connaissait ce grand homme. Voila les quelques événements marquants de la jeunesse de Jiba, il a vécu une enfance qu'il a adoré.

Dans sa 25ème année de vie, alors qu'il était devenu enseignant dans le dojo de son défunt maître, une attaque pirate d'une intensité rare fut menée contre son village. Les pirates étaient des brutes, sanguinaires et violentes, qui pillaient brûlaient et volaient tout sur leur passage. Un groupe formé des meilleurs combattants du dojo fut créé pour repousser l'attaque, leurs nombre était bien plus faible que celui des pirates, mais ils les surpassaient en force. La bataille fut brève, mais acharnée, l'avantage fut donné aux bretteurs indigènes. Les dégâts que les pirates avaient réussi à causer sur l'ile avant l'intervention de Jiba et de ses compatriotes étaient énormes. Et durant la bataille, un évènement avait quelque peu perturbé Jiba. Alors qu'il se dirigeait vers le capitaine du navire pirate, qui paraissait invincible et terrassait chaque ennemi qui se dressait sur son chemin d'un seul et unique coup puissant, celui-ci se tourna vers Jiba, qui arrivait avec l'intention de porter un coup fatal. A sa vue, il s'écria "Je te reconnaitrais entre mille, c'est toi! Mon fils! Enfin je te tro..." Ayant appris a profiter des failles ennemies, Jiba profita justement de la distraction ennemie pour porter un coup horizontal bref et puissant qui décapita net le pirate avant qu'il n'ait terminé sa phrase. C'est ce coup qui mit fin à la bataille, les autres pirates n'étant que des freluquets ne sachant pas se battre. Mais malgré le triomphe, Jiba était tout de même perturbé par ce que cet homme avait dit avant de se faire trancher la tête.

Voulant en avoir le cœur net, Jiba décida de se rendre chez ses parents, qu'il voyait désormais régulièrement, il avait vieilli, et allait surement bientôt "s'en aller". Il leur expliqua la scène, et les parents, après un regard complice commencèrent à raconter l'histoire de la découverte du bébé, le fait qu'ils ne pouvaient avoir d'enfants, et tout ça. D'abord choqué, Jiba réfléchit quelques secondes, et remarqua qu'il venait de tuer son probable père. Ce père qui l'avait abandonné, mais qui le regrettait surement, c'est pourquoi il serait revenu, pour le récupérer. Il imaginait que le scénario devait être celui-ci, mais malheureusement, il n'en aurait jamais le cœur net, la seule personne qui pouvait le savoir était aujourd'hui morte, tuée de ses mains. C'est ce jour-la qu'il décida de quitter son village, pour voyager et connaître le monde, il n'était plus sur de rien, à part que dorénavant, il haïrait les pirates.


Quelque jours après le départ de Jiba, dans la gazette mondiale, en pages intérieures, on peut lire un article parlant d'un certain chasseur de primes aux alentours de la trentaine.


Un nouveau chasseur de Prime à l'horizon!
Hier, la tête d'une prime de 40 000 000 de berrys a été ramené aux autorités, fait étonnant, le chasseur de prime à l'origine de cet acte est inconnu, il a tapé fort, pour un rookie. Une prime de 40 000 000 de berrys n'est pas à la portée de n'importe quel hurluberlu venu, et cet homme, l'a terrassé, selon les témoins présents sur les lieux lors de l'affrontement, sans aucune difficulté. L'un des témoins déclare : "Au début, il semblait le laisser porter les coups, il ne faisait que parer, et il parait avec une certaine classe, puis, d'un coup j'sais pas comment, il a semblé rentrer dans une rage folle, et a porté des dizaines de coups aux corps du hors-la-loi, qui s'est retrouvé terrassé après quelques instants... Cet homme ne me paraissait pourtant pas si brutal, à première vue... Il se déplaçait calmement et avait un air serein, il devait avoir la trentaine..." Le pirate en question n'était certes pas connu pour son adresse au combat, mais plutôt pour ses actes ignobles, mais le fait de commencer si fort, c'est déjà ça. Notre apparemment vieux rookie dans l'art de la chasse à la prime est surement en phase de devenir quelqu'un de connu malgré son âge, alors pirates ou hors-la-loi, méfier vous de cet homme





>> Test RP

Le Test rp est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation.
Faire un test rp avant l'intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas.


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Informations IRL

    Prénom : Julien

    Age : 16, vais sur mes 17

    Aime : Beaucoup de chose

    N'aime pas : Certains trucs

    Personnage préféré de One Piece :

    Caractère : (définissez vous en quelques mots) Peace.

    Fais du RP depuis : J'en ai fait genre 2 ou 3 ans je crois, mais depuis 1 an que j'ai arrêté

    Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) Le week-end...

    Comment avez vous connu le forum ?
Par partenaires des partenaires, des partenaires d'un forum
    J'ai fini...
      Voici ton test rp en espérant qu'il te plaira ! Sinon, tu peux en demander un autre, je vais pas te croquer les doigts '_' C'est une promesse ;)

      Tu viens d'arriver dans une grande ville. Tu es entouré de belles filles, adulé de tout le monde, le paradis pour toi quoi. Enfin, tu te réveille et ne te rends compte que tout ça n'était qu'un rêve. Pour être précise, tu as perdu connaissance à cause d'une déshydratation et à ton réveil, la première chose que tu vois est la face hideuse de l'infirmière. Quelles vont être tes réactions ?
        Aaaaah la gloire, la puissance, les filles ! Tout ça représente le paradis de Jiba. Il se réveille, et oublie que c'était un rêve, il se croit toujours le maître, le plus fort. Il croit toujours être entouré de belles filles, il y croit tellement, que ses yeux lui jouent des tours. Des tours si fourbes, que cette hideuse dame qui se trouve devant ses yeux à son réveil est remplacée pour lui par une jolie jeune fille, blonde, à forte poitrine. Il est trop adulé pour que cette créature de rêve lui résiste. Il l'empoigne par ses hanche parfaites, et l'embrasse fougueusement. Les sensations ne sont pas vraiment celles qu'il avait espéré, il commence à revenir à la réalité, les rides, la mauvaise odeur, la graisse au niveau des hanches, et surtout, la claque qui n'a pas tardé à arriver.

        "AAH ! Mais vous êtes fou! Malotru, j'appelle les autorités du village!"

        Jiba voit les choses correctement, il se rend compte que son paradis n'était qu'un rêve, et surtout, il se rend compte que la jolie blonde n'était enfaite qu'une vieille morue, puante qui plus est. Et puis mince, les claques, ça fait mal! La dame s'en va d'un pas pressé, et c'est en la voyant partir qu'il comprend enfin ce qu'elle vient de dire : Les marines. Ces satanés marines, ils ne vont pas lui faire de cadeau, surtout si il a "abusé" d'une vieille dame. Déjà, il vont se foutre de lui, ensuite, ils vont (tenter) de le tabasser pour l'emmener avec eux. Les matelots ne sont que des brutes en quête de reconnaissance. Certes, il pourrait rester ici, et affronter la situation, comme un homme, un vrai, mais Jiba préfère opter pour la seconde solution qui est de s'enfuir, comme un homme, un faux. Il ne se souvient plus vraiment où il se trouve, avec de la chance, l'hôpital sera grand, et il y aura des centaines de personnes une fois qu'il aura franchit la seule porte de sa chambre.

        Pas d'chance. "L'hôpital" se résume à 4 chambre, un hall, chaque chambre donnant sur le même hall, ou se trouve une secrétaire, l'infirmière doit surement être allée se plaindre auprès des marines. Espérons que leurs quartier général se trouve loin, très loin. Jiba se déplace tant bien que mal vers la sortie, il n'a pas encore totalement récupéré et est régulièrement frappé par des chutes de tension, vous savez, quand on est grand, c'est assez fréquent... Après quelques chutes rattrapées tant bien que mal sur le chemin, et surtout après avoir supporté le rire moqueur de la secrétaire cherchant à l'empêcher de partir, mais n'en étant pas capable, prise d'un fou rire. Voila enfin la sortie ! Espérons que ce quartier se trouve à perpet land !

        Pas d'chance. L'infirmière est déjà revenue, le village est minuscule, et l'office de la marine se trouve juste en face, elle est accompagné de 3 matelots, qui ont plus l'air de bandits que de marines. Enfaite, en regardant de plus près, ils n'ont, ni uniforme, ni chapeau, et l'office de la marine est plutôt une taverne. C'est effectivement des bandits, des hors-la-loi. Le village est minuscule, pas de marines, juste des bandits, où est ce qu'il est encore tombé ? Il n'a vraiment pas de chance aujourd'hui. Bon, peut-être que la bonne étoile de Jiba va finir par jouer son rôle, et que le groupe de bandits ne va pas le voir, il tente de s'esquiver en douce, en longeant les murs à pas feutrés.

        Pas d'chance ! L'infirmière l'a immédiatement reconnu et elle n'a pas tardé à sonner l'alerte !

        "C'est lui ! Jojo, Bruno, Rex, à l'attaque !"

        C'est plutôt étonnant de voir que des hommes avec des noms pareils se laissent diriger par une vieille dame, qui leurs donne des ordre, comme à des chiens. En situation normale, Jiba aurait surement rigolé... Mais actuellement, il se trouve en plutôt fâcheuse posture, ces grosses brutes ne semblent pas prêtes à en découdre autrement que par le combat... Et dans son état, il ne pourrait surement pas gagner un 3 contre 1 aussi facilement, mais c'est la seule solution, il met sa main à sa hanche, prêt à sortir son épée de son fourreau fétiche.

        Pas d'chance ! Il est en robe de patient, et la totalité de ses affaires sont restées dans sa chambre. Il ne pouvait même plus fuir, il était obligé de retourner chercher ses affaires. Le fait qu'il puisse perdre son fourreau semble le rétablir, une montée d'adrénaline a lieu dans son corps. Il est chaud le Jiba! Il court plus vite qu'il ne l'a jamais fait (il court vite quoi) et rentre à l'intérieur de l'hôpital, bouscule la secrétaire, ouvre la porte de sa chambre.

        Pas d'chance. La chambre dans laquelle il s'est introduit n'est effectivement pas la sienne, le monsieur se trouvant à l'intérieur semble plutôt gêné. Un magazine à la main, une bosse formée au milieu de son corps, les mains sous son draps. Pas le temps d'analyser la situation, Jiba s'en va, prend la porte suivante, et ouf, c'est sa chambre, ses affaires sont posées juste là, devant lui. Il s'empare de son sabre, et sort, prêt à affronter les hors-la-loi d'en face. Il sont déjà rentrés dans l'hôpital, on dirait que l'affrontement va avoir lieu ici. Jiba empoigne la poignée de son sabre. Inspire, expire, lentement, calmement, posément. Il fait le vide dans son esprit, et parvient à se concentrer malgré les cris d'intimidation des trois énergumènes qui foncent sur lui. Il fléchit les genoux et se met en position, il attend le moment opportun.

        Maintenant.

        Il dégaine et porte trois coups rapides, il tranche les trois bandits dans un calme terrifiant. Les bandits ne sont même pas encore tombés qu'il rengaine son sabre. Maintenant, il ne pense plus qu'à son départ, il faut le faire avec classe. Il reste quelques instants devant les deux dames, ébahies. Et après les avoir regardé de son regard le plus perçant, il prend la parole pour simplement dire :

        "Au revoir."

        Et il s'en va. Ça ne se voit pas, c'est sur, mais au fond de lui, Jiba jubile. Il ne pouvait faire une sortie plus classe que ça, il commence à avoir le truc, il a la graine de star, il va devenir connu, et il sait comment faire. A peine a-t-il passé la porte que son visage se déforme, le voila pris d'un fou rire...
          Belle présentation, personnage original, je n'ai pas remarqué de fautes apparentes. Concernant le test rp, la situation du début était inattendu. +1. Sinon c'est bien décrit et t'as un bon style. Ce qui m'a un peu déplu, c'était le comment tu gagne face à trois adversaire. Limite tu claque des doigts et ils sont à tes pieds. Donc ça méritait plus de descriptions à ce niveau.

          Résultat Final: 700 Dorikis. Voilà plus que 4 voix...
          • http://oprannexe.onepiece-forum.com/t296-
          C'est vrai que tout est bien écrit, les actions comme les descriptions sont plaisantes à lire. Ce sont de très bons points ça ! En fait j'ai pas grand chose à redire par rapport à ce qu'à énoncé Hiro é_è

          Je rajoute ma voix pour les 700 dorikis, plus que 3 et tu es validé !
            Yop, bienvenue, moi je suis ok avec mes deux comparses pour 700 dorikis Very Happy
            plus qu'une voix !
              Wow, bon eh bien, j'suis d'accord et je valide !
              • https://www.onepiece-requiem.net/t109-greed#772
              • https://www.onepiece-requiem.net/t100-termine-satoshi-noriyaki