>Aoi Fujita<
Pseudonyme : Angelic Demon Sexe : Jeune Fille Race : Humaine Métier : Chieuse de 1er Catégorie Groupe : Pirate But : Devenir l’archer la plus redoutée et la plus reconnue Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Fruit Mosa Mosa no Mi Équipement : Aoi possède un arc, crée de toute pièce par ses petites mains lorsqu’elle était plus jeune. Il mesure 150cm de haut avec un allonge de 60cm et est fait de l’un des bois les plus nobles de East Blue. Elle s’amuse a le décorer de fleur qu’elle change une fois fané. Elle possède aussi un carquois et une vingtaine de flèches toujours fabriqué par ses soins avec un tranchant inégalé. Codes du règlement : Parrain : Luka et Keel Ce compte est-il un DC ? : Non Si oui, quel @ l'a autorisé ? : / |
-Physique d'une poupée de porcelaine brisée-
Aoi, du haut de ses 14 ans, ne semble absolument pas dangereuse lorsqu'on la voit pour la première fois. Ne mesurant que 1m55 pour un poids plume et ayant un visage angélique les gens sont très souvent charmés et lui accorde bon nombre de faveur. De plus, ses grands yeux bleus océans contrastant avec ses cheveux ébène, lui arrivant maintenant aux omoplates et son visage blanc de porcelaine accentuent son côté juvénile et innocent.
Cependant, il ne faut jamais juger une fleur par la beauté de ses pétales.
Aoi est une vraie battante montrant des ronces acérées et dévastatrices à ses adversaires, dépassant toujours ses limites, à ses risques et périls, pour sortir vainqueur de n'importe quelle situation. Ses meilleurs atouts sont sa souplesse et sa force.
Ayant grandi jusqu'à ses cinq ans dans Amazon Lily les quelques entraînements qu'elle a pu y recevoir l'aidèrent à développer sa force musculaire qu'elle eut le loisir d'améliorer lors de ses nombreuses années d'esclavagisme. Sa force se résume particulièrement à une musculature très développée au niveau de ses bras, essentiel pour pouvoir utiliser son arc comme il se doit. Ces coups de points sont donc particulièrement dévastateur, surtout qu'elle ne fait pas dans la douceur. Ses jambes, quant à elles, ne lui permettent pas de courir sur de longue distance ou encore de blesser l'adversaire ou alors très légèrement.
Concernant sa souplesse, c'est un atout qu'elle possède depuis la naissance mais qu'elle a appris à conserver et à améliorer au maximum pour lui permettre de se contorsionner de façon spectaculaire et de se cacher dans des endroits très étroits.
Cependant, ce n'est pas une fille ayant des ressources d'énergie énorme à cause, entre autre, de son métabolisme encore enfantin. Elle se fatigue assez rapidement et il lui faut plusieurs jours pour récupérer après un affrontement particulièrement difficile et éprouvant.
En dehors de sa puissance, Aoi possède aussi un tic très dérangeant auprès de la gent masculine. Ne les supportant pas vous la verrez souvent claquer de la langue à leur côté, si elle ne les ignore pas.
Elle possède aussi un tatouage, fait au fer rouge au creux de ses reins, arborant les chiffres "613", son ancien numéro d'esclave, ainsi que plusieurs cicatrices sur le corps, exception faite de son visage, souvenir de ses années d'emprisonnement à recevoir des coups pour un oui ou un non.
Elle cache la plupart du temps ses marques en portant des habits lui couvrant les bras et les jambes, de toute façon quel est l'intérêt d'être à moitié dénudée s'il faut se battre à part montrer sa petite culotte à l'adversaire ?
Cependant, il ne faut jamais juger une fleur par la beauté de ses pétales.
Aoi est une vraie battante montrant des ronces acérées et dévastatrices à ses adversaires, dépassant toujours ses limites, à ses risques et périls, pour sortir vainqueur de n'importe quelle situation. Ses meilleurs atouts sont sa souplesse et sa force.
Ayant grandi jusqu'à ses cinq ans dans Amazon Lily les quelques entraînements qu'elle a pu y recevoir l'aidèrent à développer sa force musculaire qu'elle eut le loisir d'améliorer lors de ses nombreuses années d'esclavagisme. Sa force se résume particulièrement à une musculature très développée au niveau de ses bras, essentiel pour pouvoir utiliser son arc comme il se doit. Ces coups de points sont donc particulièrement dévastateur, surtout qu'elle ne fait pas dans la douceur. Ses jambes, quant à elles, ne lui permettent pas de courir sur de longue distance ou encore de blesser l'adversaire ou alors très légèrement.
Concernant sa souplesse, c'est un atout qu'elle possède depuis la naissance mais qu'elle a appris à conserver et à améliorer au maximum pour lui permettre de se contorsionner de façon spectaculaire et de se cacher dans des endroits très étroits.
Cependant, ce n'est pas une fille ayant des ressources d'énergie énorme à cause, entre autre, de son métabolisme encore enfantin. Elle se fatigue assez rapidement et il lui faut plusieurs jours pour récupérer après un affrontement particulièrement difficile et éprouvant.
En dehors de sa puissance, Aoi possède aussi un tic très dérangeant auprès de la gent masculine. Ne les supportant pas vous la verrez souvent claquer de la langue à leur côté, si elle ne les ignore pas.
Elle possède aussi un tatouage, fait au fer rouge au creux de ses reins, arborant les chiffres "613", son ancien numéro d'esclave, ainsi que plusieurs cicatrices sur le corps, exception faite de son visage, souvenir de ses années d'emprisonnement à recevoir des coups pour un oui ou un non.
Elle cache la plupart du temps ses marques en portant des habits lui couvrant les bras et les jambes, de toute façon quel est l'intérêt d'être à moitié dénudée s'il faut se battre à part montrer sa petite culotte à l'adversaire ?
-Psychologie d'une gamine de 14 ans-
Aoi est une jeune fille qui au premier abord semble "kawaii", comme le dise les jeunes, et innocente. Mais cela avant qu'elle n'ouvre la bouche ou/et que vous vous retrouviez avec son poing dans la figure.
Ayant été, la grande majorité de sa vie, au service d'hommes dont elle devait satisfaire les moindres désirs, on pourrait croire qu'elle deviendrait une fille chétive et très réservée alors que chez elle, c'est tout l'inverse. Elle ne sait pas ce que signifie tact ou encore compassion. Si elle vous parle, soyez sûr qu'elle vous dira toujours ce qu'elle pense, peut importe les conséquences. Peut-être devrait-elle apprendre ce qu'est le juste milieu pour l'appliquer à ses paroles en parlant avec une pointe d'hypocrisie et un soupçon de vérité.
En combat son comportement est le même. Elle n'a aucune pitié, que son opposant ait cinq ou soixante-dix ans, qu'ils soient grands et musclés ou petits et frêles. Elle réserve le même sort à ses adversaires : la mort, immédiate si vous avez de la chance, lente et très douloureuse si elle est remontée. Enfin cela est vrai pour les hommes seulement.
Les femmes sont en effet bien plus chanceuses. Elle ne les tue pas, jamais et préfère les blesser de façon à les mettre K.O rapidement, sans leur causer trop de dommage, sauf cas exceptionnel, même si le pire qu'elle ait pu faire fut de mettre une femme dans le coma à la suite d'un affrontement sur un sujet qui, aujourd'hui, n'est plus qu'un vieux souvenir pour elle.
En société, elle ne sait jamais comment se comporter, cachant surement un très grand manque de confiance en elle derrière des airs assurés et implacable. Elle évite les grandes masses de personne comme la peste et préfèrera rester seule au milieu d'une forêt qu'être au milieu d'une foule au centre d'une ville bondé "de personne illettrés, ne connaissant rien à la vie, la mort ou encore la souffrance et ne sachant que se plaindre sans arrêt de leur situation plus qu'enviable" comme elle aime si bien le dire aux gens lui demandant pourquoi elle est si renfermée.
Elle traite les hommes avec dédain et dégout, les ignorant la très grande majorité du temps ou leurs répondant aussi sèchement que possible. Elle ne les supporte pas et le plus souvent ils le ressentent très rapidement et finissent par ne plus supporter son comportement qui, selon eux, n'a pas lieux d'être puisqu'ils n'ont rien fait de mal.
Cependant, avec les femmes, son comportement change du tout au tout. Son visage est plus ouvert, il peut même lui arriver de sourire ou même, encore plus rarement, de rire et elle est bien plus bavarde. Si elle s'attache réellement à une fille vous pouvez être sûr qu'elle serait capable de la suivre n'importe où, comme son ombre, une ombre bienveillante observant de loin.
Elle ne montrera jamais son affection pour quelqu'un de façon flagrante, préférant vous parlez avec dédain plutôt que vous remerciez et si un jour il lui arrive de vous prendre dans ses bras, ne serait-ce que quelques secondes, dite vous que cela est son signe d'affection le plus grand qu'elle puisse actuellement faire.
Aoi est aussi une fille très intelligente. Elle ne possède certes pas de grandes connaissances sur le monde mais elle est capable d'analyser une situation de manière objective et très rapide et ainsi trouver plusieurs plans de bataille rapidement.
Et bien que ce soit une fière combattante, si elle voit qu’une situation est trop bien trop risqué ou même que son adversaire prend le dessus sur elle, elle fera quelque chose que sa souplesse, sa taille et son poids lui permettent sans problème, elle se cachera. Elle le fait bien mieux dans la nature, se mêlant à celle-ci, et vous la retrouverez dans des endroits très bien pensés qui lui permettent tout de même de pouvoir vous avoir en joue avec son arc pour vous mettre à terre rapidement.
Certains disent que cela est un signe de lâcheté mais selon elle c'est seulement une question de survie dans un monde qui ne laisse aucune place aux doutes ou à l'hésitation.
Ayant été, la grande majorité de sa vie, au service d'hommes dont elle devait satisfaire les moindres désirs, on pourrait croire qu'elle deviendrait une fille chétive et très réservée alors que chez elle, c'est tout l'inverse. Elle ne sait pas ce que signifie tact ou encore compassion. Si elle vous parle, soyez sûr qu'elle vous dira toujours ce qu'elle pense, peut importe les conséquences. Peut-être devrait-elle apprendre ce qu'est le juste milieu pour l'appliquer à ses paroles en parlant avec une pointe d'hypocrisie et un soupçon de vérité.
En combat son comportement est le même. Elle n'a aucune pitié, que son opposant ait cinq ou soixante-dix ans, qu'ils soient grands et musclés ou petits et frêles. Elle réserve le même sort à ses adversaires : la mort, immédiate si vous avez de la chance, lente et très douloureuse si elle est remontée. Enfin cela est vrai pour les hommes seulement.
Les femmes sont en effet bien plus chanceuses. Elle ne les tue pas, jamais et préfère les blesser de façon à les mettre K.O rapidement, sans leur causer trop de dommage, sauf cas exceptionnel, même si le pire qu'elle ait pu faire fut de mettre une femme dans le coma à la suite d'un affrontement sur un sujet qui, aujourd'hui, n'est plus qu'un vieux souvenir pour elle.
En société, elle ne sait jamais comment se comporter, cachant surement un très grand manque de confiance en elle derrière des airs assurés et implacable. Elle évite les grandes masses de personne comme la peste et préfèrera rester seule au milieu d'une forêt qu'être au milieu d'une foule au centre d'une ville bondé "de personne illettrés, ne connaissant rien à la vie, la mort ou encore la souffrance et ne sachant que se plaindre sans arrêt de leur situation plus qu'enviable" comme elle aime si bien le dire aux gens lui demandant pourquoi elle est si renfermée.
Elle traite les hommes avec dédain et dégout, les ignorant la très grande majorité du temps ou leurs répondant aussi sèchement que possible. Elle ne les supporte pas et le plus souvent ils le ressentent très rapidement et finissent par ne plus supporter son comportement qui, selon eux, n'a pas lieux d'être puisqu'ils n'ont rien fait de mal.
Cependant, avec les femmes, son comportement change du tout au tout. Son visage est plus ouvert, il peut même lui arriver de sourire ou même, encore plus rarement, de rire et elle est bien plus bavarde. Si elle s'attache réellement à une fille vous pouvez être sûr qu'elle serait capable de la suivre n'importe où, comme son ombre, une ombre bienveillante observant de loin.
Elle ne montrera jamais son affection pour quelqu'un de façon flagrante, préférant vous parlez avec dédain plutôt que vous remerciez et si un jour il lui arrive de vous prendre dans ses bras, ne serait-ce que quelques secondes, dite vous que cela est son signe d'affection le plus grand qu'elle puisse actuellement faire.
Aoi est aussi une fille très intelligente. Elle ne possède certes pas de grandes connaissances sur le monde mais elle est capable d'analyser une situation de manière objective et très rapide et ainsi trouver plusieurs plans de bataille rapidement.
Et bien que ce soit une fière combattante, si elle voit qu’une situation est trop bien trop risqué ou même que son adversaire prend le dessus sur elle, elle fera quelque chose que sa souplesse, sa taille et son poids lui permettent sans problème, elle se cachera. Elle le fait bien mieux dans la nature, se mêlant à celle-ci, et vous la retrouverez dans des endroits très bien pensés qui lui permettent tout de même de pouvoir vous avoir en joue avec son arc pour vous mettre à terre rapidement.
Certains disent que cela est un signe de lâcheté mais selon elle c'est seulement une question de survie dans un monde qui ne laisse aucune place aux doutes ou à l'hésitation.
-Histoire d'une ancienne esclave-
Aoi était une jeune fille assez banale, si on enlèvait le fait qu'elle avait été élevé par les Amazones sur Amazon Lily. Etant arrivé sur l'île alors qu'elle n'avait que quelques mois avec sa mère, grande guerrière de la tribu, elle y fut élevée durant quelques années, participant aux entraînements et aux tâches quotidiennes quand elle fut en âge de marcher.
Elle n'avait presque aucun souvenir de sa mère, morte d'une maladie incurable lors de ses trois ans, mais elle ne se souvint pas avoir ne serais-ce qu'un jour ressenti de la solitude car elle faisait partie de la tribu. Elle n'était pas seule et elle était heureuse.
Le potentiel de Aoi pour le tir à l'arc devint rapidement évident pour tout le monde. Déjà enfant elle s'amusait avec les arcs laissés sans surveillance et lors de ses quatre ans elle réussit pour la première fois à l'utiliser assez convenablement pour envoyer une flèche à moins d'un mètre d'elle. Certes c'était peu, mais pour une enfant de quatre ans qui utilise un arc trop grand pour elle et pour la première fois, c'est une chose exceptionnelle.
Après cela, elle fut quotidiennement entrainée par les archers de la tribu et montra rapidement une certaine aisance pour le maniement de l'arc, même si ses mouvements étaient toujours hésitants et ses lancés peu puissant, mais elle était encore jeune et tout le monde savait qu'elle deviendrait très rapidement une jeune femme d'exception.
C'était alors une jeune fille pleine de vie, souriante, toujours partante pour aider les autres, très bavarde même si elle avait souvent du mal à s'exprimer clairement et très attachante.
Ce fut peu de temps après son cinquième anniversaire que sa vie bascula et l'a transforma totalement en ce qu'elle est devenue aujourd'hui.
Elle était partie avec deux autres archers s'entrainer sur la baie de l'île, mais avant même d'y arriver elle avait senti quelque chose qui n'était pas habituel. Une odeur de brulé venait de lui monter aux nez et elle comprit que cela venait de la côte. Les autres filles n'avaient rien senti et elle se dit que ce n'était surement que son imagination, mais elle savait intérieurement que c'était autre chose.
Une fois arrivées sur la baie, la première chose qu'elles virent fut le feu. Ou plutôt l'ancien feu de fortune installé ici plus tôt. Un tas de bois carbonisé gisaient au centre d'un cercle délimité par des pierres. Aucune fille de la tribu n'étaient venues ici durant les derniers jours et ce feu datait de la soirée.
Elles n'eurent pas le temps de se mettre en position de défense, surtout pas Aoi qui ne comprenait rien du tout et qui s'était déjà bien avancé vers le feu, lorsque quatre hommes sortirent des bois et tirèrent à l'aide d'arme qu'elles ne connaissaient pas sur le petit groupe. Aoi ne se souvint de presque rien de ce qui ne se passa par la suite. Elle se souvint s'être effondré après que quelque chose lui ait touché la jambe gauche et qu'elle n'eut pas le temps de crier lorsque sa vision ce brouilla et qu'elle s'évanouit. Elle n'arrivait pas à savoir si oui ou non elle avait vu Vilma et Yuki, les deux archers avec elle, se faire attraper ou pire.
Lorsqu'elle se réveilla, Aoi était allongé dans une pièce aux murs de pierre avec pour seule sortie une porte en fer. Elle crut tout d'abord que ce n'était qu'un rêve et elle se leva pour essayer d'ouvrir la porte mais s'effondra immédiatement sous la douleur que venait de lui procurer sa jambe. Elle baissa des yeux emplis de larmes de douleur vers celle-ci et remarqua un bandage de fortune recouvert de sang.
Ce n'était pas un rêve, mais le début d'un très long cauchemar.
Elle ne vit pas Yuki ou même Vilma et elle esperait qu'elles étaient ici, avec elle, qu'elle ne serait pas seule car à ce moment même, elle se sentit plus abandonné que jamais. Elle se recroquevilla sur elle-même et se mit à pleurer à chaude larme, laissant échapper toute la peur qu'elle avait ressentit et qu'elle ressentait à présent.
Mais elle ne resta pas seule très longtemps.
Quelques minutes plus tard, la porte de sa prison s'ouvrit sur ses geôliers, les hommes qui l'avaient attaqué sur l'île, il y a de cela quelques instants dans l'esprit encore embrumé de Aoi. Ils lui attrapèrent les bras et la traînèrent sur le sol, sans prendre en considération ses cris de douleur quand sa jambe tapait contre une pierre ou ses pleures. Après être passé dans par un dédale de couloir, ils la firent entrer dans une grande salle où se trouvait des dizaines de personnes, encore des hommes, avec au centre un échafaudage.
Ce fut le moment le plus humiliant de toute sa vie.
On lui coupa d'abord les cheveux, qui lui arrivait alors sous les omoplates, jusqu'au menton, puis on la déshabilla entièrement pour la laisser nue face à des personnes qu'elle n'avait jamais vu. Bien sûr elle avait essayé de se cacher, de s'enfuir, mais elle était bien trop petite pour faire face à un groupe d'hommes.
- Voici une jeune amazone du nom de... Quel est ton nom et ton âge jeune fille ?
Aoi ne répondit pas, elle ne voulait pas leur dire. Mais un coup de fouet violent lui fut assené dans le dos, quelque chose qu'elle apprendrait à supporter au fil du temps, et elle cria de douleur.
- Ton nom, fit la voix, beaucoup plus insistante.
- Yuno, mentit-elle entre deux sanglot. Yuno Molur, j'ai cinq ans.
Elle avait le sentiment qu'elle ne devait surtout pas leur donner son vrai nom, que sinon elle serait à jamais emprisonné.
- Voici donc Yuno Mulor, une jeune amazone venant tout droit de Amazon Lily Messieurs ! Comme vous pouvez le voir malgré son jeune âge elle possède déjà une musculature impressionnante et de plus nous pouvons vous affirmez qu'elle deviendra une très belle femme. Elle est encore jeune, vous pouvez donc encore l'éduquer comme bon vous semble et elle vous sera très serviable et obéissante. Je pense que ce n'est pas une offre que vous verrez souvent alors je lance les enchères à 100.000 Berry !
Aoi n'écouta pas le reste de la discussion, elle ne comprenait rien à ce qui lui arrivait ou même ce qui allait lui arriver. Elle finit par être vendu pour près de 1.000.000 de Berry par un très riche marchand, une somme astronomique pour une si petite fille.
Elle fut ensuite envoyé dans une salle pour être habillé d'une simple robe blanche après lui avoir gravé au fer rouge dans le creux des reins le nombre "613", son numéro d'esclave. Elle avait crié, supplié, pleuré, c'était presque évanouit, mais personne n'avait rien fait. Une fois prête elle fut envoyée à son acheteur et le supplice commença alors pour ses huit prochaines années.
Je ne vais pas vous raconter dans les détails ce qu'elle a pu subir, sachez juste que le viol, la maltraitance, le fouet, la peur et la solitude devinrent son quotidien. Elle vivait au jour le jour, ne rêvant plus que d'une chose : la liberté ; et tous ses souvenirs de son île natal et de sa famille à Amazon Lily se perdirent dans l'oubli. Cependant, elle continuait en cachette à s'entrainer, à développer sa musculature et sa souplesse, seulement les jours où elle avait encore assez de force ou était encore assez consciente pour le faire. Sa jambe gauche restait un gros point faible pour elle car, si elle forçait trop dessus, elle ressentait de très vive douleur à l'endroit où elle s'était pris une balle.
Elle évolua aussi mentalement et sentimentalement. Elle était devenue une jeune femme très intelligente, évitant de le montrer à son "maitre" M.Kumui, pouvant analyser la moindre situation pour en tirer le meilleur profit. C'était aussi devenu une fille froide, distante, égoïste, hypocrite, menteuse et très dangereuse.
Mais cela, M.Kumui ne le comprit que bien trop tard.
Elle n'était jamais sortie de la demeure de son maitre, ne s'était jamais échappée et accédait à chacune de ses demandes, de façon à lui faire croire qu'elle était devenue docile et obéissante et ainsi, le jour de son treizième anniversaire, son maitre sortit en lui demandant exceptionnellement de l'accompagner. Pourquoi ? Cela reste encore aujourd'hui un mystère pour elle.
Elle sortit donc pour la première fois du manoir et ce fut ce jour la qu'elle réussit à s'enfuir.
Elle était aussi devenue une meurtrière puisqu'elle avait tué en public son maître, et c'était ensuite enfuie avant de se faire attraper en se cachant, un talent qu'elle apprit au fil du temps à maitriser à la perfection.
Elle apprit alors le nom de la ville où elle se trouvait : la nouvelle Réa. Elle vola quelques vêtements et réussit à se faire passer pour la fille d'un commerçant pour monter sur un navire de cargaison à destination de Saint Urea. Après tout, personne ne l'avait jamais vu, quelque minute à peine au maximum avant qu'elle ne tue son maitre et qu'elle ne s'enfuit et elle portait des habits qu'un esclave était incapable de porter.
C'est ainsi que réussit à s'enfuir et qu'elle commença une nouvelle vie sous son vrai nom : Aoi Fujita.
Elle rapprit, seule, à se servir d'un arc et finit même par en créer elle-même un qu'elle surnomma Bara (Roses), comme une fleur, magnifique de l'extérieur, mais pouvant montrer des ronces acérées et mortelles. Son maniement de l'arc devint vite parfait car elle avait gardé en mémoire les bases qu'elle avait appris enfant et sa musculature lui permettait de bander son arc parfaitement, sans hésitation et d'envoyer une flèches à plusieurs mètres d'elle. Elle vécut de vole, de combat et d'un immense sentiment de liberté et cela est toujours le cas aujourd'hui.
Du haut de ses quatorze ans, Aoi est devenu une fille haïssant les hommes et la foule, très franche, réfléchi, battante et insensible. Mais elle ne veut plus de cette vie de vandale et aimerait trouver une fille avec qui elle pourrait découvrir le monde et ainsi utiliser cette liberté tant mérité comme il se doit.
Elle n'avait presque aucun souvenir de sa mère, morte d'une maladie incurable lors de ses trois ans, mais elle ne se souvint pas avoir ne serais-ce qu'un jour ressenti de la solitude car elle faisait partie de la tribu. Elle n'était pas seule et elle était heureuse.
Le potentiel de Aoi pour le tir à l'arc devint rapidement évident pour tout le monde. Déjà enfant elle s'amusait avec les arcs laissés sans surveillance et lors de ses quatre ans elle réussit pour la première fois à l'utiliser assez convenablement pour envoyer une flèche à moins d'un mètre d'elle. Certes c'était peu, mais pour une enfant de quatre ans qui utilise un arc trop grand pour elle et pour la première fois, c'est une chose exceptionnelle.
Après cela, elle fut quotidiennement entrainée par les archers de la tribu et montra rapidement une certaine aisance pour le maniement de l'arc, même si ses mouvements étaient toujours hésitants et ses lancés peu puissant, mais elle était encore jeune et tout le monde savait qu'elle deviendrait très rapidement une jeune femme d'exception.
C'était alors une jeune fille pleine de vie, souriante, toujours partante pour aider les autres, très bavarde même si elle avait souvent du mal à s'exprimer clairement et très attachante.
Ce fut peu de temps après son cinquième anniversaire que sa vie bascula et l'a transforma totalement en ce qu'elle est devenue aujourd'hui.
Elle était partie avec deux autres archers s'entrainer sur la baie de l'île, mais avant même d'y arriver elle avait senti quelque chose qui n'était pas habituel. Une odeur de brulé venait de lui monter aux nez et elle comprit que cela venait de la côte. Les autres filles n'avaient rien senti et elle se dit que ce n'était surement que son imagination, mais elle savait intérieurement que c'était autre chose.
Une fois arrivées sur la baie, la première chose qu'elles virent fut le feu. Ou plutôt l'ancien feu de fortune installé ici plus tôt. Un tas de bois carbonisé gisaient au centre d'un cercle délimité par des pierres. Aucune fille de la tribu n'étaient venues ici durant les derniers jours et ce feu datait de la soirée.
Elles n'eurent pas le temps de se mettre en position de défense, surtout pas Aoi qui ne comprenait rien du tout et qui s'était déjà bien avancé vers le feu, lorsque quatre hommes sortirent des bois et tirèrent à l'aide d'arme qu'elles ne connaissaient pas sur le petit groupe. Aoi ne se souvint de presque rien de ce qui ne se passa par la suite. Elle se souvint s'être effondré après que quelque chose lui ait touché la jambe gauche et qu'elle n'eut pas le temps de crier lorsque sa vision ce brouilla et qu'elle s'évanouit. Elle n'arrivait pas à savoir si oui ou non elle avait vu Vilma et Yuki, les deux archers avec elle, se faire attraper ou pire.
Lorsqu'elle se réveilla, Aoi était allongé dans une pièce aux murs de pierre avec pour seule sortie une porte en fer. Elle crut tout d'abord que ce n'était qu'un rêve et elle se leva pour essayer d'ouvrir la porte mais s'effondra immédiatement sous la douleur que venait de lui procurer sa jambe. Elle baissa des yeux emplis de larmes de douleur vers celle-ci et remarqua un bandage de fortune recouvert de sang.
Ce n'était pas un rêve, mais le début d'un très long cauchemar.
Elle ne vit pas Yuki ou même Vilma et elle esperait qu'elles étaient ici, avec elle, qu'elle ne serait pas seule car à ce moment même, elle se sentit plus abandonné que jamais. Elle se recroquevilla sur elle-même et se mit à pleurer à chaude larme, laissant échapper toute la peur qu'elle avait ressentit et qu'elle ressentait à présent.
Mais elle ne resta pas seule très longtemps.
Quelques minutes plus tard, la porte de sa prison s'ouvrit sur ses geôliers, les hommes qui l'avaient attaqué sur l'île, il y a de cela quelques instants dans l'esprit encore embrumé de Aoi. Ils lui attrapèrent les bras et la traînèrent sur le sol, sans prendre en considération ses cris de douleur quand sa jambe tapait contre une pierre ou ses pleures. Après être passé dans par un dédale de couloir, ils la firent entrer dans une grande salle où se trouvait des dizaines de personnes, encore des hommes, avec au centre un échafaudage.
Ce fut le moment le plus humiliant de toute sa vie.
On lui coupa d'abord les cheveux, qui lui arrivait alors sous les omoplates, jusqu'au menton, puis on la déshabilla entièrement pour la laisser nue face à des personnes qu'elle n'avait jamais vu. Bien sûr elle avait essayé de se cacher, de s'enfuir, mais elle était bien trop petite pour faire face à un groupe d'hommes.
- Voici une jeune amazone du nom de... Quel est ton nom et ton âge jeune fille ?
Aoi ne répondit pas, elle ne voulait pas leur dire. Mais un coup de fouet violent lui fut assené dans le dos, quelque chose qu'elle apprendrait à supporter au fil du temps, et elle cria de douleur.
- Ton nom, fit la voix, beaucoup plus insistante.
- Yuno, mentit-elle entre deux sanglot. Yuno Molur, j'ai cinq ans.
Elle avait le sentiment qu'elle ne devait surtout pas leur donner son vrai nom, que sinon elle serait à jamais emprisonné.
- Voici donc Yuno Mulor, une jeune amazone venant tout droit de Amazon Lily Messieurs ! Comme vous pouvez le voir malgré son jeune âge elle possède déjà une musculature impressionnante et de plus nous pouvons vous affirmez qu'elle deviendra une très belle femme. Elle est encore jeune, vous pouvez donc encore l'éduquer comme bon vous semble et elle vous sera très serviable et obéissante. Je pense que ce n'est pas une offre que vous verrez souvent alors je lance les enchères à 100.000 Berry !
Aoi n'écouta pas le reste de la discussion, elle ne comprenait rien à ce qui lui arrivait ou même ce qui allait lui arriver. Elle finit par être vendu pour près de 1.000.000 de Berry par un très riche marchand, une somme astronomique pour une si petite fille.
Elle fut ensuite envoyé dans une salle pour être habillé d'une simple robe blanche après lui avoir gravé au fer rouge dans le creux des reins le nombre "613", son numéro d'esclave. Elle avait crié, supplié, pleuré, c'était presque évanouit, mais personne n'avait rien fait. Une fois prête elle fut envoyée à son acheteur et le supplice commença alors pour ses huit prochaines années.
Je ne vais pas vous raconter dans les détails ce qu'elle a pu subir, sachez juste que le viol, la maltraitance, le fouet, la peur et la solitude devinrent son quotidien. Elle vivait au jour le jour, ne rêvant plus que d'une chose : la liberté ; et tous ses souvenirs de son île natal et de sa famille à Amazon Lily se perdirent dans l'oubli. Cependant, elle continuait en cachette à s'entrainer, à développer sa musculature et sa souplesse, seulement les jours où elle avait encore assez de force ou était encore assez consciente pour le faire. Sa jambe gauche restait un gros point faible pour elle car, si elle forçait trop dessus, elle ressentait de très vive douleur à l'endroit où elle s'était pris une balle.
Elle évolua aussi mentalement et sentimentalement. Elle était devenue une jeune femme très intelligente, évitant de le montrer à son "maitre" M.Kumui, pouvant analyser la moindre situation pour en tirer le meilleur profit. C'était aussi devenu une fille froide, distante, égoïste, hypocrite, menteuse et très dangereuse.
Mais cela, M.Kumui ne le comprit que bien trop tard.
Elle n'était jamais sortie de la demeure de son maitre, ne s'était jamais échappée et accédait à chacune de ses demandes, de façon à lui faire croire qu'elle était devenue docile et obéissante et ainsi, le jour de son treizième anniversaire, son maitre sortit en lui demandant exceptionnellement de l'accompagner. Pourquoi ? Cela reste encore aujourd'hui un mystère pour elle.
Elle sortit donc pour la première fois du manoir et ce fut ce jour la qu'elle réussit à s'enfuir.
Elle était aussi devenue une meurtrière puisqu'elle avait tué en public son maître, et c'était ensuite enfuie avant de se faire attraper en se cachant, un talent qu'elle apprit au fil du temps à maitriser à la perfection.
Elle apprit alors le nom de la ville où elle se trouvait : la nouvelle Réa. Elle vola quelques vêtements et réussit à se faire passer pour la fille d'un commerçant pour monter sur un navire de cargaison à destination de Saint Urea. Après tout, personne ne l'avait jamais vu, quelque minute à peine au maximum avant qu'elle ne tue son maitre et qu'elle ne s'enfuit et elle portait des habits qu'un esclave était incapable de porter.
C'est ainsi que réussit à s'enfuir et qu'elle commença une nouvelle vie sous son vrai nom : Aoi Fujita.
Elle rapprit, seule, à se servir d'un arc et finit même par en créer elle-même un qu'elle surnomma Bara (Roses), comme une fleur, magnifique de l'extérieur, mais pouvant montrer des ronces acérées et mortelles. Son maniement de l'arc devint vite parfait car elle avait gardé en mémoire les bases qu'elle avait appris enfant et sa musculature lui permettait de bander son arc parfaitement, sans hésitation et d'envoyer une flèches à plusieurs mètres d'elle. Elle vécut de vole, de combat et d'un immense sentiment de liberté et cela est toujours le cas aujourd'hui.
Du haut de ses quatorze ans, Aoi est devenu une fille haïssant les hommes et la foule, très franche, réfléchi, battante et insensible. Mais elle ne veut plus de cette vie de vandale et aimerait trouver une fille avec qui elle pourrait découvrir le monde et ainsi utiliser cette liberté tant mérité comme il se doit.
>> Test RP
Le moment où les choses prirent une très mauvaise tournure pour moi ? Eh bien, peu de temps après ma fuite pour tout dire. J'étais monté sur le bateau à destination de Saint Urea, habillée comme une jeune fille banale, mais je n'avais pas réellement pensé à ce moment-là à mon tatouage dans le dos, qui était tout de même la marque la plus flagrante concernant mon passé.
Cela faisait déjà deux jours que nous naviguions et mon corps poisseux me dégoutait de plus en plus. Même esclave je réussissais à me laver au moins une fois tous les deux ou trois jours mais là je ne m'étais pas nettoyée depuis plus de 96 heures.
J'avais donc fini par voler un bol rempli d'eau dans les cuisines du bateau sans même me faire attraper, ce qui n'était pas compliqué puisque personne ne s'était montré dans la salle durant toute la durée de l'opération. J'étais ensuite redescendue dans la cale du bateau pour enlever la sueur qui couvrait mon corps, mais je n'avais pas réellement fais attention au fait qu'il pourrait y avoir d'autres personnes dans la cale au même moment puisque personne n'y était descendu durant les deux derniers jours.
Je fus donc passablement surprise lorsque quelqu'un me tira en arrière alors que j'étais en train de me nettoyer le dos. Je m'étais retournée, effrayée et énervée devant un mioche.
Je me souviendrais sans doute toujours de cet espèce de gringalet, plus vieux que moi d'un ou deux ans au maximum, me regardant avec une grande fierté non dissimulée et une pointe de dégout.
- Mademoiselle, vos papiers de transport s'il vous plait, me dit-il, un sourire ironique collé sur le visage.
Je ne voulais pas lui parler, déjà parce que je savais que j'allais avoir des ennuis, mais surtout parce que c'était un homme. Et qu'il avait l'air d'être un parfait abruti.
Je ne lui répondis donc pas et me retournai pour m'enfuir et me cacher puisque je n'avais pas d'arme et je réussis même à atteindre le pont de bateau mais je fus brusquement projetée en arrière par un homme, de deux fois ma taille avec une carrure assez imposante, qui était apparu devant moi et sur qui j'avais foncé sans même le remarquer puisque je regardais en arrière pour m'assurer que l'abruti ne me suivait pas.
- On peut savoir ce que vous faites la ? Je ne me souviens pas avoir une fille, si jeune d'autant plus, dans mon équipage.
Je n'eus pas le temps de répondre que le gringalet, qui était arrivé à bout de souffle, prit la relève ce prenant au passage un regard empli de haine de ma part.
- Capitaine, je crois bien que c'est une esclave fugitive ! J'ai eu le temps de voir un tatouage semblable à ceux des autres dans son dos.
Le capitaine comme l'appelait l'abruti, me fixa avec une méfiance plus grande. Ca sentait les ennuis alors que je n'étais libre que depuis peu et que je voulais seulement me laver un peu, sans déranger personne.
- Je ne sais pas qui tu es petite fille, ni ce que tu fais sur ce bateau même si je me doute bien que tu essayes de t'enfuir. J'ai une bonne et une mauvaise nouvelle pour toi : je ne suis pas un esclavagiste donc je ne te forcerais pas à retourner sur l'île ou à faire de toi mon esclave, mais je n'ai aucune envie de nourrir une personne de plus ici. Alors, je suis désolé mais ça va être le passage par-dessus bord pour toi, dit-il tout en m'attrapant le bras et en me remettant vivement debout.
Je me dégageais, avec une force qui le surprit, de sa poigne et le fixais dans les yeux, avec colère, dégout et supériorité.
- Déjà j'ai un nom ok ? Aoi. Je ne vous dois rien et vous non plus alors ça tombe bien. M'en fou de la bouffe, j'ai déjà été habitué à ne rien manger durant des jours sans ressentir d'envie particulière. Et enfin je ne suis pas une petite fille.
Mon ton devint extrêmement menaçant lorsque je prononçais les mots "petite fille" et je sentis le marmot dans mon dos se reculer très légèrement, mais mes paroles n'atteignirent aucunement le capitaine qui resta stoïque. Ce n'était pas une fille de 13 ans qui inspirait beaucoup plus la pitié que la menace qui allait le faire frissonner, mais s'il m'avait vu avec un couteau ou, mieux, un arc pointé sur sa gorge il aurait sans doute moins fait le malin.
- Aoi donc ? Le problème tu vois c'est que, premièrement j'ai pas de pitié pour les mioches et deuxièmement, j'ai pas envie de recevoir un avertissement parce qu'une ancienne esclave comme tu dis c'est incrusté sur mon bateau et que j'ai pas été foutu de la virer de là. Toi tu veux pas descendre mais moi je veux pas de toi alors on fait comment hein ?
Il m'énervait de plus en plus et je n'avais plus qu'une envie qui était d'être tranquille sans personne pour venir m'emmerder. J'entendis d'autres voix masculines se rassembler autour de nous et je compris que mon cas commençait à devenir critique et que s'il le voulait, il pouvait, comme il le disait, me jeter par-dessus bord sans aucun problème.
J'étais faible physiquement, mentalement ce n'était pas mieux même si je voulais montrer le contraire et je n'avais aucune arme. Je n'avais donc que ma parole pour me défendre et il fallait que je trouve une bonne raison de rester dans le bateau car je savais que si je me retrouvais à l'eau, vue ma fatigue physique, je ne ferais pas long feu avant de ne plus avoir de force et de me noyer.
Il me fallut plusieurs secondes, durant lesquelles le capitaine s'approcha de nouveau de moi, pour que je trouve enfin la raison qui me permettrait de rester ici.
Je devais me montrer aussi stupide que possible sans éveiller de soupçons. Mon ton changea du tout au tout et je fis en sorte que mon visage trahisse de la peur, sans pour autant perdre ce masque d'impassibilité.
- S'il vous plait. Je ne veux pas redevenir esclave en me faisant attraper par des pirates ou d'autre marchand voulant toucher une grosse somme de moi, qu'ils obtiendront puisque je suis une ancienne Amazone. Vous aurez bien assez pitié de moi pour ne pas me jeter par-dessus bord et me laisser seulement voyager sur votre bateau hein ?
Je vis le visage du capitaine, d'abord méfiant devant mon soudain changement de comportement, devenir bien plus intéresser lorsque je lui fis part de l'argent qu'il pourrait toucher de moi. Il se frotta l'arrière du crâne, l'air de réfléchir alors que je savais déjà que j'avais gagné la bataille.
- C'est vrai qu'il serait dommage de jeter une fille aussi jeune par-dessus bord, dit-il en me regardant de haut en bas. Mais je ne pense pas que quelqu'un puisse réellement t'acheter très cher tu sais ?
Je savais qu'il voulait savoir combien il pouvait tirer de moi et que le prix que j'allais lui donner aller me permettre de rester sur ce bateau jusqu'à mon arriver sur l'île. De plus, si je tournais bien ma réponse, j'allais pouvoir manger et reprendre des forces sans problème.
- Mon ancien maître m'a bien acheté un million de berry alors je pense que je suis rentable, ce qui est très problématique pour moi, dis-je en soupirant de tristesse. Mais c'est vrai que vu mon état physique je pense que je ne vaux plus autant qu'avant.
Mon jeu d'acteur était incroyable, mais j'avais été habitué après huit ans de servitude.
Le capitaine claqua soudainement dans ses mains et son visage changea du tout au tout, me donnant presque peur.
- Attrapez-la et enfermez-la dans une de nos cabines, sans rien de dangereux à l'intérieur ! Nous nous partagerons sa vente ensemble, mais surtout ne la laissez pas partir.
Les hommes autour de moi commencèrent d'abord à me fixer sans vraiment savoir quoi faire et lorsque l'un d'eux m'attrapa l'épaule je ne fis rien pour me défendre. Tout se passait comme je le voulais.
- Vous... vous n'allez tout de même pas me revendre quand même ? dis-je d'une voix suppliante. Je vous en prie ! Je ne veux pas devenir de nouveau une esclave !
Deux hommes m'avaient à présent bloqué les bras dans le dos et commençaient à me faire avancer vers l'intérieur du bateau. J'entendis la voix du capitaine dans mon dos.
- Désolée poupée mais c'est pas parce que t'as un joli minois que je vais avoir pitié.
Je fus ensuite enfermée dans une petite cabine comportant seulement un lit ainsi que des vêtements pour mecs trop grand pour moi mais dont je réussis tout de même à faire un pantalon et une chemise à ma taille et je fus nourris chaque jours, matin, midi et soir pour que je sois plus présentable à mes "futurs" acheteurs. On surveillait si je ne tentais pas de m'échapper, ce que je ne fis absolument pas, préférant me reposer un maximum et profiter des repas si gentiment offert par la maison.
Le jour de notre arrivée, on me sortit de ma cabine en prenant soin de ne pas me blesser, sans doute avaient-ils peur que je ne vaille moins chers si j'étais blessée alors que j'avais déjà un lot de cicatrices impressionnant.
Je pris mon air le plus triste et inoffensif que je pouvais, aussi bien lorsque j'étais encore sur le bateau que lorsque je touchais enfin la terre ferme, alors que j'étais pourtant extrêmement fascinée par cette gigantesque ville et toutes ces personnes qui ne ressemblaient à rien de ce que j'avais pu voir jusque là.
Le capitaine s'occupa personnellement de moi, surement trouvait-il que j'étais une fille inoffensive, toujours suivi de son toutou qui m'avait trouvé et à cause de qui je devais à présent jouer la comédie pour sauver ma peau.
Ils m'emmenèrent directement vers une taverne qui renfermait un grand marché d'esclave dans son sous-sol. Je me dis intérieurement que c'était tout de même bizarre pour des personnes n'étant pas esclavagiste de connaitre des endroits comme celui-ci mais de toute façon je n'eus jamais l'occasion de poser la question ou même de voir ce fameux sous-sol.
Le capitaine s'éloigna quelque instant de moi pour aller voir un groupe d'hommes, surement pour aller chercher quelques informations, et me laissa seul avec le gringalet ce qui fut la plus grosse erreur qu'il commit, en plus de m'avoir permis de récupérer de l'énergie.
Je me retournai vers le gamin et, de façon provocante et tendre, je lui caressai la joue.
Je sentais bien qu'il était méfiant mais j'avais aussi remarquée son regard sur moi lorsqu'il m'avait vu dans la cale.
Cependant, je ne lui laissai pas beaucoup de temps pour comprendre car il se prit le coup de poing le plus violent que je pouvais lui infliger dans la mâchoire puis un bon coup de pied dans les bourses et même si je n'étais pas très puissante au niveau des jambes mon coup eu l'effet escompté et il tomba par terre se tenant l'entre-jambe en grognant de douleur. Son nez était surement cassé vu comment il saignait et avant de m'enfuir je lui assénai un dernier coup de pied dans le ventre.
Il l'avait très largement mériter après tout.
Tout cela avait pris à peine quelque seconde et, voyant que le capitaine commençait à se retourner je me penchais rapidement pour susurré quelques mots à l'abruti.
- Je suis une ancienne Amazone vous le savez n'est-ce pas ? Vous croyez sincèrement que j'allais me laisser faire si facilement ? Bande de bon à rien, inutile et stupide.
Je me relevais en vitesse et atteignis la porte de la sortie aussi rapidement que possible, sentant que le capitaine commençait enfin à comprendre ce qui venait de se passer. Toujours aussi long à la détente ces mecs...
J'eus, de cette façon, le temps de me cacher rapidement dans une boutique tout près, "empruntant" un couteau, que j'ai toujours actuellement, et lorsque le cap' entra dans ce magasin, avec cette pauvre vendeuse qui n'avait rien demandé, et qu'il se retrouva dos à moi, je n'eus aucun scrupule à lui enfoncer aussi profondément que possible la lame du couteau dans le dos, puis dans les côtes.
Il s'affala sur le sol dans un son lourd, et un profond silence envahit la pièce, avant que la vendeuse ne cri d'horreur de la scène et que je ne m'enfuis à nouveau, mais cette fois-ci, libre dans cette ville qui bientôt aurait oublié cette histoire et m'aurait entièrement accepté.
Cela faisait déjà deux jours que nous naviguions et mon corps poisseux me dégoutait de plus en plus. Même esclave je réussissais à me laver au moins une fois tous les deux ou trois jours mais là je ne m'étais pas nettoyée depuis plus de 96 heures.
J'avais donc fini par voler un bol rempli d'eau dans les cuisines du bateau sans même me faire attraper, ce qui n'était pas compliqué puisque personne ne s'était montré dans la salle durant toute la durée de l'opération. J'étais ensuite redescendue dans la cale du bateau pour enlever la sueur qui couvrait mon corps, mais je n'avais pas réellement fais attention au fait qu'il pourrait y avoir d'autres personnes dans la cale au même moment puisque personne n'y était descendu durant les deux derniers jours.
Je fus donc passablement surprise lorsque quelqu'un me tira en arrière alors que j'étais en train de me nettoyer le dos. Je m'étais retournée, effrayée et énervée devant un mioche.
Je me souviendrais sans doute toujours de cet espèce de gringalet, plus vieux que moi d'un ou deux ans au maximum, me regardant avec une grande fierté non dissimulée et une pointe de dégout.
- Mademoiselle, vos papiers de transport s'il vous plait, me dit-il, un sourire ironique collé sur le visage.
Je ne voulais pas lui parler, déjà parce que je savais que j'allais avoir des ennuis, mais surtout parce que c'était un homme. Et qu'il avait l'air d'être un parfait abruti.
Je ne lui répondis donc pas et me retournai pour m'enfuir et me cacher puisque je n'avais pas d'arme et je réussis même à atteindre le pont de bateau mais je fus brusquement projetée en arrière par un homme, de deux fois ma taille avec une carrure assez imposante, qui était apparu devant moi et sur qui j'avais foncé sans même le remarquer puisque je regardais en arrière pour m'assurer que l'abruti ne me suivait pas.
- On peut savoir ce que vous faites la ? Je ne me souviens pas avoir une fille, si jeune d'autant plus, dans mon équipage.
Je n'eus pas le temps de répondre que le gringalet, qui était arrivé à bout de souffle, prit la relève ce prenant au passage un regard empli de haine de ma part.
- Capitaine, je crois bien que c'est une esclave fugitive ! J'ai eu le temps de voir un tatouage semblable à ceux des autres dans son dos.
Le capitaine comme l'appelait l'abruti, me fixa avec une méfiance plus grande. Ca sentait les ennuis alors que je n'étais libre que depuis peu et que je voulais seulement me laver un peu, sans déranger personne.
- Je ne sais pas qui tu es petite fille, ni ce que tu fais sur ce bateau même si je me doute bien que tu essayes de t'enfuir. J'ai une bonne et une mauvaise nouvelle pour toi : je ne suis pas un esclavagiste donc je ne te forcerais pas à retourner sur l'île ou à faire de toi mon esclave, mais je n'ai aucune envie de nourrir une personne de plus ici. Alors, je suis désolé mais ça va être le passage par-dessus bord pour toi, dit-il tout en m'attrapant le bras et en me remettant vivement debout.
Je me dégageais, avec une force qui le surprit, de sa poigne et le fixais dans les yeux, avec colère, dégout et supériorité.
- Déjà j'ai un nom ok ? Aoi. Je ne vous dois rien et vous non plus alors ça tombe bien. M'en fou de la bouffe, j'ai déjà été habitué à ne rien manger durant des jours sans ressentir d'envie particulière. Et enfin je ne suis pas une petite fille.
Mon ton devint extrêmement menaçant lorsque je prononçais les mots "petite fille" et je sentis le marmot dans mon dos se reculer très légèrement, mais mes paroles n'atteignirent aucunement le capitaine qui resta stoïque. Ce n'était pas une fille de 13 ans qui inspirait beaucoup plus la pitié que la menace qui allait le faire frissonner, mais s'il m'avait vu avec un couteau ou, mieux, un arc pointé sur sa gorge il aurait sans doute moins fait le malin.
- Aoi donc ? Le problème tu vois c'est que, premièrement j'ai pas de pitié pour les mioches et deuxièmement, j'ai pas envie de recevoir un avertissement parce qu'une ancienne esclave comme tu dis c'est incrusté sur mon bateau et que j'ai pas été foutu de la virer de là. Toi tu veux pas descendre mais moi je veux pas de toi alors on fait comment hein ?
Il m'énervait de plus en plus et je n'avais plus qu'une envie qui était d'être tranquille sans personne pour venir m'emmerder. J'entendis d'autres voix masculines se rassembler autour de nous et je compris que mon cas commençait à devenir critique et que s'il le voulait, il pouvait, comme il le disait, me jeter par-dessus bord sans aucun problème.
J'étais faible physiquement, mentalement ce n'était pas mieux même si je voulais montrer le contraire et je n'avais aucune arme. Je n'avais donc que ma parole pour me défendre et il fallait que je trouve une bonne raison de rester dans le bateau car je savais que si je me retrouvais à l'eau, vue ma fatigue physique, je ne ferais pas long feu avant de ne plus avoir de force et de me noyer.
Il me fallut plusieurs secondes, durant lesquelles le capitaine s'approcha de nouveau de moi, pour que je trouve enfin la raison qui me permettrait de rester ici.
Je devais me montrer aussi stupide que possible sans éveiller de soupçons. Mon ton changea du tout au tout et je fis en sorte que mon visage trahisse de la peur, sans pour autant perdre ce masque d'impassibilité.
- S'il vous plait. Je ne veux pas redevenir esclave en me faisant attraper par des pirates ou d'autre marchand voulant toucher une grosse somme de moi, qu'ils obtiendront puisque je suis une ancienne Amazone. Vous aurez bien assez pitié de moi pour ne pas me jeter par-dessus bord et me laisser seulement voyager sur votre bateau hein ?
Je vis le visage du capitaine, d'abord méfiant devant mon soudain changement de comportement, devenir bien plus intéresser lorsque je lui fis part de l'argent qu'il pourrait toucher de moi. Il se frotta l'arrière du crâne, l'air de réfléchir alors que je savais déjà que j'avais gagné la bataille.
- C'est vrai qu'il serait dommage de jeter une fille aussi jeune par-dessus bord, dit-il en me regardant de haut en bas. Mais je ne pense pas que quelqu'un puisse réellement t'acheter très cher tu sais ?
Je savais qu'il voulait savoir combien il pouvait tirer de moi et que le prix que j'allais lui donner aller me permettre de rester sur ce bateau jusqu'à mon arriver sur l'île. De plus, si je tournais bien ma réponse, j'allais pouvoir manger et reprendre des forces sans problème.
- Mon ancien maître m'a bien acheté un million de berry alors je pense que je suis rentable, ce qui est très problématique pour moi, dis-je en soupirant de tristesse. Mais c'est vrai que vu mon état physique je pense que je ne vaux plus autant qu'avant.
Mon jeu d'acteur était incroyable, mais j'avais été habitué après huit ans de servitude.
Le capitaine claqua soudainement dans ses mains et son visage changea du tout au tout, me donnant presque peur.
- Attrapez-la et enfermez-la dans une de nos cabines, sans rien de dangereux à l'intérieur ! Nous nous partagerons sa vente ensemble, mais surtout ne la laissez pas partir.
Les hommes autour de moi commencèrent d'abord à me fixer sans vraiment savoir quoi faire et lorsque l'un d'eux m'attrapa l'épaule je ne fis rien pour me défendre. Tout se passait comme je le voulais.
- Vous... vous n'allez tout de même pas me revendre quand même ? dis-je d'une voix suppliante. Je vous en prie ! Je ne veux pas devenir de nouveau une esclave !
Deux hommes m'avaient à présent bloqué les bras dans le dos et commençaient à me faire avancer vers l'intérieur du bateau. J'entendis la voix du capitaine dans mon dos.
- Désolée poupée mais c'est pas parce que t'as un joli minois que je vais avoir pitié.
Je fus ensuite enfermée dans une petite cabine comportant seulement un lit ainsi que des vêtements pour mecs trop grand pour moi mais dont je réussis tout de même à faire un pantalon et une chemise à ma taille et je fus nourris chaque jours, matin, midi et soir pour que je sois plus présentable à mes "futurs" acheteurs. On surveillait si je ne tentais pas de m'échapper, ce que je ne fis absolument pas, préférant me reposer un maximum et profiter des repas si gentiment offert par la maison.
Le jour de notre arrivée, on me sortit de ma cabine en prenant soin de ne pas me blesser, sans doute avaient-ils peur que je ne vaille moins chers si j'étais blessée alors que j'avais déjà un lot de cicatrices impressionnant.
Je pris mon air le plus triste et inoffensif que je pouvais, aussi bien lorsque j'étais encore sur le bateau que lorsque je touchais enfin la terre ferme, alors que j'étais pourtant extrêmement fascinée par cette gigantesque ville et toutes ces personnes qui ne ressemblaient à rien de ce que j'avais pu voir jusque là.
Le capitaine s'occupa personnellement de moi, surement trouvait-il que j'étais une fille inoffensive, toujours suivi de son toutou qui m'avait trouvé et à cause de qui je devais à présent jouer la comédie pour sauver ma peau.
Ils m'emmenèrent directement vers une taverne qui renfermait un grand marché d'esclave dans son sous-sol. Je me dis intérieurement que c'était tout de même bizarre pour des personnes n'étant pas esclavagiste de connaitre des endroits comme celui-ci mais de toute façon je n'eus jamais l'occasion de poser la question ou même de voir ce fameux sous-sol.
Le capitaine s'éloigna quelque instant de moi pour aller voir un groupe d'hommes, surement pour aller chercher quelques informations, et me laissa seul avec le gringalet ce qui fut la plus grosse erreur qu'il commit, en plus de m'avoir permis de récupérer de l'énergie.
Je me retournai vers le gamin et, de façon provocante et tendre, je lui caressai la joue.
Je sentais bien qu'il était méfiant mais j'avais aussi remarquée son regard sur moi lorsqu'il m'avait vu dans la cale.
Cependant, je ne lui laissai pas beaucoup de temps pour comprendre car il se prit le coup de poing le plus violent que je pouvais lui infliger dans la mâchoire puis un bon coup de pied dans les bourses et même si je n'étais pas très puissante au niveau des jambes mon coup eu l'effet escompté et il tomba par terre se tenant l'entre-jambe en grognant de douleur. Son nez était surement cassé vu comment il saignait et avant de m'enfuir je lui assénai un dernier coup de pied dans le ventre.
Il l'avait très largement mériter après tout.
Tout cela avait pris à peine quelque seconde et, voyant que le capitaine commençait à se retourner je me penchais rapidement pour susurré quelques mots à l'abruti.
- Je suis une ancienne Amazone vous le savez n'est-ce pas ? Vous croyez sincèrement que j'allais me laisser faire si facilement ? Bande de bon à rien, inutile et stupide.
Je me relevais en vitesse et atteignis la porte de la sortie aussi rapidement que possible, sentant que le capitaine commençait enfin à comprendre ce qui venait de se passer. Toujours aussi long à la détente ces mecs...
J'eus, de cette façon, le temps de me cacher rapidement dans une boutique tout près, "empruntant" un couteau, que j'ai toujours actuellement, et lorsque le cap' entra dans ce magasin, avec cette pauvre vendeuse qui n'avait rien demandé, et qu'il se retrouva dos à moi, je n'eus aucun scrupule à lui enfoncer aussi profondément que possible la lame du couteau dans le dos, puis dans les côtes.
Il s'affala sur le sol dans un son lourd, et un profond silence envahit la pièce, avant que la vendeuse ne cri d'horreur de la scène et que je ne m'enfuis à nouveau, mais cette fois-ci, libre dans cette ville qui bientôt aurait oublié cette histoire et m'aurait entièrement accepté.
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
Informations IRL
Prénom : Eva
Age : 17 ans
Aime :Un si grand nombre de chose qu'elle pourrait remplir une bibliothèque ou deux. Mais principalement elle aime le dessin, la musique, les mangas, les jeux-vidéos, les dramas et bien sur j'en passe.
N'aime pas : Houla ! Elle pourrait remplir six bibliothèques de ce que elle n'aime pas ! Les homophobes, les débiles, les mauvais joueurs, la foule, les araignées, la morue,...
Personnage préféré de One Piece : Ace mais bon je me suis faite une raison, c'est donc Kobby
Caractère : Je suis quelqu'un de timide de base mais seulement au début. Je peux vous dire que une fois que je connais les personnes je suis quelqu'un de très joviale et toujours souriante Je suis aussi la première à sortir les pires conneries
Fait du RP depuis : Vous allez me taper sur les doigts... C'est la première fois Je fais du RP avec une amie depuis deux ans par sms mais ce n'est pas du tout la même ambiance, et puis il y a un début à tout !
Disponibilité approximative : Tout le temps, surtout pendant les vacances et les week-ends.
Comment avez-vous connu le forum ? Miss Luka et Mister Keel m'en ont parlé du coup je me suis inscrite, et oui il en faut peu pour que j'accepte moi
Prénom : Eva
Age : 17 ans
Aime :Un si grand nombre de chose qu'elle pourrait remplir une bibliothèque ou deux. Mais principalement elle aime le dessin, la musique, les mangas, les jeux-vidéos, les dramas et bien sur j'en passe.
N'aime pas : Houla ! Elle pourrait remplir six bibliothèques de ce que elle n'aime pas ! Les homophobes, les débiles, les mauvais joueurs, la foule, les araignées, la morue,...
Personnage préféré de One Piece : Ace mais bon je me suis faite une raison, c'est donc Kobby
Caractère : Je suis quelqu'un de timide de base mais seulement au début. Je peux vous dire que une fois que je connais les personnes je suis quelqu'un de très joviale et toujours souriante Je suis aussi la première à sortir les pires conneries
Fait du RP depuis : Vous allez me taper sur les doigts... C'est la première fois Je fais du RP avec une amie depuis deux ans par sms mais ce n'est pas du tout la même ambiance, et puis il y a un début à tout !
Disponibilité approximative : Tout le temps, surtout pendant les vacances et les week-ends.
Comment avez-vous connu le forum ? Miss Luka et Mister Keel m'en ont parlé du coup je me suis inscrite, et oui il en faut peu pour que j'accepte moi
Dernière édition par Aoi Fujita le Lun 28 Sep 2015 - 22:45, édité 25 fois