L'espoir se reflète sur le sourire des enfants de ce royaume. Je garde un joyeux souvenir de mon enfance et quand je les vois, j'ai l'impression de me retrouver gamin. Affilié à la section 7, je m'adonne à une petite sieste. Je suis le matelot 2ème classe Saez et j'ai 24 ans. La vie devant moi et les mouettes qui piaillent au dessus de nos têtes me révèlent un bel avenir au sein de la marine. Je suis sûr que dans deux ans, je vais être sous-officier et officier un an plus tard et dans dix ans, je serais Contre Amiral ! Et pourquoi pas rêver ? J'ai un pincement au cœur en pensant au futur... Mieux vaut se préserver et rester dans le présent actuel qui sera bientôt un passé oublié.
Effectuant sa ronde quotidienne, le caporal Bek. Avec pas mal de cheveux, bien qu'une calvitie naissante s'est formé. Hostile présence qui se fait sentir près de moi lorsque je suis à moitié endormi, ''Réveillez-vous, matelot !'' Han ! Qu'est ce qui se ...
Ah ? Une mission ? Quel genre, parce que si c'est récuré les toilettes et aidé les commis à éplucher leurs pommes de terre, franchement, c'est la vingtième fois qu'on me le demande. De la surveillance ? Vous voulez dire du Baby-sitting ? Et on doit assister quel orphelin ? Ah le fils du Cononel ! Euh oui, le Colonel... Pourquoi ? Parce qu'on lui choure son goûté à la sortie de l'école ? Je suis pas bien réveillé, va falloir me donner plus de détails sur cette action, mon Caporal.
Oui un Mocaccino fera bien l'affaire.
Sans sucre.
Je remonte le long couloir de la forteresse du QG avec mon café à la main. Tremblotant à peine, manquant de le renverser à chaque virage. Jusqu'à croiser des sous-officier un peu bête et râleurs qui m'ont fait trébucher dans mon élan. Rien à dire si ce n'est de les insulter bien profond dans sa tête. Il me reste une petite gorgée que je bois d'une traite et dépose la tasse sur un bureau quelconque. Dans une pièce bien éclairée où j'attends le Caporal.
J'ai les crocs... A qui sont ces moelleux ?
Au garde à vous quand j'aperçois le Caporal Bek !
- J'attends vos ordres, M'sieur !
Moelleux Mocaccino
Des beaux cheveux soyeux. Une belle chevelure blonde. Ils sont tombants et bien lissent. Avec mon uniforme ça doit faire un certain effet. J'attends mon sergent dans un couloir en m'adossant contre le mur, apparremment il aurait une mission concernant les enfants à me passer. Tout ce qui touche les gamins ça me parle. Rien de plus beau que leur sourire. Un jour j'aurais des gosses et pourquoi pas avec elle, ce matelot première classe qui passe dans le couloir.
-Gare à vous !
Elle s'arrête dans sa démarche gracieuse et me regarde avec nonchalance en cherchant ce qu'il y a de dangereux dans le coin.
-Matelot ! Voulez-vous m'épouser ! Nous aurons beaucoup d'enfants ! Parce que j'aime les enfants.
Sur le coup elle est totalement surprise et fait plusieurs pas en arrière. Elle me traite de cingler dans sa tête mais n'ose pas le dire à haute voix.
-Eeuuuh. C'est un peu tirer par les cheveux mon caporal.
-Croyez-moi ! Je n'ai jamais tiré une fille par les cheveux ! Sauf une fois, c'était une pirate qui se battait avec hargne. On m'avait dit que c'était un canon mais je ne trouvais pas de boulet à lui mettre. Bref.
A ce moment le sergent arrive et la pauvre matelot se sent sauver. Elle part aussi vite que le vent bien que je n'aie jamais eu l'occasion de faire une course contre le vent. Qui peut dire que le vent va vite ou non. Ce fumiste de vent est invisible bien que parfois on l'aperçoit en train de fumer.
-Arrêtez de tenir les murs Caporal.
-Je ne tiens pas les murs sergent ! Leur solidité leur permet de tenir tout seul ! Regardez par vous même. Grâce à la pierre ...
-Mouais. Je te présente Phil. C'est le fils du colonel Nono.
-♪ No, no man no cry ♪
-Mais qu'est-ce tu fais.
-J'essayais de faire de l'humour.
-Horrible blague. Tu as cinq minutes pour rassembler une équipe et aider ce petit à retrouver son cartable à roulette.
Ma blague est nul ? Nul !! Non... Je tombe sur les genoux déséspéré. Un clown qui ne fait pas rire ne mérite pas son titre de clown. Pourquoi j'ai faits cette blague qui ne mérite même pas d'être dans les carambars. POURQUOI !
Après la séquence détresse, je me resaisis et fais une ronde. Je prend trois types avec moi. Les matelots Saez, Azzerty puis Capouin. Que des hommes pour éviter que je les fasse fuir avec une demande en mariage. Je les rassemble devant le QG et leur fais face. A côté de moi se trouve Phil. Je lui caresse la tête tandis qu'il me regard de façon grognon. Il est trop mimi.
-Raconte nous Phil.
-...
-Ne soit pas timide ! Nous ne dirons rien à ton père !
-Mon volez mon cartable à roulette...
-Dit le avec plus de conviction !
-Mon volez mon cartable à roulette ! J'étais dans la Rue de Roger quand j'ai vu ces bandit s'en prendre à une pauvre femme. Je voulais. Je vvoulais leur donner une bonne leçon ... Mais...
-Mais ils n'aiment pas l'école.
-Non... Ils m'ont pris mon cartable à roulette et pousser comme si j'étais qu'un enfant.
Je lui fais un grand sourire et m'apprête à le réconforter.
-Rassures toi tu n'es qu'un enfant. Alors messieurs ! Partons à la recherche du cartable à roulette !
Je les vois démoraliser à l'idée de faire une telle mission. C'est sur que pour des jeunes matelots qui rêvent de sauver le monde, faire ce type de chose doit pas les boosters.
-Permission de parler caporal.
-Non.
-Mais...
-Allez si.
-Je voulais...
-En faite non. Hahaha, je plaisante. Tu peux... Pas !! Gu ! Un peu de sérieux. Exprimmez vous.
-Si c'était un enfant de boulanger on n'aurait pas dépêché une équipe. Là on le fait parce que c'est le fils du colonel. Ce n'est pas tellement juste.
-JUUUSTE ? Justement ! Parce que le fils du colonel n'avait pas que des chocobons dans son sac. Il se trouve qu'il y avait aussi des objets de valeur. Comme une arme en granite marin ainsi qu'une dague qui a des effets qui glace.
C'est avec notre belle équipe que nous partons dans la rue de Roger pour retrouver la trace des voleurs.
-Gare à vous !
Elle s'arrête dans sa démarche gracieuse et me regarde avec nonchalance en cherchant ce qu'il y a de dangereux dans le coin.
-Matelot ! Voulez-vous m'épouser ! Nous aurons beaucoup d'enfants ! Parce que j'aime les enfants.
Sur le coup elle est totalement surprise et fait plusieurs pas en arrière. Elle me traite de cingler dans sa tête mais n'ose pas le dire à haute voix.
-Eeuuuh. C'est un peu tirer par les cheveux mon caporal.
-Croyez-moi ! Je n'ai jamais tiré une fille par les cheveux ! Sauf une fois, c'était une pirate qui se battait avec hargne. On m'avait dit que c'était un canon mais je ne trouvais pas de boulet à lui mettre. Bref.
A ce moment le sergent arrive et la pauvre matelot se sent sauver. Elle part aussi vite que le vent bien que je n'aie jamais eu l'occasion de faire une course contre le vent. Qui peut dire que le vent va vite ou non. Ce fumiste de vent est invisible bien que parfois on l'aperçoit en train de fumer.
-Arrêtez de tenir les murs Caporal.
-Je ne tiens pas les murs sergent ! Leur solidité leur permet de tenir tout seul ! Regardez par vous même. Grâce à la pierre ...
-Mouais. Je te présente Phil. C'est le fils du colonel Nono.
-♪ No, no man no cry ♪
-Mais qu'est-ce tu fais.
-J'essayais de faire de l'humour.
-Horrible blague. Tu as cinq minutes pour rassembler une équipe et aider ce petit à retrouver son cartable à roulette.
Ma blague est nul ? Nul !! Non... Je tombe sur les genoux déséspéré. Un clown qui ne fait pas rire ne mérite pas son titre de clown. Pourquoi j'ai faits cette blague qui ne mérite même pas d'être dans les carambars. POURQUOI !
Après la séquence détresse, je me resaisis et fais une ronde. Je prend trois types avec moi. Les matelots Saez, Azzerty puis Capouin. Que des hommes pour éviter que je les fasse fuir avec une demande en mariage. Je les rassemble devant le QG et leur fais face. A côté de moi se trouve Phil. Je lui caresse la tête tandis qu'il me regard de façon grognon. Il est trop mimi.
-Raconte nous Phil.
-...
-Ne soit pas timide ! Nous ne dirons rien à ton père !
-Mon volez mon cartable à roulette...
-Dit le avec plus de conviction !
-Mon volez mon cartable à roulette ! J'étais dans la Rue de Roger quand j'ai vu ces bandit s'en prendre à une pauvre femme. Je voulais. Je vvoulais leur donner une bonne leçon ... Mais...
-Mais ils n'aiment pas l'école.
-Non... Ils m'ont pris mon cartable à roulette et pousser comme si j'étais qu'un enfant.
Je lui fais un grand sourire et m'apprête à le réconforter.
-Rassures toi tu n'es qu'un enfant. Alors messieurs ! Partons à la recherche du cartable à roulette !
Je les vois démoraliser à l'idée de faire une telle mission. C'est sur que pour des jeunes matelots qui rêvent de sauver le monde, faire ce type de chose doit pas les boosters.
-Permission de parler caporal.
-Non.
-Mais...
-Allez si.
-Je voulais...
-En faite non. Hahaha, je plaisante. Tu peux... Pas !! Gu ! Un peu de sérieux. Exprimmez vous.
-Si c'était un enfant de boulanger on n'aurait pas dépêché une équipe. Là on le fait parce que c'est le fils du colonel. Ce n'est pas tellement juste.
-JUUUSTE ? Justement ! Parce que le fils du colonel n'avait pas que des chocobons dans son sac. Il se trouve qu'il y avait aussi des objets de valeur. Comme une arme en granite marin ainsi qu'une dague qui a des effets qui glace.
C'est avec notre belle équipe que nous partons dans la rue de Roger pour retrouver la trace des voleurs.