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Crazy Jack !


    ~ Jackson D. Jack ~




Crazy Jack !  Hisoka10
Pseudonyme :Crazy Jack "
Age: 22 ans
Sexe : Homme
Race : Humain

Métier : Tout est bon pour ce faire de la maille... ABSOLUMENT TOUT !
Groupe : Tipiak !! Heu... PIRATE !!
But : T'es vraiment hasbeen si tu crois encore à ses conneries. Moi je veux le Chaos avec un grand " C " !

Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Mon style de combat est vraiment le miroir de ma personnalité... totalement démentiel. Pieds, poings, tête, genoux, coudes, toutes les parties de mon corps sont des armes capables de briser mes adversaires, un style hystérique qui me fait foncer dans le tas en boxant dans tous les sens.
Équipement : J'aime avoir mes poings américains pour frapper les têtes de nœuds dans ton genre, et puis si je peux joueur aux cartes en faisant tourner mon silex à barillet autour de l'index c'est encore mieux ![Pistolet] [Poings Américain]

Codes du règlement :

Parrain : Aucun
Ce compte est-il un DC ? : Ton papa
Si oui, quel @ l'a autorisé ? : Ta maman

>> Physique


Quoi... pourquoi tu me fixes comme si tu était devant ta saloperie d'escargo'pc ? Tu n'as jamais vue un "petit" blanc de deux mètres vingt avec des cheveux rouges et des yeux hétérochromiques jaune et marron ? Sort de ta chambre que je te montre ce que ça fait de se manger une claque de papa qui peut casser des briques ! Et oui, moi j'ai la chance d'avoir fait d'avoir fait sport au lieu de rester plantée devant un écran, enfin du sport, quand t'aimes l'Aventure et faire ta vie au jour le jour tu te battis vite le corps qui va avec. Ce n'est pas que je sois une brute de décoffrage avec tellement de muscle que je ne pourrais pas lever mon propre corps, mais n’empêche que j'ai une carrure très athlétique et bien dessinée... Héhéhéhé, je sais minette t'adore ça, mais je te le réserve pour après. Du coup, je garde quand même une bonne endurance, donc on peut dire que physiquement parlant je n'ai pas à me plaindre plus que ça. Oh !... regarde-moi cette tenue extravagante, quasiment celle d'un magicien ou d'un bouffon, un poil de maquillage blanc sur le visage avec une larme et une étoile de couleurs sur les joues, et l'ensemble donne un faciès particulièrement fascinant. Les babioles que je porte ne font que renfoncer cette aura démente autour de mon corps, des boucles en or au niveau de mes poignets, de mes biceps, de mes jambes et de mon cou, peut-être la représentation de mon Fruit du Démon ? Mais si tu crois que je m’arrête à ce niveau vestimentairement parlant, tu te trompes sévèrement, si je peux dépouiller un vieux type dans ton genre car il porte des affaires de valeurs qui peuvent m'être utile, je n'hésiterai pas une seconde à te casser la tronche pour les récupérer : Quand tu peux être mieux équipé face à l'imprévu, pourquoi te priver, tu me diras ?

Ma petite gueule te plaît ? QUOI NON ?! Je déconne mon gars, je sais très bien que même si je ne suis pas un Apollon, j'ai quand même une tête qui a son charme. Je n'ai pas les oreilles décollées, le nez tordu; même si j'ai mangé de sales raclées; ou encore les chicos dégueulasses. En plus, j'ai les traits du visage qui bougent beaucoup, je peux passer d'un regard colérique, aimable ou encore stupéfait en quelques secondes, pratique pour exprimer ses émotions sans parler. Et puis j'ai la verve facile et volubile, enfin carrément schizophrénique mon gars ! Colère, amusement, haine, je peux te débiter un tas de connerie ou de vérité dans des monologues captivants (ou pas) qui peuvent se changer en hurlements oppressants et me faire passer pour un psychopathe face à la plupart des gens normaux... quoi ? N'ME PREND PAS POUR UN TYPE SAINT D'ESPRIT OU QUOI ?! JE VAIS TE... Ahahahaha... je te titille stresse pas, mais j'espère pour toi que tu n'as jamais vu ce méchant de film d'horreur sur les escarméras avec un terrible sourire, totalement psychopathe et une voix oppressante capable de te faire dessus, juste en le fixant et en l'entendant trop longtemps, car j'ai exactement les mêmes et j'adore ! Twisted Evil Le bon côté avec tout ça c'est que je suis théâtral et excentrique dans ma gestuelle au quotidien, surtout quand je suis en train de parler, je dois aimer attirer l'attention vers moi ou c'est naturel, un putain d'acteur ma parole. Le hic, c'est que j'ai parfois un franc-parler qui peut paraître extrêmement gênant, surtout quand je dis une vérité... Non enfaîte, je n'en ai rien à faire, si tu n'es pas content d'entendre des choses qui ne te plaisent pas, je me ferai un plaisir de t'emmerder ! Je n'en ai strictement rien  à fou... faire, faire, vous n'êtes pas majeur pour ce genre de langage non ? Si ? PARLONS-EN ALORS ! Tu as dû le remarquer depuis le début, je suis légèrement grossier, pas au point de te lâcher tous les noms d'oiseaux en une phrase, mais je peux vite te choquer et t'en mettre plein la tronche. Quand tu ressembles à une poutre, autant le préciser (et je ne parle pas de ta bi... brioche) purement et simplement. Et tu ne t'imagines pas tous les doigts d'honneur que t'auras bouffés en travers des yeux, sûrement un tic instinctif pour montrer comment je t'aime absolument... pas. Avec ça, il y a aussi le tirage de langue, je te jure, ce n'est pas ma faute ! Mais quand je jubile, je ne peux pas m'en empêcher tout en me léchant la lèvre inférieure, oui je sais, cela fait complètement sociopathe d'un côté, ou totalement gay, tout dépend ta vision de la vie. MAIS CROIS PAS, J'AIME LES CH... *censored*



>> Psychologie

Bon maintenant que tu as fini de séguer la nouille (google est ton ami pour la traduction de ce mot) devant mon corps d’athlète, tu crois vraiment que je vais te raconter ce qui se passe dans ma tête comme si tu étais un enfoiré de psychiatre ? J'ai vraiment pas le choix ? Quoi " ce sont les règles " ? Les règles et les lois ? Les quoi pardon ? Bordel, tu es vraiment stupide pour croire que je me plie aux codes des êtres vivants. La Liberté, c'est le droit de faire ce que tu veux, quand tu veux, de dire ce que tu penses aux moments où tu l'as décidé. Etre pirate m'a donné la liberté, alors pourquoi je devrais me priver de faire ce que je trouve juste à mes yeux ? Non sans blague mes yeux ils valent de l'or en plus, alors imagine ce que je peux trouver juste alors que toi tu serais totalement dégoutté. Si je veux plomber un type car il m'a regardé de travers, je suis totalement libre de le faire non ? Si j'ai envie de provoquer une guerre juste pour " voir ce qui pourrait se passer ", je m'empresserai de tuer un putain de Dragon Céleste . La jouissance de n'avoir aucune règle sociale ou morale à respecter, c'est comme se taper une belle prostituée dans un bordel, tu en as deux pour le prix d'une et ça, tu ne peux pas refuser. Mais bon d'un côté la seule ligne de conduite valable c'est la MIENNE ! À croire que je suis incapable de faire la différence entre ce que je fais, ce que je dis et ce que je ressens, du coup, je me permets absolument tout. Dans quel but ? Non pas pour l'argent ou la gloire, mais uniquement pour le chaos, la Destruction ! Rien n'est plus enivrant que démolir ce qui est déjà battît non ? De briser les fondations construites sur des siècles de travail acharnés.

Moi effronté et méprisant ? Aahahahah ! Non, sérieusement tu as peut-être raison, mais je m'en tamponne royalement de ce que tu penses, vraiment. Pas la peine de s'emmerder à respecter autrui quand tu peux tout simplement te laisser guider par ton propre instinct, allez où bon te semble quand tu sais pertinemment que tu dois y aller. Après c'est vrai que j'aime bien, non J'ADORE m'amuser de tout et de n'importe quoi, surtout dans les situations les plus dramatiques et désespérées. Sérieusement c'est toujours marrant de rigoler et de discuter amicalement avec un type que tu es entrain de torturer, de détruire le destin d'une famille entière, ou de parier sur un tirage de cartes la vie ou la mort d'une personne; jouer avec la chance et le destin c'est génial; il faut profiter de l'instant présent à tout moment non ? Tellement bandant que je pourrais faire la reproduction de toute une île ! Je crois que je sors du sujet, ou peut-être pas... Et puis on s'en tape. Mais je peux m'amuser plus simplement tu sais, tant que tu ne m'emmerdes pas, je pourrais être un compagnon de beuverie plus ou moins acceptable et même avoir de l'humour, potache, salace, noir... mais attention car je pense que nous n'avons véritablement PAS le même sens de l'humour. L'insolence à ses côtés positifs, titiller et provoquer, faire rager ses interlocuteurs pour observer leur véritable caractère, c'est ÉNORME ! Les émotions des gens peuvent tellement être pathétiques, faibles comme eux, j'ai l'impression d'être le seul à comprendre le véritable sens de la vie, le seul à me détacher de tous sentiments éthiques. Je ne sais pas si je dois m'adorer ou me détester, tu crois que je suis une menace pour moi-même car je suis instable ? Je n'en sais rien. Arrête, je ne suis pas si méprisable que ça, c'est juste que la valeur des gens ne ce compte pas avec le cœur, mais dans notre putain de compte en banque ! Je vous foutrais tous dans une cage pour me faire une nouvelle paire de vous savez quoi juste pour la beauté de la forme, car oui, j'aime l'argent, un sacré business'man prêt à tout pour ce faire du fric, vente d'armes, d'esclaves, de drogues et tout ce qui me passe par la main. L'autorité dans tout ça ? C'est la base de toutes relations sereines et amicales... NON JE DÉCONNE ! Rien à faire des ordres et des obligations des gens, si ces tarés m'imposent de faire quelque chose et que j'accepte c'est juste que j'y trouve mon compte et que cela à l'air terriblement excitant. Et après, c'est moi que l'on traite de fou ? Moi fou ? Non, je dis juste la vérité sur ce monde sinistre et imbu de lui-même.

Parlons-en de la folie ! Je suis peut-être hyperactif, mais considère moi comme un acteur de cinéma, je suis tellement théâtrale et volubile en public que je mériterai une récompense tellement les gens se tournent vers moi avec un regard intrigué ! Il faut dire que mes monologues ou bien mes conversations peuvent rapidement devenir un merdier sans nom. Enfin "merdier" c'est vite dit, c'est juste que les gens ne comprennent pas ma façon de penser. Et la seule chose que j'ai envie de faire avec des types de ce genre... JE VOUDRAIS TOUS LES TUER L'AMI T'IMAGINE MÊME PAS ! Je me calme, je me calme ! Il faut croire que j'ai des petites (pas vraiment petites) sautes d'humeur de temps en temps, mais rien de grave. Je ne suis pas encore un bipolaire psychotique hein... Hahaha, pas un bipolaire psychotique, heureusement que tu ne sais pas que je te mens à cet instant... oh le con. Non, sérieusement, quand on me contredit ou que l'on fait des choses qui ne me plaisent pas, je n'ai qu'une envie, mettre mon revolver dans le cul de tous ses idiots et tirer, jusqu'aux derniers. Les écorcher vifs tout en leur versant directement du sel sur la chaire visible. Je ne suis pas un monstre arrête, je dépasse juste les limites de la condition humaine pour tenter de te rendre meilleur. Brutal au-delà de toute mesure ? Tout dépend si ton échelle est de 0 à 10 ou de 0 à 100, je préfère les chiffres avec des 99 c'est plus intéressant et imposant. Au final, je ne suis pas si "psychopathe" que ça hein ? Et vous savez ce que j'aime par-dessous tout avec mon caractère ? C'est que les gens ne pensent pas une seconde que je suis un sacré théoricien du complot ! Non pas que j'aie la capacité pour renverser le gouvernement de toute une partie de la planète, mais je suis d'un machiavélisme né. Mensonge, trahison, manipulation tout est bon pour arriver à ses objectifs, "la fin justifie les moyens". C'est comme un bon tour de magie, faire croire en la réalité d'une illusion pour mieux surprendre son public. Mieux vaut cacher son intelligence derrière un "faux" masque plutôt que la dévoiler au premier inconnu qui ne passe non ? Je me demande même si je suis véritablement fou ou si ce n'est qu'un masque crée de toutes pièces. Enfin bon, une chose est sûr, si je dois te planter un couteau dans le dos, car c'est nécessaire, ne t'inquiète pas que j'aie le talent pour te prendre par-derrière. Quand tu es prêt à tout pour gagner, les sentiments, tu les brûles littéralement. Si tu n'es pas assez téméraire dans la vie et que tu n'as pas la paire de roubignole nécessaire entre les jambes, tu te feras inéluctablement manger par les autres. Mais bon à force de constater que se jeter dans le tas les yeux fermés peut aussi te permettre de te faire buter comme un con. L'analyse et l'observation, c'est parfois le mieux si tu veux une efficacité monstre pas vrai ? HEIN PAS VRAI ?! N'empêche, quel personnage je suis, tu dois te demander hein ? Ne crois pas une seconde que je suis tout le temps de cet acabit, car dans les situations les plus critiques, je suis d'un sérieux à toute épreuve; sauf si mes crises de nerfs passent par là; et d'un mental de fer

Tu vois au final, je ne suis peut-être pas si taré que ça tu ne trouves pas ?


>> Biographie

Et maintenant je présume qu'après cette description totale de mon être tu veux m'achever en me faisant raconter ma longue et tumultueuse vie ? Bon vue que j'ai déjà fait plus de ma moitié du boulot je vais être raisonnable pour cette fois. 

Comme toutes les histoires de ce genre, le premier acte se passe dans une petite île paradisiaque de South Blue, Ronolulu Island, paradis tropical mêlant faunes sauvages et flores grandioses, dont les activités commerciales les plus importantes étaient la pêche et la vente de fruits exotiques. Tu me diras que ce nom est sacrément nul, mais on ne choisit jamais le lieu et les personnes avec qui on va vivre n'est-ce pas ? Tu te dis aussi que d'après mon descriptif, je dois être un de ses fous qui a échappé au système judiciaire en devenant un pirate et en vagabondant d'île en île pour une pseudo-liberté ? Tu as tout faux, car j'étais à l'époque où je te dis ses mots, un membre de la noblesse de South Blue : La Famille Jackson. Aussi loin que je me souvienne, mon père, homme d'affaires à l'élégance chic mais sobre, toujours un haut-de-forme sur le crâne et une canne à la main,  avais fait fortune grâce à l'entreprise de pêche familiale qui avait réussi au fil des siècles, à trouver un nom parmi les plus grosses exploitations de poissons de luxes de la région. Ma mère était une des nombreuses femmes membres d'une famille vivante de la récolte des nombreux fruits de l'île, à travailler tous les jours de l'année pour vivre convenablement et sans trop de priver. À croire qu'elle avait à la différence de pas mal d'autres femmes du coin, une beauté "orientale" qui avait fait mouche dans les yeux de mon paternel. Son rang de fille du peuple n'était bien sûr pas adéquat pour la noblesse qu'incarnait mon père, mais l'amour est plus forte que les barrières sociales n'est-ce pas ? C'est donc en cachette que nos deux tourtereaux se rencontrèrent maintes et maintes fois aux couchers du soleil dans le secret le plus total. Ce simple amour entre deux jeunes gens s'était transformé en une passion fusionnelle qui se marqua par un mariage festif et joyeux et la naissance d'un enfant : moi en l'occurrence. Tout allait pour le mieux, l'entreprise familiale dans laquelle ma mère s'investit était en perpétuelle expansion : "Nous irons jusqu'à North Blue, East Blue et le reste !" disait mon père. C'était la belle époque, mais qui pouvait penser une seconde que l'exact inverse allait se produire quelque temps après ? Pas moi en tout cas... Les premières années de mon existence étaient occupées entre la tendresse et l'amour d'une mère, m'éduquant aux bonnes manières, à la façon de coiffer ma petite frange, de nouer mes lacets, à lire, à écrire pour devenir un homme respectable, mais surtout respecté, et la fermeté et l'implication d'un père, m'amenant à la pêche en bateau sur les courants marins de South Blue, m'apprenant le sens des affaires, des chiffres, de l'histoire mondiale et j'en passe pour faire de moi un homme cultiver à qui la vie n'aurait rien à envier. À mes treize ans, j'avais déjà atteint une culture et une intelligence adéquate pour ne pas passer pour un "homme du peuple", j'étais voué à un avenir plein de promesses et de richesses. Mais bon je n'étais pas non plus un enfant d'un calme et d'une patiente extrême : "Il est atteint d'un trouble de l'hyperactivité Mr. Jackson." disait le médecin général de l'île lors d'une de mes fréquentes visites. Rien de bien méchant à cet âge-là, j'étais tête en l'air, assez impulsif sur les bords et j'aimais faire des bêtises, comme tous les mômes de mon âge à vrai dire. Il faut juste préciser que plus le temps passait, plus cette hyperactivité devenait de plus en plus oppressante, voir omniprésente. C’est peut-être pour cela que j'avais tendance à balancer tous nos chiens par la fenêtre "Pour voir s'ils pouvaient apprendre à voler par eux-mêmes" quand je me justifiais devant mon paternel. Et du coup, une maladie en amenant une autre, j'étais officiellement atteins d'un trouble du comportement... super. Jusqu'à la tout n'était pas si morose, ce secret de famille était devenu tabou au sein de notre communauté et à l'exception de mes parents, personne ne savait que j'étais un "fou sur pattes" avec de grosse crise d'hystérie caractérisé par une certaine violence contre les êtes vivants. Un caractère auto-destructeur d'après le médecin, rien de bien méchant hein ? Enfin "pas méchant" c'est l'idée que je me faisais de ma petite maladie passagère. Destruction des biens personnels de mes ancêtres,  violence sur les domestiques, le Gentil Jack était devenu en l'espace de quelques années, Le Petit Fou Jackson. Le regard de mes parents étaient de plus en plus désœuvré à mon encontre me faisait bien comprendre que quelque chose clochait, c'est peut-être pour ça qu'il décidèrent de me mettre dans une "pension pour enfant en difficulté" au sein d'une brigade de la Marine. Pension j'ai dis ? Non, c'était plutôt un centre pour fou. La nouvelle traversa Ronolulu Island comme une traînée de poudre, l'héritier d'une des plus grosses entreprises de la région interné dans un centre spécialisé, détruisant en un claquement de doigt toute la crédibilité qu'avaient crée mes aïeux. J'était devenu un paria pour ma propre famille, passant du stade de noble à celui de détritus. Je n'avais que quinze ans à l'époque donc je n'avais pas totalement compris tout ce merdier qui ce tramait dans mon dos. 

Le premier acte de la déchéance d'un noble, frustrant non ? Quand certains crèvent de faim et rêvent d'avoir mon rang, moi j'ai fait l'exact contraire, j'étais devenu celui qui rêve de ne plus être un noble, et c'était le cas. Nous voilà donc, dans le second acte de ma vie passionnante ! Si je me rappelais bien, ce centre pour jeunes aliénés était un navire particulier de la marine naviguant à travers toutes les Blues pour récupérer et tenter d'aider l'esprit détruit et fragilisé de jeunes bambins. Pas de différence sociale, pas de différence raciale, on a bien compris que l'on était juste des numéros parqués dans des "chambres de redressements" pour ne pas dire cellules. Les premiers mois de mon incarcération forcée, je dis bien forcé, car quand on tente de s'enfuir en arrachant l'oreille d'un garde à grands coups de dentier, nécessairement on est enchaîné comme un saucisson au fond de notre cage pour le restant de notre hospitalisation. Je sais, je sais, je n'aimais pas trop et je n'aime toujours pas aujourd'hui, que l'on m'oblige à faire quelque chose que je ne veux pas faire, et quand c'est le cas, j'ai juste envie d'arracher les yeux et la langue de la personne qui m'y oblige. Moi fou ? Non, j'ai juste un tempérament haut en couleur voilà tout, mais les gens ne le comprennent pas. Du coup, c'est à grands coups de médicaments et de coup de bâton que notre éducation de l'adolescence se fit. Ce n'était pas trop mal à vrai dire, je mangeais tous les jours gratuitement, j'emmerdais les gardes et les autres enfants justes pour voir s'ils avaient la paire de vous savez quoi pour me frapper ou se battre entre eux. "Comportement auto-destructeur" ? Une bêtise notée sur mon dossier, je semais juste les graines du chaos au sein de mes camarades justes pour voir si une révolte était possible, rien de plus. Ce n'est pas comme si j'avais réussi à faire sauter à l'eau quelques-uns de mes compagnons de cellule. Franchement c'était un spectacle hilarant, voir les gardiens essayer de récupérer un enfant en train de ce noyer en cause des chaînes en acier qu'ils avaient mis autour de son corps pour tenter de le calmer comme ils avaient fait avec moi. Heureusement que ce môme en question avait des troubles suicidaires, qui aurait accusé le jeune Jack à peine âgée de seize ans ? Personne. D'un autre côté j'avais, moi aussi, mes petits soucis de comportement, crise de colère, déblatération en tous genres me faisant passer pour un véritable psychopathe. Je crois que j'ai fait pisser quelques-uns de mes camarades dans leurs frocs, car ils pensaient réellement que j'allais les tuer. Bon d'un côté ils avaient raison, s'il n'y avait pas eu quelques gardiens dans les parages pour me recadrer à bon coup de bâton dans la tronche, je pense que j'aurais pu sectionner une phalange ou deux. Enfin bref, le tout pour dire que plus les années passaient, plus mon état mental devenait de plus en plus problématique et démentiel. J'étais quasiment devenu un "ancien" parmi les autres détenus, car quatre ans dans un centre pour tarés, ça commence à faire tu ne crois pas ? J'avais mes petites habitudes avec les gardes, ils étaient plus cléments avec moi, mais savaient que la moindre fausse note aurait été une aubaine pour moi, car j'aurai eu l'occasion de leur faire du mal, juste pour faire mal. L'amitié dans tout ça ? Quand tu sais que se faire des copains te sers juste à t'amuser avec eux en le rendant plus fou qu'ils ne le sont, ou encore les frapper juste pour passer le temps, plus personne te tourne autour, vraiment personne. Du coup, comme ce séjour de vacances commençait à m'emmerder au plus au point, j'ai décidé de me tailler. Comment ? Quand tu es reclus pendant longtemps dans le même bâtiment, tu sais à quel endroit il faut être, à quelle heure est la pause des gardes et surtout... tu sais avec qui il faut être. Toi qui lis cette petite histoire, tu n'as jamais connu un souffre-douleur dans ta jeunesse ? Le genre de type qui ramasse pour les autres ? Moi j'avais trouvé LE souffre-douleur, un dénommé "Bubble Gum". Pourquoi un tel surnom ? En plus d'avoir le bide aussi flasque que celui d'une carpe de trente-cinq kilogrammes, il avait aussi le cerveau aussi mou qu'un chewing-gum, dans tous les sens du terme. Le genre de type qui pourrait te suivre jusqu'en enfer juste pour une poignée de friandise. J'ai pris du temps pour modeler son petit esprit fragile pour en faire un parfait toutou. Il était sympa dans le fond, c'était le fils d'un marine qui avait subi sa colère quand il est rentré de la guerre contre la piraterie, l'esprit totalement bousillé par les meurtres et tous un tas d'autres trucs pas très catholiques. Du coup à force de manger des coups de ceintures, il est devenu comme son papa chéri, totalement cinglés, mais surtout craintif. Le jour J était arrivé, j'avais tout calculé, quand le Gros Robert; il faut bien lui trouver un nom à ce gentil petit gardien non ?; allait prendre sa pause-pipi à cause de l'abus de café qu'il se mettait en travers du gosier. Bon, il ne savait pas que j'avais mis quelques-uns de mes cachets dans son gobelet, du coup, c'est une longue sieste assise sur les chiottes qui débuta. Sur ce point, vous vous dites, comment on a fait moi et Bubble Gum, pour sortir de notre cellule comme par magie juste au moment où le Gros Robert était gentiment entrain de pioncer sur la cuvette des toilettes ? C'est là que le souffre-douleur entre dans la scène. Un hurlement strident traversa une bonne partie de notre compartiment quand cet idiot de Bubble percuta accidentellement avec son crâne; à plusieurs reprises; les parois de notre cage. Du coup, c'est avec une énorme tache de sang coulant le long de son visage que le petit gros hurlait en ce tournant dans tous les sens. Généralement quand un gardien débarquait dans ma cellule, il me pointait avec un gros calibre pour que je ne bouge pas, car oui j'avais toujours cette réputation de sociopathe qui me collait à la peau. Ce même gardien qui, en arrivant, me demanda de rester contre le mur, le temps d'ouvrir la porte de la cellule et d'observer l'état du souffre-douleur : "T'a recommencé espèce de taré ?!" Alalalala... pour une fois que je n'avais presque rien fait. Bubble Gum, toujours en train de couiner se faisait palper la tête par le garde, lui demandant s'il allait bien, quand il fit ce que je lui avais appris pendant mes longues séances à lui inculquer les plans de notre évasion : Il sauta brusquement vers le cou du garde, les dents bien en avant pour lui mordre la jugulaire. Je vous laisse imaginer la fontaine que produit une artère arrachée à vif. Du coup, pas le temps de chômer, plaquer le garde pour lui éclater la tronche contre le sol pour éviter qu'il rameute sa bande, piquer son arme et ses clefs, et prendre nos jambes à notre cou pour se faufiler à travers les couloirs du bateau. Au passage, ouvrir les cellules des autres patients pour littéralement créer une émeute entre gardes et prisonniers dans le seul but de semer la zizanie et nous permettre de nous échapper dans le plus grand secret. Sur ce point ce pose la question de : Où allez pour fuir à l'insu de tous ? C'est simple, les compartiments des déchets. Pas ceux de la poubelle, mais des toilettes, pas très ragoûtant je vous l'accorde. Je n'allais pas laisser des preuves de mon échappatoire derrière moi n'est-ce pas ? Du coup, c'est un magnifique coup de fusil qui retentit à travers tout le pavillon, qui mit fin à la vie de notre Bubble Gum, rest in peace. Sans perdre encore plus de temps, je sautai à l'intérieur de la merde accumulée par le bateau, qui était bien sûr balancé à la mer par des tuyaux de canalisation sortant par la coque de celui-ci. Quelques minutes de navigation en apnée dans la crasse et me voilà balancé sur les eaux de North Blue ! LIBERTÉ ENFIN !

Alors, le second acte de ma vie t'a plu ? Moi en tout cas j'ai vraiment adoré ses petites vacances ! Mais vu que j'étais devenu un hors-la-loi nageant en eau inconnue, il fallait rejoindre la terre ferme au plus vite pour éviter de se faire grailler le corps par une bête marine. Nous voilà donc dans le troisième et dernier acte de ma vie ! Bon, peut-être que c'est commun par chez toi, mais j'ai eu une sacrée vaine ce jour-là. À bout de force, des crampes qui commençaient à se faire sentir à cause des longues heures à nager à contre-courant, et voilà qu'un magnifique bateau de pêche sorti de nulle part croisa ma route. Comment leur expliquer que j'étais un fou allié échappé d'un centre de détention ? Non, je n'ai rien expliqué du tout, j'ai juste fait mine d'être un jeune homme d'une vingtaine d'années perdu en pleine mer par un quelconque pirate m'ayant balancé, car je ne lui servais plus. À  croire que j'étais un bon menteur vue que mes amis pêcheurs m'avaient gentiment recueilli sur leur bicoque. Après quelques jours à récupérer de mes efforts, mes chauffeurs me débarquèrent sur l'île de Carcinomia. Si seulement j'avais su que c'était une île de forban de la pire espèce, dommage. Pour faire court, j'ai passé mes derniers jours sur cette jolie petite île (futur développement en FB). J'étais un jeune homme en pleine forme, apte pour se battre, fou et d'un machiavélisme prononcé, le mélange parfait pour débuter dans le monde des affaires auxquelles mon père m'avait éduqué étant plus jeune. Non pas que j'ai réussi à être le plus grand baron de ce caillou flottant mais assez pour commencer un trafic d'armes, de drogues et de tous les objets me passant par la main. Car oui, pour continuer à vivre, il faut du fric, sinon tu ne fais rien. J'étais donc passé du stade de noble héritier d'une entreprise colossale, d'aliéné totalement fou à en liberté, à trafiquant. Si la vie m'avait appris une chose, c'est que pour être respecté et craint, il fallait jouer sur ses atouts. Hummm'... qu'est-ce que j'avais de plus ? J'étais totalement fou et bipolaire, presque impossible à cerner mentalement, et j'avais une bonne condition physique créée grâce à toutes les raclées que j'avais mangées sur le pavillon de la Marine. Doublé à toutes les belles bastons provoquées sur Carcinomia m'ayant appris les bases du combat du rue. Du coup, il fallait créer une image me représentant, un nom qui pouvait sonner dans les têtes de toutes les personnes : " Appelez -moi... CRAZY JACK ! ". Oh !... ce nom était d'une classe légendaire, je me voyais déjà le brandir à la face du Gouvernement Mondial. Et puis j'avais la tenue qui va avec, un mélange de magicien et de bouffon, un fond de maquillage et de tatouage me donnant un aspect presque psychopathique. Jackson D. Jack était mort... Crazy Jack était né. Bien sûr quand tu te trimbales dans la rue avec une dégaine pareille, pas mal de monde te regarde comme si tu était complètement fêlé, et c'était le cas ! Mais plus le temps passait, plus ma folie devenait omniprésente avec une emprise totale sur mon être. Je crois que j'ai compris le véritable sens de ma vie à cette période : Le Chaos. Bordel, pourquoi vivre une vie seine et joyeuse quand tu peux détruire toutes les bases de la civilisation ? Petit à petit je commençais à formater mon esprit et mon corps à entreprendre ce but qui m'était apparu, la destruction de ce Monde, pirate, marines et toutes ces cliques de guignoles ce battant pour une pseudo-liberté ou une pseudo-justice. Dégouttant, répugnant ! Je voyais plus loin que tous ces gus, mes ambitions étaient plus grandes, plus attrayantes ! Ou peut-être est-ce un objectif naturel ? Suis-je naturellement auto-destructeur ? Suis-je véritablement celui décrit comme psychotique égocentrique ? Temps de questions qui était sans réponse sur Carcinomia. Du coup... la seule solution à ce problème était de partir, mais où ? À l'AVENTURE ! Là où mon instinct me guiderait pour faire ce que je veux faire, quand j'aurais envie de le faire ! Sans tarder je fis mes valises, récupérant la totalité de mes biens personnels acquis pendant ma seule année dans cette crevasse répugnante, et me voilà enfin libre...

Le destin est en perpétuel mouvement, ses courants sont vastes et nombreux, quelles aventures m'attendent sur mon chemin ? Personne ne peut le savoir, mais une chose est sûre... Je suis Crazy Jack, futur Terreur des Océans.



>> Test RP




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Informations IRL

Prénom : Corentin
Age : 19
Aime : Le foot, la musique, l'alcool !
N'aime pas : " Il ne faut pas être raciste, il faut juste être raciste des cons "
Personnage préféré de One Piece : Bartholomew Kuma
Caractère : Calme de nature, je peux vite péter un câble quand l'envie me prend
Fait du RP depuis : Entre 0 et 0
Disponibilité approximative : Tous les jours
Comment avez-vous connu le forum ? Un ancien maître Jedi vert m'a dit un jour " Trouver Google, tu devras, à One Piece Requiem, il te mènera. "

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Dernière édition par Crazy Jack le Mar 13 Oct 2015 - 21:55, édité 14 fois
    Petit message pour dire que ma fiche est terminée, en attente du test rp !!
      Salut,

      j'ai pas lu ton histoire, juste tes descriptions. Tu te décris comme ayant déjà le Fruit du Ressort, or il n'est pas possible d'avoir un FDD avant la validation. Je ne sais pas ce qu'il en est de ton histoire, mais si c'est le cas, il faut modifier, tu ne pourras le manger qu'après ;).
        Salut,


        Tu aurais pu lire l'intégralité de la fiche avant d'envoyer ton message car c'est pas le cas.
          Salut,

          Oké, Test RP time, donc.


          Tu es seul, tu marches droit devant toi sans savoir réellement ou tu vas te retrouver. Ainsi, tu te retrouves en montagne, il fait plutôt très chaud, les plantes sont sèches et tu ne trouves rien à boire. Soudain, tu te fais capturer par des cannibales, qui décident de faire une soupe avec tes tripes. Tu es attaché au dessus de la marmite, pieds et poings liés. Comment t'en sors-tu ?

          Si cela ne te convient pas, tu peux demander à changer ! Bon courage !
            « Manger... manger... manger... MANGER !! »

            Bordel, bouclez là ! Vos voix sont aussi lourdes qu'un gros lard m'écrasant sous ses bourrelets. Sérieusement, on ne peut même plus reprendre ses forces après avoir pris un coup de bâton derrière le crâne ou il faut en plus que je vous donne de la tune ?

            « Plus vite... ! Feu... feu... CUISSON !!! »

            Enfoirés d'indigènes cannibales, en plus de me frapper dans le dos vous osez parler de moi comme un vulgaire poulet qui va passer sur le gril ?! Quel manque de respect aberrant ! C'est moi qui vais vous bouffer, TOUT CRU ! OUAI JE VAIS TOUS VOUS MANGER COMME DES BONBONS ! Mais il faut déjà que je reprenne mes esprits, j'ai la tête qui tourne... comme dans un mauvais rêve où le temps et l'espace sont distordus, de la même manière qu'une drogue vous bousillant le cerveau. J'ai l'impression que le soleil est à son zénith, sa chaleur aussi atroce qu'un lance-flammes en plein visage, ou peut-être est-ce l'énorme marmite crépitante et bouillonnante prenant forme sous mes yeux, au-dessus de laquelle je suis ligoté comme un saucisson attendant d'être dégusté... non dévoré.

            « Viande... viande vivante !! Viande bougé ! »

            Au moins, vous êtes observateurs pour des bonobos qui savent à peine parler, un bon point. D'un côté, à part gigoté dans tous les sens pour récupérer peu à peu conscience, je ne peux pas faire grande chose, sauf peut-être observer la place centrale macabre de cette tribu : maisons faites de bois et de paille, le sol sec et craquelé à cause de l'aridité impressionnante de l'île, imbibé du sang des anciens saucissons ayant eu ma place par le passé je présume, et surtout les nombreux squelettes et crânes « décoratifs » entourant une bonne partie de mon champ de vision, sur des murettes construites en cercles autour de cette même place. D'un simple mouvement circulaire du bassin, je peux distinguer l'attroupement de ses humains à la peau charbon me guettant comme une future friandise dans leurs assiettes. Moi aussi… comment me suis-je retrouvé là déjà ? Ah oui, je me souviens, entrain de marcher en sifflotant en plein milieu d’une forêt carbonisée, tu sais, celle qui a subi les rayons du soleil pendant tellement d’années que le tronc des arbres est aussi gris et craquant que du bois mort, où la végétation est aussi fanée et sèche qu’un buisson en plein désert, voilà à peu près où je me trouvais avant qu’un bataillon de singes armés de bâton ne m’attaque dans tous les sens pour faire de moi un sanglier rôtit. Il faut dire que les premiers à être venus face à moi ont mangé de sale coup de poing dans les dents et le bide, de quoi leur faire régurgiter le repas de la veille. Mais bon, à un contre cent, tu as autant de chance de t’en tirer que ne nager en plein  océan en ayant mangé un Fruit du Démon, du coup… ils m’ont attrapé.

            « Ouba ! Ouba … ! Moi parler même langage que toi ! Moi pas bon à manger ! Moi, microbes dans tube digestif ! »  À croire que parler de la même façon qu’eux, peux m’aider à m’échapper, mais d’un côté c’est hilarant de me foutre de leurs gueules !

            « Toi bouillir dans marmite de légumes pour repas à nous ! Toi viande solitaire pas facile à capturer ! Toi avoir fait mal à beaucoup de  compagnons ! » Réplique l’un des membres de la tribu, sûrement le chef, même s’ils ont tous la même face de primate.  

            « Moi viande solitaire ? AHAHAHAHAH !! JE N’SAVAIS PAS QU’IL Y AVAIT UN ONE MAN SHOW DANS LES PARAGES !! » Il faut toujours garder son sens de l’humour et sa bonne humeur même dans les pires situations non ? 

            « Toi savoir ce qu’est esclavagiste tête de pine ? Moi vendre humain ! Moi donné à toi… A VOUS ! Dizaine de dizaines de viandes solitaires gratuitement ! Vous mangez toute l’année ! » Et oui, dans la vie tout a un prix et surtout pour ce genre de tribu qui ne cherche qu’à manger pour ne pas crever, du coup, il faut jouer sur ses atouts et sur les besoins du client. Je n’ai pas précisé que j’étais un fin commerçant ?


            À croire que j’ai fait plus ou moins mouche dans les cerveaux ; aussi petit soit-il ; de mes nouveaux copains cannibales. Mais ils ne sont peut-être pas si bêtes que ça : Pourquoi croire un étranger venu de nulle part ? Il peut mentir pour nous duper ! Mais s’il dit vrai ? Parfois le doute est une arme radicalement efficace dans l’esprit faible de certaines personnes. Du coup, après une longue discussion interne, ils me demandent de prouver mes dires.

            « Moi être venus sur île avec GROS BATEAU ! Bateau plein de viande vivante ! Moi montrer à vous où trouver bateau !  Si moi mentir ! Vous toujours me manger plus-tard ! » BINGO !  Argumentation, explication du plan, et au final un repas dans les deux cas pour mes copains ! Heureusement que la connerie n’est pas contagieuse, car j’aurais pu le devenir rapidement quand ils ont dit oui sans broncher.

            Me voilà donc, attaché au niveau des mains par une corde, tenu par un cannibale devant moi, marchant à travers le chemin forestier carbonisé menant à ma petite barque. Bon, je commence sacrément à avoir soif, entre cette brute qui me tire comme un bœuf d’attelage, le soleil de plomb qui agresse ma si belle peau, et la puanteur nauséabonde dégagée par ses rats d’égout qui n’ont vraisemblablement jamais connu une bonne douche. C’est le bon moment pour foutre le boxon.

            « Franchement, il fait un SUPER temps chez toi ! Tu crois que j’pourrai en faire une destination touristique ? T’imagine pas toutes les minettes qu’on peut rameuter sous un soleil pareil… ET EN FUCKING MAILLOT DE BAIN EN PLUS !! Okay… okay peut-être pas à ce point-là, mais franchement, tu n’as pas envie de tremper ton biscuit dans de la chair fraîche ? Car le rocher ce trouvant entre les cuisses de ta femme, il faut être un tailleur de pierre pour tenter une quelconque expédition dedans… AHAHAHAHA !!! » Déblatérant des monologues en tous genres envers l’indigène entrain de me tirer.

            Même un idiot à sa zone de rupture, surtout quand un type insulte ta femme et ton île, en la comparant à un bon fromage dégueulasse pendant une bonne heure. Quelle est la réaction naturelle de tout geôlier en face d’un prisonnier récalcitrant ? UNE BONNE PATATE DANS SA TRONCHE ! Du coup, en s’avançant de colère pour tenter de me mettre un bon coup de bâton, le babouin devant moi qui tiens la corde est surpris de voir celle-ci, enrouler d’un geste fluide de mes poignets son arme, pour l’envoyer de plein fouet en travers de son nez déjà pas mal tordu. Tu n’imagines pas les trombes d’eau… heu, d’hémoglobine coulant de ses narines !  Mais bon, j'ai pas trop le temps de m'extasier devant ce spectacle morbide, prenant le bout de bois au sol pour commencer à frapper dans le tas pour repousser tous ces gueux.

            « BBBANNNNZZAAAAÏ !!! FAUT COURIR PLUS VITE BANDE DE TRUIE DES MERS ! » 

            Sans même prendre le temps de respirer, prenant mes jambes à mon cou pour me tirer le plus rapidement possible à travers la faille défensive de ses macaques, qui vous vous doutez bien, ont commencé à me poursuivre comme des dérater. Ce n’est pas que je fusse il y a peu, leur seul repas de la journée. Sachant que je déteste cette île, ne sprinter cas travers des plaines arides brûlant les semelles, des squelettes d'animaux morts de déshydrations, des morceaux de bois prêt à te tomber en travers gosier, ET CE PUTAIN DE SOLEIL TE CARBONISANT LA RACINE DES CHEVEUX !... me fais littéralement haïr ce maudis caillou désertique. Mais bon, première chose à faire, couper le lien m’obstruant les mains la plus rapidement possible… mais comment ? Quand tu as une bande de fou furieux (la bonne blague) qui te court après avec des matraques et des lances tu… MAIS OUI !

            « JE SUIS LA MES LOULOUS !! » Gigotant dans tous les sens dos à un arbre, perché sur un immense rocher le plus visible possible.

            Plus de négociation possible quand tu vois des javelots propulser dans ta direction pour te changer en gruyère vivant. Mais comme je l’ai dit plus haut, heureusement que la connerie n’est pas contagieuse, car en pivotant rapidement sur moi-même, l’une des lances traversa en s’enfonçant dans le bois fragile, la jointure de la corde attachant mes poignets, la sectionnant purement et simplement. Liberté ! Et comme je ne suis pas la moitié d’un idiot, un bon coup de pied sur l’arbre déjà pas mal amoché suffit à le faire chuter lourdement en contrebas, pour s’écraser dans un fracas monstre sur mes anciens camarades .


            « Appelez-moi… BRISE CLAVICULE MES POULETS ! J’VAIS TOUS VOUS MANGEZ ! OH OUAI, MEME VOS MERES NE POURRONT PAS VOUS RECONNAITRE !! AHAHAHA »


            Cette rage soudaine qui me prenant à la gorge… tellement puissante que j’en jubile, ne laissant que ma longue langue lécher dans un rictus diabolique, ma lèvre inférieure. Pas le temps d’attendre pour péter la tronche à ses affreux, m’armant de mes poings américains cachés soigneusement sous ma ceinture, et effectuer un salto digne d'un gymnaste accompli, pour retomber en contrebas... enchaînant en quelques secondes des rafales de coups de poings  sur le reste des primates encore debout, suite à la retomber du tronc. Pendant de longues minutes, cette transe cancérisant mon corps se répercute sur les tronches de mes anciens geôliers, en tuant certains, laissant les autres pour morts. Un temps de réaction supraluminique parcourant soudainement mon corps, pour me barrer juste après mettre délecté de ce spectacle, prenant quelques dizaines de minutes pour traverser une nouvelle fois cet enfer désertique, revenir sur le véritable chemin menant à la barque ; tu m’as pris pour un triple demeuré pour vraiment indiquer la bonne position de mon seul moyen de transport ? ; et sauter dessus !


            « POUUAHHHH !!! Enfin à la maison ! » Caressant tendrement le bois rugueux de ma barque à moitié défoncée.

            « Au moins... j’peux dire que j’ai eu chaud ! Ah… ah… AHAHAHAHAHAHA ! QU’EST-CE QUE J’SUIS DRÔLE ! »
              Petit message pour dire que mon test rp' est terminé !!
                Nyoup Jack,

                Je viens pour ton premier avis.

                Et avant de me lancer dedans, je vais quand même juste préciser un point sur les Fdd. Dans ta description physique, tu parles d'un FDD que tu as mangé, n'en reparle pas par la suite. A la rigueur pourquoi pas, tu peux effectivement manger certain fruit en flashback juste après la validation. Les fruit catégorisé Normaux (N). Sauf que nul part dans ta pres (je pense notamment à la question "quel pouvoir voudriez vous obtenir après votre validation") tu ne cites le fruit que tu convoites, et ce n'est que Gilgamesh qui cites le fruit du Ressort. Je suppose donc que tu as fait quelques modification après son passage ?
                Bref, du coup, le fruit du ressort étant P tu ne pourras pas l'obtenir en Flashback, ni même tout de suite après ta validation.

                Ceci étant clarifié, je passe à l'avis en lui même.

                Alors pour les descriptions, le physique est bien complet, précis, bref, pas de souci dessus. La psycho, par contre, je me suis un peu perdue dedans. On voit bien qu'il y a une idée général de folie/immoralité mais tu rajoutes tellement de petit truc, que moi, perso, je me suis un peu perdue dedans. Et j'ai peur aussi que ça deviennent vraiment compliqué à jouer tant il y a de facettes.

                Ensuite, pour la bio, C'est narré d'une manière assez sympa bien que là encore on trouve quelques longueurs qui alourdissent le texte. J'pense que tu aurais pu passer outre sur certain détails qui ne servent pas spécialement afin d'alléger un peu le récit et le rendre ainsi plus "prenant" disons. Sinon, me semble pas avoir vu d'incohérence dans le texte, donc c'est bon dans le fond.

                Enfin, le test RP. Là aussi, des lourdeurs dans le texte qui ralentisse le rythme et qui font qu'on a un peu de mal à accrocher. Mais a part ça, ça allait. Mis à part peut être ta fuite quand le cannibale te conduit jusqu'au bateau. J'aurai vu plus de gardien autours de toi, qui rende ton évasion bien plus compliqué que cela, après tout, ils t'ont déjà combattu et savent que tu es très fort, alors, de peur de perdre leur nourriture, ils devraient être au moins 5 ou 6 à te tenir par une corde, non ?
                Bon. Détail.

                Bref, du coup, je m'arrête là. Au final Jack est un perso bien cinglé avec aucune empathie pour les autres. Perso qui se tient tout du long de ta pres. Et du coup, je vais tabler sur un 700 Dorikis pour toi.

                Voilà voilà !

                Plus qu'un avis avant d'être validé !

                Peluuuche


                Crazy Jack !  1425067977-izya-sflagopr Crazy Jack !  Zps1 Crazy Jack !  1lmh
                • https://www.onepiece-requiem.net/t3825-
                • https://www.onepiece-requiem.net/t3683-
                Second passage ici.


                Pour les descriptions. La partie physique est bien menée, bien faite. On arrive à correctement imaginer le personnage, même sans se fier à l'avatar, donc c'est une bonne chose. Le fait de te décrire toi même, tout en incluant ton caractère et ta propre façon de parler, c'est chouette, ça donne un peu de vie à la chose. On est plus dans une explication qu'une description en elle-même, ok donc. Pour la psychologie, je rejoint un peu l'avis d'au dessus. C'est bien fait, correctement exploité et structuré. Par contre, beaucoup de choses à prendre en compte, beaucoup de facettes et de traits de caractère à mettre en avant et à utiliser. Du coup, j'espère que tu ne te perdra pas dans tout ça au moment ou il faudra faire jouer les différentes émotions de ton personnage. Autrement, c'est bien complet, et ça roule.

                Pour la bio. C'est bien mené, l'ensemble se suit et s'accorde bien. Par contre, j'ai eu un peu de mal à tout lire d'une traite, parce que certains passages sont un peu mous, tournent en rond et cassent le rythme du contenu. Après, cela ne dérange pas l'histoire en elle-même ni son contenu. Du coup, ça laisse pas mal de potentiel pour RP, notamment en FB, et j'suis curieux de savoir ce qui s'est passé sur cette petite île.

                Le test RP, j'ai été un poil déçu. Non pas par les dialogues ni la façon d'écrire, mais plus par le déroulement. Le début est bien mené, bien structuré, et on vient à se demander comment tu vas pouvoir t'en sortir. Une bonne chose ; tu as pris ton récit APRES les informations du test RP sans avoir à décrire ta capture etc, donc +1. Par contre, j'ai trouvé un manque d'imagination dans ta fuite, dans ta façon de tromper les cannibales. J'ai quelque part revu la scène de Pirates des Caraïbes, ce que j'espérais ne justement pas voir. Un petit manque d'originalité, le reste étant très bien.

                Une fiche avec des efforts, notamment pour les descriptions. Même si j'attendais un peu plus du Test, j'suis d'accord avec la note d'au dessus et je valide à 700 Dorikis.

                Bon jeu ! bisous