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Et sur eux, je deverserai le feu Divin.

Code:
Bon, j'ecris ça d'une traite as usual. Je vais me permettre de passer sur une description ultra détaillée des lieux partant du principe que celui ou celle qui prendra le Jeu en face aura aussi la liberté d'inclure ses propres détails. Ca n'en donnera que plus d’intérêt a la narration et a l’écriture.
Je fais également cours car ce n'est qu'un post d'ouverture et que j'les aimes courts et efficaces.

Cependant si besoin de plus d'information : que celui ou celle qui gérera le PNJ ou n'importe qui d'autre ayant des questions n’hésite pas --> MP, CB et si besoin....j'en rajouterai dans le post lui-même.


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Carte:

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Et je me lèverai face au ciel pour traverser le monde et, dans la douleur, je chevaucherai ma vengeance pour obtenir œil pour œil, dent pour dent, sang pour sang.
Appuyé sur Ton épaule je ne subirai point la fatigue car la foi me porte.
Armé de Ton glaive je ne connaitrai point la faim et ne connaitrai point la soif car la colère me nourri.

Tel un de Tes anges c'est sans pitié que je descendrai sur eux, plein de flammes et de fureur pour leur porter la mort.

Et quand ils se voudront se repentir, quand les larmes baigneront leurs yeux et qu'a genoux ils supplieront...je leur apprendrai que l'espoir est une vertu d'esclave.

Et je salerai la Terre.

C’était il y a six jours quand, mettant pied a terre avec ses malles, il avait prononcé la sentence.
Six jours.

Six jours de préparation, six jours a faire le tour des deux cents âmes promises a la fosse. Six jours a noter tous ceux et celles aujourd'hui assez ages pour avoir été de ceux-la. De ceux qui avaient commis le crime avant d'en envoyer le fruit au loin pour, sous leur sourire et au fond de leur mémoires, en enterrer le souvenir.

Six jours de calme et de prêche bienveillant a toutes les brebis qui voulaient l’écouter quotidiennement, au zénith, sur la grand place légèrement excentrée vers l'Ouest...au pied des deux entrepôts a grain.

Au fond : rien n'avait vraiment change si ce n’était une légère augmentation de population et la muraille de pierre, cadeau de la marine...tout comme la fontaine. Vous savez, cette grande flaque ronde au nord des écuries, ces petits carres moches qui venaient mourir au pied du mur, sur la Porte de Béthune donnant sur la route de l'Est.

Oh, il y avait bien aussi le stock de munitions et d'armes aux abords de la Porte des Terres. Immonde bâtisse carrée en briques rouge dont le contenu n’était entretenu que pour la forme. Moins d'une balle par habitant au total, mais des quarts de tonneaux de poudre et poix dont personne n'avait su que faire....même pas les quelques hommes composant la milice. Gardiens de la paix des ivrognes et des femmes chahutées par un mari trop en colère.

Vraiment un chouette coin hein? En paix, accueillant, doux.
Ces maisons basses, un étage au plus, faites d'un peu de pierre, de chaume et surtout de bois. Ce petit port ou se trouve les quelques bateaux de pêche, les stocks d'alcool et autres denrées échangées avec les restes du monde et le navire général. Cette assurance vie dont personne n'a jamais vraiment eu l’idée [moins encore le besoin] de se servir car ici, au fond, tout va bien.

Six jours.
Tout va bien, mais le Mal est toujours la.
Six jours.
Et le septième Dieu ne se reposera pas. Non, Dieu déversera le soufre pour y noyer les Hommes.

Tonnerre. Éclairs. Flammes et feu.

Dans la nuit, trois heures avant l'aube, l'enfer se déchaine.
Sur les portes d’abord, scellant la muraille en faisant exploser les mécanismes des herses de fer. Sur le stock d'armes, quand le bâtiment explose, éclairant la nuit de la lumière des flammes, balayant les quelques constructions les plus proches. Sur les entrepôts enfin, enflammant le grain dans le feu grégeois pour provoquer la tempête qui dans son souffle de gaz et de farine fera éclater les vitres des habitations en ayant encore d'intacte.

A l’hôtel du Port, une chambre est vide, des malles sont vides et il règne une odeur de sueur et d’arsenic. De démence et de salpêtre.

Elle est vide cette chambre car le presque cinquantenaire qui l'occupait et désormais dehors, torse nu sous son manteau de cuir, yeux fous, comme momifie dans ces ceintures de cartouches. Revolvers aux poings, fusil et gros barda de voyage en bandoulière.

Et il rit.
Et il rit devant les flammes de la place, devant le feu des entrepôts a grain.

Ne dormez plus : dans son rire s'entend le rire de Dieu dispensant la mort.


Dernière édition par Le Padre le Mer 07 Oct 2015, 12:04, édité 1 fois
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Toi qui te marre, toi qui cherche une sorte de vengeance chez ceux qui jadis t'avaient fait du tord. N'es-tu pas pour la quiétude et le calme ? Etait-ce vraiment nécessaire de tous faire sauter ? Toi qui avait passer une semaine sur cette île sans broncher. Mais maintenant tu es de retour et c'est le 7eme jour, tôt dans la nuit matinale que tu décide de t'en prendre à l'armurerie du village. Te voilà armer, prêt à ravager la ville entière.

Mais les hommes ne te laisseront pas faire. Alarmer par les flammes et les explosions, tu ne le sais pas encore mais le port recueil les femmes et les enfants. Ils s'en vont, loin de tous ça. Mais avant de te lancer dans ce massacre, souhaites-tu vraiment passer le pas des criminels ? Car la marine n'est jamais loin. Elle le saura un jour ou l'autre...

Pour l'heure, quatre hommes viennent de te trouver. Deux au sol, deux sur le toit. En haut, ils sont armés; des fusils moyenne portée. Mais ne t'inquiète pas, tu tiens parfaitement dans le viseur. En bas, l'un a un flingue à six coups, l'autre une fourche; histoire de t'piquer.


Prend garde, fourche-man t'attaque.

Crève ordure !!!!!!

Puis les snipers du dimanche se mettent en position; prêt à tirer si tu bouges.
    Pauvres pêcheurs.
    Pauvres fous.
    Pauvres cons noyés dans la peur et la panique.

    Courrez, hurlez, priez, pleurez et implorez en prenant conscience que l'enfer s'abat. Débattez vous, opposez vous au destin, fermez la porte a  votre punition, jetez vous sous vos lits et serrez la main de l’être aime dans la déroute comme vous rassurer et vous dire qu'au fond, tout va encore bien.

    C'est ça, tous au port! Sauvez les femmes, sauvez les enfants, sauvez vos culs et demandez aux étoiles disparaissant dans le brasier....la permission de vivre encore un autre jour. Il y avait le temps : le coin comptait un peu plus de deux-cents âmes, et charger ce monde paniqué, arrivant au compte goute, n'allait vraiment pas se faire en deux minutes.

    Lui est la, telle la main folle de Dieu. Riant sa colère, et prêt a faire couler un fleuve de larmes.

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    Trois-quatre...

    Il le laisserait le charger avec son pauvre outil agricole pour, au dernier moment, se décaler d'un demi-pas sur sa dextre.
    Bras gauche levé il laissait passer la fourche dans le vide, le long de son flanc pour venir percuter son adversaire torse contre torse.

    Hop! Le bras gauche redescend et viens enserrer la nuque par derrière telle l’étreinte affective de deux amis qui, enfin, se retrouvent.

    De la, un observateur avise se rendra compte que le bonhomme n'a pour le moment rien fait au hasard : le pecor est devenu un magnifique bouclier humain pour les potentiels tirs de face dont il pourra écraser les cervicales au moment opportun tout en pouvant sa main droite [restée libre] sur l’épaule gauche du copain pour stabiliser ses propres coups de feu quand il en aura l'usage.

    Les flammes ? Ah! Cette nuit fraiche d'ete et cette chaleur qui vous roussit la peau...tout le monde savait ce que ca provoquait, et tout le monde finissait un jour par l'oublier.
    Autour de la fournaise l'air tremble et s'agite dans cet effet de mirage qui faussait les distances et position, dans cette illusion connu de tous ceux, qui, un jour au moins, avaient pris la route.

    Lui, victime de la lumière, ne les vois pas dans l’obscurité...mais ils pouvaient toujours l'allumer : sans entrainement et un bon fusil, le toucher allait être plus que compliqué.
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    [justify]On dirait bien que tu sais te défendre. De toute façon, qu'aurait pu faire un simple paysan ? Même avec toute la force du monde, un paysan reste un paysan nan ? Et en plus tu es plus intelligent. On dirait que tu l'utilise comme bouclier. Bien joué. Sauf que tu oublies que le brasier devant toi t'éclair plus que bien dans l nuit noir. Et toi, tu n'as aucunes vision sur ces chers tireurs sur les toits. Car plus tu monde le regard, plus tu fais face à l'obscurité.

    Le premier homme tire à tes pieds. Histoire de t'avertir.

    Le deuxième ne sait pas viser. Il tire. La balle te rase de prêt, la "presque-chance" du débutant.

    Et puis le troisième, il en a profiter pour venir derrière toi pendant que les deux autres gusses t'alignait. Le flingue derrière ton crâne, il est prêt à tirer. Sauf que la bâtisse derrière vous est bien entamé par les flammes. Une bonne grosse poutre vient s'écraser juste derrière toi, et donc, écrase le deuxième paysan. Mais crois tu t'en sortir si facilement ? Les flammes se sont propagés en même temps que le bâtiment s'écroulait. Et manque de bol, les flammes se retrouvent tout autour de vous.

    Les deux partenaires en profite donc pour tirer dans la zone où tu te trouves. Car ils se sont rendus compte que l'homme que tu tenais, n'avait pas été super cool avec eux les dernières semaines. Ils diront à sa femme que c'est toi qui l'a tuer. Pas d'chance hum ? Aller, esquive donc les balles.[
    /justify]
      Point n'a besoin de chance celui qui pour L'Unique combat et se déchaine dans la géhenne.

      Aller, c'est ça, faites feu et signez votre arrêt de mort en laissant les flammes de bouche révéler votre position a celui que les flammes empêche de voir. Le premier revolver donne.
      Une fois. Deux fois. Et a moins d’être des illusions du malin ou capable d’arrêter les balles...les deux seront fauches comme les blés.

      Ne pas perdre de temps, battre le faire et, sans lâcher le cadavre de leur collègue, s'en servir comme bouclier pour traverser les flammes en courant..et jaillir de la fosse de feu en direction du Sud [muraille] comme un tigre fou, hurlant sa rage et sa haine.

      Il lui reste 4 balles au barillet du premier et si quiconque était visible au moment ou il sortait du brasier il ferait feu.

      Sinon, il lâcherait le pantin et commencerai sa course vers la rue longeant le mur d'enceinte.
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      Fuis donc ... Un homme contre tout un village, tu crois sincèrement que tu feras le poids ?
      Et puis ...


      Allô ?! Allô ?!
      BulupBulup ... BulupBulup ... BulupBul... CLAP!
      Allô ????!!!!
      QG de la marine de West Blue. Que pouvons nous faire pour vous ?
      Allô, ici John TrucMuche ! Je suis un habitant de l'île X située au Sud de West Blue prêt d'hinu Town ! Nous sommes attaqués par un inconnu !
      Calmez vous ! Expliquez moi en détail la situation. Est-il seul ?
      Oui d'après plusieurs personnes ! Il a déjà tué plusieurs des nôtres et il a fait exploser des bâtiments ! Nous avons besoins de votre aide immédiatement ! Les femmes et les enfants ont pu se sauver au port embarquant dans plusieurs navires, mais je vous en supplie, ven...
      Allô,Allô ?


      Peut être que la marine sera intelligente sur ce coup là. Mais ce qui est sûr, c'est que l'escagophone fixe qu'utilisait cet habitant a lâcher. Faute de courant peut être ...
      Concernant ton cas, une dizaine d'homme viennent de te trouver, armes en mains. Ils te courent après. Et puis devant toi ... D'autres hommes. Même si la marine n'arrive pas. Tu es dans de beaux draps dirait-on ...