Suna Land, Toon Village pour être précis. Voilà environ deux heures que je suis arrivée et que j’attend que l’homme poisson que je suis censée rencontrer arrive. Père m’a demandé de faire une course pour lui, en effet une de ses connaissance du village aurait eu quelques soucis avec son navire et ne pouvait pas transporter ses poissons jusqu’à Suna Land.
Ayant demandé à des amis à lui de l’aider, il s’était vite rendu compte que cela était impossible. En effet la pêche avait été exceptionnelle et tous les navires affichaient complet. Ne lui restait que la solution d’appeler une connaissance, Frédéric Hyfilnor, et de lui demander un emprunt de bateau.
Voilà pourquoi j’étais sur la terre ferme à attendre qu’arrive la personne que je devais rencontrer. Le temps passe lentement mais le soleil est au rendez-vous. Je regarde le navire avec lequel je suis arrivé, plutôt de taille moyen, avec sa jolie couleur marron et ses voiles blanches, on voit que c’est un navire marchand au manque d’armement visible, mais chacun des marins a un sabre et un colt au bassin. Prudence est mère de sûreté après tout. Ils sont onze en comptant le capitaine et ce dernier fume doucement la pipe, couché sur un transat sur le pont. Me décidant à faire pareil, je sors mon fume-cigarette et m’en grille une, assise contre l’arbre sous lequel je me suis installée. Soudain un cri vient du pont.
-Mademoiselle Hyfilnor !!! Je crois que quelqu’un vient des profondeurs !!
Je saute sur mes pieds et vais sur le pont. Observant la mer en suivant la direction indiqué par le marin je remarque des bulles remonter à foison de la surface.
-Parfait, dis-je d’une voix claire, rester gentil, courtois et laissez-moi parler s’il vous plait.
-Comme vous voulez, me répondit le capitaine sans se lever de son transat, c’est vous qui payez.
Je soupire en observant les bulles, espérons que ça ne soit pas un monstre marin.
Ayant demandé à des amis à lui de l’aider, il s’était vite rendu compte que cela était impossible. En effet la pêche avait été exceptionnelle et tous les navires affichaient complet. Ne lui restait que la solution d’appeler une connaissance, Frédéric Hyfilnor, et de lui demander un emprunt de bateau.
Voilà pourquoi j’étais sur la terre ferme à attendre qu’arrive la personne que je devais rencontrer. Le temps passe lentement mais le soleil est au rendez-vous. Je regarde le navire avec lequel je suis arrivé, plutôt de taille moyen, avec sa jolie couleur marron et ses voiles blanches, on voit que c’est un navire marchand au manque d’armement visible, mais chacun des marins a un sabre et un colt au bassin. Prudence est mère de sûreté après tout. Ils sont onze en comptant le capitaine et ce dernier fume doucement la pipe, couché sur un transat sur le pont. Me décidant à faire pareil, je sors mon fume-cigarette et m’en grille une, assise contre l’arbre sous lequel je me suis installée. Soudain un cri vient du pont.
-Mademoiselle Hyfilnor !!! Je crois que quelqu’un vient des profondeurs !!
Je saute sur mes pieds et vais sur le pont. Observant la mer en suivant la direction indiqué par le marin je remarque des bulles remonter à foison de la surface.
-Parfait, dis-je d’une voix claire, rester gentil, courtois et laissez-moi parler s’il vous plait.
-Comme vous voulez, me répondit le capitaine sans se lever de son transat, c’est vous qui payez.
Je soupire en observant les bulles, espérons que ça ne soit pas un monstre marin.