[Fiche d'île] La Gueule de Requin

► Taille Petite / Affiliée au Gouvernement Mondial / Refuge révolutionnaire / Climat Tempéré / Île Forteresse ◄

Base militaire objet de toutes les convoitises, l'ilot rocheux de la Gueule de Requin a été ses dix dernières années le lieu d'incessant combat, d'abord base de la marine, puis place forte révolutionnaire, elle a fini par retomber il y a peu sous le contrôle du Gouvernement Mondial qui s’emploie une fois de plus à la remettre sur pied pour tenter encore une fois d'en faire une forteresse imprenable.

Vu de l'extérieur le coin ne paye pas de mine. La Gueule est une île rocailleuse, désolée et battue par les tempêtes, même un éleveur de chèvre masochiste ne voudrait pas s'y installer si il n'y avait pas Novograd. La météo générale varie entre franchement merdique et carrément infernale et quand il ne fait que pleuvoir dans le coin c'est que la situation ne va surement pas s'améliorer.

L’intérêt principal ainsi que la raison du nom de l'ile est d'abord l'immense caverne qui fait immédiatement penser à la gueule ouverte d'un gigantesque requin. A l'intérieur, un port abrité et très facilement défendable, immédiatement remarqué par la marine a l'époque ou elle prospectait a la recherche de lieux imprenable pour y construire ses QG. Munie d'une gigantesque porte blindée, protégée par de puissantes pièces d'artilleries, et dotée d'un véritable dédale souterrain aussi inexpugnable qu'une colonie de termites, la Gueule de requin est clairement un superbe ouvrage. Ou du moins, l'a été.

Mais la Gueule n'est pas qu'une forteresse bourrée de militaires patibulaires. A l'extérieur du roc ou est creusé la base se trouve un port franc qui a su prospérer quel que soit le propriétaire du reste de l'ile. Et qui, malgré le dernier et récent changement d'allégeance, continue a attirer, marchands plus ou moins véreux, pirates discrets et contrebandiers et escrocs de toutes sortes...

• La cinquième colonne de la révolution:
  Les révos de la Gueule ne sont pas mort, salement blessés seulement. Sous le commandement charismatique d'Hiroko Lifchitz, une des dirigeantes de l'UR, quelques survivants révos ont évités la capture et ont réussis à se terrer dans des tunnels inconnus des forces de la marine. Ils se sont procurés des uniformes, des papiers, des armes. Et seuls contre tous, ne comptant que sur leur courage et sur leur parfaite connaissance des lieux, ils mènent des séries d'actions contre les travaux de réparation entrepris par la marine. Mais chaque jour l'étau se resserre sur la cinquantaine de rats de tunnels...
  
  
• Novograd:
  Novograd est un port commercial assez standard situé sur ce qui serait l'échine dorsale du requin. Le port lui méme étant situé entre les nageoires caudales. Les bâtiments en bois peuvent paraitre fragiles et inflammables mais les tempêtes régulières ont rendus les matériaux aussi dur que de la pierre. Et jusqu'à preuve du contraire personne n'a jamais pu brûler de la pierre, enfin personne depuis Portgas D. Ace.
  On dit que tout ce qui a un prix peut être trouvé à Novograd, si vous avez la bourse assez lourde... Et malgré quelques craintes, l'arrivée de la marine n'a rien changé à ça. Faut dire que les pauvres soldats ont suffisamment de problèmes dans leur base pour ne pas s'encombrer en plus de ceux du port.
  Les notables du coin se divisent a part égales entre deux ligues de marchands, les marchands du port menés par Big Willy (les Petits Marchands) et les marchands du centre-ville menés par Rokko "Rokoko" Korino (les Ober Marchands)
  
  
• L'hotel de la Nouvelle Aube:
  Très classieux, il offre des services luxueux pour ses riches clients qui veulent se détendre après un voyage remplit de stress et d'aventures. Au menu: bain chauds, massages, restauration de qualité et cours d'origami pour débutants.
  
  
• L'Akooda-Bar:
  L'absence de la Marine n'encourage pas les comportements civiques, mais avec un géant en videur, on a rarement de problèmes. Le bar et son patron accueille une faune disparate de loups de mers, chasseurs de primes, espions, hommes-poissons, mercenaires et de temps en temps des civils en mal de sensations fortes. L'Akooda-Bar à déjà été détruit 3x, ce qui en dit long sur l'ambiance à l'intérieur.
  
  
• La base du G9:
  La base est sous le commandement de la vice-amirale Ziva depuis l'assaut réussi de 1624. Si elle fut pendant un temps très loin d'être opérationnelle, aujourd'hui elle l'est, et la vice-amirale se félicite de son travail et pavane en disant que la base du G9 est la mieux défendue de Grand Line. Mais cela n'a pas été encore vérifié. Car très peu sont les pirates voulant se frotter à une base dont le matériel est neuf : canons, navires, installations, tout est neuf et à la pointe de la technologie. Aussi, les soldats sont surentraînés à tirer sur tout ce qui n'a pas d'uniforme, séquelle des premiers moments de la base où les actes de sabotage se multipliaient. La base est formée d'une grande baie, un peu comme à Marinford, et est solidement défendue par de l'artillerie de tout calibre.
  Ajouté par Mountbatten
  

Dans Novograd, l'heure est à la détente, les marines n'y vont que rarement, et se foutent globalement totalement de ce qui peut bien s'y passer. Si ordre il y a, il n'est assuré que par les gros bras des deux guildes de marchands qui savent s'imposer brutalement quand on touche à leurs affaires...
Un pirate primé peut donc tout a fait se balader  tranquillement dans le coin, du moins tant qu'il reste assez discret pour ne pas se faire connaitre de tous et obliger la marine a faire une descente.

Dans la base G-9 par contre c'est une autre histoire. La base est occupé par quatre divisions, la 77eme, la 66eme, la 55eme et la 48eme division d'élite, soit près de quatre milles soldats à terre.
Dans la base, la sécurité est draconienne, il y a des troupes partout, qui patrouillent par dix et tirent a vue sur tout ce qui ne porte pas un uniforme, vestige des premiers temps de la base. Les secteurs sont tous fermés et chaque poste de garde donne lieu à d'interminables vérifications d'identités... Tout ceci est bien entendu sous l'impulsion de la vice-amirale, qui veut rendre le G9 imprenable. Bref, il est tout a fait illusoire de réussir à s'introduire dans le coin sans être un expert dans le domaine de l'infiltration.

En mer c'est le même topo. Les pirates qui passent dans le coin ont intérêt à privilégier la discrétion et a naviguer pavillon bas. La vice-amirale dispose en effet d'une flotte de dix croiseurs et de quatre cuirassés, et patrouille activement et férocement autour de l'ile. Du moins en théorie. En pratique, seuls six croiseurs sont de sortie en permanence, et seul un des cuirassés garde suffisamment de soldats à bord pour pouvoir appareiller en moins d'une heure. Les autres ne servent qu'à la défense du port.




 ► [1611] L'attaque de la Révolution:
Menés par le maréchal Chuck Maurice, l'armée révolutionnaire tombe comme la foudre sur la base marine de la gueule. Et après une nuit d'affrontement elle en prend complétement possession et la recouvre grâce au pouvoir du maréchal, d'un impénétrable champ de force que la marine s'avérera incapable de traverser. L'occupation révolutionnaire durera 12 ans.

 ► [1624] Le choc des Sea Wolfs :
L'équipage d'élite des Sea Wolfs, mené par le Contre Amiral Toji Arashibourei, réussit à s'introduire dans la base pour s'y livrer a une vaste opération de sabotage. Le bouclier est détruit, les portes du port éventrées, les canons détruit... Et profitant de la brèche, l'amirale Zyva lance immédiatement toutes ses forces dans la bataille. Et après trois jours de combat acharnés et de lourdes pertes, la marine récupéré le contrôle d'une base sévèrement touché par les combats. Bref, une belle victoire...
Événement joué ici : lien, lien,  lien, lien, lien, lien, lien, lien, lien, lien, lien et lien

 ► [1627] La 48eme division d'élite est née.
Une nouvelle division d'élite est née ! Ainsi, un millier d'homme se retrouve basé à la Gueule de Requin, à la base du G9, qui a bien changée depuis l'assaut de 1624. Le matériel est neuf, et cet apport de sang frais rajoute à la base des soldats supplémentaires pour les nombreux tours de gardes et patrouilles. Le commandant d'élite Kimblee sera à la tête de cette division d'élite, lui qui attend patiemment sa place parmi les douze colonels d'élite. En attendant, il lui faut faire ses preuves et il faut que la 48eme division d'élite montre ce dont quoi elle est capable.
Événement joué ici : lien