>> Fanfan Santana
Une image de 200*300 pixels.  | Pseudonyme : "Fanfan la gaffe" Age: 24 Sexe : Homme Race : Humain Métier : Vagabond xD Groupe : Civil But : Trouver l'amour de sa vie et se marier avec, devenir quelqu'un de fort. Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Quelques équipements que je créerai moi même mais pas avant un petit bout de temps =) Équipement : Une boussole déréglé et un livre qui porte sur comment draguer, comment se battre, et comment avoir du charisme pour les nuls. Codes du règlement : Parrain : Aucun Ce compte est-il un DC ? : Non Si oui, quel @ l'a autorisé ? : ... |
>> Physique
Fanta est un jeune homme, qui donne vingt ans alors qu'il en a vingt-quatre, dont la taille de deux mètres tout rond n'impressionne pas même les plus petits que lui, à cause de sa faible carrure fine et chétive. Ses petits muscles révèlent son manque de force, pourtant ils sont bien tracés et ressortent grâce à sa maigreur. Son seul avantage est d'être rapide. Malheureusement, le jeune homme n'utilise pas cet avantage au combat mais pour fuir dès qu'il rencontre un ennui.
Le visage de Fanfan, ovale et pointu au menton, dégage un air agréable ; sans doute grâce à son sourire parfois léger, parfois ouvert jusqu'aux oreilles. Il ne possède qu'un seul œil, celui de gauche, de couleur vert clair. Un cache-œil vient couvrir l'orbite vide ou devrait se trouver son œil droit. Fanfan change très souvent de cache-œil, parfois quatre fois le même jour. Certains sont dessinés de smiley, d'autres de cœur et de tout un tas d'autre chose. Le cache-œil est assez discret et ne lui donne pas mauvaise mine, il vient se faufiler sous un bandana et la chevelure rouquine et mi-longue de notre Santana.
Fanta ne garde pas toujours la même coiffure, tantôt ses cheveux sont dressés sur sa tête tantôt ils sont mis en arrière, le rouquin aime bien aussi les laisser tomber ou coincer une mèche sous son bandana. Fan des bijoux, il porte des boucles d'oreilles, des bracelets, des chaînes et ne vous étonnez pas si bientôt il se fait des piercings. Il a un tatouage dans le dos qui représente des ailes, symbole de liberté et une cicatrice sur le torse, rappelant une entaille au couteau. Il est aussi marqué d'une tâche de rousseur en haut de sa fesse droite..
Malgré sa coupe de cheveux, son cache-œil et ses bijoux auxquels il prend soin, on sent qu'il se laisse plus aller pour le reste. Ses vêtements, bien que plutôt dans le courant de la mode, sont changés en moyenne toutes les semaines, et restent souvent sales et crasseux, exception faite pour ses sous-vêtements. On remarque bien qu'il se laisse aller. On le voit aussi dans sa façon de marcher et de parler.
Le visage de Fanfan, ovale et pointu au menton, dégage un air agréable ; sans doute grâce à son sourire parfois léger, parfois ouvert jusqu'aux oreilles. Il ne possède qu'un seul œil, celui de gauche, de couleur vert clair. Un cache-œil vient couvrir l'orbite vide ou devrait se trouver son œil droit. Fanfan change très souvent de cache-œil, parfois quatre fois le même jour. Certains sont dessinés de smiley, d'autres de cœur et de tout un tas d'autre chose. Le cache-œil est assez discret et ne lui donne pas mauvaise mine, il vient se faufiler sous un bandana et la chevelure rouquine et mi-longue de notre Santana.
Fanta ne garde pas toujours la même coiffure, tantôt ses cheveux sont dressés sur sa tête tantôt ils sont mis en arrière, le rouquin aime bien aussi les laisser tomber ou coincer une mèche sous son bandana. Fan des bijoux, il porte des boucles d'oreilles, des bracelets, des chaînes et ne vous étonnez pas si bientôt il se fait des piercings. Il a un tatouage dans le dos qui représente des ailes, symbole de liberté et une cicatrice sur le torse, rappelant une entaille au couteau. Il est aussi marqué d'une tâche de rousseur en haut de sa fesse droite..
Malgré sa coupe de cheveux, son cache-œil et ses bijoux auxquels il prend soin, on sent qu'il se laisse plus aller pour le reste. Ses vêtements, bien que plutôt dans le courant de la mode, sont changés en moyenne toutes les semaines, et restent souvent sales et crasseux, exception faite pour ses sous-vêtements. On remarque bien qu'il se laisse aller. On le voit aussi dans sa façon de marcher et de parler.
>> Psychologie
Fanfan la gaffe est, comme son surnom l'indique, un grand gaffeur. Il ne se passe pas un jour sans qu'il n'ait fait une gaffe, entre s'étirer quand la serveuse apporte les plats et ouvrir la porte et cogner la personne qui était derrière à ce moment-là, le jeune a un don pour faire des maladresses. Il a une grande poisse, ce qui lui attire souvent des ennuis d'ailleurs. Mais notre gaffeur à de bonnes jambes, parce que ce n'est pas un bagarreur, bien qu'il aimerait un jour devenir très fort. Plutôt peureux, il préfère éviter les conflits. Mais lorsqu'une demoiselle est victime, il n'hésitera pas à lui venir en aide. Quitte à prendre sa place de victime.. Il a pas trop le choix de toute façon. Oui, Fanfan aime les femmes, il les aime tellement qu'il pourrait claquer toutes ses économies pour elles, il pourrait tout faire, tout ! Les femmes l'aiment bien aussi mais ce n'est pas un grand charmeur malgré son beau physique. Ni courageux, ni intelligent, il n'a presque rien à son avantage. Flemmard, alcoolique, et véritable junkie, notre pauvre Fanfan n'est pas gâté par Dame Nature. Pourtant, il rêve un jour de devenir quelqu'un de très fort et se marier avec une jolie femme. Pour cette raison, il lit un livre qu'il a trouvé dans les vieilles affaires de son grand-père : "comment draguer, comment se battre, et comment avoir du charisme pour les nuls".
Concernant tout ce qui est la piraterie, la révolution, la marine, le gouvernement. Il est bien trop bête pour savoir qu'est-ce que la révolution et qu'est-ce que le gouvernement, s'estime bien trop gentil pour être pirate, bien trop nul pour réussir les vulgaires tests de la marine et ne connait même pas les chasseurs de primes qu'il pense être des pirates.
>> Biographie
Fanfan ne s'est pas toujours appelé Fanfan. A une époque bien lointaine, loin des problèmes de la piraterie et de l'insécurité, est né en 1602 dans le royaume de Goa Jayden Jacinto, enfant non reconnu de la famille noble Jacinto. Fruit d'une relation extra-conjugale entre le père, noble depuis maintes générations et une de ses esclaves, Jayden Jacinto a été ainsi nommé par la mère pour donner un meilleur avenir à son fils et l'intégrer dans la famille noble. Mais le père qui avait donné des rêves à cette pauvre esclave afin de permettre d'entretenir des relations avec elle, s'est contenté d'entailler au couteau la tâche de rousseur sur le torse qu'il avait en commun avec le bébé pour effacer toute preuve de lien de parenté. Puis ses magouilles avec l'administration du royaume de Goa lui ont permis de changer le nom de son propre enfant en celui de Fanfan Santana pour supprimer définitivement tout lien avec celui-ci. Peu après, il a viré l'esclave, mère de l'enfant dont il ne voulait pas reconnaître le lien de parenté, l'abandonnant à son sort. Mais, quelques jours après sa naissance, une deuxième tâche de rousseur se marqua sur sa le haut de sa fesse droite, de plus en plus grosse chaque jour, c'était exactement celle du père. La même tâche de rousseur, et au même endroit. Cependant, cette preuve ne suffisait pas à donner envie à la mère d'essayer une nouvelle fois de l'intégrer dans la famille noble Jacinto.
Finalement, elle acceptait ce nom de Fanfan Santana et s'en allait pour vivre à Logue Town, seule avec son enfant. Fanfan passa son enfance à Logue Town, aida sa mère dans le bar qu'elle tenait avec son nouveau père et son nouveau petit frère nommé Diego. Mais le bar ne marchait pas tant que ça avec sa petite taille et sa mauvaise localisation, en effet, le bar se trouvait dans un endroit reculé du centre-ville, là ou l'animation et la clientèle ne sont pas présentes du tout. Ils avaient à peine de quoi vivre et l'habitation pompait la majeure partie du salaire.
Ainsi, aux quatorze ans de Fanfan, la famille déménageait à Las Camp. Les habitations y étaient nettement moins chères mais l'insécurité y régnait. Et peu à peu, l'entourage poussait Diego, le petit frère de Fanfan âgé alors de dix ans, à devenir un petit voyou sans que personne de la famille ne s'en aperçoive.
L'année 1619 fut la plus conséquente pour Fanfan, alors âgé de dix-sept ans, qui découvrit par hasard en rentrant plus tôt de ses cours, une dispute entre sa mère et son père ; il comprit que celui qu'il prenait pour son père n'était pas son vrai père biologique et que son frère était en réalité son demi-frère puisqu'ils n'avaient pas le même père. Il se sentit trahi, vexé d'avoir découvert la vérité lui-même alors que ses parents auraient dû la lui dire bien avant. Mais à ce moment là, un voisin débarqua dans la maison, passa devant Fanfan qui écoutait la dispute en collant son oreille, enfonça la porte et entra dans la pièce des parents. Il informa ceux-ci que Diego, le plus petit, avait embarqué à bord d'un navire pirate de son plein gré et que depuis quelques temps il l'avait vu avec des pirates.
Double-choc pour Fanfan qui tenta tant bien que mal de garder son sang froid, il annonça à ses parents qu'il allait partir pour le ramener, et en leur lançant un regard froid, il ajouta qu'il allait aussi partir pour découvrir sa véritable identité et celle de son vrai père qu'il ne connaissait pas.
Ainsi, depuis sept ans Fanfan traîne sur les mers comme un vagabond nomade sans avoir trouvé une seule fois un indice sur son frère ou son père. Il s'est attiré beaucoup d'ennuis dont une terrible défaite qui lui a couté son œil droit. Il s'est écarté de ses deux objectifs et les a rangés bien au fond de sa mémoire, ne s'en rappelant sans doute pas. Il a même oublié ses parents qui l'attendent peut-être toujours. Complètement changé, Fanfan aspire aujourd'hui à devenir quelqu'un de fort et veut se marier avec une très jolie fille.
Finalement, elle acceptait ce nom de Fanfan Santana et s'en allait pour vivre à Logue Town, seule avec son enfant. Fanfan passa son enfance à Logue Town, aida sa mère dans le bar qu'elle tenait avec son nouveau père et son nouveau petit frère nommé Diego. Mais le bar ne marchait pas tant que ça avec sa petite taille et sa mauvaise localisation, en effet, le bar se trouvait dans un endroit reculé du centre-ville, là ou l'animation et la clientèle ne sont pas présentes du tout. Ils avaient à peine de quoi vivre et l'habitation pompait la majeure partie du salaire.
Ainsi, aux quatorze ans de Fanfan, la famille déménageait à Las Camp. Les habitations y étaient nettement moins chères mais l'insécurité y régnait. Et peu à peu, l'entourage poussait Diego, le petit frère de Fanfan âgé alors de dix ans, à devenir un petit voyou sans que personne de la famille ne s'en aperçoive.
L'année 1619 fut la plus conséquente pour Fanfan, alors âgé de dix-sept ans, qui découvrit par hasard en rentrant plus tôt de ses cours, une dispute entre sa mère et son père ; il comprit que celui qu'il prenait pour son père n'était pas son vrai père biologique et que son frère était en réalité son demi-frère puisqu'ils n'avaient pas le même père. Il se sentit trahi, vexé d'avoir découvert la vérité lui-même alors que ses parents auraient dû la lui dire bien avant. Mais à ce moment là, un voisin débarqua dans la maison, passa devant Fanfan qui écoutait la dispute en collant son oreille, enfonça la porte et entra dans la pièce des parents. Il informa ceux-ci que Diego, le plus petit, avait embarqué à bord d'un navire pirate de son plein gré et que depuis quelques temps il l'avait vu avec des pirates.
Double-choc pour Fanfan qui tenta tant bien que mal de garder son sang froid, il annonça à ses parents qu'il allait partir pour le ramener, et en leur lançant un regard froid, il ajouta qu'il allait aussi partir pour découvrir sa véritable identité et celle de son vrai père qu'il ne connaissait pas.
Ainsi, depuis sept ans Fanfan traîne sur les mers comme un vagabond nomade sans avoir trouvé une seule fois un indice sur son frère ou son père. Il s'est attiré beaucoup d'ennuis dont une terrible défaite qui lui a couté son œil droit. Il s'est écarté de ses deux objectifs et les a rangés bien au fond de sa mémoire, ne s'en rappelant sans doute pas. Il a même oublié ses parents qui l'attendent peut-être toujours. Complètement changé, Fanfan aspire aujourd'hui à devenir quelqu'un de fort et veut se marier avec une très jolie fille.
>> Test RP
Comment Diego avait-il pu me faire ça, à moi, son grand frère. On était comme des meilleurs amis, on se disait tout... Enfin c'est ce que je croyais, jusqu'à qu'il embarqua à bord d'un navire pirate sans même laisser une lettre derrière lui. C'était à ce moment que je me rendis compte que je ne le connaissais pas vraiment bien, peut-être l'avais-je trop délaissé.. C'était mon rôle de le ramener à la maison, de le corriger et de le ramener sur le droit chemin ; de l'arracher des griffes de ces infâmes pirates.
J'étais parti de la maison en fin d'après-midi, abandonnant ma mère en pleurs sur le seuil de la porte tandis que mon beau-père se contentait de la prendre dans ses bras. Équipé d'une petite bourse, d'un couteau de cuisine et d'une vieille boussole dont j'ignorais qu'elle était déréglée, je foulais d'un pas rapide les pavés du chemin qui menait au port. Niais que j'étais, mon couteau se devinait facilement, coincé entre mon fin pantalon noir et ma veste à manches longues. Ce qui m'avait attiré les regards les plus mal attentionnés de la part de truands, dans les sombres ruelles de Las Camp. Une fois sorti de ces rues sordides, je soufflais un bon coup et j'essuyais une goute de sueur qui me coulait sur le front.
J'atteignais le port, celui-là même ou avait embarqué mon idiot de petit frère. Des navires commerçants se faisaient décharger, d'autres embarcations de pêcheurs accostaient. Mais ce qu'on remarquait le plus c'était ces quelques navires pirates, qu'on reconnaissait aussitôt à cause de leurs drapeaux à têtes de morts ou bien même de leurs équipages. Je ne savais pas par ou commencer pour retrouver Diego, mon petit frère. Par le plus simple sans doute ?
- Hey monsieur le pêcheur, z'auriez pas vu un adolescent de treize ans à peu près quitter le port à bord d'un bateau pirate ?
J'interrogeai pratiquement tous les pêcheurs et commerçants du port, tous me répondaient non ou envoyaient chier le jeune homme de dix-sept ans que j'étais. Poussé par l'impatience, je devenais plus nerveux et bousculais sans faire exprès un manutentionnaire. La caisse en bois qu'il soulevait avec un collègue à lui tomba et se brisa net sur le sol, laissant apparaître bon nombre de pastèques. L'une d'elle était ouverte, sans doute à cause du choc. Dedans se trouvait un gros sachet rempli de drogue blanche. Je m'excusai aussitôt, bégayant à chaque mot de ma phrase.
L'un des deux manutentionnaires s'approchait de moi et me fixait méchamment, une sensation me traversait le corps : la peur. Celle-ci me paralysait et m'empêchait de bouger ne serait-ce que le moindre doigt de pied. Je tremblais. Il s'arrêta face à moi, me dévisagea de haut en bas puis de bas en haut et m'agrippa par le col de ma veste. Un instant après il me fila une beigne, je pivotais d'un demi tour et m'étalais sur le sol comme une vulgaire crêpe. J'avais mal, je passais la main sur mon arcade qui était gonflé d'une bosse. Mon agresseur continuait de s'avancer vers moi, je restais sur le sol, reculant d'un ou deux mètres. Debout devant moi, il m'assénait des coups de pieds dans la tête. Je me mettais en boule et portais mes mains au dessus de ma tête pour me protéger. Chaque coup que je me prenais résonnait dans ma tête comme un écho. Quelques gouttes de sang me coulaient de la bouche, des lèvres et de mon nez. Je les voyais tomber sur le sol au ralenti. Un bref instant plus tard, c'était fini.
- C'est bon arrêtes, il a eu son compte ! Tu vois bien qu'il a trop peur pour nous balancer !!
J'attendais qu'ils s'éloignent, restant encore en boule un petit moment, puis je me relevais en me faisant discret. Je m'essuyais le visage contre la manche droite de ma veste. Je regardais au loin le manutentionnaire qui m'avait frappé. Je voulais faire quelque chose, me venger, mais j'avais bien trop peur. Et il fallait que je retrouve Diego. Des pirates avaient assistés à la scène et me regardaient avec un large sourire moqueur. J'évitais leur position et je les détournais, quand l'un d'eux m'interpella. Je faisais mine de ne pas avoir entendu, je continuais mon chemin.
- HEY LE ROUQUIN AVEC LE BANDANA LA, RAMÈNES TOI !
Je me stoppai net, je ne pouvais plus ignorer le pirate. J'hésitais à courir mais mes jambes m'en empêchaient et me ramenaient doucement vers le pirate. Il était habillé d'une cape rouge, avait une jambe de bois et sur son épaule se trouvait un perroquet tel le stéréotype du pirate. Une cicatrice lui traversait tout le visage, du haut de son crâne à son menton, passant par son œil gauche. Il s'approcha d'un pas boiteux et serein et observait du coté de ma bourse. Je m'apprêtais à la lui donner lorsqu'il sourit et me fit signe de ranger.
- Gardes-ça petit. Dis moi plutôt pourquoi t'as pas utilisé ton putain d'couteau planqué dans ton dos !? Je l'ai vu moi pendant qu'il te battait. T'aurais pu l'tuer ou au moins l'blesser !
Surpris, je ne savais trop quoi répondre. Je balbutiais.
- Je... Je sais pas m'en servir. Mais.. je cherche mon frère. Il... est rouquin.. comme moi et il a treize ans. Il... il a embarqué à bord d'un navire pirate y'a une heure à peu près.
- Hmmm, j'crois que j'vois oui. Il est monté à bord d'un navire pirate, si j'me souviens bien, ils disaient qu'ils voulaient partir vers Logue Town pour faire mémoire au grand Roger, puis au petit village de Fuschia pour faire mémoire au grand Luffy. C'est une sorte de rite pour certains pirates avant de commencer leurs aventures, mais c'est n'importe quoi ! Embarques avec nous, on va aussi à Logue Town mais pour une autre raison !!
Il me saisissait par l'épaule, je ne pouvais pas refuser, je ne voulais pas l'offenser. Et puis il allait me transporter gratuitement jusqu'à Logue Town alors je n'y voyais aucun problème. Une demie-heure plus tard, j'embarquais à bord du bateau pirate. Et c'est là que commencèrent les problèmes. Le capitaine me força à nettoyer le pont, à éplucher les patates et à faire tout ce genre de ménage. Je frottais à n'en plus pouvoir, pendant des heures et des heures tandis que l'obscurité de la nuit envahissait le ciel. Les vagues cessaient de caresser l'embarcation et se mettaient à la frapper, comme soudainement agités par une force mystérieuse. On m'ordonnait de dormir à même le plancher, n'ayant qu'un drap en guise de matelas et de couverture. On me chassait des cabines, je me trouvais une place sous les escaliers qui mènent au pont supérieur. L'humidité régnait et l'odeur de moisi me répugnait.
Le lendemain, on me versait un seau d'eau ou deux en plein visage, je me réveillais en sursaut. Grelotant, je devais faire la même chose qu'hier : nettoyer le pont, préparer la nourriture, verser l'eau par dessus bord, etc. Je n'arrêtais pas d'éternuer. Lorsque je nettoyais le petit coin qui m'avait servi d'abris pendant la nuit - le creux en dessous du pont - je m'arrêtais sur les paroles du capitaine.
- Non, on ne va pas à Logue Town. J'ai dis ça à cet imbécile pour qu'il reste comme homme à tout faire !
Je m'asseyais dans mon petit coin, me tenant les cheveux et les coiffant entre mes doigts. Je poussais un long soupir et décidais de m'arrêter de faire le larbin. Un pirate avait deviné que j'avais entendu la conversation et me tira jusqu'à lui. Il me plaqua contre le mur en bois et me colla une droite. Je le repoussais violemment. Surpris de ma témérité, il fonça droit sur moi pour me donner une leçon et me flanqua une châtaigne en pleine tête, qui me fit tomber sur le sol. Il se mit sur moi, ses genoux sur mes épaules, mes bras le long de mon corps et me frappa. Par je ne sais quel courage, je saisis un cordage à portée de main et l'étrangla pendant un moment. Les pirates nous séparèrent, une pluie de coups me fit passer de l'autre coté, j'étais évanoui.
Je me réveillais attaché. On me banda les yeux aussitôt qu'on s'aperçut que j'étais de nouveau-là puis on me fit monter sur une planche qui dépassait du navire. Le supplice de la planche, j'allais mourir noyé ou bien mangé dans quelques instants. Je les suppliais mais rien n'y faisait, j'étais condamné à mourir pour ce que j'avais fait. Je faisais quelques pas et je m'arrêtais au bout de la planche. Le vent passait dans mes cheveux, je respirais un grand coup. Je maudissais ces pirates juste avant de plonger dans cette mer, mère de rêves, de souvenirs et de souffrances.
Immergé dans l'eau, je me débattais pour me défaire de ces liens très serrés. Je tâtais de ma main mon couteau qui ne m'avait jusqu'alors jamais servi. Il était temps. Malheur, je ne pouvais que l'effleurer de mon majeur. Soudain, une force sous-marine m'entraîna sur plusieurs mètres dans l'eau, puis me projeta de la surface. J'en profitais pour prendre une bonne bouffée d'air avant de retomber dans l'eau. Cette mystérieuse force me poussa dans l'eau et en dehors pur que je puisse respirer et répéta ce mouvement pendant plusieurs heures, je ne saurais dire combien précisément. Enfin, je fus projeté mais cette fois-ci je retombais sur un sol dur. C'était la terre ferme. J'entendais des sifflements. Après quelques instants, j'arrivais à me débarrasser de mes liens. J'enlevais alors le bandana qui me cachait les yeux puis je l'attachais sur mes cheveux. Avec grand étonnement, je remarquais un dauphin avec une cicatrice sur le front. L'animal n'arrêtait pas de bouger sa nageoire droite.
Je remarquais la pointe d'un harpon enfoncé dessous. Je la retirais avec le plus de précaution mais je n'étais pas médecin. J'enlevais mon maillot et le nouais autour de la plaie. C'était tout ce que je pouvais faire mais ça allait être peu utile dans l'eau. Qu'importe, le dauphin paressait plus heureux, enfin je crois. Je restais un moment avec cet animal marin, puis je repartais à la recherche de mon petit frère Diego...
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _________J'étais parti de la maison en fin d'après-midi, abandonnant ma mère en pleurs sur le seuil de la porte tandis que mon beau-père se contentait de la prendre dans ses bras. Équipé d'une petite bourse, d'un couteau de cuisine et d'une vieille boussole dont j'ignorais qu'elle était déréglée, je foulais d'un pas rapide les pavés du chemin qui menait au port. Niais que j'étais, mon couteau se devinait facilement, coincé entre mon fin pantalon noir et ma veste à manches longues. Ce qui m'avait attiré les regards les plus mal attentionnés de la part de truands, dans les sombres ruelles de Las Camp. Une fois sorti de ces rues sordides, je soufflais un bon coup et j'essuyais une goute de sueur qui me coulait sur le front.
J'atteignais le port, celui-là même ou avait embarqué mon idiot de petit frère. Des navires commerçants se faisaient décharger, d'autres embarcations de pêcheurs accostaient. Mais ce qu'on remarquait le plus c'était ces quelques navires pirates, qu'on reconnaissait aussitôt à cause de leurs drapeaux à têtes de morts ou bien même de leurs équipages. Je ne savais pas par ou commencer pour retrouver Diego, mon petit frère. Par le plus simple sans doute ?
- Hey monsieur le pêcheur, z'auriez pas vu un adolescent de treize ans à peu près quitter le port à bord d'un bateau pirate ?
J'interrogeai pratiquement tous les pêcheurs et commerçants du port, tous me répondaient non ou envoyaient chier le jeune homme de dix-sept ans que j'étais. Poussé par l'impatience, je devenais plus nerveux et bousculais sans faire exprès un manutentionnaire. La caisse en bois qu'il soulevait avec un collègue à lui tomba et se brisa net sur le sol, laissant apparaître bon nombre de pastèques. L'une d'elle était ouverte, sans doute à cause du choc. Dedans se trouvait un gros sachet rempli de drogue blanche. Je m'excusai aussitôt, bégayant à chaque mot de ma phrase.
L'un des deux manutentionnaires s'approchait de moi et me fixait méchamment, une sensation me traversait le corps : la peur. Celle-ci me paralysait et m'empêchait de bouger ne serait-ce que le moindre doigt de pied. Je tremblais. Il s'arrêta face à moi, me dévisagea de haut en bas puis de bas en haut et m'agrippa par le col de ma veste. Un instant après il me fila une beigne, je pivotais d'un demi tour et m'étalais sur le sol comme une vulgaire crêpe. J'avais mal, je passais la main sur mon arcade qui était gonflé d'une bosse. Mon agresseur continuait de s'avancer vers moi, je restais sur le sol, reculant d'un ou deux mètres. Debout devant moi, il m'assénait des coups de pieds dans la tête. Je me mettais en boule et portais mes mains au dessus de ma tête pour me protéger. Chaque coup que je me prenais résonnait dans ma tête comme un écho. Quelques gouttes de sang me coulaient de la bouche, des lèvres et de mon nez. Je les voyais tomber sur le sol au ralenti. Un bref instant plus tard, c'était fini.
- C'est bon arrêtes, il a eu son compte ! Tu vois bien qu'il a trop peur pour nous balancer !!
J'attendais qu'ils s'éloignent, restant encore en boule un petit moment, puis je me relevais en me faisant discret. Je m'essuyais le visage contre la manche droite de ma veste. Je regardais au loin le manutentionnaire qui m'avait frappé. Je voulais faire quelque chose, me venger, mais j'avais bien trop peur. Et il fallait que je retrouve Diego. Des pirates avaient assistés à la scène et me regardaient avec un large sourire moqueur. J'évitais leur position et je les détournais, quand l'un d'eux m'interpella. Je faisais mine de ne pas avoir entendu, je continuais mon chemin.
- HEY LE ROUQUIN AVEC LE BANDANA LA, RAMÈNES TOI !
Je me stoppai net, je ne pouvais plus ignorer le pirate. J'hésitais à courir mais mes jambes m'en empêchaient et me ramenaient doucement vers le pirate. Il était habillé d'une cape rouge, avait une jambe de bois et sur son épaule se trouvait un perroquet tel le stéréotype du pirate. Une cicatrice lui traversait tout le visage, du haut de son crâne à son menton, passant par son œil gauche. Il s'approcha d'un pas boiteux et serein et observait du coté de ma bourse. Je m'apprêtais à la lui donner lorsqu'il sourit et me fit signe de ranger.
- Gardes-ça petit. Dis moi plutôt pourquoi t'as pas utilisé ton putain d'couteau planqué dans ton dos !? Je l'ai vu moi pendant qu'il te battait. T'aurais pu l'tuer ou au moins l'blesser !
Surpris, je ne savais trop quoi répondre. Je balbutiais.
- Je... Je sais pas m'en servir. Mais.. je cherche mon frère. Il... est rouquin.. comme moi et il a treize ans. Il... il a embarqué à bord d'un navire pirate y'a une heure à peu près.
- Hmmm, j'crois que j'vois oui. Il est monté à bord d'un navire pirate, si j'me souviens bien, ils disaient qu'ils voulaient partir vers Logue Town pour faire mémoire au grand Roger, puis au petit village de Fuschia pour faire mémoire au grand Luffy. C'est une sorte de rite pour certains pirates avant de commencer leurs aventures, mais c'est n'importe quoi ! Embarques avec nous, on va aussi à Logue Town mais pour une autre raison !!
Il me saisissait par l'épaule, je ne pouvais pas refuser, je ne voulais pas l'offenser. Et puis il allait me transporter gratuitement jusqu'à Logue Town alors je n'y voyais aucun problème. Une demie-heure plus tard, j'embarquais à bord du bateau pirate. Et c'est là que commencèrent les problèmes. Le capitaine me força à nettoyer le pont, à éplucher les patates et à faire tout ce genre de ménage. Je frottais à n'en plus pouvoir, pendant des heures et des heures tandis que l'obscurité de la nuit envahissait le ciel. Les vagues cessaient de caresser l'embarcation et se mettaient à la frapper, comme soudainement agités par une force mystérieuse. On m'ordonnait de dormir à même le plancher, n'ayant qu'un drap en guise de matelas et de couverture. On me chassait des cabines, je me trouvais une place sous les escaliers qui mènent au pont supérieur. L'humidité régnait et l'odeur de moisi me répugnait.
Le lendemain, on me versait un seau d'eau ou deux en plein visage, je me réveillais en sursaut. Grelotant, je devais faire la même chose qu'hier : nettoyer le pont, préparer la nourriture, verser l'eau par dessus bord, etc. Je n'arrêtais pas d'éternuer. Lorsque je nettoyais le petit coin qui m'avait servi d'abris pendant la nuit - le creux en dessous du pont - je m'arrêtais sur les paroles du capitaine.
- Non, on ne va pas à Logue Town. J'ai dis ça à cet imbécile pour qu'il reste comme homme à tout faire !
Je m'asseyais dans mon petit coin, me tenant les cheveux et les coiffant entre mes doigts. Je poussais un long soupir et décidais de m'arrêter de faire le larbin. Un pirate avait deviné que j'avais entendu la conversation et me tira jusqu'à lui. Il me plaqua contre le mur en bois et me colla une droite. Je le repoussais violemment. Surpris de ma témérité, il fonça droit sur moi pour me donner une leçon et me flanqua une châtaigne en pleine tête, qui me fit tomber sur le sol. Il se mit sur moi, ses genoux sur mes épaules, mes bras le long de mon corps et me frappa. Par je ne sais quel courage, je saisis un cordage à portée de main et l'étrangla pendant un moment. Les pirates nous séparèrent, une pluie de coups me fit passer de l'autre coté, j'étais évanoui.
Je me réveillais attaché. On me banda les yeux aussitôt qu'on s'aperçut que j'étais de nouveau-là puis on me fit monter sur une planche qui dépassait du navire. Le supplice de la planche, j'allais mourir noyé ou bien mangé dans quelques instants. Je les suppliais mais rien n'y faisait, j'étais condamné à mourir pour ce que j'avais fait. Je faisais quelques pas et je m'arrêtais au bout de la planche. Le vent passait dans mes cheveux, je respirais un grand coup. Je maudissais ces pirates juste avant de plonger dans cette mer, mère de rêves, de souvenirs et de souffrances.
Immergé dans l'eau, je me débattais pour me défaire de ces liens très serrés. Je tâtais de ma main mon couteau qui ne m'avait jusqu'alors jamais servi. Il était temps. Malheur, je ne pouvais que l'effleurer de mon majeur. Soudain, une force sous-marine m'entraîna sur plusieurs mètres dans l'eau, puis me projeta de la surface. J'en profitais pour prendre une bonne bouffée d'air avant de retomber dans l'eau. Cette mystérieuse force me poussa dans l'eau et en dehors pur que je puisse respirer et répéta ce mouvement pendant plusieurs heures, je ne saurais dire combien précisément. Enfin, je fus projeté mais cette fois-ci je retombais sur un sol dur. C'était la terre ferme. J'entendais des sifflements. Après quelques instants, j'arrivais à me débarrasser de mes liens. J'enlevais alors le bandana qui me cachait les yeux puis je l'attachais sur mes cheveux. Avec grand étonnement, je remarquais un dauphin avec une cicatrice sur le front. L'animal n'arrêtait pas de bouger sa nageoire droite.
Je remarquais la pointe d'un harpon enfoncé dessous. Je la retirais avec le plus de précaution mais je n'étais pas médecin. J'enlevais mon maillot et le nouais autour de la plaie. C'était tout ce que je pouvais faire mais ça allait être peu utile dans l'eau. Qu'importe, le dauphin paressait plus heureux, enfin je crois. Je restais un moment avec cet animal marin, puis je repartais à la recherche de mon petit frère Diego...
Informations IRL
Prénom : surnom : Namar ou Nams
Age :
Aime : les kebab, les attractions, le sport, les films, les mangas, les femmes... xD
N'aime pas :
Personnage préféré de One Piece : très dur de choisir, j'hésite entre Shanks, Barbe Noire ou Kid.
Caractère : j'suis simple, j'aime rigoler et ne pas me casser la tête.
Fait du RP depuis : je sais plus x)
Disponibilité approximative : 2-3 jours par semaine
Comment avez-vous connu le forum ? je sais plus, top site je crois.
Quand vous estimez avoir terminé vos descriptions et votre biographie, signalez-le par un nouveau message et demandez votre test RP. Pour plus de lisibilité vous pouvez aussi l'indiquer dans le sous-titre de votre présentation par la mention [En attente de Test RP]. Plus ce sera visible, moins vous avez de chance que les modérateurs ne vous loupent (ce qui n’arrive pas très souvent).
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Dernière édition par Fanfan Santana le Mar 20 Oct 2015 - 14:35, édité 11 fois
