Hikaru Ryu

Hikaru a toujours été plus dominant que ces frères physiquement. Il se démarque beaucoup de ses frères. Il est le plus grand d’un bon 30 centimètre. Il mesure 2 mètres 20 centimètres. Ila aussi été plus imposant et plus gros. Il pèse un bon 180 livres. Si on le compare à ces frères, il serait comme un dragon face à des aigles. C’est peut-être une exagération, mais vous voyez ce que je veux dire par là.
N’allez pas croire que ces 180 livres sont de la graisse. Dans cet imposante masse, seulement 5% est de la graisse, le reste c’est du muscle. Pour un homme adulte, être en bonne santé, pas formidable, mais bonne, il faut avoir entre 7% à 10%. Tout cela est dû à son entraînement rigoureux. Cela ne veut pas dire qu’il est parfait et que c’est un monstre. Malgré sa forte musculature. Il a un point faible. C’est son côté gauche et cela m’amène à la description de ce qu’il porte.

Comme je l’ai mentionné plus tôt, Hikaru laisse souvent son côté gauche ouvert. C’est pour ça qu’il porte une épaulière sur son épaule gauche. Il a aussi un protège avant-bras sur son bras gauche. C’est pour avoir une protection supplémentaire. Il porte une camisole bleu verdâtre qui colle à sa peau.  Pour ce qui en est de son bras droit, il porte une manche collante qui s’arrête au début de son biceps. Il porte des sweatpants collants. Il y a des motifs de vents noirs sur ses pantalons. Hikaru les trouvait super et il les voulait absolument. Pour ce qui en est de ses bottes, elles sont noires avec un bout métallique. Ça peut faire mal, mais Hikaru ne l’utilise presque jamais.

La lance d’Hikaru était rouge, un rouge puissant et vif. C’était une lance qui sert principalement à percer, mais il ne faut pas négliger sa capacité à trancher et détruire. (Si accepté)

Hikaru était le plus mou de ces frères. Il avait pleuré plus que tous les autres frères lorsque leur mère est morte. Quand il développe un lien avec quelqu’un, Hikaru va le protéger et va essayer de le faire «fleurir».  Les séparations sont très dures pour Hikaru. Il a les larmes faciles. Ce ne sont pas seulement ces larmes qui sont faciles, mais tous. S’il est triste, il va l’être plus longtemps que les autres. S’il est content, il rayonnera pour tous, il sera un soleil. C’est ne larmes à double tranchant. Ça peut remonter le morale tout comme ça peut le détériorer. Hikaru sait cela et il veut changer.

S’il y a quelque chose qu’Hikaru ne peut supporter, c’est la mort d’un proche. C’est ce qui le brise le plus. Il a tellement souffert lorsque sa mère est morte, qu’il ne veut plus en perdre un autre. Il est surprotecteur.

Lorsque Hikaru est dans un combat ou quoi que ce soit de la sorte, il ne démontre rien. Il ne se laisse pas emporter. Ce calme et ce sérieux  sont étonnants, on pourrait dire que c’est deux personnalités distinctes. Comme mentionné plus haut, Hikaru ne veut pas perdre quelqu’un, mais, il n’arrêtera jamais un camarade. Si son ami veut se battre, Hikaru ne va pas l’empêcher, à moins que la défaite est sure. Pour ce qui en est de ses ennemis, Hikaru déteste tuer. Il ne veut pas que les autres ressentent ce qu’il a ressenti. C’est pour cela qu’il ne tue aucun ennemi, à moins que ça soit la seule solution. En fait, il a voulu tuer une personne et c’est parce que cette personne a fait du mal à son frère. Sa capacité à réfléchir dans un combat est tout autant étonnante. Il ne faut pas croire qu’il a une roche pour tête. Il pense souvent avant d’agir, analysant presque toutes les combinaisons possibles. Le fait qu’il pense beaucoup est aussi un défaut, car cela l’amène à manquer des chances qui sont parfaites.

Bref, Hikaru est un très bon ami avec qui on peut s’amuser. Dans un combat, il est aussi dangereux dans le corps que dans la tête. Il a tendance à exagérer ses émotions et il adore l’humour.

La guerre… De la destruction, du malheur, des morts, du chaos, du désordre, encore plus de guerres, plus de vengeances, de haines, bref, ceci est ce qu’engendre la guerre. C’est une connaissance universelle, tout le monde connait les conséquences de la guerre… ALORS, POURQUOI, LES HUMAINS NE CESSENT DE CRÉER DES GUERRES? Qu’est-ce qui les attirent dans cet antre de destruction et de chaos. Est-ce que c’Est à cause de la possibilité de paix après la guerre? Est-ce qu’il faut en sacrifier 1 million, pour en sauver 10 millions? C’est ce que pensaient les dirigeants de deux villages habitants dans la même île d’East Blue. Celui qui gagnerait la guerre allait unir les deux villages…


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Des doigts, des pieds, des mains, des jambes, des bras, des ongles, des yeux, des têtes et surtout du sang, c’est ce que l’on pouvait voir dans le champ de bataille. Personne ne le remarquait, car ils étaient tous concentrés à dominer, à vaincre. Personne ne se rendait compte des morts et des blessés. Durant cette guerre cruelle et sanglante, on entendait des cris, des coups de feu et surtout des coups d’épées. Une des guerrières recula du champ de bataille et se cacha dans un port. Elle avait mal. Elle souffrait. Elle sentait du liquide s’échapper d’elle. La douleur devenait de plus en plus forte, elle croissait exponentiellement. Elle était fatiguée, elle pouvait entendre des cris et des pleurs. En entendant ces bruits, un sentiment de pure extase s’empara d’elle. Elle avait honte d’être contente en entendant ces bruits, mais sa joie était trop grande. Un sourire se colla à ses lèvres, un sourire que n’importe quelle guerre ne puisse l’enlever. Ses yeux se fermèrent dans la paix et dans le bonheur. C’était une scène digne des films. Si on aurait fait une peinture de cette scène, elle serait la plus belle. La femme mourra dans la plus grande harmonie possible. Elle venait de donner naissance à des quadruplets. Un miracle non? Donner naissance en pleine guerre, qui l’aurait cru! Non pas un, mais 4, cette guerrière a combattu avec quatre êtres dans son ventre! Un exploit digne des dieux, même eux ne réussiraient pas! D’habitude, on est soit gagnant ou perdant, mais ce jour-là, la femme était gagnante et perdante. La guerre a été perdu, mais le plus important, elle gagna, elle donna naissance à quatre jeunes enfants. La survie de ces derniers auraient été impossible, si ça n’aurait été d’une esclave qui les cacha dans un bateau avec elle-même.

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Après trois ans, l’esclave a été affranchi. Elle partit à la campagne. Les bébés avaient maintenant 3 ans. L’esclave avait besoin d’aide alors les bébés donnèrent un coup de pouce à leur mère. Leur prénoms, leurs prénoms, comment ai-je pu oublier? L’aîné, Hiso, les cadets, Himaru et Hikaru, le benjamin, Hipo.  Leurs noms étaient Ryu. Ryu signifie dragon, car l’esclave a représenté leurs mères par un dragon. Une légende grandiose, une âme forte, elle était intimidante, mais belle par la même occasion.  Les enfants tenaient beaucoup à leur mère (L’esclave). Malgré leurs âges, ils n’arrêtaient pas de travailler. Vous auriez dû les voir, une vraie famille.  Pourtant, ils n’avaient aucune idée du malheur qui allait s’abattre sur eux…

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Quand les enfants avaient 6 ans, l’esclave était touchée par une maladie incurable mortelle. Proche du lit de la malade, les quatre enfants s’étaient regroupées. Une discussion d’une grande tristesse s’ensuivit.
-Mes enfants, approchez  «UHH-HU». J’ai un secret à vous révéler.
-Les quatre enfants en chœurs et en pleurs : Non! Arrêtez de parler comme si vous allez mourir, on a juste vous, on ne peut vous perdre!
-C’est à propos de votre vraie mère. Je ne suis pas votre mère «UHH-HU». Je vous ai élevée en gardant ce secret, c’est mon seul regret «UHH-HU»!
-Pour nous, vous êtes notre mère, on n’a pas besoin d’autres choses. On ne veut que vous. S’il vous plaît. Ne nous quittez pas! Dit le fils aîné, avec un nez qui coule et des yeux en larmes.
-Votre vraie mère était quelqu’un de coura«UHH-HU»geux…
-Arrêtez, pour nous, vous êtes notre mère, on ne veut rien savoir d’elle, c’est vous notre mère et ça ne changera jamais. Reprenait Hikaru, dans une plus grande tristesse que l’aînée.
- Sachez «UHH-HU» que »UHH-HU», je vous «UHH-HU» ai toujours «UHH-HU» considéré comme «UHH-HU» mes……………..fils.

C’est sur ses paroles que la mère mourra. Elle laissa les quatre enfants dans une agonie indescriptible. La seule personne que ses enfants connaissaient venait de mourir. Leur mère venait de mourir. La souffrance de Hikaru et de Hipo était majeure. Ces deux ne pouvaient s’empêcher de pleurer et de souffrir. L’aîné prit une pelle et commença à creuser un trou. Himaru suivit l’aîné et prit l’autre pelle. Les deux plus vieux creusaient pendant que les plus jeunes pleuraient. Trois jours plus tard, Hipo et Hikaru pleuraient toujours. Hiso et Himaru avaient fini de creuser les trous. Les quatre ont enterraient leurs mères dans la tristesse et dans le commencement d’une nouvelle vie pour eux. Ils devaient maintenant vivre sans leur mère.

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Un mois plus tard, la tristesse était partie et on pouvait commencer à voir un sourire sur le visage de Hikaru. Les enfants devaient survivre. Hiso allait travailler en ville. Hipo allait à l’école. Himaru allait travailler la ferme. Hikaru, étant celui avec le plus de prouesse au combat, cherchait un dojo pour protéger ces frères. Un jour, en cherchant, Hikaru s’évanouit de fatigue. Il se réveilla dans un dojo, une école de lance. Immédiatement, Hikaru vu la chance de sa vie.
-Monsieur, s’il vous plaît, aidez-moi. Enseignez-moi votre art. Dit Hikaru en larme.
-Désolé, mais ici, c’est pour les grands, pas pour les faibles comme toi.
-Mais je ne peux pas, je dois protéger mes frères, je ne veux pas perdre une autre personne. S’il vous plaît. Je ne veux plus revivre cette souffrance, je veux aider mes frères, je suis bon à rien, sauf pour me battre disent mes frères.
-Hmmmm, bon seulement à se battre «HO-HO-HO-HO». Quel est ton nom jeune homme?
-Hikaru, monsieur.
Le maître était surpris d’entendre ce nom.
-Tu vois j’avais une ami qui voulait appeler son enfant Hikaru. Malheureusement, elle n’est plus. Elle s’est envolée durant une guerre. Mon instinct me die de t’aider, mais je ne crois pas en toi.
Hikaru était déçu en entendant cela. Il s’apprêtait à quitter le dojo.
-Mais cela ne veut pas dire que je ne vais pas t’enseigner. Dit le maître en riant.
Hikaru était rempli de joie, il se sentait si bien qu’il aurait voulu embrasser le maître, mais il ne voulait pas gâcher cette chance que le maître lui offrait.
-Mais maître, je n’ai pas d’argent pour vous payer.
-C’est une faveur pour une vielle amie. Tache d’y faire honneur.
-HAI!
C’est ainsi qu’Hikaru commença son entraînement.
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Cela faisait un an qu’Hikaru avait commencé à s’entrainer. Il n’avait appris que la base de la lance, sinon il s’était entrainé physiquement pour la plupart de son temps. En revenant chez lui, il ne se doutait pas qu’il allait tomber dans un grand malheur.
-Je suis revenu! Cria Hikaru.
- Enfin! Crièrent les trois autres. Il est 11 heures du soir, tu penses que tu faisais quoi!
-Je m’entraînais. Dit Hikaru dans son plus grand sourire.
-Oublions ça, il faut que t’aille prendre ta douche, Hiso va venir avec toi. Dit Himaru.
-Allons-y! cria d’enthousiasme Hikaru.

Lorsqu’ils atteignirent le lac, les deux se déshabillèrent.
-Tournes toi. Dit Hiso.
-Pourquoi? D’habitude ça ne te dérange pas.
-Et bien aujourd’hui, si.
-D’accord.
C’est ainsi que se tourna Hikaru, mais il ne pouvait s’empêcher de regarde. Il remarquer des cicatrices et des brulures sur le dos d’Hiso. Il comprit qu’Hiso s’est fait battre. Il ne pouvait rester calme. Hikaru partit immédiatement vers le travail d’Hiso, laissant ce dernier dans la confusion. Hiso continua de prendre sa douche.

Hikaru atteignit ¸le lieu et il cria jusqu’à temps que le patron sorte.
-Qu’est-ce que tu veux gamin?
-Je suis là pour te donner une leçon.
-HAHAHAHA. Une vermine comme toi? Tu n’es qu’une mouche. Reviens dans vingt ans, imbécile.

Hikaru fonça immédiatement vers lui. D’un coup de pieds, le patron envoya voler Hikaru. Pourtant Hikaru n’a pas eu mal. Était-ce à cause de l’entraînement du maître? Et c’est ainsi que le combat continua. Hikaru n’avait aucune chance. Il se faisait dominer. Le patron était faché et il sorti son pistolet. «Dire que je vais gaspiller une balle pour une moviette. Quel gachis!» Dans sa haine, Hikaru fonca tête baissé vers le patron? Un coup de feu résonna dans toute la ville...
Du sang coula par terre.
Hikaru gisait par terre inconscient, une main coupé à côté de lui. C’était le maître. Il avait donner un coup sur le cou d’Hikaru pour que ce dernier tombe inconscient et avec sa lance, il avait tranché la main du patron. Il déposa 1 million de Beri et partit avec Hikaru.

Quelques heures plus tard, Hikaru se réveilla.
-À quoi t’as pensé imbécile?
-Il avait battu mon frère, je ne pouvais le laisser partir.
-Tu es faible. Même dans 10 ans tu ne l’aurais pas battu. *Que dis-je, j’exagère, encore 2 ans et c’était fini pour le patron.*c’est fini pour toi, tu as perdu ta place dans ce dojo.
-Mais… La raison pourquoi je vous ai joint, c’est pour protéger mes frères, je ne peux pas partir avec un échec. S’il vous plait maître, donner moi une chance.
-C’est ma décision finale, tu dois partir. Je ne veux plus te voir, j’ai perdu espoir en toi, tu es trop bête pour continuer. Je croyais que ce n’était pas juste tes muscles qui s’étaient développés. Je suis déçu. Tu a sali la réputation de ta mère, celle qui a défendu ton peuple jusqu’à la mort.
-JE N’AI QU’UNE MÈRE, ELLE EST MORTE PAR LA MALADIE. LE SANG NE FAIT PAS D’ELLE MA MÈRE. SI ELLE NE M’A PAS ÉLEVÉ, CE N’EST PAS MÈRE. JE N’AI AUCUN LIEN AVEC ELLE. ET PUIS TANPIS SI SA RÉPUTATION EST SALIE. ELLE AURAIT DÛ PENSER À SES ENFANTS AVANT SON PEUPLE.
Sur ces paroles, Hikaru quitta le dojo en pleurant, laissant le maître dans un état de choc.
«HAHAHA, ce gamin ne cesse de me surprendre. Il est tellement con, comme sa mère.»
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Cela faisait maintenant 4 mois que Hikaru a quitté le dojo. Il travaillé dans une forge le jour et le soir, il s’entraînait à la lance avec un long morceau de bois qu’il avait taillé. Le travail et l’entrainement l’ont aidé à développer une musculature plus grande. Avant de dormir, Hikaru méditait pour 1 heure. Il ne voulait plus perdre contrôle de lui. En travaillant fort à la forge, le forgeron le laissa faire une arme pour lui. Hikaru savait déjà ce qu’il allait faire. Une lance, c’était déjà décidé pour lui. Sa première lance était en fer, elle était très lourde, le maître offrit de le perfectionner afin d’éviter qu’Hikaru se blesse en le tenant. Tout cela était possible grâce à la méditation de Hikaru, il était devenu beaucoup plus mature en quelques mois.

Pour une autre année, Hikaru s’entraîna avec sa lance en fer. C’était beaucoup plus dur à bouger, mais l’entraînement intensif de son ancien maître l’a beaucoup aidé. À chaque jour, c’était plus simple à manier. Il le faisait bouger dans tous les sens. Il essaya de frapper un arbre avec sa lance. L’attaque a littéralement détruit le lieu de l’impact. L’arbre était coupé en deux, la coupure se tenait là où Hikaru a frappé. Hikaru continua à s’entrainer à la lance pour une autre année.

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Hikaru se sentait prêt. Il n’avait pas régler ses affaires avec l’ancien patron d’Hiso. Il partit le voir en laissant sa lance gratter le sol. Le patron sortit dehors dès qu’il le vue.
-Tu es revenu pour mourir gamin?
Hikaru le regarda avec un regard intense, remplie d’haine et de mépris.
-Ça m’excite plus quand tu me regarde comme ça. Je vais avoir plus de plaisir à te battre comme ton frère.
Dès que Hikaru entendit le nom de son frère il fonça. LE patron ne croyait pas qu’Hikaru allait lever cette lance, alors il resta sur place. Hikaru leva la lance, mais en plus il donna un coup dans le gros ventre du patron. Ce dernier tomba par terre. Il saignait de du bouche et il avait une hémorragie interne. Telle était le pouvoir du coup de Hikaru. Le patron se leva immédiatement, sortit son pistolet et tira sur Hikaru deux coups, chacun dans ses mains.
-HAHAHAHA! Tu m’as surpris sale peste, mais maintenant je vais te faire souffrir. Tu ne peux plus lever ta lance et maintenant je vais te rendre incapable de te lever.
Le patron s’apprêtait à tirer sur Hikaru. *Clic* *Clic* *Clic*. Plus d’munitions. C’était la chance parfaite Hikaru. Le patron avait peur des coups de Hikaru. Hikaru se leva et fonça immédiatement vers le patron.
-Tu n’as plus de bras, tu penses que tu vas faire quoi, faible.
Hikaru sauta et lui mordit l’oreille. Avec sa mâchoire, Hikaru arracha l’oreille du patron. Ce dernier n’arrivait plus à se tenir debout. *Pischu* Hikura cracha par terre le sang du patron. Le patron se sentait intimidé, mais Hikaru n’en avait pas fini. Nourrie par sa haine, il leva sa lance et il visait le cœur du patron. Il continua le mouvement de son bras, il allait réellement tuer le patron. Quand tout à coup, l’ancien maître l’arrêta.
-Je t’avais donné deux ans pour battre cette vermine. Si tu n’avais pas réussi, je ne t’aurais jamais repris. Si tu ne serais pas parti pour te battre. Je t’aurais tué moi-même. Cria le maître.
-Et si je le bas? Qu’est-ce que je gagne? Demanda Hikaru.
-C’est simple, tu redeviens mon disciple. Dit le maître en riant.
-Hikaru commença à pleurer, il se sentait si bien.
Hikaru tomba par terre, avec le même sourire que sa mère, mais pour lui, ce n’était pas finit. Il s’en est sorti avec deux grandes blessures, plus de mains pour 2 mois.
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À l’âge de 24 ans, Hikaru voulait partir dans son aventure, il voulait voyager.

-Alors tu t’en vas dit le maître.
-Oui, vous m’avez assez appris, c’est à moi maintenant de faire mon propre chemin et c’est dans la mer que je le trouverais.
-Alors laisse-moi de donner un dernier cadeau.
Le maître sortit une lance rouge. Quand Hikaru le leva, il remarqua sa légèreté, mais aussi sa capacité à percer l’air, elle était très bonne.
-C’était la lance de ta mère biologique.
-Comment vous avez cela? Et comment le savez-vous?
-Tu sais Hikaru, le monde est très petit, plus petit que ce que tu penses.
Hikaru ne comprenait pas ces mots. Sur ça, il partit voir ses frères.
-C’est décidé, je pars en voyage.
-On le savait déjà. Ne t’en fait pas pour nous, on sera très bien sans toi. Hipo a fini ses études, il deviendra médecin, tandis que moi, j’ai ma propre industrie que j’ai créé avec Himaru. Voyages  de tes propres ailes. Dit l’aînée.
-Merci, je ne voulais pas vous poser de problèmes.
-En passant, il y a un cadeau qui t’attend dans le port. Fonce! Dit Himaru
-Non? Ce n’est pas ce que je crois! Dites-moi pas que c’est un bateau.
-N’élèves pas trop tes espoirs. Juste va au port. Continua Hipo.
-Sur cela, prenez soin à vous. Je m’en vais dans une aventure. Hikaru tourna son dos et partit en pleurant.
-Il a toujours été aussi mou, mais c’est ça qui fait de lui qu’il est. Ajouta Hiso.

Hikaru atteignit le port. Il voit un canot avec une lettre. «Bonne chance! De tes trois frères» En pleurant, Hikaru partit. Il atteignit Logue Town.  «Ah que ça fait du bien, maintenant, il me reste juste à trouver un équipage et le fameux trésor One Piece dont tout le monde parle dans cet île.»

UHHHH! Ça fait maintenant deux mois que je ne suis plus avec mes frères et il ne s’est rien passé. Qu’est-ce qui cloche avec moi??? J’ai rencontré quelques pirates et ils ont tous dit que j’étais trop mou. AHHHH! Peut-être que la piraterie n’est pas faite pour moi….. Je vais continuer à marcher, je ne dois pas perdre espoir sinon je ne mérite pas la confiance de mes frères.

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Une autre île, une autre chance! Je suis capable, I CAN DO IT. Je vais commencer par me recueillir de l’information. Alors, où aller? EH! C’est déjà compliquer…

Le moral d’Hikaru atteignait son point le plus bas. Il voulait presque tout abandonner, mais le fait de penser à la réaction de ces frères, Hikaru préfèrerait continuer à voyager. Avec un sourire incertain et un peux faux, il décida de continuer son aventure dans cette île. En ville, tout le monde avait peur de Hikaru, non pas à cause de sa taille et forme musculaire, mais plutôt de son sourire. Tout le monde se disait : Qu’est-ce que ce jeune homme a dû vivre pour avoir un visage aussi tourmenté. Hikaru ne comprenait pas pourquoi tout le monde s’éloignait de lui, que faisait-il de mal?
*Que dis-je, je suis un pirate maintenant, si je veux quelque chose, je le prends.*


Sur ces mots, Hikaru gagna en confiance et il entra dans une taverne.
-Hey Barman! Je veux de l’info, alors balance moi ça.
-Tu a de quoi payer? Répliqua le barman, il avait déjà compris qu’Hikaru n’allait rien faire de mal, il est beaucoup trop gentil pour ça.
-T’arrives pas à deviner? Je suis un pirate, si je le veux, je le prends.
Deux secondes plus tard, Hikaru était par terre, en face de la taverne.
*Pourquoi ils m’ont jeté dehors, j’ai rien fait de mal, suis-je donc pas intimidant???*
-Barman, je pense que nous avons commencé sur le mauvais pied. Je suis désolé pour ce que j’ai dit tout à l’heure.
-AHAHAAHA! Quel jeune homme que tu es, je savais déjà que tu n’allais pas m’Attaquer, je t’ai juste jeté dehors pour mon plaisir. T’as le droit à une question gratuite capich’?
-Qu’est-ce qui a d’interressant dans la ville?
-Les fruits, répondit le barman en riant.
-Injuste! Répondait sérieusement s’il vous plaît.
-Nous avons un notaire que tout le monde déteste, il détient tous l’argent du village.
-Pourquoi n’allez-vous pas chercher votre argent, il doit surement être un gros lard.
-C’est vrai qu’il est gros, mais il possède la lance de Lancelot, il dit que c’est une lance légendaire qui détruit tout. Aussi, il a de bons gardes du corps. Prochaine question, 1000 Beri.
-Woah c’est un peu beaucoup non?
-Un peu, vous me devez 1000 Beri maintenant, une autre question et c’est deux milles.
-Vous m’arnaquez, vous êtes bon je vous le garantis. On fait un marché. Je promets de vous débarrasser de ce notaire, mais en échange, je ne vous doit rien.
-D’accord, mais si vous raté, vous me devez 13000 Beri. 3000 pour les questions et 10000, parce que vous me donnez des faux espoirs.
- Tenez, c’est tout ce que j’ai, si je rate, vous pouvez le prendre au complet. C’était un simple sac de 1000 Beri.
-C’est vous qui m’arnaquer en me donnant mille seulement. Vous saviez que vous n’avez pas beaucoup et vous avez comme même posé des questions.
-Si je rate, je suis votre esclave à vie. Dit Hikaru avec un regard de feu.
-D’accord.

Mais quel courage a cet imbécile. Je suis sûr qu’il va rater.

Sur cette discussion et cette pensée que le chemin d’Hikaru et du barman était tracé.  

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Avec la lance de sa mère dans sa main droite et celle de son maître forgeron dans la main gauche, Hikaru courra vers le manoir du notaire.

-HEY O GROS LARD! Je suis là pour vous battre et redonner l’argent au village.
Rien ne se passa, personne ne répondait.
-HEY O ESPÈCE DE SOURD’ ARRÊTE DE JOUER AVEC MOI!!!!
-Une minute, mais, un homme sortit.
-Nous avons fini avec le dernier participant, venez, suivez-moi.
La barrière derrière Hikaru se ferma.
-J’imagine que je n’ai pas le choix heh?
-Évidemment que non, OHOHOH.
Hikaru entra dans le manoir *WOAAAAAAH IL EST SI GRAND!!!!!* et avec le serviteur, ils descendirent dans le sous-sol. Il y avait une arène. Hikaru regarda au départ le sang de la dernière victime. Ensuite il remarqua la forte présence venant des coulisses en haut. Le notaire était là avec son bras droit.
-Alors bonjour participant. Vous avez l’honneur de vous battre devant mes yeux. Si vous réussissez à battre tous mes gardes, vous gagnez la lance de Lancelot. *HIHIHI, je ne donnerais jamais la vraie lance, tout ce que t’auras, ça serait une réplique à double tranchant*
-Après avoir battu tous vos gardes, je viendrai pour vous.
-HIHIHI, quelle volonté, j’espère que vous réussissez… ou pas. HIHIHIHI
Après ces paroles, Hikaru était rempli de rage.
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Le premier combattant s’avança. Hikaru remarqua qu’il n’avait pas beaucoup de force, probablement un esclave. Hikaru déposa ses lances, il ne voyait pas de danger en lui.
-Allez viens, ne te retient pas. Cria Hikaru.
-Euhh…. Ok, je n’aime pas ça, mais je suis forcé, s’il vous plaît, libérez moi.
Sur ce, l’esclave fonça vers Hikaru avec une droite mal cordonnée. Hikaru l’esquiva facilement et il lui donna un coup de paume afin de ne pas le blesser. Cela était assez pour l’envoyez à l’extérieur.
-Prochain, vieux lard.
Le prochain combattant était un fermier qui avait une dette envers le notaire.
-S’il vous plaît, ne me tuez pas j’ai une famille!
-Fonce vers moi!
La même chose se passa pour le deuxième candidat.
-Pfft quelles bandes d’inutiles. Alors quel est votre nom?
-Hikaru.
-On fait un marché. Je t’offre la lance, mais pour la conserver, tu dois battre mon bras droit. Si tu perds, tu es mon esclave, si tu gagnes, je te laisse partir HIHIHI.
-D’accord.
*Jamais, avant de battre ce notaire sale, je ne partirais pas.*

Le notaire donna la lance à Hikaru. Elle n’avait rien d’étonnant, elle était même très lourde et ça piquait lorsque l’on touchait la manche. Hikaru compris que la lance était un handicap.
-Sur ma vie, je promets de vous battre avec votre lance, rien d’autre ne me rendra heureux.
Sur ces paroles, descendit le bras droit.
-Je suis Lancer.
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-C’est un joli surnom.
-Merci, mais ça sera la dernière fois que vous l’entendriez. Le notaire est très dur sur ces esclaves.
Sur ces paroles, Hikaru garda dans sa main droite la lance de son forgeron, sa main gauche, la lance de Lancelot et sur son dos, la lance de sa mère.
-Bonne chance, dit Lancer.

C’est ainsi que le combat commença. Coups à droite, coups à gauches, un bloquait l’autre attaquait, des étincelles revolaient. De quoi exciter le notaire. Soudainement, Hikaru sentit sa force se dissiper dans sa main gauche. La lance était en effet empoisonnée. *J’ai envie de me débarrasser de la lance, mais je ne peux pas. J’ai promis de le battre avec celle-là*.

Les échanges reprirent, mais la vitesse de Hikaru diminuait. Lancer avait repris le dessus. Le côté gauche de Hikaru avait beaucoup de blessure, tandis que le côté droit, un peu moins. Hikaru se dit que s’il laissait son côté gauche ouvert, Lancer allait le frapper là et qu’il allait laisser une ouverture.

Lancer fonça vers Hikaru. Le côté gauche était beaucoup plus ouvert et Lancer le remarqua. Lancer fit semblant d’essayer de le pénétrer dans le côté gauche. Il laissa  une ouverture et Hikaru fonça immédiatement sur l’occasion. D’un tour de corps rapide, le bout de la Lance frappa Hikaru en plein ventre ce qui le blessa et le secoua un peu beaucoup.  
*AHHH, il est trop fort, je dois le battre en un coup, afin de fermer la gueule de ce notaire.*
Lancer avait compris que Hikaru frappait souvent à droite. Alors il laissa lui aussi une ouverture pour le piéger. Hikaru remarqua et opta pour une stratégie qu’il avait peu pratiquée. Lancer attendait le premier pas, pendant que Hikaru gagnait en confiance….
******************

Hikaru attendait et il attendait. Le pied de Lancer glissa un peu à cause de la tension et sur ceux, Hikaru lança la lance du forgeron dans sa direction. Surpris, Lancer se jeta à gauche pour éviter la lance, mais Hikaru était déjà là. Il remarqua que la lance rouge allait s’enfoncer à quelques dizaines de centimètres. Pour éviter la lance, Lancer sauta, mais cela le rendait vulnérable. La lance de la mère d’Hikaru s’enfonça par terre. Dans la tête de Lancer, les blessures de Hikaru ne le laisseraient pas sauter à ce point-là, mais la lance servait d’appui. Hikaru sauta sur sa la lance et se propulsa vers lui. Soudainement, Lancer se trouvait en danger. Hikaru enfonça la lance sur l’épaule de Lancer. Cette dernière était empoisonnée. Lancer et Hikaru se trouvait par terre et ne pouvait plus bouger. Le notaire arrêta soudainement de rire et descendu dans l’arène.
-Tu me fais honte Lancer, dire que tu as perdu face à un insecte.
Le notaire sortit son pistolet.
-Je vais faire en sorte que tu ne puisses plus jamais humilier.

Hikaru sentait que cette scène s’était déjà produite. Il se rappela quand son maître lui sauva la vie. Hikaru ne pouvait laisser Lancer mourir, il était devenu un bon ami durant le combat et Hikaru avait énormément de respect pour Lancer.

Le notaire s’apprêtait à faire feu et Hikaru le savait. Sa concentration et sa force physique atteignirent des sommets. Il se leva et d’un coup, il trancha la main du notaire, il ne voulait pas le tuer, il préférerait laisser les villageois s’en occupé. Le notaire, qui regardait son sang pour la première fois, tomba dans les pommes.
******************
Deux jours plus tard, Hikaru se réveilla. Il avait récupéré du poison et de la fatigue causé par sa dernière poussée de force. Le barman était proche de Hikaru.
-Bravo, tu as réussi.
-C’était dure, vous allez devoir m’offrir quelque chose.
-J’y comptait déjà, mais quelqu’un veut te voir avant.
-Qu’il entre enfin, pourquoi toute ces modalités.
Lancer entra dans la pièce.
-Yo Lancer, les villageois ne t’ont pas tué, c’est surprenant.
-J’étais l’ancien maire de ce village, mais le notaire avait pris ma famille en otage et j’étais obligé de l’obéir, sinon ma famille mourrait. Est-ce que tu te rends compte à quel point on souffre quand on est forcé de tuer son frère. Dit Lancer en pleurant.
-Eh…..
-Je ne peux plus porter le nom de Lancer, j’en ai fait honte. Je te demande, que tu prennes ce nom et que tu le fasses populaire. Un jour, quand ce nom sera populaire, quelqu’un viendra surement te rencontrer. Il t’aidera énormément.
-Euhh, d’accord, mais est-ce que je peux garder mes anciens noms?
-Est-ce réellement une question? Es-tu stupide? Bien sûr que oui.
-Phiouf, je croyais que je devais y renoncer.
-Eh bien, je dois partir maintenant, prends soin de toi et bonne chance.
Le barman entra et commença à parler du combat avec Hikaru.
….
-Alors qu’est-ce que tu veux comme récompense?
-J’aimerais de la nourriture et un bateau pour voyager hehe. Le mien est beaucoup trop fragile.
-Le premier, on te l’offre, mais le deuxième, on a encore mieux. Nous t’offrons d’aller avec la marine puisque tu es un pirate.
-Je ne peux pas, je vais me faire arrêter.
Le barman donna à Hikaru de la bouffe et le laissa partir. Hikaru partit la nuit dans sa petite embarcation et quitta l’île avant que les marines viennent.
******************

Si on m’offrait de tuer mon frère ou je meurs. Je ne sais pas comment je réagirais. Je ne peux choisir. Je respecte beaucoup Lancer pour être resté en vie….

 
Salut Hikaru.
Premier avis ^^

Point forme :

plus dominant que ces frères -> ses
cet imposante -> cette
C’est ne larmes à double tranchant -> c'est une lame
à moins que la défaite est sure -> soit sure
la mère mourra -> (Verbe du troisième groupe) mourut
Hikaru courra -> courut
il ne pouvait s’empêcher de regarde -> regarder
Il remarquer -> remarqua
Il avait donner -> donné
Il n’avait pas régler -> réglé
C’est déjà compliquer -> compliqué
C’est vous qui m’arnaquer -> m'arnaquez

Des fautes de toutes sortes, il y en a beaucoup, la liste ci-dessus n'est pas complète. Même si tu as de bonne idées, j'avoue que les fautes à répétition lassent très vite et rendent la lecture particulièrement lourde. Je ne peux que te conseiller de te relire -plusieurs fois- parce qu'une relecture en aurait évacué la plupart. Je te suggère aussi d'utiliser des correcteurs comme Word tout simplement ou d'autres plus poussés facilement trouvables sur internet.
Dans cette pres', pour moi, le gros point noir revient à la forme.

J'ai aussi observé  une récurrence du "ces" démonstratif au détriment du "ses" possessif. Tu as aussi tendance à intervertir l'infinitif et le passé simple.
Il y a aussi une tendance très prononcée à la répétition de certains mots ou noms, parfois dans la même phrase ou plus généralement, dans deux phrases se suivant directement.

Hikaru était le plus mou de ces frères. Il avait pleuré plus que tous les autres frères lorsque leur mère est morte.

Hikaru va le protéger et va essayer de le faire «fleurir». Les séparations sont très dures pour Hikaru.

- Hikaru était (a toujours été ?) le plus mou de ses frères, il avait pleuré plus qu'eux ...  
- Hikaru va le protéger, [...] parce que les séparations sont très dures pour lui.

Quand les enfants avaient 6 ans, l’esclave était touchée par une maladie incurable mortelle. Proche du lit de la malade, les quatre enfants s’étaient regroupées. Une discussion d’une grande tristesse s’ensuivit.

Ici, comme sur tout le reste de la pres', tu te trompes un peu dans la dynamique de narration.
Quand on narre au passé, l'imparfait est utilisé pour les descriptions du décor, pour faire état d'une action ou d'une situation prolongée dans la durée pendant que l'évènement principal se déroule. Et c'est cet évènement principal qui est décrit au passé simple.

Dans cet exemple, le seul élément extérieur, qu'on puisse considérer comme s'étalant dans la durée pendant que la trame principale se déroule c'est le fait qu'ils avaient six ans. Donc :
"Quand les enfant avaient 6 ans, l'esclave fut touchée par une maladie [...]. Proche du lit de la malade, les quatre enfants se regroupèrent et une discussion d'une grande tristesse s'ensuivit."
Notons que mettre le tout au passé simple marcherait aussi et là on considérerait que la trame principale a débuté au moment où les enfants ont eu six ans.

Pour continuer sur la forme, malgré que ton style reste assez léger (trop léger même parce qu'il n'y a quasiment pas de descriptions), il est alourdi par la forme très compacte des écrits, en gros bloc, sans distinction notable de paragraphe, sans séparation entre la narration et les dialogues. Je te conseille vivement d'aérer tes textes pour donner envie à un lectorat de lire ce que tu proposes parce, n'y allons pas par quatre chemins, c'est très indigeste ^^
Dans le même style, je ne sais pas trop à quoi servent les "******************" que tu nous ponds à chaque fois. Visuellement, c'est moche et concrètement, ça ne sert à rien. De mon point de vue. Au moins centre-les, ce sera toujours ça. Sinon, deux tapes sur la touche Entrée suffisent à séparer deux paragraphes majeurs ^^

Pour en revenir sur ce manque flagrant de descriptions, j'ai trouvé que cela appauvrissait beaucoup ton histoire. Et ça s'est surtout senti durant le test RP. L'environnement dans lequel évoluait Hikaru était neutre, l'île, on n'en savait rien, le manoir du notable, idem. Dire que "*WOAAAAAAH IL EST SI GRAND!!!!!* ", c'est pas une description, ça ne nous donne pas une idée de ce qui entoure ton personnage. J'ai, et j'espère que je ne suis pas le seul, besoin d'imaginer le héros entrain de se déplacer d'accomplir les gestes que tu nous narres.

La description physique ne nous donne pas tout et il y a beaucoup de superflus.

N’allez pas croire que ces 180 livres sont de la graisse. Dans cet imposante masse, seulement 5% est de la graisse, le reste c’est du muscle.

Ouais bon... Je ne sais pas quoi faire de cette information et autant que j'ai pu en juger, ça n'a absolument eu aucune incidence sur la suite des évènements xD

La description psychologique, bien que répétitive à certains endroits, est plus complète que la physique. On y découvre un personnage assez attachant, très affectif et protecteur.

Passons sur le fond.

Concernant la bio, le début m'a rendu très dubitatif. Lire qu'une femme enceinte accouche de quadruplets en plein champ de bataille alors qu'elle combattait arme à la main deux secondes avant, ça la fout mal xD Enfin, je veux dire que c'est assez surréaliste et improbable.
Comme ce manga tout entier et le fait que Portgas D Rouge soit restée enceinte pendant 20 mois, dis-tu ? Ouais, t'as raison, passons xD
Alors, ils ont été recueillis par une esclave qui a été elle-même affranchie au bout de 3 ans ? Affranchie par qui et pendant qu'elle était encore esclave, qui est-ce qui prenait soin des quadruplets ?

Il y a aussi un côté très shonen dans l'histoire (ce n'est pas un reproche) puisque la plus part du temps, tout semble arriver par hasard et à pic. En cherchant un dojo, Hikaru s'évanouit de fatigue et se réveille justement dans un dojo ! Cool xD

L'histoire, bien que longue, est finalement très légère et pas si lourde en matière. Quatre frères étant contraints de se débrouiller très tôt dans la vie.
Nonobstant le fait qu'ils aient perdu leur mère adoptive très tôt, je n'ai rien vu dans la bio qui puisse justifier la décision d'Hikaru de devenir pirate, surtout qu'attachant comme il est, ce "métier" ne lui convient pas du tout. Partir à l'aventure ne veut pas forcément dire devenir pirate, tu peux être un civil et le faire aussi. Et le test RP le confirme assez, tu n'es pas encore capable de t'imposer comme un vrai pirate, alors, je te suggère aussi d'y réfléchir.
Tu peux demander une couleur de civil dans un premier temps pour ensuite décider de ce que tu feras.
En parlant de ce point, on ignore totalement la vision du monde d'Hikaru parce que le récit s'est concentré sur la bulle dans laquelle il a vécu avec ses frères. On ne sait pas ce qu'il pense des factions, de la même manière qu'on ne sait pas pourquoi il veut réellement devenir pirate et trouver le One Piece alors que le mot n'est mentionné qu'en toute fin de bio. D'ailleurs, cette fin m'a bien fait marrer, je la cite :

En pleurant, Hikaru partit. Il atteignit Logue Town. Ensuite il passa par le RedLine et il entra dans la Grand Line. «Ah que ça fait du bien, maintenant, il me reste juste à trouver un équipage et le fameux trésor One Piece dont tout le monde parle dans LogueTown.

Naaaan, reste dans le coin, tu vas trop vite
Commence sur les Blues d'abord, tu ne peux pas aller seul voguer sur GL, tu es trop faible xD

Pour rapidement revenir sur le Test RP, j'ai été content de ce que tu as proposé comme histoire. J'ai hésité à mentionner dans le test que le notable était soit bon ou mauvais. J'avais en fait pensé à dire qu'il était bon, ce qui t'aurais forcé soit à le voler, soit à imaginer une situation ou tu recevrais la lance en récompense. C'est d'ailleurs pour ça que j'ai mis : "Qui plus est, tu es un pirate maintenant et pour s'emparer d'un objet de convoitise, un pirate n'a pas de permission..."
Donc, vu que tu n'as pas été capable de le voler comme un vrai forban, je te conseille encore une fois de passer d'abord par la case Civil, comme ça tu auras tout le temps de réfléchir à ton avenir.
Le One Piece ne va sûrement pas s'enfuir, vu que c'est moi qui l'ai


Ouf... Donc, voilà, il y avait beaucoup à dire comme tu le vois, surtout sur la forme. Le personnage est super shonen avec tout ce que ça comporte de chance sortie de nulle part et de situations gags. Il ne sort pas tellement de l'ordinaire mais je pense qu'il a un bon potentiel, si le narrateur allie une bonne description dans la durée et une forme exempte de fautes (plus ou moins, nul n'est parfait) à son style.

500 D pour commencer.
Tchuss et plais-toi bien par ici x)

Heya \o\