Dehors, la lumière du petit matin se répandait lentement, il était tôt, le village se réveillait petit à petit et déjà les marins et autres professions qui nécessité un réveil au aurore s’afféraient. L’île était paisible, la rosée fraiche et les enfants dormaient encore bien au chaud. Pourtant, dans ce tableau fort sympathique, une petite fille aux cheveux blancs, les yeux d’un bleu profond, se réveillait durement de ces quelques heures de sommeils. Le mur sur lequel elle était appuyée était humide, les chaines qui lui emprisonnées bras et jambes lui meurtrissaient la peau. Ici pas de lumière. Elle se trouvait dans un sous-sol dont le seul éclairage était, pour le moment, de petits boutons colorés répartit par ci par là sur des machines. De nombreuses cellules se succédaient et de sa position la fillette ne pouvait même pas en voir le bout. Son compagnon de cellule était mort la veille, un jeune homme qui n’avait pas tenu une semaine. La petite se redressa, le bruit des chaines sur le sol de pierre retentit dans un écho, à cette heures si, même cette prison était silencieuse.
La jeune prisonnière se trouvait à quelques kilomètres des côtes, un laboratoire. Officiellement ces murs appartenait à la marine, tous les niveaux supérieurs était, en effet, des bureaux, des salles d’expérience et autre pièce totalement en règles, le tout sur deux étages. L’imposant bâtiment était retiré, derrière le village mais visible depuis la mer et une grande route dégagée permettait d’y accédait. Seulement, la propriétaire des lieus n’était pas femme à obéir gentiment aux ordres ou à quelconque règles mais ces talents de manipulation et de comédie lui permettaient bien des choses. Aussi ce laboratoire de recherche, en charge de la surveillance de l’île, renfermer en ces sous terrains une partie bien sombre. Dans un labyrinthe de couloirs de nombreuses salles se succédaient. Des salles d’opération, des salles d’expériences qui contenaient de nombreux produits, pour certains illégaux, du matériel de professionnel. Des détenus étaient pour la plupart entassés dans des cellules, des pirates, des révolutionnaires, des voleurs, des menteurs… Tous se retrouvaient ici, des déchets aux yeux de la marine, des êtres dont on ne remarquer pas l’absence, dont on ne pleurait pas la mort. C’était de ça que se servait Mandore, la chef des lieus. Elle enlever discrètement, ces hommes et femmes dont la société ne voulait plus et en faisait des cobayes humains. Cette femme avait pas mal d’influence, aussi n’était-elle jamais en manque de poupées et l’on pouvait voir chaque matin des soldats repartirent des cellules avec les morts de la nuit.
C’est ici que vivait depuis 2 ans déjà la jeune Luka. Petite bouille de 1 mètre 13 précisément et presque autant en longueur de cheveux. Le record de survie incontestée dans cet endroit ou l’espérance de vie était d’à peine un mois. La plus jeune détenue mais aussi la plus dangereuse. Une enfant sans enfance, du haut de ces sept ans on avait déjà l’impression qu’elle raisonnée et réfléchissait beaucoup trop, elle avait accumulée beaucoup de savoir grâce à ces compagnons de cellules divers qui partageaient souvent leur souvenirs et histoire de ce qu’elle appeler le monde extérieur. Elle avait déjà à son actif plus d’une centaines de gardes et scientifiques morts, tués par ces soins durant ces 136 tentatives de fuite. Malgré un corps dans la norme, la fillette semblait dotée d’une force supérieure aux autres enfants et son intelligence était plus que redoutable en combat. C’était comme si elle avait toujours était entrainée pour ça, pourtant la petite n’avait aucun souvenirs de son enfance, elle ne se souvenait que de son arrivait ici. Elle savait qu’on lui cachait quelque chose sur son passé, qu’on lui mentait, elle voulait découvrir quoi, mais Luka voulait avant tout sortir d’ici.
Elle voulait sortir de cet enfer, fuir la souffrance et les cris. Son corps était déjà parsemé de petits liserés blancs, de petite cicatrices qui ressortaient que légèrement sur sa peau de porcelaine. Des marques qui montrait le traitement subis ici, des expériences dont même l’une des premières concernées ne comprenait pas l’intérêt. Des injections de produits, des hommes en blouse qui prélevaient des échantillons, qui notaient sur leurs blocs de feuilles…sans parler de Yu. Cet homme était le bras droit de Mandore et un enfoiré de première. Il s’était pris « d’affection » pour la petite Luka et était le genre d’homme aux plaisirs pervers. Il aimait entendre les cris et hurlement de douleur, voir le sang coulait, la personne se débattre. Un malade, mais un malade doué. Aussi prenait il plaisir à torturé la petite, physiquement et mentalement, sans jamais la tué, ordre de la patronne. Il avait bien atteint la limite une ou deux fois, mais il se faisait sévèrement corrigé à chaque fois. Luka le détestait, mais elle détestait tous les gens de cette structure, en particulier lui et sa chef. Elle n’aimait pas les produit qu’on lui injecter, ils la faisaient souffrir, elle vomissait, elle s’évanouissait parfois certains la guérissait mais ils étaient peu. Elle avait entendu, les mots de poison, arme biologique, mais aussi l’idée de transformation. La petite ne comprenait pas tous leurs intérêt aussi ne voyait elle là que de la violence gratuite.
Seule dans sa cellule, la petite Luka commençait déjà de bonne heure, alors que les prisonniers prenaient leurs temps de sommeil avant une nouvelle journée de cauchemar, à réfléchir. Elle avait en tête une grande partie des sous terrains, aussi commençait-elle à monter mentalement sa 137éme tentatives de fuite. Pourquoi être autant insistante ? Elle vous répondrait qu’elle était déjà passée près du but plusieurs fois, qu’elle avait même réussis à atteindre l’extérieure une ou deux fois, qu’elle voulait partir d’ici. Mais la vérité c’est que c’est une façon de ne pas sombrer dans la folie. Avoir un but, se dire que l’on peut réussir, avoir un peu d’espoir. Dans cet endroit si tu abandonnes, ton esprit est brisé. C’est pour cela que même sans comprendre entièrement la dureté de cette vie, la fillette n’abandonnait pas et prenait chaque occasion d’essayer.
La jeune prisonnière se trouvait à quelques kilomètres des côtes, un laboratoire. Officiellement ces murs appartenait à la marine, tous les niveaux supérieurs était, en effet, des bureaux, des salles d’expérience et autre pièce totalement en règles, le tout sur deux étages. L’imposant bâtiment était retiré, derrière le village mais visible depuis la mer et une grande route dégagée permettait d’y accédait. Seulement, la propriétaire des lieus n’était pas femme à obéir gentiment aux ordres ou à quelconque règles mais ces talents de manipulation et de comédie lui permettaient bien des choses. Aussi ce laboratoire de recherche, en charge de la surveillance de l’île, renfermer en ces sous terrains une partie bien sombre. Dans un labyrinthe de couloirs de nombreuses salles se succédaient. Des salles d’opération, des salles d’expériences qui contenaient de nombreux produits, pour certains illégaux, du matériel de professionnel. Des détenus étaient pour la plupart entassés dans des cellules, des pirates, des révolutionnaires, des voleurs, des menteurs… Tous se retrouvaient ici, des déchets aux yeux de la marine, des êtres dont on ne remarquer pas l’absence, dont on ne pleurait pas la mort. C’était de ça que se servait Mandore, la chef des lieus. Elle enlever discrètement, ces hommes et femmes dont la société ne voulait plus et en faisait des cobayes humains. Cette femme avait pas mal d’influence, aussi n’était-elle jamais en manque de poupées et l’on pouvait voir chaque matin des soldats repartirent des cellules avec les morts de la nuit.
C’est ici que vivait depuis 2 ans déjà la jeune Luka. Petite bouille de 1 mètre 13 précisément et presque autant en longueur de cheveux. Le record de survie incontestée dans cet endroit ou l’espérance de vie était d’à peine un mois. La plus jeune détenue mais aussi la plus dangereuse. Une enfant sans enfance, du haut de ces sept ans on avait déjà l’impression qu’elle raisonnée et réfléchissait beaucoup trop, elle avait accumulée beaucoup de savoir grâce à ces compagnons de cellules divers qui partageaient souvent leur souvenirs et histoire de ce qu’elle appeler le monde extérieur. Elle avait déjà à son actif plus d’une centaines de gardes et scientifiques morts, tués par ces soins durant ces 136 tentatives de fuite. Malgré un corps dans la norme, la fillette semblait dotée d’une force supérieure aux autres enfants et son intelligence était plus que redoutable en combat. C’était comme si elle avait toujours était entrainée pour ça, pourtant la petite n’avait aucun souvenirs de son enfance, elle ne se souvenait que de son arrivait ici. Elle savait qu’on lui cachait quelque chose sur son passé, qu’on lui mentait, elle voulait découvrir quoi, mais Luka voulait avant tout sortir d’ici.
Elle voulait sortir de cet enfer, fuir la souffrance et les cris. Son corps était déjà parsemé de petits liserés blancs, de petite cicatrices qui ressortaient que légèrement sur sa peau de porcelaine. Des marques qui montrait le traitement subis ici, des expériences dont même l’une des premières concernées ne comprenait pas l’intérêt. Des injections de produits, des hommes en blouse qui prélevaient des échantillons, qui notaient sur leurs blocs de feuilles…sans parler de Yu. Cet homme était le bras droit de Mandore et un enfoiré de première. Il s’était pris « d’affection » pour la petite Luka et était le genre d’homme aux plaisirs pervers. Il aimait entendre les cris et hurlement de douleur, voir le sang coulait, la personne se débattre. Un malade, mais un malade doué. Aussi prenait il plaisir à torturé la petite, physiquement et mentalement, sans jamais la tué, ordre de la patronne. Il avait bien atteint la limite une ou deux fois, mais il se faisait sévèrement corrigé à chaque fois. Luka le détestait, mais elle détestait tous les gens de cette structure, en particulier lui et sa chef. Elle n’aimait pas les produit qu’on lui injecter, ils la faisaient souffrir, elle vomissait, elle s’évanouissait parfois certains la guérissait mais ils étaient peu. Elle avait entendu, les mots de poison, arme biologique, mais aussi l’idée de transformation. La petite ne comprenait pas tous leurs intérêt aussi ne voyait elle là que de la violence gratuite.
Seule dans sa cellule, la petite Luka commençait déjà de bonne heure, alors que les prisonniers prenaient leurs temps de sommeil avant une nouvelle journée de cauchemar, à réfléchir. Elle avait en tête une grande partie des sous terrains, aussi commençait-elle à monter mentalement sa 137éme tentatives de fuite. Pourquoi être autant insistante ? Elle vous répondrait qu’elle était déjà passée près du but plusieurs fois, qu’elle avait même réussis à atteindre l’extérieure une ou deux fois, qu’elle voulait partir d’ici. Mais la vérité c’est que c’est une façon de ne pas sombrer dans la folie. Avoir un but, se dire que l’on peut réussir, avoir un peu d’espoir. Dans cet endroit si tu abandonnes, ton esprit est brisé. C’est pour cela que même sans comprendre entièrement la dureté de cette vie, la fillette n’abandonnait pas et prenait chaque occasion d’essayer.