Kewoi Tapri
• Pseudonyme : /
• Age : 18 ans
• Sexe : Femme
• Race : Humain
• Métier : Chasseuse
• Groupe : Marine
• Age : 18 ans
• Sexe : Femme
• Race : Humain
• Métier : Chasseuse
• Groupe : Marine
• But : Chasser toutes les créatures du monde au moins une fois et les ramener en trophée. / Protéger Endaur / Retrouver la femme en armure et l'abattre, récupérer "Menteuse"
• Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Capacité spéciale : Wild Hunt : Cette capacité permet à son détenteur de reconnaître les créatures vivant autour de lui, permettant une chasse plus simple. Ce n'est qu'une pale copie du Haki de précision et sur ce fait, la capacité peut parfois se tromper. On ne copie pas le Haki.
• Équipement : Deux arbalètes, une épée et une dague. (The MasterSword)
• Parrain : Moi-même. C'est pas pour rien qu'on me demande Tapri Kewoi.
• Ce compte est-il un DC ? Non, un revenant.
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? ...
• Codes du règlement :
• Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Capacité spéciale : Wild Hunt : Cette capacité permet à son détenteur de reconnaître les créatures vivant autour de lui, permettant une chasse plus simple. Ce n'est qu'une pale copie du Haki de précision et sur ce fait, la capacité peut parfois se tromper. On ne copie pas le Haki.
• Équipement : Deux arbalètes, une épée et une dague. (The MasterSword)
• Parrain : Moi-même. C'est pas pour rien qu'on me demande Tapri Kewoi.
• Ce compte est-il un DC ? Non, un revenant.
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? ...
• Codes du règlement :
Description Physique
Et bien, je suppose que l’on peut commencer par mes cheveux, je pense hein. Je ne suis pas si sûre que ça, franchement, c’est pas comme si j’avais l’habitude de faire ça. J’ai des cheveux blonds couleur blé, on me les envie, je le sais, surtout quand on me demande ce que j’ai pris pour les rendre aussi doux au toucher, ou encore comment je fais pour les faire briller au soleil. Franchement, on me demande souvent ce que je prends, pour tout en général, je suis quelqu’un de génial. On me demande souvent aussi si mes yeux sont naturels ou si je porte des lentilles de contact et bien, j’ai honte de vous décevoir mais elles sont bien vraies mes pupilles bleues, et toc ! J’ai un visage plutôt commun à part ça. Au niveau de mon corps, on peut dire que je suis petite, je ne fais pas moins d’un mètre soixante pour cinquante-cinq kilos quand je suis en forme. Quand je fais plus, on me demande ce que j’ai pris encore et ça me rend malade, j’ai trop pris de poids, c’est pas bien. Une autre chose à propos de mon corps c’est que j’ai des cicatrices un peu partout, des égratignures. C’est pour cela que je porte mon chaperon vert et des vêtements qui recouvrent ma peau, je n’ai pas honte de les montrer mais ça fait un peu bourrin et mon père m’a toujours dit que j’étais une beauté naturelle. Heureusement, je n’en ai pas sur le visage sinon je ne sais pas ce que j’aurai fait, le maquillage et moi, on est pas potes c’est ce que je peux vous dire.
Au niveau de mes tics, et bien, j’ai un peu trop l’habitude de repartir sur la chasse, je l’avoue, c’est ma passion alors que voulez-vous ? Je passe la plupart de mon temps à y penser, je vis, je dors, je meurs pour la chasse, je fais tout pour la chasse. La chasse et moi on ne fait qu’un et ce sera pour toujours mon hobby. Un autre de mes tics est que je ne comprends pas les blagues que l’on fait avec mon nom, souvent je le prends comme des compliments ou comme des insultes, même des menaces, enfin ça dépend. Au départ, c’est mon père qui a commencé les blagues, bien sûr c’est lui qui a choisi le nom, sûrement pour me punir de la mort de ma mère en couche. En même temps, il était malin le mec, au lieu d’aller chercher un médecin, il est retourné à la taverne et a laissé ma mère accoucher seule. C’est pas de ma faute-moi si elle est morte, surtout que j’aurai préféré qu’elle soit là.
Alors ma façon de marcher n’est pas si atypique que ça, je marche comme une beauté des bois, enfin c’est ce qu’on m’a dit. J’avance comme une lady qui s’est faite écrasée par un cerf, c’est qu’on m’a dit aussi, quels beaux compliments. En gros, j’essaye de marcher comme une femme élégante mais ça ne fonctionne qu’à moitié, l’autre moitié me fait marcher comme une bucheronne alors quoi, qu’est-ce que vous voulez que je fasse, c’est pas comme si je l’avais décidé, ma façon de marcher est un peu ridicule mais dès que j’arrête d’y penser, je marche plus normalement. Oh et puis quand je cours, vous devriez voir ça, j’arrête pas de m’emmêler les pieds tellement ma façon de courir est ridicule, encore une fois seulement quand je fais attention à ça, sinon, en pleine mission je ne le fais pas.
Ma façon de parler ? Je suppose que j’ai un peu trop l’habitude de parler de chasse dans des phrases qui n’ont absolument rien à voir avec ça et j’essaye de passer ça pour une phrase mignonne, kawai desu ne ? Sinon, je ne sais pas si j’ai une façon de parler particulière, je sais que j’ai l’habitude de parler d’une voix douce mais en même temps c’est comme si la chasse m’avait rendue sourde, je parle très fort, j’ai donc souvent la voix cassée et ça je ne le fais pas exprès au contrario de ma façon de marcher et de courir. Enfin, exprès, j’essaie de courir comme une lady, quel mal y a-t-il à cela ?
Description Psychologique
Alors, mes traits de caractère les plus forts ? Et bien, je suppose que j’ai la méchante habitude d’être un peu naïve et un peu bêbête quand je ne suis pas concentrée et que je ne fais pas attention, donc dans mon état naturel. Ce n’est pas de ma faute si la seule chose pour quoi je suis bonne c’est la chasse, c’est bien aussi ça la chasse. Avouez quand même que vous êtes comme moi et que chaque seconde qui passe vous ne pensez qu’à ça, arrêtez de mentir, il y a rien de plus normal que de faire ça, vous pouvez me le dire vous savez ? Je ne vous jugerai pas, la chasse c’est ce qu’il y a de mieux pour la longévité ! Regardez-moi, j’ai dix-huit ans et j’ai l’air d’en avoir quinze ! Franchement, si c’était pas pour ma poitrine on me prendrait pour une gamine, fin’, on m’en prend déjà pour une de toute manière, je suppose que ça ne changera pas. Les gens sont toujours en train de m’appeler gamine, c’est chiant à la fin, je suis une adulte bon sang. Je déteste donc être prise pour une enfant et je ferai tout pour faire mes preuves même à un ennemi quand ce n’est absolument pas nécessaire. Il ne faut pas appuyer sur mes boutons sinon je sors l’artillerie lourde. En effet, quand je suis énervée, j’ai le vocabulaire d’un charcutier et mes attaques sont plus violentes. Non, je ne dis pas que mes attaques sont faibles mais je fais attention à ne pas faire des bétises, ou à ne pas utiliser toute ma force d’un coup alors que quand je suis énervée je m’en fiche complètement.
Sinon, j’avoue être gentille, avec tout le monde, même avec mes ennemis, je les taquine un peu, mais quand j’ai une mission, j’y vais jusqu’au bout. Je n’aurai pas la gentillesse de laisser quelqu’un s’enfuir alors que ma mission est de l’emmener avec moi et de le ramener. Non j’aurai la gentillesse de ne pas trop lui casser d’os, si vous voyez ce que je veux dire. Moi j’ai ce genre de gentillesse, celle d’une lady. Plutôt d’une mère ours, c’est toujours élégant remarquez. Je ne suis mais alors PAS du tout agressive ou méchante dans mes paroles, MAIS ALORS, PAS DU TOUT. Je vous assure ! (C’est faux bien sûr, ce n’est que de l’ironie et elle est convaincue d’être gentille en toute situation. En vérité, elle est égoïste et parfois méchante dans ses paroles mais elle peut être gentille et quelqu’un de génial mais elle ne fait pas de pitié par contre.) Par contre, je ne suis pas vulgaire, je n’utilise jamais de gros mots, j’ai reçu assez de coups pour me rappeler de ne pas dire « putain » à chaque fin de phrase comme mon père le fait, je suis une lady des près.
Je suis assez fair play en combat, je n’aime pas les coups bas, la chasse doit être effectuée avec grâce et honnêteté c’est ce qu’on m’a enseigné toute ma vie. Quoi ? Mon dogme a l’air bizarre ? Parce qu’il l’est, mais par honnêteté, je ne dis pas que je dois aller raconter mes secrets à tout le monde, non, je dois être honnête avec la bête que je traque, je ne dois pas jouer avec ma proie, si je veux l’abattre, je l’abas tout simplement, je ne fais pas dans l’extravagant. Parfois, il est vrai que je m’occupe avec des pièges, c’est toujours sympa pour arriver à ses fins mais je préfère tout de même combattre les yeux dans les yeux, face à face, même si de temps en temps, je débute le combat d’une façon peu respectueuse en utilisant la discrétion. Je déteste les gens qui ne jurent que par la discrétion, prenant exemple sur Leeroy, lui franchement, il a pas fait dans les détails, il a foncé et c’est tout, mais j’admets devoir me plier à l’utiliser quand j’en ai besoin et être invisible s’avère utile quand on chasse, vous savez !
Biographie
Je suis née sur l’île d’Endaur, il y a dix-huit ans de cela, dans une petite cabane recluse dans la forêt dense. C’était un jour d’hiver, mon père ne s’est jamais occupé de moi et donc ne m’a jamais dit quel jour exactement mais j’ai fini par le deviner, après tout, mon jour de naissance coïncidait avec celui de la mort de ma mère. Comme je l’ai écrit plus haut, ma mère est morte en couche, mon père savait bien qu’elle donnait naissance et il est juste retourné à la taverne du village nord. Nous n’étions pas très acceptés à l’époque, enfin, pas autant qu’aujourd’hui, mais mon père s’était fait une place parmi les bûcherons sans aucun problème. Par contre, il n’a jamais voulu m’introduire à ses très cher amis qui étaient plus importants pour lui que sa propre femme donnant naissance. Heureusement, la petite sœur de ma mère, qui n’était qu’une adolescente à l’époque était là, elle n’avait pas pu aider ma mère mais elle avait pu me sauver alors que je m’étranglais avec mon cordon ombilical. Rebekah Kewoi, c’est le nom de ma tante, n’a pas pu se donner la liberté de choisir mon nom, elle a d’abord essayé de ranimer sa sœur et elle a ensuite couru au village pour prévenir mon père que quelque chose n’allait pas et qu’il fallait qu’il revienne immédiatement pour qu’il l’aide. Mais malheureusement, il était bien trop tard, ma mère était partie depuis longtemps, tout ce qui les attendait c’était mes pleurs et mes cris. Pour se moquer de moi et me mettre une malédiction sur le dos, mon père m’a donné mon prénom. Tapri.
Durant mon enfance, mon père ne m’a pas regardé, il s’est concentré sur la chasse pour combler son vide, celui que j’avais créer en venant au monde. Au final, avec l’aide de ma tante, ils ont réussi à vivre de la chasse sur l’île et à fournir les villages aux quatre vents en viande en tout genre, mon géniteur était particulièrement cruel avec ses proies au départ, il vidait sa colère sur eux, mais malheureusement, ils n’étaient pas moi alors il a fini par se lasser. Il avait déjà essayé de m’étranger mais mes grands yeux bleus, ceux de ma mère aussi, l’ont arrêté, il ne peut pas tuer quelque chose de si magnifique, quelque chose qui se rapproche tellement de sa perte, de sa femme. J’étais leur enfant, je le suis toujours et je peux le dire fièrement. Malgré tout, mon père ne s’est pas occupé de moi et il a préféré la chasse, aujourd’hui je le comprends mais à l’époque, je me disais juste qu’il ne m’aimait pas et je cherchais du réconfort auprès de ma tante. Et j’en avais bien sûr, elle cédait à tous mes caprices enfantins, elle se sentait sûrement coupable de m’avoir privée d’une mère, enfin, de ne pas avoir pu la sauver et donc de me laisser avec un père qui ne s’occupe pas de moi et une tante qui sortait tout juste de l’adolescence. Disons que je n’ai pas été des plus chanceuses. Ma tante était la meilleure chasseuse de notre petit clan reclu, elle était impressionnante avec son arc, elle avait l’habitude de me dire que l’âme de sa sœur était dans son arc et l’aidait à tirer chaque flèche. Bien sûr, étant une enfant naïve, je l’ai crûe sur parole et j’ai commencé mon entraînement à l’arc très jeune, profitant de la nuit sombre pour sortir avec un arc trop grand pour moi et une lanterne, je m’entraînais sur un tronc d’arbre et je ratais la plupart de mes tirs.
Les jours, puis les semaines et les mois sont passés et je ne m’améliorais que très lentement, mais bien sûr, je n’allais pas révéler ce que je faisais à ma tante, elle m’étriperait, je voulais juste ressentir le touché de ma mère, juste dans l’un de mes tirs, qu’elle me porte sa grâce pour que je puisse enfin savoir ce que ça fait d’avoir une maman, d’être comme tous les autres enfants, ou presque tous.
Chaque nuit je m’entrainais, et pourtant rien n’y faisait. Pendant des années et des années je me suis entrainée jusqu’à l’âge de dix ans, où ma tante m’a prise au fait, une flèche lui effleurant la joue alors qu’elle revenait d’une sortie entre copines où elle s’était éprise d’un des bûcherons du village du nord. Cela faisait un moment qu’elle avait envie de prendre son envol et essayer d’oublier cette sombre histoire, pouvoir voler de ses propres ailes et rencontrer quelqu’un, avoir son propre enfant, la suite des choses. Elle allait bientôt avoir la trentaine, il était encore temps pour une chasseuse de trouver sa proie, pour une bonne dizaine d’année encore mais elle était très impatiente. Quand la flèche a filé, frôlant son visage et la coupant superficiellement sur la joue, elle n’a pas réagi. C’était dans la logique de la famille, que j’allais prendre un arc et des flèches et commencer mon entraînement pour devenir chasseuse, comme ma mère et mon père avant moi. Comme toute ma famille, c’est une tradition. Rebekah ne s’est pas énervée, elle s’est approchée de moi avec douceur et a commencé à m’aider à m’entraîner ce soir-là. Bien sûr, il fallait qu’elle en parle à mon père par la suite et il a trouvé un intérêt soudain en moi. Il avait d’abord commencé à participer aux entraînements de manière passive, nous observant, surtout me fixant moi alors que je frappais les cibles à un rythme vachement moyen. Au bout de quelques mois, il avait apporté quelque chose, une arbalète.
Au départ, je me suis demandé ce que c’était, ce n’était pas les mêmes flèches que l’on utilisait, c’était ce qu’on appelait des carreaux selon lui et une arbalète était beaucoup plus rapide si on savait bien s’en servir. Il m’a raconté l’histoire de ma grand-mère qui utilisait deux arbalètes pour chasser, elle avait sauvé l’île d’un oiseau effrayant à l’époque. Au début, c’était encore pire que l’arc mais j’ai persévéré, l’entraînement était dur et ce n’est que deux ans plus tard que mon père m’a encore élargi les horizons pour me permettre de chasser plus facilement. En parlant de chasse, j’avais commencé à chasser pour le plaisir et je ramenais mes trophées à la maison, ça finissait bien souvent en vente pour les villageois mais ça ne me posait aucun problème, la chasse m’apaisait, comme si ma mère était derrière moi et admirait ma façon de faire, j’étais déjà précise à l’époque, un peu moins rapide et un peu hésitante du moins. Revenons donc à mon père, il m’a offert la deuxième arbalète, me rendant les choses encore plus difficiles. Dans les six années qui ont suivies, il m’avait entraîné à l’épée, à la dague, au corps à corps et aux arbalètes. Bien sûr, j’étais beaucoup plus forte dans certaines matières que d’autres, je m’en sortais avec les arbalètes et la dague mais le reste était plutôt moyen et, encore et toujours, l’entraînement était rude.
Sur ces six années, j’ai exploré d’autres horizons aussi, me rendant sur d’autres îles pour parfaire mon entraînement. Pendant mon premier voyage, un oiseau terrifiant est passé sur Endaur et a tout brûlé sur son passage, tuant des villageois et des Woks. Tient, parlons des Woks, je n’en ai jamais vraiment croisés, je suppose qu’ils nous toléraient, nous, les chasseurs. Nous leur laissions du gibier et nous prenions notre part, peut être avaient-t-il peur ou juste pitié, personne ne le saura, personne ne peut les comprendre à part un Wok lui-même. J’étais revenue immédiatement après l’attaque, notre cabane était intacte et ma famille n’était pas blessée mais j’ai tout de même payer mes respects aux personnes qui avaient succombés aux flammes, nous avions alors fais une longue marche de nuit dans la forêt évitant le territoire des Woks en grande partie, récitant un chant pour honorer leurs esprits, espérant qu’ils rejoignent l’autre côté en paix.
Lors de mon dernier voyage, deux années plus tard, quelque chose de terrible s’est passé …
Ma tante représentait notre famille durant l’une de leur assemblée, ils avaient entendu parler d'un Meitou perdu dans la forêt, un aventurier l'aurait emporté et il ne serait jamais revenue de la forêt. De ce que l’on m’a dit, une femme cachée sous son armure s’est introduite dans l’assemblée sans aucune discrétion et a tué tous les bûcherons sur son passage. Rebekah venait de donner naissance et elle était exténuée ce jour-là, elle n’a pas pu sortir son arc assez rapidement, bien que je doute que cela aurait changé grand-chose, que peut faire une flèche face à une armure d’acier ? Ce jour-là, toute l’assemblée et des Woks y sont encore passés, me laissant un goût amère dans la bouche, je ne voulais qu’une chose, la vengeance. C’est ce qui m’a poussé à rejoindre la marine, ils sont censés amener la justice et c’est ce que je veux faire, je ne veux pas que quelqu’un vive ce que mon neveu va vivre, ou ce que j’ai vécu, vivre sans une mère. Juste à cause d’une foutue femme en armure qui voulait un nouveau jouet. Je me le suis promis, je vais la retrouver et l’abattre sans aucun regret, reprendre « Menteuse » et la ramener là où est sa place, dans mon village et sous une protection plus appropriée qui plus est, je ne laisserai pas un évènement comme celui-là se reproduire, Endaur est mon île et à partir de maintenant je ne ferai que la protéger.
Bien sûr, j’ai dû quitté mon île pour rejoindre la marine, mon père était fortement contre l’idée mais je l’ai juste ignoré, j’avais pris ma décision et que ça lui plaise ou non, j’allais rejoindre la marine et faire de mon mieux pour protéger les innocents et retrouver cette femme. J’ai dû me rendre à Logue Town, après un très long voyage, je me suis présentée à un des QG de la marine comme une simple chasseuse de l’île d’Endaur venue en quête de l’aide de la marine pour s’approprier des informations plus précises sur la meurtrière de sa tante et aussi pour protéger les innocents pour qu’un massacre comme celui-là puisse être évité à l’avenir. Quand je monterais suffisamment en rang, je demanderai l’affection de soldats marines sur mon île, pour que mon peuple soit protégé. C’est tout ce que je souhaite.
Test RP
Le Test RP est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation une fois achevées les étapes précédentes. Faire un test RP avant cette intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas.
Informations IRL
• Prénom : Thomas
• Age : 16
• Aime : Tout (ou presque)
• N'aime pas : Les araignées
• Personnage préféré de One Piece : Robin
• Caractère : Quelques mots pour vous décrire ? Aimable et respectueux.
• Fait du RP depuis : 4 ans mais ne s'améliore que très lentement.
• Disponibilité approximative : 7/7 minimum
• Comment avez-vous connu le forum ? : Je suis un revenant, je jouais Lumina.
ONE PIECE REQUIEM ©
Dernière édition par Tapri Kewoi le Ven 11 Déc 2015 - 9:21, édité 1 fois