-29%
Le deal à ne pas rater :
DYSON V8 Origin – Aspirateur balai sans fil
269.99 € 379.99 €
Voir le deal

Let the hunt begin ... Wait what did I take again ? ┼ Tapri ┼

Kewoi Tapri
Pseudonyme : /
Age : 18 ans
Sexe : Femme
Race : Humain

Métier : Chasseuse
Groupe : Marine

But : Chasser toutes les créatures du monde au moins une fois et les ramener en trophée. / Protéger Endaur / Retrouver la femme en armure et l'abattre, récupérer "Menteuse"

Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Capacité spéciale : Wild Hunt : Cette capacité permet à son détenteur de reconnaître les créatures vivant autour de lui, permettant une chasse plus simple. Ce n'est qu'une pale copie du Haki de précision et sur ce fait, la capacité peut parfois se tromper. On ne copie pas le Haki.  
Équipement : Deux arbalètes, une épée et une dague. (The MasterSword)

Parrain : Moi-même. C'est pas pour rien qu'on me demande Tapri Kewoi.

Ce compte est-il un DC ? Non, un revenant.
Si oui, quel @ l'a autorisé ? ...

Codes du règlement :


Description Physique


Et bien, je suppose que l’on peut commencer par mes cheveux, je pense hein. Je ne suis pas si sûre que ça, franchement, c’est pas comme si j’avais l’habitude de faire ça. J’ai des cheveux blonds couleur blé, on me les envie, je le sais, surtout quand on me demande ce que j’ai pris pour les rendre aussi doux au toucher, ou encore comment je fais pour les faire briller au soleil. Franchement, on me demande souvent ce que je prends, pour tout en général, je suis quelqu’un de génial. On me demande souvent aussi si mes yeux sont naturels ou si je porte des lentilles de contact et bien, j’ai honte de vous décevoir mais elles sont bien vraies mes pupilles bleues, et toc ! J’ai un visage plutôt commun à part ça. Au niveau de mon corps, on peut dire que je suis petite, je ne fais pas moins d’un mètre soixante pour cinquante-cinq kilos quand je suis en forme. Quand je fais plus, on me demande ce que j’ai pris encore et ça me rend malade, j’ai trop pris de poids, c’est pas bien. Une autre chose à propos de mon corps c’est que j’ai des cicatrices un peu partout, des égratignures. C’est pour cela que je porte mon chaperon vert et des vêtements qui recouvrent ma peau, je n’ai pas honte de les montrer mais ça fait un peu bourrin et mon père m’a toujours dit que j’étais une beauté naturelle. Heureusement, je n’en ai pas sur le visage sinon je ne sais pas ce que j’aurai fait, le maquillage et moi, on est pas potes c’est ce que je peux vous dire.

Au niveau de mes tics, et bien, j’ai un peu trop l’habitude de repartir sur la chasse, je l’avoue, c’est ma passion alors que voulez-vous ? Je passe la plupart de mon temps à y penser, je vis, je dors, je meurs pour la chasse, je fais tout pour la chasse. La chasse et moi on ne fait qu’un et ce sera pour toujours mon hobby. Un autre de mes tics est que je ne comprends pas les blagues que l’on fait avec mon nom, souvent je le prends comme des compliments ou comme des insultes, même des menaces, enfin ça dépend. Au départ, c’est mon père qui a commencé les blagues, bien sûr c’est lui qui a choisi le nom, sûrement pour me punir de la mort de ma mère en couche. En même temps, il était malin le mec, au lieu d’aller chercher un médecin, il est retourné à la taverne et a laissé ma mère accoucher seule. C’est pas de ma faute-moi si elle est morte, surtout que j’aurai préféré qu’elle soit là.

Alors ma façon de marcher n’est pas si atypique que ça, je marche comme une beauté des bois, enfin c’est ce qu’on m’a dit. J’avance comme une lady qui s’est faite écrasée par un cerf, c’est qu’on m’a dit aussi, quels beaux compliments. En gros, j’essaye de marcher comme une femme élégante mais ça ne fonctionne qu’à moitié, l’autre moitié me fait marcher comme une bucheronne alors quoi, qu’est-ce que vous voulez que je fasse, c’est pas comme si je l’avais décidé, ma façon de marcher est un peu ridicule mais dès que j’arrête d’y penser, je marche plus normalement. Oh et puis quand je cours, vous devriez voir ça, j’arrête pas de m’emmêler les pieds tellement ma façon de courir est ridicule, encore une fois seulement quand je fais attention à ça, sinon, en pleine mission je ne le fais pas.

Ma façon de parler ? Je suppose que j’ai un peu trop l’habitude de parler de chasse dans des phrases qui n’ont absolument rien à voir avec ça et j’essaye de passer ça pour une phrase mignonne, kawai desu ne ? Sinon, je ne sais pas si j’ai une façon de parler particulière, je sais que j’ai l’habitude de parler d’une voix douce mais en même temps c’est comme si la chasse m’avait rendue sourde, je parle très fort, j’ai donc souvent la voix cassée et ça je ne le fais pas exprès au contrario de ma façon de marcher et de courir. Enfin, exprès, j’essaie de courir comme une lady, quel mal y a-t-il à cela ?



Description Psychologique


Alors, mes traits de caractère les plus forts ? Et bien, je suppose que j’ai la méchante habitude d’être un peu naïve et un peu bêbête quand je ne suis pas concentrée et que je ne fais pas attention, donc dans mon état naturel. Ce n’est pas de ma faute si la seule chose pour quoi je suis bonne c’est la chasse, c’est bien aussi ça la chasse.  Avouez quand même que vous êtes comme moi et que chaque seconde qui passe vous ne pensez qu’à ça, arrêtez de mentir, il y a rien de plus normal que de faire ça, vous pouvez me le dire vous savez ? Je ne vous jugerai pas, la chasse c’est ce qu’il y a de mieux pour la longévité ! Regardez-moi, j’ai dix-huit ans et j’ai l’air d’en avoir quinze ! Franchement, si c’était pas pour ma poitrine on me prendrait pour une gamine, fin’, on m’en prend déjà pour une de toute manière, je suppose que ça ne changera pas. Les gens sont toujours en train de m’appeler gamine, c’est chiant à la fin, je suis une adulte bon sang. Je déteste donc être prise pour une enfant et je ferai tout pour faire mes preuves même à un ennemi quand ce n’est absolument pas nécessaire. Il ne faut pas appuyer sur mes boutons sinon je sors l’artillerie lourde. En effet, quand je suis énervée, j’ai le vocabulaire d’un charcutier et mes attaques sont plus violentes. Non, je ne dis pas que mes attaques sont faibles mais je fais attention à ne pas faire des bétises, ou à ne pas utiliser toute ma force d’un coup alors que quand je suis énervée je m’en fiche complètement.

Sinon, j’avoue être gentille, avec tout le monde, même avec mes ennemis, je les taquine un peu, mais quand j’ai une mission, j’y vais jusqu’au bout. Je n’aurai pas la gentillesse de laisser quelqu’un s’enfuir alors que ma mission est de l’emmener avec moi et de le ramener. Non j’aurai la gentillesse de ne pas trop lui casser d’os, si vous voyez ce que je veux dire. Moi j’ai ce genre de gentillesse, celle d’une lady. Plutôt d’une mère ours, c’est toujours élégant remarquez. Je ne suis mais alors PAS du tout agressive ou méchante dans mes paroles, MAIS ALORS, PAS DU TOUT. Je vous assure ! (C’est faux bien sûr, ce n’est que de l’ironie et elle est convaincue d’être gentille en toute situation. En vérité, elle est égoïste et parfois méchante dans ses paroles mais elle peut être gentille et quelqu’un de génial mais elle ne fait pas de pitié par contre.) Par contre, je ne suis pas vulgaire, je n’utilise jamais de gros mots, j’ai reçu assez de coups pour me rappeler de ne pas dire « putain » à chaque fin de phrase comme mon père le fait, je suis une lady des près.

Je suis assez fair play en combat, je n’aime pas les coups bas, la chasse doit être effectuée avec grâce et honnêteté c’est ce qu’on m’a enseigné toute ma vie. Quoi ? Mon dogme a l’air bizarre ? Parce qu’il l’est, mais par honnêteté, je ne dis pas que je dois aller raconter mes secrets à tout le monde, non, je dois être honnête avec la bête que je traque, je ne dois pas jouer avec ma proie, si je veux l’abattre, je l’abas tout simplement, je ne fais pas dans l’extravagant. Parfois, il est vrai que je m’occupe avec des pièges, c’est toujours sympa pour arriver à ses fins mais je préfère tout de même combattre les yeux dans les yeux, face à face, même si de temps en temps, je débute le combat d’une façon peu respectueuse en utilisant la discrétion. Je déteste les gens qui ne jurent que par la discrétion, prenant exemple sur Leeroy, lui franchement, il a pas fait dans les détails, il a foncé et c’est tout, mais j’admets devoir me plier à l’utiliser quand j’en ai besoin et être invisible s’avère utile quand on chasse, vous savez !



Biographie


Je suis née sur l’île d’Endaur, il y a dix-huit ans de cela, dans une petite cabane recluse dans la forêt dense. C’était un jour d’hiver, mon père ne s’est jamais occupé de moi et donc ne m’a jamais dit quel jour exactement mais j’ai fini par le deviner, après tout, mon jour de naissance coïncidait avec celui de la mort de ma mère. Comme je l’ai écrit plus haut, ma mère est morte en couche, mon père savait bien qu’elle donnait naissance et il est juste retourné à la taverne du village nord. Nous n’étions pas très acceptés à l’époque, enfin, pas autant qu’aujourd’hui, mais mon père s’était fait une place parmi les bûcherons sans aucun problème. Par contre, il n’a jamais voulu m’introduire à ses très cher amis qui étaient plus importants pour lui que sa propre femme donnant naissance. Heureusement, la petite sœur de ma mère, qui n’était qu’une adolescente à l’époque était là, elle n’avait pas pu aider ma mère mais elle avait pu me sauver alors que je m’étranglais avec mon cordon ombilical. Rebekah Kewoi, c’est le nom de ma tante, n’a pas pu se donner la liberté de choisir mon nom, elle a d’abord essayé de ranimer sa sœur et elle a ensuite couru au village pour prévenir mon père que quelque chose n’allait pas et qu’il fallait qu’il revienne immédiatement pour qu’il l’aide. Mais malheureusement, il était bien trop tard, ma mère était partie depuis longtemps, tout ce qui les attendait c’était mes pleurs et mes cris. Pour se moquer de moi et me mettre une malédiction sur le dos, mon père m’a donné mon prénom. Tapri.

Durant mon enfance, mon père ne m’a pas regardé, il s’est concentré sur la chasse pour combler son vide, celui que j’avais créer en venant au monde. Au final, avec l’aide de ma tante, ils ont réussi à vivre de la chasse sur l’île et à fournir les villages aux quatre vents en viande en tout genre, mon géniteur était particulièrement cruel avec ses proies au départ, il vidait sa colère sur eux, mais malheureusement, ils n’étaient pas moi alors il a fini par se lasser. Il avait déjà essayé de m’étranger mais mes grands yeux bleus, ceux de ma mère aussi, l’ont arrêté, il ne peut pas tuer quelque chose de si magnifique, quelque chose qui se rapproche tellement de sa perte, de sa femme. J’étais leur enfant, je le suis toujours et je peux le dire fièrement. Malgré tout, mon père ne s’est pas occupé de moi et il a préféré la chasse, aujourd’hui je le comprends mais à l’époque, je me disais juste qu’il ne m’aimait pas et je cherchais du réconfort auprès de ma tante. Et j’en avais bien sûr, elle cédait à tous mes caprices enfantins, elle se sentait sûrement coupable de m’avoir privée d’une mère, enfin, de ne pas avoir pu la sauver et donc de me laisser avec un père qui ne s’occupe pas de moi et une tante qui sortait tout juste de l’adolescence. Disons que je n’ai pas été des plus chanceuses. Ma tante était la meilleure chasseuse de notre petit clan reclu, elle était impressionnante avec son arc, elle avait l’habitude de me dire que l’âme de sa sœur était dans son arc et l’aidait à tirer chaque flèche. Bien sûr, étant une enfant naïve, je l’ai crûe sur parole et j’ai commencé mon entraînement à l’arc très jeune, profitant de la nuit sombre pour sortir avec un arc trop grand pour moi et une lanterne, je m’entraînais sur un tronc d’arbre et je ratais la plupart de mes tirs.

Les jours, puis les semaines et les mois sont passés et je ne m’améliorais que très lentement, mais bien sûr, je n’allais pas révéler ce que je faisais à ma tante, elle m’étriperait, je voulais juste ressentir le touché de ma mère, juste dans l’un de mes tirs, qu’elle me porte sa grâce pour que je puisse enfin savoir ce que ça fait d’avoir une maman, d’être comme tous les autres enfants, ou presque tous.



Chaque nuit je m’entrainais, et pourtant rien n’y faisait. Pendant des années et des années je me suis entrainée jusqu’à l’âge de dix ans, où ma tante m’a prise au fait, une flèche lui effleurant la joue alors qu’elle revenait d’une sortie entre copines où elle s’était éprise d’un des bûcherons du village du nord. Cela faisait un moment qu’elle avait envie de prendre son envol et essayer d’oublier cette sombre histoire, pouvoir voler de ses propres ailes et rencontrer quelqu’un, avoir son propre enfant, la suite des choses. Elle allait bientôt avoir la trentaine, il était encore temps pour une chasseuse de trouver sa proie, pour une bonne dizaine d’année encore mais elle était très impatiente. Quand la flèche a filé, frôlant son visage et la coupant superficiellement sur la joue, elle n’a pas réagi. C’était dans la logique de la famille, que j’allais prendre un arc et des flèches et commencer mon entraînement pour devenir chasseuse, comme ma mère et mon père avant moi. Comme toute ma famille, c’est une tradition. Rebekah ne s’est pas énervée, elle s’est approchée de moi avec douceur et a commencé à m’aider à m’entraîner ce soir-là. Bien sûr, il fallait qu’elle en parle à mon père par la suite et il a trouvé un intérêt soudain en moi. Il avait d’abord commencé à participer aux entraînements de manière passive, nous observant, surtout me fixant moi alors que je frappais les cibles à un rythme vachement moyen. Au bout de quelques mois, il avait apporté quelque chose, une arbalète.

Au départ, je me suis demandé ce que c’était, ce n’était pas les mêmes flèches que l’on utilisait, c’était ce qu’on appelait des carreaux selon lui et une arbalète était beaucoup plus rapide si on savait bien s’en servir. Il m’a raconté l’histoire de ma grand-mère qui utilisait deux arbalètes pour chasser, elle avait sauvé l’île d’un oiseau effrayant à l’époque. Au début, c’était encore pire que l’arc mais j’ai persévéré, l’entraînement était dur et ce n’est que deux ans plus tard que mon père m’a encore élargi les horizons pour me permettre de chasser plus facilement. En parlant de chasse, j’avais commencé à chasser pour le plaisir et je ramenais mes trophées à la maison, ça finissait bien souvent en vente pour les villageois mais ça ne me posait aucun problème, la chasse m’apaisait, comme si ma mère était derrière moi et admirait ma façon de faire, j’étais déjà précise à l’époque, un peu moins rapide et un peu hésitante du moins. Revenons donc à mon père, il m’a offert la deuxième arbalète, me rendant les choses encore plus difficiles. Dans les six années qui ont suivies, il m’avait entraîné à l’épée, à la dague, au corps à corps et aux arbalètes. Bien sûr, j’étais beaucoup plus forte dans certaines matières que d’autres, je m’en sortais avec les arbalètes et la dague mais le reste était plutôt moyen et, encore et toujours, l’entraînement était rude.

Sur ces six années, j’ai exploré d’autres horizons aussi, me rendant sur d’autres îles pour parfaire mon entraînement. Pendant mon premier voyage, un oiseau terrifiant est passé sur Endaur et a tout brûlé sur son passage, tuant des villageois et des Woks. Tient, parlons des Woks, je n’en ai jamais vraiment croisés, je suppose qu’ils nous toléraient, nous, les chasseurs. Nous leur laissions du gibier et nous prenions notre part, peut être avaient-t-il peur ou juste pitié, personne ne le saura, personne ne peut les comprendre à part un Wok lui-même. J’étais revenue immédiatement après l’attaque, notre cabane était intacte et ma famille n’était pas blessée mais j’ai tout de même payer mes respects aux personnes qui avaient succombés aux flammes, nous avions alors fais une longue marche de nuit dans la forêt évitant le territoire des Woks en grande partie, récitant un chant pour honorer leurs esprits, espérant qu’ils rejoignent l’autre côté en paix.

Lors de mon dernier voyage, deux années plus tard, quelque chose de terrible s’est passé …



Ma tante représentait notre famille durant l’une de leur assemblée, ils avaient entendu parler d'un Meitou perdu dans la forêt, un aventurier l'aurait emporté et il ne serait jamais revenue de la forêt. De ce que l’on m’a dit, une femme cachée sous son armure s’est introduite dans l’assemblée sans aucune discrétion et a tué tous les bûcherons sur son passage. Rebekah venait de donner naissance et elle était exténuée ce jour-là, elle n’a pas pu sortir son arc assez rapidement, bien que je doute que cela aurait changé grand-chose, que peut faire une flèche face à une armure d’acier ? Ce jour-là, toute l’assemblée et des Woks y sont encore passés, me laissant un goût amère dans la bouche, je ne voulais qu’une chose, la vengeance. C’est ce qui m’a poussé à rejoindre la marine, ils sont censés amener la justice et c’est ce que je veux faire, je ne veux pas que quelqu’un vive ce que mon neveu va vivre, ou ce que j’ai vécu, vivre sans une mère. Juste à cause d’une foutue femme en armure qui voulait un nouveau jouet. Je me le suis promis, je vais la retrouver et l’abattre sans aucun regret, reprendre « Menteuse » et la ramener là où est sa place, dans mon village et sous une protection plus appropriée qui plus est, je ne laisserai pas un évènement comme celui-là se reproduire, Endaur est mon île et à partir de maintenant je ne ferai que la protéger.

Bien sûr, j’ai dû quitté mon île pour rejoindre la marine, mon père était fortement contre l’idée mais je l’ai juste ignoré, j’avais pris ma décision et que ça lui plaise ou non, j’allais rejoindre la marine et faire de mon mieux pour protéger les innocents et retrouver cette femme. J’ai dû me rendre à Logue Town, après un très long voyage, je me suis présentée à un des QG de la marine comme une simple chasseuse de l’île d’Endaur venue en quête de l’aide de la marine pour s’approprier des informations plus précises sur la meurtrière de sa tante et aussi pour protéger les innocents pour qu’un massacre comme celui-là puisse être évité à l’avenir. Quand je monterais suffisamment en rang, je demanderai l’affection de soldats marines sur mon île, pour que mon peuple soit protégé. C’est tout ce que je souhaite.
 


Test RP
Le Test RP est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation une fois achevées les étapes précédentes. Faire un test RP avant cette intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas.



 
Informations IRL

• Prénom : Thomas
• Age : 16
• Aime : Tout (ou presque)
• N'aime pas : Les araignées
• Personnage préféré de One Piece : Robin
• Caractère : Quelques mots pour vous décrire ? Aimable et respectueux.
• Fait du RP depuis : 4 ans mais ne s'améliore que très lentement.
• Disponibilité approximative : 7/7 minimum
• Comment avez-vous connu le forum ? : Je suis un revenant, je jouais Lumina.


ONE PIECE REQUIEM ©



Dernière édition par Tapri Kewoi le Ven 11 Déc 2015 - 9:21, édité 1 fois
    Fiche finie !

       
      Salut Tapri.
      Je suis dans le coin pour te donner ton test RP.  


      Alors que tu parfais ta formation de Marine, tu reçois une invitation à participer à un concours de chasse sur l'archipel vert. Plus un défi qu'un réel concours, tu te rends compte que vous êtes seulement cinq et que l'organisateur de l'évènement n'est qu'un de ces millionnaires en manque de divertissement.

      Soit, la chasse est lancée et votre cible est une espèce de macaque d'eau douce de Grand Line spécialement relâché sur l'île pour la circonstance. Quelques temps après, alors que tu serpentes dans les feuillages, à l'affut, tu tombes sur les corps criblés de carreaux de trois de tes concurrents.

      Avec horreur, tu te rends compte qu'un d'entre-vous a décidé de se détourner des règles et de chasser de l'humain. A moins que ce ne soit ça le véritable but de l'épreuve depuis toujours ?
      Tu vois la mort passer alors qu'un carreau se fige à l'endroit précis où se trouvait ta tête une seconde auparavant. Tu es, dès lors, une chasseuse chassée.

      Raconte-nous la suite.

      Bonne chance o/

      • https://www.onepiece-requiem.net/t12978-fiche-technique-de-loth
      • https://www.onepiece-requiem.net/t10961-loth-reich-le-marchand-heretique
      Bloody Show for a Wealthy Noble
      Let's make it worth the shot.


      Je revenais de mon entraînement quand j’ai été interpellée par une lettre verte avec un sceau noble, quand je l’ai prise entre mes doigts j’ai de suite senti l’odeur des forêts et du gibier, mon odeur préférée si je puis me permettre. Je ne l’ouvre pas de suite, je contemple un moment le signe de l’expéditeur, je ne sais vraiment pas de qui ça peut provenir, pas de quelqu’un que je connais en tout cas et pas de quelqu’un d’Endaur, peu de gens savent lire et écrire sur cette île, c’est un problème majeur que je vise à corriger dans le futur proche. J’étais restée un moment en train de fixer la lettre, j’étais encore dégoulinante de sueur, l’entraînement c’était pas une blague, franchement si j’avais su, je me serai préparée mentalement pour l’épreuve que c’est. Ils veulent tout améliorer, l’agilité, la force, la précision, le corps à corps, le combat à l’épée, c’est comme si ils voulaient que je sois sur tous les tableaux en même temps. Il n’y a qu’à l’arbalète qu’ils me laissent de la liberté, je m’entraîne où et quand je veux. La seule chose qui me dérange c’est que je ne connais pas Logue Town alors j’aurai beaucoup de mal à me diriger si je veux aller chercher quelque chose que je peux chasser. Mais je ne pense pas qu’il y ait beaucoup de gibier sur cette île de toute manière, la plupart de sa surface est habitée par l’homme, la nature n’a plus beaucoup de terrain où se reposer.

      Finalement, j’ouvre la lettre, en lisant le contenu alors que j’étais encore à bout de souffle. Je n’ai peut-être pas tout compris du premier coup, étant donné que je venais juste de revenir de mon entraînement et que tout mon sang ne remontait pas exactement au cerveau après avoir passé une heure la tête en bas. Oui, il y a un exercice où je dois essayer de tirer à l’arbalète la tête en bas et de tirer exactement au milieu de la cible. Et bien, figurez-vous que je le fais tous les jours, toute seule comme un loup solitaire. De toute manière, personne n’a mon niveau à l’arbalète, sinon je le saurai et je me surpasserai encore plus. Comment ça ? Vous croyez que je n’y vais pas à fond si j’en ai encore à revendre ? Et bien, j’essaye de garder un minimum d’énergie pour pouvoir rentrer au QG et pouvoir me reposer après avoir pris une bonne douche, même si j’ai mal partout après une journée comme celle-là. Bon, et bien, que dit cette lettre ? Un concours de chasse à Archipel Vert ? Non, ce n’est pas un concours, c’est un défi. Est-ce qu’on aurait entendu parler de moi ? OH, si j’ai de la chance, ils ont entendu parler de la fois où j’ai tué trois cerfs avec le mec carreau, c’était impressionnant je vous jure. Il y avait du sang partout, par contre, j’ai bien dû laver mon chaperon.

      Archipel Vert … J’y suis déjà allée, pendant mes voyages, la faune là-bas est … Intéressante on va dire. Elle est très agressive et on peut mourir à tout instant dans cette intense jungle, si on peut l’appeler comme ça. Elle est massive, même les plantes y sont dangereuses, une île où tout veut te buter dans les blues, c’est quelque chose de pas très commun et on s’y attend pas vraiment, moi la première. Quand j’y suis arrivée et qu’une plante a failli me bousiller le pied, j’ai bien compris que je ne devais pas baisser ma garde sur cette île, pour rien au monde. Je me décidais seulement le lendemain matin sur ce que j’allais faire, après une bonne nuit de sommeil, j’ai tout de même décidé d’y aller, c’est pas comme si je risquais grand-chose hein. Enfin, si, mais j’ai déjà été sur l’île et je sais à quoi m’attendre.

      Le voyage fut long et assez ennuyeux, ayant déjà dormi, je n’ai pas pu me rendormir pendant que l’on me conduisait sur l’île de West Blue le premier jour et pour le reste du trajet, être toute seule c’est pas la meilleure des choses. Je me suis battue avec l’équipage pour qu’ils me laissent en paix. Ils voulaient que je chasse en mer pour leur apporter de la nourriture en plus mais je devais économiser mon énergie pour le concours, je risquais d’être en retard qui plus est et je ne pensais pas que la personne qui m’avait invité serait d’accord. Dans la vie, il faut toujours être à l’heure, c’est une devise que je tiens à garder à l’esprit jusqu’à la fin de ma vie. Après tout, je déteste les gens qui arrivent en retard moi-même donc, on ne peut rien me dire quand je n’arrive pas à temps, de toute façon je me le dirai moi-même, car je suis bien au courant. Le temps est un bien que j’estime précieux après tout. Il faut pouvoir le conserver ou bien l’utiliser tant qu’on en a, ce serait pas mal pour toutes ces personnes qui sont pressées et sont exécrables. Il n’y en avait pas sur Endaur mais depuis que je suis sur Logue Town, il y en a partout et qu’est-ce qu’ils sont pas sympas, surtout quand on est sur leur passage. Désolée, j’essaye de combler le vide du voyage, il ne s’est rien passé du tout après tout, les gens exagèrent quand ils disent que j’ai passé mon temps à parler de mes proies et du temps que j’ai passé à chasser, c’est juste du vent, c’est tout ! Nous sommes finalement arrivés sur l’île, les marins se frottant les mains en me regardant m’éloigner, dans le village où sont regroupés tous les chasseurs d’or. Je fis signe à un villageois que je connaissais bien, il m’a hébergée pendant mon temps ici la dernière fois.

      Je sors du village par un chemin fermé, ils essayent de garder les animaux dehors mais ça ne fonctionne pas toujours, la nature reprend ses droits ici, c’est assez beau à voir. Et juste à l’orée de la jungle, ils étaient là. Je me suis arrêtée pour les observer pendant un moment, un peu perplexe. Il y en avait un avec un gigantesque fusil, il n’avait pas l’air très agile, il était un peu en surpoids. Par contre, niveau force, s’il peut porter cette arme, je pense bien qu’il peut encastrer quelqu’un dans un des arbres de la forêt. Il devait avoir dans la quarantaine, le teint grésillant, tout comme ses cheveux d’ailleurs qui étaient presque inexistants. Son visage était bouffi comme le reste de son corps qui d’ailleurs était enfermé dans une tenue en cuir, moulant bien le tout, c’était une vue magnifique, ça me donnait envie de chasser le phacochère tout ça. Le deuxième gars qui a interpelé mon attention était un maigrichon avec des pecs, il n’avait pas l’air d’être armé mais en l’observant bien, on pouvoir voir un mini arbalète se dessiner sous les manches de sa veste légère. Il avait un sourire flippant, un peu comme si un canard te regardait droit dans les yeux et te faisait un grand sourire, oui, il avait une face de canard, c’est ça. Les deux autres étaient aux abonnés absent. Il y avait une fiche sur le tronc d’arbre face à moi, il y était écrit qu’un singe d’eau douce de Grand Line avait été relâché dans la jungle spécialement pour l’occasion et qu’il était notre cible. Okay, lets do this shit, Rock in Roll style !




      Je sortis mes deux arbalètes et je fonça dans la jungle, un peu précipitamment d’ailleurs, j’aurai dû prendre le temps de me réhabituer à la dangerosité de l’île. Dans ma précipitation, je n’ai même pas entendu le cri d’un homme dans le fond, derrière moi. Une fleur m’a fait un croche-pied et a essayé de m’avaler dès mes premiers pas mais j’ai réussi à couper ses racines avec ma dague, la coupant ensuite avant de reculer lentement. Je me rappelais maintenant pourquoi tout ça se passait sur cette île, la jungle entière est votre ennemie, il est même possible que le singe soit déjà mort dans cette végétation. J’ai marché prudemment pendant plus d’une heure, entendant des bruits suspects derrière ou devant moi. J’ai juste eu le temps de sortir ma dague quand un jaguar est subitement apparu sur mon chemin, me plaquant au sol, je lui ai tranché la gorge, du sang se répandant sur moi avant que je ne puisse le repousser. Je suis désolé mama féline mais je ne serai pas ton goûter, pas dans cette vie du moins. J’entends des singes mais je reconnais ce cri, ce n’est pas ce que ça semble, c’est un des oiseaux redoutables de cette île, il a pris le son d’un singe pour attirer ses proies et les déchiqueter de ses serres, il ne faut pas se mettre sur leur chemin et surtout par se laisser attirer, ils sont connus pour manger des humains.

      L’horreur m’a prise quand j’ai tranché les lianes sur mon passage et qu’un corps, même trois m’attendaient. Je tournais en rond depuis tout à l’heure et … Les autres participants étaient morts, je reconnaissais deux des corps et le dernier m’était inconnu, leurs cadavres étaient criblés de carreaux, quelqu’un d’autre travaille à l’arbalète ? J’ai ressenti l’envie de vomir alors c’est ce que j’ai fait, me tournant ensuite vers les corps quand un carreau se planta juste à côté de moi, où ma tête était encore il y a quelques secondes. Quelqu’un a décidé de détourner les règles à son avantage et de tuer les quatre autres participants pour pouvoir gagner sans chasser, quelle technique cruelle et sans âme, si seulement je pouvais venger les trois autres. Mais attendez je peux ! Ce sera la première fois que j’abas un humain mais je vais le faire, tuer pour tricher n’est pas une chose que j’accepte, il faut suivre les règles à la lettre. Et si ce petit jeu était juste un prétexte pour cette tuerie, je retrouverai l’organisateur et je lui planterai un carreau dans le cou. Un deuxième carreau se dirige vers moi, je l’entends siffler alors qu’il perce l’air sur son passage, d’un pas de côté je l’évite, faisant une roue avant de me cacher derrière un arbre. J’ai une idée mais c’est risqué, il pourrait me voir alors je m’enfonce plus loin dans la jungle, montant aux arbres pour prendre de la hauteur, de la direction de ses tirs, il était vraisemblablement couché sur le sol et avait une belle vue.

      Je me suis mise la tête à l’envers comme à l’entraînement et j’ai cherché le tireur, quand je l’ai aperçu avec son énorme arbalète j’ai tiré les deux carreaux d’un coup, lui faisant lâcher un cri, il a alors relevé la tête vers moi, la douleur marquée sur le visage puis la peur, je n’ai fait que lui envoyer un sourire avant de lui planter un troisième tir en plein milieu du front. Je suis redescendue avec discrétion pour me rapprocher de son corps et le fouiller, j’ai pris la liberté d’embarquer ses carreaux, il n’en aurait plus besoin, je suis en mode mama ours, je prends tout ce qui est utile. Je fouille ses poches quand mes doigts rencontrent un papier plié, à ma grande surprise j’avais raison, tout ça a été organisé dans le seul but que l’on s’entre tue, rien d’autre, sauf que trois des participants n’étaient pas au courant. À la base, je ne l’étais pas non plus mais les cadavres m’ont bien remis les pendules à l’heure. Il était écrit « Le vainqueur ressortira de la jungle par où il est entré et je l’y attendrai. » alors j’ai pris la direction de la sortie, la dague à la main.

      Plus je m’approchais de la sortie, plus la colère prenait le dessus, il voulait m’utiliser comme une marionnette ? Non mais, pour qui il se prend pour jouer avec la vie des gens comme ça ?! POUR QUOI IL SE PREND ?! Je vais le faire payer, je vous jure, je sens la haine monter. Quand j’ai vu que c’était l’homme qui m’avait hébergé qui m’attendait avec un grand sourire, je me suis sentie d’autant plus trahie, il avait une caisse avec de l’argent à ses côtés mais je me suis directement jetée sur lui, lui enfonçant ma dague dans la nuque plus d’une fois à répétition, le sang giclant de partout, et sur moi de prime. Mais on s’en fout, cette ordure est morte, s’il était en manque de divertissement, il y a des endroits pour ça. Je prends la valisette quand même, en vérifiant le contenu avant de laisser le cadavre juste là, une flaque de sang se répandant sur le sol, je m’en fiche, les humains sont des déchets tout de même. Certains du moins. Je ne parlerai plus jamais de cet épisode, que ce moment aille au diable.
        Posté ! J'espère que ça vous plaira. Very Happy
          Tuturu~ !

          Salut Tapri, c'est donc moi qui passe pour ton premier avis ! Dans un premier temps je vais intervenir sur la forme de ta présentation, puis enfin sur le fond avant de conclure avec la notation.

          Let's go !

          ♣️ Point forme :
          Alors ça va être assez rapide de ce côté là, je n'ai pas vu beaucoup de fautes et encore moins de monstrueuses. Niveau orthographe et grammaire c'est plutôt bon, le style de syntaxe est simple donc c'est facile à lire mais pas forcément percutant non plus. Voici donc quelques fautes que j'ai malgré tout pu relever :

          • "j’aurais préféré qu’elle soit là."
          • "qui s’est faite écraser"
          • "En vérité, elle est égoïste et parfois méchante dans ses paroles mais elle peut être gentille et quelqu’un de génial mais elle ne fait pas de pitié par contre."
          • "ses très chers amis"
          • "celui que j’avais créé"
          • "le toucher "
          • "je fonçai dans la jungle,"
          • "j’aurais dû prendre"

          Du coup la faute qui revient assez souvent chez toi c'est les accords féminin/pluriel : demande-toi qu'est-ce qui est/qu'est-ce qui fait pour éviter ce genre de fautes. Tu fais aussi pas mal dans les répétitions et la conjugaison au conditionnel semble te poser quelques soucis. ^^ Au conditionnel c'est "rais", sans le "s" ça devient du futur. Fais gaffe aussi à l'infinitif qui peut être traitre des fois.

          Plus au niveau de la syntaxe, comme je l'ai déjà dit elle est légère mais des fois peut-être un peu trop. Je ne sais pas si c'est moi mais je ne l'ai pas trouvée très immersive. Des fois ta narration au présent/passé composé/imparfait est un peu boiteuse et ça renforce peut-être un peu ce sentiment. Dans le doute, si tu ne sais pas quel temps utiliser, essaye de conserver le même régulièrement, même si l'imparfait peut être pratique pour partir sur des descriptions. J'ai à l'esprit certaines de tes phrases où tu t'emmêles les pinceaux et définis sur un même plan une narration au présent et à l'imparfait avec absolument le même objectif au final, c'est dommage.

          Enfin, au niveau de ton test RP il y a un moment où t'es passé du présent au passé (sur le bateau pendant la traversée) et c'est très dangereux car du coup ça faille ta narration. Maintenant le bon côté des choses c'est que c'est utilisé sur un changement de lieux avec une césure au préalable, cependant je te conseille de rester sur le même style de narration pour éviter les bafouillages.

          ♣️ Point fond :
          Pas grand chose à dire non plus, ça se tient bien sauf à deux moments. Le premier où je ne comprends pas vraiment comment le père qui est bûcheron arrive à initier Tapri au maniement des armes ; encore la tante je dis pas mais le père... Le second ou tu dis que Tapri veut devenir Marine suite à l'assassinat de ta tante et de l'assemblée par une femme en armure (très probablement Izumi si je ne me trompe pas). Je trouve que tout ça arrive un peu comme un cheveu long et gras sur la soupe. Jusque là je voyais Tapri comme une civile finie qui irait parcourir les mers et enregistrer toutes ses chasses dans son pokédex, le blem c'est que rien ne la destinait à se rapprocher de la Marine et le manque de détails par rapport à la coupable ne fournit pas vraiment de raison à cela. Encore tu aurais dit qu'il s'agissait d'une pirate qui avait l'habitude de dévaster les îles avoisinantes et de tuer et piller, je dis pas. D'ailleurs le côté "devenir Marine pour envoyer une garnison sur l'île et protéger Endaur" est pas mal et aurait gagné à être plus exploité, quitte à te voir exprimer le souhait de Tapri de peut-être commander cette garnison et veiller sur son peuple.

          Pour le Test RP c'est bien dommage que tu sois tombé dans le piège de la narration du test RP en lui même et pas de la poursuite de l'histoire. L'important c'est pas vraiment de savoir comment Tapri est arrivée jusque là mais surtout ce qu'elle compte faire après. Du coup évidemment l'histoire a pris en longueur et tu l'as terminée de façon plutôt abrupte et rapide, en un paragraphe avec pas mal de facilité, c'est dommage. Une autre incohérence est aussi que, pour un soldat de la Marine, le coup de tuer aveuglément ça passe moins bien. Un soldat de la Marine aurait probablement plus enquêté et cherché à capturer les criminels plutôt que de les abattre froidement et du coup rendre justice soi-même. Fais attention à cela.

          A part ça tu as très bien su utiliser le background du forum et c'est super, c'est un bon point positif pour ta présentation.

          ♣️ Niveau dorikis désormais je table sur un petit 750D. Smile
          • https://www.onepiece-requiem.net/t10696-sweetsong-montrez-moi-ce
          • https://www.onepiece-requiem.net/t10652-a-sweetsong-ou-l-effet-papillon-100-fini
          Salut grand, je passe pour le deuxième avis et je vais la faire rapide.

          Les descriptions sont assez basiques dans la forme, les fautes sont rares, et le boulot est fait. La description psychologie est un peu fluide que celle physique, mais ça peut encore aller.
          Je trouve que le début de ta bio manque un peu de cohérence/réalisme. Pas que ce ne soit pas faisable, mais ça l’est difficilement. Par exemple, il faut attendre que tu aies 10 ans pour que ta tante découvre que tu t'entraînes la nuit. Par contre, tu utilises pleinement l’île et ça c’est chouette. La forme reste basique encore une fois, avec quelques petits clichés (personnage orphelin d’un des deux parents au moins).

          Concernant ton engagement dans la Marine et ton test RP, Anna a résumé ma pensée.

          Du coup, pour moi ça fait du 650 dorikis, ce qui te fait une moyenne de 700 D pour commencer !

          Bonne aventure sur OPR !
          • https://www.onepiece-requiem.net/t13335-fichier-de-l-agent-skull
          • https://www.onepiece-requiem.net/t13245-agent-bjorn-skullson