Mon royaume pour une liqueur !
« Chapitre 1 : l'île aux requins»
Les douces vagues bleutées bercées la barque d'Orwen tandis qu'il naviguait sagement sur une mer des plus calmes, l’alizé transportait avec aisance les délicates effluves marines dans une ambiance paisiblement mélodieuse. Seul le clapotis des rames et le ronronnement des vagues rythmaient la traversé du jeune homme, c'était une scène presque contemplative tandis qu'au loin un crépuscule mélancolique étendait ses larges branches d'airains sur l'horizon .
La navigation à East Blue était sans aucun doute la plus simple de toute les eaux et certainement la plus reposante, le cadre idyllique pour tous passionnés de siestes et autres affres de la relaxation . Cela faisait maintenant plus de cinq heures que notre jeune amis voguait vers sa prochaine destination, la petite île d'Orange et déjà son ventre criait famine . En effet n'ayant rien mangé depuis le tragique accident quelque heures plus tôt Orwen dérivait sur ses émotions, c'était ce genre de petite faim obsédante qui malgré une tentative d’abnégation totale vous rappeliez très vite à l'ordre par le biais de divers grognements gastrique .
*Gra....oooo....* Orwen mit la main sur son estomac :
-" J'ai tellement faim, qu'est-ce-que je donnerais pas pour un plateau de Yakitoris, ou bien de délicieuses escalopes de veau .... * Gra...ooooOO !* .... J'aurais du me diriger vers le Baratie .... "
En prononçant ces mots, les étranges sons provenant de l'estomac du jeune homme s'intenssifièrents. Il n'avait plus rien sur lui, seulement ses armes, un briquet, 300 berrys et une carte des blues, aucune nourriture en somme.
Soudain, tel la providence croisant le chemin des valeureux, un semblant d'île se dessina au loin, suivit très bientôt du raillemant distant des goélands. L'énergie avec laquelle Orwen ramait fût subitement intensifié, un amalgame entre la faim, la curiosité et l'envie de se reposer dans un lit douillet l'avait en un instant infusé d'une furieuse détermination à poser le pied sur l'îlot. N'écoutant que sa fougue ( Et surtout son ventre ) l'hardis jeune homme torpillait en direction de la rive la plus proche .
Il ne lui fallut pas moins d'une bonne heure pour atteindre la courte grève sablonneuse, la frêle barque s'enfonça dans le sable avec ennuie suivis succinctement par le pied droit du louveteau.
Une ambiance apaisante englobait la totalité de l'île plongé dans une quasi-obscurité, les seuls lumières visibles étaient celle depuis les habitations un peu plus loin. La lune, ce magnifique astre d'argent trônait timidement sur la sombre toison aérienne, éclairant faiblement la berge ainsi que la foret environnante. La sempiternel mélodie des grillons stridulants entre les feuilles apportait une touche nostalgique à l'oreille du jeune homme .
Par delà le sable, reposant sur la terre ferme, un étroit chemin de pierres taillés serpentait à travers le paysage dans la direction de la petite ville d'Orange, c'est en toute quiétude, la marche souple et discrète, qu'Orwen entama sa courte ascension vers la tranquille bourgade.
Une brise légère sifflée entre les arbres tel un maître d'orchestre faisant répéter ses musiciens, le doux bruissement des feuilles, le craquement sourd de branches, mêlés au léger crissement de l'herbe boueuse glissant sous les bottes de l'aventurier lui offraient un concerto privé, comme pour signaler l'honneur de la présence du jeune garçon. Le paysage se succéda rapidement, jusqu'à l'orée extérieur du bois, le calme se dissipant, laissant faire l'oeuvre de la légère symphonie accompagnant la civilisation nocturne .
De sympathiques et coquettes maisonnettes pointées le bout de leurs frimousses, éclairées par une rangé de lampadaires en laiton stylisés, vêtus de pierres blanches caractéristiques des milieux chaud, coiffées de fines briques abricots, les édifices se tenaient posément, comme de bons amis discutant autours d'un délicieuse choppe de bière :
*Abricot .... Bière ..... *bave*
Toute cette réflexion sur la beauté du paysage avait emplit Orwen d'une violente pulsion meurtrière à l'encontre des boissons et des aliments. N'écoutant plus que ses instincts primaires, la bête enragée se dirigeait inconsciemment vers la première masure à l'allure d'auberge. En quelques minutes l'affaire était pliée, traversant les rues vides du village, il ne tarda pas à apercevoir un petit attroupement de personne discutant joyeusement à l'extérieur d'une imposante bâtisse. Ce qui étonna en premier lieu Orwen fût l'architecture du bâtiment dont la partie inférieur était composée d'un savant mélange de grès et de chaux flanqués en chaque coin par quatre poutres massives en chêne le tout soutenant une imposante structure en bois.
*Une belle auberge, c'est souvent gage de bonne bière héhé !* Pensa-t-il le sourire aux lèvres. Dans un élan de joie, la jeune fripouille ouvrit avec un entrain non dissimulé la porte à double-battant donnant au sein de l'auberge, celle-ci s'écarta violemment suite à l'impulsion des paumes du pirate. Manque de chance, un jeune villageois se situait juste de l'autre coter au moment de l'impacte, surprit le garçon fût projeté en arrière s’effondrant lourdement sur le parquet de l'enseigne :
" Excuse-moi petit, je suis vraiment désolé, rien d'cassé ?
-Oui .... enfin je crois ... bah...c'est rien...ça peut arriver à tous l'monde monsieur...." répondit avec confusion le jeunot allongé sur le sol.
Orwen lui tendit la main pour l'aider à se redresser, un large sourire affectueux étalé sur son visage, celui-ci accepta la poigne vigoureuse de l'homme et fût, à sa grande surprise en instant redressé sur ses deux jambes. Timidement le garçonnet lui rendit la politesse d'une étrange révérence avant de s'en allait d'un pas mal assuré vers l'extérieur de l'auberge. * Les habitants de ce village ont l'air tout du moins bien sympathiques, j'en connais qui auraient voulus me fracasser la gueule pour moins que ça. * Pensait-il fortement, tandis que les souvenirs de crapules vindicatives lui revenait à l'esprit .
L'aventurier fît un pas en avant *Cling !* Il venait d'heurter quelque chose de dur, abaissant son regard il fût néanmoins relativement surprit, lorsqu'une petite bourse en cuir marron semblant remplit de pièces vint miroiter à sa vue. Un coup d’œil à droite et à gauche de la salle, puis Orwen s'en empara discrètement . *C'est mon jour de chance ! Ça doit-être la bourse de l'autre gamin que j'ai poussé sans faire exprès ... Bah ! Je vais m'excuser pour lui en mangeant à sa santé ! * Jaugeant rapidement l'aumônière rondelette, elle devait bien contenir au bas mot, plus d'une dizaine de milliers de Berrys, une somme largement suffisante pour se payer de quoi boire et manger ainsi qu'une chambre agréable pourvus d'un lit douillet pour la nuit .
C'était une aubaine inespérée pour le jeune homme, il s'avançait d'un pas fier et assuré vers le comptoir faisant sautiller son pécule dans le creux de sa main. Extatique à l'idée de pouvoir pour une fois profiter d'un vrai repas et d'une vrai chambre à coucher, Orwen s'assit nonchalamment sur le premier tabouret qu'il tira vigoureusement jusqu'à lui depuis la console du bar. Un grand gaillard un peu mochard, à la peau tannée par le soleil, lui adressa un sourire chaleureux avant de l'engager d'une voix roque :
-"Alors j'vous sert quoi l'amis ? Vous prendrez bien la spécialité de la région, la délicieuse liqueur de jasmin ! "
Orwen leva les sourcils d'un air interrogateur, de la liqueur de jasmin ? Il n'avait jamais encore goûté un tel breuvage dans une auberge, il n'en avait n'y même, jamais entendus parlait sur aucune des Blues. C'était sûrement une de ces spécialités locales, peu coûteuses et surtout très riches en saveurs .
" -Bien sûr que j'en veux ! Mettait moi en un grand pichet ! Et aussi mhh ...
Son regard se posa sur un petit tableau en ardoise sur lequel était écrit à la craie blanche les différents plats proposés par le chef cuistot, il y avait un choix plutôt consistant en matière de nourriture dans la région : Coq au vin - Ragoût de lapin - Steak au poivre - blanquette de veau - filet de saumon - salade de poulpe - Et d'autres merveilles culinaires faisant trépigner d'impatience l'estomac du jeune homme .
" Le steak au poivre ! Avec une salade de poulpe !
-Hé bien on a une faim de loup à ce que je vois jeune homme ! ALLEZ ON ENVOIE UN STEAK AU POIVRE ET UNE SALADE DE POULPE LES GARS ET UN PICHET DE LIQUEUR DE JASMIN !
-Ça marche ! " Répondit prestement une voix plus loin dans les cuisines .
-Vous inquiétez pas, pour l'alcool c'est offert héhé ! Les affaires marchent bien en ce moment alors on fait plaisir aux clients !
-Ha ... ? Heu .. ? Merci ! "
Était-ce un cadeau du ciel ? La lumière au bout du tunnel ? La félicité avant l'heure ? Orwen bien plus que surpris par cet élan de générosité de la pars du tavernier se sentit tout à coup en plein émoi, une larme aurait même pu lui échapper si tentait que le tenancier lui aurait également offert le repas .
" En parlant d'affaires qui marchent bien, c'est vrai que j'ai remarqué un grand nombre de personnes devant votre auberge, ça roule autant que ça ?
-"Ben oué ch'ti gars ! C'est l'alcool il coûte presque plus rien à acheter ! Regarde derrière, j'ai eu tout ça pour seulement 20000 Berrys !
Le tenancier pivota, laissant apparaître devant le visage déconfit du jeune pirate d'immenses caisses de Rhum, Vodka, Whisky et autres gnôles tout plus diverses et variées s'étalant sur la totalité de l'arrière-comptoir, il devait y en avoir au bas mot pour un bon millier de bouteilles . Malgré la stupéfaction du garçon, une suspicion émergea parmi ses rêves alcoolisés, comment cet homme avait pu se procurer toute ces bouteilles si peu chèrement ? Il n'était pas rare de croiser des cargaisons bradées à cinquante pour cent du prix, mais cela reste dans la limite du rentable pour le vendeur à savoir, 10000 berrys pour 100 bouteilles d'alcools et donc 100000 pour 1000 galons . On se retrouve donc avec 90% de réduction, soit un bénéfice totalement ridicule chez le vendeur pour une telle quantité d'alcool . Il était clair que, derrière ses allures de gentil tavernier ( un peu moche ) bourrue au grand cœur, devait se cacher une personne aux actions des plus douteuses.
-Ha bah put...Incroyable ! Mais comment avez-vous pu vous procurez autant d'alcool à un prix si ridicule ? Demanda-t-il d'une voix simulant la naïveté.
-Secret d'la maison mon gars ! Héhéhé " lui répondit l'aubergiste dans un rire gras .
Orwen feignis un rictus bruyant, tandis qu'il se mettait à réfléchir intensément, ses doigts claquant en cadence avec les petits coups de talons qu'il donnait inconsciemment contre les barreaux en bois de son tabouret. Sa concentration fût de courte durée quand ses plats arrivèrent finalement, une odeur alléchante émanait depuis les deux fines assiettes en porcelaines dans lesquels reposaient son steak au poivre et sa salade de poulpe .
-"Et voila pour vous monsieur ! Vos commandes, ainsi que votre liqueur de jasmin en supplément ! "
Un adorable bout de femme brune pointa le bout de son nez, bien en chair ( et en belles courbes ) elle arborait un visage scintillant sur lequel reposait avec grâce de jolies lèvres pulpeuses roses comme les fesses d'un porcelet, ainsi que deux prunelles bleutées aux reflets argentées et, trônant majestueusement au milieu de ce décors, un nez court et svelte des plus raffinés .
Elle s'approcha du jeune homme lui déposant ses victuailles sous le nez, un grand sourire aux lèvres . Le garçon n'arrivait pas à se décider entre ce qu'il voulait le plus dévoré, depuis grâcile demoiselle à son délicieux repas. Finalement Orwen choisit le repas, car il fallait l'admettre, la faim le tiraillait depuis trop longtemps déjà. Posant alors son regard carnassier sur les délicieux mets qui s'offraient à lui, le gredin fût ô combien surpris quand à qualité de la nourriture, le steak avait l'air relativement bien cuit, l'odeur qui s'en dégageait signifié qu'il avait était flambé au cognac afin de caraméliser la sauce, la sauce elle, était étalé avec parcimonie sur l'ensemble du délicat morceau de viande, s'écoulant savoureusement sur les cotés du pavé. Quand à la salade de calamar, c'était un mélange frais de thym, de romarin, de basilic et de persil englobant de minuscules calamars blancs recouvert d'un filet d'huile d'olive et de petites échalotes.
Trop c'était trop ! Le garçon se rua alors sans retenus sur ses plats tel une bête affamée déchiquetant sa proie après des jours de jeûnes, oubliant les bonnes manières, il se mît à renverser de la sauce sur le comptoir, ses vêtements, des morceaux de nourritures fusèrent depuis le centre de ses auges jusqu'au tavernier, qui s’efforçait de les esquiver avec une agilité non dissimulé, il enchaîna par la suite en attaquant le pichet de liqueur de jasmin, qu'il descendit d'un trait sans même se servir un verre et enfin, quand il eut finit sa ripaille , le jeune homme s'étala de tous son long sur le comptoir, laissant échapper un soupire de satisfaction .
"-C'était vraiment délicieuuuuuuuuuuux.... A plus faim .... glissa-t-il entre ses lèvres. * Baille lourdement* Je crois que je ferais mieux d'allez me coucher ... C'est possible d'avoir une chambre dans votre auberge mon brave ? " Lança-t-il mollement tout en se relevant, la bouche pleine de sauce et la chemise constellée de taches.
-"Hé ben ... C'est un sacré appétit que vous z'avez la mon gars ! Si vous voulez j'ai une petite chambre tranquille en haut, allez donc vous-y reposer ! Par contre le repas plus la nuit ça vous feras 10 000 berrys tout rond ! " Dit-il en tendant la main, un large sourire placardé sur son visage .
Orwen se mît à fouiller dans ses poches tandis qu'il ressortait la bourse du garçonnet rencontré un peu plus tôt, détachant les petits cordons en cuir cerclant le paquetage, il se mît à compter les pièces et les billets contenus à l'intérieur, il y en avait pour un totale de 9 632 berrys, Orwen y ajouta ses propres économies restante pour un totale de 9 932 berrys .
"-Je crois qu'il me manque 68 berries, lui dit-il avec une gène palpable.
"-Vas donc falloir que j'me charge de toi .... Lui répondit sombrement le gaillard, le pirate eu en un instant le réflexe de mettre la main à son épée longue et de raidir ses muscles, une étrange tension s'était installée dans la pièce, comme si un froid mordant et déchirant c'était subitement abattus dans la zone, il n'y avait plus aucun bruits, simplement les battements de son cœur et le regard oppressant du tenancier, braqué contre le sien. Il déglutit avec lenteur, tandis que sa respiration s’accélérait progressivement, s'il fallait agir, il fallait le faire maintenant !
.....En t'offrant gratuitement le reste du repas héhé ! " Finit-il avec entrain. Ces chaleureuses paroles dissipèrent soudainement l’atmosphère oppressante entre les deux hommes, Orwen prit d'un rictus nerveux, versa le contenus de sa bourse sur la paume de l'aubergiste, tandis que celui-ci recomptait tranquillement les pièces.
En vérité le jeune homme était toujours sur ses gardes, la main au fourreau prêt à dégainer * J'ai vraiment sentie une aura meurtrière émanant de lui, et plusieurs personnes attablées ce sont retournées discrètement dans ma direction * Pensait-il anxieux. * Il y à quelque chose de pourrie par ici ... *
" Tien voila tes clés ! Chambre 3 deuxième étage, passe une bonne nuit ! Finit-il d'une voix mélodieuse. Le garçon saisit prestement les clés.
-Merci ... Bonne nuit à vous aussi .... " Répondit-il d'une voix empreinte de suspicion.
Le regard en alerte, la marche précipitée, Orwen grimpait à présent les épaisses marches en bois menant à l'étage supérieur du bâtiment, ses mains moites glissant le long de la froide rembarde cirée. Dans son dos coulant tel un liquide glaciale le jeune pirate ressentait le regard de plusieurs dizaines d'autres personnes braqués contre lui . Faisant mine de ne pas les avoirs remarqué, il se dirigeait d'un pas décidé vers son lieu de repos .
* Il faut que je me calme * se répétait-il en boucle tandis qu'il passais la main sous sa chemise pour compter les battements de son cœur * Faut que j'aille me reposer ou sinon je vais finir par faire une crise cardiaque ! * Effectivement le cœur du jeune homme battait la chamade, mais rien de bien grave en somme un simple coup de stress bénin, sauf bien sûr lorsque l'on est névrosé à ce sujet . La névrose c'est tout un état d'esprit, une certaine forme de maladie en sois, le sujet na rien, tous semble le plus normale du monde chez lui et pourtant la complexe machine de réflexion qu'est l'homme fait qu'une douleur bénigne ou une maladie futile déclenche chez le malade une réaction exagérée conduisant bien souvent à de réelles problèmes d'ordres psychologiques voir dans le pire des cas, physiques .
Tremblant de tout son corps, Orwen traversait maladroitement le court corridor donnant sur l'étage supérieur, celui-ci était faiblement éclairé par le biais de quelques lampes à huiles, dont les frêles flammes orangées à demi-étouffées, faisaient danser l'ombre du jeune homme sur les murs avoisinants.
*Chambre 3...chambre 3.... C'est ici !* Une porte en bois d’ébonite affublée d'un petit écriteaux en étain gravé d'un 3 grossier se tenait fièrement entre lui et sa destination, le lit douillet pour lequel il avait du ramer pendant 6 heures sans interruption dans le froid et l'humidité n'était plus qu'a quelques mètres de distance. Les jambes flageolantes, les mains chevrotantes Orwen s’efforçait de garder son calme tandis qu'il essayait de faire rentrer les clés de ses appartements dans l'étroite serrure en bronze.
Après plusieurs tentatives maladroites, il sortit finalement vainqueur de ce terrible affrontement, la porte glissa légèrement dans un silence presque fantomatique révélant grâce à la lumière du couloir une petite chambre agréable et spacieuse, composée d'un lit double aux draps écarlates élégamment fait, d'une petite commode stylisée, d'un bureau pourvus d'une chaise en bois simple ainsi que d'une étroite fenêtre recouverte mollement par de court rideaux en fils de lin donnant sur l'extérieur de l'auberge .
La pièce aux murs en bois blanc d'albâtre, était elle même flanqué par deux lampes à gazes dont les tubes de verre transparent, d'une propreté remarquable, sans aucune trace de brûlure, démontrés un changement récent du mobilier. Orwen fermas la porte derrière lui d'un coup sec, la refermant presque sans s'en rendre compte d'un foudroyant coup de clé bien placé, puis le jeune homme s'effondras mollement sur sa couchette, tombant dans un bruit sourd.
Dernière édition par Orwen Snow le Dim 10 Jan 2016 - 19:14, édité 15 fois