Jiraya Kaito
• Pseudonyme : Kaï
• Age : 17 ans
• Sexe : Homme
• Race : Humain
• Métier :
• Groupe : Pirate
• Age : 17 ans
• Sexe : Homme
• Race : Humain
• Métier :
• Groupe : Pirate
• But : Découvrir le monde qui m'entour en partant à l'aventure.
• Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Le haki empathique
• Équipement : Qui ne tente rien n'a rien, alors pourquoi pas une des cinquante lames supérieurs
• Parrain : /
• Ce compte est-il un DC ? Non
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? /
• Codes du règlement :
• Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Le haki empathique
• Équipement : Qui ne tente rien n'a rien, alors pourquoi pas une des cinquante lames supérieurs
• Parrain : /
• Ce compte est-il un DC ? Non
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? /
• Codes du règlement :
Description Physique
Bon par quoi commencer ? Je ne suis pas vraiment quelqu'un d'exceptionnel. Juste un gars avec une démarche pas franchement semblable à celle des mannequins. Ma peau est relativement pale. Je bronze difficilement. Mes yeux sont noirs et formés de pupilles en fentes, comme celles des chats. A première vue c'est original, mais on s'y fait vite. Mes cheveux sont marrons et en bataille. A vrai dire, les coiffer n'est pas vraiment une passion. Une main dans les cheveux et le tour est joué. Enfin pour moi, pas auprès des filles visiblement. Il est vrai qu'un signe me distingue un peu mieux dans la foule. Je parle des deux triangles rouges sur mes deux joues. C'est une marque de famille, un signe des Jirayas. J'aime bien cette forme sur mon visage. Ca me rend unique. Sinon, plus physiquement je mesure un mètre soixante-dix-sept. Ouais, c'est cool d'être grand. Je ne suis pas très gros et pèse soixante-quinze kilos. C'est pratique le sport. D'ailleurs j'ai quelques muscles au niveau des bras et des abdos. Disons que je suis bien bâti. Généralement, je fais au plus simple pour m'habiller. N'étant pas un grand fan de la mode dans ce monde, j'opte pour du simple. Veste noire ajustée. Short ample ou pantalon noir adéquat pour les mouvements. Sandales. Parfois, j'aime aussi porter un gilet ajusté, mais ample de couleur grise. C'est un petit style simple, mais sympa. Ah oui un dernier truc, j'ai une fâcheuse tendance à mettre mes mais dans mes poches.
Description Psychologique
Me définir psychologiquement ? C'est plutôt compliqué. Oui, je suis complexe. Déjà, je suis plutôt d'un naturel lymphatique. Ouais, je ne suis pas souvent motivé et je fais un peu preuve de manque d'enthousiasme. Si vous voulez mon avis, je préfère éviter les situations "galères", pénibles ou encore les responsabilités. D'ailleurs, je me qualifie souvent de fainéant bien que je ne sois pas un lâche. J'aime la tranquillité et regarder les nuages. De plus, loin de vouloir devenir, comme mes petits camarades, roi des pirates ou meilleur pirate du village, j'ai des aspirations très simples pour ma vie future : une femme ni trop moche ni trop canon, deux enfants, un garçon, une fille et un peu de temps pour jouer au shôgi. J'aime ce jeu. En faite, ce manque de motivation et mes attitudes sont dues à mon QI très élevé. Ouais, deux cents de quotient intellectuel c'est pas mal. Disons que je comprends vite les choses et que je m'ennuie vite après. Malgré ce naturel fainéant, je fais preuve d'initiative et de compétences de meneur d'homme. Il en faut bien. De plus, je suis extrêmement loyal envers mes amis et désire plus que tout protéger mes proches. Je ne laisserais jamais tomber quelqu'un. Bien que je sois parfois lent, il m'arrive souvent de faire le bordel. Ouais, je séchais souvent les cours avec mes petits camarades en sautant par la fenêtre et désobéissais à notre enseignant. Puis la plupart du temps, lors des examens, je m'endormais avant même d'avoir commencé à écrire.
Biographie
Ma vie n'est pas vraiment originale vous savez. Je suis né un bel après-midi d'été dans la ville la plus célèbre d'east blue. Je veux, bien entendu, parler de Logue Town. On dit que c'est là que tout commence et que tout finit. Très tôt, j'ai appris à lire et à écrire, bien plus tôt que mes camarades. Etant petit, j'aimais beaucoup me cultiver et apprendre de nouvelles choses intéressantes. Malheureusement, ce fut de courte durée. Une lassitude s'installa au milieu de tout cet apprentissage. J'étais un cancre. Paresseux et rêveur, je comprenais les choses rapidement et m'ennuyais vite. Avec les copains, je préférais sécher les cours ou défier notre professeur, surtout sur sa patience. Je n'avais jamais vraiment eu d'excellents résultats. Au fond de la classe, je m'endormais souvent avant de répondre aux questions d'un examen. Pour ce qui était du sport, j'étais un peu plus actif. Même si je me prenais parfois la balle en pleine figure, j'élaborais toujours une stratégie que j'offrais à mes coéquipiers. Résultat, notre équipe gagnait. En rentrant de l'école je ne faisais pas mes devoirs. Je préférais de loin partir découvrir de nouveaux endroits. J'habitais dans un quartier plutôt sympathique. Mes parents n'étaient pas les plus riches de la ville, mais nous vivions très bien. Mon père était médecin. Ma mère ne travaillait pas. Une dame très sévère. Elle n'avait donné naissance qu'à un enfant, moi-même. Ce n'était pas toujours simple d'être fils unique, je me retrouvais parfois seul. J'aimais beaucoup mon quartier. Au fond de la rue, il y avait une fleuriste. J'appréciais passer lui rendre visite et elle semblait aimer ma venue. De temps à autre elle m'offrait une orchidée. Quelques fois, je rendais visite au marchand de sushis qui possédait un petit restaurant à l'entrée du quartier. J'aimais beaucoup lui acheter de la nourriture. De plus ses nouilles étaient délicieuses. Je traînais souvent dehors. Sauf quelques parcs, il n'y avait pas beaucoup d'espaces verts dans cette ville. Bien que de beaux bâtiments et une pollution modérée, je ne faisais pas souvent la rencontre d'animaux. Observant les nuages, je voyais parfois les oiseaux voler. La liberté... J'en rêvais. Oui. Mon rêve était sans doute de partir à l'aventure. Découvrir de nouvelles contrées. Apprendre de nouvelles choses sur le monde qui m'entourait. J'aimais lire le journal. M'informer de la situation mondiale. Je suivais les histoires des pirates, de la marine et même des révolutionnaires, bien que ceux-là se faisaient discret. Je trouvais toujours le monde qui m'entourait remplit de mystères et d'intrigues. C'est ce qui me donnait envie de le découvrir. J'aimais lire le journal au parc municipal. C'est aussi ici que je regardais les nuages. Un jour; assis sur le banc, lisant la rubrique des têtes misent à prix, je fis la rencontre de celui qui allait devenir mon meilleur ami. Je l'avais nommé Aki. Oui, c'était bien un nom de chien. Une petite boule de poil blanche aux oreilles brunes et au museau noir. Un maigre cabot errant, sans collier. Un abandonné ou un qui n'avait jamais trouvé de famille. Sans forcément le vouloir, je m'étais lié d'amitié avec cette bête bien qu'elle m'eut uriné dessus au premier contacte. Ne vous moquez pas. Aki et moi nous formions la paire, si bien que je n'étais plus seul. Il m'accompagnait à l'école. Restait avec moi dans n'importe quelle situation. On faisait souvent de longues ballades. Avec lui je n'avais pas besoin de laisse comme les vieilles qui promenaient leurs chiens. Plus tard, mon père avait décidé de me payer des cours d'arts martiaux et je lui avais donc demandé de m'inscrire à ceux d'épéiste. J'avais vu beaucoup d'article sur des sabreurs de grande renommée, cet art me donnait envie. Du coup, j'avais acheté, avec mes économies, un sabre de bonne qualité. Pas très neuf. Pas très usé. La parfaite arme adaptée à mon niveau. J'allais toujours à l'entrainement avec mon compagnon. Etant donné mes capacités, j'apprenais rapidement et devenait fort en peu de temps. C'était remarquable. J'appréciais manier cet objet. Ainsi, avec Aki, je m'entraînais au parc, près d'un arbre, à l'abris des regards curieux. Aki et moi, on se comprenait dans un sens. D'ailleurs, il était aussi intelligent que moi et comprenait presque tout ce que je lui disais. Dans les rues, les magasins. Je l'emmenais partout avec moi. J'avais un véritable ami. Je ne savais pas encore vraiment de quoi était fait mon avenir. Ça restait plus flou qu'autre chose dans ma tête. Ce que je savais, c'était que je voulais rencontrer de nouvelles personnes et me faire de nouveaux amis. J'avais hâte.
Test RP
Aube dansante, soleil levant, ciel bigarade, un coup de vent toquait au carreau d'une fenêtre. J'ouvrais les yeux. La violence de cette bourrasque me réveillait sans gêne. Impossible de retrouver quelques minutes de repos. Les yeux cernés j'étais obligé de me lever. À peine debout, un courant d'air dressait les poils de mes bras dénudés. La décision ne fut pas difficile à prendre, je m'habillais avant de descendre dans le salon. Rien de très compliqué. Un gilet ample, cintré et gris. Un pantalon court, noir, pas plus bas que mes genoux. Des sandales. Je jetais un retard par la fenêtre. La journée débutait doucement. Je n'allais pas à l'école aujourd'hui. J'étais enfin libre. Avant d'entreprendre quoi que ce soit, je prenais la direction du rez-de-chaussée. À mes côtés, Aki. Il avait émergé avant moi, attendant mon réveil. J'arrivais dans le salon et saluais ma mère qui s'occupait du linge. Mon père était déjà au travail. Je me frottais les yeux et lui accordais quelques mots avant de prendre le journal posé sur la table de la salle à manger et d'entrer dans la cuisine. Je m'installais sur une chaise et ouvrais le journal au hasard. Tout en lisant le premier article que je voyais je me préparais un bol de céréale accompagné de lait. J'aimais le lait.
Je terminais mon déjeuner par un jus de fruit. Je prenais un sac à dos noir et y mettais à l'intérieur de quoi m'occuper pour la journée. Le journal à moitié lu. Un livre sur le shogi. Un pique-nique. Aki avait aussi terminé son repas. Ensemble, nous allions chercher mon sabre et nous quittions la maison. En sortant, je cueillais une fleur violette. Je passais devant la boutique de la fleuriste. Elle venait tout juste d'ouvrir le commerce. Je faisais sonner la clochette en entrant à l'intérieur. Je saluais la vieille dame et lui offrais la fleur que j'avais ramassée. On pouvait dire que j'avais illuminé sa journée. Je ressortais, rappelant à Aki qu'il ne devait pas manger les fleurs et quittais le quartier. Dans un premier temps, je voulais aller au parc, mais finalement je décidais de me diriger vers la côte. Un vent gentillet soufflait. Plus la mâtiné avançait, plus le ciel prenait une couleur bleue, sans aucun nuage. En ville, tous les commerces étaient ouverts, personne ne chômait. Pour me rendre sur la côte je devais traverser la grande place. Il y avait toujours pleins de gens ici, à vénérer ou non la mort du roi des pirates. J'ignorais la plateforme d'exécution et me rendais de l'autre côté. Du coin de l'œil j'apercevais un groupe d'individus suspect interrogé par la marine. Je n'y prêtais pas attention, c'était très régulier ce genre de situation à Logue Town. Les mains dans les poches je m'intéressais plutôt au chemin menant au port de la ville.
Le soleil brillait et je pouvais entendre les mouettes chanter. J'étais en haut d'une colline et avait vu sur tout le port. Aki s'amusait dans l'herbe avec ce qu'il semblait être un papillon. Assis à l'ombre d'un chêne, je terminais de lire le journal. Il y avait pas mal de choses intéressantes sur le monde actuel. Des anecdotes amusantes sur certaines situations où bien des crimes plus graves. Je posais mon journal ouvert sur mon ventre et les bras bras derrière la tête j'observais le port qui s'animait. Deux cargos venaient d'arriver, surement par besoin de ravitaillement. Au loin je pouvais encore apercevoir un bateau qui prenait le large. Un pavillon noir. Attentive aux mouvements du navire je perdais sa trace. Étendue d'eau et horizon infini. Je me demandais s'ils partaient sur Grand Line ou bien sur les blues. Je décrochais mon sabre de ma ceinture et l'observais en détail, toujours allongé contre l'arbre. Une lame fine. Un manche bleu marin. Tout cela me donnait le goût de l'aventure. Aki était revenu pour s'allonger à mes côtés, le papillon ayant surement décidé de fuir. Je me levais et descendais la colline pour m'approcher des navires. Ici je ne risquais pas grand chose, la Marine surveillait en permanence les bateaux non-homologués. Me promenant le long du rivage, je tombais nez à nez avec une barque vide. Quatre personnes maximum. Un voile en bon état. Et ma soif d'aventure.
Ce que je faisais, ce n'était sûrement pas autorisé. Avoir détaché un bateau qui ne m'appartenait même pas pour aller chevaucher quelques vagues, c'est ce qu'on appelait du cran. Assis sur un des deux bancs de la barque, j'observais le ciel. Quelques nuages étaient apparus. J'imaginais leurs formes, me laissant porter par les vagues. C'était relaxant, tranquille. Je n'allais pas rester ici longtemps, juste une vingtaine de minutes, rien de plus. Aki semblait apprécier l'excursion, sa queue remuait dans tous les sens. Il semblait joyeux jusqu'à un moment où il décida de se coucher en rond au fond bateau tout en pleurnichant. Quoi encore ? Je m'approchais de mon ami pour le rassurer quand une énorme goutte d'eau tomba sur ma main. Je levais la tête. De gros nuages gris dans un ciel gris. Comment est-ce que le temps avait pu changer aussi rapidement ? Je me levais. Les vagues commençaient à s'agiter, en désaccord avec le vent. La barque tanguait de tous les côtés. La vitesse du vent augmentait en même temps que la taille des vagues. Si je ne faisais rien, c'était fini. Je mettais mon sac sur mon dos et demandais à Aki de monter sur mon épaule. Il s'exécutait. Il n'y avait pas de bateau dans mon champs de vision. J'étais seul avec Aki. Le littoral commençait à s'effacer sous le brouillard. Pas de panique.
Un orage éclatait. Dans le ciel gris et le brouillard intense je pouvais apercevoir les éclairs. La pluie en avait profité pour se pointer. J'étais trempé de partout. La barque était remplie d'eau et peu à peu des trous se formèrent dans la coque. J'essayais tant bien que mal de naviguer et de diriger le voile mais rien à faire. Il se déchira sous la pression du vent. Impossible... Il y avait bien une dernière solution, inutile, certes, mais à tenter. Je prenais l'une des rames et commençais à ramer. Ridicule. Ce n'est pas comme ça que je parviendrais à rentrer sur la terre ferme. Ma force n'était rien comparé à celle de l'eau déchaînée. Je me fatiguais. Un nouveau coup de tonnerre. Je tombais et me cognais contre le banc suite à une bourrasque de vent. Un hurlement de mon chien. Une vision floue. Des vagues. Du brouillard. Le ciel gris. L'humidité. La tempête. La panique. Plus rien. Le vide. De longues minutes de silence. Chute dans l'inconscient.
Petit à petit j'entendais un bruit. Un chuchotement. Non, plusieurs chuchotements. Des voix de droite, de gauche. Je toussais et ouvrais les yeux. La première chose dans mon champs de vison : le ciel. Ni bleu ni gris. Quelques nuages. Je me redressais. J'étais sur le pont d'un navire de la marine. Aki à ma droite en train de manger. J'étais trempé. Je me relevais brusquement pour finalement voir que le navire se dirigeait vers le port le Logue Town. Je soufflais, soulagé. Mains dans les poches, je retournais voir mon chien et les deux-trois soldats autour. On pouvait dire que j'avais été sauvé par cet équipage. Au loin je voyais un gars en furie et mieux habiller que les autres se diriger vers moi au pas de course. L'idée de sauter du bateau me traversait mais je prenais mon courage pour écouter ce qu'il avait à dire. Je me faisais passer le plus beau savon de ma vie. Une engueulade comme pas permis. Je le reconnaissais, le chef de la marine de Logue Town. Le vice amiral je ne sais plus trop quoi. Enfin... je lui devais la vie. Je m'excusais et après m'être fait royalement incendié je descendais du bateau. Pour ce coup là, j'avais eu beaucoup, beaucoup de chance. J'ouvrais mon sac, je me souvenais du pique-nique que j'avais préparé. Sur le chemin du retour, je mangeais. Le journal était toujours vivant dans mon sac.
Je terminais mon déjeuner par un jus de fruit. Je prenais un sac à dos noir et y mettais à l'intérieur de quoi m'occuper pour la journée. Le journal à moitié lu. Un livre sur le shogi. Un pique-nique. Aki avait aussi terminé son repas. Ensemble, nous allions chercher mon sabre et nous quittions la maison. En sortant, je cueillais une fleur violette. Je passais devant la boutique de la fleuriste. Elle venait tout juste d'ouvrir le commerce. Je faisais sonner la clochette en entrant à l'intérieur. Je saluais la vieille dame et lui offrais la fleur que j'avais ramassée. On pouvait dire que j'avais illuminé sa journée. Je ressortais, rappelant à Aki qu'il ne devait pas manger les fleurs et quittais le quartier. Dans un premier temps, je voulais aller au parc, mais finalement je décidais de me diriger vers la côte. Un vent gentillet soufflait. Plus la mâtiné avançait, plus le ciel prenait une couleur bleue, sans aucun nuage. En ville, tous les commerces étaient ouverts, personne ne chômait. Pour me rendre sur la côte je devais traverser la grande place. Il y avait toujours pleins de gens ici, à vénérer ou non la mort du roi des pirates. J'ignorais la plateforme d'exécution et me rendais de l'autre côté. Du coin de l'œil j'apercevais un groupe d'individus suspect interrogé par la marine. Je n'y prêtais pas attention, c'était très régulier ce genre de situation à Logue Town. Les mains dans les poches je m'intéressais plutôt au chemin menant au port de la ville.
Le soleil brillait et je pouvais entendre les mouettes chanter. J'étais en haut d'une colline et avait vu sur tout le port. Aki s'amusait dans l'herbe avec ce qu'il semblait être un papillon. Assis à l'ombre d'un chêne, je terminais de lire le journal. Il y avait pas mal de choses intéressantes sur le monde actuel. Des anecdotes amusantes sur certaines situations où bien des crimes plus graves. Je posais mon journal ouvert sur mon ventre et les bras bras derrière la tête j'observais le port qui s'animait. Deux cargos venaient d'arriver, surement par besoin de ravitaillement. Au loin je pouvais encore apercevoir un bateau qui prenait le large. Un pavillon noir. Attentive aux mouvements du navire je perdais sa trace. Étendue d'eau et horizon infini. Je me demandais s'ils partaient sur Grand Line ou bien sur les blues. Je décrochais mon sabre de ma ceinture et l'observais en détail, toujours allongé contre l'arbre. Une lame fine. Un manche bleu marin. Tout cela me donnait le goût de l'aventure. Aki était revenu pour s'allonger à mes côtés, le papillon ayant surement décidé de fuir. Je me levais et descendais la colline pour m'approcher des navires. Ici je ne risquais pas grand chose, la Marine surveillait en permanence les bateaux non-homologués. Me promenant le long du rivage, je tombais nez à nez avec une barque vide. Quatre personnes maximum. Un voile en bon état. Et ma soif d'aventure.
Ce que je faisais, ce n'était sûrement pas autorisé. Avoir détaché un bateau qui ne m'appartenait même pas pour aller chevaucher quelques vagues, c'est ce qu'on appelait du cran. Assis sur un des deux bancs de la barque, j'observais le ciel. Quelques nuages étaient apparus. J'imaginais leurs formes, me laissant porter par les vagues. C'était relaxant, tranquille. Je n'allais pas rester ici longtemps, juste une vingtaine de minutes, rien de plus. Aki semblait apprécier l'excursion, sa queue remuait dans tous les sens. Il semblait joyeux jusqu'à un moment où il décida de se coucher en rond au fond bateau tout en pleurnichant. Quoi encore ? Je m'approchais de mon ami pour le rassurer quand une énorme goutte d'eau tomba sur ma main. Je levais la tête. De gros nuages gris dans un ciel gris. Comment est-ce que le temps avait pu changer aussi rapidement ? Je me levais. Les vagues commençaient à s'agiter, en désaccord avec le vent. La barque tanguait de tous les côtés. La vitesse du vent augmentait en même temps que la taille des vagues. Si je ne faisais rien, c'était fini. Je mettais mon sac sur mon dos et demandais à Aki de monter sur mon épaule. Il s'exécutait. Il n'y avait pas de bateau dans mon champs de vision. J'étais seul avec Aki. Le littoral commençait à s'effacer sous le brouillard. Pas de panique.
Un orage éclatait. Dans le ciel gris et le brouillard intense je pouvais apercevoir les éclairs. La pluie en avait profité pour se pointer. J'étais trempé de partout. La barque était remplie d'eau et peu à peu des trous se formèrent dans la coque. J'essayais tant bien que mal de naviguer et de diriger le voile mais rien à faire. Il se déchira sous la pression du vent. Impossible... Il y avait bien une dernière solution, inutile, certes, mais à tenter. Je prenais l'une des rames et commençais à ramer. Ridicule. Ce n'est pas comme ça que je parviendrais à rentrer sur la terre ferme. Ma force n'était rien comparé à celle de l'eau déchaînée. Je me fatiguais. Un nouveau coup de tonnerre. Je tombais et me cognais contre le banc suite à une bourrasque de vent. Un hurlement de mon chien. Une vision floue. Des vagues. Du brouillard. Le ciel gris. L'humidité. La tempête. La panique. Plus rien. Le vide. De longues minutes de silence. Chute dans l'inconscient.
Petit à petit j'entendais un bruit. Un chuchotement. Non, plusieurs chuchotements. Des voix de droite, de gauche. Je toussais et ouvrais les yeux. La première chose dans mon champs de vison : le ciel. Ni bleu ni gris. Quelques nuages. Je me redressais. J'étais sur le pont d'un navire de la marine. Aki à ma droite en train de manger. J'étais trempé. Je me relevais brusquement pour finalement voir que le navire se dirigeait vers le port le Logue Town. Je soufflais, soulagé. Mains dans les poches, je retournais voir mon chien et les deux-trois soldats autour. On pouvait dire que j'avais été sauvé par cet équipage. Au loin je voyais un gars en furie et mieux habiller que les autres se diriger vers moi au pas de course. L'idée de sauter du bateau me traversait mais je prenais mon courage pour écouter ce qu'il avait à dire. Je me faisais passer le plus beau savon de ma vie. Une engueulade comme pas permis. Je le reconnaissais, le chef de la marine de Logue Town. Le vice amiral je ne sais plus trop quoi. Enfin... je lui devais la vie. Je m'excusais et après m'être fait royalement incendié je descendais du bateau. Pour ce coup là, j'avais eu beaucoup, beaucoup de chance. J'ouvrais mon sac, je me souvenais du pique-nique que j'avais préparé. Sur le chemin du retour, je mangeais. Le journal était toujours vivant dans mon sac.
Informations IRL
• Prénom : Lucie
• Age : 15 ans
• Aime : Les mangas, manger
• N'aime pas : Les devoirs ahah
• Personnage préféré de One Piece : Law, Zoro, Jewerly
• Caractère : Quelques mots pour vous décrire ? Une fainéante qui aime manger et aller à l'école pour apprendre de nouvelles choses
• Fait du RP depuis : Pas mal de temps
• Disponibilité approximative : Plusieurs fois dans la semaine
• Comment avez-vous connu le forum ? Google
ONE PIECE REQUIEM ©
Dernière édition par Kaito Jiraya le Mer 10 Fév 2016 - 15:21, édité 6 fois