Minato Shikoku
• Pseudonyme : aucun pour le moment, je laisse la Marine où même un @ m'en donner un
• Age : 20 ans
• Sexe : Homme
• Race : Humain
• Métier : Aucun
• Groupe : Pirate
• Age : 20 ans
• Sexe : Homme
• Race : Humain
• Métier : Aucun
• Groupe : Pirate
• But : Marquer l'histoire de son empreinte
• Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Le fruit des vecteurs une fois que j'aurais les dorikis nécessaires
• Équipement : Un sabre de bonne qualité
• Parrain :
• Ce compte est-il un DC ? Un reboot plutôt
• Si oui, quel @ l'a autorisé ?
• Codes du règlement :
• Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Le fruit des vecteurs une fois que j'aurais les dorikis nécessaires
• Équipement : Un sabre de bonne qualité
• Parrain :
• Ce compte est-il un DC ? Un reboot plutôt
• Si oui, quel @ l'a autorisé ?
• Codes du règlement :
Description Physique
Minato est un jeune homme de taille plutôt normal avec un gabarit banal. Or, à n'en pas douter il n'est pas comme n'importe qui.
Une chevelure sombre comme la nuit se dissimule sous le grand chapeau de paille tressée de l'épéiste. Coiffé en petite queue de cheval de manière traditionnelle, ses cheveux ne sont pourtant qu'extrêmement rarement visible aux yeux de tous. En effet, emmitouflé sous plusieurs couches de tissus, il faut être chanceux pour voir sa tignasse noire. Cependant, plus bas c'est le drame, plus rien n'est harmonieux. En effet, la peau du bretteur est brûlée par l'acide, rongée et du coup, son visage n'en est que disgracieux si on veut être gentil.
Les yeux violets pour une raison génétique étranges, c'est la seule chose qui apparaît malgré le masque que porte ne permanence Minato.
Or, il faut quand même parler de ce visage immonde. Le nez rongé, il est creusé en sont centre ce qui est absolument répugnant et incroyable à la fois. De plus, la joue droite de l'épéiste n'a pas été épargnée non plus. En fait, elle a en partie fondue laissant la mâchoire, les dents et l'intérieur de la bouche visible et à l'air libre. On pourrait aussi parler de l'oreille droite du samouraï inexistante, laissant place à un simple trou. Voilà ce que peut vous faire l'acide, faites attention !
Maintenant, pour ce qui est de la carrure de Minato, il faut avouer qu'il n'y a rien de particulier à dire. Absolument pas imposant, c'est tout de même un jeune homme dont le corps est entraîné et sa musculature fine en témoigne. Là aussi, il a subit les ravages de l'acide. En effet, son omoplate droite est brûlée, dépigmentée tout comme son pectoral droit. Mais ce n'est pas tout, sur le torse le bretteur arbore plusieurs cicatrices témoignant de féroces combats et d'entraînements intenses. L'un d'elle prend directement naissance au niveau de son trapèze gauche et vient terminer sa course sur sa hanche droite. Une blessure bien refermée mais qui marque sa peau à jamais. Il ne faut pas oublier que les bras du samourai sont complètement ravagés par l'acide. Puis, sur son dos une multitude de lacération prennent places, attestant de coups de fouets nombreux et certainement douloureux. Pour terminer, les jambes du pirates sont elles aussi "signée" et notamment la plante de ses pieds par des coups de bambous effilés.
Ensuite, nous pouvons désormais évoquer l'accoutrement de Minato. En effet, il est pour le moins très habillé.
Donc, tout d'abord on peut remarquer le chapeau de paille tressée traditionnellement qu'il porte. Le protégeant du soleil comme de la pluie, c'est un accessoire qu'il ne quitte qu'en de rare occasions. On peut notamment cité les combats les plus compliqués ou d'autres éventuelles situations pas réellement définit. Aussi, le bretteur porte un masque comme précisé plus haut. Il permet au jeune homme de dissimulé sa figure ravagée par l'acide, et donc de ne pas effrayé les gens. Or, ce masque d'acier est lui-même plutôt inquiétant, laissant penser à un démon. Aussi, deux trous font places aux yeux et un troisième laisse entrevoir la bouche du pirate, dans l'unique but qu'il puisse être compris lorsqu'il parle. Aussi, le samourai possède un tissu rouge qui lui recouvre tout le corps des jambes jusqu'à la tête. Les bras complètements recouvert de ce vêtement, il cache donc chaque parcelle de sa peau de la vision d'autrui mais aussi du soleil. Etant quelque peu attaché aux traditions, il porte donc une armure souple qui protège grossièrement ses poings vitaux. Un espèce de turbans jaune vient lui entouré la taille et une lanière dans le dos porte le fourreau de son sabre.
Enfin, au niveau de ses cuisses l'épéiste porte une sorte de cuissard renforcé mais toujours souple, voir un peu plus souple que ces autres protections.
Ainsi est décrit l'apparence physique de Minato, mais il n'y a pas que ça chez un homme. De ce fait, on va parler des quelques caractéristiques qui font du pirate ce qu'il est.
Tout d'abord sa voix, légèrement sombre, elle impose directement l'homme. Grave mais pas trop, elle est plutôt reconnaissable. Aussi, il faut dire que le samourai est calme, donc il parle de manière posée et ne se hâte pas.
Aussi, le regard du sabreur est particulier. Il est dur et peut apeuré certains de ses ennemis. L’œil vif, on peut être déconcerté par les yeux violacé du jeune homme.
Parlons aussi des habitudes du bretteur, prêt à dégainer en tout instant, il est cependant assez posé. Souvent assis quand il en a l'occasion, il n'en demeure pas moins un garçon droit qui sait ce montrer fier à en juger sa posture.
Une chevelure sombre comme la nuit se dissimule sous le grand chapeau de paille tressée de l'épéiste. Coiffé en petite queue de cheval de manière traditionnelle, ses cheveux ne sont pourtant qu'extrêmement rarement visible aux yeux de tous. En effet, emmitouflé sous plusieurs couches de tissus, il faut être chanceux pour voir sa tignasse noire. Cependant, plus bas c'est le drame, plus rien n'est harmonieux. En effet, la peau du bretteur est brûlée par l'acide, rongée et du coup, son visage n'en est que disgracieux si on veut être gentil.
Les yeux violets pour une raison génétique étranges, c'est la seule chose qui apparaît malgré le masque que porte ne permanence Minato.
Or, il faut quand même parler de ce visage immonde. Le nez rongé, il est creusé en sont centre ce qui est absolument répugnant et incroyable à la fois. De plus, la joue droite de l'épéiste n'a pas été épargnée non plus. En fait, elle a en partie fondue laissant la mâchoire, les dents et l'intérieur de la bouche visible et à l'air libre. On pourrait aussi parler de l'oreille droite du samouraï inexistante, laissant place à un simple trou. Voilà ce que peut vous faire l'acide, faites attention !
Maintenant, pour ce qui est de la carrure de Minato, il faut avouer qu'il n'y a rien de particulier à dire. Absolument pas imposant, c'est tout de même un jeune homme dont le corps est entraîné et sa musculature fine en témoigne. Là aussi, il a subit les ravages de l'acide. En effet, son omoplate droite est brûlée, dépigmentée tout comme son pectoral droit. Mais ce n'est pas tout, sur le torse le bretteur arbore plusieurs cicatrices témoignant de féroces combats et d'entraînements intenses. L'un d'elle prend directement naissance au niveau de son trapèze gauche et vient terminer sa course sur sa hanche droite. Une blessure bien refermée mais qui marque sa peau à jamais. Il ne faut pas oublier que les bras du samourai sont complètement ravagés par l'acide. Puis, sur son dos une multitude de lacération prennent places, attestant de coups de fouets nombreux et certainement douloureux. Pour terminer, les jambes du pirates sont elles aussi "signée" et notamment la plante de ses pieds par des coups de bambous effilés.
Ensuite, nous pouvons désormais évoquer l'accoutrement de Minato. En effet, il est pour le moins très habillé.
Donc, tout d'abord on peut remarquer le chapeau de paille tressée traditionnellement qu'il porte. Le protégeant du soleil comme de la pluie, c'est un accessoire qu'il ne quitte qu'en de rare occasions. On peut notamment cité les combats les plus compliqués ou d'autres éventuelles situations pas réellement définit. Aussi, le bretteur porte un masque comme précisé plus haut. Il permet au jeune homme de dissimulé sa figure ravagée par l'acide, et donc de ne pas effrayé les gens. Or, ce masque d'acier est lui-même plutôt inquiétant, laissant penser à un démon. Aussi, deux trous font places aux yeux et un troisième laisse entrevoir la bouche du pirate, dans l'unique but qu'il puisse être compris lorsqu'il parle. Aussi, le samourai possède un tissu rouge qui lui recouvre tout le corps des jambes jusqu'à la tête. Les bras complètements recouvert de ce vêtement, il cache donc chaque parcelle de sa peau de la vision d'autrui mais aussi du soleil. Etant quelque peu attaché aux traditions, il porte donc une armure souple qui protège grossièrement ses poings vitaux. Un espèce de turbans jaune vient lui entouré la taille et une lanière dans le dos porte le fourreau de son sabre.
Enfin, au niveau de ses cuisses l'épéiste porte une sorte de cuissard renforcé mais toujours souple, voir un peu plus souple que ces autres protections.
Ainsi est décrit l'apparence physique de Minato, mais il n'y a pas que ça chez un homme. De ce fait, on va parler des quelques caractéristiques qui font du pirate ce qu'il est.
Tout d'abord sa voix, légèrement sombre, elle impose directement l'homme. Grave mais pas trop, elle est plutôt reconnaissable. Aussi, il faut dire que le samourai est calme, donc il parle de manière posée et ne se hâte pas.
Aussi, le regard du sabreur est particulier. Il est dur et peut apeuré certains de ses ennemis. L’œil vif, on peut être déconcerté par les yeux violacé du jeune homme.
Parlons aussi des habitudes du bretteur, prêt à dégainer en tout instant, il est cependant assez posé. Souvent assis quand il en a l'occasion, il n'en demeure pas moins un garçon droit qui sait ce montrer fier à en juger sa posture.
Description Psychologique
Minato est un jeune homme plutôt complexe, il a plusieurs facettes car personnes n'est facilement définissable.
Tout d'abord, à première vue de part son apparence et son regard, le pirate peut paraître très froid et plutôt renfermé. Effectivement, il est vrai que Minato est froid mais nullement renfermé sur lui même. Cependant, ce n'est pas une grande gueule, il parle quand il en a envie mais surtout quand ça sert à quelque chose. Donc, loin d'être le plus bavard, c'est tout de même quelqu'un avec qui il est possible de refaire le monde autour d'une bouteille de saké.
Poussé par ses origines et son éducation, le bretteur aime faire les choses biens. La douleur étant devenue une habitude pour lui, il est en quelque sorte insensible à celle des autres. Lui donnant presque un air malsain, il n'en est rien, c'est uniquement un samourai qui n'a donc pas peur de tuer et surtout, dont la morale n'est pas la même que celle de tout le monde. Avoir vécu dans la violence et un cadre structuré avec des valeurs et des normes non communes ont fait de lui l'homme qu'il est aujourd'hui.
Violent de part son apprentissage, c'est aussi quelqu'un de droit qui sait ce qu'il veut. Ses idées sont clairs et il sait ce qu'il doit faire. Suivant son code de conduite, il ne se soumet pas forcément aux lois et à l'opinion général. Ayant des normes et des valeurs qui lui sont maintenant propre, légués par son père en partie, il fait son chemin dans ce vaste monde.
Cependant, il y a d'autres facettes de lui. Déjà, on peut dire que Minato est un observateur. Comme il ne s'amuse pas à monopoliser la parole, le sabreur en profite pour regarder autour de lui. Il analyse aussi plutôt bien ce qui l'entoure pour au mieux s'adapter aux situations. Car effectivement, le samourai sait s'adapter mais pour autant ne va pas se renier pour paraître meilleur aux yeux des autres. Fier de ce qu'il est, c'est un trait de caractère qui revient souvent chez les épéistes. Ainsi, autant en combat que dans la vie de tous les jours cet aspect de lui revient sans cesse.
Aussi, sûr de ses capacités mais intelligent, le jeune homme constitue quelqu'un d'entier. Franc dans ses paroles, il n'est pas adeptes de la langue de bois. Un peu tête brûlé, il est fou de combat mais surtout aime mesurer sa force. Ainsi, attaquer plus fort que lui n'est pas un soucis. Une grande question d'honneur surnage là dedans et il y est attaché.
De plus, on peut dire que Minato n'en exclu pas non plus les délices de la vie. Ainsi, il sait faire la fête bien qu'il n'est pas le plus expressif. Il aime boire du saké, mais ne bois que ça et la bonne humeur lui donne le sourire. Un sourire hideux dissimulé sous son masque d'acier mais un sourire tout de même. Donc, on a un pirate qui s'adapte mais reste tout de même entier et ancré dans ses choix.
Il faut aussi noter que le bretteur à un coté traditionnel assez prononcé et il ne s'en cache pas, le portant même avec fierté.
Tout d'abord, à première vue de part son apparence et son regard, le pirate peut paraître très froid et plutôt renfermé. Effectivement, il est vrai que Minato est froid mais nullement renfermé sur lui même. Cependant, ce n'est pas une grande gueule, il parle quand il en a envie mais surtout quand ça sert à quelque chose. Donc, loin d'être le plus bavard, c'est tout de même quelqu'un avec qui il est possible de refaire le monde autour d'une bouteille de saké.
Poussé par ses origines et son éducation, le bretteur aime faire les choses biens. La douleur étant devenue une habitude pour lui, il est en quelque sorte insensible à celle des autres. Lui donnant presque un air malsain, il n'en est rien, c'est uniquement un samourai qui n'a donc pas peur de tuer et surtout, dont la morale n'est pas la même que celle de tout le monde. Avoir vécu dans la violence et un cadre structuré avec des valeurs et des normes non communes ont fait de lui l'homme qu'il est aujourd'hui.
Violent de part son apprentissage, c'est aussi quelqu'un de droit qui sait ce qu'il veut. Ses idées sont clairs et il sait ce qu'il doit faire. Suivant son code de conduite, il ne se soumet pas forcément aux lois et à l'opinion général. Ayant des normes et des valeurs qui lui sont maintenant propre, légués par son père en partie, il fait son chemin dans ce vaste monde.
Cependant, il y a d'autres facettes de lui. Déjà, on peut dire que Minato est un observateur. Comme il ne s'amuse pas à monopoliser la parole, le sabreur en profite pour regarder autour de lui. Il analyse aussi plutôt bien ce qui l'entoure pour au mieux s'adapter aux situations. Car effectivement, le samourai sait s'adapter mais pour autant ne va pas se renier pour paraître meilleur aux yeux des autres. Fier de ce qu'il est, c'est un trait de caractère qui revient souvent chez les épéistes. Ainsi, autant en combat que dans la vie de tous les jours cet aspect de lui revient sans cesse.
Aussi, sûr de ses capacités mais intelligent, le jeune homme constitue quelqu'un d'entier. Franc dans ses paroles, il n'est pas adeptes de la langue de bois. Un peu tête brûlé, il est fou de combat mais surtout aime mesurer sa force. Ainsi, attaquer plus fort que lui n'est pas un soucis. Une grande question d'honneur surnage là dedans et il y est attaché.
De plus, on peut dire que Minato n'en exclu pas non plus les délices de la vie. Ainsi, il sait faire la fête bien qu'il n'est pas le plus expressif. Il aime boire du saké, mais ne bois que ça et la bonne humeur lui donne le sourire. Un sourire hideux dissimulé sous son masque d'acier mais un sourire tout de même. Donc, on a un pirate qui s'adapte mais reste tout de même entier et ancré dans ses choix.
Il faut aussi noter que le bretteur à un coté traditionnel assez prononcé et il ne s'en cache pas, le portant même avec fierté.
Biographie
Les origines de Minato n'ont d'essence nul part autre que sûr la célèbre Wa no kuni. La légendaire île des samouraïs est la terre des ancêtres du jeune homme. Chez les Shikoku, les hommes de la famille sont tous des guerriers et ça depuis plusieurs générations. En opposition, les femmes sont généralement douces avec leurs enfants. La discipline est d'ailleurs une valeur phare pour ses aïeux. C'est donc dans ce cadre que le géniteur du masqué a été élevé et vécu. Porteur d'une maladie chronique dès la naissance, on ne donne pas cher de sa peau. Or, par un miracle inconnu, sa vie fut bien plus longue que prévu. Ayant pu connaître les joies de l'île légendaire, Murata fut quand même le seul Shikoku à quitter le berceau familial. Il était déjà marié à cette époque et sa femme avait de gros soucis avec certains grands noms, du coup, par amour le paternel du jeune défiguré quitta Wa.
Leur voyage fut long et sinueux, employant le train des mers, les navires de marchandises et autres stratagème, c'est au bout d'un an et demi que les amants arrivèrent enfin sur les blues. La plus calme des quatre d'ailleurs afin de s'accorder le repos nécessaire.
N'oubliant pas ses racines pour autant, Murata décida de poser pied à terre sur Shimotsuki, une île à tradition d'épéisme avec des traditions bien ancrées.
Aussi cet année là, sa femme Miyumi était enceinte.
Le commencement
Je naquis un jour de printemps, les cerisiers étaient en fleurs et les pétales roses rendaient féerique le paysage. Ma mère eu beaucoup souffert de l'accouchement, mais par la force de l'amour ne succomba pas. Ce qui frappa tout de suite les deux amants n'était sans nul doute mes époustouflants yeux améthystes. Une génétique compliqué car la dernière personne de la famille à les avoir eu ainsi fut le père de Miyumi. Né sous la bénédiction de ce signe, je fus choyé par ma génitrice comme il le fallait. Mais tout cela n'est pas réellement important. Tout prend plus d'ampleur lorsque j'eu cinq ans. En effet, à cet âge, mon père me jugea apte à porter un katana de bois. C'est donc à ce moment qu'il commença à m'entraîner. Si je me souviens bien, les trois premières années ne furent pas compliqué. C'était même plutôt ludique, j'adorais mon père, il était mon idole et c'était presque un dieu pour moi. Ses talents au sabre faisaient qu'il n'avait pas voulu me conduire dans un dojo, préférant s'occuper seul de mon apprentissage.
C'était donc une partie de plaisir en ce temps là, je m'émerveillais de tout, j'étais insouciant et faisait le bonheur de mes parents. Ma mère me couvait mais me permettait aussi de faire mes propres découvertes. Elle était si belle, si douce, si .. parfaite.
Puis, aux alentours de mes huit ans les choses devinrent plus sérieuse. Je me souviens encore des paroles de mon père quand à mon entraînement.
> Fils, si tu ne tiens pas le choc alors tu seras la honte de la famille, ne déçoisp pas tes ancêtres !
Voilà qui était très encourageant déjà à l'époque. Puis, j'étais encore jeune je n'avais fait que le promettre à mon géniteur puis c'est ainsi que le le dur commença. Mon père m'apprit petit à petit, au fil des années les mouvements de base tout d'abord. Tout devait toujours être parfait avec lui, il ne supportait pas la moindre erreur. Ce qui était dramatique c'est que je me faisais battre, à chaque écart, à chaque manquement de discipline mais aussi uniquement dans le but de me " renforcer " comme il le disait si bien. Un jour, je devais avoir à peine neuf ans et j'étais face à un arbre, les mains en appuies contre l'écorce. Un bambou effilé en plusieurs endroits, mon père me battait. Il fouettait mon dos, m'assénant des coups violent. Mon sang coulait, les blessures cicatrisaient mais il recommençait. C'est difficile mais je n'avais pas le droit de flancher, c'était comme ça. Je ne devais pas faire honte aux Shikoku.
Aussi, par exemple lorsqu'il m'apprenait à me positionner katana en main mon géniteur prenait malin plaisir à me frapper, toujours avec la même arme, sur la plante des pieds. J'ai passé des dizaines de jours, les pieds en sang à n'en pouvoir marcher sans souffrir le martyr. Puis, ça continuais sans relâche jusqu'à ce que mes gestes approchent de plus en plus la perfection qu'il demandait. Mais pourtant, je me suis toujours fait taper, devant la soit disant honte de la famille.
Pourtant il y avait aussi du bon dans cette éducation que mon père me fournit. Je me souviens lorsqu'il me légua mon katana. J'avais déjà perdu toute mon enfance, tout mon émerveillement et pourtant, ce jour là j'étais heureux. Le sabre était parfait, c'est ce qu'il me fallait et un rituel fut effectué. En effet, il jugeait que je ne devais faire plus qu'un avec mon arme, ce qui était vrai naturellement. Pour ce faire, nous étions allés à l'emplacement d'une cascade en plein hiver. Je devais avoir douze ans et la neige était présente en cette période. Selon mes souvenirs il faisait froid, très froid et j'étais nu, uniquement accompagné de mon sabre. Puis, mon père m'avait ordonné de mon placé sous l'eau qui coulait, me glaçant le sang. Je m'étais exécuté, mais la douleur créée par le froid mordant de l'eau m'étais insupportable. Mon sabre posé sur mes genoux alors que j'étais assis en tailleur, je souffrait mais devait résister le plus longtemps possible. C'est au bords de l’hypothermie que j'eu terminé ce rite.
Puis, en découla un tournant majeur dans ma vie. Ma mère qui haïssait mon père, l'homme qui m'avait mit au monde et pourtant me battait si fort, et ce fut le choc de trop. En effet, suite à ce rituel je tomba malade. Gravement atteint, je pu quand même m'en sortir mais cette fois-ci, ma génitrice devint carrément hostile à celui qui me servait de père. Leurs disputes éclataient souvent, puis à chacune d'elle, la maladie de mon père se réveillait, lui faisant craché du sang.
Or, il ne succomba jamais et continua à me former dans la douleur. M'inculquant ses valeurs, j'étais devenu un garçon droit et sur de moi. C'était en quelque sorte un avantage pour moi, mais ma vie sociale avec le reste de l'île se retrouva quasiment inexistante. Je n'étais que rarement en pause d'entraînement et mon père ne voulait pas me voir quitter la maison familiale.
C'était dur pour moi, dur pour ma mère et c'est elle qui a voulu s'émanciper la première. J'avais 16 ans quand elle prit une décision surprenante venant d'elle et surtout cruciale. Ainsi, un soir elle quitta notre foyer tandis que mon père s'occupait encore de m'entraîner et de me frapper. Puis, c'est là qu'elle mit en marche ses intentions. En effet, elle trompa mon père, elle ne voulait plus de lui, cet être si méchant qui faisait souffrir la famille.
Malheureusement pour elle, les rumeurs fusèrent et rapidement le village entier prit connaissance de l'adultère commit. Déshonoré par celle qu'il avait épousé, celle qui l'a poussé à partir de la terre de ces ancêtres, mon père fut prit d'un excès de rage. Il prit alors un sceau d'acide et le jeta sur ma mère pour la punir au plus profond de sa chair. Or, j'étais la moi aussi, je tentais de la protéger et je ne pu qu'esquiver partiellement le jet. Ainsi, mon corps fut brûlé comme celui de ma mère. Nous avions souffert pendant un mois entier de nos blessure si je me souviens bien. Puis, ma mère vit sa santé détériorée. Non pas à cause de la vengeance de mon géniteur, mais pour une cause bien pire. Effectivement, elle attrapa une maladie sexuellement transmissible lorsqu'elle trompa son mari. Ainsi, comme ci c'était l'ironie du sort, un pouvoir de mon père ou une quelconque intervention divine, Miyumi mourut quelques semaines plus tard.
Un nouveau moi
Ma rage n'avait d'égal que ma tristesse quand à la mort de la seule personne qui m'aimait. Poursuivant mon apprentissage avec cet homme infâme, je n'avais plus qu'une idée en tête, le tuer. Or, je n'étais pas assez puissant. Il me fallait plus de force, plus de courage et c'est donc pour ça que j'ai développer un nouveau moi-même. Au lieu de me laisser façonner par Murata, je décida que c'était à moi de le faire. Je passa beaucoup de temps à me questionner, à me torturer l'esprit mais avec le temps, je parvint à découvrir qui j'étais vraiment. Ainsi, c'est à la majorité que je décida de passer un cap dans ma vie. Il fallait que je réussisse la où ma mère avait échouée. De ce fait, j'assassina mon géniteur dans son sommeil et ses dernières paroles me transpercèrent tel un sabre.
> Tu ne seras jamais personne, tu n'es rien Minato .. tu n'es rien !
Un second coup de sabre acheva cet homme qui nous avait rendu la vie si difficile. Puis, je fit attention à récupérer le masque d'acier qui était accroché dans la maison au dessus du tatami parental. Mon sabre accroché dans mon dos, et une armure souple enfilée, je m'habilla de manière à ce qu'une partie de mon corps ne soit visible. Puis, je partit vivre ma vie, sortir du cocon familial était pour moi une réussite.
Je pris le premier navire de pécheur que je trouva dans la baie et partie de cet île sonnant comme l'enfer pour moi. Mes capacités en navigation étant tellement nulles, je me perdit en mer et manqua de mourir la première semaine de faim et de soif. Heureusement, je finis par trouver une terre. Je ne savais pas qu'elle était cette île et ce fut ma vie pendant deux ans. Je vagabondais d'île en île, tuant ceux qui me tapait sur les nerfs. Ils pouvaient être pirates, civiles ou même soldats de la Marines, ma pitié était réduite à néant. Un jour, alors qu'un soldat armé d'un sabre s'amusait à me défier, je réussis à le vaincre en quelques coups. Ce n'était qu'un beau parleur qui savait à peine manier un katana, mais poussé par ses muscles, pensait pouvoir me vaincre. Puis, désemparé il me posa une question à laquelle plusieurs autres de ses camarades assistèrent.
> Tu es quoi ?!
> Je suis un PIRATE !!
Ma lame transperçait la gorge de cet homme et ma fuite fut bien ardue. C'est donc la voie que j'avais choisis de suivre et je ne m'en cachais désormais plus du tout.
Test RP
Test RP
Cela faisait maintenant plusieurs minutes que j'avais débarqué sur ce petit cailloux au milieu d'Est Blue. Une petite île sans renom où seul un village existait. Comme par réflexe, je m'étais dirigé vers la taverne la plus proche. En effet, un air froid frappait l'île et me déplaisait fortement. Ainsi, entrant par l'entrée principale, je me dirigeais vers le bar. Quelques alcooliques étaient déjà présent alors que la nuit n'était pas encore tombée.
Interpellant le tenancier, j'entama rapidement la discussion avec lui.
> Bonjour, vous avez des chambres ici ?
Me regardant d'un mauvais air, le tavernier me dévisageait. Enfin, il ne pouvait voir que mes yeux et mon regard ne pouvait inspirer la confiance à personne il faut bien l'avouer. Finissant de laver une choppe avec son chiffon, il me répondit avec un air agacé difficilement dissimulé.
> Bonjour monsieur, oui nous avons encore deux chambres, vous restez combien de temps ?
> Une seule nuit pas plus !
Mon ton sec surpris mon interlocuteur, il devait définitivement me prendre pour un malpoli de la pire espèce et je ne lui donnait pas tord. Ma traversée avait été compliqué au vu de mes piètres talents de navigateur. Ainsi, je n'étais pas d'humeur à la fête mais plutôt au repos.
> Monter par la porte à droite du bar, vous payerez demain, ce sera 1500 berrys !
Un peu estomaqué par le prix de la nuit, sachant que je n'avais absolument rien sur moi, je savais déjà que j'allais repartir sans régler ce que je lui devais. Les problèmes se profilaient déjà, mais j'en avais que faire. Du coup, je poussais la porte qu'il m'avait indiquée et montait jusqu'à ma chambre. Une petite pièce miteuse et mal éclairée me faisait face. Pourtant, je n'y faisais pas attention et m'affalait sur le matelas crasseux.
Quelques heures plus tard, les clients affluaient et le bruit augmentait m'empêchant donc de dormir. Quelque peu irrité, mon sabre toujours dans le dos je décidais de descendre pour rejoindre le bar. Effectivement il y avait bien du monde et à vrai dire c'était tout à fait normal car cette taverne était la seule et unique du village. Voilà donc que le lieu de beuverie était donc plein à craqué et une énorme cohue envahissait la pièce. Prenant une bouteille de sake que je mettais sur le compte de ma note, je m'asseyais dans le fond de la salle, un peu à l'écart des autres.
A chaque fois qu'un nouvel arrivant entrait, l'air froid de l'extérieur s’immisçait dans la taverne et me donnait un petit frisson. Heureusement donc que j'avais trouvé cet endroit, dehors je n'aurais pu survivre dans ces conditions.
Non loin de moi un homme était lui aussi seul, une coupe de cheveux un peu déjantée, bleue électrique et déjà deux bouteilles de rhum dans le nez. Ce qui m'interpellait, autre que sa descente assez impressionnante c'était évidemment son sabre accroché à sa ceinture et le pistolet à silex qu'il portait à l'opposée. Sans nul doute, j'avais directement identifier cet homme comme étant un pirate. Puis, la serveuse était venue à ce moment là pour débarrasser la table faisant face à mon homologue et cet homme, surement sous l'effet de l'alcool décida de draguer la jeune femme. Il se levait et comme la serveuse se refusait à ses avances, il décida de prendre les devants. Ainsi, il l'agrippa par le bras et commença à la tripoter minutieusement. La jeune femme ne voulait pas faire scandale mais elle montrait bien qu'elle n'était pas consentante.
Personnellement je restais un peu de marbre, étant tout de même prêt à dégainer mon sabre à la moindre occasion. Effectivement, mon aventure avait commencée depuis déjà un an et combien de fois j'avais vu ce genre de situation. Souvent, au final ça se concluait par une énorme mêlée générale englobant tous les clients de la taverne. L'alcool aidant, les hommes étaient très souvent bagarreur.
Pourtant, ce jour là les choses étaient différentes. Au début personne n'y faisait attention, puis un homme se leva, habillé de ses vêtements de soldat et s'approcha du pirate. Sûr de lui, il n'en était pourtant pas gradé au vu de son accoutrement.
> Lâche là immédiatement !!
Aussitôt, le marine avait employé un ton acerbe à l'égard du flibustier. Je savais déjà comment les choses allaient finir et je m'y préparais déjà.
> Ta gueule pour voir !
Il faut dire que la réponse cinglante du forban avait bien fait rire une grande partie des soûlards de la taverne. Il avait un air désinvolte et ça se voyait qu'il n'était pas du genre à se laisser marcher sur les pieds par un bleu de la marine.
> C'est mon dernier avertissement !
Alors que le pirate à la chevelure excentrique ne portait plus aucune attention à la jeune femme, celle-ci rusa. Elle envoya un coup de talon des les parties du forban et pu se défaire de son étreinte. Le hors-la-loi pu quand même asséner un coup de poing dans le visage de la serveuse avant de tomber à genoux sous la douleur.
> Espèce de salope !
Fou de rage, il se fit tout de même calmer par un coup de pied en plein visage de la part du soldat de la marine. L'étalant au sol, celui-ci réellement énervé sortie son propre pistolet et le pointa en direction de l'homme aux cheveux bleus. La situation devenait désespérée et tous les clients redoutaient déjà la suite.
C'était donc à ce moment que je décidais d'entrer en jeu. Arrivant par la droite, je positionnais ma lame entre le canon de l'arme et le corps du pirate.
> Range ton arme et je te laisse la vie sauve !
> Pour qui tu te prends ?
Sans que je le vois venir le pirate décida de se relever tout en plaquant le soldat de la Marine. Positionné au dessus, le forban enchaîna les coups de poings. Je le laissais faire, c'était son droit il avait prit un coup par le jeune homme après tout. Cependant, s'en était trop, le pirate se déchaînait et allait surement tuer ce garçon qui devait tout au plus avoir un an de plus que moi.
La serveuse pleurait face à la situation et soudain, je reconnus ma mère qui elle aussi se trouvait ainsi lorsque mon père me battait. Elle pleurait mais ne pouvait rien faire pour changer quoi que ce soit, totalement impuissant. Ainsi, cette vision terminée, je décidais sur un coup de tête de régler les choses moi même. De ce fait, je pris mon sabre bien en main et planta mon sabre dans son dos. Effectivement, ce n'était pas un coup digne d'un samouraï, ni même digne de ce que mon père m'apprit. Cependant, la vision de ma mère prenait le pas sur ma raison.
Le pirate s'écroula au sol, se vidant de son sang et gisait dans une flaque pourpre.
> Pff... t'aurais pas pu le faire avant ducon ?
Le visage ensanglanté et un peu gonflé, le soldat me parlait comme si je n'étais qu'un moins que rien. Pourtant, je ne bronchais pas, ne prenant même pas le temps de lui répondre.
> Merci beaucoup monsieur, enlevez votre masque s'il vous plait que je puisse voir votre visage.
Mon visage, non il ne fallait pas. Rongé par l'acide je ferais peur à quiconque se trouve ici et je serais chassé comme un monstre.
> Pas besoin de me remercier !
> J'insiste, enlevez votre masque immédiatement !
Déclinant de nouveau cette proposition, le soldat décida de s'en occuper lui même. M'approchant pour m'ôter mon masque, je le pointa mon sabre contre sa poitrine et en appuyant un peu lui montra que je n'avais pas besoin de plus pour qu'il connaisse le même sort que mon homologue.
> Je suis un pirate c'est tout ! Maintenant je vais pas vous tuez, mais ne me tentez pas sinon je change d'avis !
> Un pirate, je vais vous ... heu .. quoi que non c'est bon ! Passez une bonne soirée !
Ravalant sa fierté, mon adversaire décida qu'il passerait l'éponge. Après tout, je lui avais quand même sauvé la vie en tuant ce pirate. Du coup, je me vis offrir une seconde bouteille de saké et retourna dans ma chambre. Ne m'occupant même pas du cadavre, je laissais tout le monde et m'allongea sur mon matelas.
Le lendemain, comme prévu je partis par la fenêtre afin de ne pas payer et retourna à ma petite barque. Le soldats de la Marine m'y attendais, ayant prit des informations sur moi. Déjà à bord il m'attendais et une fois qu'il me vit, son sourire se dessina.
> Tu m'as mit la honte hier tu es content ?!
> Je t'ai surtout sauvé de l'autre type !
Pas vraiment convaincu, campé sur ses positions le soldat ne préférais sans doute pas admettre d'avoir été sauvé par un forban.
> C'est moi qui parle, toi tu te tais !!
Désormais, le soldat mit la main à sa ceinture afin de prendre son pistolet mais je fus plus rapide. D'un coup de haut en bas je lui fis une énorme entaille partant de la gorge jusqu'au bas ventre. La plaie saignait abondamment et l'homme, les yeux écarquillés tomba à genoux.
> Que ... que ... espèce de .. sale pirate !
Crachant du sang le soldat voyait bien sa dernière heure arrivée plus vite qu'il ne le croyait. Cependant, je n'allais pas le laisser comme ça, dans cette situation si humiliante. Ainsi, j'enfonça mon sabre dans sa poitrine et il mourut sur le coup. Rapidement je jeta le corps à l'eau et coupa les cordages pour partir de cette île Un meurtre sans témoin, bien que je pouvais me tromper à ce moment là. En tout cas, le vent gonflant rapidement les voiles, je partis assez vite et exclu de ce fait toute preuve de ma culpabilité.
Informations IRL
• Prénom : on verra
• Age : 18 ans
• Aime : pleins de choses
• N'aime pas : pleins de choses
• Personnage préféré de One Piece : Marco, Shanks, Drake et pleins d'autres
• Caractère : On me connait
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ONE PIECE REQUIEM
Dernière édition par Minato Shikoku le Mer 10 Fév 2016 - 15:09, édité 2 fois