Maintenant une garde sans ouvertures, je toise le dénommé Carmine de tout mon être, toujours transformé complètement en diamant. Bien que le top départ du combat ait été lancé, aucun d'entre nous n'a fait de mouvement, attendant patiemment que l'autre fasse le premier pas... Et la première erreur. Car lorsqu'on en arrive à un certain degré de maîtrise des arts martiaux, et que nos frappes deviennent si puissantes qu'elle peuvent déchirer la pierre et l'acier... Il convient de faire attention et avant tout d'assurer une défense parfaite...
Oh, et puis, je suis en diamant.
Je m'élance à toute vitesse sur lui, brisant le calme du combat, le poing droit armé et prêt à frapper.
Faire attention ? Pour le fond de cuve humain peut-être oui, et encore, qu'en sais-je, moi qui suis tellement fort et parfait, grand Lloyd Barrel que je suis ? Pense t-il vraiment me forcer à rester sur la défensive et attendre ? Hors de question ! Je prends l'ascendant sur mes ennemis, je les surclasse, je leur impose ma puissance, je leur prouve ce que pourtant je n'ai à prouver à personne : que je suis le meilleur. Alors j'attaque sans me soucier d'un éventuel contre. De toute manière, lorsqu'on devient fort, le corps le devient aussi. Lorsqu'on traverse des épreuves difficiles, il apprend à endurer. Lorsqu'on prend des coups, on s'entraîne à les recevoir...
Oh, et puis... Je suis en diamant.
Il bloque ma frappe de l'avant-bras gauche, et gardant une occlusion d'épaules faible comme le font les boxeurs, vise mon visage de son poing droit qui s'enflamme comme précédemment. Son coup s'écrase contre ma joue, sans que je n'essaie de parer ni d'esquiver, à son grand étonnement. Ma tête part d'un coup sec sur le côté sous le poids du choc et se fait inonder par une bourrasque de flammes. Du coin de l'œil, je vois un léger sourire se dessiner sur la bouche de mon adversaire. Sourire qui se transforme bien vite en rictus haineux quand mon cou pivote et que mon regard se porte à nouveau sur lui, comme si de rien n'était. Oui, lorsqu'on prend des coups, on s'entraîne à les recevoir... Et on prend goût à les renvoyer.
Profitant de l'instant de délai généré par sa surprise non feinte, je lui place un violent coup de pied au niveau de la cuisse. A l'instant où le dos de mon pied entre en contact avec sa jambe, il parvient à réagir et à contracter ses muscles, me donnant littéralement l'impression de frapper dans un bloc de béton. Il n'a peut-être pas vu mon attaque venir, mais ses réflexes sont suffisamment bons pour lui éviter l'amputation. Il dérape méchamment sur le côté, ayant replié sa garde sur sa tête pour la protéger, tandis que je finis dans la continuité de mon mouvement en posant le pied au sol et en m'en servant comme appui pour repartir à toute vitesse sur lui, ne lui laissant aucun temps mort pour reprendre ses repères.
Je lui assène un coup de coude en sortie d'un Brilliant Dash qui constitue clairement la quintessence des trois "P" que j'ai moi-même défini comme étant le socle des arts martiaux : Puissance, Précision, et Vitesse. Il parvient pourtant à amortir le coup en l'absorbant grâce à la souplesse de son dos, et contre-attaque en visant mon ventre au niveau du colon ascendant d'une frappe basse. Son poing se heurte et se brise à la rencontre de mes abdominaux adamantins. Quant à la décharge de flammes libérée à l'impact, à part glisser contre mon corps et nous aveugler tous les deux un bref instant, elle n'est pas bien plus efficace que lors de sa première tentative. J'en profite pour abattre mon bras gauche qui, replié, était plaqué à son épaule, et fauche de plein fouet son poing qui est en contact avec mon ventre. Il lâche un cri de douleur tandis que son bras est balayé vers le bas. Le dos tordu, la garde brisée, son propre bras le gênant et limitant ses possibilités de manœuvre, je me mets dans une situation avantageuse pour conclure mon enchaînement... J'arme en exagérant la gestuelle, car bien que ce soit bien moins efficace, c'est quand même bien plus stylé. Je suis le grand Lloyd Barrel, tout de même, c'est une question de standing.
Je vise son thorax et je cogne. De toutes mes forces.
Oh, et puis, je suis en diamant.
Je m'élance à toute vitesse sur lui, brisant le calme du combat, le poing droit armé et prêt à frapper.
Faire attention ? Pour le fond de cuve humain peut-être oui, et encore, qu'en sais-je, moi qui suis tellement fort et parfait, grand Lloyd Barrel que je suis ? Pense t-il vraiment me forcer à rester sur la défensive et attendre ? Hors de question ! Je prends l'ascendant sur mes ennemis, je les surclasse, je leur impose ma puissance, je leur prouve ce que pourtant je n'ai à prouver à personne : que je suis le meilleur. Alors j'attaque sans me soucier d'un éventuel contre. De toute manière, lorsqu'on devient fort, le corps le devient aussi. Lorsqu'on traverse des épreuves difficiles, il apprend à endurer. Lorsqu'on prend des coups, on s'entraîne à les recevoir...
Oh, et puis... Je suis en diamant.
Il bloque ma frappe de l'avant-bras gauche, et gardant une occlusion d'épaules faible comme le font les boxeurs, vise mon visage de son poing droit qui s'enflamme comme précédemment. Son coup s'écrase contre ma joue, sans que je n'essaie de parer ni d'esquiver, à son grand étonnement. Ma tête part d'un coup sec sur le côté sous le poids du choc et se fait inonder par une bourrasque de flammes. Du coin de l'œil, je vois un léger sourire se dessiner sur la bouche de mon adversaire. Sourire qui se transforme bien vite en rictus haineux quand mon cou pivote et que mon regard se porte à nouveau sur lui, comme si de rien n'était. Oui, lorsqu'on prend des coups, on s'entraîne à les recevoir... Et on prend goût à les renvoyer.
Profitant de l'instant de délai généré par sa surprise non feinte, je lui place un violent coup de pied au niveau de la cuisse. A l'instant où le dos de mon pied entre en contact avec sa jambe, il parvient à réagir et à contracter ses muscles, me donnant littéralement l'impression de frapper dans un bloc de béton. Il n'a peut-être pas vu mon attaque venir, mais ses réflexes sont suffisamment bons pour lui éviter l'amputation. Il dérape méchamment sur le côté, ayant replié sa garde sur sa tête pour la protéger, tandis que je finis dans la continuité de mon mouvement en posant le pied au sol et en m'en servant comme appui pour repartir à toute vitesse sur lui, ne lui laissant aucun temps mort pour reprendre ses repères.
Je lui assène un coup de coude en sortie d'un Brilliant Dash qui constitue clairement la quintessence des trois "P" que j'ai moi-même défini comme étant le socle des arts martiaux : Puissance, Précision, et Vitesse. Il parvient pourtant à amortir le coup en l'absorbant grâce à la souplesse de son dos, et contre-attaque en visant mon ventre au niveau du colon ascendant d'une frappe basse. Son poing se heurte et se brise à la rencontre de mes abdominaux adamantins. Quant à la décharge de flammes libérée à l'impact, à part glisser contre mon corps et nous aveugler tous les deux un bref instant, elle n'est pas bien plus efficace que lors de sa première tentative. J'en profite pour abattre mon bras gauche qui, replié, était plaqué à son épaule, et fauche de plein fouet son poing qui est en contact avec mon ventre. Il lâche un cri de douleur tandis que son bras est balayé vers le bas. Le dos tordu, la garde brisée, son propre bras le gênant et limitant ses possibilités de manœuvre, je me mets dans une situation avantageuse pour conclure mon enchaînement... J'arme en exagérant la gestuelle, car bien que ce soit bien moins efficace, c'est quand même bien plus stylé. Je suis le grand Lloyd Barrel, tout de même, c'est une question de standing.
Je vise son thorax et je cogne. De toutes mes forces.