Mindd Minsval
• Pseudonyme : Yurushi
• Age : 38 ans
• Sexe : Masculin
• Race : Cornu
• Métier : Voilier/Canonnier
• Groupe : Pirate
• Age : 38 ans
• Sexe : Masculin
• Race : Cornu
• Métier : Voilier/Canonnier
• Groupe : Pirate
• But : Survivre
• Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Bretteur au bâton de bois
• Équipement : Une paire de pistolets à poudre noir, un bâton (En bois d'Adam si possible), une sacoche en bandoulière contenant : Un kiseru, du rhum, du whisky, du jägger et de l'opium
• Parrain : /
• Ce compte est-il un DC ? Non
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? /
• Codes du règlement : sans les astérisques.)
• Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Bretteur au bâton de bois
• Équipement : Une paire de pistolets à poudre noir, un bâton (En bois d'Adam si possible), une sacoche en bandoulière contenant : Un kiseru, du rhum, du whisky, du jägger et de l'opium
• Parrain : /
• Ce compte est-il un DC ? Non
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? /
• Codes du règlement : sans les astérisques.)
Description Physique
Mindd est doté d'un physique pour le moins, ingrat. Doté d'une peau grisâtre et rugueuse, on croirait à son contact qu'il s'agit d'une énorme croûte qui recouvre l'intégralité de son corps. Ses veines et autres vaisseaux sanguins sont très apparents et donc visibles sur la quasi totalité de son anatomie.
Bon gaillard, mesurant prés du mètre quatre-vingt dix, il dispose de deux cornes qui démarrent au-dessus de son front, pour longer le long du côté de son crâne. Ses oreilles sont percées à divers endroits et sont difforment de par sa défaillance immunitaire et les nombreux combat qu'il a endurés dans sa vie, pas toujours très facile. Son nez a était casser à de nombreuses reprises et il n'est pas rare d'apercevoir plusieurs cicatrices sur sa peau si on y prête attention car elles ne sont pas forcément toutes visibles à cause de sa couleur de peau, mais dans l'ensemble, ce n'est pas très beau à voir.
Ses yeux, ainsi que leur contour sont d’une couleur rouges vifs, l'alcool et la drogue n'étant pas étranger à Mindd, ses yeux s'en sont gorgés et imprégnés avec le temps, au point de ne plus retrouver une couleur sereine. Certains diront qu'il est né ainsi et que ses yeux sont la représentation de sa macabre destinée. Mais ce ne sont que des "on dit".
Ses cheveux ne recouvrent qu'une bande de son crâne en son centre. Une crête de cheveux de couleur cuivre-orangé laisse apercevoir une chevelure un peu dégarnie, sûrement dû au rythme de vie du vieux borné.
Mindd opte généralement pour des vêtements amples et sobres, équipé d’une veste en cuir épais et d’un pantalon en toile ample et de couleur vert. Il aime être à l’aise, libre de ses mouvements pour pouvoir agir au plus vite. Habitué aux voyages, le cornu sait s'encombrer de très peu et n'emporte généralement avec lui que le strict nécessaire dans sa besace, qu'il trimbale partout où il va.
Il ne quitte qu’occasionnellement son bâton de bois, qui l’aide dans ses déplacements lors de longues marche. Servant principalement de support d’appuis, le bougre n’hésitera pas à latter la gueule de quelques petits cons rien que pour son plaisir personnel. Il est plutôt habile avec un bout de bois entre les mains.
Bon gaillard, mesurant prés du mètre quatre-vingt dix, il dispose de deux cornes qui démarrent au-dessus de son front, pour longer le long du côté de son crâne. Ses oreilles sont percées à divers endroits et sont difforment de par sa défaillance immunitaire et les nombreux combat qu'il a endurés dans sa vie, pas toujours très facile. Son nez a était casser à de nombreuses reprises et il n'est pas rare d'apercevoir plusieurs cicatrices sur sa peau si on y prête attention car elles ne sont pas forcément toutes visibles à cause de sa couleur de peau, mais dans l'ensemble, ce n'est pas très beau à voir.
Ses yeux, ainsi que leur contour sont d’une couleur rouges vifs, l'alcool et la drogue n'étant pas étranger à Mindd, ses yeux s'en sont gorgés et imprégnés avec le temps, au point de ne plus retrouver une couleur sereine. Certains diront qu'il est né ainsi et que ses yeux sont la représentation de sa macabre destinée. Mais ce ne sont que des "on dit".
Ses cheveux ne recouvrent qu'une bande de son crâne en son centre. Une crête de cheveux de couleur cuivre-orangé laisse apercevoir une chevelure un peu dégarnie, sûrement dû au rythme de vie du vieux borné.
Mindd opte généralement pour des vêtements amples et sobres, équipé d’une veste en cuir épais et d’un pantalon en toile ample et de couleur vert. Il aime être à l’aise, libre de ses mouvements pour pouvoir agir au plus vite. Habitué aux voyages, le cornu sait s'encombrer de très peu et n'emporte généralement avec lui que le strict nécessaire dans sa besace, qu'il trimbale partout où il va.
Il ne quitte qu’occasionnellement son bâton de bois, qui l’aide dans ses déplacements lors de longues marche. Servant principalement de support d’appuis, le bougre n’hésitera pas à latter la gueule de quelques petits cons rien que pour son plaisir personnel. Il est plutôt habile avec un bout de bois entre les mains.
Description Psychologique
Mindd à une façon de penser bien à lui, il n'est pas aussi rentre dedans et insensible qu’il veut bien le laisser paraître malgré son caractère bougre et borné. C’est simple, tu fais pas plus borné. Il a apprit cependant plus ou moins à se tenir en société, même avec les humains lambda qu’il n'apprécie que très rarement.
Le cornu en a vu du pays, c'est un vieux baroudeur, un ancien, un vieux de la vieille comme on dit ! Il a apprit à se taire quand il le fallait et à l'ouvrir également quand l’occasion se présentait. Rarement un mot plus haut que l'autre, mais ça, c'est bien entendu quand il est sobre, à savoir que très peu de temps après son réveil et encore.
L'homme n'est pas le dernier pour faire la fête ou pour se faire offrir une boisson à la taverne contre une bonne histoire à raconter. Il a même était accroc à la drogue dure pendant des années, mais Mindd a réussi à décrocher tant bien que mal.
Ce n'est pas un gars qui va chercher les ennuis, c'est plutôt les ennuis qui vont le trouver ! Il n'ira jamais vous provoquer pour une raison quelconque, quoi que, de nature impulsive, il ne vaut mieux pas lui chier dans les bottes ! Ayant un léger complexe de supériorité vis à vis des humains, le cornu les méprises au plus haut point et ils le lui rendent bien. Son anomalie génétique lui a valut bon nombre d’ennuis, c’est ce qui à rendu Yurushi, l'homme qu’il est devenu aujourd’hui. Il ne se considère pas comme un humain, toute sa vie on lui a dit qu'il était différent et a fini par l'accepter.
A l'entendre, on pourrait croire qu'il à tout vu tout fait dans ce vaste monde. Même si c'est vrai qu'il en a beaucoup vu, Mindd est aussi un peu vantard, il n'hésite pas à enjoliver les choses et à arranger la vérité comme ça l'arrange. Si vous le laisser se lancer, dans deux minutes, c’est lui le responsable de toutes les joies de la vie.
Mindd n'a plus de famille direct à proprement parler, sûrement des cousins ou des gosses en vie quelque part, mais Mindd n’a jamais eu vent de leur potentiel existence et on peut pas vraiment dire que c’est ce qui l'intéresse le plus. Pour faire simple, le cornu n'a pas d'attache sentimentale, il est juste borné, bourru, fourbe, rustre et ne fait confiance à personne.
Le cornu en a vu du pays, c'est un vieux baroudeur, un ancien, un vieux de la vieille comme on dit ! Il a apprit à se taire quand il le fallait et à l'ouvrir également quand l’occasion se présentait. Rarement un mot plus haut que l'autre, mais ça, c'est bien entendu quand il est sobre, à savoir que très peu de temps après son réveil et encore.
L'homme n'est pas le dernier pour faire la fête ou pour se faire offrir une boisson à la taverne contre une bonne histoire à raconter. Il a même était accroc à la drogue dure pendant des années, mais Mindd a réussi à décrocher tant bien que mal.
Ce n'est pas un gars qui va chercher les ennuis, c'est plutôt les ennuis qui vont le trouver ! Il n'ira jamais vous provoquer pour une raison quelconque, quoi que, de nature impulsive, il ne vaut mieux pas lui chier dans les bottes ! Ayant un léger complexe de supériorité vis à vis des humains, le cornu les méprises au plus haut point et ils le lui rendent bien. Son anomalie génétique lui a valut bon nombre d’ennuis, c’est ce qui à rendu Yurushi, l'homme qu’il est devenu aujourd’hui. Il ne se considère pas comme un humain, toute sa vie on lui a dit qu'il était différent et a fini par l'accepter.
A l'entendre, on pourrait croire qu'il à tout vu tout fait dans ce vaste monde. Même si c'est vrai qu'il en a beaucoup vu, Mindd est aussi un peu vantard, il n'hésite pas à enjoliver les choses et à arranger la vérité comme ça l'arrange. Si vous le laisser se lancer, dans deux minutes, c’est lui le responsable de toutes les joies de la vie.
Mindd n'a plus de famille direct à proprement parler, sûrement des cousins ou des gosses en vie quelque part, mais Mindd n’a jamais eu vent de leur potentiel existence et on peut pas vraiment dire que c’est ce qui l'intéresse le plus. Pour faire simple, le cornu n'a pas d'attache sentimentale, il est juste borné, bourru, fourbe, rustre et ne fait confiance à personne.
Biographie
Avant toute chose, ce qu’il faut savoir de Mindd, ce n’est pas qu’il a la peau grisonnante où encore ces cornes qu’il possède au sommet du crâne. Le plus important à savoir sur lui, c’est avant tout qu’il est né d'une mère criminelle et d'un père inconnu. Il a vu le jour entre les murs de la prison d'Impel Down. Sa mère faisait partie intégrante de la révolution, malheureusement pour elle, elle tomba enceinte quelques semaines avant son arrestation, puis son incarcération. A sa naissance, l'enfant fut retirer à sa mère et fut placé pupille de l'Etat avant d'être confier à une famille qui l'accueilli à bras ouverts étant donné que ses nouveaux parents ne pouvaient pas avoir d'enfant biologique.
Les années passèrent, Mindd grandissait bien. Son père avait était emporté par la fièvre durant son enfance. Evidemment, il était mal vu par ses camarades à cause de ses cornes et se faisait régulièrement jeter des cailloux dessus. Il en souffrait énormément. Après un énième cassage de gueule, s’en était trop pour le pauvre garçon, qui s’était emporté contre sa mère adoptive, qui faisait depuis sa plus tendre enfance office de figure maternelle. Il prit son sac en bandoulière et claqua la porte en partant. Fou de rage, le cornu sorti pour se calmer une fois la nuit tombée, se dirigeant sur la plage, il s'installa sur le sable, observant la mer qui s'étendait à perte de vue.
Les sirènes retentissaient alors, intrigué, l’enfant rejoignit le centre de l’île en s’interrogeant sur le pourquoi de cette alarme. Et puis des cris, des hurlements, une odeur de fumée accru, l’endroit était entrain de se faire attaquer. Les gens mourraient, criaient, pleuraient, souffraient, c’était un vrai massacre. Tout ce que le jeune garçon avait connu à ce jour était en train de tomber en ruine. Il vit des hommes tuer d’autres hommes, c’était donc ça leur vrai nature.
Mindd courut alors en direction de chez lui, les bandits avaient déjà frappé à cet endroit. Deux hommes étaient positionnés devant l’entrée, ils avaient l’air de s’amuser, de prendre plaisir à ce qu’ils faisaient. Le garçonnet attrapa alors un morceau de bois gros comme son bras. Il s’élança sur les malfrats en évacuant toute la rage qu’il avait en lui. Il assomma le premier grâce à l’effet de surprise et donna un violent coup au second. Un troisième homme, qui se tenait à l’intérieur attrapa Mindd par la tête d’une seul main. Un violent coup au ventre le désarma et lui fit cracher du sang.
Une voix s’écria, une voix qui lui semblait familière... C’était la femme qui avait élever le cornu comme son propre fils, elle était entrain de s'égosiller pour ne pas que l’on touche à l’enfant. Le bandit jeta alors le gosse sur le plancher, il s’agenouilla en lui maintenant la tête avec les yeux grand ouvert pendant que son collègue abusé de la pauvre femme à moitié morte.
Le chef de cet équipage avait décider de prendre le petit diablotin comme trophée sur son navire, il faisait office de mascotte, souffre douleur, évacu-stress, larbin et autres tâches pas très sympathiques. Tout les jours il devait côtoyer et se faire humilier sans cesse par l’homme qui avait violé sa mère sous ses yeux. Seul le capitaine d’équipage avait un semblant de compassion pour sa vie qui ne valait pourtant pas plus que celle d’une chèvre.
Les années passèrent et les années comptaient triples pour Mindd, devenu totalement alcoolique, drogué, c’est ce qui l’aidait à endurer tout ça. Repoussant toujours ses limites, mais un soir, lors d’un trip un peu trop prononcé, une dinguerie lui vint en tête. Il extirpa les yeux de son bourreau durant son sommeil, puis le tua rapidement pour ne pas qu’il réveil le reste de l’équipage en criant. C'était la prémière fois que Mindd avait les mains gorgé de sang. Au petit matin, un marin découvrit le cornu dans une marre de sang. Le cornu s'était acharné sur le corps de sa victime. Yurushi avait les yeux dans le vide et n’était plus vraiment conscient.
Il se réveilla plusieurs heures plus tard dans la cale du navire, prisonnier derrière les barreaux pour le crime qu’il avait commit. Les jours passèrent et Mindd avait totalement était oublié de ses compagnons. Le sevrage fut brutal, douloureux et difficile. Ils comptaient le laisser mourir de faim en guise de châtiment. Une fois de plus, il subissait le mauvais traitement que les humains infligeaient aux gens comme lui.
Et puis, quelques jours plus tard, l’équipage était tombé sur plus fort que lui en tentant de récupérer un butin assez conséquent. La plupart de ses anciens compagnons avaient périls, dont le capitaine. Les autres avait disparut ou s’étaient échappés. Mindd fut délivrer sur ordre des pirates, après lui avoir fait promettre de se joindre à leur cause en renflouant leur rang. Les hommes faisaient preuves d’une barbarie incommensurable pour arriver à leurs fins.
Étant très coopératif à l’égard de ses sauveurs, l’intégration réussissait plutôt bien. Bien sur, c’était sans compter ceux qui avaient peur, ceux qui le voyaient comme une bête et ceux qui le méprisaient au plus haut point. Ses nouveaux compagnons étaient tous plus sournois les uns que les autres. Ils faisaient leurs coups en douce et Mindd en subissait les conséquences. Bien sûr, il n’était pas le genre de personne à subir sans rien dire. Ce n’était plus ce genre de personne là. Il rendait coup pour coup en faisant preuve d’une sournoiserie innée, il n’avait pas le choix, le code du navire interdisait de s’en prendre au sien.
Pris d’affection par son nouveau capitaine, le cornu participait à chaque bataille, chaque pillage, chaque abordage. Il arrivait à se démarquer de ses camarade d’armes, imposant encore un peu plus de peur et de méfiance à son égard. Un jour, lors d’un combat acharné, l’un de ses camarades avait péril par mégarde sous son coup de feu. Il n’avait pas pu l’éviter, l’homme s’était littéralement jeté devant le canon dans le feu de l’action. L’équipage se divisa alors en deux groupes, ceux qui voulaient voir Mindd au fond de la mer avec 100kg à chaque cheville et ceux qui voulaient le garder à bord pour profiter de ses aptitudes. La mutinerie ne tarda pas à éclater, le sang versé condamna l’équipage ainsi que son navire qui sombra dans le vaste océan. Le vieux bougre parvint à prendre la fuite par la mer. S’aidant d’une planche en bois pour rester à la surface, il lui fallut deux jour avant de rejoindre une côte...
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Les années passèrent, Mindd grandissait bien. Son père avait était emporté par la fièvre durant son enfance. Evidemment, il était mal vu par ses camarades à cause de ses cornes et se faisait régulièrement jeter des cailloux dessus. Il en souffrait énormément. Après un énième cassage de gueule, s’en était trop pour le pauvre garçon, qui s’était emporté contre sa mère adoptive, qui faisait depuis sa plus tendre enfance office de figure maternelle. Il prit son sac en bandoulière et claqua la porte en partant. Fou de rage, le cornu sorti pour se calmer une fois la nuit tombée, se dirigeant sur la plage, il s'installa sur le sable, observant la mer qui s'étendait à perte de vue.
Les sirènes retentissaient alors, intrigué, l’enfant rejoignit le centre de l’île en s’interrogeant sur le pourquoi de cette alarme. Et puis des cris, des hurlements, une odeur de fumée accru, l’endroit était entrain de se faire attaquer. Les gens mourraient, criaient, pleuraient, souffraient, c’était un vrai massacre. Tout ce que le jeune garçon avait connu à ce jour était en train de tomber en ruine. Il vit des hommes tuer d’autres hommes, c’était donc ça leur vrai nature.
Mindd courut alors en direction de chez lui, les bandits avaient déjà frappé à cet endroit. Deux hommes étaient positionnés devant l’entrée, ils avaient l’air de s’amuser, de prendre plaisir à ce qu’ils faisaient. Le garçonnet attrapa alors un morceau de bois gros comme son bras. Il s’élança sur les malfrats en évacuant toute la rage qu’il avait en lui. Il assomma le premier grâce à l’effet de surprise et donna un violent coup au second. Un troisième homme, qui se tenait à l’intérieur attrapa Mindd par la tête d’une seul main. Un violent coup au ventre le désarma et lui fit cracher du sang.
Une voix s’écria, une voix qui lui semblait familière... C’était la femme qui avait élever le cornu comme son propre fils, elle était entrain de s'égosiller pour ne pas que l’on touche à l’enfant. Le bandit jeta alors le gosse sur le plancher, il s’agenouilla en lui maintenant la tête avec les yeux grand ouvert pendant que son collègue abusé de la pauvre femme à moitié morte.
Le chef de cet équipage avait décider de prendre le petit diablotin comme trophée sur son navire, il faisait office de mascotte, souffre douleur, évacu-stress, larbin et autres tâches pas très sympathiques. Tout les jours il devait côtoyer et se faire humilier sans cesse par l’homme qui avait violé sa mère sous ses yeux. Seul le capitaine d’équipage avait un semblant de compassion pour sa vie qui ne valait pourtant pas plus que celle d’une chèvre.
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Les années passèrent et les années comptaient triples pour Mindd, devenu totalement alcoolique, drogué, c’est ce qui l’aidait à endurer tout ça. Repoussant toujours ses limites, mais un soir, lors d’un trip un peu trop prononcé, une dinguerie lui vint en tête. Il extirpa les yeux de son bourreau durant son sommeil, puis le tua rapidement pour ne pas qu’il réveil le reste de l’équipage en criant. C'était la prémière fois que Mindd avait les mains gorgé de sang. Au petit matin, un marin découvrit le cornu dans une marre de sang. Le cornu s'était acharné sur le corps de sa victime. Yurushi avait les yeux dans le vide et n’était plus vraiment conscient.
Il se réveilla plusieurs heures plus tard dans la cale du navire, prisonnier derrière les barreaux pour le crime qu’il avait commit. Les jours passèrent et Mindd avait totalement était oublié de ses compagnons. Le sevrage fut brutal, douloureux et difficile. Ils comptaient le laisser mourir de faim en guise de châtiment. Une fois de plus, il subissait le mauvais traitement que les humains infligeaient aux gens comme lui.
Et puis, quelques jours plus tard, l’équipage était tombé sur plus fort que lui en tentant de récupérer un butin assez conséquent. La plupart de ses anciens compagnons avaient périls, dont le capitaine. Les autres avait disparut ou s’étaient échappés. Mindd fut délivrer sur ordre des pirates, après lui avoir fait promettre de se joindre à leur cause en renflouant leur rang. Les hommes faisaient preuves d’une barbarie incommensurable pour arriver à leurs fins.
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Étant très coopératif à l’égard de ses sauveurs, l’intégration réussissait plutôt bien. Bien sur, c’était sans compter ceux qui avaient peur, ceux qui le voyaient comme une bête et ceux qui le méprisaient au plus haut point. Ses nouveaux compagnons étaient tous plus sournois les uns que les autres. Ils faisaient leurs coups en douce et Mindd en subissait les conséquences. Bien sûr, il n’était pas le genre de personne à subir sans rien dire. Ce n’était plus ce genre de personne là. Il rendait coup pour coup en faisant preuve d’une sournoiserie innée, il n’avait pas le choix, le code du navire interdisait de s’en prendre au sien.
Pris d’affection par son nouveau capitaine, le cornu participait à chaque bataille, chaque pillage, chaque abordage. Il arrivait à se démarquer de ses camarade d’armes, imposant encore un peu plus de peur et de méfiance à son égard. Un jour, lors d’un combat acharné, l’un de ses camarades avait péril par mégarde sous son coup de feu. Il n’avait pas pu l’éviter, l’homme s’était littéralement jeté devant le canon dans le feu de l’action. L’équipage se divisa alors en deux groupes, ceux qui voulaient voir Mindd au fond de la mer avec 100kg à chaque cheville et ceux qui voulaient le garder à bord pour profiter de ses aptitudes. La mutinerie ne tarda pas à éclater, le sang versé condamna l’équipage ainsi que son navire qui sombra dans le vaste océan. Le vieux bougre parvint à prendre la fuite par la mer. S’aidant d’une planche en bois pour rester à la surface, il lui fallut deux jour avant de rejoindre une côte...
Test RP
La mutinerie avait fait beaucoup de mal à l’équipage, finalement, les hommes avaient courut à leur propre perte. Tout ça sur un simple malentendu, on avait beau dire, un capitaine, aussi puissant soit il n’est rien sans son équipage. La bataille qui avait eu lieu en pleine mer avait eu raison du navire qui sombra en son fond avec son bon capitaine. Mindd tant qu’à lui avait réussi à s’agripper à une planche, pouvant contenir la partie supérieur de son corps. Malgré ses blessures, le cornu avait la rage de vivre, à l’aise dans le milieu aquatique, il parvenait à garder son calme, mais les eaux abritaient des créatures bien plus dangereuse qu’il ne pouvait l’imaginer. Rapidement, la partie inférieur de son corps s’engourdissait. Après plusieurs heures passé en pleine nuit dans l’eau de la mer, la fraîcheur du liquide se ressentait de plus en plus.
Ses forces commençaient à le quitter, il avait soif, il avait faim. Bien que sa besace était rempli d'hydromels, il ne tarda pas à tomber à sec, n’ayant que ce nectar à disposition. Pour lui, tant qu’il avait à boire, il ne pouvait pas mourir de faim ! Sa logique n’allait beaucoup plus loin que ça et gare à celui qui le contredirait ! Même à l’article de la mort, le bougre ne pouvait pas s’empêcher de se saouler, quitte à déshydrater encore plus son corps déjà mal en point.
Le temps passait et toujours rien à l’horizon, pas la moindre terre, pas le moindre pavillon, rien. De l’eau, de l’eau et encore de l’eau… Sa vision était troublée, ses yeux peinaient à rester ouvert pour ne pas s’endormir. Il savait que s’il prenait le luxe de s'assoupir un instant, il ne se réveillerai sans doute jamais. Ses jambes refusaient de battre dans l’eau. Son système nerveux ne répondait plus en dessous de sa ceinture. L’eau de mer brûlait ses blessure encore à vif, elle brûlaient tellement que Mindd pensait que s’en était devenu naturel.
C’est alors qu’un navire, pas plus grand qu’un haricot pointa le bout de son nez à l’horizon. Le cornu voyait très mal, il voyait double et ça tanguait de droite à gauche. Le soleil tapait, il tapait fort en pleine journée, croyant d’abord à une hallucination, il ne prit pas garde à ce bâtiment qui arrivait droit sur lui. Ne voulant pas gâcher ses dernières forces à cause de son esprit malade, le bougre luttait de plus en plus pour ne pas se faire aspirer dans les tréfonds de cette garce qu’était la mer.
Et puis, le point qui ressemblait tout à l’heure à un haricot grandissait au fur et à mesure qu’il avançait. Dans sa tête, il y en avait toujours deux, mais qu’importait, c’était le moment ou jamais ! Quitte à mourir autant mourir en essayant quelque chose avant. Même si ça ressemblait à un acte désespéré de sa part, Mindd attrapa tant bien que mal le bâton qui était dans son dos. C’était son arme fétiche, il avait donc prit la fuite avec, une fois que le navire avait coulé. Ne réussissant pas à retirer son tee-shirt comme il se devait, le cornu le déchira maladroitement en s’y reprenant à plusieurs reprises. Une fois fait, Il mit le morceau de tissu au bout du bâton qu’il peina à maintenir à la vertical.
Ce petit geste qui semblait anodin finissait d’achever le cornu. Son état ne lui permettait pas de maintenir la position plus de temps. Sa vision se réduisit jusqu'à s’assombrir complètement. Mindd était plongé dans la noirceur des ténèbres, impuissant, il ne pouvait rien faire. Ses poumons commençaient doucement à se remplir d’eau salé et puis, plus rien…
Une sensation de chaleur, de bien être. Le cornu se sentait soudeinement au sec, la douleur avait disparut et rien n’aurait plus être plus parfait. C’était donc ça la mort !? Une voix finit de réveiller le bougre, une voix douce et enfantine. C’était un petit qui appelait son père en s’écriant joyeusement : “Il a bougé, il a bougé.” Mindd ouvrit les yeux à cet instant, il se souvenait d’être en pleine mer à moitié mourant. Il se redressa de sa position allongé, pour s’asseoir, il tendit le bras en direction de la voix qu’il avait entendu et attrapa quelque chose. Le cornu serra alors sa poigne autour du bras du père de famille venu à son chevet pour l’occasion. D’une clef de bras Mindd lui brisa l’épaule avant de le relâcher. Le cornu retira les couvertures sous lesquelles il était installé, puis, au moment de se relever, ses jambes s'affaissèrent sous son propre poids, le faisant s’écrouler au sol.
La famille, sous le choc, se dirigea appeuré vers le père. Mindd rampa une première fois, en fixant fermement la porte qui menait vers l’extérieur. Ses blessures commençaient à se rouvrir, en rampant une seconde fois sur le sol, le sang commençaient à s’échapper de son corps. Il n’était pas en état d’aller où que ce soit, il le savait et pourtant, en essayant de ramper une troisième fois, Yurushi s’écroula à plat ventre sur le sol, dans sa propres traîné de sang.
L’homme qui l’avait alors recueilli et qui venait tout juste de blesser se mit au dessus de lui avant de lui dire d’un voix calme et sereine :
“T’as été pas mal amoché, on t’a repêché au moment ou tu coulais. Je te demande pas de me remercier, mais dorénavant, tâche de te tenir tranquille et de ne pas blesser les membres de ma famille.”
Le cornu était face contre terre, il lui faudrait plusieurs jours avant de ne serait-ce pouvoir marcher de nouveau. Le père de famille demanda alors à ses enfants de relever le cornu pour le remettre dans son lit pendant qu’il soignerait son épaule. La petite fille, taciturne et légèrement plus âgée que le petit garçon écouta son père. Son fils tant qu’à lui avait peur et n’était pas très rassuré. Une caresse sur la tête de la part de son paternel suffit pourtant à le rassurer. Les enfants aidèrent le cornu, qui se laissa guider pour retrouver son lit. La petite fille repartit après ça, le petit garçon, lui, restait, figeant Mindd, les yeux remplis de questions. Mindd le remarqua rapidement et ne tarda pas à se sentir gêné. Il regarda alors à son tour le gamin et lui dit en pointant du doigt “Hey petit ! donne-moi ma sacoche !”
Le garçon s'exécuta timidement. sans même recevoir un merci, le blessé attrapa son bien qui se trouvait sur lui lors de son sauvetage et en sorti une, puis deux, puis trois bouteilles. Toutes vide ! Le bougre les jetèrent sur le côté, heureusement, elles ne se brisèrent pas en plusieurs morceaux. Le garçon les ramassa alors, puis sorti les emmener ailleurs. Le réfugié s’allongea alors sur le dos en se tenant la tête, puis, s’assoupit un instant.
A son réveil, ses blessures avaient de nouveaux bandages, l’odeur d’une bonne soupe chaude qui était posé à son chevet régné dans la pièce. Le petit garçon, revenu à son chevet, mangé la sienne, calmement et sans le moindre bruit. Le cornu se redressa. Le petit homme voulu l’aider, mais d’un mouvement de main accompagné d’un grognement de la part de Mindd le dissuada. Le bougre voulu attraper sa soupe, mais hélas, il la renversa sur le sol qui n’en demandait pas tant.
Le gamin accouru pour éponger. Il insistait pour en apporter une autre à l’inconnu. Sans dire le moindre mot, le cornu se redressa pour essayer de sortir de son lit. En s'appuyant sur l’enfant, il parvenait à se redresser. Il mit alors la main sur un meuble pour répartir son poids et c’est de cette façon, que le borné parvint à refaire ses premiers pas. Un, puis deux, puis trois, plus rien ne pouvait l’arrêter. Enfin plus rien, une simple bourrasque aurait suffit à lui faire perdre l’équilibre, mais à cet instant, la mer était relativement calme.
Il parvint à se hisser jusqu’à la porte qu’il voulait atteindre il y a encore peu. En l’ouvrant, il ne sentit pas l’air frais de l'extérieur, mais plutôt la chaleur d’un foyer convivial. Les trois membres de la famille étaient assit autour de la table. Surpris, ils arrêtèrent un instant leur dîner. Mindd peina à rejoindre la table pour s’asseoir autour, tous le regardèrent faire à l'exception de la petite fille qui n’en avait rien à faire. Une fois assit, la femme servit une portion au cornu qui s’empressa de dévorer sa part sans même dire un merci. Le reste du repas se fit dans le silence le plus totale. Le père avait mit un bandage autour de son bras blessé, mais contre toute attente, il ne faisait preuve d’aucune animosité envers le cornu. Une fois qu’il eu fini de manger. Le blessé se releva et rejoignit son lit comme il était venu, en titubant.
Le lendemain, c’était une sonnerie qui sortit du sommeil le vieux bougre, la corne du navire l’avait réveillé. Il y avait de l’agitation à l'extérieur. Se relevant une nouvelle fois en forçant les limites de son corps, il attrapa ses biens personnel, bâton et sacoche, puis, emprunta une nouvelle fois la porte. A sa grande surprise, il ne vit personne dans la pièce principale. Il sortit alors en prenant la porte suivante. La lumière naturel du jour l’aveugla un instant. Tout en se remettant doucement de la luminosité, il entendait le père de famille donner des directives. Effectivement, le navire avait atteint la côté, la petite famille se démenait pour décharger le contenue qu’elle peinait à sortir des cales sans l’aide de la force du mari.
Une grosse boite leur posait vraiment beaucoup de problèmes. Avec son épaule blessée, l’homme ne pouvait pas aider ses enfants et sa femme à sortir cette imposante marchandise. Mindd s’avança alors vers eux, écarta grand les bras et prit la caisse à bout de bras. La famille se sentit soudainement soulager, le cornu portait la majeur partie du poids de la caisse. Transpirant à grosse gouttes, ses blessures se rouvrirent une nouvelle fois. La volonté de Mindd ne le fit pas perdre prise malgré la grimace qu’il affichait. Il était déterminé à aller jusqu’au bout de son action. C’était bien le moins qu’il pouvait faire après avoir blessé l’homme de cette famille. Grâce à son acte, la cargaison avait pu être posée sur la berge sans avoir besoin d’embaucher une aide extérieur. La gentille femme insista pour changer les bandages du cornu qui étaient de nouveaux recouvert de sang, mais celui-ci refusa, de toute évidence il avait l’intention de se faire lester sur cette île. Seul le rhum et les catins avaient maintenant le pouvoir de le remettre sur pieds. Ce qui manquait cruellement sur ce navire de marchands.
Après les avoir remercier poliment d’un geste de la tête, étant sans le sous, le père insista pour lui donner de quoi se nourrir et dormir pour la nuit grâce l’argent reçu pour sa cargaison vendue. Yurushi accepta avec gratitude le don de son sauveur sans qui il aurait perdu la vie avant de tourner les talons et prendre un nouveau départ. Après tout, c’était pas comme si il avait emporté avec lui les économies entreposer dans le tiroir de la cuisine avant de partir.
Ses forces commençaient à le quitter, il avait soif, il avait faim. Bien que sa besace était rempli d'hydromels, il ne tarda pas à tomber à sec, n’ayant que ce nectar à disposition. Pour lui, tant qu’il avait à boire, il ne pouvait pas mourir de faim ! Sa logique n’allait beaucoup plus loin que ça et gare à celui qui le contredirait ! Même à l’article de la mort, le bougre ne pouvait pas s’empêcher de se saouler, quitte à déshydrater encore plus son corps déjà mal en point.
Le temps passait et toujours rien à l’horizon, pas la moindre terre, pas le moindre pavillon, rien. De l’eau, de l’eau et encore de l’eau… Sa vision était troublée, ses yeux peinaient à rester ouvert pour ne pas s’endormir. Il savait que s’il prenait le luxe de s'assoupir un instant, il ne se réveillerai sans doute jamais. Ses jambes refusaient de battre dans l’eau. Son système nerveux ne répondait plus en dessous de sa ceinture. L’eau de mer brûlait ses blessure encore à vif, elle brûlaient tellement que Mindd pensait que s’en était devenu naturel.
C’est alors qu’un navire, pas plus grand qu’un haricot pointa le bout de son nez à l’horizon. Le cornu voyait très mal, il voyait double et ça tanguait de droite à gauche. Le soleil tapait, il tapait fort en pleine journée, croyant d’abord à une hallucination, il ne prit pas garde à ce bâtiment qui arrivait droit sur lui. Ne voulant pas gâcher ses dernières forces à cause de son esprit malade, le bougre luttait de plus en plus pour ne pas se faire aspirer dans les tréfonds de cette garce qu’était la mer.
Et puis, le point qui ressemblait tout à l’heure à un haricot grandissait au fur et à mesure qu’il avançait. Dans sa tête, il y en avait toujours deux, mais qu’importait, c’était le moment ou jamais ! Quitte à mourir autant mourir en essayant quelque chose avant. Même si ça ressemblait à un acte désespéré de sa part, Mindd attrapa tant bien que mal le bâton qui était dans son dos. C’était son arme fétiche, il avait donc prit la fuite avec, une fois que le navire avait coulé. Ne réussissant pas à retirer son tee-shirt comme il se devait, le cornu le déchira maladroitement en s’y reprenant à plusieurs reprises. Une fois fait, Il mit le morceau de tissu au bout du bâton qu’il peina à maintenir à la vertical.
Ce petit geste qui semblait anodin finissait d’achever le cornu. Son état ne lui permettait pas de maintenir la position plus de temps. Sa vision se réduisit jusqu'à s’assombrir complètement. Mindd était plongé dans la noirceur des ténèbres, impuissant, il ne pouvait rien faire. Ses poumons commençaient doucement à se remplir d’eau salé et puis, plus rien…
Une sensation de chaleur, de bien être. Le cornu se sentait soudeinement au sec, la douleur avait disparut et rien n’aurait plus être plus parfait. C’était donc ça la mort !? Une voix finit de réveiller le bougre, une voix douce et enfantine. C’était un petit qui appelait son père en s’écriant joyeusement : “Il a bougé, il a bougé.” Mindd ouvrit les yeux à cet instant, il se souvenait d’être en pleine mer à moitié mourant. Il se redressa de sa position allongé, pour s’asseoir, il tendit le bras en direction de la voix qu’il avait entendu et attrapa quelque chose. Le cornu serra alors sa poigne autour du bras du père de famille venu à son chevet pour l’occasion. D’une clef de bras Mindd lui brisa l’épaule avant de le relâcher. Le cornu retira les couvertures sous lesquelles il était installé, puis, au moment de se relever, ses jambes s'affaissèrent sous son propre poids, le faisant s’écrouler au sol.
La famille, sous le choc, se dirigea appeuré vers le père. Mindd rampa une première fois, en fixant fermement la porte qui menait vers l’extérieur. Ses blessures commençaient à se rouvrir, en rampant une seconde fois sur le sol, le sang commençaient à s’échapper de son corps. Il n’était pas en état d’aller où que ce soit, il le savait et pourtant, en essayant de ramper une troisième fois, Yurushi s’écroula à plat ventre sur le sol, dans sa propres traîné de sang.
L’homme qui l’avait alors recueilli et qui venait tout juste de blesser se mit au dessus de lui avant de lui dire d’un voix calme et sereine :
“T’as été pas mal amoché, on t’a repêché au moment ou tu coulais. Je te demande pas de me remercier, mais dorénavant, tâche de te tenir tranquille et de ne pas blesser les membres de ma famille.”
Le cornu était face contre terre, il lui faudrait plusieurs jours avant de ne serait-ce pouvoir marcher de nouveau. Le père de famille demanda alors à ses enfants de relever le cornu pour le remettre dans son lit pendant qu’il soignerait son épaule. La petite fille, taciturne et légèrement plus âgée que le petit garçon écouta son père. Son fils tant qu’à lui avait peur et n’était pas très rassuré. Une caresse sur la tête de la part de son paternel suffit pourtant à le rassurer. Les enfants aidèrent le cornu, qui se laissa guider pour retrouver son lit. La petite fille repartit après ça, le petit garçon, lui, restait, figeant Mindd, les yeux remplis de questions. Mindd le remarqua rapidement et ne tarda pas à se sentir gêné. Il regarda alors à son tour le gamin et lui dit en pointant du doigt “Hey petit ! donne-moi ma sacoche !”
Le garçon s'exécuta timidement. sans même recevoir un merci, le blessé attrapa son bien qui se trouvait sur lui lors de son sauvetage et en sorti une, puis deux, puis trois bouteilles. Toutes vide ! Le bougre les jetèrent sur le côté, heureusement, elles ne se brisèrent pas en plusieurs morceaux. Le garçon les ramassa alors, puis sorti les emmener ailleurs. Le réfugié s’allongea alors sur le dos en se tenant la tête, puis, s’assoupit un instant.
A son réveil, ses blessures avaient de nouveaux bandages, l’odeur d’une bonne soupe chaude qui était posé à son chevet régné dans la pièce. Le petit garçon, revenu à son chevet, mangé la sienne, calmement et sans le moindre bruit. Le cornu se redressa. Le petit homme voulu l’aider, mais d’un mouvement de main accompagné d’un grognement de la part de Mindd le dissuada. Le bougre voulu attraper sa soupe, mais hélas, il la renversa sur le sol qui n’en demandait pas tant.
Le gamin accouru pour éponger. Il insistait pour en apporter une autre à l’inconnu. Sans dire le moindre mot, le cornu se redressa pour essayer de sortir de son lit. En s'appuyant sur l’enfant, il parvenait à se redresser. Il mit alors la main sur un meuble pour répartir son poids et c’est de cette façon, que le borné parvint à refaire ses premiers pas. Un, puis deux, puis trois, plus rien ne pouvait l’arrêter. Enfin plus rien, une simple bourrasque aurait suffit à lui faire perdre l’équilibre, mais à cet instant, la mer était relativement calme.
Il parvint à se hisser jusqu’à la porte qu’il voulait atteindre il y a encore peu. En l’ouvrant, il ne sentit pas l’air frais de l'extérieur, mais plutôt la chaleur d’un foyer convivial. Les trois membres de la famille étaient assit autour de la table. Surpris, ils arrêtèrent un instant leur dîner. Mindd peina à rejoindre la table pour s’asseoir autour, tous le regardèrent faire à l'exception de la petite fille qui n’en avait rien à faire. Une fois assit, la femme servit une portion au cornu qui s’empressa de dévorer sa part sans même dire un merci. Le reste du repas se fit dans le silence le plus totale. Le père avait mit un bandage autour de son bras blessé, mais contre toute attente, il ne faisait preuve d’aucune animosité envers le cornu. Une fois qu’il eu fini de manger. Le blessé se releva et rejoignit son lit comme il était venu, en titubant.
Le lendemain, c’était une sonnerie qui sortit du sommeil le vieux bougre, la corne du navire l’avait réveillé. Il y avait de l’agitation à l'extérieur. Se relevant une nouvelle fois en forçant les limites de son corps, il attrapa ses biens personnel, bâton et sacoche, puis, emprunta une nouvelle fois la porte. A sa grande surprise, il ne vit personne dans la pièce principale. Il sortit alors en prenant la porte suivante. La lumière naturel du jour l’aveugla un instant. Tout en se remettant doucement de la luminosité, il entendait le père de famille donner des directives. Effectivement, le navire avait atteint la côté, la petite famille se démenait pour décharger le contenue qu’elle peinait à sortir des cales sans l’aide de la force du mari.
Une grosse boite leur posait vraiment beaucoup de problèmes. Avec son épaule blessée, l’homme ne pouvait pas aider ses enfants et sa femme à sortir cette imposante marchandise. Mindd s’avança alors vers eux, écarta grand les bras et prit la caisse à bout de bras. La famille se sentit soudainement soulager, le cornu portait la majeur partie du poids de la caisse. Transpirant à grosse gouttes, ses blessures se rouvrirent une nouvelle fois. La volonté de Mindd ne le fit pas perdre prise malgré la grimace qu’il affichait. Il était déterminé à aller jusqu’au bout de son action. C’était bien le moins qu’il pouvait faire après avoir blessé l’homme de cette famille. Grâce à son acte, la cargaison avait pu être posée sur la berge sans avoir besoin d’embaucher une aide extérieur. La gentille femme insista pour changer les bandages du cornu qui étaient de nouveaux recouvert de sang, mais celui-ci refusa, de toute évidence il avait l’intention de se faire lester sur cette île. Seul le rhum et les catins avaient maintenant le pouvoir de le remettre sur pieds. Ce qui manquait cruellement sur ce navire de marchands.
Après les avoir remercier poliment d’un geste de la tête, étant sans le sous, le père insista pour lui donner de quoi se nourrir et dormir pour la nuit grâce l’argent reçu pour sa cargaison vendue. Yurushi accepta avec gratitude le don de son sauveur sans qui il aurait perdu la vie avant de tourner les talons et prendre un nouveau départ. Après tout, c’était pas comme si il avait emporté avec lui les économies entreposer dans le tiroir de la cuisine avant de partir.
Informations IRL
• Prénom : George
• Age : 22 ans
• Aime : Peu de choses
• N'aime pas : Beaucoup de choses
• Personnage préféré de One Piece : Robin
• Caractère : Quelques mots pour vous décrire ? Toujours de bonne humeur, je suis pas là pour me prendre la tête. Le joueur est cool, mais le perso lui, c'est un gros con ! =/
• Fait du RP depuis : Quelques mois
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Dernière édition par Mindd Minsval le Ven 26 Fév 2016 - 21:11, édité 18 fois