MINAMI SORA
• Pseudonyme : Wait & see
• Age : 19 ans
• Sexe : Homme
• Race : Humain
• Métier : Cuisinier & peintre
• Groupe : Pirate
• Age : 19 ans
• Sexe : Homme
• Race : Humain
• Métier : Cuisinier & peintre
• Groupe : Pirate
• But : Devenir l'un des plus grands artistes de son époque.
• Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Rien pour le moment.
• Équipement : De petites bombes explosives & des bombes fumigène.
• Parrain : /
• Ce compte est-il un DC ? /
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? /
• Codes du règlement :
• Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Rien pour le moment.
• Équipement : De petites bombes explosives & des bombes fumigène.
• Parrain : /
• Ce compte est-il un DC ? /
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? /
• Codes du règlement :
Description Physique
Une foule était agglutinée autour d'un artiste de rue et d'une poseuse. Le peintre avait une apparence particulière, contrairement à la poseuse. Il n'avait pas le teint halée des habitants de ce pays aride et entouré de déserts, mais une peau plus blanche que la population locale. Sa chevelure en désordre attirait l'attention en raison de sa couleur bleue. Ses yeux émeraude étaient concentrés sur la toile, comme si rien ne pouvait pas les en détourner. Ses sourcils bleus étaient épais, son nez court et quelque peu proéminent et quelque peu proéminent, sa bouche large et charnue, ses oreilles petites et rondes. Un visage imberbe et rectangulaire à l'expression souriante.
Par moments, il donnait des instructions à la femme qui posait ou bien aux individus qui l'entouraient. Sa voix était grave et ferme, mais il y avait pourtant une certaine douceur dans le timbre de sa voix. Le jeune homme ne portait pas de haut. Toute la partie supérieure de son corps était exposée au soleil. Son corps était plutôt bien conservée. Une fine musculature, mais qui était compensée par une agilité et une vitesse extraordinaires. De plus, des cicatrices marquaient différentes parties de son corps.
Son style vestimentaire était simple. Un simple short noir et une paire de sandales constituaient sa tenue. Il ne fallait pas oublier son masque à gaz qu'il portait tout le temps. Ce masque était sa marque de fabrique, l'objet qui le distinguait des autres individus. Sora était persuadé que les masques à gaz deviendraient un jour un accessoire de mode, mais sur ce point, il devait se tromper.
Par moments, il donnait des instructions à la femme qui posait ou bien aux individus qui l'entouraient. Sa voix était grave et ferme, mais il y avait pourtant une certaine douceur dans le timbre de sa voix. Le jeune homme ne portait pas de haut. Toute la partie supérieure de son corps était exposée au soleil. Son corps était plutôt bien conservée. Une fine musculature, mais qui était compensée par une agilité et une vitesse extraordinaires. De plus, des cicatrices marquaient différentes parties de son corps.
Son style vestimentaire était simple. Un simple short noir et une paire de sandales constituaient sa tenue. Il ne fallait pas oublier son masque à gaz qu'il portait tout le temps. Ce masque était sa marque de fabrique, l'objet qui le distinguait des autres individus. Sora était persuadé que les masques à gaz deviendraient un jour un accessoire de mode, mais sur ce point, il devait se tromper.
Description Psychologique
L'art sous toutes ses formes passionne notre artiste. Dessiner, sculpter, peindre, chanter. Sa créativité ne semble pas avoir de limites. Il suffit de lui parler d'une œuvre en particulier pour qu'il devienne intarissable. Cuisinier de talent, il vous prépare des repas dignes des plus grands chefs. Bon vivant, la solitude n'est pas fait pour lui. Il aime les beuveries, les femmes, les fêtes. Paraître impassible lui est impossible. Ses sentiments et émotions transparaissent toujours sur son visage.
Sora s'est engagé dans la voie de la piraterie, car il a toujours été en quête de liberté. Être pirate, selon lui, c'est ne pas connaître l'autorité, garder la tête haute en toute circonstance. Cependant, le jeune homme sait pertinemment qu'un flibustier n'ait rien sans compagnon. Il envisage de rejoindre un équipage capable de le guider vers ses rêves. Sora n'est pas un bon samaritain et n'est pas non plus un mauvais gars, mais il a toujours du mal à rester neutre face à une injustice. De ce fait, il lui arrivera donc plus d'une fois de se plaindre de sa "gentillesse" avant de venir en aide à quelqu'un.
D'une arrogance sans égale, Sora incarne l'homme fier et sûr de ses capacités. Il prend souvent un ton théâtral et fait en sorte de toujours agir avec une certaine classe. Par là, j'entends qu'il a la fâcheuse tendance à tout faire de manière grandiose. C'est un vrai perfectionniste qui aime que tout soit à sa place, que le moindre détail soit parfait. Les échecs l'énervent haut plus point. Il est de ces gens qui affrontent les obstacles qui se dressent en travers de leur chemin à bras-le-corps. Son style de combat le destine à aller au front. Artiste martial de talent, attention à ses enchaînements de coups dévastateurs.
Sora s'est engagé dans la voie de la piraterie, car il a toujours été en quête de liberté. Être pirate, selon lui, c'est ne pas connaître l'autorité, garder la tête haute en toute circonstance. Cependant, le jeune homme sait pertinemment qu'un flibustier n'ait rien sans compagnon. Il envisage de rejoindre un équipage capable de le guider vers ses rêves. Sora n'est pas un bon samaritain et n'est pas non plus un mauvais gars, mais il a toujours du mal à rester neutre face à une injustice. De ce fait, il lui arrivera donc plus d'une fois de se plaindre de sa "gentillesse" avant de venir en aide à quelqu'un.
D'une arrogance sans égale, Sora incarne l'homme fier et sûr de ses capacités. Il prend souvent un ton théâtral et fait en sorte de toujours agir avec une certaine classe. Par là, j'entends qu'il a la fâcheuse tendance à tout faire de manière grandiose. C'est un vrai perfectionniste qui aime que tout soit à sa place, que le moindre détail soit parfait. Les échecs l'énervent haut plus point. Il est de ces gens qui affrontent les obstacles qui se dressent en travers de leur chemin à bras-le-corps. Son style de combat le destine à aller au front. Artiste martial de talent, attention à ses enchaînements de coups dévastateurs.
Biographie
SOUTH BLUE - Cité de Sansa
Carla était ma muse. Le monde avait beau être peuplé d'un nombre incalculable de femmes, Carla semblait être unique. D'une beauté à couper le souffle, d'une élégance sans pareille, elle était la femme dont le visage apparaissait le plus sur mes créations. Nous entretenions une relation privilégiée et intime. Par intime, j'entendais que nous étions des amis très proches. J'avais tenté plus d'une fois d'aller plus loin dans notre relation, mais elle s'opposait toujours à mes avances. A force, j'avais fini par me résigner à son choix en me disant que notre amitié était plus que suffisante pour moi, même si je savais que je me mentais.
Cependant, malgré notre proximité, il y avait des zones de mystère autour de Carla. Cinq ans d'amitié et pourtant elle ne m'avait pas avoué où elle partait chaque année. Elle voyageait beaucoup autour du monde et ne me rendait visite que cinq jours par mois. Ces voyages avaient commencé il y a deux ans. Elle m'amenait toujours des babioles, des objets ou des fruits exotiques, mais elle ne m'avait pas révélée à chaque fois la raison de ses voyages.
Alors que j'étais sur le point de finir un énième portrait de Carla, mon majordome Jardis entra dans mon Antre. Antre, avec un a majuscule, car cette pièce était mon refuge, l'endroit où toutes mes pièces de collection se trouvaient. Les murs étaient couverts de tableaux et de tapisserie. L'Antre était très spacieuse et était assez large pour accueillir une centaine de personnes. Être né dans le luxe était un privilège que peu de personnes connaissaient. J'étais le fils d'un riche commerçant. Ancien soldat, il a porté les couleurs de la Marine pendant dix longues années avant d'hériter de la fortune de mon grand-père. Jardis, un vieil homme aux cheveux gris, prit la parole.
- Monsieur, votre père vous attend dans son bureau. Il semblait pressé.
D'un hochement de tête, je lui fis comprendre que j'avais reçu le message. Après avoir salué comme il se doit Carla, je partai immédiatement au bureau de mon père. Mon papa n'était pas comme moi. Combattant dans l'âme, son antre à lui était là où il mettait ses décorations militaires en valeur. C'était un homme aux cheveux noirs qui me ressemblait. A ses côtés, des hommes en noir à l'air grave. Des hommes du gouvernement mondial à première vue. Je me demandai bien ce que ces individus pouvaient bien faire ici, si loin de leur territoire. Après de brèves salutations, mon père, qui paraissait embêté par quelque chose, s'adressa à moi.
- Sora, ces hommes portent des accusations très graves à ton sujet. Ils te soupçonnent d'être en collaboration avec la Révolution. Je leur dis que ce ne pouvait pas être possible, mais ces hommes disent avoir des preuves de ta culpabilité.
Si c'était une blague, elle était de mauvais goût, mais il suffisait de lire l'expression sur leurs visages pour savoir que ces gugus ne plaisantaient pas. Je n'avais aucun lien avec la Révolution, mais je ne savais pas comment leur prouver le contraire. De plus, Papa me disait souvent de nous méfier des agents du Gouvernement. Il avait déjà vu des gens disparaître entre leurs mains et parfois, pire. Mon intuition me disait de ne pas leur faire confiance. Rapidement, je fis volte-face avant de croiser le regard de mon frère aîné, Kaito. Lieutenant de la Marine, il était destiné à suivre le même parcours que notre père. Il se tenait dans l'encadrement de la porte et il paraissait décidé à me barrer la route. Cependant, dans ses yeux, je lus qu'il voulait m'aider à m'échapper.
- Laissez-le moi, mon frère est de nature rebelle.
D'un bond, je m'avançai dans sa direction, prêt à me battre. Mon frangin décocha en premier un coup de poing que je parvins à esquiver sans problème. Sans me retenir, je lui envoyai à mon tour un coup au visage, assez puissant pour qu'il ne soit pas soupçonné de m'avoir aidé. Après l'avoir fait valsé en arrière, je pris la poudre d'escampette.
Quelques minutes plus tard, essoufflé, je m'arrêtai pour faire une pose. A première vue, les hommes en noir n'avaient pas pris l'initiative de me suivre. De toute manière, il serait vite perdu dans notre manoir qui était l'équivalent d'un labyrinthe pour ceux qui n'habitaient pas dedans. Sorti sans souci de l'habitation, mais sans réponse aux questions qui parcouraient mon esprit, j'entrepris de déceler la vérité.
Le bordel Black Pearl était ma destination. Les filles de joie ne me seraient d'aucune utilité, mais le propriétaire du lieu était le plus à même de m'apporter des réponses. Surnommé l'Oreille, il avait tissé une toile de réseaux d'information au travers de la cité de Sansa. Sansa, la cité froide et enneigée, célèbre pour son rhum et ses feux d'artifice. Une fois arrivé au Black Pearl, j'allai directement au bureau d'Ebisu, le maître des lieux. C'était un homme au ventre rond, au crâne presque chauve et à la longue moustache. Tout en lui respirait le luxe et la richesse. Cependant, il avait un secret que peu de personnes connaissait.
- Hola, Ebisu ! J'ai quelque chose à te demander.
- Bonjour, Sora. Pas maintenant s'il te plaît, j'ai un client avec moi.
Effectivement, il était en train de discuter avec un client qui semblait mécontent. Cependant, ce n'était pas mon problème. J'avais des agents aux fesses moi. D'un regard noir, je lui fis comprendre que je n'étais pas d'humeur à attendre. Il s'excusa mille fois auprès de son client puis le congédia. Ebisu avait une dette envers moi, même une tonne de dettes. Le voyeurisme avait été une fois sa raison de vivre. Avant de créer son bordel, il avait le vilain défaut de voler des culottes ou bien d'espionner de belles ménagères. Malheureusement, la discrétion ne faisait pas parti de ses talents et donc, il se faisait souvent attraper par les autorités locales de Sansa. Ebisu avait par contre de la chance pour m'avoir comme ami, car j'avais joué plus d'une fois de mon influence, ou plutôt celle de mon père, pour l'aider.
- Ebisu, je vais te confier une affaire. Elle ne sera pas facile, mais tu devras faire avec. En bref, des agents du Gouvernement me soupçonnent de fricoter avec la Révolution. Je te charge de trouver pourquoi ils m'en veulent précisément. Cherche dans mon entourage, fais appel à tes contacts, trouve. Je te laisse cinq heures pour trouver.
Ebisu tenta de se plaindre, de me dire qu'il n'aurait jamais le temps, mais peu m'importait. Il devait me prouver que son surnom ne lui avait pas été donné pour rien.
Cinq heures plus tard.
Ces cinq heures m'avaient paru être les plus longues de ma vie. Je n'avais pas arrêté de me torturer l'esprit en cherchant comment je m'étais retrouvé dans pareil merdier. Alors que j'étais en train de boire une boisson chaude dans l'un des cafés les moins fréquentés de Sansa, un messager vint à ma rencontre, une lettre en main. Après lui avoir donné quelques berrys pour service rendu, il repartit sans un mot. Une fois le message ouvert, je le lus d'une traite avant d'avoir un hoquet de surprise.
Trente minutes plus tard.
Je me trouvais à ce moment-là devant une maison comme une autre, aux murs de brique. Sans perdre un instant, je toquai afin de prévenir la ou les personnes de mon arrivée. Après quelques minutes d'attente, une personne ouvra la porte puis jeta un coup d’œil rapide vers l'extérieur. C'était Clara. Elle reconnut mon visage, cligna plusieurs fois des yeux puis elle essaya de fermer l'entrée précipitamment. Je parvins à bloquer son geste en passant mon pied dans l'ouverture. Résignée, elle savait qu'elle ne réussirait pas à m'échapper.
Il s'avérait que Clara était de la Révolution. Elle en était un membre influent. Le fait qu'elle fasse parti de mon entourage avait facilité les recherches d'Ebisu. En quête d'explications, je fis comprendre à Clara que je ne lui en voulais pas de m'avoir caché sa relation avec la Révolution. Elle décida donc de me révéler son passé. Orpheline à l'âge de dix ans, elle avait perdu ses parents lors d'une bataille opposant des pirates et des soldats. Ses parents ont malheureusement fait parti des dommages collatéraux. Recueilli par un couple de révolutionnaires, elle a rejoint l'idéologie de ses parents adoptifs. Cependant, sa passion pour l'art et son amour pour moi étaient sincères. Jusqu'à ce moment-là, elle était une révolutionnaire inconnue et elle avait besoin de son anonymat afin de mener à bien ses missions.
- Ok, baby, ne t'inquiètes, ton secret sera le mien. De toute manière, je ne m'imagine pas suivre le même chemin que mon père. Voyager à travers le monde, ce n'est pas si mal, même si je suis poursuivi.
Nous nous étreignîmes une dernière fois puis je quittai sa maison pour retourner au manoir. Le manoir était vaste et avait le mérite de compter des passages secrets. Par l'un d'eux, je pus pénétrer au sein du château sans croiser un seul homme en noir. Jardis, qui avait toujours un escargophone avec lui, reçut mon appel et prévint ma famille de ma présence dans l'une des pièces secrètes. Ma mère, mon père et mon frère me rejoignirent dans les minutes qui suivirent, heureux de me voir sain et sauf. Les adieux furent larmoyants et déchirants. Je ne pouvais pas rester longtemps dans la cité. Après avoir eu une bourse remplie de berrys et un cheval, je quittai le château vers de nouveaux horizons.
Carla était ma muse. Le monde avait beau être peuplé d'un nombre incalculable de femmes, Carla semblait être unique. D'une beauté à couper le souffle, d'une élégance sans pareille, elle était la femme dont le visage apparaissait le plus sur mes créations. Nous entretenions une relation privilégiée et intime. Par intime, j'entendais que nous étions des amis très proches. J'avais tenté plus d'une fois d'aller plus loin dans notre relation, mais elle s'opposait toujours à mes avances. A force, j'avais fini par me résigner à son choix en me disant que notre amitié était plus que suffisante pour moi, même si je savais que je me mentais.
Cependant, malgré notre proximité, il y avait des zones de mystère autour de Carla. Cinq ans d'amitié et pourtant elle ne m'avait pas avoué où elle partait chaque année. Elle voyageait beaucoup autour du monde et ne me rendait visite que cinq jours par mois. Ces voyages avaient commencé il y a deux ans. Elle m'amenait toujours des babioles, des objets ou des fruits exotiques, mais elle ne m'avait pas révélée à chaque fois la raison de ses voyages.
Alors que j'étais sur le point de finir un énième portrait de Carla, mon majordome Jardis entra dans mon Antre. Antre, avec un a majuscule, car cette pièce était mon refuge, l'endroit où toutes mes pièces de collection se trouvaient. Les murs étaient couverts de tableaux et de tapisserie. L'Antre était très spacieuse et était assez large pour accueillir une centaine de personnes. Être né dans le luxe était un privilège que peu de personnes connaissaient. J'étais le fils d'un riche commerçant. Ancien soldat, il a porté les couleurs de la Marine pendant dix longues années avant d'hériter de la fortune de mon grand-père. Jardis, un vieil homme aux cheveux gris, prit la parole.
- Monsieur, votre père vous attend dans son bureau. Il semblait pressé.
D'un hochement de tête, je lui fis comprendre que j'avais reçu le message. Après avoir salué comme il se doit Carla, je partai immédiatement au bureau de mon père. Mon papa n'était pas comme moi. Combattant dans l'âme, son antre à lui était là où il mettait ses décorations militaires en valeur. C'était un homme aux cheveux noirs qui me ressemblait. A ses côtés, des hommes en noir à l'air grave. Des hommes du gouvernement mondial à première vue. Je me demandai bien ce que ces individus pouvaient bien faire ici, si loin de leur territoire. Après de brèves salutations, mon père, qui paraissait embêté par quelque chose, s'adressa à moi.
- Sora, ces hommes portent des accusations très graves à ton sujet. Ils te soupçonnent d'être en collaboration avec la Révolution. Je leur dis que ce ne pouvait pas être possible, mais ces hommes disent avoir des preuves de ta culpabilité.
Si c'était une blague, elle était de mauvais goût, mais il suffisait de lire l'expression sur leurs visages pour savoir que ces gugus ne plaisantaient pas. Je n'avais aucun lien avec la Révolution, mais je ne savais pas comment leur prouver le contraire. De plus, Papa me disait souvent de nous méfier des agents du Gouvernement. Il avait déjà vu des gens disparaître entre leurs mains et parfois, pire. Mon intuition me disait de ne pas leur faire confiance. Rapidement, je fis volte-face avant de croiser le regard de mon frère aîné, Kaito. Lieutenant de la Marine, il était destiné à suivre le même parcours que notre père. Il se tenait dans l'encadrement de la porte et il paraissait décidé à me barrer la route. Cependant, dans ses yeux, je lus qu'il voulait m'aider à m'échapper.
- Laissez-le moi, mon frère est de nature rebelle.
D'un bond, je m'avançai dans sa direction, prêt à me battre. Mon frangin décocha en premier un coup de poing que je parvins à esquiver sans problème. Sans me retenir, je lui envoyai à mon tour un coup au visage, assez puissant pour qu'il ne soit pas soupçonné de m'avoir aidé. Après l'avoir fait valsé en arrière, je pris la poudre d'escampette.
Quelques minutes plus tard, essoufflé, je m'arrêtai pour faire une pose. A première vue, les hommes en noir n'avaient pas pris l'initiative de me suivre. De toute manière, il serait vite perdu dans notre manoir qui était l'équivalent d'un labyrinthe pour ceux qui n'habitaient pas dedans. Sorti sans souci de l'habitation, mais sans réponse aux questions qui parcouraient mon esprit, j'entrepris de déceler la vérité.
Le bordel Black Pearl était ma destination. Les filles de joie ne me seraient d'aucune utilité, mais le propriétaire du lieu était le plus à même de m'apporter des réponses. Surnommé l'Oreille, il avait tissé une toile de réseaux d'information au travers de la cité de Sansa. Sansa, la cité froide et enneigée, célèbre pour son rhum et ses feux d'artifice. Une fois arrivé au Black Pearl, j'allai directement au bureau d'Ebisu, le maître des lieux. C'était un homme au ventre rond, au crâne presque chauve et à la longue moustache. Tout en lui respirait le luxe et la richesse. Cependant, il avait un secret que peu de personnes connaissait.
- Hola, Ebisu ! J'ai quelque chose à te demander.
- Bonjour, Sora. Pas maintenant s'il te plaît, j'ai un client avec moi.
Effectivement, il était en train de discuter avec un client qui semblait mécontent. Cependant, ce n'était pas mon problème. J'avais des agents aux fesses moi. D'un regard noir, je lui fis comprendre que je n'étais pas d'humeur à attendre. Il s'excusa mille fois auprès de son client puis le congédia. Ebisu avait une dette envers moi, même une tonne de dettes. Le voyeurisme avait été une fois sa raison de vivre. Avant de créer son bordel, il avait le vilain défaut de voler des culottes ou bien d'espionner de belles ménagères. Malheureusement, la discrétion ne faisait pas parti de ses talents et donc, il se faisait souvent attraper par les autorités locales de Sansa. Ebisu avait par contre de la chance pour m'avoir comme ami, car j'avais joué plus d'une fois de mon influence, ou plutôt celle de mon père, pour l'aider.
- Ebisu, je vais te confier une affaire. Elle ne sera pas facile, mais tu devras faire avec. En bref, des agents du Gouvernement me soupçonnent de fricoter avec la Révolution. Je te charge de trouver pourquoi ils m'en veulent précisément. Cherche dans mon entourage, fais appel à tes contacts, trouve. Je te laisse cinq heures pour trouver.
Ebisu tenta de se plaindre, de me dire qu'il n'aurait jamais le temps, mais peu m'importait. Il devait me prouver que son surnom ne lui avait pas été donné pour rien.
Cinq heures plus tard.
Ces cinq heures m'avaient paru être les plus longues de ma vie. Je n'avais pas arrêté de me torturer l'esprit en cherchant comment je m'étais retrouvé dans pareil merdier. Alors que j'étais en train de boire une boisson chaude dans l'un des cafés les moins fréquentés de Sansa, un messager vint à ma rencontre, une lettre en main. Après lui avoir donné quelques berrys pour service rendu, il repartit sans un mot. Une fois le message ouvert, je le lus d'une traite avant d'avoir un hoquet de surprise.
Trente minutes plus tard.
Je me trouvais à ce moment-là devant une maison comme une autre, aux murs de brique. Sans perdre un instant, je toquai afin de prévenir la ou les personnes de mon arrivée. Après quelques minutes d'attente, une personne ouvra la porte puis jeta un coup d’œil rapide vers l'extérieur. C'était Clara. Elle reconnut mon visage, cligna plusieurs fois des yeux puis elle essaya de fermer l'entrée précipitamment. Je parvins à bloquer son geste en passant mon pied dans l'ouverture. Résignée, elle savait qu'elle ne réussirait pas à m'échapper.
Il s'avérait que Clara était de la Révolution. Elle en était un membre influent. Le fait qu'elle fasse parti de mon entourage avait facilité les recherches d'Ebisu. En quête d'explications, je fis comprendre à Clara que je ne lui en voulais pas de m'avoir caché sa relation avec la Révolution. Elle décida donc de me révéler son passé. Orpheline à l'âge de dix ans, elle avait perdu ses parents lors d'une bataille opposant des pirates et des soldats. Ses parents ont malheureusement fait parti des dommages collatéraux. Recueilli par un couple de révolutionnaires, elle a rejoint l'idéologie de ses parents adoptifs. Cependant, sa passion pour l'art et son amour pour moi étaient sincères. Jusqu'à ce moment-là, elle était une révolutionnaire inconnue et elle avait besoin de son anonymat afin de mener à bien ses missions.
- Ok, baby, ne t'inquiètes, ton secret sera le mien. De toute manière, je ne m'imagine pas suivre le même chemin que mon père. Voyager à travers le monde, ce n'est pas si mal, même si je suis poursuivi.
Nous nous étreignîmes une dernière fois puis je quittai sa maison pour retourner au manoir. Le manoir était vaste et avait le mérite de compter des passages secrets. Par l'un d'eux, je pus pénétrer au sein du château sans croiser un seul homme en noir. Jardis, qui avait toujours un escargophone avec lui, reçut mon appel et prévint ma famille de ma présence dans l'une des pièces secrètes. Ma mère, mon père et mon frère me rejoignirent dans les minutes qui suivirent, heureux de me voir sain et sauf. Les adieux furent larmoyants et déchirants. Je ne pouvais pas rester longtemps dans la cité. Après avoir eu une bourse remplie de berrys et un cheval, je quittai le château vers de nouveaux horizons.
Test RP
- Carla, viens, suis-moi.
Son amie, affairée à la lecture d'un roman, l'interrogea du regard. Elle n'était pas certaine que le suivre en valait la peine, mais elle ferma tout de même son bouquin avant de l'accompagner. Ils quittèrent la bibliothèque du manoir afin de rejoindre la cuisine située à l'étage du dessous. Une fois à destination, l'adolescent eut un sourire malicieux. Il était persuadé que ce qu'elle était sur le point de voir allait la surprendre. Une bonne odeur de nourriture se dégageait de la cuisine plongée dans le noir.
En lâchant un grand "Tadam !", Sora alluma les feux, dévoilant au passage ce qu'il avait fait toute la nuit. Sur une table de plusieurs mètres de longueur se trouvait une quantité astronomique de plats. Avec l'aide de Jardis, le vieux majordome, Sora avait passé la nuit entière à préparer l'ensemble de ces mets. Chacun de ces mets était un pur chef d’œuvre. Ils avaient tous l'air appétissants et n'attendaient plus qu'à être manger. Carla, ébahie, ne put pas garder contenance et se jeta ravie en direction de la table. Resté en retrait, le garçon aux cheveux bleus souriait à pleines dents. Selon lui, personne d'autre sur cette terre n'aurait pu faire autant que lui en une nuit.
Cependant, le sourire du jeune homme disparut lorsque son amie lâcha un cri de dégoût. Elle prit une serviette qui traînait à proximité et cracha à l'intérieur ce qu'elle avait commencé à mâcher. Les sourcils froncés, Sora voyait l'action de la blonde comme un geste de jalousie. Elle refusait de croire en son talent, il en était certain. Carla était une sacrée comédienne, mais elle n'était pas assez douée pour le duper.
- Tu ne me crois pas ? Avale-ça !
Elle trempa son index dans quelque chose qui ressemblait à un sorbet glacé avant de faire goûter la glace à l'apprenti cuisinier. Ce dernier mordilla le doigt de sa camarade, convaincu d'être un virtuose dans le domaine culinaire. Mais il paya le prix fort de son arrogance lorsque son visage passa de la fierté à l’écœurement. Sora fit un pas en arrière puis se couvrit le visage avec une main. Il était abasourdi. Cependant, il ne se croyait pas encore vaincu. Il ne pouvait pas avoir échoué partout. Sous le regard de Carla, il avança d'un pas décidé et goûta tous les plats les uns après les autres. Malheureusement pour lui, il s'arrêta à une dizaine de dégustations, car plus l'aurait inévitablement rendu malade. Quel imbécile il était ! Il avait cru que cuisiner était aussi facile que faire quelques coups de pinceaux, mais il s'était mis le doigt dans l’œil jusqu'au coude.
- Et oui, mon grand ! Il ne suffit pas de bien présenter un met et de lui donner l'aspect le plus succulent possible pour faire un bon met. Un gourmet doit satisfaire les papilles.
Sora était déprimé. Non pas parce que Clara avait raison, mais parce que son échec avait été cuisant. Il se sentait minable, incapable. Ses yeux étaient cernés par la fatigue. Son corps ne tenait presque plus debout à cause du travail nocturne. Le peintre s'affala sur une chaise et semblait être vide de l'intérieur. Il n'avait plus de volonté. Carla lui ébourriffa les cheveux puis lui déposa un baiser sur le front. Ensuite, elle prit une autre chaise de manière à s'asseoir en face de son ami. Elle leva les bras en serrant les poings comme si elle voulait l'encourager et dit.
- Allez, ne t'en fais pas ! L'important, c'est de se relever de ses échecs. Ne te décourage pas. On a quel âge ? Seize ans. Tu as toute ta vie pour t'améliorer encore. Tu n'es clairement pas aussi doué en peinture que derrière les fourneaux, mais persévères !
Sora répondit à l'encouragement de la fille aux cheveux d'or par un haussement d'épaules. Il avait envie de peindre, libérer son esprit vers d'autres horizons, mais un bâillement lui rappela qu'il n'aura pas assez de force, ne serait-ce que pour lever un pinceau.
- Mais ce qui me chiffonne, c'est... Que va-t-on faire de toute cette nourriture gâchée ? Rassure-moi. Ne me dis pas que tout va aller à la poubelle.
- Pourquoi pas ? Mes parents sont assez riches pour ne pas s'inquiéter du manque de nourriture.
- Je suis désolé pour toi, mais tout le monde n'est pas né avec une cuillère en argent dans la bouche. D'ailleurs, qu'est-ce que pensent tes parents de tes dépenses ? La peinture, les toiles et la cuisine... A la longue, ça doit coûter cher.
La tête penchée vers le plafond, Sora songea à ses parents. Sa mère ne s'était jamais opposé à ses talents artistiques. Au contraire, elle encourageait les entreprises de son fils. Cependant, son père avait eu une pointe de déception quand il s'était rendu compte du désintérêt de son fils pour la Marine. Monsieur Minami avait voulu que ses fils aient le même parcours que lui. Mais le destin en avait voulu autrement. Sora aimait être libre de faire ce qui lui chantait quand il le voulait. Il n'aurait pas supporté les règles strictes imposées aux soldats. Le chef de la famille Minami avait compris que Sora trouverait sa voie par lui-même. De plus, un fils sur les deux qui empruntait le même chemin que lui, lui suffisait amplement.
- Et moi, je t'en pose des questions ?
Il savait que cette remarque cinglante provoquerait une vive réaction chez Carla qui s'empressa de bouder. Malgré cela, Sora savait aussi que leurs disputes ne duraient jamais longtemps
Son amie, affairée à la lecture d'un roman, l'interrogea du regard. Elle n'était pas certaine que le suivre en valait la peine, mais elle ferma tout de même son bouquin avant de l'accompagner. Ils quittèrent la bibliothèque du manoir afin de rejoindre la cuisine située à l'étage du dessous. Une fois à destination, l'adolescent eut un sourire malicieux. Il était persuadé que ce qu'elle était sur le point de voir allait la surprendre. Une bonne odeur de nourriture se dégageait de la cuisine plongée dans le noir.
En lâchant un grand "Tadam !", Sora alluma les feux, dévoilant au passage ce qu'il avait fait toute la nuit. Sur une table de plusieurs mètres de longueur se trouvait une quantité astronomique de plats. Avec l'aide de Jardis, le vieux majordome, Sora avait passé la nuit entière à préparer l'ensemble de ces mets. Chacun de ces mets était un pur chef d’œuvre. Ils avaient tous l'air appétissants et n'attendaient plus qu'à être manger. Carla, ébahie, ne put pas garder contenance et se jeta ravie en direction de la table. Resté en retrait, le garçon aux cheveux bleus souriait à pleines dents. Selon lui, personne d'autre sur cette terre n'aurait pu faire autant que lui en une nuit.
Cependant, le sourire du jeune homme disparut lorsque son amie lâcha un cri de dégoût. Elle prit une serviette qui traînait à proximité et cracha à l'intérieur ce qu'elle avait commencé à mâcher. Les sourcils froncés, Sora voyait l'action de la blonde comme un geste de jalousie. Elle refusait de croire en son talent, il en était certain. Carla était une sacrée comédienne, mais elle n'était pas assez douée pour le duper.
- Tu ne me crois pas ? Avale-ça !
Elle trempa son index dans quelque chose qui ressemblait à un sorbet glacé avant de faire goûter la glace à l'apprenti cuisinier. Ce dernier mordilla le doigt de sa camarade, convaincu d'être un virtuose dans le domaine culinaire. Mais il paya le prix fort de son arrogance lorsque son visage passa de la fierté à l’écœurement. Sora fit un pas en arrière puis se couvrit le visage avec une main. Il était abasourdi. Cependant, il ne se croyait pas encore vaincu. Il ne pouvait pas avoir échoué partout. Sous le regard de Carla, il avança d'un pas décidé et goûta tous les plats les uns après les autres. Malheureusement pour lui, il s'arrêta à une dizaine de dégustations, car plus l'aurait inévitablement rendu malade. Quel imbécile il était ! Il avait cru que cuisiner était aussi facile que faire quelques coups de pinceaux, mais il s'était mis le doigt dans l’œil jusqu'au coude.
- Et oui, mon grand ! Il ne suffit pas de bien présenter un met et de lui donner l'aspect le plus succulent possible pour faire un bon met. Un gourmet doit satisfaire les papilles.
Sora était déprimé. Non pas parce que Clara avait raison, mais parce que son échec avait été cuisant. Il se sentait minable, incapable. Ses yeux étaient cernés par la fatigue. Son corps ne tenait presque plus debout à cause du travail nocturne. Le peintre s'affala sur une chaise et semblait être vide de l'intérieur. Il n'avait plus de volonté. Carla lui ébourriffa les cheveux puis lui déposa un baiser sur le front. Ensuite, elle prit une autre chaise de manière à s'asseoir en face de son ami. Elle leva les bras en serrant les poings comme si elle voulait l'encourager et dit.
- Allez, ne t'en fais pas ! L'important, c'est de se relever de ses échecs. Ne te décourage pas. On a quel âge ? Seize ans. Tu as toute ta vie pour t'améliorer encore. Tu n'es clairement pas aussi doué en peinture que derrière les fourneaux, mais persévères !
Sora répondit à l'encouragement de la fille aux cheveux d'or par un haussement d'épaules. Il avait envie de peindre, libérer son esprit vers d'autres horizons, mais un bâillement lui rappela qu'il n'aura pas assez de force, ne serait-ce que pour lever un pinceau.
- Mais ce qui me chiffonne, c'est... Que va-t-on faire de toute cette nourriture gâchée ? Rassure-moi. Ne me dis pas que tout va aller à la poubelle.
- Pourquoi pas ? Mes parents sont assez riches pour ne pas s'inquiéter du manque de nourriture.
- Je suis désolé pour toi, mais tout le monde n'est pas né avec une cuillère en argent dans la bouche. D'ailleurs, qu'est-ce que pensent tes parents de tes dépenses ? La peinture, les toiles et la cuisine... A la longue, ça doit coûter cher.
La tête penchée vers le plafond, Sora songea à ses parents. Sa mère ne s'était jamais opposé à ses talents artistiques. Au contraire, elle encourageait les entreprises de son fils. Cependant, son père avait eu une pointe de déception quand il s'était rendu compte du désintérêt de son fils pour la Marine. Monsieur Minami avait voulu que ses fils aient le même parcours que lui. Mais le destin en avait voulu autrement. Sora aimait être libre de faire ce qui lui chantait quand il le voulait. Il n'aurait pas supporté les règles strictes imposées aux soldats. Le chef de la famille Minami avait compris que Sora trouverait sa voie par lui-même. De plus, un fils sur les deux qui empruntait le même chemin que lui, lui suffisait amplement.
- Et moi, je t'en pose des questions ?
Il savait que cette remarque cinglante provoquerait une vive réaction chez Carla qui s'empressa de bouder. Malgré cela, Sora savait aussi que leurs disputes ne duraient jamais longtemps
Informations IRL
• Prénom : Lucas
• Age : 18 piges.
• Aime : Les mangas, lire, les séries télévisées, le JdR.
• N'aime pas : Le chocolat noir.
• Personnage préféré de One Piece : Bon Clay, c'est un vrai gars !
• Caractère : Je suis motivé et j'ai envie de m'amuser un max sur ce forum.
• Fait du RP depuis : J'ai commencé à onze ans, mais je me suis arrêté pendant pas mal de temps.
• Disponibilité approximative : Presque tous les jours
• Comment avez-vous connu le forum ? : TOP 50 RPG.
ONE PIECE REQUIEM ©
Dernière édition par Daniel Shadey le Dim 28 Fév 2016 - 20:38, édité 3 fois
Hello
Bienvenue sur OPR! J'espère que tu passeras de bons moments avec nous. N'hésite pas à contacter le staff par MP ou sur la CB en cas de question.
Je viens te donner ton test RP, mais je vais te demande de glisser quelque part dans ta présentation l'endroit où tu commences la vie de ton personnage. Il n'est pas forcément nécessaire de mettre une île précise si Sora est sur les Blues, juste préciser laquelle suffira. Si c'est GrandLine, je te demande par contre de mettre un lieu précis ^^.
Pour ton test RP:
En espérant que ça t'inspire, n'hésite pas à dire si ce n'est pas le cas.
Bon jeu!
Bienvenue sur OPR! J'espère que tu passeras de bons moments avec nous. N'hésite pas à contacter le staff par MP ou sur la CB en cas de question.
Je viens te donner ton test RP, mais je vais te demande de glisser quelque part dans ta présentation l'endroit où tu commences la vie de ton personnage. Il n'est pas forcément nécessaire de mettre une île précise si Sora est sur les Blues, juste préciser laquelle suffira. Si c'est GrandLine, je te demande par contre de mettre un lieu précis ^^.
Pour ton test RP:
Sora sait peindre et cuisiner. Le premier talent, on peut comprendre que la richesse de sa famille lui a donné le temps et les moyens d'apprendre et de se perfectionner. Le second est déjà moins immédiat. Comment en est-il arrivé là? Ses parents acceptent-ils de le voir passer son temps entre casseroles et fusains? Ont-il déjà tenté de lui parler de "son avenir" ? Raconte-nous un peu la relation de Sora entre ses deux passions et son impact sur ses relations familiales.
En espérant que ça t'inspire, n'hésite pas à dire si ce n'est pas le cas.
Bon jeu!
Salut Sora,
Passage pour le premier avis.
J'ai apprécié la lecture de ta fiche, la forme est très propre, la prose est agréable et coule sans accroc aucun et en toute simplicité. On suit tes aventures sans aucun mal, c'est limpide et a le mérite d'être très clair. Simple et un peu " light " cependant, notamment au niveau des descriptions qui bien qu'elles fassent le boulot manquent un peu de contenu tout du moins pour le physique. T'as éludé ca dans la mise en scène pour noyer un peu l'aspect, pas vraiment de mal, je suis de ceux qui pensent l'exercice de la description physique un peu fastidieux également. La psycho m'a bien plus contenté rétrospectivement, t'as posé les esquisses suffisantes à ce qu'on puisse grosso modo apposer des qualificatifs quand on pense "Sora " et ca transparaît assez bien. Certains pourraient te reprocher le manque de détails mais j'aime quand c'est clair, compact, qu'on ne fasse pas de remplissage verbeux exhaustif et surtout que les éléments évoqués soient cohérents entre eux, ce que me semble être le cas pour cette fiche-ci. J'aurais aimé voir transparaître un peu plus " ton arrogance sans égale " dans le corps de la bio et du test RP et plus particulièrement au niveau des plats ratés que va déguster Carla. T'as le langage corporel sur le moment donc ca contrebalance mais l'arrogance n'y est pas, un peu dommage.
La bio est assez classique mais a le mérite de bien poser le personnage, Carla faisant office de point névralgique à toute l'intrigue qui va découler par et pour elle au point que tu décides de mettre les voiles. J'ai cependant deux ou trois réservés à émettre sur des aspects qui m'ont un peu échaudé à la lecture et qui semblent davantage se poser comme motifs à justification " je suis pirate " que de vraies conséquences derrière.
Les gouvernementaux qui sont venus te cueillir pour ton lien supposé avec Carla voulaient sur le papier avoir juste des informations à ton sujet et tu aurais pu totalement feindre l'ignorance ( ce qui était le cas, au moment où ils sont venus et où tu ne savais vraisemblablement pourquoi ils étaient venus à toi). Je veux bien admettre que ton père t'avait raconté cette histoire où ils avaient littéralement effacé l'existence d'un type, mais combattre devant eux avec Kaito, c'est un véritable aveu de culpabilité et qui atteste que tu as des liens véridiques et conscients avec la révolution. Un peu dommage que tu te mettes ainsi dans la panade gratuitement alors que t'avais bien d'autres cordes à ton arc pour essayer de contrebalancer la situation à ton avantage, là tu te grilles tout bonnement.
Autre point sur lequel je voudrais rebondir:
Quelques heures auparavant, tu étais le fils chéri de la famille, le mec sans histoire et sans casseroles à ton actif et d'un coup -après ta fugue incongrue - , les révélations de Carla et son appartenance à la révolution, tu reviens au manoir et leur explique cash que tu deviens un paria, un fugitif, à 19 ans, pour une amie de longue date et que tu laisses tout derrière toi et part explorer le monde avec elle ? Aucun parent ne pourrait se résigner à quelque chose du genre, pas pour des motifs aussi triviaux qui finalement concernent surtout Carla et pas du tout Sora, leur progéniture chérie, il est évident qu'ils ne peuvent pas juste renoncer ainsi de cette manière là. Essaye de transposer IRL, les parents lui mettraient quelques claques et l'affaire serait réglée. Techniquement Sora ne craint finalement quasiment rien, il a des accointances avec une révolutionnaire c'est vrai mais il l'ignorait tout bonnement jusqu'à aujourd'hui. Qu'il décide de pas balancer Carla et de nier en bloc, il peut, ça se fait beaucoup, le gouvernement n'aurait rien contre lui. Je pense que t'as voulu tourner ca autour de la psychose de disparaître comme l'histoire qu'on t'a raconté mais tout de même, c'est un peu bancal.
Du coup oui, çà semble beaucoup plus "motif " à aller vivre des aventures sur la mappemonde qu'un processus qui l'a amené à devoir partir parce qu'il ne pouvait résolument faire autrement.
Le test RP était très bien, j'ai beaucoup aimé son traitement et la chute tout autant. C'était frais et sympa, bien joué.
Premier avis à 675 dorikis.
Bienvenue sur OPR et bon jeu parmi nous Sora.
Passage pour le premier avis.
J'ai apprécié la lecture de ta fiche, la forme est très propre, la prose est agréable et coule sans accroc aucun et en toute simplicité. On suit tes aventures sans aucun mal, c'est limpide et a le mérite d'être très clair. Simple et un peu " light " cependant, notamment au niveau des descriptions qui bien qu'elles fassent le boulot manquent un peu de contenu tout du moins pour le physique. T'as éludé ca dans la mise en scène pour noyer un peu l'aspect, pas vraiment de mal, je suis de ceux qui pensent l'exercice de la description physique un peu fastidieux également. La psycho m'a bien plus contenté rétrospectivement, t'as posé les esquisses suffisantes à ce qu'on puisse grosso modo apposer des qualificatifs quand on pense "Sora " et ca transparaît assez bien. Certains pourraient te reprocher le manque de détails mais j'aime quand c'est clair, compact, qu'on ne fasse pas de remplissage verbeux exhaustif et surtout que les éléments évoqués soient cohérents entre eux, ce que me semble être le cas pour cette fiche-ci. J'aurais aimé voir transparaître un peu plus " ton arrogance sans égale " dans le corps de la bio et du test RP et plus particulièrement au niveau des plats ratés que va déguster Carla. T'as le langage corporel sur le moment donc ca contrebalance mais l'arrogance n'y est pas, un peu dommage.
La bio est assez classique mais a le mérite de bien poser le personnage, Carla faisant office de point névralgique à toute l'intrigue qui va découler par et pour elle au point que tu décides de mettre les voiles. J'ai cependant deux ou trois réservés à émettre sur des aspects qui m'ont un peu échaudé à la lecture et qui semblent davantage se poser comme motifs à justification " je suis pirate " que de vraies conséquences derrière.
Les gouvernementaux qui sont venus te cueillir pour ton lien supposé avec Carla voulaient sur le papier avoir juste des informations à ton sujet et tu aurais pu totalement feindre l'ignorance ( ce qui était le cas, au moment où ils sont venus et où tu ne savais vraisemblablement pourquoi ils étaient venus à toi). Je veux bien admettre que ton père t'avait raconté cette histoire où ils avaient littéralement effacé l'existence d'un type, mais combattre devant eux avec Kaito, c'est un véritable aveu de culpabilité et qui atteste que tu as des liens véridiques et conscients avec la révolution. Un peu dommage que tu te mettes ainsi dans la panade gratuitement alors que t'avais bien d'autres cordes à ton arc pour essayer de contrebalancer la situation à ton avantage, là tu te grilles tout bonnement.
Autre point sur lequel je voudrais rebondir:
Le manoir était vaste et avait le mérite de compter des passages secrets. Par l'un d'eux, je pus pénétrer au sein du château sans croiser un seul homme en noir. Jardis, qui avait toujours un escargophone avec lui, reçut mon appel et prévint ma famille de ma présence dans l'une des pièces secrètes. Ma mère, mon père et mon frère me rejoignirent dans les minutes qui suivirent, heureux de me voir sain et sauf. Les adieux furent larmoyants et déchirants. Je ne pouvais pas rester longtemps dans la cité. Après avoir eu une bourse remplie de berrys et un cheval, je quittai le château vers de nouveaux horizons.
Quelques heures auparavant, tu étais le fils chéri de la famille, le mec sans histoire et sans casseroles à ton actif et d'un coup -après ta fugue incongrue - , les révélations de Carla et son appartenance à la révolution, tu reviens au manoir et leur explique cash que tu deviens un paria, un fugitif, à 19 ans, pour une amie de longue date et que tu laisses tout derrière toi et part explorer le monde avec elle ? Aucun parent ne pourrait se résigner à quelque chose du genre, pas pour des motifs aussi triviaux qui finalement concernent surtout Carla et pas du tout Sora, leur progéniture chérie, il est évident qu'ils ne peuvent pas juste renoncer ainsi de cette manière là. Essaye de transposer IRL, les parents lui mettraient quelques claques et l'affaire serait réglée. Techniquement Sora ne craint finalement quasiment rien, il a des accointances avec une révolutionnaire c'est vrai mais il l'ignorait tout bonnement jusqu'à aujourd'hui. Qu'il décide de pas balancer Carla et de nier en bloc, il peut, ça se fait beaucoup, le gouvernement n'aurait rien contre lui. Je pense que t'as voulu tourner ca autour de la psychose de disparaître comme l'histoire qu'on t'a raconté mais tout de même, c'est un peu bancal.
Du coup oui, çà semble beaucoup plus "motif " à aller vivre des aventures sur la mappemonde qu'un processus qui l'a amené à devoir partir parce qu'il ne pouvait résolument faire autrement.
Le test RP était très bien, j'ai beaucoup aimé son traitement et la chute tout autant. C'était frais et sympa, bien joué.
Premier avis à 675 dorikis.
Bienvenue sur OPR et bon jeu parmi nous Sora.
Salut Sora.
Je passe pour un second avis.
Sur la forme, c'était limpide comme l'a dit mon collègue du dessus, claire et sans chichi. Mais j'ai malgré tout noté quelques coquilles et répétition de mots. Surtout dans les descriptions physiques et psychologiques.
comme si rien ne pouvait pas les en détourner -> ne pouvait les en détourner
quelque peu proéminent et quelque peu proéminent -> répétition
qu'un flibustier n'ait rien sans compagnon -> n'est rien
Les échecs l'énervent haut plus point -> au plus haut point
une personne ouvra -> ouvrit
La bio est narrée à la première personne, le test RP à la troisième. Un peu étrange ce changement de style d'autant plus que personnellement j'aurais aimé que tu les inverses. Le contexte de la biographie fait que n'y ai pas trouvé masses de ressentis, le sujet des révos et du départ étant traités très légèrement alors que le test RP nous exposait une profonde déception, de l'amertume. Je me suis demandé ce que cela aurait donné comme introspection si ça avait été traité en "je".
Pour le fond, Wade a fait le travail hein. Au risque de répéter ce qu'il a dit, j'ai trouvé les enchainements assez incongrus et irréalistes. Un mec qui fuit quand on l'accuse de quelque chose, c'est donner à l'ennemi les preuves de sa culpabilité. Que des gens aient disparus dans les mains des services du Gouvernement, oui, mais ton père a une sorte de notoriété, ton frère est dans la marine, vous avez de l'argent. Autant d'atouts qui forment un mur entre toi et ces hommes en noir, qui auraient pu être exploités pour ta défense. Pendant un moment fugace, j'ai pensé que tu fuyais une sorte d'Inquisition qui te condamnait avant même de prouver la véracité de leurs accusations.
Si tu traites le côté un peu démoniaque et sans recul du GM, alors tu ne l'as pas fait jusqu'au bout, je pense. Tes parents, ton frère auraient dû subir les contrecoups de ta "trahison". Tu t'es enfui, donc tu es coupable, donc un révolutionnaire a vécu sous les yeux d'un ancien marine et d'un marine. Y en a beaucoup qui ont davantage de problèmes pour moins pire. Ça s'est si on veut vraiment aller dans le jusqu'au-boutisme du truc mais ça demeure limite. Cela dit, ta famille aurait forcément dû morfler d'une manière ou d'une autre d'avoir élevé un révo' en fuite.
Hum, donc plus sérieusement, le combat avec son frère aussi, WTF. On aurait dit un mauvais film.
M'enfin, ensuite l'enquête et Carla, prévisible mais là aussi, ta réaction me parait un poil trop peace and love. Cette femme (et surtout ta propre réaction de fuite) venait de faire de toi un ennemi du GM. Ce n'est pas l'association des poissonniers du coin quoi. Certes, tu voulais être libre, indépendant mais ton monde venait de basculer sans préavis. Encore pire, pour quelqu'un de riche habitué à claquer des doigts, je présume, pour qu'une ribambelle de serviteurs se posent en quatre pour lui. Partir du jour au lendemain (avec la bourse garnie, oui, mais ça se tarira un jour), je trouve que ça fait un gros changement. Et que c'est trop légèrement traité.
Ensuite, le retour à la famille et les embrassades des parents dans le même ton de simplicité. Ils n'ont rien à dire ? Pas envie de gueuler ? xD
Le test RP... Je suis un peu mitigé pour ma part. La cuisine foireuse, c'était bien, mais là aussi, ça manquait terriblement de réalisme. Quel cuisinier au monde ne goûte pas ses plats avant de les servir ? Surtout qu'ils étaient deux... Au début, j'ai pensé que tu allais nous sortir comme quoi, un de ses parents furieux de ses hobbies avait versé quelque chose dans la bouffe pour la rendre dégueux mais non, il n'a juste pas goûté xD
Tu réponds aux interrogations de Shaïness, tes parents te soutiennent ou te laissent vivre, alors, ça méritait pas trois paragraphes. Donc, c'est bien.
Voilà, je m'en arrête là. Je table sur 575 D, ce qui te valide à 625 D.
Bienvenue et bon jeu sur le forum.