Rappel du premier message :
Bonjour bonjour
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Informations IRL
>> Jezal Wolfang
une image 200*300 / | Pseudonyme : Maréchal Age: 69 ans Sexe : Homme Race : Humain Rang : Agent d'élite ? ^^ Métier : Inquisiteur Groupe : Gouvernement Déjà un équipage : // But : Traquer les criminels. Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Fruit du Label Équipements : Quelques dagues... Codes du règlement (2) : Parrain : / |
>> Physique Une vague silhouette se profile dans l'ombre... Un homme s'avance. Il était grand, désormais, il est rabougri, recourbé tel un vautour perché sur un arbre mort. Sa peau est plus plissée de rides qu'une pomme de reinette flétrie. Des plaques couvrent son corps comme le lière envahi le chêne centenaire. Seuls quelques malheureux cheveux subsistent encore, retenus sur le sommet de son crâne brillant par quelques forces indéterminées. Ses deux yeux faiblement ouverts jettent toujours le même regard : "Je sais qui vous êtes, ce que vous faîtes, ce que vous pensez". Sans commune mesure avec le reste de son corps, plus hideux qu'un cadavre en putréfaction, sa bouche béante dépourvue de dents rappelle un arbre durement martelé par un pic vert voulant y trouver un nid. Son visage, semblant toujours insatisfait, rappelle un arbre qui difficilement survit. Il s'approche doucement. Ses mains sont décharnies et se rapprochent d'un roc battu par vents et marées. Elles menacent de s'effriter ou de tomber en poussière à chaque instant. Il tend son bras, il n'est pas très musclé ; on distingue les os à travers la chair. Il fait un pas, on remarque ses jambes tremblotantes semblant avoir du mal à le maintenir debout. Elles sont toutes aussi maigres que le reste de son corps. Le "Maréchal" porte une tunique grecquo-romaine très complexifiée et améliorée. Haute en couleurs, orange, verte, jaune, bleu, elle ferait presque oublier le sinistre personnage qui la porte. Le col est assez bas, et brodé de fin motifs écrits en lettres de soie et d'or, les manches sont amples et tissées en satin. Le reste de sa tenue est blanc, froid et concorde parfaitement avec sa personnalité. Il porte des sandalettes en cuir, tout droit venues d'une destination orientale, des bas ivoire, une ceinture ébène, un collier olive et une simple boucle d'oreille. Jezal est hideux et somptueux. >> Psychologie Finesse et barbarie, obscurantisme du Gouvernement, destruction du moindre chacal et de tout ce qui lutte contre l'Ordre Mondial. La philosophie de Jezal est simple : il y a d'un côté les méchants et de l'autre les menteurs [simili gentils]. Qui que vous soyez, vous êtes un arriviste, une racaille, un pirate, un révolutionnaire ou un assassin potentiel. Jezal subodore qu'il n'existe pas de personne foncièrement bonne et qu'un jour ou l'autre tout le monde à commis un acte légalement répréhensible. Il s'acharne donc sur quiconque enfreint la loi ou s'oppose à la justice absolue. Malgré tout, il reste humain et a à deux reprises accordé des grâces à des personnes qui les méritaient. Chaque chose est issue d'un choix préalablement défini, il n'y a pas d'effet sans cause, de réussite sans objectif, de destruction sans folie ni de loi sans gouvernement. Tout ce qui se passe ici bas est écrit là-haut, toute rencontre est prédestinée, tout homme est marqué du pêcher originel. Jezal s'évertue de rembourser ce qu'il considère la dette de sa naissance en construisant un monde meilleur ou règne l'ordre, la prospérité et la vie. Le vieil homme est très fin et calculateur : il n'hésite pas à pratiquer la manipulation quand cela sert ses objectifs ; qu'ils soient personnels ou non. Chaque révolutionnaire sera torturé et mourra dans d'atroces souffrances, chaque pirate subira l'écartelement, chaque mafioso vomira son sang. La loi et l'ordre seront rétablis dans ce bas monde, et quiconque s'y opposera, subira la cabale du Gouvernement. >> Biographie Wolfang est près de la plage, il fait beau ; la mer est belle, il a quatre ans, il est petit, il est blond et il a les yeux bleu ciel. Vous savez tout ce dont vous avez besoin pour vous plonger dans la suite de sa biographie. Un crabe s'avance, sa démarche est chaloupée, sa carapace ocre desséchée et il lui manque une patte. Wolfang l'écrase. Le gamin relève son pieds pour admirer le tas informe gisant sur le sable et esquisse un sourire empreint de fierté. Il ramasse le cadavre et le lance aussi loin qu'il le peut, vers l'horizon. Chaque choix de Jezal a été conditionné par la mort du crabe. Première et dernière injustice qu'il commettra, cet animal écrira savie. Quelques années plus tard, le gouvernement implante une bibliothèque de type P (Propagande) destinée à former des citoyens modèles qui feront peut-être parti de leurs agents un jour. Ouverte chaque jour et équipée des meilleures technologies possibles, elle attire un monde fou. Certaines personnes viennent même d'îles environnantes comme Kage Berg, Hinu Town, ou même Las Camp pour pouvoir profiter une courte journée du savoir phénoménal amassé en ce lieu. L'écriteau "Bibliothèque Gouvernementale" disposé au-dessus de la porte d'entrée, semble passer inaperçu et chacun cite désormais la "Bibliothèque d'Or" pour appuyer ses théories ou étayer ses discours. Comme tout un chacun, Wolfang s'y rend régulièrement pour lire et s'imprégner des valeurs gouvernementales. Depuis l'assassinat du crabe, qui ne l'a, finalement, pas tant marqué que cela, il se pose des questions sur la vraie valeur de la vie et de la justice. Omnibulé par l'extermination des pirates et des criminels de tout genre, il décide de passer le reste de sa vie parmi les rangs du Gouvernement Mondial. Chaque jour, il s'entraîne à se battre et s'abreuve du savoir de ce qui est désormais pour lui, un lieu sacré. Vous pensez, à tort, qu'un élément va venir perturber cette monotonie du quotidien... Seuls quelques éléments diverses dispersés dans la vie de Wolfang feront de lui autre chose qu'un esclave mental. Ce sont ces éléments qui sont intéressants et que je vais vous conter. Carnet de route [Wolfang à 40 ans]: James Edward Norrington. Amiral de la flotte de mon cul. Premier interrogatoire. Aujourd'hui, mon grade et mon poste au sein du gouvernement m'ont permis de le questionner comme bon me semble. Le gouvernement, soucieux de préserver l'opacité de cette affaire m'a donné toute les cartes pour m'occuper de l'homme qui accepterait des pots de vins d'une bande de Mafioso installés à West Blue. Sa démarche hautaine est typique des gradés de la Marine qui se croient à l'abri de tout problèmes et qui pensent qu'ils résisteront sans souci à une séance de torture poussée. Mr Norrington ne daigne même pas me regarder en face. J'appelle mon assistant qui va s'occuper des préparatifs. Au fur-et-à-mesure que ce dernier couvre de draps sombre l'ensemble de la salle mal éclairée, le visage de l'Amiral blêmit. Il achève de perdre ses dernières couleurs quand dans un cliquetis métallique je dépose ma sacoche d'outils devant lui. Je lui en explique le fonctionnement. Son visage reprend quelques couleurs. Sans doute pense-t'il que je bluffe, que sa fonction le protège, que l'habeas corpus existe, qu'il a droit à un procès ou même qu'un avocat va le défendre. Je m'esclaffe et lui précise que rien ni personne ne pourra le faire sortir à part moi. Il ne saisi pas tout de suite la portée de ma remarque et me fixe, incrédule. "Nous allons commencer par une question simple : Avez-vous oui ou non accepté des pots de vins de la part d'un quelconque réseau Mafieux ? -Non non, répond-il hésitant -Je vous aurais bien épargné cela mais vous ne me laissez pas le choix, lui dis-je ironiquement." Je sors une pince destinée à arracher les dents, une à arracher les ongles et une dernière pour effectuer des perforations dans la peau. Je ne sais pas encore comment m'en servir, il est clair que James Edward Norrington va m'être très utile. Carnet de route [Wolfang à 31 ans] : Mes premières expériences ont été visuellement difficiles à supporter, et je ne décrirai pas l'immonde odeur qui chaque jour me prend les tripes... L'habitude de la torture, et oui, cela fait déjà un an, fait que je n'ai presque plus de remords à faire ce que je fais, mais je suis las. Las de torturer des inconnus pour le plaisir de servir le gouvernement et de les faire souffrir, je veux voyager et traquer les criminels. Je me destine à une nouvelle carrière. Carnet de route [Wolfang à 55 ans] : Chaque jour est un peu plus dur que le précédent. Mes articulations noueuses, mes dents rongées par la maladie et mon incapacité à avaler quoi que ce soit me rendent chaque jour plus repoussant et plus faible. La recherche de différentes manières de traquer un criminel et la mise en place de différents pièges m'excitent toujours autant. Mais je n'en peux plus. Je vais monter en grade et faire faire le sale boulot à des subordonnés. Je garde une certaine vigueur, mais même si là-haut, dans ma tête, une pensée fait toujours aussi vite son petit bonhomme de chemin et que l'expérience m'a forgé, mon corps subit sans cesse de nouveaux revers. Carnet de route [Wolfang à 69 ans] : Aujourd'hui ma dernière dent est tombée. Ma peau suffit maintenant à faire parler les gens. Je ne suis plus qu'une loque intelligente au service du sacro-saint gouvernement mondial. >> Test RP
Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin. L'horrible bruit que fait mon lit, chaque matin à mon réveil, m'est de plus en plus insupportable. Le sommier branlant me torture chaque jour un peu plus, comme si mes problèmes physiques ne me suffisaient pas. Le soleil est radieux, les oiseaux chantent.... les chimpanzés crient, les oiseaux volent partout dans ma chambre, le soleil me brûle ce qu'il me reste de peau. Une journée longue et pénible s'annonce, comme à l'accoutumée. Je saisi ma canne et mes sandalettes de cuir pour... et mes sandalettes de cuir ? Où sont-elles ? Je jette un regard interrogateur dans la pièce. Rien, que dalle, nada. La journée va être plus longue que prévue. J'enfile rapidement ma tenue et sors de mon logement de fonction. Aujourd'hui un homme soupçonné de mèche avec la résistance m'est amené pour que je m'occupe personnellement de son interrogatoire. Je sais déjà qu'il ne repartira pas vivant. Le petit canal derrière le zoo servira à se débarasser du corps. Tant mieux. Je n'aurais pas à le ramener découpé dans des jarres. Les démembrements sont toujours désagréables. Mes assistants, deux jeunes agents gouvernementaux inexpérimentés, entrent dans la pièce. Comme chaque matin ils m'aident à me vêtir et prennent de mes nouvelles. De bons petits lèches-culs qui ne soupçonnent pas un instant qu'il me reste encore assez de force pour les envoyer nourrir les rats dans les fin fonds de la ville basse. Ils semblent de bonne humeur ce matin, en ce qui me concerne, la perte de mes sandales me mets dans un état pire que d'habitude. Le prisonnier doit avoir signé des aveux, ou plutôt, "le colis doit être livré" en fin d'après-midi. La recherche de mes chausses, vu ma vitesse de déplacement, va bien me prendre la matinée. Je confie le gardien en chef aux bons soins de mes débutants. Je ne peux m'empêcher de penser qu'ils vont le massacrer, au sens propre. Cette idée me remplit, un cour instant, de joie. J'ai hâte de voir le résultat final. "Tuuk, Reale. Aujourd'hui vous vous occupez de notre client. Il sera livré en milieu de matinée. J'ai des choses à faire. -Oui monsieur !" M'ont-ils répondu en coeur, presque gaiement. A ce moment, J'ai eus envie de les claquer. Ils sont sortis assez rapidement de la pièce, mon énervement était palpable. On ne rigole pas avec le boulot. Quant à moi, ma propre enquête m'attend. Je réfléchis quelques secondes. Qui aurait-pu me voler mes sandales ? Personne d'intelligent ! Quel intérêt ? Aucun ! Qui serait un voleur potentiel ? Personne n'est assez fou pour s'en prendre à un inquisiteur du gouvernement. J'apprécie particulièrement mes monologues intérieurs. Donc quelqu'un de dénué d'intelligence. Ma première pensée alla à Tuuk mais disparut aussitôt, Tuuk avait bien trop peur de moi. Il ne restait donc plus qu'une centaine de crapules possibles, à savoir les animaux du zoo. Wolfang sortit en boîtant et gémissant, comme à son habitude, quand un obstacle se présentait. Il descendit l'escalier aussi vite que possible, et souffla arrivé en bas. Les escaliers faisaient partie intégrante de son quotidien, à son plus grand damne. Le Maréchal inspecta les sentiers et les cages des coupables probables. Il en fit venir une bonne dizaine dans la seconde salle d'interrogatoire aménagée dans le zoo. La première étant destinée au gardien chef. Les suspects défilèrent devant un miroir sans teint. Deux chimpanzés hurleurs, un perroquet, deux serpents, qui mesuraient respectivement un mètre et deux mètres de tour de taille, un chien qui déambulait dans les allées et que l'on avait capturé à la mine patibulaire, deux créatures marines non identifiées qui étaient particulièrement louches et quelques chenilles d'une taille extraordinaire. "Jingle !" La musique commença. L'inquisiteur adorait la musique, il en passait plusieurs avant de commencer ses interrogatoires, de manière à bien signifier à son "client" comment allait se passer l'"entretien". Cela le mit d'une très bonne humeur, ce qui était de mauvais augure pour la dizaine d'animaux alignés devant lui. Les chimpanzés qui s'étaient temporairement arrêtés de hurler reprirent de plus belle. Jezal fit un signe de tête à un de ses acolytes tourmenteur. Les deux chimpanzés furent exécutés. Les bestiaux restants ont commencé à comprendre leur situation. Certains verdissent, bleuissent ou même blanchissent. Une chenille feint l'évanouissement, l'entrée du tourmenteur dans la pièce la réveille net. Je le suis. Je montre les deux cadavres aux criminels potentiels. "Qui a volé mes sandales ?". Un ton glacial et des regards appuyés eurent raison du perroquet et du chien. Bah, pensais-je, de toute façon, il ne devait pas être coupable. Tant pis pour eux. Je fis une moue désapprobatrice aux animaux restant, feignant un semblant d'une once d'une très faible compassion. La pièce était sombre, les murs rapprochés, ce qui ressemblait vaguement à des éclairages clignotait sans interruption. L'air lourd et l'odeur quasi-pestilentielle des deux animaux marins eurent raison de ma patience. Un simple regard entendu au tourmenteur causa la mort des deux déchets ambulants. Restait les deux serpents, clairement plus difficiles à faire parler. Je les regardai fixement. "Dois-je répéter ma question ? Dis-je d'un ton douceret. -Moi j'ai très bien compris ssssa quesssstion et toi Sssseverard ? -Oui oui, moi aussssi Rufussss". Répondit le second serpent. Ils se fichaient clairement de moi. Le dénommé Severard atterit quelques secondes plus tard sur la table de torture. Je sortis une pince et un petit harpon de ma boîte à outils. Le serpent sembla comprendre l'utilité de mes outils. Il voulut parler, mais il était trop tard, il fallait le faire au moment où je posai ma question, pour m'éviter de perdre mon temps. Je pestais intérieurement : un serpent sur une table torture, la situation était presque comique. Je lui arrachai une première écaille. Elle était rectangulaire et brunâtre : rien de très ragoûtant en somme. Quelques gouttes de sang animal perlèrent sur la table de bois. Il était encore trop tôt pour reposer la question. J'enfonçai lentement le harpon à l'intérieur du corps du serpent [...]. Il semblait prêt. Fort bien. "Où sont mes sandales ? -Rufusssss les a prises pour des rats et les a boulottées ssssssseigneur." M'expliqua-t'il avec son monstrueux accent. Je sortis un pistolet d'une de mes manches et tirai une balle dans la tête du serpent torturé. Je confiais le second, et par conséquent mes sandales de cuir à l'assistant tourmenteur. |
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Informations IRL
Age :16 ans
Aime :La musique, lire, le sport, le rp...
N'aime pas :Les gens mous.
Personnage préféré de One Piece : Ki Saru, Shanks.
Caractère : (définissez vous en quelques mots) Efficace, réfléchi, jovial ^^.
Fais du RP depuis : Trop de coupures, on va dire que je commence vraiment
Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) Trop dépendant de mon boulot pour être précis.