Cela fait des jours déjà que je suis sur cette maudite île, je mène une petite vie tranquille, n’hésitant pas à pêcher ou encore à chasser pour manger, j’accompagne ma viande avec les quelques racines, fruits et légumes que je trouve sur l’île. Les racines, j’ai appris qu’il en a des bonnes et d’autres dégueulasses, je suis vraiment coupé du monde, je ne reçois même pas le journal livrés par la mouette !
Comment je fais pour me raser ? J’ai polie une pierre afin qu’elle coupe un minimum et je m’en sers comme rasoir, je sais j’aurais pu me servir de mon sabre mais bon… un sabre je crains plus qu’une maudite pierre coupante.
Je commence à réfléchir sur le « Comment partir de l’île ? » oui, je commence à manquer de munition, pour la chasse au pistolet je risque d’être bientôt obligé de courir après mes proies avec l’épée et en plus je n’ai presque plus de clope ! Et comme tout le monde le sait, les clopes… pour moi c’est vital ! Merde !
Le soleil tape, je me suis habitué à l’atmosphère de cette île qui au début peut paraître étouffante mais quand on reste, c’est plaisant finalement.
Durant mon séjour j’ai bronzé… et je ne vais pas finir de cuir jusqu’à que je parte de cette île.
J’ai encore affronté ours, tigre, macaque déchaîné et pleins d’autres bestioles dans ces fourré. Un point positif c’est que l’histoire de « l’Esprit de la forêt » fait encore effet, je ne suis plus emmerdé par les gens de l’île, ils gardent leurs distances puis à vrai dire… il le vaut mieux pour eux ! Même si je n’aime pas blesser les gens « innocent » ils ne restent pas moins que des indigènes, des personnes à qui il manque quelques évolutions pour vraiment ce moderniser.
D’ailleurs je me suis dit, qu’un jour lorsque je partirai et je reviendrai ici, je les aiderai à évoluer enfin et à faire en sorte qu’ils se développent, oui je sais, je suis bien trop gentil. J’ai pensé aussi à un projet de faire pourquoi pas une station balnéaire… bien sûr ce ne sont que des rêves qui demandent à se réaliser mais… il faut qu’un jour je revois la civilisation et que je réussisse à m’enfuir d’ici eheh !
J’ai pensé à fabriquer des radeaux etc… mais vu comme Grand Line est imprévisible et en plus je ne suis pas un ingénieur naval… l’opération s’annonce compliquée !
Je m’étire, je me ballade, je pense. Je secoue ma sacoche de munition, j’entends quelques bouts de métal s’entrechoquer, il ne me reste vraiment plus grand-chose en balle…, il faut vraiment que je m’entraîne à réutiliser des armes tranchantes. J’ai perdu un peu la main à force de prendre la facilité avec le flingue.
Aujourd’hui je vais me trouver des proies de qualités pour refaire mes premiers pas dans le maniement du sabre, je m’enfonce dans la forêt, essayant d’être le plus discret possible pour ne pas apeurés les petits animaux, je m’accroupis et j’avance tout doucement.
Du moins j’ai fait ça durant quelques secondes avant d’être soûlé par cette activité, je me suis du coup affalé par terre et je me suis mis à regarder le ciel à travers les arbres et leurs branches me surplombant. Une bonne sieste s’impose, oui, un élan de flemmardise parmi tant d’autres qui m’a pris.
Je ferme l’œil et je respire calmement et doucement. Je me relaxe sous cette douce brise qui me caresse la joue, l’herbe me chatouille les bras, une fleur vient se poser sur mon front avant de repartir dans les secondes d’après exécuter un long voyage au gré du vent.
Quel doux moment… j’aimerai qu’il dure éternellement… . Et aussi… zzzZZZZZzzzz.
Comment je fais pour me raser ? J’ai polie une pierre afin qu’elle coupe un minimum et je m’en sers comme rasoir, je sais j’aurais pu me servir de mon sabre mais bon… un sabre je crains plus qu’une maudite pierre coupante.
Je commence à réfléchir sur le « Comment partir de l’île ? » oui, je commence à manquer de munition, pour la chasse au pistolet je risque d’être bientôt obligé de courir après mes proies avec l’épée et en plus je n’ai presque plus de clope ! Et comme tout le monde le sait, les clopes… pour moi c’est vital ! Merde !
Le soleil tape, je me suis habitué à l’atmosphère de cette île qui au début peut paraître étouffante mais quand on reste, c’est plaisant finalement.
Durant mon séjour j’ai bronzé… et je ne vais pas finir de cuir jusqu’à que je parte de cette île.
J’ai encore affronté ours, tigre, macaque déchaîné et pleins d’autres bestioles dans ces fourré. Un point positif c’est que l’histoire de « l’Esprit de la forêt » fait encore effet, je ne suis plus emmerdé par les gens de l’île, ils gardent leurs distances puis à vrai dire… il le vaut mieux pour eux ! Même si je n’aime pas blesser les gens « innocent » ils ne restent pas moins que des indigènes, des personnes à qui il manque quelques évolutions pour vraiment ce moderniser.
D’ailleurs je me suis dit, qu’un jour lorsque je partirai et je reviendrai ici, je les aiderai à évoluer enfin et à faire en sorte qu’ils se développent, oui je sais, je suis bien trop gentil. J’ai pensé aussi à un projet de faire pourquoi pas une station balnéaire… bien sûr ce ne sont que des rêves qui demandent à se réaliser mais… il faut qu’un jour je revois la civilisation et que je réussisse à m’enfuir d’ici eheh !
J’ai pensé à fabriquer des radeaux etc… mais vu comme Grand Line est imprévisible et en plus je ne suis pas un ingénieur naval… l’opération s’annonce compliquée !
Je m’étire, je me ballade, je pense. Je secoue ma sacoche de munition, j’entends quelques bouts de métal s’entrechoquer, il ne me reste vraiment plus grand-chose en balle…, il faut vraiment que je m’entraîne à réutiliser des armes tranchantes. J’ai perdu un peu la main à force de prendre la facilité avec le flingue.
Aujourd’hui je vais me trouver des proies de qualités pour refaire mes premiers pas dans le maniement du sabre, je m’enfonce dans la forêt, essayant d’être le plus discret possible pour ne pas apeurés les petits animaux, je m’accroupis et j’avance tout doucement.
Du moins j’ai fait ça durant quelques secondes avant d’être soûlé par cette activité, je me suis du coup affalé par terre et je me suis mis à regarder le ciel à travers les arbres et leurs branches me surplombant. Une bonne sieste s’impose, oui, un élan de flemmardise parmi tant d’autres qui m’a pris.
Je ferme l’œil et je respire calmement et doucement. Je me relaxe sous cette douce brise qui me caresse la joue, l’herbe me chatouille les bras, une fleur vient se poser sur mon front avant de repartir dans les secondes d’après exécuter un long voyage au gré du vent.
Quel doux moment… j’aimerai qu’il dure éternellement… . Et aussi… zzzZZZZZzzzz.