Il n’y a pas à dire les voyages en sous-marin c’est nettement plus rapide et direct que le voyage en bateau en suivant un log pose. Bon en contrepartie le confort est beaucoup moins grand. Puis, il ne faut pas être claustrophobe et savoir s’occuper dans un espace limité sans gêner les autres occupants du sous-marin. Yuki c’était fait le plus petit possible en méditant et en essayant d’atteindre le stade de concentration où son Haki de l’empathie se manifestait. Il s’était rendu le plus invisible possible, si bien que l’équipage en oubliait sa présence. Cela lui allait très bien ainsi, car il se sentait un peu honteux de la manière dont il était monté à bord. Il avait joué son rang dans la révolution et ses connexions au sein de celle-ci pour être admis, de force ou presque dans ce sous-marin qui retournait sur East Blue. Certains racontent que Yukikurai aurait fait preuve d’un charisme à toute épreuve pour avoir le dernier mot avec le capitaine. Même si cela avait sans doute une part de vrai, ça devint vite une rumeur improbable.
Enfin soit, aujourd’hui, Yukikurai remercia l’équipage en sortant du sous-marin ce qui les fit sursauter. Cette réaction fit plaisir à Yuki. Cela lui rappelait qu’il était toujours lui-même, malgré les changements par lesquelles il passait. Il portait fièrement son haut de forme à l’intérieur du quelle se trouvait sa dernière création qu’il brulait d’aller montrer à ses paires lors du marteau. Il était en train dans plancher sur les plans d’une arme révolutionnaire quand l’annonce du Marteau et du rassemblement des plus grands forgerons fut faites dans le journal. A partir de ce moment il passa la grande partie de ses nuits sur sa nouvelle arme qu’il avait baptisé Ryurai, le dragon de foudre. Il fit tout cela en continuant à consacrer ses journées au projet de construction de sa base sous-marine.
Il dut attendre que le premier sous-marin apportant du matériel provenant des blues arrive pour pouvoir faire le trajet du retour avec eux. Il avait confié les opérations à Victor et Angelo. Il avait confiance, car il était toujours dans la deuxième phase du projet et il n’y avait aucun point crucial là-dedans. Néanmoins, notre jeune forgeron ne pouvait s’empêcher d’y penser de temps à autre.
Les relations qu’il avait agité sous le nez du capitaine n’était pas que du vent. En effet, à peine descendu discrètement du submersible, il se rendit au port où un navire l’attendait pour le conduire au Baratie. Ce navire sympathisant à la cause n’arrêtait pas de conduire discrètement divers révolutionnaire voulant se rendre là-bas depuis le début de l’évênement.
Après à peine trois petite heure de navigation, Bakasaru put apercevoir l’impressionnante armada de bateau qui s’était créé autour du Baratie. Il débarqua sur un navire qui s’était transformer en port de fortune avec plusieurs bites d’amarrages et puis divers chemin de planche flottant tantôt dans le vide tantôt sur l’eau. Déjà impressionné par cette amas de navire flottant tenant ensemble dieu sait comment, il eut des étoiles dans les yeux après avoir croisé à peine deux personnes. Et cela ne s’arrêta pas de sitôt. Presque toutes les personnes qu’il croisait avait un sabre, une faux, une hache, un marteau, une armure, un bouclier, bref une création de forgeron qui se démarquait par un ou plusieurs aspects.
Du coup, le premier jour il ne se rendit même pas jusqu’au Baratie, il se contenta d’admirer les gravures d’un bouclier, les ornements d’une rapière, le tranchant d’une faux. Tout cela lui faisait remettre en question ses talents de forgeron. Certes, il n’avait pas encore atteint le degré maitrise qu’il pouvait voir dans les armes qu’il voyait passé, mais il mettait tout son cœur à l’ouvrage et il pensait comme son idole Grimm que c’était bien là le principale. La présence de tout ce travail de forgeron et son entrainement au haki commença à faire naitre en lui la vision Klabautermann. La vision qui lui permettrait un jour de voir l’âme des armes. Grâce à ces prémices soudain, il lui semblait que bien que l’ornement soit magnifique, il nuisait à l’équilibre ou au maniement. Le début d’une évolution également dans la manière dont il forgerait à l’avenir ?
Enfin soit, aujourd’hui, Yukikurai remercia l’équipage en sortant du sous-marin ce qui les fit sursauter. Cette réaction fit plaisir à Yuki. Cela lui rappelait qu’il était toujours lui-même, malgré les changements par lesquelles il passait. Il portait fièrement son haut de forme à l’intérieur du quelle se trouvait sa dernière création qu’il brulait d’aller montrer à ses paires lors du marteau. Il était en train dans plancher sur les plans d’une arme révolutionnaire quand l’annonce du Marteau et du rassemblement des plus grands forgerons fut faites dans le journal. A partir de ce moment il passa la grande partie de ses nuits sur sa nouvelle arme qu’il avait baptisé Ryurai, le dragon de foudre. Il fit tout cela en continuant à consacrer ses journées au projet de construction de sa base sous-marine.
Il dut attendre que le premier sous-marin apportant du matériel provenant des blues arrive pour pouvoir faire le trajet du retour avec eux. Il avait confié les opérations à Victor et Angelo. Il avait confiance, car il était toujours dans la deuxième phase du projet et il n’y avait aucun point crucial là-dedans. Néanmoins, notre jeune forgeron ne pouvait s’empêcher d’y penser de temps à autre.
Les relations qu’il avait agité sous le nez du capitaine n’était pas que du vent. En effet, à peine descendu discrètement du submersible, il se rendit au port où un navire l’attendait pour le conduire au Baratie. Ce navire sympathisant à la cause n’arrêtait pas de conduire discrètement divers révolutionnaire voulant se rendre là-bas depuis le début de l’évênement.
Après à peine trois petite heure de navigation, Bakasaru put apercevoir l’impressionnante armada de bateau qui s’était créé autour du Baratie. Il débarqua sur un navire qui s’était transformer en port de fortune avec plusieurs bites d’amarrages et puis divers chemin de planche flottant tantôt dans le vide tantôt sur l’eau. Déjà impressionné par cette amas de navire flottant tenant ensemble dieu sait comment, il eut des étoiles dans les yeux après avoir croisé à peine deux personnes. Et cela ne s’arrêta pas de sitôt. Presque toutes les personnes qu’il croisait avait un sabre, une faux, une hache, un marteau, une armure, un bouclier, bref une création de forgeron qui se démarquait par un ou plusieurs aspects.
Du coup, le premier jour il ne se rendit même pas jusqu’au Baratie, il se contenta d’admirer les gravures d’un bouclier, les ornements d’une rapière, le tranchant d’une faux. Tout cela lui faisait remettre en question ses talents de forgeron. Certes, il n’avait pas encore atteint le degré maitrise qu’il pouvait voir dans les armes qu’il voyait passé, mais il mettait tout son cœur à l’ouvrage et il pensait comme son idole Grimm que c’était bien là le principale. La présence de tout ce travail de forgeron et son entrainement au haki commença à faire naitre en lui la vision Klabautermann. La vision qui lui permettrait un jour de voir l’âme des armes. Grâce à ces prémices soudain, il lui semblait que bien que l’ornement soit magnifique, il nuisait à l’équilibre ou au maniement. Le début d’une évolution également dans la manière dont il forgerait à l’avenir ?