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[Quête] Bataille de Dé

Tic Tac Tic Tac Booom !

Raaaah !
Quel bande d'abrutis ! Ils viennent de bousiller l'horloge ! La seule chose qui était encore en bonne état dans cette auberge. Je vous jure, ces pirates et ces marines... Pourquoi ne font-ils que ce battre, jour et nuit sans une seule période de trêve. Les pauses sont impossible, lorsque les Marines se replient pour reformer les rang, ce sont les pirates qui attaquent et lorsque que se sont les pirates qui se replient pour boire du rhum, ce sont les marines qui lancent l'assaut. C'est vraiment usant, tant pour eux que pour moi et ne parlons même pas du propriétaire de l'auberge. Il ne cherche même plus à les arrêter, il protège juste les dernière chope et barils de Rhum qui n'ont pas été éclatés.
Quand à moi je les regardent se battre comme des sauvageons, assis sur ma chaise au milieu de tout ce bordel. J'essayai tant bien que mal d'installer un nouveau jeu que je venais de trouver pour gagner un peu d'argent. Il y avait quelques instant il y avait des volontaires pour le tester, puis les marines avait débarquer. Les marine était en surnombre, mais les pirates avait plus d'expérience et le niveau entre les deux camps était à peu près égal. Il ne intéressait pas de rejoindre un des deux camps, j'attendais simplement que le petit combat cesse pour pouvoir reprendre mon Business. Du moins c'est ce que j'avais prévu.

Un enfoirer de pirate attrapa un putain de marine, le souleva du sol et le plaqua sur la table où était disposer mes dés. La colère monta d'un coup en moi, oubliant tout ce qui se passait autour de moi, je me releva d'un coup sec renversant la chaise et je mis mon poing américain. Avec une vitesse extrême j'envoyai un coup au niveau du torse du marine allongé à moitié conscient sur la table, prêt à le dévisager. Je me plaçai à côté de la table, recula mon bras, et asséna un coup de poing violent dans le visage du marine. La table se fissura puis craqua, entrainant l'homme allongé dessus. Le pirate, surprit, ne bougeait plus et essayai tant bien que mal de comprendre ce qui venait de se passer. Je lui jeta un regard noir qu'il soutint un moment de reculer par prudence. Il semblait avoir compris que ce n'était pas parce que j'avais attaqué le Marine que je ne pouvais pas faire la même chose sur lui et puis avec la démonstration de force que j'avais faite, il devait encore être un peu choqué.
J'observai le reste de la salle, les quatre combats avaient stopper, époustouflés par l'effet de mon coup. J'y vue donc une occasion pour enfin leurs faire tester mon jeu. Mais je devais faire vite et être convaincant pour ne pas qu'ils reprennent ou pire qu'ils s'attaquent à moi.

- Vous n'en avez pas marre de vous battre pour cette île désertée par les Civils où les bâtiments ont été rasé ? Vous les Marines ! Vous êtes censé vous battre pour les gens comme moi, pour que les pirates ne nous fasse pas de mal, mais là vous avez fait fuir toute la population et détruits leurs habitations. Vous les Pirates ! Cette île vous intéressait pour en faire une sorte de paradis pour pirates, sans marines. Mais maintenant que tout est détruit, qu'allez-vous bien en faire ? La reconstruire ? Je doute que vous arrêtiez votre quête du One Piece pour reconstruire cette île minuscule. Ce combat qui dure depuis trop longtemps a perdu tout son sens et continue à agrandir le nombre de morts et de blesser et ce, des deux cotés. Je vous propose donc de faire une courte trêve, d'une journée. Vous pourriez ainsi soigner comme il se doit vos blesser et surtout remontez le moral des troupes.

Je leurs parlais avec beaucoup d'éloquence en bougeant mes bras théâtralement. Sans si ça pouvait faire surjouer, ça faisait son effet et je lisais le doute dans leurs yeux. Leurs regards passaient du mien à ceux de leurs alliés pour enfin finir dans celui de leurs adversaire. C'était un bon point, au moins ils n'avaient pas rejeté dés le début mon offre. Je pourrais en rajouter une couche, mais je préférai regarder leurs visages indécis. Les pirates se décidèrent plutôt rapidement, et ils se regroupèrent sur ma droite attendant la réponse des jeunes marines. Surement des matelots fraichement engagé n'aillant jamais été confronter à se genre de situations. Mais un semblait un peu plus mature et fit un signe de tête à ses compagnons avant de se mettre à ma gauche, en face des pirates. Ils me regardèrent une nouvelle fois, eurent une petit hésitation et se serrèrent la main.

- Allez convaincre vos compagnons te cesser de se battre, puis revenez dans l'auberge.

J'attendis qu'ils sortent de la taverne et je m'approchai du comptoir.

- Il va falloir sortir le Rhum que vous avez en stock.

Le tavernier toujours recroqueviller au dessus de la trappe menant à sa cave me regarda un moment, puis il s'exécuta. Aujourd'hui apparemment, j'étais très convaincant. Surement ce petit sourire que j'affichai qui transmettait mon assurance. Qu'importe, je rangeai mon poing américain et attrapa une cigarette dans une poche intérieur de ma veste. Après l'avoir allumer, je commença à dégager négligemment avec mon pied les morceaux de meubles qui avait été casser depuis les combats. Lorsque le tavernier revint enfin avec deux baril deux rhum sous chaque bras, j'avais de mon coté mis tout ce qui était cassé dans les coin de la salle, afin que cela ne gène pas le déroulement de la trêve. J'avais aussi installer les tables et mon jeu.
Quelques minutes après, c'était au tour des Pirates et des marine de refaire apparition, cette fois ils étaient plus nombreux. Certains avait apporter à boire, d'autre à manger ou encore des instruments de musique. Cette brève camaraderie semblait bien s'annoncer. Pour vue que ça dure le temps que ça dure assez pour que je puisse récupérer leurs Berrys.

Pour la plupart ils entrèrent silencieusement dans la taverne et se mis chacun de leurs cotés. Les marines à droite et les Pirates à gauche. Je remarqua avec tristesse que certains avait cacher des poignards ou des pistolets, malgré la trêve ils ne se faisaient pas confiance et se guettaient les uns les autres à l'affut du moindre geste suspect. Chacun de leurs coté ils discutait à voix basse sans cesser de regarder leurs ancien adversaire. Ils leurs fallut dix minutes pour se lever et commander du Rhum au tavernier terroriser qu'un autre combat éclate dans son magasin.
Moi je restais assis entre les deux camps observant ce qui se passe, attendant que quelqu'un rompe cette atmosphère à glacé le sang, bien sur j'aurais pu le faire, mais leurs méfiance serait la même. Alors que si c'était eux qui se lançaient, ils oublieraient leurs querelles pendant quelques temps. Mais pour le moment rien ne se passait et cette ambiance glauque commençait à devenir lourde. Un des pirate du le comprendre et il se leva d'un coup et se posta a coté de moi, un violon sur l'épaule. Et il se mit à jouer, d'abord un air assez triste, puis petit à petit la mélodie devenait joyeuse, comme pour apaiser les cœurs et apparemment cela faisait effet. Aussitôt un autre amoureux de la musique arriva avec sa trompette et s'incrusta dans la mélodie de façon harmonieuse, cette fois le musicien était un marine et cela ne les dérangeait pas de jouer en duo même s'il se faisait la guerre il y a de ça deux heure.
En quelques minutes se fut un véritable orchestre d'une douzaine de musicien qui mettait l'ambiance dans la taverne et pirates comme marines commençaient à se mélanger et à danser. Pour le Tavernier, le sourire lui revint et les choppes se succédait payant à quelques uns la boisson. Pour moi, les affaires commençait à bouger, le premier joueur s'était installer en face de moi et je lui expliquais les règles du jeu et surtout combien il fallait miser minimum.



[ Le Maitre de Jeu vous Explique... ]

"Dés de l'Alliance"
Le but du jeu est simple. Les "Dés de l'Alliance" se joue à deux en plus du Maitre de Jeu. Chaque joueur possède deux dés de couleurs différentes à Dix faces et le Maitre de Jeu, lui, en possède deux. Les Dés Noirs représentent les Dizaines et les dés blanc détermine l'unité.
Les deux joueur jette chacun leurs dé et calcul séparément leurs résultats. Une fois les paris lancer, c'est au Maitre de Jeu de lancer ses dé. Le joueur aillant obtenu le plus grand résultats rafle la mise.
Attention !
Pendant la phase des paris, il est possible que les deux joueur cumulent leurs résultats pour pouvoir battre le Maitre de Jeu. S'ils gagnent la somme miser par le Maitre de Jeu est diviser équitablement entre les joueurs, dans le cas contraire les joueurs donne le double au Maitre de Jeu.

[ Le Maitre de Jeu vous a Expliqué... ]
  • https://www.onepiece-requiem.net/t109-greed#772
  • https://www.onepiece-requiem.net/t100-termine-satoshi-noriyaki
Powk... Powk... Powk...


Kempai !
Les choppes ne cessaient de se remplir et de s'entrechoquer dans une cacophonie de "Kempai". Pour le moment tout ce passait bien, les marines et les pirates dansaient, jouaient et buvaient ensemble. Des petites bagarres d'alcooliques avait éclatés mais rapidement stoppés. Mon plan marchait magnifiquement bien lui aussi et je ne cessait de gagner leurs Berrys. Ce nouveau jeu que l'on pourrait qualifier d'arnaque était une vrai mine d'or. Les joueurs complètement saoul misaient parfois des somme astronomique et bien sur comme par enchantement, ils perdaient. Ils grognaient un moment mais repartaient sans réclamer leurs argent,acceptant leurs victoire, où sinon, quelques fois ils décidaient de rejouer.
La fête et l'ivresse ou plutôt l'ivresse de la fête les rendaient complètement aveugle ou plutôt inattentif et même si maintenant je trichais ouvertement ils ne voyaient absolument rien. Au début je devais faire attention à ne pas éveiller leurs soupçons, tricher discrètement et pas trop souvent, perdre plus souvent que gagner pour appâter les clients. Mais maintenant je gagnai quasiment à tout les coups perdants qu'une fois sur dix peut-être et seulement lorsque la mise est minime. Bien sur pour gagner si souvent et surtout sur commande j'ai ma propre technique de triche si je puis dire. Une technique qui me permet de tous les battre en sortant que des "99" qui est forcément le résultat le plus élevé que l'on peut atteindre.



[ Le Maitre de Jeu vous Explique ]

Les Dés possèdent dix faces, donc cinq face par moitié de dé. La moitié supérieure affiche les chiffres Impairs (Un, Trois, Cinq, Sept, Neuf), l'autre moitié affiche les chiffres Paires.
Le point crucial dans cette technique est de faire tourner la moitié supérieure. Ça réduit les risques que le dés s'arrête sur un chiffre pair et ça laisse une chance sur 5 que le chiffre Neuf sorte.

Mais ce n'ai pas tout, on doit donner une forte rotation au dé qui affiche l'unité. Au contraire par contre, le dé de la dizaine doit tourner lentement pour qu'il soit le premier à s'arrêter au cas où le Neuf ne sortirait pas.
Ce qui permet au dé qui tourne plus vite de refaire tourner l'autre si Nécessaire. Et pour qu'ils se bousculent quand il le faut, il suffit de produire des vibrations pour orienter la trajectoire du dé qui tourne ; par exemple avec son genou sous la table.

[ Le Maitre de Jeu vous a Expliqué ]



Le Rhum coulait à flots pour tout le monde, sauf pour moi qui devait garder les idées clair, mais pour moi c'était l'argent qui coulait à flots. Je ne pourrais dire combien de Berrys j'avais gagner depuis le début. Pour esquiver les regards envieux, je rangeai dés que je gagnait l'argent dans un sac an bandoulière. Le sac commençait à se remplir et d'ici la fin de la soirée je pense qu'il sera plein à craquer. Mais je ne dois pas penser à tout cet argent, je dois rester concentrer et trouver quoi dire pour amener encore plus de clients malgré tout ceux qui repartent dégoutés.
Certains marines, ruinés, allait chercher de l'argent dans les coffres de leurs bateaux pensant pouvoir se refaire, mais encore une fois je leurs fauchaient tout. Mais je ne faisais pas que mes affaire, le Tavernier aussi avait de l'argent à ne plus savoir quoi en faire. Ses réserves d'alcool commençaient à toucher à leurs fins. Et il savait tout comme moi que lorsqu'on annoncera qu'il n'y a plus de rhum, ils vont commencer à se battre et remettre le bazar.

D'ailleurs en début de soirée j'avais passer un accord avec le Barman, étant donné que c'était grace à moi qu'il avait autant de clients sans doute depuis la construction de sa taverne, je lui avait demander 30% de ses bénéfice sur cette soirée. Pour faire simple, sur dix billets qu'il touche, il m'en mets trois de cotés. C'était pour lui, une façon de me remercier et pour moi, un bien beau cadeau. J'allais repartir avec beaucoup d'argent, l'air de rien. Je commence même à me demander si tout cela tiendra sur ma barque minable. Je devrais penser à en prendre une autre. Mais ici je doute pouvoir trouver un bateau que l'on peut faire naviguer seul. Les bateaux ici ne sont que des navires de guerres, demandant un équipage d'au moins dix personnes pour les contrôler normalement.
Je règlerait ce problème de bateau sur la prochaine île où je ferais escale et où je monterai ma prochaine arnaque. Mais je ne fais pas ça pour le plaisir de jouer, je fais ça pour l'argent. Car en plus de savoir arnaquer de cette façon, je suis un Contrebandier, le bras droit du QG de North Blue. Je risque à chaque partie de me faire découvrir, et si cela arrivait je doute pouvoir retenir une horde de bourrés armés. Je pourrais très bien continuer à tricher discrètement, mais je préfère jouer avec le feu comme on dit, au risque de me bruler. Mais ce n'est pas moi qui mis le feu aux poudres avec ma tricherie, ni le tavernier avec son manque d'alcool ce fut quelque chose de beaucoup plus... insignifiant. Ce fut les musiciens qui firent dégénérer la fête. Et oui, les mêmes qui avait montrer l'exemple en se réunissant pour faire quelque chose de meilleur ensemble.

- Où est-ce qu'on t'as appris à jouer de la trompète, abruti ?
- Et toi ? On ne t'as donc jamais appris à suivre un rythme dans ta caserne de marine ?

Voila ce qui fit éclater la trêve. Un simple problème d'accord d'instrument et un musicien qui n'arrive pas à suivre la troupe avec quelques secondes de retard.
Les insultes commencèrent à fuser, puis se fut les choques que se lancèrent les hommes aux visages, puis très vite ils en vinrent au mains sans que personne puissent les arrêter. Et en quelques secondes se fut une véritable bagarre générale. Les pirates sortirent les poignards et les pistolets, les marines appelèrent du renforts et la nuits qui c'était annoncé douce et calme recommença à être sanguinaire.
Encore une fois au milieu de tout ce foutoir, je ne cherchais pas à les calmer, car de toute façon je pense que cette fois rien ne les arrêteraient. Ramassant à la hâte tout mes affaire, je mis mon sac de Berrys sur mon épaule et me dirigea vers le comptoir, enjambant les cadavre et esquivant quelques coups par ci, par là. Arrivé au comptoir, je n'eus pas a attendre très longtemps pour que le tavernier me donne mon argent. Je rangea mon butin dans le plus gros sac et j'essayai de me diriger vers la sortie. Je du frapper deux marines qui me prenait pour un pirate et assommer d'un coup de coude un pirate pour pouvoir enfin revoir le ciel.

Les combats faisaient rage également à l'extérieur. Finalement cette guerre interminable ne pu s'arrêter ne serait-ce que vingt quatre heures. Les combats avaient repris comme ci la trêve n'avait jamais eu lieu. Je m'enfuis camouflé par la nuit, restant sous la protection des ruines et ceux jusqu'au port ou je remis à l'eau ma barque mono-voile. Je jeta négligemment mon sac dedans et monta immédiatement dans mon rafiot sous le hurlement des balles perdues. Levant l'ancre, je me dirigeai vers Luvneel avec une mission bouclée avec Succès, et de nouveaux berrys sur mon compte.
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