>>Vindicare
Apollon Musagète | Pseudonyme : Vindicare, le Tireur d'élite. Age: 32ans Sexe : Homme Race : Humain Rang : Je vous laisse seul juges. Métier : Tireur d'élite / Cannonier Groupe : Révolutionnaire Déjà un équipage : Non, mais ça ne saurait tarder. But : Réussir les 10 exploits Divin du SogeKing, Roi incontesté des Snipers, homme sans craintes ou faiblesse, j'ai nommé Usop-sama! Aptitude pour la suite : Hypersensibilité aux changements météorologiques Ou lecture des ponéglyphes. Équipements : Un Sniper avec différentes balles, et une combinaison noire, classe, qui va avec. (Et également une malette pour ranger l'arme). Codes du règlement (2) : Parrain : Aucun |
>> Physique Il y a beaucoup d'hommes, à travers le monde qui sont empreints de charme. Certain use de leur beauté pour subjuguer les foules, d'autre se pare d'excentricité, et enfin, ceux de la race du Vindicare s'entourent de mystère. Car malgré un quotidien souvent partagé, rares sont ceux à connaître son vrai visage. Bâti par l'adversité d'un monde périlleux, notre homme possède le corps de ceux qui combattent. Du haut de ses 1m80, il peut se satisfaire, d'une musculature généreuse, qui éloigne à elle seule toute conotation androgyne. Autrement dit, son caisson abdominale, ses biceps, triceps, quadriceps, et tout autre "ceps" de son être eurent tout le temps de mûrir, tannés par les périples d'une vie. Ainsi on peut sans gène se plaire à admirer ses formes, qui, à quelques détails près, correspondent parfaitement à ces statues antiques des Champions d'Olimpie. Couvrant cette masse sanguine, une peau légèrement dorée par le soleil sert de premier manteau, et peut-être pourrez vous la voir dans sa totalité, si la chance vous sourie. Hélas, cette carrure si aisément regardable est, la plupart du temps, couverte par un d'un long manteau de cuir descendant, au moins, jusqu'à deux molets d'athlètes, si ce n'est jusqu'au sol. Pourtant, dessous ce "paravue", une combinaison noire, moulante au possible, est parfaitement apte à signaler, par exemple, les hanches diluviennes de cet Adonis. Mais non, c'était trop demander à monsieur de penser aux femmes du monde, et c'est pourquoi, sans vergogne, il conserve ce manteau. Attention, je ne dis pas que la chose manque d'élégance, au contraire, le cuir ne manque pas de renforcer l'aura de mystère qui plane au dessus du révolutionnaire, profitant pour se faire d'un col un peu rembouré et de manches longues ; mais nos yeux, ou tout au plus les miens, auraient préféré qu'il n'y ait pas que la veste tout le temps ouverte de l'ingénu qui mène à cette combinaison aux faux airs de seconde peau. Une description plus approfondie voudrait que nous examinions le corps du bellâtre, soit. Commençons par ses mains taquines, qui, obligées de supporter le poids des armes, manquent un peu de douceur. De plus, la peau, confrontée aux coups et autres intempéries, à tendance à devenir rugueuse, ce qui donne aux membres de la préhension un air robuste, qui sans être rustique, montre bien l'habitude de l'Aventure, des cordages, et des combats. Quand à ses pieds, si, certes, il porte en général une paire de chaussures résistantes à toute épreuve, ils voient assez souvent la lumière du jour, révélant alors les pattes dures et un peu rèches d'un nomade. Toutefois, si à certain endroit, la rudesse d'une vie de rebelle transparaît, cela est loin d'être une généralité. Le visage du William est une preuve flagrante de cette affirmation. Rassurez-vous, je ne gacherai pas le suspens en donnant, d'hors et déjà, la réponse. Il est préférable de vous laisser avec ce bandeau, au mieux, qui se contente de cacher la partie inférieure du visage, ou avec tout un attirail de tireur d'élite qui s'acharne bravement à masquer ce visage tant désiré. Afin d'orner cette sculpture, en accessoires de choix, les yeux de l'Apollon luisent d'un bleu océan, qui, allié à leur forme étirée, et mis en valeur par des sourcils franchement dessinés, projette une force, un brasier, un torrent de vie et d'espoir, légèrement espiègle, certes, mais tout aussi saisissant. Après tout, comment en serait-il autrement lorsque l'Iris est le reflet de l'âme? Voila ce qu'il y aurait à dire pour décrire cette homme, et l'on pourrait parler encore. Souvent, et ce parce qu'il est plus facile de manier son arme ainsi, des gants de cuirs entourent ses mains, ce qui peut-être assez déroutant lorsqu'on saisit celles-ci pour la première fois. Un autre détail pourrait être signaler, car ne vivant pas à bisounoursland, Klaus se doit d'avoir de quoi se défendre. Généralement, le sniper n'étant pas une arme des plus discrète, il le démonte et le transporte dans une valise quand l'occasion le demande, car il préfère bien plus le déposé dans un coin du bateau, afin de l'avoir à portée de mains, ou encore le garder sur lui, ammaré à son dos. Enfin, nous sommes arrivés au moment du verdict, car après tout , perplexes ou charmés, cela ne dépend, ne l'oublions pas, que de votre subjectivité. >> Psychologie Ardue, voici comment qualifier la tache, un peu présomptueuse, de décrire une âme. Celle-ci n'est-elle pas, à l'image du vent, changeante? Et aussi infidèle à elle même que le vent peut l'être aux marins? Qu'importe, si nous ne pouvons en décrire la forme, il est toutefois possible d'en donner la senteur, le goût, enfin bref, la substantifique moelle. "Ta seule véritable force restera ta Passion." Passionné, un adjectif de moins en moins utilisé si l'on ne parle pas de combat ou de puissance. Effectivement, dans ces temps troubles, savoir se battre est un atout, mais est-ce pour autant qu'on doive y consacrer sa vie? Doit-on, à l'image d'éponges asséchées, imprégner notre âme de violence et de haine? Non, il faut résister, ne serait-ce que pour plus tard, pouvoir encore parler d'humanité. C'est là qu'elle intervient, divine et mystérieuse, la passion. Car ne vous y trompez pas, si Klaus reste insensible à l'aigre senteur de son époque, s'il ne fait cas de l'amertume qui, sans cesse, tente de l'atteindre, c'est qu'un feu bien plus grand brûle en lui. Empreint d'un amour qu'on ne saurait briser, il passe sans encombres dans les ombres du Quotidien. Le vent, l'eau... ou tout simplement, la liberté : voici le crédo de son coeur, qui, en mère sauvage et débridée, l'accueil et le réconforte. Depuis sa plus tendre enfance, il a vécu sous le vent marin, fils d'une île de savoir et de révolution, il a cultivé ce qui, aujourd'hui encore, reste les pilliers du bonheur : L'espoir, la Liberté, et la Vie. De là, on peut aisément comprendre beaucoup des choix de notre ingénu. Le premier étant son refus catégorique de l'autorité que représente le gouvernement. Devrait-il se soumettre à ceux qui, sans pouvoir l'assumer, se prétendre maîtres d'un monde qui les dépasse? Colosse aux pieds d'argiles, statue d'or aux mains sales, comment ne comprend tu pas qu'en tentant de brider la liberté, tu ne fais que l'exciter d'avantage? Non, n'essaie pas, car tu ne peux pas ; et si certes, il faut quelqu'un pour empêcher les dérives humaines, ce quelqu'un, ou plutôt ce quelque chose ne peut-être un tyran blanc et bleu, qui, sous prétexte d'honneur et de justice, bride et meurtri ce cher Océan. Cependant, ne nous méprenons pas, s'il abhorre la marine, il ne déteste pas pour autant les marins, conscient que si certain sont des cas perdus, d'autres ne restent que des brebis leurrées par un berger véreux. De même, son opinion de la piraterie demeure mitigée, puisqu'il ne sait que penser de ce qu'elle est devenue. L'envie de liberté, la soif de saké et de bons compagnons, tout cela est légitime, mais qu'en est-il des pillages et massacres de villes, et de vies, innocentes? A trop voir les mauvais, on en oublie les bons, d'où la tendance, de plus en plus marquée, qu'à le Révolutionnaire à se montrer peu courtois envers Pirates et Marins. Son coeur ne leur est pas encore fermé, mais gare à ses mains, qui ont la détente facile! Outre tout ceci, le Bougre n'est pas qu'un ensemble d'idéaux et de principes. Non, il est aussi une personne au quotidien, avec ses qualités, et ses défauts. Dans le premier groupe, on pourrait placer une capacité rocambolesque à profiter de la vie dans toutes les situations. C'est une espèce de faim de vivre, qui, dépassant soucis et tracas, est apte à transformer les plus terribles atmosphères en de franches rigolades. Croyez moi, il n'est pas si facile de savoir lâcher ses cheveux et péter de travers de temps en temps, même si cela reste diablement nécessaire. Dans la continuité d'un hédonisme déjanté, Klaus s'avère fort sociable, même s'il est déroutant de parler à un homme masqué, qui de surcroit, a la facheuse tendance à vous laisser planter là au milieu d'une phrase, pour observer quelquechose d'aussi crucial qu'un vol d'oiseau... Parcontre, étonnement, sa soif de liberté ne corolle avec aucune impulsivité. En même temps, comment en serait-il ainsi, vu que son art demande patience, justesse, et acuité. Aussi notre sniper s'avère énormément réfléchi, étant de ceux qui préfère largement un plan finement travaillée à une improvisation hasardeuse. Dans la continuité de cette intelectualisation, il comprend que tout comme le sacrifice de soi est nécessaire, il faut savoir accepter le sacrifice des autres. Car il est navrant, mais vrai, que perdre 1 vie pour en sauver 1000, cela n'est pas contestable. >> Biographie Couvert d'un manteau noir, un homme pénétrait sans honte dans la cabine d'un certain Vindicare. Il savait exactement où aller, soulevant doucement un matelas afin de tomber sur un journal Intime. L'Histoire d'un Homme Arrivant à la première page, il commença sa lecture. Journal intime de Vindicare : Je ne sais pas pourquoi j'écris ces mots, sans doute que, suite à certain évènements, j'ai peur de ne pouvoir répondre à cette question cruciale : Qui suis-je? Fruit de l'union de deux personne dont je ne citerai pas le nom, de peur que dans de mauvaises mains, ce carnet me trahisse, je suis un enfant de la nouvelle Ohara. Mes parents sont des gens normaux, n'ayant de surcroit aucune notion du combat. Toutefois ce sont mes géniteurs, et je n'ai aucun regret sur ce point, vu qu'ils ont su me donner bien plus que la gloire ou la puissance : L'Amour. Seulement je ne suis pas que ça, car j'ai vécu toute mon enfance dans l'île du Savoir. Même s'il faut admettre, qu'à l'époque, je faisais la mauvaise tête quand il était question de m'instruire, je vous avouerai que cet arbre gigantesque, cette bibliothèque, dédale aux milles lumières, qui est le flambeau de mon île, n'a jamais cessé de m’impressionner. Même dans la petite section réservée à l'éducation des plus jeunes, j'entrais comme dans un temple, et si, nombre de fois ce fut à reculons, l’hégémonie écrasante de tant de savoir ne manquait pas de dompter ma fougue. La connaissance, maîtresse des hommes et des Dieux, elle a toujours su comment me parler, et sans doute, avoir un père chercheur aide à être curieux, mais cela ne changea rien au fait que, mon enfance, je la passai dans cet arbre somptueux. Est-ce tout? Non, j'eus la chance, et je le reconnais, d'avoir un bon départ dans la vie, choyé et éduqué par une famille savante. Bien que j'étais un peu confiné dans cette succulente bibliothèque. Il fallut attendre l'adolescence pour que j'ouvre mes ailes, car fier de mes 14ans, je fis la connaissance du mot passion. Si alors mais seuls amis avaient été mes compagnons de classe, j'eus la chance de rencontrer une bande de jeune qui, tout comme moi, profitait de la source intarrissable qu'était les savoirs des livres, mais avait également un autre hobby. En y réfléchissant, je me sens un peu stupide d'avoir oblitéré si longtemps le fait que j'étais sur une ile, et donc que la mer m'entourait en permanence, mais bon, mieux vaut tard que jamais. En tout cas, cette période marqua ma rencontre avec l'Océan, avec le surf, et toutes les activités qui en dérivent. Je n'étais pas seulement devenu plus sociable, j'avais gagné en assurance, j'avais gouté, par cette voie exhaltante, à la liberté. En y repensant, ce double attrait pour la mer et les livres peut étonné. Mais il s'agit d'une île de savants. C'est comme être bercé dans la musique depuis sa plus tendre enfance , bon gré mal gré, on acquiert, à défaut d'une oreille musicale, au moins une bonne oreille relative. Aussi oui, même si on était de férus adeptes de l'océan, cela ne nous empéchait pas de suivre parfaitement les enseignements de nos ainés. D'ailleurs, déjà à l'époque, j'avais une piètre vision de la marine. Mise à part le Buster call sur l'ancienne Ohara, nous étions tout de même en contact avec quelques révolutionnaires, et de fait au courant des déboires et travers de ce cher gouvernement. Mais il faut l'avouer, tout cela me parraissait bien abstrait. Toutefois, il fallut bien à un moment où à un autre que je m'extirpai du cocon familial. Si je ne regrette rien de ce temps, il signa quand même les prémices de ce fameux jour... Sur mes 17ans, je commençai à participer aux recherches de mon père, et ironiquement, au même moment, notre groupe de surf gagnait en réputation. J'entrai, pour ainsi dire, dans la vie active, me trouvant obligé de partager mon temps entre les conceptions détraquées de mon géniteur (qui était, je le reconnais, un brillant ingénieur), et les entrainements des Free-Riders. Ceci dit, n'étant pas très doué pour la glisse, j'eus vite fait d'arrêter ma carrière de champion, préférant m'impliquer un peu plus dans la politique de ce monde. Cela fut plutôt aisé vu que des révolutionnaires étaient installés sur notre ile. Ce fut donc une période charnière, ou, au grand damne de ce cher patriarche, je me détournai de plus en plus de la route du savoir, au profis d'activités révolutionnaires. En même temps, il pouvait le comprendre. J'étais jeune, avec des idéaux plein la tête, et une soif d'aventure qu'une douce vie de chercheur ne saurait combler. Il me fallait plus... Et la révolution apparaissait alors comme le moyen de tout cela. Hélas, je n'avais aucune idée de ce que signifiait réellement s'opposer au gouvernement, et le destin se chargea bien vite, sur l'année de mes 22ans, de me rappeler à l'ordre. Voila, est-ce donc tout ce que je suis? Non... je devrais plutôt dire tout ce que j'étais. Il faut me l'avouer, ce qui justifia l'existence de ce carnet, ce qui fait que là, tout de suite, je suis en train d'écrire ces mots, cet évènement m'a oté mon innocence, et ma naiveté. En y repensant, il est peut-être bien, que, peu après mon départ, le monde est cru bon de me signaler son indécente cruauté. Et merde... NON CE N'EST PAS JUSTE! Jusque là, l'homme, captivé par la lecture s'était carrément posé sur le lit, s'oubliant dans le récit d'une vie peu commune. Il ne remarqua même pas la tache de sang qui obstruait les lettres, préférant tout simplement tourner la page. Je me répète... mais je pense qu'il faut que je réécrive cela. De toute façon, je fais ce que je veux... il n'y aura sans doute que moi pour relire ses lignes. Et puis, cela fait quand même 2 ans... Durant les quatres années que durèrent mes activités révolutionnaires sur l'île d'Ohara, je n'avais tout de même pas cessé de fréquenter ma famille. Aussi, malgré lui, mon père se plaisait de plus en plus à me voir passioné, si bien que lorsque je lui annonça mes intentions d'entrer définitivement dans le mouvement révolutionnaire, il le prit plutôt bien, et se proposa même de me fabriquer une arme. J'aurais sans doute préféré qu'il m'offre un sabre, ou un truc du genre, mais maintenant, je suis au combien satisfait que ce ne fut point le cas. Fidèle à lui même, c'est un sniper qu'il m'offrit, et pas n'importe lequel, puisqu'à la pointe de la technologie, il me fallut presque 5ans pour saisir toutes les subtilités de cette arme. M'enfin bref, je me laisse un peu emporter, vu qu'aujourd'hui encore ce bijou a fait des merveilles. 21 ans, ce fut l'age où, ayant suffisament prouvé ma motivation, et pensant être apte à affronter l'Océan, je quittai mon île natale, afn de me lancer, à plein temps, dans la Révolution. Je n'avais cependant toujours pas compris la terrible puissance de l'ennemi que je provoquais, et 6mois plus tard, la Marine se chargea de me rappeler sa Force. Nous étions une cinquantaine sur un navire sans prétention, vivottant notre quotidien sous un soleil qui se voulait généreux. Moi même, j'astiquai tranquillement le canon de mon arme, totalement inconscient du drame qui allait suivre. Dans notre ignorance, nous étions prets à aborder le premier bateau arborant ce foutu drapeau Blanc et bleu, profitant d'un capitaine qui s'amusait à exciter nos âmes de rookies. Déjà là, j'aurais du me douter de quelque chose. Attaquer ainsi le premier batîment venu, c'était totallement puéril... et pourtant nous le fîmes. Travesti en un bateau marchant à la dérive, notre navire put sans problèmes se rapprochez du gallion qui nous faisait face, et sans tarder nous l'accostèrent. Seulement, une fois à bord, nous nous fîmes tout simplement laminer. Si je suis encore en vie, je le dois à ma qualité de sniper, qui fit que je n'eux pas à pénétrer la mélée, me contentant d'une position suffisament haute pour avoir mes proies. Mais malgré notre bravoure, il ne fallut qu'une demi-heure... 30 minutes pour matter une cinquantaine de rookies, le tout se soldant par la prise de 5 prisonniers, et le teintement éreintant d'une bourse pleine tombant dans la main de notre capitaine. J'avais rencontrer la trahison, peu après je fréquenterai la torture. Car il ne fallut pas longtemps à nos ennemis pour perdre patience face à notre mutisme, et justifier l'utilisation de quelques monstruosités. Seulement aucun de nous ne cracha le mot... et heureusement, sinon la charmante Ohara aurait été de nouveau flagelée. J'eus donc droit, des mois durant, à l'affreux spectacle de la souffrance, croupissant dans mon impuissance à sauver mes camarades, à me sauver moi même. Au moins, j'ai le mérite de me dire que si j'avais certes été pathétique, jamais je ne fus lache. 4 mois, tel fut le temps de mon emprisonnement, car profitant d'un transfert de prisonniers, nous tentâmes le tout pour le tout. Nous n'avions rien à perdre, aussi, provocant une émeute, nous disparûmes. Enfin, c'est comme ça que ça aurait dut se passer, mais il y eut un hic...expliquant pourquoi je fus le seul à m'échapper de cet enfer. Impressionant, ne serait-ce qu'avec ces quelques informations, l'espion pouvait déjà trouver un prétexte à l'annexion d'Ohara par le gouvernement. Seulement, la curiosité surpassant aisément la raison, le fou continua à lire, négligeant, une nouvelle tache de sang, qui aurait du lui montrer le poteau rose. Toutefois, il y tant à dire, puisque, en véritable journal intîme, ce cahier contenait toute la vie d'un Homme. Entre anecdotes et moments de blues, on peut comprendre que le malheureux ne cessait point son inconvenable intrusion. ENFINN! J'ai finalement réussi le premier des Défis du légendaire ROi des Snipers, Usop-sama-sama. Et du premier coup en plus! Bon d'accord, je vous l'accorde, dans sa biographie il est dit qu'il le fit avec un simple lance pierre, mais qu'est-ce que ça change? Le résultat est là! Je m'étais méticuleusement positionné en hauteur, posé sur les branches d'un arbre majestueux. Le pauvre Coyote s'apprétait à bondir à l'assaut de son repas du jour. Mais lorsqu'il s'élança, frolant les 60Km/h, une balle alerte transperça sa queue, passant entre les poils grisâtre sans toutefois blessé l'animal. "Toucher un coyote à pleine vitesse, sans pour autant le blesser." Tel était le premier défi de l'incontestable sogeking, et la route qui menait sur les traces de ce mythe. Je m'approchai enfin de mon rève : il ne me restait plus que 9exploits, et je pourrai prétendre à égaler Usop-sama-sama. A 30ans, un exploit dans la poche, ce n'était pas trop mal non? Voici un exemple des anecdotes qui faisaient sourire le curieux personnage, et qui l'empéchèrent d'entendre, les bruits de pas gravissant l'escalier. Il ne remarqua rien, même pas le petit cliqueti métallique, qui précéda la détonation... mais il était trop tard, et déjà, s'échappant du trou situé près de sa tempe, du sang giclait de son corps, tachant une nouvelle fois le curieux manuscrit. Le responsable? Vindicare, évidemment, qui ne tardea pas à ramasser son journal, le préservant de la marre de sang qui commençait à se former. 4 mots furent offerts en hommage à cette nouvelle victime de la malsaine curiosité : "Don't touch my tralala!" Et oui, il avait 32 désormais l'enfant d'Ohara, et il s'était frayé une petite place dans la révolution. On ne l'appelait plus gamin, mais bien Vindicare, un nom plus ou moins connu, mais non moins évocateur. Les désillusions passées, il réussi à retrouver sa joie de vivre, tout en gardant à l'esprit la cruauté de son ennemi. Il était apte, désormais, à affronter une réalité morose, sous l'égide de la vertueuse Liberté, et par la force débridée d'une joie de vivre, d'un humour décalé, et de joyeux compagnons. [/size] >> Test RP Le Test rp est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation. Faire un test rp avant l'intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas. |
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Informations IRL
- Surnom : Sleen
Age : 19ans
Aime : PLein de chose
N'aime pas : Plein de chose
Personnage préféré de One Piece : Ace avant qu'il fasse le *** et gache les efforts de son frère. Maintenant je pense à capitaine Smoker.
Caractère : Moi
Fais du RP depuis :
4ans, mais avec une pause de 6 mois, j'ai repris il y a deux mois
Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif)
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Dernière édition par William Klaus le Sam 28 Mai 2011 - 6:08, édité 10 fois