Après quelques jours de navigation je me ravive les jours passés parmi les Hyènes, que de bonheur ! De plus nous passons par La Flaque, endroit qui ne m’est pas inconnu ! Oui j’ai navigué à l’intérieur lors de notre excursion dans les Blues et je retourne encore là-bas dedans pour revenir sur les Blues de nouveau… j’ai l’impression de tourner en rond !
Durant mon séjour parmi eux, je fume, je bois avec eux et je m’amuse avec eux sur différents jeux, bras de fer, jeux de carte et concours de boisson. Fufu ! Qu’ils sont bien sympathique ces gens ! Même eux ne se méfient pas trop de moi, il est vrai que j’ai laissé mon côté de pirate pour ce voyage et que je suis une sorte de « Corsaire », je compte bien tenir ma parole de ne pas leur faire de mal puis à vrai dire je ne vois pas vraiment de raison pour le faire.
Nous voyageons paisiblement, quelques tempêtes en route mais rien de bien alarmant.
Je suis en train de jouer au bras de fer avec le plus baraqué de l’équipage et cet enfoiré me résiste bien ! Je le vois forcer comme un fou, il est entièrement rouge, encore pire qu’une tomate ! Enfin… je dois être comme lui, je vois que je prends un l’avantage je force encore plus comme un bourrin et là BAM ! J’AI GAGNE !!! OUAIIIIIIS !!!! J’empoche les gains des paris fufu, une centaine de berrys rien de plus. A vrai dire ils n’ont pas trop les bourses rempli vu qu’ils sont payés à la fin des échangent et que leur Capitaine leur laisse le temps de dépenser avant de repartir.
Alors que certains comme moi se réjouissent de ma victoire et que d’autres ronchonnent la vigie se mis à hurler.
- Entrée de La Flaque en vue !
Effectivement, le courant se fait de plus en plus fort et on le sent tout de suite. Le courant qui s’engouffre dans cet énorme trou est extrêmement puissant. Je réagis avant les ordres du Capitaine, je sais parfaitement quoi faire, il faut fermer la voile et surtout bien contrôler le navire.
J’hurle en même temps que le Capitaine.
- Allez ! FERMEZ LES VOILES !!! BANDE D’ESCARGOT !
Il traitait son équipage d’escargots ? Amusant.
Je décroche un Grelin qui tient la voile, je le prends avec moi et je monte à toute vitesse sur le hauban à droite du navire pour pouvoir atteindre la barre qui tient la voile en haut. Une fois arrivée au niveau de cette barre j’enroule la corde contre elle et je finis avec un nœud pour qu’elle tienne bien.
Par la suite je redescends assez vite en me mettant du côté intérieur du navire ainsi une fois à deux mètres de haut je saute sur le pont du navire en m’amortissant à l’aide d’une roulade.
Je rejoins le Capitaine posté sur le Gaillard du navire et j’aide son homme à la barre. Il ne galère pas trop pour l’instant mais je sais qu’une fois à l’intérieur, prit dans les forts courants il aura besoin grandement de mon aide, c’est plus facile à deux. Le Capitaine étonné de me voir ici et de ma maîtrise me demande :
- Comment ça se fait que tu donnes les ordres en même temps que moi et que tu sois si serein ?!
Un immense sourire se forme sous mon ruban et je lui lance.
- Je suis déjà passé par ici, je sais comment réagir face à ce torrent mortel !
A son tour il sourit, je le sens rassuré d’un côté. Il hurle à ses hommes.
- Les gars ! A l’intérieur écoutez notre invité d’honneur ! Il en sait mieux que moi sur ce maudit endroit !
Ils hurlent tous en chœur.
- YAYYYYYY !
De mon côté je donne au Capitaine un dernier conseil avant de tomber dans les rapides bruyantes et insupportables.
- Accrochez-vous à quelque-chose ça va secouer !
Je le vois faire un gros câlin à la balustrade et pouf ! Nous voilà arrivé dans La Flaque ! Les rapides hurlent ! Résonnent contre les parois rocheuses, des vagues se brisant sur la roche déposent de l’eau sur le pont du navire. Ce vacarme que produisent les rapides est incessant et très déstabilisant mais faut faire avec ! Je rigole légèrement, l’homme que j’aide, accroché au gouvernail me regarde d’un air inquiet et étonné, il doit sans doute me prendre pour un fou mais qu’est-ce que je m’en fous ! Me voilà dans mon élément !
Nous nous battons contre le courant avec mon ami navigateur pour tenir le navire droit dans le courant et éviter de se prendre les parois rocheuses sinon c’est la mort !
Les secousses sont de plus en plus violents, les hommes s’accrochent au dépit de leurs vies et hurlent à la mort.
Le navigateur et moi-même réagissons vite, nous suivons les chemins creusés par l’eau, quand on doit choisir entre deux chemins ou plus nous nous suivons, si il tire à droite avant moi je le suis et vice et versa. Il faut qu’on soit coordonné pour ne pas finir en hachis-parmentier.
Ce bruit incessant de l’eau fait mal aux oreilles à force d’y rester. Tellement mal qu’il donne envie de lâcher la barre pour se boucher les oreilles !
Au bout de plusieurs minutes des plus pénibles je vois au bout du tunnel de la lumière, la sortie ! Enfin nous nous sommes retrouvez à la fin expulsé du trou, tellement fort que le navire s’est détaché de l’eau durant quelques secondes avant de retomber dessus, expulsé plus fort et on aurait chaviré ! Une chance que nous ne sommes pas tombés à l’eau !
A la fin de cette courte période très intense tout le monde n’a pas pu s’empêcher de crier de joie. De mon côté depuis le début j’étais détendu.
Il est temps de repartir. Je laisse le gouvernail de nouveau à l’homme et je cris.
- Allez ! Déployez les voiles !
Tous se mettent en action et moi aussi.
Le plus dangereux est passé, la prochaine étape c’est le débarquement !
Durant mon séjour parmi eux, je fume, je bois avec eux et je m’amuse avec eux sur différents jeux, bras de fer, jeux de carte et concours de boisson. Fufu ! Qu’ils sont bien sympathique ces gens ! Même eux ne se méfient pas trop de moi, il est vrai que j’ai laissé mon côté de pirate pour ce voyage et que je suis une sorte de « Corsaire », je compte bien tenir ma parole de ne pas leur faire de mal puis à vrai dire je ne vois pas vraiment de raison pour le faire.
Nous voyageons paisiblement, quelques tempêtes en route mais rien de bien alarmant.
Je suis en train de jouer au bras de fer avec le plus baraqué de l’équipage et cet enfoiré me résiste bien ! Je le vois forcer comme un fou, il est entièrement rouge, encore pire qu’une tomate ! Enfin… je dois être comme lui, je vois que je prends un l’avantage je force encore plus comme un bourrin et là BAM ! J’AI GAGNE !!! OUAIIIIIIS !!!! J’empoche les gains des paris fufu, une centaine de berrys rien de plus. A vrai dire ils n’ont pas trop les bourses rempli vu qu’ils sont payés à la fin des échangent et que leur Capitaine leur laisse le temps de dépenser avant de repartir.
Alors que certains comme moi se réjouissent de ma victoire et que d’autres ronchonnent la vigie se mis à hurler.
- Entrée de La Flaque en vue !
Effectivement, le courant se fait de plus en plus fort et on le sent tout de suite. Le courant qui s’engouffre dans cet énorme trou est extrêmement puissant. Je réagis avant les ordres du Capitaine, je sais parfaitement quoi faire, il faut fermer la voile et surtout bien contrôler le navire.
J’hurle en même temps que le Capitaine.
- Allez ! FERMEZ LES VOILES !!! BANDE D’ESCARGOT !
Il traitait son équipage d’escargots ? Amusant.
Je décroche un Grelin qui tient la voile, je le prends avec moi et je monte à toute vitesse sur le hauban à droite du navire pour pouvoir atteindre la barre qui tient la voile en haut. Une fois arrivée au niveau de cette barre j’enroule la corde contre elle et je finis avec un nœud pour qu’elle tienne bien.
Par la suite je redescends assez vite en me mettant du côté intérieur du navire ainsi une fois à deux mètres de haut je saute sur le pont du navire en m’amortissant à l’aide d’une roulade.
Je rejoins le Capitaine posté sur le Gaillard du navire et j’aide son homme à la barre. Il ne galère pas trop pour l’instant mais je sais qu’une fois à l’intérieur, prit dans les forts courants il aura besoin grandement de mon aide, c’est plus facile à deux. Le Capitaine étonné de me voir ici et de ma maîtrise me demande :
- Comment ça se fait que tu donnes les ordres en même temps que moi et que tu sois si serein ?!
Un immense sourire se forme sous mon ruban et je lui lance.
- Je suis déjà passé par ici, je sais comment réagir face à ce torrent mortel !
A son tour il sourit, je le sens rassuré d’un côté. Il hurle à ses hommes.
- Les gars ! A l’intérieur écoutez notre invité d’honneur ! Il en sait mieux que moi sur ce maudit endroit !
Ils hurlent tous en chœur.
- YAYYYYYY !
De mon côté je donne au Capitaine un dernier conseil avant de tomber dans les rapides bruyantes et insupportables.
- Accrochez-vous à quelque-chose ça va secouer !
Je le vois faire un gros câlin à la balustrade et pouf ! Nous voilà arrivé dans La Flaque ! Les rapides hurlent ! Résonnent contre les parois rocheuses, des vagues se brisant sur la roche déposent de l’eau sur le pont du navire. Ce vacarme que produisent les rapides est incessant et très déstabilisant mais faut faire avec ! Je rigole légèrement, l’homme que j’aide, accroché au gouvernail me regarde d’un air inquiet et étonné, il doit sans doute me prendre pour un fou mais qu’est-ce que je m’en fous ! Me voilà dans mon élément !
Nous nous battons contre le courant avec mon ami navigateur pour tenir le navire droit dans le courant et éviter de se prendre les parois rocheuses sinon c’est la mort !
Les secousses sont de plus en plus violents, les hommes s’accrochent au dépit de leurs vies et hurlent à la mort.
Le navigateur et moi-même réagissons vite, nous suivons les chemins creusés par l’eau, quand on doit choisir entre deux chemins ou plus nous nous suivons, si il tire à droite avant moi je le suis et vice et versa. Il faut qu’on soit coordonné pour ne pas finir en hachis-parmentier.
Ce bruit incessant de l’eau fait mal aux oreilles à force d’y rester. Tellement mal qu’il donne envie de lâcher la barre pour se boucher les oreilles !
Au bout de plusieurs minutes des plus pénibles je vois au bout du tunnel de la lumière, la sortie ! Enfin nous nous sommes retrouvez à la fin expulsé du trou, tellement fort que le navire s’est détaché de l’eau durant quelques secondes avant de retomber dessus, expulsé plus fort et on aurait chaviré ! Une chance que nous ne sommes pas tombés à l’eau !
A la fin de cette courte période très intense tout le monde n’a pas pu s’empêcher de crier de joie. De mon côté depuis le début j’étais détendu.
Il est temps de repartir. Je laisse le gouvernail de nouveau à l’homme et je cris.
- Allez ! Déployez les voiles !
Tous se mettent en action et moi aussi.
Le plus dangereux est passé, la prochaine étape c’est le débarquement !
