>> Nom & Prénom
JUST ME ♥ | Pseudonyme : Le fourbe Age Indéterminé... on lui donnera une petite trentaine à tout péter Sexe : Masculin Race : Ange Rang : Vice-lieutenant d'élite si possible Métier : Goûteur officiel en alcools divers et variés Groupe : Marine Déjà un équipage : / But : A la recherche des personnes qui auront le captiver de part leur personnalité Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Fruit des ténèbres/Yami Yami No Mi : Ce fruit est un logia atypique, ne possédant pas la capacité de rendre invulnérable son utilisateur, face aux attaques conventionnelles. Cependant, ce dernier demeure capable d'engloutir ce qui l'entoure dans les Ténèbres, avant de pouvoir faire ressurgir le tout. A noter que ce fruit contrôle la gravité pour dévorer les objets. Autre point important, l'utilisateur peut attirer à lui ce qui l'entoure, mais également priver de leurs propriétés les utilisateurs de Fruit du Démon. Cela a valu à ce Fruit le titre du plus démoniaque de tous les Fruits du Démon. (D) Équipements : Sabre classique, fiole de rhum Codes du règlement (2) : Parrain : Nobody |
>> Physique Alors qu'elle se déplace dans un balais aérien, presque digne des plus grands numéros de voltige, la silhouette svelte et à la fois corpulente, semble se complaire dans un univers qui est le sien. Les ténèbres. Un immense flot de vide absolu, ou ni son, ni lumière, ni même quelque émotion que ce soit ne parvient à se frayer un chemin. Une description de l'individu qui s'annonce sous ses plus mauvais hospices. C'est d'ailleurs là tout le problème du personnage. Une ombre parmi les ombres, un tout et un rien à la fois. Nul ne sait à l'heure qu'il est à quoi il ressemble vraiment, les quelques peu qui en eurent soit disant le privilège, relevant plus du mythe que de la réalité. On le dit immense, géant parmi les dieux, ou croyances des plus misérables de notre bas monde. Certains à contrario le voient comme étant un homme comme les autres souffrant d'un étonnant complexe de supériorité. Une entité à l'état pur dont on ne sait, avec exactitude, de quoi elle est faite. Alors que le fantôme d'un être à la personnalité détruite, semble se poser sur le marbre froid de ce sol si unique, le temps semble reprendre quelque peu de sa notion. Petit à petit, la lumière semble tant bien que mal reprendre ses droits sur la pièce, mais le son lui reste piégé de l'incroyable force d'attraction des ténèbres environnants, figeant un peu plus le temps dans la révélation de la terreur gouvernementale récemment nommée de diverses manières. L'endroit semble se dévoiler, et alors que des rayons de lumières transpercent l'artifice, nous pouvons au fur et à mesure, deviner le décor solennel d'une chapelle, des vitraux aux représentations divines et morbides à la fois ornant les quatre murs qui cloisonnaient l'endroit. C'était en quelque sorte son lieu de naissance. C'était dans ce lieu inconnu de tous, qu'il avait été envoyé, arraché à ses terres angéliques, envoyé dans un enfer naissant. Zao. . . C'est de ces quelques lettres que des échos firent leurs apparitions. Nous connaissons désormais le nom divin du protagoniste. La lumière a maintenant fait place et seuls quelques lambeaux de ténèbres subsistent, s'entrelaçant autour de sa physionomie atypique. Malgré le rétablissement de l'ordre initial des choses, mes yeux semblent encore affaiblit et ma vision, hélas, semble elle aussi affectée. Aussi pardonnez moi chers lecteurs si le portrait physique que je vous en ferai, n'est pas aussi fidèle que le serait la réalité elle-même. Au moment où je retranscris ces mots, je suis sur mon lit de mort. Il est important que vous sachiez que j'ai été et serai sans doute probablement le seul à l'avoir vu de mes propres yeux. Cette opportunité, représente des années de travail acharné, des années de vie entière sacrifiées à la seule étude de celui qui s'était fait un nom. Pas moins d'un mètre quatre-vingt cinq, sa taille n'a d'égal que sa réputation. Un physique de colosse qui ne laisse présager rien de bon quant au personnage, tout comme le reste d'ailleurs. A première vue plutôt frêle, le bonhomme ne mesure sans doute pas plus de cinquante centimètres de largeur, des épaules carrées venant parfaire la droiture de la silhouette. Alors que je suis au sol, le crane sans doute enfoncé par son dernier assaut, ma vision se trouble un peu plus et les quelques rares moments de lucidité que je possède me permettront de terminer le portrait physique de Zao, le seul qui eut été jamais établit, en espérant qu'il reste à jamais le seul. Si je m'attarde sur la base de ses jambes, semblables à la vaste énigme qu'il représente, seul un flot de ténèbres, mélange de bourrasque de vent et de pétrole, tourbillonne à ses pieds, dissimulant de ce fait la moitié inférieure de ses jambes, ne laissant qu'en de rares moments, entrapercevoir ses genoux. Cependant, on dit de lui qu'il à l'élégance d'un homme d'affaire, toujours bien habillé, d'un de ces rares costumes que l'on ne trouve qu'en de rares contrées, portées occasionnellement par quelques officiers de l'ex-Marine (comprenez par là un costard). Je remonte un peu plus mon regard, et du reste de ses jambes jusqu'à son bassin, seul un semblable de pantalon de costume aussi noir que le vide galactique lui-même, semble lui faire office de pantalon. Une ceinture vient à sa taille maintenir l'ensemble, sans doute faire d'un cuir tout aussi sombre, fermé par une boucle d'un acier aussi luisant que le soleil lui-même. C'est alors que je commence à perdre conscience, le temps pour moi de vous décrire son visage qui restera à jamais gravé dans ma mémoire. L'intensité de son regard lorsque celui-ci s'apprête à donner l'assaut. Un faciès personnifiant avec un réalisme déroutant la mélancolie, un peu comme s'il regrettait d'avance la mise à mort de son adversaire. Les traits de son visage fin et carré à la fois détendus, deux fines lèvres rectilignes, venant compléter l'expression triste de deux yeux d'un bleu océan étincelant en amande, surplombants eux-même les hauteurs d'un nez dont la droiture suffit à elle seule à refléter celle de l'individu. Deux sourcils d'un noir profond viennent quant à eux apporter une certaine émotion à ce visage d'un blanc rayonnant, laissant à deviner qu'il ne fréquente que peu la douceur de quelques rayons de soleil, nul n'ayant à ce jour, connaissance d'une quelconque forme s'approchant de près ou de loin à un sourire. Pour corroborer le tout, deux oreilles plutôt petites, défiant les lois de la symétrie, ne laissant apparaître qu'un léger lobe naissant, très souvent dissimulées par une coiffure courte (ou mi-long selon votre vision de la chose) en bataille, où les ténèbres eux-mêmes ressemblent à de maléfiques aiguilles. Je puise dans mes dernières forces pour vous conter les dernières images qui m'ont étés permises de voir. De la base de son pantalon, jusqu'à un cou des plus parfaits d'une droiture affligeante lui aussi, le haut d'un costume : une chemise (les couleurs dépendants de son humeur) toujours impeccable boutonnée jusqu'à la base d'un nœud de cravate aussi noire que le pétrole lui-même, le tout enveloppé dans une veste en soie précieuse. C'est étrange, j'ai l'impression qu'il lui fait office de seconde peau. Cet homme serait-il le démon que j'avais toujours imaginé ? Les paysans de Grand Line avaient-ils raison de douter de son humanité ? Cependant, je remarque qu'une partie de sa manche droite est déchirée sur la partie gauche de son torse, découvrant ainsi une partie de sa musculature: son épaule et son biceps. Serait-ce là le point faible que je n'avais pas su apprécier à sa juste valeur ? Cette vision de chair, me laisse d'ailleurs sans voix face à la musculature dont il fait preuve. Non pas qu'il soit forcément démesuré, mais le dessein de chacun de ses muscles et parfait, comme si aucune trace organique ne subsistait. Ça expliquerait pas mal de choses. . . A noter que cette observation me permet de le définir comme étant de sexe masculin, bien que ses pectoraux semble d'une nature particulièrement développée. Ça y est je le sens. Il s'agit là de mon dernier souffle. Alors que dans un dernier effort je fixe avec respect les yeux gris-bleu perçants de mon adversaire, l'une de ses mèches de cheveux vient balayer le devant de son visage, comme si elle était annonciatrice de la tempête qui se déclencha au moment même ou je terminais de m'effondre sur le sol de sa paroisse, mis à mort comme tous ceux qui, avant moi, avaient tenté de l'approcher. . . A nouveau, je ne trouvais au bout de la route, que les ténèbres. >> Psychologie Par un matin de printemps il e trouvait là. Assis sur la tendresse de l'une des mille et unes roches des falaises peuplant cette vaste contrée, je me laissais aller au gré des brises passagères qui ponctuaient cette journée de braise. Rien de bien exaltant... Il n'y avait rien à faire, et pourtant je me sentais léger, libre de pouvoir octroyer à mon esprit tous les droits sur mon conscient. Ainsi donc je laissais mon inconscient et tout ce que j'étais au fond de moi-même prendre pleinement possession de ce corps que je méprisais au plus haut point. Même si la vie ou ce que certains aiment à appeler la nature ne semblait pas m'avoir trop amoché, il semblerait que mon esprit, lui, ne s'accorde pas totalement avec ce que représentait son enveloppe charnelle. Non pas que j'exprimais un mal-être profond qui avec le temps aurait pu se traduire par un complexe d'infériorité, mais nous dirons simplement que je n'accorde pas grande importance à mon apparence. Cela dit je prends quand même la peine de toujours m'habiller de manière impeccable, boulot oblige. Quelle image donnerais-je à mon adversaire si je me laissais aller ? Je sens pourtant le vent refaire de ses caprices et l'altitude ne semble pas jouer en ma faveur ; une fois de plus, je me pers dans mes pensées. Seul trace de mon état de conscience plus ou moins douteux, la vision de l'un de ces charognards, grands maîtres de ces terres sauvages, qui m'apparait alors comme une l'une des visions macabres dont j'avais le secret depuis mon enfance. En effet, même si certains vous diront le contraire à mon sujet, je n'ai guère partagé cette vision du monde où la vie est considérée comme un présent d'une quelconque divinité et qui se devait d'être savourée chaque instant. Non... comme voué à l'évidence même de l'existence depuis le berceau, je voyais la vie telle qu'elle était, une malédiction, cycle éphémère qui nous condamnait, nous autres malheureux, à profiter d'une existence vouée à la toute fin. Bien des gens ont pourtant essayés de me convaincre du contraire au court de ma vie, et pourtant aucun à ce jour n'a réussit à me détourner du seul chemin lugubre qui nous conduisait tout droit vers l'ennui éternel et le néant. Qu'était donc une vie si non du temps que nous mettons à profit pour divaguer sur quelques occupations dérisoires ? Qu'était-ce une vie finalement, si non un passage subliminal dans la l'existence sans fin qui nous attendait tous « de l'autre côté de la barrière » ? Bref... pessimiste et guère entrainant pour quiconque avait déjà des doutes sur son propre séjour sur Terre. Aussi vais-je tenter de vous faire comprendre un peu mieux comment j'ai fais pour vivre toutes ces secondes, toutes plus longues les unes que les autres, sans n'avoir a aucun moment pensé mettre fin à mes jours. Ce qui m'a toujours aidé à tenir, et j'en suis encore aujourd'hui persuadé pour continuer à appliquer cette philosophie (si tant est que l'on puisse appeler cela de la sorte), c'est qu'outre cette vision plutôt déprimante qui vous met sous le nez la phobie première de l'Homme à savoir l'ennui, la mort n'est qu'un passage et quand bien même ne l'étais-je pas encore, je savourais chaque moment de ce moment d'un inutile surprenant, pensant un peu plus au moment qui ne tarderait sans doute pas à venir. Ainsi avais-je passé ma vie en tant que mortel coincé entre deux mondes, pris dans un paradoxe sans fin, partagé entre cette fameuse citation qui prône de vivre au jour le jour et profiter de chaque instant, et celui de l'attente funèbre de la Grande Faucheuse. Mais voilà que je récupère un court instant mes esprits, observant avec un sourire tout aussi étrange qu'innatendu en de telles circonstances, les vautours qui semblant se désintéresser de ma personne, se laissent porter au gré du courant venteux qui glisse le long des pentes escarpées de cette merveille naturelle que je domine de mon ombre insignifiante. Comme pour me tirer de cette rêverie psychédélique, un lézard, infâme créature des temps anciens et locataire permanent des lieux, se pavane devant mon minois qui affiche son expression la plus effarée. Je m'étonnais de voir qu'une créature aussi désinvolte puisse mettre autant d'acharnement dans son existence... A vrai dire, il y avait peu de chose que j'appréciais. Bon bien sûr il y a ce thème récurent de la vie et de l'existence en général, ça vous l'aurez compris, mais les manies des gens que je rencontrais m'horripilais plus qu'autre chose. Qu'elles partent d'une bonne intentions ou qu'elles soient tout simplement du à un caractère que je ne supportais pas, les tics, la façon de s'exprimer ainsi que la démarche des gens.... rien ne m'échappait. Voilà d'ailleurs un autre point que l'on pourrait sans trop de peine ajouter à ma psychologie chaotique : observateur. C'est sans doute là le terme qui saurait le mieux me définir, bien qu'au jour d'aujourd'hui je n'ai moi-même réussit cet exploit. Observer au travers du regard et du comportement des gens toute leurs pathétiques faiblesses, tel était mon crédo, me délectant du moindre de leur travers afin de leur faire chèrement payer, ne laissant aucune place pour l'éthique et donnant quelques fois lieu à des œuvres d'art pour certain, actes de barbarie pour d'autres. Je pourrai passer encore bien des heures à tenter de trouver une explication valable à ma raison d'être, à essayer de me définir et de poser une image stéréotypée sur ce que j'incarnais, mais voilà que le crépuscule m'appelle, irrémédiable force d'attraction universelle, m'arrachant à ce monologue ennuyeux... comme tout le reste d'ailleurs. Tel une loi que nul ne saurait contester, je réponds maintenant à l'appel ultime, celui régissant la vie de chacun d'entre nous. Cette chose que certains nommait le destin, d'autre le futur, cette chose que moi je définissais tout simplement comme étant mon existence. >> Biographie Chapitre premier – Les îles célestes Il y ai un monde par delà le vaste horizon des eaux de Grand Line, dépassant de loin l'entendement des hommes peuplant le monde médian. Presque inaccessible à quiconque tenterait d'y aller de son propre chef, cette terre légendaire n'a accueillie que quelques rares élus, qui au gré de quelques courants violents et de la mélodieuse brise marine qui règne en ces eaux, purent trouver le chemin unique qui mène aux îles célestes. Terre de calme, de paix et foyer d'un savoir sans précédent, elle reste bien mystérieuse encore aux yeux des humains, bien qu'elle fasse l'objet de quelques citations dans ces comptes que l'on récite aux enfants. Simple histoire de marins dont l'esprit n'est que trop troubler par un alcool omniprésent, ou réalité inavouable, quoi qu'il en soit, elle fait l'objet de bien des convoitises. Cependant, recluse dans les hauteurs d'un ciel blanc, la petite Skypiea, terre mère des nombreuses îles qui composent le monde aérien, existe bel et bien, vivant des jours heureux. A l'abri de la noirceur du monde d'en bas, ce vaste royaume vit dans une lumière incandescente perpétuelle, qui jamais, selon la légende, ne s'éteindra, tant que l'espoir d'un monde humain en paix vivra. Parfaite symbiose ou tout simplement devoir de gardiens impassibles, les anges qui peuplaient alors le territoire céleste, vivaient à l'abri des assauts du temps, contraints à la recherche perpétuelle de la perfection sociale. C'est d'ailleurs ainsi, que depuis des temps immémoriaux maintenant, le peuple des îles célestes vivait en harmonie avec le panache nuageux qui composait à quelques quatre vingt pour cent les environs, soumis à la loi mystérieuse d'une famille royale. Bien des régimes politiques se sont succédés dans le monde des Hommes, mais en ce lieux, aucune loi humaine ne semble avoir cours. Sans doute régie par une trame que nous ne pouvons comprendre, les anges se complaisent dans un univers hors de toute loi naturelle, pourvus d'une intelligence qui fait aujourd'hui encore leur force, et qui sans nul doute est le moteur principal d'une telle réussite sociale, dépourvue de système économique, ne se basant que sur leur simple savoir faire. Un talent et un génie qui leur valait d'ailleurs le titre suprême d'être à la fois particuliers et supérieurs à toutes les autres races connues. Un fin soleil à son Zénith, l'endroit semblait ne connaître les ténèbres de la nuit profonde. Un jour éternel, sans lendemain, poursuivant l'immuable cycle de l'immortalité, à l'instar du reste de la population. Les tons à la fois pâles et rosés de ses rayons venant s'abattre avec douceur et volupté, sur l'immaculé blancheur des nuages paradisiaques, procuraient à l'île une sensation de calme, et de quiétude d'esprit sans égal. Un endroit qui se trouvait donc à l'apogée de l'accomplissement de soi, et dont l'accès, conformément aux contes religieux, se trouvait être réservé aux âmes les plus pures quittant dans un dernier élan les terres de leur foyer passé. Perché dans la plus haute tour de la plus haute montagne nuageuse, un enfant vivait reclus, prisonnier de murs faits d'un matériau des plus étranges. Quelles sortent de murailles pouvaient bien flotter sur l'intangible masse nuageuse qui surplombait alors les eaux de Grand Line ? Sans doute pouvait-on y voir là une autre illustration de tout le savoir faire dont disposaient ces êtres si particuliers que sont les anges. Fil du Roi et maître incontesté de ce monde, perdu dans un monde qu'il était le seul à comprendre, Zaø descendant direct de la fière lignée des nobles anges des îles célestes, se complaisait à commettre l'irréparable. Et pour cause, dans un univers où toute violence était prohibée de la noble famille royale, alors qu'il aurait comme tout enfant de on âge et de son rang, s'intéresser à la perfection de la société qu'il serait un jour emmené à diriger, l'abomination qu'avait mis au monde la reine de Skypiea s'affairait déjà à quelques desseins bien hérétiques. De sa naissance à ses actuelles dix-sept années révolues, un monstre en puissance s'évertuait tant bien que mal à laisser s'exprimer toute la violence et la douleur dont il était empreint. Une noirceur dont la source et la cause en resterons à jamais de vastes énigmes, que s'appliqueront sans doute à résoudre, quelques philosophes d'un temps. Quoi qu'il en soit... le jeune Zaø se présentait déjà comme étant un virtuose de la dissimulation d'esprit, cachant ainsi aux yeux de tous, sa véritable nature, voyant son environnement comme un monde faible, voué à l'inéluctable effondrement que présentaient toutes les civilisations quelles qu'elles soient. Le chaos total dans une philosophie au paroxysme de l'oxymore. Comment un être éduqué dans le plus total amour, conditionné pour servir au mieux les intérêt de son peuple, pouvait-il en être arrivé là ? Assis dans l'immuable jardin verdoyant des quartiers princiers, notre jeune protagoniste se complaisait dans une mélodieuse harmonie, fusionnant de tout son être avec toute chose qui l'entourait alors. De ses longs cheveux d'un noir aussi profond que les ténèbres des abysses maritimes, qui jadis engloutirent de nombreux marins, il dominait de sa haute personne, l'être à la fois fragile et innocent, mutilé et agonisant à ses pieds. Tel le bourreau contemplant son œuvre, l'innocente petite créature que représentait ce lézard ne pouvait se résoudre à voir dans les yeux de notre protagoniste, autre chose que la mort, et la destruction qu'il emmenait avec lui à chacun de es faits et gestes. Le moindre de ses mots, calculé avec agilité pour s'imbriquer au mieux dans une situation à l'apparence banale, mais beaucoup plus ambiguë qu'elle n'y paraitrait. Cependant, fort de son énième acte de barbarie dans l'enceinte de la cour royale des anges célestes, il y aie un événement que Zaø lui-même n'aurait pu prévoir, manquant sans doute encore de maturité d'esprit pour imaginer un seul instant que l'un des laquets de sa majesté puisse le surprendre en pareille situation. Ce fut pourtant ce qui arriva... Pris sur le fait du délit le plus inavouable des mœurs angéliques, l'ange déchu depuis trop d'années maintenant, révélait au grand jour sa véritable condition, mettant d'un trait fin à la mascarade que représentait l'existence de ce serviteur, celui-ci s'étant mi à crier à pleins poumons, attirant ainsi la garde. Les cervicales rompues par la force dont faisait déjà preuve l'angelot, c'est le yeux écarquillés que la première victime angélique s'effondre sur l'herbe encore fraîche d'un climat qui se voulait le plus doux en un lieu où le gel arctique devrait être le seul maître. Alors saisit par les gardes bien trop nombreux pour notre individu encore bien trop jeune pour exploiter au maximum tout le potentiel de sa force, c'est devant son père qu'il fut conduit, accompagné de la dépouille du lézard et du manant, gisant inertes au pied du vieil homme, à la fois brisé et déchaîné par les torrents d'une fureur qu'il n'avait pas ressentit depuis bien longtemps. Un ultime cri de rage déchira le monde des îles célestes, entendu de tous dit-on, la fureur du Roi marqua la fin de l'existence angélique de son fils. Renié et bannit à jamais des îles célestes, Zaø se vit privé de ses ailes, et contraint à l'exil dans le monde humain, condamné à ne jamais retrouvé le chemin du lieu l'ayant enfanté.... Chapitre second – L'errance de l'ange déchu La chute fut à la fois longue et paisible... Projeté hors des terres de nuages, celui qu'il était autrefois n'était plus, jeté par dessus bord, tel le traître que l'on passerait par la planche. Les ailes arrachée, il ressortait pourtant encore du personnage une aura divine presque inexplicable. En totale chute libre, il s'abreuvait poétiquement de chaque bourrasque de vent, plongeant sa chevelure ténébreuses dans un étrange balais, laissant ainsi libre court aux mèches frivole qui la composaient dans son intégralité. La tête en ba, le corps en position rectiligne, il entamait là un plongeon qui aurait pu être fatal à n'importe qui, qui serait humain. Des hauteurs célestes à la douloureuse chute qui l'attendait quelques centaines de mètres plus bas, il n'y avait qu'un pas, un pas qu'il franchit tout aussi rapidement que l'aigle fendant l'air avant de jeter on dévolu sur la proie d'un instant fatidique. … Le néant total semblait s'être emparé de moi. Quelques instants auparavant il n'y avait que la mort et la désolation, l'échec et la douleur. Chacune de ces faiblesses ultimes avaient maintenant disparues. Comme plongé dans un état de semi-conscience, c'est dans une quiétude qui défiait toute concurrence que je flottais dans le vide absolu. Le chaos ou encore les abysses de l'univers, ce qui me semblait être des années durant, je lui donnais bien des noms différents. Et pourtant... Ce temps qui semblait ne plus avoir d'emprise sur ma seule personne me jouait encore bien des tours. Durant un moment, il m'est impossible de cacher le fait que je me sente comme pris au piège dans un univers parallèle, à la manière d'une prison ou une salle d'attente avant que les portes des abysses océaniques ne s'ouvrent, si tant qu'elles m'accordent une place parmi ceux qui tout comme moi vouait un culte sans faille au blasphème dans son état le plus pur. Telles étaient mes croyances, savant mélange de violence, entre la vie et la mort. La réalité fut toute autre. Aucun visage familier ne m'avait accueillit dans ce monde où je n'étais rien d'autre qu'un étranger. Un monde en lequel j'avais du mal à croire, malgré toutes les convictions que je puis porter envers la possibilité d'une vie faite de monotonie quotidienne et la crainte permanente d'une éventuelle attaque de pirates. C'est de cette façon que je découvrais les terres de Grand Line, quelques milliers de mètres au dessous d'un monde que je ne reverrai plus à mon plus grand bonheur. Paradis à part entière ou enfer, appelez ce nouveau monde comme vous voudrez, il donnait raison à bien des légendes sur l'éventualité d'une vie de crainte et d'attente interminable d'une mort qui se voudrait à la fois joueuses et frivoles avec ses victimes. Cependant je ne réalisais pas tout de suite l'ampleur de l'évènement qui me tombait sur la tête. Rien de ce à quoi je ne m'attendais vraiment était présent à ce moment que je nommais bien des années plus tard « le Renouveau ». Un sobriquet bien dérisoire face à ce châtiment du destin. Un châtiment oui, c'était là la façon dont je voyais les choses, car si j'espérais à un repos éternel, pouvant ainsi me laiser aller à quelques excès de violence, ce fut bel et bien une seconde vie qui me fut incombé et à laquelle je n'avais rien à envier de la précédente. Grand Line. Ainsi fut nommé l'endroit où je passais les prochaines années à venir. Enfin du moins, l'appris-je quelque jours après mon arrivée dans ce monde parallèle où peu importe comment vous le définirez, je me laisser aller, naviguant sur les flots, à bord d'un navire où j'y pénétrais en tant que clandestin. En effet, contrairement à la plupart des nouveaux pirates qui atterrissent en ces lieux peu propices à la quiétude d'esprits, parti à la recherche d'un trésor légendaire pour certains, à la recherche de combat, de conquête et de gloire pour d'autres, moi, j'avais fait le choix de m'exiler de cette communauté miséreuse qui ne vivait que dans l'espoir d'une fin qui ne viendrait jamais. Supplice interminable et pervers qui plus est, je ne trouvais dans cette nouvelle existence et forme de conscience que des lamentations et le courroux d'une vie trop négligée par le passé. En tirerais-je la moindre satisfaction cette fois-ci ? Pas le moins du monde... J'avais encore quelques notions de ma façon de voir le monde de ma vie passée, aussi ne comptais-je pas y renoncer pour autant. Peut-être même ce sentiment d'insensibilité et de perversité m'avait il gagné un peu plus avec le temps.... Aujourd'hui encore, je ne saurais vraiment le dire. Quoi qu'il en soit, jusque là rien de bien glorieux ne ressortait ; je passais mon temps à contempler les oiseaux qui étrangement semblaient aussi posséder une âme, m'étonnant de la moindre de ces choses qui me rappelaient un peu plus l'endroit d'où je venais, et les plaisirs que je prenais à vivre là-bas. Mais même si au fil des années je semblais devenir un peu moins aigrit par les épreuves que m'avaient lancé le destin, je n'en restait pas moins que l'Hermite du village, celui dont personne ne voulait adresser la parole, celui qui semait le trouble et la crainte dans chaque navire où il était découvert, dissimulé dans un fond de cale, trop occuper à vider celui-ci de ses victuailles qu'autre chose. Quoi de plus logique ? La peur de l'inconnu, cette même peur que j'avais passé des années à analyser sous toutes ses formes les plus nobles, gagnaient visiblement des esprits déjà dépourvus de leur enveloppe charnelle. D'ailleurs, étais-je réellement mort ? Les morts étaient-ils censés avoir encore faim ? Que savais-je au final de ce monde que je n'avais pas fait le moindre effort pour comprendre ? Pas grand chose, l'essentiel, le béa bas comme diraient certains. Bref voilà, le décor est planté, vous l'aurez compris, je n'étais rien d'autre qu'une âme parmi les âmes, la plus sauvage et qui plus est... la plus triste de toutes. Des années et des années durant, mon train de vie me rongeait de l'intérieur. La monotonie d'une existence que j'avais pourtant semble-t-il choisit, était en train de me consumer, brisant petit à petit ce qu'il me restait de stabilité mentale. Du moins était-ce ce qu'il se produisit à l'intérieur de ce qui me faisait office de boîte crânienne. Ma vie n'était rythmée que par les kilomètres que j'effectuais tous les jours un peu avant midi, à l'heure où les charognards en tous genre sortaient, quelques instants avant le zénith de ce soleil potentiellement artificiel au vue de sa lueur presque incroyable. Des années durant où ma seule présence ne semblait visiblement pas être acceptée avec beaucoup d'entrain. Quel dommage... avoir le privilège de se ronger les sangs, à se tuer à l'ennuie, dans une existence que je n'avais pas demandé et ne pas être accepté du « bas-peuple ». Qu'importe je l'avais choisit, et peut-être mérité, résultat de mon seul entêtement à vouloir vivre reclus de ceux que je nommais « les autres », libre de pouvoir me laisser aller à mes pulsions les plus inavouable. Une vie si tant est qu'elle puisse être définie de la sorte, où je mettais chaque jour ma résistance à rude épreuve, seul face à moi-même, seul face à cette voix qui me hantait un peu plus chaque jour. Une voix dont j'ignorais tout, allant même jusqu'à son origine. Était-elle dans ma tête ? Était-ce un plaisantin qui ne trouvait rien de mieux à faire de ses journées que de perturber mon semblant de quiétude dans laquelle je me complaisais ? Je ne trouvai à ces deux questions aucune réponse jusqu'au jour, où finalement je décidais d'entamer la discussion et d'ouvrir un lien étroit avec ce parfait inconnu. « Je suis toi... » Voilà ce que j'obtins pour seule réponse.... Réponse qui soit dit en passant ne résolvait rien à ce grand mystère. Une voix qui parlait à l'intérieur d'une âme, voilà un concept qui me fit sourire, chose que je n'avais pas faite depuis des temps immémoriaux. Rien que pour ce mouvement tout aussi léger que bref des zygomatique, je lui en étais en mon fort intérieur bien reconnaissant, et c'est de cette façon que je décidais de prolonger le contact avec cet être dont j'ignorais tout ou presque. En réalité, j'en savais probablement plus sur lui que sur moi-même, quoi que même si j'avais du mal à l'admettre, nos conversations pseudo philosophiques sur notre façon respective de voir le monde, fit évoluer un tantinet ma propre personnalité, brisant peu à peu les barrières que je m'étais imposées. Là encore, je passais des années, poursuivant mon exil avec une conviction moins grande cependant. Je m'ouvrais un peu plus au monde qui m'entourait, me laissant déambuler dans les ruelles désertes ou bondées de mon lieu d'escale, en profitant même parfois de quelques boissons accoudé au bistro du coin. Celui avec qui je semblais partager ma conscience m'en apprit plus que je n'osais l'espérer sur cette étrange sensation que je ressentais depuis quelques temps, son histoire, et bien plus encore, son protocole. J'appris de ce fait, que toutes ces conversations étaient donc du au fruit pur et simple de mon imagination, résultat d'hallucinations provoquées par les premiers effets d'un soleil plus coriace que je n'aurai voulu l'admettre. Ainsi donc je trouvais là le moyen de parfaire un ennui que je croyais jusque là infini. Alliant d'un côté la possibilité d'étancher ma soif de souffrance et de pouvoir me délecter d'un pouvoir des plus intéressant, je passais désormais le plus clair de mon temps à me défaire de quelques charognes et autres faurbants du coin, analysant avec le plus grand intérêt ce sentiment que je trouvais pathétique au possible : l'agressivité et le fait de se considérer comme étant une terreur. Je retrouvais là un semblant de ma vie antérieure, aussi m'en éloignais-je tant que je pouvais, me retirant encore un peu plus dans mon ermitage. Du moins était-ce ce que je pensais il ya de cela quelques années encore... Et pour cause, un matin de printemps où la brise légère effleurait de sa douceur ma peau asséchée par le manque d'eau, un peloton de fier et braves soldat de la Marine frappait à ma porte et non des manières les plus agréables qu'il soit pour un réveil – considérez cependant que ce que je considère comme étant mon foyer n'est autre que la taverne locale, échouée sur une île dont j'ai même perdu le nom. Frappant à tue-tête sur la modeste porte en bois que j'avais bricolé en guise de dédommagement pour une bagarre fortuite, ils manquèrent de tout faire s'écrouler. La question étant : qu'avais-je donc fais pour mériter la présence de ce si nobles marines en ces lieux reclus ? Les cheveux en bataille, l'odeur environnante, de ma nuit passée et de mes bains plus qu'occasionnels, m'agressait d'autant plus que je n'étais qu'à moitié réveillé. Voilà donc maintenant que sous ordre du lieutenant qui commandait visiblement ce détachement, j'étais invité à sortir sans faire d'histoires, afin de subir un interrogatoire et d'être traîné devant le tribunal. Voilà donc que me levant tant bien que mal après m'être étiré de tout mon être, je trébuchais sur l'ombre du premier individu qui se dressait sur mon chemin, son sabre dégainé, la main encore tremblotante d'avoir face à lui un homme qui visiblement était sous-estimé. Je pouvais la palper, je ressentais sa présence.... et il ne me fallut que je peu de distraction pour pouvoir entamer mon plus fameux numéro. Un verra tomba sous le poids du coup de queue redoutable de Léon, le chat du patron, et alors captivés par la scène ménagère, ces quelques troufions furent bien vite rejoins par toute une flopée de matelots tous aussi armés et apeurés les uns que les autres. Et s'il y aie une chose que tout prédateur est tenu de savoir s'il veut survivre dans un monde en guerre perpétuelle, c'est qu'un insecte lorsqu'il se trouve en grand nombre et qu'il prêt à tout pour survivre, peut-être bien plus dangereux que le prédateur qui le menace lui-même. Aussi valait-il mieux suivre ces messieurs sans faire d'histoires. - Rends-toi tu ne peux résister à la Marine ! Et bien, et bien.... était-il vraiment nécessaire de s'emporter de la sorte ? Je n'avais nullement l'intention de leur nuire, et jusqu'à preuve du contraire, les agresseurs dans l'histoire, c'était eux. Ne cherchant pas plus à envenimer la situation, je tentais alors de coopérer... les suivant d'un pas lancinant et surtout dans l'espoir le plus vain de pouvoir me divertir de la manière de penser de ces fameux marines. Des homme sur-entraînés, préparés des années durant à faire face à la cruauté et la barbarie de quelques pirates sans foi ni loi. Des soldats... ni plu ni moins, pantins voués à l'exécution d'ordres qu'ils ne comprenaient même pas, jetant leur dévolu sur une bande de fous réclamant simplement la liberté et la richesse, deux éléments qui faisaient cruellement défaut dans le coin ces derniers temps.... Chapitre troisième – Procès Le trajet qui me mena jusqu'à l'intérieur de cette cité que j'avais fuis depuis mon arrivée à Marine Ford me parut interminable. La brise marine de cette journée de printemps me procurait une sensation des plus agréables. Voilà sans doute l'une des raisons qui me mènera quelques heures plus tard à rejoindre les courants violents et la mer déchaînée de Grand Line sous la bannière de mes ravisseurs d'un instant. Aucune parole ne fut échangée, et retenu par un nœud marin réputé solide, je n'avais d'autres choix que de subir la monotonie de ma pénitence. Telle une bête de foire, je traversais ces immenses ruelles pavées, jonchées ça et là de quartiers frappés du numéro de la division correspondante. Fasciné par le spectacle qui s'offrait à moi, malgré ma condition de prisonnier, je ne vis pas le temps passer à l'intérieur du monument, colossal édifice forgé de la main de l'homme ; première merveille qui avait finalement su retenir mon attention ainsi qu'une certaine estime que je n'avais pas ressentis pour quelqu'un depuis un bout de temps. Où m'emmenaient-ils ? Je n'en n'avais pas la moindre idée, mais la réponse à la question ne tarda pas à se faire connaître. Cour pénale de la base marine... De ce que j'avais cru comprendre de nos interminables conversations intérieures avec cette voix, cause de tous mes ennuis, c'était le haut lieu de commandement de la Marine, un peu à la manière d'un tribunal. L'intérieur de cet amphithéâtre était à la manière de son gigantisme, obscur et effrayant. Pas la moindre façon de connaître le visage de mes juges, dissimulés derrière un panneau de bambou frappé de leur numéro respectif. Je me voyais déjà vidé de tout espoir de ressortir d'ici en homme libre, et à la fois pressé de savoir si il me serait enfin permis de mettre un terme à cette existence pittoresque. Il n'y avait rien, rien que des murmures à peine audibles et ma sentence qui tombait déjà sans que je n'eus à expliquer le motif de ma présence même sur les eaux de Grand Line. Aucune défense ne semblait m'être permise, je n'avais visiblement pas mon mot à dire, et c'est de ces derniers mots que mon insignifiant exil prit fin, me donnant enfin l'opportunité de pouvoir donner un sens à ma vie ici bas. - En raison de votre exceptionnelle mais néanmoins mystérieuse capacité à vous impliquer dan les bagarres les plus violentes de ces quelques derniers mois et du danger que vous pourriez représenter pour la Marine si vous veniez à rejoindre un quelconque pavillon pirate et des nombreux faits de violence perpétrés envers divers individus de tous bord dans les environs, il vous ai permis d'intégrer l'académie de la Marine, prémisse d'une incorporation potentielle au sein de l'armée où une vie d'aventure et de violence vous attend. Vous y aurez la possibilité de mettre à dispositions vos incroyables talents ainsi que de laisser libre court à... une imagination avérée dans le domaine du combat, dont vous semblez sans nul doute faire preuve. Sous peine de refus, vous serez incarcérer à la prison d'Etat d'Impel Down où vous y purgerez une peine de détention de cinq années pour les seuls bagarres dont vous avez été formellement identifié. Surprise... Telle était ma réaction à la prononciation de ce verdict incongru. Non pas que la proposition en elle même soit fracassante, mais je m'attendais plus à une exécution ou ce genre de chose sans grand intérêt. Ne me restait plus qu'à prendre le temps d'analyser l'offre qui m'était faite. Je trouvais autant de points négatifs dans l'acceptation que dans le refus, ne me voyant ni enfermé à vie, condamné à l'ennuie éternel, ni combattre pour une cause dont je me contrefichais au plus haut point. Cependant, je voyais dan l'offre qui m'était faite l'opportunité de pouvoir être mêler à ces gens qui me fascinaient néanmoins et ainsi de tuer le temps, en les observant s'agiter pour une guerre futile. Dans ces cas là, il ne me restait plus qu'à choisir la solution la moins pire, et c'est ainsi que dans un ton taciturne, je m'engageais à servir la Marine bien qu'au fond de moi, mes desseins furent tout autre en cet instant précis. Un pouvoir exceptionnel hum ? Conneries... Mais qu'il en soit ainsi, j'intégrais donc l'académie militaire, où j'en sortis deux ans plus tard, renforcé et changé. Fort de nombreuses tactiques militaires et autres formes de combat en tout genre, incluant le maniement d'armes à feu que je me défendais d'utiliser, j'avais également retrouver goût à la vie. Le combat devenait ma seule raison de vivre, un moment privilégié où seul le regard et le comportement de mon adversaire importait, me rappelant chaque fois un peu plus ce lézard qui avait causé ma chute, celui grâce à qui aujourd'hui, je n'éprouvais aucun sentiment de compassion quel qu'il soit, exécutant le travail que l'on me donnait sans le moindre scrupule. >> Test RP Le Test rp est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation. Faire un test rp avant l'intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas. |
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Caractère : Ma fois j'essaye d'être sympathique, mais quand ya un truc qui me gonfle, j'le dis quoi.
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Dernière édition par Zao le Fourbe le Lun 23 Mai 2011 - 17:32, édité 2 fois