Jerami THOMPSON
• Pseudonyme : Je ne m'en connais aucun.
• Age : 19 ans.
• Sexe : Homme.
• Race : Humain long bras.
• Métier : Artificer, architecte.
• Groupe : Civil.
• Age : 19 ans.
• Sexe : Homme.
• Race : Humain long bras.
• Métier : Artificer, architecte.
• Groupe : Civil.
• But : Devenir influent, obtenir la prime du pirate Olek.
• Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Connaissance en explosifs, et armes à feu en général.
• Équipement : Des explosifs en tout genre.
• Codes du règlement :
• Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Connaissance en explosifs, et armes à feu en général.
• Équipement : Des explosifs en tout genre.
• Codes du règlement :
Description Physique
Regardez le celui la, avec ses cheveux en bataille, incapable de les peigner. Ils sont tellement gras et sâles, tu pourrais au moins les laver ! Mais non, il n'en fait qu'à sa tête. Sa peau mate est brillante, pourtant il a l'air si sâle. Ses sourcils et ses longs cils recourbés sont recouverts de poussières. Pourtant, il a les yeux grands ouverts. Ses énormes yeux verts, ils ont l'air rempli de... de bêtise, c'est le mot. Son énorme nez ressemble à une patate écrasée, ses narines gonflent lorsqu'il respire et il n'arrête de morde ses grosses lèvres. Enfile ton masque, c'est mieux pour cacher tout ça. Surtout l'énorme cicatrice qui lui traverse le visage. Sans compter les dizaines d'entailles qu'il a partout sur la face.
Il plie son bras, immensément long, pour porter son masque orange à son visage. Lui, le mec sale incapable de tenir deux secondes sans se ronger les ongles ou se mordiller les lèvres, c'est moi. Jerami Thompson. Observez mes longs bras, mes deux coudes ! J'aurais voulu avoir la volonté de me muscler un peu, parce que mes bras ressemblent à des ficellos... Ils sont tout fins, comme le reste de mon corps d'ailleurs. Vous pouvez voir mes côtes à travers ma peau, mes hanches aussi. J'enfile mon petit sweatshirt bleu pour camoufler tout ça, mon caleçon, et mon jogging. Il est un peu trop court, mais peu importe, mes chaussettes sont assez longues. Et me voila parti pour le travail.
J'ai le dos un peu courbé, on me fait souvent la remarque, mais j'y peux rien, même quand j'essaie de me tenir droit, je n'y arrive pas. On me dit que c'est à cause de ma grande taille, deux mètres trois tout de même. Et puis avec le temps, je m'y suis habitué, au maux de dos le matin au réveil.
Il plie son bras, immensément long, pour porter son masque orange à son visage. Lui, le mec sale incapable de tenir deux secondes sans se ronger les ongles ou se mordiller les lèvres, c'est moi. Jerami Thompson. Observez mes longs bras, mes deux coudes ! J'aurais voulu avoir la volonté de me muscler un peu, parce que mes bras ressemblent à des ficellos... Ils sont tout fins, comme le reste de mon corps d'ailleurs. Vous pouvez voir mes côtes à travers ma peau, mes hanches aussi. J'enfile mon petit sweatshirt bleu pour camoufler tout ça, mon caleçon, et mon jogging. Il est un peu trop court, mais peu importe, mes chaussettes sont assez longues. Et me voila parti pour le travail.
J'ai le dos un peu courbé, on me fait souvent la remarque, mais j'y peux rien, même quand j'essaie de me tenir droit, je n'y arrive pas. On me dit que c'est à cause de ma grande taille, deux mètres trois tout de même. Et puis avec le temps, je m'y suis habitué, au maux de dos le matin au réveil.
Description Psychologique
On dit souvent de moi que je suis pessimiste. Moi je dirais plutôt que je suis réaliste. J'ai pas d'autres choix quand je vois ce que j'ai accompli jusque là... J'ai peut être rien fait de ma vie parce que je suis flemmard, c'est une hypothèse, ou parce que je suis vite dégouté des hommes. L'homme avec un grand H. Tout ce que j'ai entrepris a capoté, parfois à cause de moi, mais la plupart du temps à cause d'un salaud qui voulait se faire de l'argent sur mon dos. L'argent... Je les critique, mais moi aussi je suis avare et je ne vis que pour l'argent. Au fil du temps, on comprend l'importance de l'argent dans ce monde, surtout lorsque l'on en possède peu. Les idiots qui disent que l'argent ne fait pas le bonheur devraient venir faire un tour à Las Camp. Ce n'est pas la loi du plus fort ici, c'est la loi du plus riche. Moi, je voulais juste mener ma petite vie tranquille, mais on m'a trop souvent rabaissé, insulté, dupé parce que j'étais trop gentil. On n'est jamais mieux servi que par soi même, je n'y croyais pas à ce dicton. Il suffit de bien s'entourer et tout se passe pour le mieux. En réalité, il ne faut faire confiance à personne. Antisocial, sociopathe, il y a pleins de mots qui pourraient me qualifier. Mais pourquoi s'en tenir à un seul ?
Je ne veux pas être Jerami le sans ami, ou Jerami le chasseur de prime. Je suis un homme, chasseur de prime oui, pas très amical oui, mais aussi très curieux. J'aime m'instruire, apprendre et lire. Je suis aussi égoïste, oui je ne pense qu'à ma gueule, mais ça me réussit pour l'instant. Un peu peureux, ou plutôt, prudent. Je n'aime pas prendre de risques inconsidérés, de risques tout court en fait. J'aime qu'un plan se déroule sans accro, mais à côté de ça, je déteste la monotonie. Oui c'est un peu contradictoire, mais j'aime être surpris, quand ça ne concerne pas le travail en tout cas. C'est pour cela que le métier de chasseur de prime me convenait parfaitement, les personnes à traquer sont toutes différentes les unes des autres, il n'y a pas une seule et unique méthode de les appréhender, mais lorsque je chasse quelqu'un, je m'applique, je prévois tout dans les moindres détails.
Mais bon, si je devais vraiment me décrire en un mot, je dirais que je suis machiavélique, car je suis prêt à tout pour arriver à mes fins, le mensonge, la manipulation et éventuellement le meurtre. Je ne me cache pas derrière des excuses bidons, je fais toujours ce qui doit être fait.
Je ne veux pas être Jerami le sans ami, ou Jerami le chasseur de prime. Je suis un homme, chasseur de prime oui, pas très amical oui, mais aussi très curieux. J'aime m'instruire, apprendre et lire. Je suis aussi égoïste, oui je ne pense qu'à ma gueule, mais ça me réussit pour l'instant. Un peu peureux, ou plutôt, prudent. Je n'aime pas prendre de risques inconsidérés, de risques tout court en fait. J'aime qu'un plan se déroule sans accro, mais à côté de ça, je déteste la monotonie. Oui c'est un peu contradictoire, mais j'aime être surpris, quand ça ne concerne pas le travail en tout cas. C'est pour cela que le métier de chasseur de prime me convenait parfaitement, les personnes à traquer sont toutes différentes les unes des autres, il n'y a pas une seule et unique méthode de les appréhender, mais lorsque je chasse quelqu'un, je m'applique, je prévois tout dans les moindres détails.
Mais bon, si je devais vraiment me décrire en un mot, je dirais que je suis machiavélique, car je suis prêt à tout pour arriver à mes fins, le mensonge, la manipulation et éventuellement le meurtre. Je ne me cache pas derrière des excuses bidons, je fais toujours ce qui doit être fait.
Biographie
Toute ma vie je l'ai passée à Las Camp. Cette île ravagée par la corruption et les organisations criminelles. Je suis né en 1607, dans un une maison close. Ma mère était une prostituée et je ne crois pas que j'étais un enfant désiré. Je suis un accident, un manque de précaution... Aidée par ses "collègues", elle m'a élevé du mieux qu'elle a pu. Elle a toujours essayé de me tenir à l'écart de ses activités, mais au bout d'un certain temps, je l'ai compris. En voyant les hommes défiler, les cris la nuit, et la Matrone Sinhg Yin Fu qui passait récupérer la recette du jour.
Dit comme ça, on a l'impression que c'était l'enfer, mais en réalité je n'avais pas à me plaindre. J'allais à l'école la journée et je me faisais un peu d'argent en travaillant pour les vendeurs de drogue du Lotus Pourpre. Rien de bien exceptionnel, livrer des messages, parfois des sachets qu'il ne fallait pas ouvrir. Je ne risquais rien, j'étais mineur et de toutes façons, les marins n'ont jamais réussi à m'attraper. On connaissait tous les petits raccourcis pour échapper aux forces de l'ordre, et il y avait toujours quelqu'un qui acceptait de nous cacher contre quelques berrys. Nous, c'est les "petits oiseaux". Tous des enfants, ils fallait qu'on soit petits, discrets et agiles. On ne posait pas de questions, on faisait le travail qu'on nous demandait de faire, et on gagnait un peu d'argent. Nous n'étions pas spécialement affilié à un gang ou à une organisation, c'était le principal avantage pour eux de nous avoir, mais aussi un inconvénient. Lorsqu'un oiseau volait quelque chose ou disparaissait sans prévenir avec une grosse quantité de produits illicites, tout le monde prenait pour lui. On nous traquait, on nous torturait pour obtenir des informations.
A l'âge de 13 ans, j'ai arrêté d'aller à l'école pour trouver un travail. Ma mère n'était plus en mesure d'exercer ses activités, et elle n'arrivait pas à trouver d'emploi. J'ai réussi à être embauché au Tonton Flingueur, un bar de l'île fréquenté par les membres de la pègre. J'étais un peu l'homme à tout faire, barman un jour, agent d'entretient un autre, serveur le lendemain... C'était fatiguant mais très bien payé, car plus que nos services, c'était notre silence que l'on achetait. Nous entendions et voyions des choses que personne n'était censé voir, tant qu'il n'y avait pas de fuites, on était récompensés. Il faut aussi savoir que les gérants du bar avaient les coordonnées des membres de notre famille, de nos amis, de nos proches, en plus de l'argent, c'était pour les maintenir en sécurité que nous nous taisions.
Les problèmes ont commencés avec l'arrivée de Mogaba, ce salaud. On savait qu'il était corrompu, mais il était beaucoup trop impliqué dans les affaires louches de l'îles pour un marine. Un jour il m'a arrêté, moi et tous les employés du bar, pour rendre service à un de ses amis qui avait des comptes à régler avec le gérant. Pendant trois mois, il nous a maintenu enfermés ! Et notre sortie ne s'est pas déroulée de manière conventionnelle. Il a fallu qu'un groupe de terroriste appelé les Niveleurs fasse sauter le batiment de la marine dans lequel nous étions enfermés pour que nous puissions sortir. Heureusement pour nous, notre arrestation était totalement injustifiée et elle n'avait donc pas été notifiée officiellement. Nous n'étions pas recherchés, c'est déjà ça. Le problème était que pendant notre incarcération, Mogaba avait fait croire que nous avions divulgué des informations sur les affaires qui se déroulaient au Tonton Flingueur, encore une fois pour aider son ami... La marine ne nous recherchait pas, mais la plupart des truands de l'île, si. J'ai donc décidé de rejoindre les Niveleurs dans leur combat contre le Gouvernement Mondial. Je ne partageais pas vraiment leurs idéaux, mais je voulais rester en vie. Ca a duré un bout de temps.
Mais en 1625, je n'ai pas voulu suivre Nivel lorsqu'il a combattu Mogaba. C'était beaucoup trop risqué, il allait forcément y perdre quelque chose. Il y a perdu sa liberté, puisqu'il s'est retrouvé enfermé dans le Ponton. Je me suis donc retrouvé seul à nouveau, mais je n'étais plus recherché, on m'avait oublié pendant toutes ces années que j'avais passées avec les Niveleurs.
Il fallait que je trouve un nouveau gagne-pain, et après les événements de 1625, j'ai trouvé le boulot parfait. Chasseur de primes ! Certaines primes avaient doublé, voire triplé, les criminels en fuite étaient nombreux. J'ai sauté sur l'occasion et j'ai utilisé le peu d'argent que j'avais pour acheter ma licence. Je me suis endetté, mais cela a porté ses fruits.
Ca aurait pu être la fin, j'aurais trouvé une femme, on aurait des enfants et on aurait vécu heureux jusqu'à notre mort... Mais comme si j'en avais pas encore assez bavé, il a fallu que je me retrouve défiguré. Comment ? Je n'en ai aucune idée, je marchais dans la rue, et soudain tout s'est effondré. Non mais vraiment, la rue s'est vraiment effondrée sur elle même, les batiments, les gens... J'ai juste senti le sol se dérober sous mes pieds. Tout ce dont je me souviens c'est de m'être réveillé à l'hopital, le visage couvert de bandages. J'avais de la chance d'être en vie d'après les médecins, j'avais perdu beaucoup de sang.
J'ai du faire de la rééducation, pour solliciter les muscles de mon visages qui avaient été touchés. Je suis devenu un monstre, je dois constamment porter un masque pour ne pas effrayer les gens dans la rue. Pour l'instant je ne peux pas traquer de primés à cause de mes blessures, ma licence de chasseur de primes m'a été retirée. Je ne compte pas rester dans l'ombre pour autant, j'ai de grandes ambitions, et c'est le moment parfait pour les concrétiser.
Dit comme ça, on a l'impression que c'était l'enfer, mais en réalité je n'avais pas à me plaindre. J'allais à l'école la journée et je me faisais un peu d'argent en travaillant pour les vendeurs de drogue du Lotus Pourpre. Rien de bien exceptionnel, livrer des messages, parfois des sachets qu'il ne fallait pas ouvrir. Je ne risquais rien, j'étais mineur et de toutes façons, les marins n'ont jamais réussi à m'attraper. On connaissait tous les petits raccourcis pour échapper aux forces de l'ordre, et il y avait toujours quelqu'un qui acceptait de nous cacher contre quelques berrys. Nous, c'est les "petits oiseaux". Tous des enfants, ils fallait qu'on soit petits, discrets et agiles. On ne posait pas de questions, on faisait le travail qu'on nous demandait de faire, et on gagnait un peu d'argent. Nous n'étions pas spécialement affilié à un gang ou à une organisation, c'était le principal avantage pour eux de nous avoir, mais aussi un inconvénient. Lorsqu'un oiseau volait quelque chose ou disparaissait sans prévenir avec une grosse quantité de produits illicites, tout le monde prenait pour lui. On nous traquait, on nous torturait pour obtenir des informations.
A l'âge de 13 ans, j'ai arrêté d'aller à l'école pour trouver un travail. Ma mère n'était plus en mesure d'exercer ses activités, et elle n'arrivait pas à trouver d'emploi. J'ai réussi à être embauché au Tonton Flingueur, un bar de l'île fréquenté par les membres de la pègre. J'étais un peu l'homme à tout faire, barman un jour, agent d'entretient un autre, serveur le lendemain... C'était fatiguant mais très bien payé, car plus que nos services, c'était notre silence que l'on achetait. Nous entendions et voyions des choses que personne n'était censé voir, tant qu'il n'y avait pas de fuites, on était récompensés. Il faut aussi savoir que les gérants du bar avaient les coordonnées des membres de notre famille, de nos amis, de nos proches, en plus de l'argent, c'était pour les maintenir en sécurité que nous nous taisions.
Les problèmes ont commencés avec l'arrivée de Mogaba, ce salaud. On savait qu'il était corrompu, mais il était beaucoup trop impliqué dans les affaires louches de l'îles pour un marine. Un jour il m'a arrêté, moi et tous les employés du bar, pour rendre service à un de ses amis qui avait des comptes à régler avec le gérant. Pendant trois mois, il nous a maintenu enfermés ! Et notre sortie ne s'est pas déroulée de manière conventionnelle. Il a fallu qu'un groupe de terroriste appelé les Niveleurs fasse sauter le batiment de la marine dans lequel nous étions enfermés pour que nous puissions sortir. Heureusement pour nous, notre arrestation était totalement injustifiée et elle n'avait donc pas été notifiée officiellement. Nous n'étions pas recherchés, c'est déjà ça. Le problème était que pendant notre incarcération, Mogaba avait fait croire que nous avions divulgué des informations sur les affaires qui se déroulaient au Tonton Flingueur, encore une fois pour aider son ami... La marine ne nous recherchait pas, mais la plupart des truands de l'île, si. J'ai donc décidé de rejoindre les Niveleurs dans leur combat contre le Gouvernement Mondial. Je ne partageais pas vraiment leurs idéaux, mais je voulais rester en vie. Ca a duré un bout de temps.
Mais en 1625, je n'ai pas voulu suivre Nivel lorsqu'il a combattu Mogaba. C'était beaucoup trop risqué, il allait forcément y perdre quelque chose. Il y a perdu sa liberté, puisqu'il s'est retrouvé enfermé dans le Ponton. Je me suis donc retrouvé seul à nouveau, mais je n'étais plus recherché, on m'avait oublié pendant toutes ces années que j'avais passées avec les Niveleurs.
Il fallait que je trouve un nouveau gagne-pain, et après les événements de 1625, j'ai trouvé le boulot parfait. Chasseur de primes ! Certaines primes avaient doublé, voire triplé, les criminels en fuite étaient nombreux. J'ai sauté sur l'occasion et j'ai utilisé le peu d'argent que j'avais pour acheter ma licence. Je me suis endetté, mais cela a porté ses fruits.
Ca aurait pu être la fin, j'aurais trouvé une femme, on aurait des enfants et on aurait vécu heureux jusqu'à notre mort... Mais comme si j'en avais pas encore assez bavé, il a fallu que je me retrouve défiguré. Comment ? Je n'en ai aucune idée, je marchais dans la rue, et soudain tout s'est effondré. Non mais vraiment, la rue s'est vraiment effondrée sur elle même, les batiments, les gens... J'ai juste senti le sol se dérober sous mes pieds. Tout ce dont je me souviens c'est de m'être réveillé à l'hopital, le visage couvert de bandages. J'avais de la chance d'être en vie d'après les médecins, j'avais perdu beaucoup de sang.
J'ai du faire de la rééducation, pour solliciter les muscles de mon visages qui avaient été touchés. Je suis devenu un monstre, je dois constamment porter un masque pour ne pas effrayer les gens dans la rue. Pour l'instant je ne peux pas traquer de primés à cause de mes blessures, ma licence de chasseur de primes m'a été retirée. Je ne compte pas rester dans l'ombre pour autant, j'ai de grandes ambitions, et c'est le moment parfait pour les concrétiser.
Informations IRL
• Age : 18 ans.
• Personnage préféré de One Piece : Sanji.
• Fait du RP depuis : Première expérience de RP.
• Disponibilité approximative : Vu que je suis en vacances, 24/24 ^^ Mais en temps normal, ça serait surtout le soir dans la semaine.
• Comment avez-vous connu le forum ? Plusieurs topsites
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Dernière édition par Jerami Thompson le Lun 16 Mai 2016 - 14:42, édité 12 fois