Balthazar S. Rosenblack

Part ou commencer ? Le physique de balthazar a évolué directement par son métier depuis son enfance. Depuis qu'il est en âge de réfléchir et de faire de petites tâches, son corps a travaillé dur, il a enduré les efforts physiques importants qu'on lui demandait. Son père adoptif a de quoi être reconnaissant envers notre jeune homme, sans lui, il n'aurait pas pu vivre de sa passion plus longtemps qu'il n'aurait dû.

Vous l'aurez compris, Balthazar a une silhouette athlétique et un corps entretenu. Le dessin de ses muscles sont clairement visibles presque sur la totalité de son corps. Ils ne sont pas trop voyant non plus. Mais sa musculature détermine très bien que ce sont les années qui les ont forgé et non une simple envie. Sa poigne est forte, à force de tenir le marteau pour donner forme à l'acier sur son enclume, il ne lâche pas si facilement quelque chose. Ses épaules sont plutôt larges, elles ont souvent supporté le poids de son père adoptif un peu trop âgé pour le métier.

Il possède presque un visage d'ange. Son nez est pointu et les traits de son visage sont fins. Cependant, sa petite tête d'enfant sage ne l'est plus lorsque l'on plonge son regard dans le sien. Balthazar a les yeux si rouge que cela en surprend plus d'un. Certaines personnes lui avaient même donné le surnom « œil du démon » car parfois, notre jeune ami est capable de lancer des regards qui émettent parfaitement bien ses intentions lorsqu'il se trouve en colère. Mais cette couleur est d'autant plus magnifique avec ses cheveux dorés qu'il tire généralement en arrière avec deux-trois mèches qui se rebellent sur son front. Mais ceux-ci retombent bien vite lorsqu'il pleut ou qu'ils sont humides.

Notre ami Balthazar porte de nombreuses brûlures sur le corps, surtout au niveau du torse. Elles sont dues aux nombreux accidents de son apprentissage. Certaines de ces brûlures pourraient presque faire croire qu'il a été marqué au fer dans sa jeunesse. Heureusement, aujourd'hui il ne souffre plus de ses blessures.

Niveau vestimentaire, il est rare de trouver une autre couleur que le jaune or sur ses vêtements. Il porte cette couleur, car Balthazar adore l'or. Pas pour sa valeur, mais pour sa couleur et sa pureté. Mais comme lot de consolation, notre blond porte deux anneaux doré au bras gauche et une boucle d'oreille à chaque oreille. Ces bijoux sont pour lui très précieux, ayant une valeur plutôt sentimental. Il portera en général des vêtements légers qui ne l'encombreront pas.

Balthazar n'est pas un jeune homme difficile à comprendre. Du moins, c'est de son avis personnel. Une chose est certaine, c'est qu'il se montre très serviable auprès des personnes qu'il apprécie. Et cette qualité n'est déjà plus à prouver, son père adoptif peut en témoigner et même dire qu'il l'est peut-être trop parfois. Mais envers ceux qu'il n'aime pas, il n'est pas question d'offrir ne serait-ce même de l'eau, ce besoin vitale que tout homme a besoin. Alors, une chose est sûre, si on est dans le pétrin, mieux vaut l'avoir dans sa poche.
Balthazar n'oublie jamais. Autant dire qu'il sait être redevable lorsque quelqu'un le sort d'un pétrin. En général, il ne se fait pas trop attendre afin de se débarrasser de sa dette. Notre jeune homme est ainsi. Par contre, ne faites rien de mauvais à son égard, il s'en rappellera et prendra le temps qu'il faudra pour vous rendre le double de la monnaie de votre pièce. Dites-vous simplement que c'est de bonne guerre dans ce cas.


Notre jeune ami est quelqu'un qui réfléchit beaucoup et qui cherche souvent à savoir seul certaines choses. C'est pourquoi parfois il est comme absent, essayant de construire un puzzle dans sa tête et de le finir. C'est aussi un moyen de feinter l'ennuie.

Le blond ne se laissera pas manipuler si facilement non plus. Le chantage ne marche généralement pas et il le fera bien comprendre. Celui qui arrivera le piéger...sachez que notre forgeron se vengera même si cela serait quelques années plus tard.

Balthazar est plutôt facile à vivre, il ne cherche d'habitude pas les embrouilles et s'il y a un problème, il ne le fuit pas, cherchant tout d'abord à discuter d'un compromis. Si celui-ci ne peut pas se régler autrement que par les poings...et bien soit. Sachez seulement que tuer n'est pas dans ses habitudes. Il a certes choisi la voie de la piraterie, mais il ne souhaite pas se salir les mains comme certains.

Il s'est donné un but dans la vie et compte bien le réaliser. Bal' ne laissera personne l'en empêcher. Espérons juste que la mer ne le changera pas.  

Cela fait déjà 23 ans que Balthazar a été adopté par ce forgeron, ayant le cœur sur la main. Rien ne l'obligeait de sauver le bébé que notre jeune homme était et de le laisser à la dérive, au sort de la mer.

Oui, Balthazar se trouvait sur une barque abandonnée non loin de la côte de l'île. Personne ne sait comment cette barque était arrivée là. Il n'y avait aucun bateau à l'horizon et ça faisait plusieurs jours qu'aucun ne s'était arrêté pour se ravitailler sur l'île. Peut-être que la chance veillait sur ce garçon. A cette époque de l'année, la mer était plutôt calme dans cette région.

Malgré que ce forgeron ne soit plus tout jeune, il s'était lancé à l'eau afin de récupérer la barque. Lui-même fut surpris en y découvrant le bébé. Mais il semblerait que des rames avaient été soigneusement posé afin de rejoindre un rivage si quelqu'un montait à bord. Cependant, personne ne semblait vouloir recueillir cet enfant dans le village. Alors, le forgeron le prit à sa charge.

Une lettre accompagnait Balthazar. Celle-ci portait un sceau pour la sceller, avec la lettre S. Ce n'était qu'une lettre d'excuse, sûrement destiner à notre jeune blond une fois plus grand. Mais notre sauveur, l'ayant prit à sa charge décida de brûler la lettre dans un des feux de sa forge, jugeant inutile que ce jeune garçon sache des choses qu'il devrait ignorer...car des détails sensibles étaient sur ce papier. Ainsi, ce secret restera dans les abysses de l'ignorance.

Ce forgeron se nommait Jack Rosenblack. Il garda le prénom de Balthazar de la lettre, jugeant que ce serait sûrement le seul héritage qu'il aurait de ses vrais parents. Il lui donna également la lettre S de la lettre et lui donna ensuite son nom puisqu'il l'adopta. Il faut noter que Jack ne dévoilera jamais la signification de la lettre S. Il refuse strictement d'en parler, n'hésitant pas une seule seconde de faire comprendre à son fils adoptif qu'il l'ignora toujours.

Cependant, Jack n'était plus très jeune. Sa condition physique était limité. La vieillesse le rattrapait. Mais il se jura de se démener pour l'enfant Balthazar.

En grandissant, Balthazar aidait Jack en l’assistant dans son métier de forgeron. Jack lui transmit par la même occasion son savoir et sa passion. Étant assez stricte, Jack tenait à ce que notre jeune homme ait un minimum d'avenir. Avoir un métier en faisait partie.

Ce métier n'est cependant pas sans danger. Parfois, Jack se bloquait le dos en travaillant à cause de son âge. C'est dans ces moments-là que Balthazar faisait preuve de maturité contrairement aux autres jeunes du village. Il se démenait pour essayer de dépanner Jack en faisait le travail à sa place. Le vieux forgeron ne coulait pas sous la fortune, un retard pouvait simplement être un revenu de moins. Surtout que l'île n'étant pas bien grande, il n'y avait pas de client à volonté. La plus grande majorité des clients étaient des pirates.

Quelques années plus tard, Jack tomba gravement malade. Balthazar assurait alors les commandes à sa place afin de payer les factures du médecin. Le médecin avait d'ailleurs une fille du même âge que Bal'. Lorsque notre jeune homme se blessait à la forge ayant toujours la maladresse de la jeunesse entre les mains, c'était Alicia, la fille du médecin qui soignait ses blessures pour ne pas avoir de frais supplémentaires. Bien entendu, le père de la jeune fille n'approuvait guère cette relation.

Balthazar avait alors l'impression que les factures augmentaient à cause de ça. Mais que pouvait-il bien faire ? Il était encore jeune et n'avait pas vraiment le caractère pour s'opposer à ce genre de choses. Cependant, Alicia commença à lui procurer des médicaments pour Jack, connaissant la situation. Mais cette manigance ne dura pas très longtemps. Le père d'Alicia faisait régulièrement les comptes de son commerce et de ses stocks. Il s'aperçut qu'il en manquait.

Furieux, il vint à la forge pendant que Balthazar travaillait. Alicia était dans une pièce voisine, soignant le vieux Jack. Le père d'Alicia menaçait alors le blond de le dénoncer pour vole et escroquerie alors que ça ne venait pas de lui. Mais Balthazar ne se laissa pas faire cette fois-ci, lui aussi était en colère contre le prix des médicaments et le ton montait entre les deux hommes. Le médecin porta alors ses mains sur Bal' et s'armant d'un bout d'acier qui trempait dans le feu, il brûlait notre jeune ami au niveau du torse, qui lui laisseront des cicatrices plus tard. Le jeune homme hurlait de douleur. Une brûlure n'était jamais agréable, surtout à cette température. C'était comme se faire marquer au fer.

Alerter par les cris, Alicia accourut. C'est sûrement ce qui arrêta le médecin dans son élan. Son père s'en alla sans dire un mot, rattraper par la honte de son geste sûrement. Jack avait réussi à se lever pour constater les dégâts. Heureusement que ce vieux était solide, il avait reprit du poil de la bête depuis quelques jours. Jack conseilla à Alicia de rentrer chez elle, ce qu'elle fit.

La relation entre Balthazar et Alicia se fragilisa à un tel point qu'ils ne se verraient plus. La jeune fille était choquée par l'acte de son père et Balthazar ne voulait pas que la situation empire. Mais c'était des choix fait à contrecoeur.

Jack donnait énormément de travail à son fils adoptif pour qu'il arrête de penser à cette histoire. Le vieux forgeron montrait sa bienveillance de cette façon même si on pouvait le voir autrement. Mais c'était une excellente méthode.

Un jour Jack l'envoya chercher de la marchandise au port du village. Le vieux forgeron n'était plus en état d'aller les chercher. Balthazar aimait descendre au village, il était souvent animé par les commerces, le bar était souvent festif...Au moins les villageois savaient vivre sans se soucier des problèmes d'outre-mer. Bal' était également apprécié des villageois même s'il n'était pas originaire de l'île.

Sur le chemin du retour, il aperçut Alicia au loin en compagnie d'un autre homme. Bien que ce soit difficile à accepter, c'était peut-être mieux ainsi. Mais en rentrant, Jack fit bien vite disparaître cette image de son esprit en lui expliquant le projet de ce ravitaillement. Faire deux belles lames pour un noble en visite ici, en cadeau. Tout le village devait en faire de même...Balthazar ne comprenait pas pourquoi ils devaient faire tout ce travail pour ce genre de personne...

Le jour de l'arrivée du noble, Jack chargea Balthazar d'amener ce cadeau. Arrivant au village, tout le monde était la, au port pour accueillir ce bon monsieur. Les cadeaux devaient être posés à côté du port, là ou son navire devait accoster. Le noble descendit du bateau en analysant les offres. Il refusa tous les cadeaux, crachant sur les villageois. Comment pouvait-on être aussi hautain ? Alors que Balthazar allait s'adresser à lui, le barman du village le retenu, lui conseillant de ne rien faire. Bal' eut ce jour la un aperçut du genre de personne qu'il pouvait y avoir au-delà de son île.

De retour à la forge avec le cadeau, racontant à Jack ce qui s'était passé, le vieux forgeron lui expliqua qu'il s'attendait à ce résultat et qu'avec un noble c'était toujours ainsi, du moins, la plupart du temps. Il lui expliqua par la suite qu'avec ce travail, il pouvait affirmer que Bal' était un bon forgeron. Jack offrit ensuite les deux lames comme par tradition pour dire qu'il n'était plus en formation. Le vieux forgeron lui conseilla même d'aller apprendre à s'en servir chez un vieille ami au village. Conseil qu'il suivit, lui ayant dit que s'il voulait encore s'améliorer, il fallait que le forgeron saches comment utiliser une arme.

Mais Balthazar avait quand même un rêve. Jack lui avait dit que ce n'était pas en restant sur cette île qu'il allait le réaliser. Un groupe de pirate était venu réparer leurs armes. Jack encouragea Balthazar à partir de l'île avec eux. Il décidera alors de s'en aller. Sur le chemin, il croisa Alicia qui lui fit faire une promesse qu'il ne tiendra certainement jamais. C'était de revenir un jour. Balthazar ne savait pas ce qui l'attendait à vrai dire. Mais l'inconnu ne lui faisait pas peur.

C'est ainsi que l'aventure commença.

Balthazar était sur le navire qu'il avait pris pour quitter son île. Comme à son habitude, il se tournait dans la direction ou se trouvait ce bout de terre où il avait grandi, ne cessant de se questionner. Avait-il bien fait ? Ou devait-il arrêter et revenir en arrière ? Non ce choix n'était plus possible pour lui. Il voulait aller au bout de ce qu'il entreprenait.

Il se remémorait tout de même sa séparation avec son père, se rappelant ses dernières paroles.

Lorsque les pirates étaient dans la forge pour récupérer leurs armes et payer la facture, Balthazar traînait dans le grenier de son père adoptif qui lui avait toujours caché son passé. Ce n'était pas la première fois qu'il y mettait les pieds, mais cette fois-ci, en cherchant quelque chose que le vieux forgeron lui avait demandé, il tomba sur des affaires qu'il n'avait jusque là jamais vu, cachées par d'autres affaires.

Il y avait un journal. En l'ouvrant et en lisant quelques lignes, il comprit qu'il appartenait à Jack...et qu'il avait été pirate dans sa jeunesse. Il ferma le bouquin poussiéreux après avoir fait cette découverte et retourna vers son père adoptif et s'adressa à lui alors que les pirates étaient encore la.

-Qu'est-ce que c'est papa ?!

Le vieille homme regarda le bouquin et lâcha un soupire. Lui qui avait caché son passé à Balthazar se retrouvait un peu piégé maintenant que le jeune homme avait trouvé ce livre. Toute sa vie était pour ainsi dire écrite.

-Tu l'as finalement trouvé...

Il marchait alors en faisant signe à Balthazar de le suivre, histoire d'être un petit peu plus dans une sphère privée familiale sans que les pirates puissent entendre leur discussion. Le vieux forgeron se tourna alors vers lui.

-Ce livre, toute ma vie est inscrite dedans. Et vu ton visage, tu as dû y lire quelques lignes et découvert des choses sur moi.

-Tu étais donc un pirate.

-Oui.

-Pourquoi tu ne m'as rien dit ?!

La colère dans la voix de Balthazar se faisait sentir. C'était tout de même un détail important dans la vie de Jack. Mais cela n'expliquait pas pourquoi il avait décidé de se taire.

-Comme tu le sais, je ne suis pas ton vrai père. Mais je te considère vraiment comme mon fils. J'ai simplement pensé qu'il serait mieux pour toi que tu grandisses sans le savoir et que tu choisisses ta propre voie sans être influencé par mon passé. Je me suis toujours dit que tu partirais de cette île un jour puisque tu n'es pas né dessus.

Balthazar trouvait décidément Jack irrécupérable. Jamais il n'avait voulu lui dévoiler quelques choses. Mais il devait reconnaître qu'il avait été parfait dans son rôle de père. Et puis il ne savait pas quoi répondre. Il lui tendait alors son livre.

-Non gardes-le. Tu l'as trouvé, il est à toi à présent. Mais promets moi une chose si tu le lis.

-Hein ? Te promettre quoi ?

-De quitter cette île pour découvrir le monde. J'ai l'impression que tu restes à cause de ma santé et je n'aime pas ça. Tu m'as dit vouloir devenir un bon forgeron non ? Alors il ne faut pas te contenter de cette île.

Tu parles d'une promesse...C'était carrément un encouragement pour partir. Mais du coup que faire ? Lire ce livre ou...rester ? En même temps Jack disait vrai et en y réfléchissant, il est vrai qu'il n'y avait pas énormément d'avenir ici pour lui à part une vie banale de forgeron.

-Tu sais très bien que je vais le lire ton livre ! T'es vache quand même !

Le visage de Jack ne portait alors qu'un grand sourire. Balthazar comprit qu'il n'attendait que ça. Le voir partir serait une dernière volonté ? Le vieux forgeron savait certainement qu'il n'avait plus beaucoup d'années devant lui.

-Dans ce cas, demandes à ces pirates de t'emmener avec eux, ils ont dit qu'ils avaient une dette envers moi pour avoir pris le temps de travailler toutes les armes qu'ils avaient amenés. Profites-en ! Ils partent demain soir.

Jack prit alors Balthazar dans ses bras. Il le poussait carrément à partir. Balthazar était sûr qu'il ne pourrait pas empêcher de lire son journal. Ils se disaient donc déjà au revoir...

Coups de canon soudain et fracas de bois ! Bal' est sorti de sa mémoire. Qu'est-ce qui se passe ? Un autre bateau pirate attaquait celui sur lequel il se trouvait. Balthazar était un peu perdu, il ne s'était encore jamais retrouvé dans une telle situation. Le bateau ennemi vint se frotter à la coque tribord du navire et des pirates débarquèrent sur le pont. La bataille commençait.

-Balthazar réveil toi !

Il se prit une claque qui lui fit reprendre ses esprits. Le capitaine lui mit un sabre à la main et le bouscula sur le pont. Il fallait le défendre. Heureusement qu'il avait suivi des cours pour se défendre à l'arme blanche. Il se battait surtout pour survivre. Il n'était pas question de se faire tuer maintenant.

Les pirates tombèrent des deux côtés. Le sang recouvrait une belle partie du pont. Mais les pirates ennemis étaient plus nombreux et l'équipage se fit encercler avec Balthazar. Ils faisaient de beaux prisonniers maintenant. Obliger de nous rendre, l'ennemi déroba les biens que le navire possédait.

-J'ai perdu des membres d'équipage ! Il y a donc des places libre sur mon navire. Est-ce que l'un d'entre vous souhaite venir ?

C'était le capitaine ennemi qui s'adressait au prisonnier. Balthazar, lui, jetait un oeil aux affaires qu'ils prenaient et il vit le peu qu'il avait pris se faire dérober. Il ne tenait pas à les perdre. Dans l'espoir de récupérer ce qui lui appartenait, il leva le bras, avec un ou deux autres membres qui ne faisaient pas parti de l'équipage depuis longtemps.

-Balthazar que fais tu?!

-Désolé...

-Mettez-les dans la soute ! Quant aux autres...Bon voyage.

Une fois retourner sur le navire, le capitaine ennemi mit le feu à celui qu'il avait attaqué, laissant mourir les autres par les flammes. Alors que le bateau s'éloignait, on pouvait entendre les cris de ceux qui brûlaient...Ce capitaine n'était pas un tendre. Devenu membre de ce nouvel équipage, il ferait tout pour survivre.