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Présentation de Kan Kamagi

Kan Kagami

Age : 21 ans
Sexe : Homme
Race : Humain
Métier : Simple élève du Dojo de sa famille, et peut travailler en tant que poissonnier pour le marché.

Groupe :Civil mais compte bien devenir Aventurier/Pirate.
But : Aller jusqu’au bout du monde.
Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation :
Empathie exacerbée : Il vous est déjà arrivé de ressentir de la peine en voyant quelqu’un pleurer, de la joie lorsque qu’une autre personne arbore un sourire aux lèvres. Sauf que moi, c’est tout le temps, et sans demi-mesure. Il est pratiquement impossible que je ne ressente aucune émotion, même si vous essayez de la cacher. Comme si j’arrivais à voir à travers chaque sourire de façade de personne triste, et ça me fout le cafard sans pour autant arriver à  faire comme si rien n’était. Même la plus petite hostilité envers moi me jette un froid. Cependant, un simple sourire empli de joie ou de gentillesse permet de faire ma journée.

Maniement de deux sabres(Nitoryu).

Équipement :A l’ avenir, j’aimerais posséder un meitou de type lame supérieure. Ce sont des lames « jumelles », Nadameru, de couleur blanche et noire dans un fourreau de la même couleur. Les deux lames font la même taille (48cm pour la lame  et 78cm tout compris)  Lorsque je les aurais en mains, elles auront comme un sentiment d’apaisement sur moi, ce qui me permettrait de mieux me contrôler.
Maintenant, je possède juste deux épées lambda qu'on offre à chaque membre du dojo Kan.


Parrain :

Ce compte est-il un DC ? Nop !

Codes du règlement :  


Description Physique
• Kagami est un jeune homme, assez grand (près du mètre 75), dans la fleur de l’âge, à peine rentré dans le monde hostile qu’est celui des adultes. Ses cheveux sont assez courts à l’arrière, s’arrêtant au haut de sa nuque, mais possède une masse capillaire assez fournie qu’il coiffe selon ses envies et surtout le mouvement de ses mains qui passent leur temps à passer dedans. Cependant deux mèches tombent toujours au milieu de son visage. La couleur de sa tignasse est assez classique, un noir assez profond, mais une touche de rouge s’est invité, au niveau de sa mèche droite, rappelant sa tenue ainsi que le duo des deux couleurs qu’il préfère. Lorsque l’on s’attarde sur son visage, deux choses captent l’attention : ses grands yeux noirs qui reflètent parfaitement son âme et ses sentiments, telle une ouverture sur son être intérieur. Son petit nez pointu trône au dessus d’une bouche aux lèvres assez pâles, bouche qui cache des dents blanches qu’il dévoile sans gêne à chaque sourire franc. Sinon au niveau du physique général, grâce à ses entraînements, il s’est forgé un physique assez solide, pas extravagant, mais ses muscles sont assez bien dessinés.
• Ensuite vient l’habitude vestimentaire de notre jeune Kagami. Il aime bien porter le haut offert à ses 20 ans. Le dit-Haut possède les deux couleurs qu’il adore mais dans une proportion inversée à ses cheveux. La plupart de celui-ci est teinté de rouge, délimité en bande verticale, alors que le noir souligne la longue et ample « écharpe » qui lui sert de capuche. Cependant, vu que son haut ne possède pas de manche, il se pare d’une ample veste de même couleur (cependant plus de noir que de rouge) lorsque le temps se rafraîchit. En dessous de son haut se trouve un juste-corps noir à bordure verte en V, mais il peut aussi porter quelque chose de moins « exposé ». Il a aussi à sa disposition deux protections d'avant-bras qui sont en fait deux morceaux de cuir assez souple enroulés de tissu vert, pratique lorsqu’il faut combattre. Pour finir, il se permet une petite fantaisie, le bas de sa tenue est un pantalon de Kimono ample de couleur blanche, ce qui permet d’éclaircir un peu l’aspect sombre de cette première, et des chaussures montantes jusqu’au-dessus des chevilles, bien serrées pour ne pas se les tordre.


Description Psychologique
• On peut décrire Kagami comme quelqu’un de gentil, de serviable et de bien intentionné. Il est même rempli d’une assez grande tolérance envers les autres races, faut dire qu'il n’en a jamais vue de ses propres yeux. De toute façon, rien qu’en le voyant, on peut pratiquement lire dans ses yeux tant ils sont le reflet de son âme. Il est assez à l’aise avec les gens, mais ne se permettrait pas de manquer de respect à ses aînés qu’il respecte, surtout dans sa famille. Mais bon le vieillard boiteux et croulant ne mérite pas autant de respect que son grand-père quand même ! Certes il est un peu casse-cou et parfois un peu turbulent, il aime se frotter aux belliqueux de l’île pour passer le temps, même s’il fuit assez souvent après les avoir asticotés, et il s’amuse à grimper sur les toits pour prendre de la hauteur et regarder au loin, toujours plus loin. C’est ce qu’il vise de toute façon, aller plus loin, plus loin que tout le monde, allez là où personne n'est encore allé, au bout du monde. C’est peut-être assez stupide de penser qu’il y a un « bout » au monde, vu que tout se rejoint, mais lorsqu’il était petit, on lui a racontée l’histoire de l’homme qui a vaincu vent et marée afin d’atteindre le bout de la plus grande mer du monde, et dans son crâne s’est fait le rapprochement avec le « bout du monde ». Son esprit d’enfant a juste effacé le fait que l’homme en question était le plus grand pirate de tous les temps, mais ça fait parti aussi de son caractère : il n’écoute, ne mémorise et  ne comprend seulement ce qu’il veut. Il lui arrive souvent d’avoir le nez dans le vague, à rien penser, pendant qu’on lui explique quelque chose, et qu’il finisse par rire niaisement à la figure en disant « ‘Scuse-moi ! J’ai pas écouté, à plus tard ! » pour ensuite s’enfuir et ne pas revenir, ce qui peut être assez énervant. (Après tout dépend de si « l’aptitude est validée ou non ^^).
• Concernant son ressenti sur les pirates et marine, même s’il désapprouve le comportant de la plupart des premiers, il se trouve qu’il ressent une grande jalousie envers leur liberté et leur capacité à voguer à travers les mers. Lui aussi aimerait bien prendre la mer et naviguer selon ses envies, ou celui d’un équipage. Cependant il ne se voit pas entrer dans la marine, leur code d’honneur, leur discipline et leur système de grade ne lui plaisent pas du tout. Il préfère être libre, et aspire même à la liberté, cloîtré chez lui.


Biographie
De ce qu’on m’a dit, je suis né un jour où il faisait chaud, très chaud. Si chaud que ma mère devait être hydratée toutes les dix minutes pendant mon accouchement, mon grand-père s’amusant même à me répéter que c’est la cause de ma joie de vivre, je n’ai jamais compris pourquoi. C’était en voyant mes grands yeux noirs que mes parents me donnèrent le nom « Kagami », ce qui voulait dire miroir. Il y a eu une fête après ma naissance, je n’ai pas vraiment compris pourquoi vu que je n’étais pas le premier enfant né, j’ai un frère aîné de trois ans. En parlant de lui, je ne vous l’ai pas présenté. Il s’appelle Daigo, on se ressemble un peu, il est juste plus vieux que moi et a les cheveux beaucoup plus long, avec chaque mèche de cheveux rouge. le premier souvenir que j’ai, du plus loin que je me souvienne, c’est lui qui me passait un savon pour une raison que j’ai oubliée, je devais avoir à peine trois ans.
On était dans le jardin du dojo familial -qui n’est pas vraiment un dojo, c’est une maison en bois construite comme un dojo-, on se chamaillait, enfin … il me mettait surtout une raclée à coup de savon, de chatouille et d’autres choses qu’un grand frère faisait à son petit frère. Comme j’étais plus jeune que lui et beaucoup moins fort, je fus obligé de subir en sanglotant et en appelant à l’aide, enfin ma mère. Cependant ce fut mon grand père qui sortit, et il se moqua de moi parce que « j’étais encore faible ». Même si j’étais trop jeune pour comprendre, ces mots restèrent graver dans ma mémoire.
Pendant les deux années suivantes, je n’avais pas le droit de sortir du dojo, mon frère non plus, nous étions trop jeunes pour aller au village. Avec ça, ma relation avec mon frère commençait à s’améliorer, peu à peu, j’arrivais à lui tenir tête, grâce à l’éducation assez sévère de notre grand-père. C’était un homme sage, il avait une longue chevelure blanche, portait la moustache et avait un yukata qu’il ne quittait pratiquement jamais. Chaque fois que l’un de nous deux se faisait remarquer, l’autre trinquait par la même occasion. Nettoyage des sols, cuisine et autres tâches ménagères nous étaient infligés. Il espérait nous assagir avec ces méthodes, mais c’était du vent, on en devenait même encore plus désagréable avec lui, sa réaction nous amusait.
C’était à l’âge de cinq ans que les choses sérieuses commencèrent. Ce jour-là, le vieux me réveilla très tôt, le jour ne s’était pas encore levé. Encore endormi, je le suivis sans vraiment comprendre pourquoi, baillant à m’en décrocher la mâchoire tout en me grattant le front. « Tu veux quoi Papi ? » répétais-je plusieurs fois jusqu’au moment où il s’arrêta devant la porte de la salle d’entraînement. « C’est le grand jour pour toi … » finit-il par me répondre, un sourire fier aux lèvres. J’écarquillai les yeux et, lorsque la porte s’ouvrit devant moi, je puis apercevoir mon grand frère, mes parents, mon petit frère qui était né quelques jours plus tôt dans les bras de ma mère, tous agenouillés en ligne devant moi. A côté d’eux se trouvaient plusieurs râteliers, avec différentes armes blanches. Bokuto, Tonfa, simple épée en bois ou même une lance.
« C’est l’heure de choisir avec quelle arme tu vas t’entraîner toute ta vie mon garçon »
entendis-je derrière moi, avant que je ne sente une main me pousser vers ces râteliers. Jetant un regard suppliant à mon frère, il me répondit en riant, mais il fut interrompu par la main de mon père qui plaqua sa tête au sol.
« Un peu de respect ! » s’exclama-t-il avant de m’adresser la parole « allez mon garçon, t’es assez grand maintenant ».
Un sourire assez timide aux lèvres, les yeux remplis de larmes, je hochai la tête et je balayai du regard les fameuses armes à disposition. Chaque type d’arme était disponible en plusieurs exemplaires. J’hésitai assez longuement avant de désigner du doigt les bokuto, tout en regardant mon grand-père avec le même sourire timide. Il fit un signe de tête et s’empressa de ranger les autres armes.
« Tu peux en choisir autant que tu ne le souhaites mon garçon, mais j’espère que tu te souviens des règles … » lança mon père tout en se levant. « Ce sera grand-père qui se chargera de ton entraînement, pendant que je m’occuperai de Daigo »
Les règles de la famille : A l’âge de 20 ans, on devait être capable de désarmer notre tuteur, sinon on devait rendre les armes et travaillait pour les exploitations de laine. Car oui, on habitait aux abords du village portuaire de l’île réputé pour sa laine, Tanuki sur North Blue.
A partir de ce moment-là, et cela pendant cinq années durant, mes journées se composèrent de : petit-déjeuner copieux, l’école où je devais être dans les meilleurs sinon, chaque membre de ma famille me passait, entraînement dès la sortie des classes, devoirs et je m’occupais même de mon petit frère qui était une teigne, une véritable teigne. A croire qu’il avait pris de nos deux caractères, à Daigo et moi. C’était assez éprouvant, à chaque mauvaise note, chaque mauvais commentaire des enseignants, chaque fois que je me bagarrai, je subissais les rabaissements de mes aînés et surtout les railleries de mon frère qui était toujours plus fort que moi. Il avait toujours les meilleures notes, les plus grandes récompenses. A cause de ça, ou grâce à ça, je me donnais à chaque fois à fond, même s’il m’arrivait de foncer dans un mur et de me faire gronder. Cependant, ma sensibilité en prit un gros coup, de plus en plus je frémissais devant l’exigence exacerbée de mon grand-père, rien qu’en voyant son visage, qu’en croisant son regard remplit de fierté et de discipline, qu’en écoutant le ton de sa voix, je savais que j’allais me prendre un savon. Ce phénomène prit de l’ampleur au fil du temps, et se mit à englober plus que la simple hostilité. Chaque fois qu’un de mes camarades de classe était triste, mais qui était trop fier pour le montrer, je me sentais mal rien qu’en regardant son sourire de façade et ses yeux tristes, et je ne pouvais m’empêcher de lui demander ce qu’il avait. Bien entendu, la plupart du temps, tout ce que j’avais droit c’était un poing dans la figure. Malgré tous ces points négatifs, mon entraînement se passait plutôt bien, j’avais choisi de m’entraîner avec deux katanas en bois, j’aimais bien le fait de pouvoir parer d’une lame et de taper de l’autre, et c’était aussi pour me différencier de Daigo qui avait choisi qu’une seule épée. On s’affrontait souvent tous les deux, sous le regard émerveillé d’Haruto, notre petit frère. La plupart du temps, je devais m’incliner, mais à certains moments j’avais mes fulgurances, je vous assure.
Après ma dizaine, mon emploi du temps était un peu plus souple, je pouvais enfin profiter du village et de ses environs. J’adorais me balader dans le marché, surtout du côté des poissons. C’était l’endroit le plus intéressant car beaucoup d’étrangers venaient vendre leur produit, et avec eux ils apportaient des histoires du monde par de la les mers, et même par de la le temps. Je les aidais même de temps en temps à décharger leur bateau, et rien que leur sourire me remplissait de joie. Je restais avec eux jusqu’à la tombée de la nuit, et ils me raccompagnèrent au dojo. Un jour, j’avais 13 ans, pour les remercier, mon père les invita à rentrer et à boire un verre de saké. Et ce fut à ce moment qu’un des marins, déjà bien entamé par l’alcool, se mit à compter l’histoire d’un homme qui aurait conquis la plus grande mer du monde et qu’il aurait déposé son trésor sur la dernière île, la fameuse dernière île de Grand Line, Rough Tell. J’étais comme absorbé, je buvais ses paroles, j’étais scotché à ses lèvres. Le bout du monde …
« J’ai envie d’y aller !!! » m’exclamai-je avant de m’écraser face à tous les regards posés sur moi.
Il eut un silence de mort pendant quelques secondes, où tout le monde me fixait, je me sentais limite trembler face à cette surprise, mais le silence se brisa assez rapidement, complètement balayé par les rires gras et rocques des marins qui me tapotèrent sur le dos.
« Faut déjà que tu sortes d’ici mon petit ! »
Sortir d’ici … sortir du dojo, sortir du village … ses mots devinrent une sorte de motivation pour moi, et avant qu’ils partent, j’attrapai la manche d’un des marins et lui fit signe de s’abaisser un peu.
« Quand je sortirai d’ici, vous me prendrez sur votre bateau ? »
Les yeux du marin s’ouvrirent en grand mais un énorme sourire et il hocha de la tête avant de partir. Je lui offris aussi un de mes plus grand sourire avant d’aller me coucher et de reprendre mon entraînement.
Ce fut pour moi les plus longues années de ma vie, les mots du marin raisonnaient chaque nuit dans ma tête, et un désir de liberté naquit en moi, prenant au fur et à mesure de plus en plus d’ampleur. Si bien que je commençais à sécher certains cours afin de poser sur le toit de l’école, à regarder l’horizon, le torse bombé. Mais je me faisais souvent réprimander par les surveillants qui me captaient et me faisait descendre. A chaque fois, j’étais tétanisé, je ne pouvais rien faire. Mon entraînement se poursuivait comme d’habitude, je commençai enfin à maîtriser mes deux épées et à faire arme égale avec mon frère. A côté de nous, Haruto s’exerçait aussi, avec ses tonfas. En dehors des heures d’entraînement et de cours, je continuais à aider les pêcheurs, à débarquer les poissons et même à écarter certains gêneurs, même si la marine faisait bien son boulot. En parlant de la Marine … je n’arrivais pas vraiment à les sentir, leur discipline me rappelait trop celle du vieux. Les uniformes, le salut, tout me déplaisaient. Mais à chaque arrestation de pirate de bas-étage qui pensait pouvoir saccader sans conséquence le port, je leur témoignais mon respect. Ces pirates avaient pourtant la chance de pouvoir prendre la mer et de voyager, de se plier à aucune règle, à part à leur code. Je les enviais tellement que, dans ma dernière année d’entraînement, j’essayais de devancer les marins, mais je n’y arrivai jamais. Chaque fois que je voyais leur expression patibulaire, j’avais des frissons dans le dos et je fuyais loin, très loin. Instinctivement, je me dirigeais vers le QG de la marine afin de les dénoncer.  
Puis vinrent alors le moment final, mes 20 ans. Cependant, le vieux tomba malade peu avant mon épreuve, et j’avais dû passer mon épreuve contre mon père qui se battait avec un seul sabre. C’était assez déroutant, je n’avais pas du tout combattu contre lui, et sa technique était proche de l’escrime. Le combat a duré pas mal de temps, mais à la fin, j’avais gagné le droit de sortir du dojo, le désarmant avec difficulté. Et ceci conclut alors mon histoire.


Test RP
Un genou à terre, reprenant mon souffle assez difficilement, ma sueur dégoulinante tombant sur le sol et provoquant ainsi un léger écho dans la salle d’entraînement où tout le monde retenait son souffle. Un bruit sourd cassa cette sorte de stase dans laquelle nous étions plongés, et lentement, grimaçant de douleur comme si le mouvement que je faisais était insurmontable, je levais ma tête pour voir de mes propres yeux, espérant du plus profond de mon cœur que ce bruit ne soit pas le simple fruit de mon imagination et soit vraiment la vérité. Ils furent accrochés par le sabre d’entraînement qui gisait au sol, juste au pied de mon père qui se tenait encore fièrement devant moi. Fièrement, comme s’il n’avait pas été affecté par notre long affrontement. Je me souviendrai toujours de son sourire, rempli d’une grande fierté, lorsqu’il m’annonça que j’avais réussi ma tâche, et qu’il m’accepta comme membre à part entière de la famille Kan. Mon cœur s’était limite arrêté suite à ces mots, et mes yeux se remplirent de larme de joie, et ces larmes finirent par se déverser tel un torrent sur mes joues lorsque je tournai la tête pour voir le visage de ma mère, en larmes elle aussi, qui m’applaudissait chaudement,  mon petit frère qui hurlait « Bravo grand frère !! » et surtout, mon grand frère qui resta silencieux, mais ses yeux fermés et son sourire fier se suffisaient à eux-mêmes. Mes deux poings se serrèrent sous la douleur que mon cœur me causait, et je finis par hurler de toutes les forces qu’ils me restent, un hurlement de soulagement, en espérant me vider le cœur de cette manière. Puis je me sentis me soulever sans vraiment le vouloir, mon père s’était rapproché de moi pour me porter sur son épaule, il hocha doucement la tête puis m’accompagna dans ma chambre où il me lâcha sur mon lit, sur lequel je m’écrasai sans broncher et où je sombrai dans un long et profond sommeil.
Cependant, à mon réveil, toute la joie que j’avais ressentie la veille se mua en crainte lorsque je me mis à penser à après …Comment allais-je annoncer que je voulais quitter le village, pire l’île pour prendre le large et commencer enfin à suivre mon rêve. Je revoyais encore comment mon grand frère s’était écrasé contre un mur lorsqu’il avait simplement demandé de partir en voyage pour un mois. « C’est trop dangereux !! Qu’est-ce qui nous assure que tu reviendras, et même si tu reviendras en vie ! » Avait vociféré mon père avant de le balancer en dehors de sa chambre. Mais moi … je ne pouvais pas rester au dojo éternellement, je voulais partir, partir au loin, et surtout très vite. Vite…
« Oh merde ! La cérémonie ! »
Je l’avais complètement oubliée. Et ça me stressait encore plus, tellement que je me tordis de douleur dans mon lit. Il fallait que je trouve le moyen de leur annoncer avant la cérémonie, sinon j’étais foutu. Leur écrire une lettre et m’enfuir comme un lâche était l'une des meilleures idées dans l’état actuel, mais je ne pouvais pas laisser Haruto sans nouvelles de moi, et en plus ma mère s’inquiéterait beaucoup trop … nan, Nan, je ne pouvais pas du tout me permettre de partir comme un voleur. Il fallait que j’affronte le regard de mon père pour m’en sortir. Après plusieurs exercices de respiration pour reprendre mon calme, je me décidai enfin de me lever et je me mis dans la tête de rechercher une solution avant cette après-midi. Je passai limite toute ma matinée à penser à tous les scénarios possibles pendant que je me préparai à manger, que je me dirigeai vers le village et que j’aidai les poissonniers. La tête dans la lune, je n’étais pas du tout attentif à tout ce que je faisais, si bien que je finis par renverser un tonneau de poisson dont le contenu se répandit à mes pieds. Je me retournai très doucement vers le « chef » des marins qui fit craquer ses doigts avec une expression de colère non cachée. Mon corps se figea, j’étais incapable de bouger tellement j’étais paralysé par la peur, mes yeux se fermèrent tout seul. Mais, contre toute attente, je reçus juste une énorme tape dans le dos qui me fit pratiquement tomber et, lorsque je finis par les ouvrir, la seule chose que je pouvais observer, c'était tous les marins qui s'étaient amassés autour de moi. Ils se mirent à rire alors que le patron avait complètement changé d’expression,  sa colère s’étant changé en un sourire moqueur et un rire gras.
« Beh alors Kagami ?! T’es dans la lune … Attends, pas besoin d’me répondre. » M’interrompit le chef alors que j’allais ouvrir la bouche. « Tu veux annoncer à ta famille que tu te barres, mais t’arrives pas à trouver comment ? »
Mes yeux s’écarquillèrent suite à ses mots, mais aucun n’en sortit de ma bouche. Je ne puis que hocher la tête, bêtement.
« Pourquoi tu les affrontes pas face à face ? Sois un homme ! »
Chacun des marins me tapa dans le dos et le chef attrapa le col de mon kimono avant de me balancer plus loin, montrant le chemin vers mon dojo du doigt.
« Et te n’avises pas à revenir avant d’avoir la bénédiction de tout le monde ! »
Un petit sourire benêt se dessina sur mon visage après que j’essuyais mes larmes qui naissaient, et j’opinai du chef avant de courir vers le dojo, bien décidé à me faire comprendre… et j’avais une petite idée de comment j’allais me débrouiller.
Arrivé au dojo, je m’empressai de rejoindre la chambre de mon grand-père, tout en évitant le plus possible de croiser n’importe qui.  Une fois planté devant ladite-chambre, mon rythme cardiaque s’accéléra brusquement, une légère crise de panique m’empêcha d’attraper le pan de la porte pour l’ouvrir. J’essayai de toutes mes forces d’avancer ma main vers elle, mais je n’y arrivais pas. Serrant les dents, je secouai ma tête plusieurs fois et, dans un grand effort, j’attrapai mon but. Sauf que, au moment où j’ouvrais la porte, la voix de mon grand-père m’interloqua.
« C’est toi…Kagami ? »
Lorsque la porte s’ouvrit complètement, je vis mon grand-père, assis sur son lit, la main sur sa canne, comme s’il voulait s’appuyer dessus pour se lever. Nos regards se croisèrent, et une goutte de sueur coula le long de mon front avant que je déglutisse et que je rentre. Je m’inclinai légèrement avant de fermer la porte derrière moi.
« Bon-bonjour grand-père … Comment allez-vous ? »
« Mieux …je suis désolé de n’avoir pas pu être ton adversaire. Mais t’après les dires de ton père, tu t’es fort bien débrouillé ! Je suis fier de toi ! »
« Merci grand-père… »
Mon sourire se crispa et ma tête se baissa légèrement et mes poings se serrèrent suite à cet échange. Même si j’étais préparé, que j’avais mûrement réfléchi tout ce que je pouvais dire, une fois devant lui, rien ne voulait sortir. Je me résignai alors à hocher la tête, à m’incliner, et à faire demi-tour. Sauf que sa voix m’interrompit lorsque je commençai à ouvrir la porte.
« T’avais quelque chose à me dire … ? »
M’immobilisant presque, la tête complètement baissée, j’attendis de longues seconde s avant de prendre mon souffle et de me retourner pour lui répondre.
« Faut que j’parte d’ici !! » hurlai-je limite. « J’commence à en avoir marre d’être obligé de rester à la maison, au village ! Y a tellement à voir ! En mer ! J’ai envie d’bouger ! J’veux bouger … voyager … loin … … … désolé grand-père. »
Pendant je baissais la tête et me mordis les lèvres pour avoir ainsi beuglé sur lui alors qu’il n’était strictement pas la personne à qui je devais dire ça, il resta bouche bée devant moi, immobile, comme si mes mots l’avaient figé sur place. Il n’eut même pas le temps de me répondre car la porte derrière moi s’ouvrit dans un fracas et que ma mère me hurla dessus.
« Qu’est-ce qui se passe ici ?! … Mais qu’est-ce que tu fais là toi ? En plus t’es pas encore habillé pour la cérémonie. Viens par ici toi, on va t’changer ! »
Elle m’attrapa par le col et me traîna de force en dehors de la chambre sous les yeux atterrés de mon grand père qui ne put placer un seul mot.
Une fois préparé, et après avoir pris un savon de la part de ma mère, nous nous dirigions vers la salle à manger où nous attendaient tous les membres de la famille. Sur le chemin, j’eus plusieurs fois l’envie de m’enfuir, de bousculer ma mère et de sortir d’ici pour revenir voir les marins et leur mentir pour partir en mer. Jamais je ne sortirai d’ici, jamais je verrai les merveilles qui se cachent au-delà des mers, jamais je ne monterai sur un bateau. D’un coup, je fus sorti de mes songes par la main de ma mère qui passa devant mes yeux, je secouai la tête avant de la regarder dans les yeux, et je fus surpris de voir son doux sourire sur son visage.
« T’inquiète pas… »
Murmura-t-elle avant de passer le pas de la porte, me laissant seul. Je restai alors immobile quelques instants, un sourire naquit sur mon visage. Je pouvais le faire ! J’allais commencer mon rêve. Alors d’un pas décidé, j’emboitai le pas et me retrouvai devant, agenouillé, aligné, mon père et mes deux frères qui s’étaient mis autour de ma mère. Je pris une grande inspiration avant de m’asseoir de même, mais assez éloigné d’eux. Un présentoir nous séparait, un très beau présentoir en chêne, laqué et peint en noir, sur lequel trônaient fièrement deux vrais katanas scellés. A leur vue, je déglutis légèrement, puis mon regard se dirigea vers celui mon père qui prit la parole.
« Bonjour Kagami. Tout d’abord, je te félicite encore d’avoir réussi mon test, même si ce ne fut pas une partie de plaisir. Tu sais déjà comment ça marche ? T’as déjà vu ton frère aîné passer cette cérémonie avant toi … »
Mon regard se posa alors sur Daigo qui portait fièrement sa veste où l’emblème de la famille était cousu à l’arrière, une ample veste noire. Comment il pouvait être fier…d’avoir prêté serment de ne jamais quitter le dojo, de s’en occuper lorsque notre grand-père finira sa vie et que notre père sera trop vieux pour s’en occuper lui-même. Je ne pouvais pas moi, j’avais d’autres ambitions ! Un rêve à réaliser ! Des choses à découvrir, des gens à rencontrer ! Mes poings se serrèrent de plus belle sous le regard inquiet de l’assemblée, sauf grand-père qui abaissa la tête de manière un peu résignée.
« Je refuse !!! » m’exclamai-je tout en sautant sur mes pieds. « J’ai envie d’prendre la mer ! Aller jusqu’au bout du monde ! J’peux pas m’permettre de rester ici ! A veiller sur un dojo. Y a déjà Daigo, pourquoi tout le monde doit rester ?! »
Puis, d’un coup, je me stoppai, choqué par mes propres propos, et surtout par la manière avec laquelle je m’étais exprimé. Jamais je n’avais haussé la voix contre mon père, et encore moins devant ma mère. Ils furent autant surpris que moi, et je voyais mon paternel bouillir de rage alors que ma génitrice n’en revenait pas.
« Pourtant c’est la … »
« Mais POUR qui te PREND tu Kagami ?! » interrompit mon père tout en hurlant. « Tu ne peux pas te défiler ! Pas un seul membre de la famille Kan n’est sorti de cette île, et cela depuis que cette bâtisse a été construite ! Je refuse que tu te soustraies à cette tâche parce que « tu nourris d’autres ambitions » ! C’est à cause de ces marins et de cette histoire de «bout du monde » !  Je vais aller leur toucher deux m- »
« Arrête Tenka ! »
Un silence s’installa brusquement alors que tous les regards se posèrent sur la cause de cette interjection. C’était grand-père qui s’était levé, bien décidé. Avec sa canne il tapa même le sol avant de mettre un petit coup sur la tête de mon père.
« Vous allez arrêter vous deux ! Ce n’est pas comme ça qu’une cérémonie doit se dérouler. Déjà Kagami ! Comment tu t’adresses à ton père ? Excuse-toi maintenant ! »
« Dé-désolé… » Je baissai la tête, fermant les yeux pour ne pu voir l’expression de colère sur le visage de mon père.
 « Déjà que tu m’as déjà crié dessus avant … »
« De quoi ?! »S’égosilla mon père avant de se refaire interrompre.
« Tenka ! Calmes toi ! … … … Laisse le faire. »
Le gros choc dans la salle, nous regardions, abasourdis par ses dires. Mon père était celui qui en revenait le moins. Sa bouche n’arrivait plus à se fermer, comme si les simples mots de mon grand-père l’avaient figé sur place.
« C’est une vraie tornade Kagami » reprit-il. «  Il n’est pas comme Daigo qui sait être calme. Je le vois très mal s’en tenir au maintien du dojo, il risquerait de vite exploser et  d’en avoir marre. Au moins il y a Daigo, et même Haruto qui pourrait aider quand il aura l’âge. Laisse-le partir, c’est pour son bien. Et ce n’est pas comme s’il va partir tout le temps, lorsqu’il aura atteint le bout du monde il reviendra … pas vrai. »
« Mais … la tradition !! On va la briser comme ça par- »
« Laisse tomber chéri … Il a raison. » dit ma mère pour interrompre mon père. « Tu l’as vu grandir, il ne pourrait jamais rester ici tout le temps. »
« En plus j’suis là Papa ! T’inquiète pas pour le dojo ! J’m’en occuperai bien ! »
Je me mis doucement à pleurer face à leur dire, je n’en revenais pas. Je n’avais pas du tout envisagé ce cas de figure, jamais je n’avais pensé que ma mère, mon frère et surtout mon grand-père seraient de mon côté,  au grand jamais. Dans ma tête, j’étais à 90% sûr de devoir rester ici, à ronger mon frein pour le reste de mes jours et à ne pas pouvoir réaliser mon rêve. Mon père non plus n’en revenait pas, il resta figé pendant une longue minute, la bouche entrouverte, les yeux écarquillés. Ce fut mon petit frère qui le sortit de sa torpeur en lui attrapant la manche.
« Laisse-le partir Papa … »
« Mais, mais … » Il ferma les yeux un instant avant de prendre une grande inspiration et il prit alors la parole. « D’accord … si c’est ce que tout le monde veut. Va mon fils, mais reviens, surtout en vie. Je te donne l’autorisation de quitter cette île et de vivre tes aventures. Mais, prends ça avec toi … »
Dans sa main se trouvait la fameuse veste de la famille Kan. Je n’en revenais toujours pas, des torrents de larmes se mirent à couler sur mes joues alors que je me mis à genoux devant eux, faisant le dogeza.
« Merci !! »
Hurlai-je de tous mes poumons avant de me relever doucement, puis d’une main tremblante j’attrapai la fameuse veste que je serrais ensuite fortement contre moi. Et je pris de l’autre main les deux katanas qui étaient sur le présentoir.
« Je vais … aller m’écrouler sur mon lit … excusez-moi. Et encore…merci »
Murmurai-je avant de prendre congé, et de m’écrouler au lit.



 
Informations IRL

• Prénom : Morgan
• Age : 23 ans
• Aime : les jeux vidéos, la musique (La plupart des styles)
• N'aime pas : Les endives …
• Personnage préféré de One Piece : Je dirais bien Zorro, mais je ne serais pas du tout original…mais j’aime bien son caractère !
• Caractère : Plutôt sociable, gentil, toujours souriant, assez blagueur, peut être très chiant aussi.
• Fait du RP depuis : J’ai fait une pause RP depuis quelques années, mais je dois bien avoir 2-3 ans bien rempli qui me reste de mes années lycées.
• Disponibilité approximative : : Sur la tchat box à peu près tous les soirs, en RP surtout le w-e, mais ce n’est pas impossible que je réponde en semaine si la ferveur revient !
• Comment avez-vous connu le forum ? Je recherchais un forum soit One Piece, soit Reborn, afin de me dérouiller un peu. C’est le premier référencement Google qui m’a fait venir ici, et au vu de ce que j’ai vu, vous m’avez l’air d’être sérieux, et j’aime bien me sentir bien encadré.


ONE PIECE REQUIEM ©



Dernière édition par Kan Kagami le Dim 22 Mai 2016 - 22:59, édité 4 fois
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Et up ! Je viens de finir mon histoire !
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Blblbl reuh bienvenue à toi parmi nous, je passe pour ton test !

Alors le test est le suivant :

Tu as terminé ton entraînement en désarmant ton père comme le veut la tradition. Tu as toujours attendu cet instant, celui de la libération, de pouvoir partir. Mais il va peut être falloir annoncer à ta famille que tu comptes quitter le foyer. Ton père, tes deux frères, et surtout ton grand-père malade qui se repose encore. Narre nous en détail comment les êtres qui t'aiment acceptent de te laisser partir à l'aventure.

Voilou, j'peux t'en donner un autre si jamais tu veux changer.

o/
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Et c'est l'up ! Test RP terminé !
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Salut Kagami.
Je passe pour ton premier avis.

Très succinctement, j'ai adoré. J'ai trouvé très propre le personnage que tu nous proposes, haut en couleur et surtout en sentiment. Un personnage avec la main sur le cœur, le genre que même quelqu'un comme moi (qui n'est à l'aise qu'avec les persos froids) aimerait jouer. C'est assez rare pour que je le souligne, tu nous as servi une bio dans laquelle il n'y a pas une goutte de sang, pas de massacre parental, pas de haine envers le monde xD

Au début, j'ai trouvé ton style assez scolaire puis avec la narration à la première personne, ça s'est amélioré. Cette forme donne une bonne immersion dans la tête du personnage et vu comment il est démonstratif de ses sentiments, cela lui sied bien. Les dialogues, la narration, la description, tout y est en bonne proportion. Quelques fois, tu oublies un mot ou deux comme ici "j’eus plusieurs l’envie de m’enfuir". Plusieurs "fois", non ? ^^
Et même si l'histoire de fond -le petit bledard qui rêve de voir de le monde- est classique, ta plume la personnalise et c'est super.

Si je dois faire un quelconque reproche à cette présentation, ce serait d'avoir été assez imprécis sur l'origine de l'hypersensibilité de Kagami. Les petites brimades de ses aînés, la sévérité de son grand père ne sont pas de réelles causes pour moi. D'autant plus que j'ai l'impression que tu parles plutôt d'une empathie exacerbée et pas de l'hypersensibilité dans son terme clinique qui est complètement différent. (Merci Wiki).

Voilà, j'en ai fini. Le seul hic que j'ai souligné n'en étant pas vraiment un, je t'accorde 800 D pour une pres' propre, aussi bien dans la forme que dans le fond.

J'espère que tu te plairas ici.
Bon jeu.



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Eh bah... Merci Loth.

Oui, j'avoue que j'aurais du me relire une nouvelle fois, pour éviter les mots en moins. En ce qui concerne la cause, faut imaginer que Kagami se faisait limite battre à chaque fois (oui, c'est mal exprimé), donc il a développé un "système" de défense pour détecter en moins d'une seconde l'état d'esprit des autres, afin de savoir fuir quand il faut en fait. Et j'ai brodé un peu autour.
Pour le titre en lui-même, au vu de l'haki de l’empathie, je n'avais pas envie de faire une redite. Je vais modifier le nom de suite si ça pose problème.
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Hello je passe pour ton second avis ! O/

Point forme :

Pas grand chose à dire ici, un bon style d'écriture qui passe bien, j'avoue avoir préféré l'écriture à la première personne qui est moins « dissertation » que les descriptions. Ceci dit, pense à aérer un peu ton texte, le tout reste un poil compact ! ^^
Quelques coquilles mais ça n'a pas entaché le reste, juste de l'étourderie, ça arrive.

Point fond :

Au sujet de la bio :

Ayant déjà lu tes descriptions et ta biographie pour te donner ton test, je vais être plutôt rapide et concis ici. Je suis d'accord avec Loth, tu nous présente un bon personnage assez frais et original. Je le rejoins quant à son contentement, ton perso sabreur n'a pas versé de sang. C'est bien appréciable. Ton personnage est assez bienveillant, peut être que tu aurais pu sans doute présenter un certaine part d'ombre dans ta description, rendre le perso moins unidimensionnelle. Mais c'est un détail, pas trop important ! ^^

Au sujet du Test :

Tu l'as sans doute deviné, ce test avait pour but de montrer le départ de Kan de son île après l'avoir annoncé à sa famille. C'était peut être un peu trop rapide dans ta bio.
Tu t'en es bien sorti. En voyant les portraits des membres de la famille dans la bio' j'avais du mal à concevoir comment ils le laisseraient partir, c'était bien présenté dans ton test. Le grand-père reste le plus sage d'entre eux, et j'avoue que je m'attendais à le voir intervenir pour lui permettre de s'envoler. Mais c'était néanmoins bien mené.

Je vais tabler pour : 700 dorikis.

Total (moyenne des deux) : 750 dorikis.

Bon jeu à toi !
Voilou !! <3
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