Adal Erick Eder
• Pseudonyme : Le Gentleman Roux
• Age : 25
• Sexe : Homme
• Race : Humain
• Métier : Rien en particulier
• Groupe :Cipher Pol 8
• Age : 25
• Sexe : Homme
• Race : Humain
• Métier : Rien en particulier
• Groupe :Cipher Pol 8
• But : Vivre le plus longtemps possible et prouver sa valeur devant sa famille
• Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : On verra plus tard
• Équipement : Canne de combat qui peut accessoirement servir de vrai canne et un chapeau melon.
• Ce compte est-il un DC ? Non
• Codes du règlement : )
• Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : On verra plus tard
• Équipement : Canne de combat qui peut accessoirement servir de vrai canne et un chapeau melon.
• Ce compte est-il un DC ? Non
• Codes du règlement : )
Description Physique
Que se soit concernant son physique ou sa personnalité, Adal est quelqu’un d’assez excentrique et atypique. Pour faire court, il est grand, fin, agile, porte des habits chics et sa particularité physique est la couleur rousse éclatante de ses cheveux. Comment ça vous voulez des détails. Eh bien dans ce cas, procédons étape par étape.
Commençons par l’apparence générale. Le jeune homme est d’une bonne taille, un peu plus d’un mètre quatre-vingts. Cette taille contraste plutôt avec sa finesse. Il n’a pas la peau sur les os, mais il n’est sûrement pas non plus bien musclé, environ soixante kilogrammes. Cette finesse lui permet d’avoir une excellente agilité au détriment d’une bonne résistance. Il a ainsi parié sur le fait qu’il évitera les coups dans un combat plutôt que de les parer.
Parce que oui, Adal Erick est un combattant. Adepte de deux arts martiaux complémentaire, la savate et la canne, il ne rechigne jamais à se battre si on lui propose. C’est un habitué des combats de rue, ce qui a fait qu’il est connaisseur des coups bas et qu’il n’hésite jamais à s’en servir. Si vous ne savez pas ce que la savate et la canne sont, c’est plutôt simple. La savate est une forme de boxe née dans les rues et qui allie frappe au poing et au pied. La canne, elle, est une technique qui consiste à utiliser une canne comme une frappe contondante. Tout simple, on vous dit.
Sa finesse est encore plus marquée par les vêtements qu’il porte. De manière générale, Adal porte un manteau blanc avec un col bien relevé, un pantalon gris en toile de bonne couture et de très belles chaussures de cuir. Ces habits soulignent bien son physique, mais ils n’ont jamais entravé ses mouvements durant un combat. Après tout, Adal est un gentleman combattant et il n’aurait pas bien l’air malin si ses vêtements le gênaient durant un de ses combats de rue. Il s’est donc arrangé pour faire ses habits sur mesure et par le meilleur tailleur qu’il puisse trouver. De plus, si jamais son manteau ou son pantalon s'abîme, il en possède une dizaine d’autres de rechange. Aussi, on, ne le voit que très rarement habillé autrement.
Cependant, ce ne sont pas ces habits excentriques qui attirent l’attention généralement. Non, ses deux véritables attributs sont son foulard et son chapeau melon. Ces deux accessoires sont des souvenirs de son père et tant bien même il n’apprécie pas particulièrement ce dernier, il ne parvient pas à s’en débarrasser. Il les porte dans toutes les circonstances, sauf pour dormir ou se laver évidemment. En plus de ça, il a toujours une canne d’un bois inconnu, mais d’une incroyable résistance sur lui qui lui serre d’arme et pour avoir l’air encore plus classe.
Bon, il est temps de s’attaquer au détail non ? Si.
Son visage n’est pas marqué par une quelconque cicatrice ou bouton et elle n’est pas non plus ornée d’une barbe. Adal fait très attention à son visage et à sa peau plus généralement. Tous les matins, il passe de nombreuses minutes devant son miroir pour vérifier s’il est toujours aussi lisse que la veille. Ses yeux sont d’un vert émeraude éclatant, mais à cause de sa frange, on ne peut pas bien les voir. Ce n’est pas qu’il ne les aime pas, au contraire, mais il trouve plus beau de les cacher le plus possible, car le jeune homme est persuadé que cela fait encore plus ressortir leur beauté.
D’ailleurs en parlant de ses cheveux, ils sont d’un roux à couper le souffle. Ils sont si roux qu’ils donnent vraiment l’impression d’être faits de carottes. Adal s’arrange pour qu’ils soient toujours lisses et les coiffent toujours pour faire une frange devant son œil droit.
S’il fait attention à son physique, il ne peut pas non plus éviter les blessures. Ainsi, son corps porte les marques de nombreux combats comme ses cicatrices au niveau des doigts ou la grande qui traverse son dos de l’épaule droite aux lombaires gauches.
Commençons par l’apparence générale. Le jeune homme est d’une bonne taille, un peu plus d’un mètre quatre-vingts. Cette taille contraste plutôt avec sa finesse. Il n’a pas la peau sur les os, mais il n’est sûrement pas non plus bien musclé, environ soixante kilogrammes. Cette finesse lui permet d’avoir une excellente agilité au détriment d’une bonne résistance. Il a ainsi parié sur le fait qu’il évitera les coups dans un combat plutôt que de les parer.
Parce que oui, Adal Erick est un combattant. Adepte de deux arts martiaux complémentaire, la savate et la canne, il ne rechigne jamais à se battre si on lui propose. C’est un habitué des combats de rue, ce qui a fait qu’il est connaisseur des coups bas et qu’il n’hésite jamais à s’en servir. Si vous ne savez pas ce que la savate et la canne sont, c’est plutôt simple. La savate est une forme de boxe née dans les rues et qui allie frappe au poing et au pied. La canne, elle, est une technique qui consiste à utiliser une canne comme une frappe contondante. Tout simple, on vous dit.
Sa finesse est encore plus marquée par les vêtements qu’il porte. De manière générale, Adal porte un manteau blanc avec un col bien relevé, un pantalon gris en toile de bonne couture et de très belles chaussures de cuir. Ces habits soulignent bien son physique, mais ils n’ont jamais entravé ses mouvements durant un combat. Après tout, Adal est un gentleman combattant et il n’aurait pas bien l’air malin si ses vêtements le gênaient durant un de ses combats de rue. Il s’est donc arrangé pour faire ses habits sur mesure et par le meilleur tailleur qu’il puisse trouver. De plus, si jamais son manteau ou son pantalon s'abîme, il en possède une dizaine d’autres de rechange. Aussi, on, ne le voit que très rarement habillé autrement.
Cependant, ce ne sont pas ces habits excentriques qui attirent l’attention généralement. Non, ses deux véritables attributs sont son foulard et son chapeau melon. Ces deux accessoires sont des souvenirs de son père et tant bien même il n’apprécie pas particulièrement ce dernier, il ne parvient pas à s’en débarrasser. Il les porte dans toutes les circonstances, sauf pour dormir ou se laver évidemment. En plus de ça, il a toujours une canne d’un bois inconnu, mais d’une incroyable résistance sur lui qui lui serre d’arme et pour avoir l’air encore plus classe.
Bon, il est temps de s’attaquer au détail non ? Si.
Son visage n’est pas marqué par une quelconque cicatrice ou bouton et elle n’est pas non plus ornée d’une barbe. Adal fait très attention à son visage et à sa peau plus généralement. Tous les matins, il passe de nombreuses minutes devant son miroir pour vérifier s’il est toujours aussi lisse que la veille. Ses yeux sont d’un vert émeraude éclatant, mais à cause de sa frange, on ne peut pas bien les voir. Ce n’est pas qu’il ne les aime pas, au contraire, mais il trouve plus beau de les cacher le plus possible, car le jeune homme est persuadé que cela fait encore plus ressortir leur beauté.
D’ailleurs en parlant de ses cheveux, ils sont d’un roux à couper le souffle. Ils sont si roux qu’ils donnent vraiment l’impression d’être faits de carottes. Adal s’arrange pour qu’ils soient toujours lisses et les coiffent toujours pour faire une frange devant son œil droit.
S’il fait attention à son physique, il ne peut pas non plus éviter les blessures. Ainsi, son corps porte les marques de nombreux combats comme ses cicatrices au niveau des doigts ou la grande qui traverse son dos de l’épaule droite aux lombaires gauches.
Description Psychologique
Maintenant abordons sa personnalité. On ne peut pas le nier, Adal est plutôt maniaque et narcissique. Il fait toujours attention à son physique, à son apparence et est persuadé d’être un des plus beaux hommes du monde. On en a déjà parlé, mais il peut passer plusieurs heures chaque jour à se faire beau. Son côté maniaque se manifeste aussi dans la vie de tous les jours puisqu’il aime la propreté et l’ordre. Son narcissisme, quant à lui, l’a rendu un peu susceptible et il a tendance à s'énerver quand on se moque ouvertement de lui. Rien de bien violent, mais il se fera un plaisir à frapper plus fort quand l’heure du combat viendra.
Il a aussi extrêmement confiance en lui, voire trop. Cela l’a rendu pas mal dragueur et il n’hésite pas à aborder les femmes qu’il considère comme belle. Le gentleman a aussi tendance à sous-estimer les difficultés de ce qu’il entreprend et en fait souvent trop, mais pas de la bonne manière, ce qui énerve ses proches dans la majorité des cas où sa confiance l’amène à de mauvaises décisions.
Cependant, si Adal possède bien une qualité, c’est le respect. Homme, femme, enfant, géant, homme-poisson, etc, il ne porte aucun jugement hâtif et essaie de n’avoir aucun préjugé. Cela lui a été enseigné par son père qui voulait en faire un vrai gentleman. Le résultat en est assez proche, tant dans le physique que dans l’attitude. D’ailleurs, ce côté a aussi fait du jeune homme une personne calme et ne s’emportant que rarement. Durant un combat, il ne change pas vraiment : il se concentre sur comment gagner le plus vite possible et ne se perd pas en tergiversation. Quand il s’agit de travailler ou de se battre, il est donc plutôt pragmatique. Cependant, aussi gentleman est-il, il n’hésite pas à faire recours à des moyens moins conventionnels. En effet, son expérience lui a appris que dans un combat, la fin justifie bien les moyens.
Erick n’est pas un philosophe extraordinaire. Il ne regarde pas le coucher du soleil en se demandant quels dieux pourraient bien être à l’œuvre, quel est le sens à sa vie ou encore pourquoi les gens se battent. Il pense plus simplement : ce qui doit arriver arrivera, lui se contentera de vivre le plus longtemps qu’il peut. Qu’il soit avec ou contre le gouvernement mondial lui importe peu, bien qu’il ait une préférence pour le deuxième choix, car il pense pouvoir y trouver une meilleure stabilité de vie.
Il a un goût prononcé pour le café et aimerait bien goûter tous les cafés du monde avant de mourir. Il peut boire tasse après tasse sans se lasser de l’arôme de sa boisson fétiche. Il aime aussi les pâtisseries, ce qui va de pair avec le précèdent intérêt. Le jeune homme lit et se cultive aussi beaucoup, gardant toujours un ou deux bouquins sur lui dans le cas où l’occasion de lire se présenterait.
Biographie
Je suis né dans une famille bourgeoise de Logue Town. Plus jeunes d’une fratrie de trois garçons et d’une fille, mes parents n’ont jamais vraiment su quoi faire de moi. Pour eux qui avaient déjà tout prévu, mon arrivé était un casse-tête : l’aîné devait succéder à mon père, le cadet entrer dans la marine et devenir un officier, mon troisième frère allait être envoyé sur une autre île pour avoir une éducation particulière et ma sœur allait se marier avec le fils d’un ami à mon père. Mais ils n’avaient aucune idée de quoi faire de moi.
Ma mère avait longtemps songé à m’abandonner, m’a-t-elle un jour avoué, mais que sa réputation en aurait pâti. Certains diront que c’est horrible pour une mère de faire ça, mais je suis déjà chanceux qu’elle ait finalement décidé de m'élever correctement. De toute manière, je n’aime pas mes parents et je ne le cache pas. Qu’ils m’aient éduqué ou non, je m’en fiche au plus haut point. Cependant, je ne peux pas nier l’effort qu’a fourni mon père.
Quand j’avais… Je sais plus bien… Sept, huit ans peut-être. Bref, à cet âge-là, je cherchais pas mal les problèmes avec les autres enfants du quartier, du coup, je me faisais disputer par tout le monde, que ce soit par les parents des autres enfants ou par les miens. Mon père me répétait sans cesse que j’étais sa plus grande honte. Un jour, cependant, il m’emmena dans un salle où je n'étais encore jamais allé et me jeta une canne dans les bras. Avant même que je ne comprenne ce qu'il voulait de moi, il me frappa avec une de ses cannes. Il continua jusqu'à ce que je ne me mette à parer.
À partir de ce jour, il m’enseigna l’art de la canne, mais aussi de la savate. Il m’apprit à bien me comporter, à bien parler, à bien m’habiller… Jour après jour, il ne me laissait aucun répit, aucune pause durant laquelle j’aurais pu le décevoir en faisant diverse idiotie. Cet entraînement dura jusqu'au jour de mes vingt-trois ans. Ce jour-là, nous nous trouvions dans la même salle que la première fois, sauf que cette fois-ci, je ne le laissai pas me frapper une seule fois et je finis par lui faire avouer sa défaite. Pour la première fois de ma vie, je décelai autre chose que de la honte ou du dédain envers moi dans son regard. Avec du recul, je dois beaucoup à mon paternel. Ne vous méprenez pas, je ne l’apprécie pas, mais je ne hais pas autant que ma mère. Peu de temps après, je lui annonçai ma décision de partir. Il accepta, me donnant de quoi vivre et trouver du travail et me léguant son chapeau, son foulard et sa canne. Je pris mes affaires, saluai ma famille et la quittai.
Durant plusieurs mois, je voyageai sur tout East Blue, enchaînant boulot sur boulot afin de vivre. Heureusement pour moi, mon père avait des contacts sur quasiment toutes les îles, et même si je voulais avoir une indépendance totale, je n’allais pas cracher sur un peu d’aide. Grâce à cela, je n'eus ni à me soucier du problème de la nourriture ni de celui du logement. Je n’abusais pas longtemps de l’hospitalier de mes hôtes, ne restant pas plus d’un mois dans la maison de chacun. Je poursuivis aussi mon enseignement de manière autodidacte. Je commençai à lire des livres pour en apprendre le plus possible sur le monde, l’histoire des pirates, du gouvernement mondial. Je me frottai aussi à des adversaires de plus en plus forts, parfois trop pour moi. C’est d’ailleurs durant un de ces combats de rue que j’ai obtenu mon immense et hideuse cicatrice dans le dos. Ce n’est pas une histoire incroyable, mais assez idiote selon moi. Des pirates avaient envahi un port et j’avais eu la glorieuse idée d’essayer de les chasser. Je dévoilais mes talents de combattants et je n’avais aucun mal à me débarrasser des sous-fifres. Seul problème, il était bien trop nombreux et je finis par me fatiguer, jusqu’à ce que leur capitaine m’attaque dans le dos, me blessant gravement. Fort heureusement, j’étais parvenu à les retenir le temps que la marine débarque.
Je me fis soigner par cette dernière et voyant ce que j’avais fait, l’officier me proposa de rentrer. Je refusai évidemment. Je n’avais pas du tout envie de devenir un chien de l’armée. Quand tous les pirates furent attrapés, la marine s’en alla. Je mis un mois à me remettre de ma blessure. J’avais eu de la chance, car l’attaque que j’avais reçue n’avait rien touché de vital. Ce mois m’offrit une occasion pour réfléchir à ce que j’allais faire de mon futur. J’avais vingt-cinq ans, aucun travail stable et vivait au dépens des amis de mon père. Savoir qu’après deux ans, je dépendais toujours autant de ce dernier m’énervais au plus haut point. Je pris alors une décision. Et comme pour l’accomplir, j’avais besoin de l’aide de mon paternel, je rentrai à Logue Town.
Quand il me vit devant le pas de la porte, il refusa d’abord de m’ouvrir et à ma grande surprise, ce fut ma mère qui sembla le faire changer d’avis. Comme quoi, mon départ l’avait peut-être touché au final. Je me retrouvai alors de nouveau devant mon père, prêt à l’affronter une fois de plus. Cette fois, ça n’allait pas être un combat de muscle, mais d’idée. Je lui exprimai ma demande : je voulais qu’il me fasse entrer dans le Cipher Pol. Avant qu’il ne puisse répondre, je poursuivis. J’expliquai que j’étais sûr d’avoir les capacités et que je voulais plus de liberté que dans la marine. Il me regarda et accepta, bien que je décelai de l’exaspération dans son regard et sa voix. Il contacta des amis, qui passèrent à leur tour plusieurs coups de fil, et ainsi de suite, jusqu’à ce qu’un jour, deux hommes en costume noir se présentèrent en m’annonçant que j’avais été intégré à une unité du Cipher Pol. Voilà où j’en suis aujourd’hui.
Voilà où j’en suis aujourd’hui. Je viens à peine de commencer, donc je n’ai pas encore d’avis très prononcé sur cette organisation, mais je compte bien gravir les échelons. Ma vie n’a pas été très palpitante. J’ai juste eu une famille un peu compliquée à gérer et j’ai mis du temps à comprendre ce que je devais faire de ma vie. Enfin… Peut-être que je parviendrais un jour à me réconcilier une fois pour toutes avec mes parents.
Test RP
J’étais accoudé à la poupe du navire des agents du Cipher Pol. C’était un bateau de taille moyenne qui avait un équipage d’une trentaine de personnes. Bien qu’ils fussent venus me chercher, j’avais vite compris qu’ils m’avaient récupérer en partie à contre cœur. J’étais vraiment enthousiaste au début et je voulais poser tout plein de questions aux deux agents qui s'étaient présentés à moi. Seulement, j’avais vite compris qu’ils ne me voyaient pas d’un bon œil. Ou du moins, pas comme une recrue digne de ce nom. Les deux hommes en noirs se tenaient à l’écart et m’observaient, jugeant du regard la personne que j’étais. Bien que cela m’énervât, je ne pouvais pas leur en vouloir. Après tout, j’avais été engagé uniquement grâce au connaissance de mon père.
Je regardais Logue Town s’éloigner lentement. Je commençais presque à regretter mon choix. J’avais agi sur un coup de tête - encore une fois - croyant enfin gagner mon indépendance et je n’avais fait que demander de l’aide à mon père - encore une fois. Je ne saisissais toujours pas pourquoi il avait accepté d’ailleurs. J’avais deux hypothèses : soit il avait confiance en moi, soit il voulait se débarrasser une bonne fois pour toutes de moi. Je croyais plus en la seconde théorie, car mon père n’avait jamais vraiment montré d’amour pour moi. Mais je pense qu’une infime partie de moi espérait que la première idée était la vraie, sûrement en souvenir de l’unique jour où il m’avait montré une certaine considération.
Dans tous les cas, rien ne changeait le fait qu’il avait été très rapide dans sa prise de décision. Peut-être avait-il prévu que j’allais lui faire une demande similaire un jour ou l’autre. J’essayais de me convaincre que je n’en avais rien à faire, que maintenant que j’avais ce que je voulais, je devais me concentrer pleinement sur mon avenir, mais malgré toutes mes tentatives, je ne parvenais pas à chasser cette question de mon esprit.
Je tournai ma tête pour regarder rapidement les deux agents. Pourquoi le Cipher Pol au fait ? Cette nouvelle question germa instantanément dans ma tête. Je me disais que j’y trouverais plus de liberté, mais pourquoi j’avais besoin de liberté à la base ? Sûrement pour me prouver que je pouvais me débrouiller sans mon père. Mais même en me disant ça, je repensais au fait que mon intégration n’était que dû aux appels de celui-là. Ironie, quand tu nous tiens. Je soupirai longuement, m’adossant à la rambarde pour ne plus voir Logue Town s’éloigner.
Je ne devais pas avoir l’air très malin, à me poser toutes ces questions alors que j’avais enfin ce que je voulais. Je pris une grande inspiration et une grande décision : j’allais cesser de me tourmenter et me concentrer sur mon futur. La route qui se profilait devant moi promettait d’être longue et retourner les mêmes questions dans tous les sens n’allait sûrement pas m’aider. Il fallait que je sois déterminé, que je vise haut, que je frappe fort et que j’aie plus confiance en moi et mes capacités. Je devais changer, ne pas me soucier de qui j’étais auparavant et appliquer pour de vrai ce que mon père m’avait appris. Après tout, je ne pouvais pas nier qu’il avait plutôt bien réussi sa vie lui.
Je m’écartais de la rambarde et m’approchais des deux agents. Je me plaçai juste devant eux et leur demandai, plein de confiance et un beau sourire aux lèvres :
- Où pourrais-je m’entraîner ? J’ai encore du chemin à faire avant d’être digne de l’organisation.
Je regardais Logue Town s’éloigner lentement. Je commençais presque à regretter mon choix. J’avais agi sur un coup de tête - encore une fois - croyant enfin gagner mon indépendance et je n’avais fait que demander de l’aide à mon père - encore une fois. Je ne saisissais toujours pas pourquoi il avait accepté d’ailleurs. J’avais deux hypothèses : soit il avait confiance en moi, soit il voulait se débarrasser une bonne fois pour toutes de moi. Je croyais plus en la seconde théorie, car mon père n’avait jamais vraiment montré d’amour pour moi. Mais je pense qu’une infime partie de moi espérait que la première idée était la vraie, sûrement en souvenir de l’unique jour où il m’avait montré une certaine considération.
Dans tous les cas, rien ne changeait le fait qu’il avait été très rapide dans sa prise de décision. Peut-être avait-il prévu que j’allais lui faire une demande similaire un jour ou l’autre. J’essayais de me convaincre que je n’en avais rien à faire, que maintenant que j’avais ce que je voulais, je devais me concentrer pleinement sur mon avenir, mais malgré toutes mes tentatives, je ne parvenais pas à chasser cette question de mon esprit.
Je tournai ma tête pour regarder rapidement les deux agents. Pourquoi le Cipher Pol au fait ? Cette nouvelle question germa instantanément dans ma tête. Je me disais que j’y trouverais plus de liberté, mais pourquoi j’avais besoin de liberté à la base ? Sûrement pour me prouver que je pouvais me débrouiller sans mon père. Mais même en me disant ça, je repensais au fait que mon intégration n’était que dû aux appels de celui-là. Ironie, quand tu nous tiens. Je soupirai longuement, m’adossant à la rambarde pour ne plus voir Logue Town s’éloigner.
Je ne devais pas avoir l’air très malin, à me poser toutes ces questions alors que j’avais enfin ce que je voulais. Je pris une grande inspiration et une grande décision : j’allais cesser de me tourmenter et me concentrer sur mon futur. La route qui se profilait devant moi promettait d’être longue et retourner les mêmes questions dans tous les sens n’allait sûrement pas m’aider. Il fallait que je sois déterminé, que je vise haut, que je frappe fort et que j’aie plus confiance en moi et mes capacités. Je devais changer, ne pas me soucier de qui j’étais auparavant et appliquer pour de vrai ce que mon père m’avait appris. Après tout, je ne pouvais pas nier qu’il avait plutôt bien réussi sa vie lui.
Je m’écartais de la rambarde et m’approchais des deux agents. Je me plaçai juste devant eux et leur demandai, plein de confiance et un beau sourire aux lèvres :
- Où pourrais-je m’entraîner ? J’ai encore du chemin à faire avant d’être digne de l’organisation.
Informations IRL
• Prénom :Lucas
• Age : 18
• Aime : La rando, les sciences, lire et écrire
• N'aime pas : Les sports trop intense.
• Personnage préféré de One Piece : Sanji
• Caractère : Too busy being fabulous. Plus sérieusement je suis quelqu'un d'assez calme et j'adore écrire et faire des rencontres
• Fait du RP depuis : au moins quatre ans
• Disponibilité approximative : Plus ou moins tous les soirs
• Comment avez-vous connu le forum ? Google est mon seul ami et j'en cherchais d'autre :[
ONE PIECE REQUIEM ©
Dernière édition par Adal Erick Eder le Mer 1 Juin 2016 - 16:42, édité 6 fois