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Chamba La, Dieu ne s'achète pas, il se loue.

Chamba La
Pseudonyme : L'araignée, L'homme-masqué, Ray Mystery.  
Age : 26 ans
Sexe : Homme
Race : Humain

Métier : Espion / Informateur / Enquêteur.
Groupe : Officiellement CDP, Officieusement révolutionnaire.

But : Rester un mystère, démanteler les cinq étoiles, savourer un bon sashimi devant all blue, se faire dorer la pilule sur une île paradisiaque jusqu'à la fin de ses jours, (jouer) gagner au pachinko, changer de femme (celle là a des côtés despote).

Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Mimétisme, il est capable de recopier un mouvement après l'avoir vu une seule et unique fois. Esprit d'Ether, expert dans la manipulation d'esprit, l'araignée est capable d'effacer tout souvenir de sa présence dans la mémoire de ses cibles.
Agilité accrue.
Boxe de l'homme-ivre.
Équipement : Un masque, une paire de lunette d'aviateur, un chapeau à bord large, de bonnes chaussures, et une panoplie d'espion comprenant arme à feu et gadgets pratiques.

Parrain : Le nom du membre qui vous a fait découvrir le forum, le cas échéant.

Ce compte est-il un DC ? Nope.


Codes du règlement :


Description Physique
Nom, Mistery. Prénom, Ray. Nom de code, L'homme-masqué. Cet homme est un mystère qui se cache derrière des tas de mensonges et d'histoires à dormir debout. Tantôt défiguré, tantôt homme-femme travesti par l'opinion, il n'est pas chose aisé de savoir ce qui se cache réellement derrière le cuir tanné de son visage sans forme. Portant un chapeau vissé sur son attirail, l'air de rien, comme si c'était banal, Ray est du genre décontracté d'ordinaire. Petit pantalon de velours, bonne paires de chaussures, chaussettes en laine. Son long manteau en imperméable est un vestige de son passé de détective privé de la vieille école. Il garde l'élégance de ceux qui ont côtoyé la haute sans que la haute ne le sache vraiment. Une paire de gants noirs vient protéger son anonymat de toutes formes de sciences occultes aux yeux de ceux dont la seule vérité se cache dans la déduction et les interrogatoires. Des lunettes miroirs couvrent quand à elles les pupilles de l'individu. Sa dégaine est suspecte ? Surement, faudrait-il encore que Ray vous laisse le voir et vous souvenir. Quelle taille faisait-il exactement ? Quelle corpulence ? Avait-il une particularité quelconque ? Un défaut ? Est-ce qu'il boitait ou paraissait-il pressé ? L'araignée est un mystère dont le surnom vient d'une agilité particulière à grimper aux murs et autres décors fantasques.  


Description Psychologique
Paranoïaque, soupçonneux, intelligent, réactif, dangereux, touche-à-tout, fin psychologue, expert de l’interrogatoire, courageux, chevaleresque, doué d'un sang froid reptilien, amoureux de la nature, casse-cou, retors, bon négociateur, discret, aimé des animaux, solitaire, fort de conviction, meut de bonnes attentions, pétris de mépris pour l'autorité, bon pied, bon œil, passionné d'astronomie, membre du culte des secrets, assassin hors pair, fin gourmet, économe, mauvais perdant, dent-longue... Ce sont quelques adjectifs qui colleraient bien à la peau du garçon. Aussi lunatique qu'opiniâtre, on peut pourtant le dérider très facilement à coup d'ironie mordante et de vérités à demi-voilées. Il aime les vieilles histoires conspiratrices au coin du feu, et les enquêtes bien noires des quartiers sombres. Ses lectures favorites (a ce qu'il parait), ce sont les annonces mortuaires. Pour dire vrai il préfère un bon polar ou bien même des histoires drôles. Débrouillard, presque bricoleur, il aime néanmoins se faire assister si jamais cela dépasse le niveau de compétence "espion qui essaye de réparer son matos tout seul". D'un point de vue leitmotiv, le petit gars traîne ses basques dans la révolution depuis cinq ans, n'ayant pour but que de se libérer lui même autant que les autres de despotes à la soldes de l'argent. Grand humaniste et philosophe philanthropique à ses heures perdues, c'est le genre de mec à prendre les armes pour l'honneur et le style. A dire vrai certains pensent qu'il n'est qu'un opportuniste qui sent le vent tourner et la tempête pointer son nez, et profite de l'agitation pour dire qu'il a participé. Peut-être qu'ils ont raison. Mais qui sait combien de face possède la pièce de sa volonté ? Qui sait quand se révélera sa face la plus brillante ?  


Biographie


Ray est né dans une petite île perdue au fin fond de South blue, avec un cagnard à vous pierre fendre, des arbres gigantesques et une odeur d'exotisme. Il y'avait pas grand chose à faire dans ce trou des blues, si ce n'est la pêche et la récolte des fruits, mais les habitants étaient chaleureux et hospitaliers comme seul peut l'être un peuple qui a tout compris. Et qui en a gagné une sérénité sans bornes, limites ou mesures. Des être simples, des vêtements usés, de la force et du courage, voilà de quoi vivaient ceux qui naquirent sur l'île de Dix.
Notre héros commença sa vie humblement, travaillant la terre et se baladant dans des forets luxuriantes pour y vivre des aventures trépidantes. Qu'elles soient imaginaires ou réelles n'a pas sa place dans notre histoire et il n'est ni l'heure ni le moment de débattre de cela. Avec des amis, des parents aimants et des perspectives d'avenir sereines et tranquilles, notre petit révolutionnaire devenait de plus en plus grand. Bien que l'adolescence le toucha comme tout le monde à l'age de douze ans. Et ce fut le debut des embrouilles.

Atteint d'une poisse intarissable en matière de drôleries pas très drôles, le jeune homme devint rapidement le mouton noir du village. Pas qu'on lui parlait plus ou que des insultes fusaient à son passage, juste qu'on l'evitait un maximum. C'était connu, Ray attirait les malheurs comme d'autres les moustiques en pleine saison. Et tout le monde savait qu'il valait mieux ne pas subir le courroux des moustiques de l'ile de Dix. Du coup, l'espion devint de plus en plus solitaire, ce qui donna son habitude de s'isoler aujourd'hui afn de mieux réfléchir. Il y puise une tranquillité qui lui rappelle une période nostalgique, ou il n'avait qu'a mordre dans un fruit juteux pour oublier ses petits tracas de la journée.

Il fallait le voir à l'époque, une vraie petite boulette. Toujours entrain de se blesser (et souvent entrain de se plaindre), de courir au devant des catastrophes (c'est le seul gamin que j'ai vu de mes yeux se faire assomer trois fois dans la même journée par un cocotier, un véritable record !), recouvert de bandages de la tête aux pieds (comme une petite momie d'chez nos voisins, lui disait sa mère), c'était pas vraiment glamour comme tableau.

Il se mit très vite dans la tête que sa malchance devait être héréditaire tellement elle était terrible, et qu'un de ses ancêtres avaient dû froisser un dieu quelconque ou une bête mystique terrifiante. Il trouvait le destin vachement vache de lui faire subir à lui des erreurs imaginaires et fantasmées dans son esprit adolescent. Dès l'ors, il se mit à s'écarter de sa famille de plus en plus, malgré la naissance d'une petite soeur. Si on lui aurait posé la question, il aurait répondu qu'il ne voulait pas être témoin et cautionnaire d'une deuxième vie maudite par un mauvais coup du sort-Oui, il parlait déjà bien comme ça le petit Ray. Il a toujours eu un don pour la parlotte de toute façon. Mais on ne lui posa pas la question, ses parents trop occupés a essayer de sauver une maison en ruine de l'hypothèque et un emploi de plus en plus précaire, rongé par la montée en puissance toujours recrudescente de l'EMM.

A l'age de treize ans, Ray est envoyé à la capitale comme tous les petits gars, pour y apprendre le métier de cultivateur, comme le père. Tradition de l'île, quand une famille est pauvre, elle le reste. Sur le chemin pour la capitale, des bandits croiseront la route du petit bonhomme et lui laisseront un souvenir cuisant sur l'épaule droite. Tracée dans des sillons de sang, la prophétie d'un monde qui devenait de plus en plus dangereux se dessina. Ray commença à douter du bien fondé de sa mission devant la mort de l'un de ses petits camarades. Âme sensible enfermé dans une carapace d'aigreur, notre ami garda pour lui ses doutes et ravala sa peine pour arriver à Dix, la capitale de l'ile de Dix. Là ou tout autours de lui était reculé, pauvre, sec ou en culture, la capitale était une véritable merveille pour son côté provincial. On disait l'île au plus bas, prête à sombrer, mais tout paraissait riche, beau et opulent à Dix. Les hommes n'étaient pas maigre et ne tournaient pas de l’œil en haute saison. Les femmes dormaient bien et mangeaient sainement. Tout paraissait calme et tranquille, le soleil se reflétant sur les pierres blanches de la ville pour réchauffer les habitations avec une sérénité sans commune mesure. Il y'avait une garnison d'hommes avec une mouette bleu sur fond blanc sur leurs vêtements, gardant les hauteurs de la villes de toutes interactions avec l’extérieur. Toute une partie de la ville était ainsi condamnée de part en part grâce à d’énormes murs et des barbelés, des hommes gardant les points d'accès stratégiques par dizaines. Grosses bottes cirés et armes à la main, ils en imposaient pour le petit gars qu'était Ray. Il s'adapta bien vite mais de nombreuses mésaventures le guettaient déjà à peine son nez se pointa aux portes de la ville.

On le plaça donc dans les établissements de formation à la vie rurale, comme son père avant lui, et le père de son père avant. Les bâtiments étaient exactement tel que lui avait décris son paternel, prouvant l'immobilisme de l'île de Dix : Près de vingt huit ans séparaient Ray de son père, et pourtant ils allaient évoluer dans le même environnement. Les dortoirs étaient un peu décrépis et sentaient le renfermé, et se trouvaient sur la droite de l'immense manoir entouré de champs à perte de vue. L'établissement se situait sur les hauteurs de la ville, dans une sorte de vallée luxuriante protégée du soleil sudiste par ses montagnes sombres et ses arbres gigantesques.
Grandir la bas avait quelque chose de paisible et d'émerveillant. Les grands arbres verts toutes l'années, ses terrains meubles comparés aux sols bardés de crevassse de son village natale... Tout était en suspension, presque humide, un délice pour ceux qui n'avaient connu que l'éternel été de Dix et ses foutus moustiques. Quelques années passèrent, des péripéties aussi, beaucoup de mésaventures et de poilade. L'atmosphère avait adoucit Ray, qui se découvrit un humour poignant, vif, presque à la limite du supportable.

A l'âge de seize ans, il quitta l'école pour se concentrer sur son travail : faire pousser des champs de maïs. Il s'installa aux abords de la capitale, qui avaient un climat plus doux et propice à ce genre de plantations que celui de son village. Il avait eu de la chance, et il n'en revenait pas. Travaillant dans une famille de la capitale assez renommée, sa vie s'écoulait au rythme de la pousse et des réparations, aussi ordinaire qu'un pain blanc, sans ombrages. Ce qu'on attendait d'une vie d'agriculteur en milieu semi-rural. Avec ses lots de vols et de viols en plus, toujours grandissants, devant une situation toujours plus précaire pour l'ensemble de la population. Ray était mal bâti et très mal lotis pour son âge, et il se mit à apprendre les armes et le tir afin de mieux défendre son bout de terrain et son clan d'agriculteur. Son enfance était bien lointaine à présent, et le sens des responsabilités commençait à murir sous la couche de rigolade et de puberté. C'est à dire qu'il était révolté des pillages et du traitement que l'on réservait à toute une couche de la population, mais fermait son museau en attendant un meilleur hospice. L'atmosphère était tendue mais la milice et le régiment de la mouette gardaient la main mise sur la sécurité de la capitale. Il n'y avait que ses pourtours que l'on menaçaient de temps en temps par des rapines, des larcins et des crimes. Obligeant ainsi les marines a effectuer des rondes de plus en plus larges autours de la luxuriante cité d'opale. Était-ce un plan machiavélique ? Un rouage d'un projet bien plus grand que ce que pouvait imaginer tous les habitants de Dix ? On ne le saura jamais, ce genre de conspiration restant dans le secret le plus total jusqu'à ce que plus personne ne se souvienne des faits, ou soit trop vieux pour en avoir quelque chose à faire.

L'incendie est  d'ailleurs l'un des faits les plus marquant qui frappa la cité des îles du Sud, après les pillages qu'elle avait connu. il survint la vieille des dix huit ans de notre héro, qui se culpabilisa ainsi des faits toute sa vie. Facile me direz vous ? Certes, mais le sens de la responsabilité si aigue qui le caractérisera tout au long de ses aventures date de cette époque. Il quitta donc la terre de son propriétaire terrien, pour s'engager dans la milice, subissant le traumatisme d'une toute autre façon que la plupart de ses compères qui se terrèrent dans leurs terriers comme des lapins en fuite. S'il voulait affronter la mort une nouvelle fois, ce serait en la regardant droit dans les yeux, prêt à la subir et à la donner les jambes inflexiblement vissées au sol. Pour lui, il ne faisait nul doute que le terrible "incident" qui lui avait ravi ses collègues, beaucoups d'amis et de travail acharné était criminel. Il n'y avait aucunes traces, pas de témoins, rien, mais son instinct lui criait de trouver un responsable. Alors il chercha.

Quelques années plus tard, il s'engagea sous le nom de Ray Obuzoka dans la marine mondiale, voulant grimper les échelons du système pour écraser la rébellion naissante sur son île. Du moins officiellement. Officieusement il faisait partis du comité révolutionnaire de Dix (CRD ndlr) qui s'occupait de libérer petit à petit chacuns des territoires de l'île du joug de l'opresseur gouvernement. Progressivement, en douceur ... Comme dans de la naphtaline pour les croulants, disait le chef du petit comité de révolutionnaire amateur. Qui ne savait pas vraiment ce qu'il faisait. Un an après le début de son combat, l'organisation fut officiellement éradiquée, son chef torturé et exécuté en place publique, son existence reniée. Bien heureusement, la version officielle diffère toujours beaucoup de la vraie version.
Prévenus par leurs compère infiltré qu'une attaque d'envergure allait tous les faire tomber, l'organisation avait pris ses précaution pour compartimenter ses informations et sauver les meubles. Joignant un groupe de révolutionnaires issus de South Blue, elle commença a s'étendre un peu plus dans la blues, laissant son agent principal sur place sans soutient ni support. C'était le début de l'opération sous marin pour Ray, qui oublia peu à peu qu'il faisait partis de la révolution, et s'intégra en profondeur dans la superpuissante marine mondiale. Il fut vite repéré pour ses capacités d'infiltration en milieux hostiles et dans la discrétion la plus totale. On repéra son profil d'agent de terrain subtil et couteau suisse, qui pourrait contre balancer l'élite si présomptueuse et sans finesse qui existait déjà. Il intégra l'équipage d'un caporal d'Elite bien connu et craint de tous. Ray a alors 24 ans et plus aucunes nouvelles de ses amis en gris qu'il côtoyait à l'époque. Il n'en a pas pour autant oublié ses aspirations, mais continu de la jouer infiltré modèle. Si on découvrait son identité tronquée et ses intentions hostiles aux cinq étoiles, il pouvait dire adieu à quatre ans et demi de sacrifice et de silence. Alors il mit son poing dans sa poche et passa le cap du spectateur effrayé pour devenir un acteur majeur du despotisme dans notre monde. A son plus grand malheur.

Il rencontra un jolie brin de fille passé ses 25 ans, et il se maria avec elle dans la même année. Elle faisait également partie de l'EMM et ne tarissait pas d'éloge sur son compagnon : C'était un fier soldat de la marine mondiale, prêt à tout pour faire reluire son blason, et redorer ses médailles. Il n'y avait pas un serviteur plus dévoué que lui, plus enclin à répondre à ses moindres désirs. Du moins, c'était ce qu'ils pensaient tous.


Test RP




Vous êtes deux marins, même ancienneté, même puissance, même détermination. Un seul montera en grade. Justement, une action de grande envergure est actuellement menée de front par la révolution. Toi et ton collègue êtes envoyés pour calmer le jeu. Fais tout pour te démarquer et avoir la promotion. Bonne chance.


Pour vaincre un ennemi, apprend à le connaître mieux que ta propre ombre, avait dit un grand type stratège national, plein d'une exécrable confiance en ses talents grâce à quelques victoire dans des îles perdues et désertiques peuplés sûrement d'indigène faible et mal armé face au gang des mouettes. Sûrement qu'il se gaussait de la réussite de ses plans d'ensembles et de ses stratégies guerrière qu'il mettait en application depuis un bureau détaché à l'arrière, sur une colline surplombant le domaine qu'il convoitait, sous une tente savamment montée pour lui donner l'impression d'être à la maison, serviteurs et nourritures comprises. Et bien je le dis, ce connard qui n'avait jamais mit les mains dans la merde n'avait peut-être pas si tord. Mais c'est pas en pavant un texte d'écritures sibyllines et à demies-voilés de pincettes de vérités générales qu'on avance qui que ce soit dans la compréhension du bordel total. Preuve en est de ses dernières lignes. T'as eu l'impression d'avancer toi ? Bah pareil. Le mou du genou qui dépeint les événements doit être entrain d'écraser les relents de sa cigarette roulée bon marché dans son cendrier, se pelant les miches parce qu'il doit fumer dehors chez lui, qu'il a taxé à un de ses voyous qui traînent en bas d'une tour du quartier à ses risques et périls, sans une once de peur. Bravo mon grand, revenons aux choses sérieuses tu veux ?

Comme tous les matins, Ray se réveilla du pied gauche -oui,celui qui n'augure jamais rien de bon. Après avoir jeté une pincée de sel derrière son oreille droite, et fait attention a ne contrarier aucuns miroirs ni chats de la maison (il ne savait pas pourquoi sa femme avait une folle passion pour ses satanés fauteurs de malheurs, ni pourquoi il la laissait les collectionner autant) il s'engagea dans sa petite cuisine aménagée, et pourtant sympathique par ses couleurs et ses lumières, qui lui donnait une gerbe difficile à contenir quand il prenait son petit déjeuner. En conséquence de quoi, le bon Ray allait donc se réfugier sur le balcon, ou il lisait la dernière édition du Journal au calme, laissant les premiers rayons du soleil réchauffer une nuit avec sa glaciale conjointe et deux ans de vie commune vide de toutes affections. Au yeux de tous, et surtout de sa femme (ce qui expliquait ce comportement hautain de sa part, se doutait-il), Ray Obuzoka était un marine propret et fraîchement sorti du bataillon de l’élite avec les félicitations du jury. Un du genre ambitieux, rapide, taciturne et malin. Un qu'on aime bien savoir au service de la loi plutôt que l'inverse, capable de nombreuses choses avec une subtilité toute pratique pour ceux dont la mission consiste à garder une chose qu'ils doivent aussi souvent contourner qu'invoquer. Ce n'était donc pas surprenant qu'on l'invoqua ce matin là, une fois son uniforme passé et bien épinglé de ses décorations, sa femme embrassée du bord des lèvres et ses derniers croissants avalées pour une mission délicate mais croustillante. Surtout aux égards de l'autre face, celle cachée, de notre Ray national.


Le Brigadier général Moutarde, avec sa grande moustache qui s'agitait dans tous les sens à la moindre parole, s'inclina en ce sens devant Ray et son collègue d'infortune, qui restait dans l'ombre pour le moment : Soldats ! C'est une situation de crise sans aucune mesure qui nous concerne aujourd'hui tous, mais plus particulièrement vous deux ! Oui, vous deux mes chers agneaux, êtes choisis pour régler une situation difficile pour l'état et l'armée. Vous deux n'êtes pas sans savoir que de nombreux ennemis gangrènes nos îles et menace notre autorité à notre nez et à notre barbe ! La fâcheuse tendance à crier pour aucune raison précise, et le ton mélodramatique à l'extrême, c'était cadeau du brigadier. Pour contrer ses ignobles suppôts de révo, nos chers cinq étoiles ont délégué un bureau du Cipher Pol entier chargé de contrer les actions de ses monstres sans scrupules ! Il y'a quelques jours, l'un de ses membres infiltrés depuis longue date dans l'une des factions d'un atout bien connu est venu toqué à l'un des régiments pour les avertir d'une manœuvre imminente de la révolution à l'encontre de l'île ! C'est une crise que nous prenons très au serieux, et tous les effectifs des environs sont sur le qui-vive ! Cependeant nous jugeons ses mesures trop dérisoires face à la situation.

- Et pourquoi donc, un régiment entier devrait suffire pourtant ? Lâcha bêtement Ray sans réfléchir.

J'y venais mon petit ! Tonna le Brigadier en postillonnant sur le pauvre soldat qui se vite reléguer au rang de simple recrue en quelques instants. Souvenir, Souvenir. Le ton paternaliste du Brigadier, c'était aussi cadeau. Avant de pouvoir dire quoi que ce soit, notre précieux infiltré à rendu l’âme d'une façon inexpliquée, nous faisant craindre le pire quand à la sécurité de tous nos effectifs ! C'est pourquoi on voit envoi sur place pour démêler la situation, on a besoin de deux gars dans votre genre, avec vos qualités et vos caractères divergeant mais complémentaires. Si l'on a affaire à un rat infiltré dans nos rangs, vous saurez et pourrez agir en conséquence. Termina le général en faisant un signe bien connus de tous, ne laissant rien présager de bon si l'on retrouvait l'animal.

Ray déglutit et hocha la tête vigoureusement.

Je vous laisse faire connaissance, mon enseigne vous donnera tous les détails en route ! Que la force militaire soit avec vous mes enfants !

Et sur ce il sortit sur le champ, laissant Ray avec son nouvel ami. Il se tenait encore fermement dans l'ombre, et notre espion en herbe en conclut que celui-ci avait quelque chose à cacher. Il s'avancer vers l'inconnu, sans peur ni reproches, sa couverture fermement brandit au dessus de sa tête. Ils allaient travailler ensemble, et Ray ne pouvait pas faire mieux dans le genre « Vas-y j't'embrouille ni-vu-ni-connu ». Il avança sa mains dans l'ombre sans ciller ni battements de cœur pouvant le trahir. Le mensonge était une habitude bien rodée chez lui depuis de nombreuses années.

- Caporal d'elite Obuzoka, enchanté !
Mh. Lui répondit la créature silencieuse dans le coin, esquivant ses embrassades et sortant de l'ombre pour se dévoiler.

Et le vilain secret n'était pas si vilain que ça. C'était pas un, mais une soldat qui l'assisterait pour cette mission. Et plus Ray la regardait, et moins il la trouvait commode. Plutôt tiroir caisse, faites pour encaisser les deniers et distribuer les targettes. Si tu vois ce que j'veux dire. Elle avait un sabre à la ceinture, des cicatrices blanches sur le visage et des mains cachée sous ses bandages. Surement pas manucurée. Et à juger par son attitude glaciale (qui n'était pas sans lui rappeler celui d'une autre femme, beaucoup plus proche de lui que celle là), elle devait être le genre à découper puis à poser les questions ensuite. Genre boucher en plus bad ass, ou un de nos chers élites en version féminine : Beaucoup de muscles et de ruse, mais pas un kopeck d'intelligence. Que ce soit du à un manque de matière grise ou bien par un manque de volonté à l'utiliser ne changeait rien à l'équation du problème. C'était pas pour rien qu'on envoyait l'Elite en situation de crise. Heureusement, les soldats comme lui commençaient à pleuvoir sur la marine, et bientôt peut-être ils pourraient régler leurs problèmes autrement que dans le sang et les cadavres.

C'était sans compter sur Alessia Ravanez (la p'tite blonde qui faisait plus briller son sabre que ses souliers) avec qui il devait faire équipe. Ray lança une petite blague par dessus son épaule pour détendre l'atmosphère, sans grande réussite, et se dit que ce voyage n'allait décidément pas être jouasse. Lui qui aimait pas ce qui tanguait, il était servit avec son nouveau métier, et c'était là qu'on remarquait le sang froid de l'espion qui pointait en lui et gouvernait sa vie.


Quelques jours plus tard.


Embarqué dans le radeau de la méduse (tellement l'immobilité à son bord était impressionnante), Ray et son acolyte passe la traversée sans encombre particulier. Un drapeau de la mouette vissé sur le mat, ça à ses avantages en passant. Personne pour vérifier la cargaison ou les papier, ni même les armes à bord. Il faut s’enchaîner pour être libre, encore un paradoxe de plus dans notre monde brutal. Du coup le petit navire traversa la mer plate et sans vie qu'aucun autres qu'eux ne pouvaient foulé de la proue. Calm Bet. Un silence irréel planait sur l'océan vide et sans escales, tellement que l'on pouvait entendre même les mouches péter. Au moins personne ne dirait qu'Alessia portait malheur si l'on subissait une tempête. Normal, il ne pouvait en y avoir aucune d'aucune sorte ici-plat.
Sans subir de déconvenus, Ray n'arriva pas à tirer un seul renseignements utile à sa partenaire. Tout ce qu'il avait c'était son nom, sa mission, et aucun renforts ni soutiens. Une spirale infernale qui pourrait le conduire tout droit à l'echec de sa double mission. Ses intentions malhonnête en poche, il discutait souvent avec son homologue, sur un ton badin, n'arrivant pas à échanger autre chose que des banalités. La verve et la langue pourrait aussi bien le perdre que lui permettre une victoire sans ambages sur la difficultés. Mais mieux valait pas trop se mouiller pour des renseignements. Surtout que sur Calm bet, la baignade était difficile … et définitive. Sans pour autant se démonter, il posait quelques questions par ci, par là, cernant au moins la personne à qui il avait affaire. Et dire qu'elle était difficile n'était qu'une euphémisme de plus dont se serait bien passer notre gredin préféré. Dans sa quête de la paix pour que ses frère prospèrent, il allait devait se poser beaucoup trop de questions et marcher plus que d'ordinaire sur des œufs. Il avait fort à faire et beaucoup à craindre, deux éléments qui plaçait cette mission dans l'une des plus difficiles de sa carrière : Manier avec une brute qui possède un utérus et une paire plus aimable encore que les croissants du petit dej. Lui qui ne frappait jamais une femme allait devoir revoir son jugement, il existait des tank avec un sexe féminin, mais sa s'arrêtait là. Il l'avait découper toutes sortes de trucs depuis le début du voyage : Une chose était sûr, l'enfermement l'énervait au plus haut point, portant ses nerfs à rudes épreuves et mes angoisses au plus haut points.

Il allait  falloir la convaincre de commencer par poser des questions d'abords, et taper ensuite.



Quelques années plus tôt.

-Méfie toi … Gomora … La voix de son camarade s'éteignit dans l'obscurité d'une caverne à flanc de montagne. Son corps était froid malgré la chaleur mordante de la plaine désertique. Trop tard. Tout l'avant poste avait été décimé, et selon les marques qu'il avait suivit pour venir jusqu'ici et découvrir le massacre : Par un seul homme ! Le charabia de son ancien ami maintenant passé du côté des morts ne l'aidait pas plus que ça … Gomora sa ne lui disait rien de rien !
Il remballa les cadavres et les emporta sur son énorme monture qui ne ressemblait pas à un cheval. Il les resituerait aux familles qui les immoleraient dans le plus grands secrets, comme de tradition chez les révolutionnaires. La moindre perte pouvait faire bouger l'ennemi sans autre forme de procès, et rompre le faible équilibre qui existait encore entre les deux factions. L'organisme tentaculaire devait subsister par tous les moyens, que ce soit dans l'esprit ou la chair de l'Etat délètere.  

De nos jours.




- Terre en vue ! Perça la voix de la vigie dans le silence oppressant qui saisissait l'île et son pourtour. Tout semblait si grave et si poisseux. Ray toucha le trèfle à treize feuilles qu'il portait autours du coup et devait lui apporter chance et réussite. Mon cul ouais, il allait devoir encore se démerder comme il le pouvait, avec les moyens du bords et du bâbords. La chance ne lui souriait jamais, comme s'il l'avait froissé à la naissance. Du coup, entre sa solitude totale d'infiltré, sa femme frigide, sa partenaire plus froid que l'hiver et son mal de mer, il commençait déjà à souper la mission. Il allait en plus devoir tomber sur le colonel le plus borné de toute l'histoire de l'humanité. Une grande guele du nom de Colonel Hook, qui n'avait pas compris qu'ils étaient tous soupçonnés et que son autorité avait été mise à pied. Encore heureux qu'on donnait pas les ordres au nom de l'élite, sinon je crois bien que le colonel aurait pété une durite violent, à en devenir violet-pourpre-mauve. Avec le papier du Brigadier, et celui du Cipher Pol, les deux soldats avaient une couverture idéale qui ne mettaient pas tout le monde à cran. Et pourtant c'était bien à eux de déterminer la marche à suivre après avoir enquêté sur tout ce beau monde. Heureusement, tout un contingent de soldats ordinaires avaient été dépêchés sur place, avec à leurs têtes le Lieutenant Blake, qui avaitune solide expérience en matière de gradés. Ayant été l'enseigne d'un sous-amiral, il savait comme prendre ses bêtes là (avec des pincettes à ce qu'il parait, mais Ray n'en savait pas vraiment plus pour le moment) pour s'en faire des alliés, mais surtout jamais des ennemis. Il apprendrait tout son art (qu'il avait appris également lors d'un passage dans les forces CP du gouvernement, comme quoi ils faisaient bien tous partie du même grand panier) à Ray sans se douter de toutes les portes que cela pourrait lui ouvrir. Savoir manigancer dans l'ombre, et manœuvrer un dignitaire ? Quoi de mieux pour Ray qui suivait donc le lieutenant comme son ombre, tandis qu'Alessia observait tout ça d'un œil semblant distrait.

Pourtant, elle disparaissait toutes les nuits pour s'enfoncer dans le dédales de rues et de pavés de la ville.

Personne ne peut se révolter sans en payer le prix ! Nous sommes les boucliers indivisibles de la justice, nous ne pouvons pas laisser la corruption dévorer nos rangs... C'est une honte pour notre armée qu'un pareil incident se soit produit dans un QG ! Il faudrait peut-être même que je démissionne afin de faire amende honorable ... Commença l'interrogatoire du Colonel en ses termes. Une fois compris qu'il ne pourrait déroger aux questions des deux soldats, il se mit à table sans aucune forme de procès, dépeignant les événements avec une précision fort pratique. Si son témoignage aurait pû être utile ! Mais depuis le début, ils se heurtaient au mur de l'inexplicable. Personne n'avait rien vu ni entendu, pas de traces d'effraction ni même de luttes nulle part ailleurs que dans le lit des gradés après une nuit avec un catherinette. Rien de rien, c'était presque iréel tant c'était frustrant pour l'âme d'enquêteur de notre jeune homme. C'était impossible, il devait y avoir des preuves ! Se disait-il et répétait-il à longueur de journée dans sa barbe, à qui de ses poils voulaient l'entendre. Mais rien ne trainait sur les lieux du crimes, ni sur la base, ni même dans chacun des foutus recoins de cette île qu'il avait fouillé. Un vrai mystère pour quelqu'un qui avait passé sa vie à chercher des traces, et à les faire croître pour qu'elles soient utiles. La terre, la pierre, les végétaux, sa le connaissait et sa lui servait à chaque fois qu'il devait résoudre un mystère.  Et là, rien ne collait. Que ce soit la version, le terrain ou les gens présent ici. Il y'avait un truc qui clochait, personne n'aurait dû être capable de faire ce genre dans ce coin-ci de la planète.

- Eh, Obuzoka se trompa une nouvelle fois ma camarade sur mon nom de famille, le crachant comme on se débarrasse d'une bronchite. Je te l'avais dis que sa marcherait pas ton truc. Et si on le faisait à ma façon ? On lâche les chiens et on attrape tout ce qui bouge une oreille ... !

Rapport d'interrogatoire, Par le Caporal Obuzoka.

Ce qu'il y'a d'étrange sur l'île de XxXx c'est que tous les hommes semblent hors de soupçons, fidèles à un point extrême à notre cause, et innocent comme des enfants. Que ce soit le Colonel, son enseigne, ou bien même le régiment entier, il n'y en a aucuns qui pourraient, ne voudraient, ou n'envisageraient même pas l'idée de nous trahir. Nous avons pris le temps avec ma consœur d'examiner le cas de chacun, son mode de vie, ses habitudes et routines, ses défauts, ses qualités, sans arriver à la moindre conclusion satisfaisante (si je puis dire de savoir si l'un des nôtres nous fait manigance). Nous continuons donc nos enquêtes sur les lieux du "crime" qui semble n'avoir jamais existé.
Après analyse du corps, ce qui semblait plus à une bouillie informe munies d'une dentition partiel et de quelques doigts, nous n'avons réussit à trouver l'origine du décès. Notre agent du Cipher Pol semble littéralement s'être évaporer comme un écran de fumée. Rien de ce que pense ou n'a pu voir les soldats ne peut nous éclaircir se chafouins, c'est véritablement un casse-tête insoluble. Un corps méconnaissable, pas de preuves matérielles, rien qui indique qu'un révolutionnaire connus de nos services à fait son affaire ici, ni aucuns signes distinctifs ou bien même revendications. C'est le calme plat sur l'île XxXx. Je ne vois d'ailleurs rien qui ne pourrait attirer nos ennemis naturels de venir fourrer leurs sales petits nez ici. Nous avons décider d'un commun accord de tendre un piège d'ici quelques jours, si jamais la situation n'avance pas. En attendant, je vous envois le rapport détaillé et les dossiers de tous les soldats présents.
De plus Le colonel commence à s'impatienter de voir se dossier se clore, et me presse de plus en plus de le faire. J'use de toute mon influence possible pour faire retarder les choses, mais l'inéluctable semble se présenter à pas pressant sur l'île XxXx... Déjà la population est au courant de la présence d'un tueur dans nos rangs, et commence à gronder que le mal s'est emparé de la mouette comme de n'importe quel animal.

En attendant votre visite, honorable Cipher Pol 0, veuillez agréer par la présente mes salutations distinguées.


- Ray...
- Attends une seconde.
- Ray ...
- Attends ...
- On a pas une seconde.

Un éclat de grenade explosa près de son oreille droite. Des balles pleuvaient au dessus de sa tête. Ray rangea rapidement les papiers qu'il venait de trouver dans le bureau du colonel, et se refugia derrière la table que son acolyte avait retourné de manière savante et experiencée. Heureusement que l'administration de l'EMM fournissait des bureaux de première qualités, avec une résistance à toute épreuves, même les balles. Sinon cela ferait longtemps qu'ils auraient été transformé en gruyère fumant, avec un bon arrière-gout de plomb dans la bouche. Oui, comme à la chasse avec le gibier. Et là, la question qui vous taraude c'est : Comment on a fait pour en arriver là ? Et bien je vais vous avouer mes petits amis que je faisais la sieste quand c'est arrivé, alors les détails sont un peu floutés...  Toujours en est-il que nos deux amoureux de la droiture se trouvaient en fâcheuse posture, à découvert, derrière une ligne ennemis qu'ils ne pouvaient voir, ni compter, et encore moins combattre dans cette position. Il fallait vite trouver une solution pour trouver quelque chose de plus confortable pour surclassé un ennemi sur-armé, sur-entrainé et en sur-nombre. Il faudrait les sur-prendre me glissa Ray tandis qu'il réfléchissait à une voie de placard tout à fait convenable. Il fallait néanmoins faire une percée, et ce n'était pas sa spécialité... Ni une, ni deux, sa partenaire venait de se lancer dans le couloir avec une vigueur indomptable et un charisme sans ambages. Vaincre ou mourir deviendrait peut-être son leitmotiv si jamais elle s'en sortait cette fois.

Mais c'était plus que ce que Ray demandait pour faire son office.

En moins d'un battement de cil, il se retrouva perché à la fenêtre, et fit le tour de la salle par l'extérieur, se tenant une bordure plus fine que sa semelle de chaussure. Pourtant il devait tenir, comme sa partenaire, s'ils voulaient s'en sortir. Il tira, tira, puis retira toute présence de lui, il n'existait plus au yeux du monde, il était partis sans un retour en arrière. Il avait compris que cette mission était un piège pour le découvrir. L'instinct du chasseur ? Oui. L'instinct du révolutionnaire infiltré aussi. Il était déjà partis pour une autre ruelle, un nouveau nom, de nouvelles aspirations révolutionnaire.

- Eh, toi là !
- Qui ça, moi ?
- Oui toi, ramène toi si tu veux vivre !

Une mamie a l'air espiègle, un tricot a la main, deux épingles tendues dans ma direction, m'indique une ruelle dans laquelle me planquer. Elle m'indique une boulangerie et une autre vieille dame à l'air espiègle. On dirait deux sœurs jumelles bien que leur nez ne soit pas dirigé de la même façon. J'entre quand même et j'entends derrière moi une voix qui chuchote : Et surtout laisse la monnaie a la boulangère quand tu achèteras le pain !

J'entre sans comprendre, ni raison particulière.

Bonjour, vous voulez une baguette ? ! *Attends, c'est pas normal ça je rêve !*
Bonjour, vous voulez une baguette ? ! *Elle répète sans discontinuer la même chose*
Bonjour, vous voulez une baguette ? ! *Elle me gave avec sa baguette, pourquoi elle dit ça !*

Oui, et bien bien bien cuite s'il vous plait ! Elle me lance une baguette trop cuite que je laisse par terre. Les coups de feu que j'entendais depuis le début s'arrêtent. Et je laisse la monnaie sur un petit comptoir poussiéreux et mal entretenu. Une sirène retentit, et je flippe. La mamie s'ouvre en deux et deux silhouette en noir, pourvue de masque me regardent. Une est rousse, l'autre est couverte d'un bonnet. Je flippe d'autant plus mais lance un ...

- Euh Bonjour ... ?
- Salut à toi, jeune révolutionnaire ...Ou vieux, dépends de qui t'es et ce maudit escargot ne fonctionne plus très bien. Si tu es ici c'est qu'on a voulu te piéger. Si tu es ici c'est que tu dois faire un choix ... C'est l'heure ! Révolution ou tu meurs !

Une épaisse fumée s'échappe des silhouette et me voila endormit.


la suite IG:




 
Informations IRL

• Prénom :
• Age :
• Aime :
• N'aime pas :
• Personnage préféré de One Piece :
• Caractère : Quelques mots pour vous décrire ? C’est toujours plus agréable de savoir avec qui on écrit...
• Fait du RP depuis :
• Disponibilité approximative :
• Comment avez-vous connu le forum ?


ONE PIECE REQUIEM ©



Modèle sans codage
    Yo Lä,

    Je viens pour le premier avis Smile

    Alors j'aimerais qu'on éclaircisse deux points particuliers avant d'éplucher l'ensemble de ta présentation.

    1. Dans les descriptions physique et psycho, j'ai l'impression que tu prends la capacité "Esprit d'Ether" comme acquise mais je tiens à te prévenir que ce n'est pas le cas (pareil pour l'autre capa d'ailleurs). Il va falloir d'abord passer par la phase de leur validation puis faire la demande pour les avoir avant de les jouer inRP. Sachant qu'on ne t'accordera pas forcément la possibilité d'avoir les deux en même temps dès la validation.

    2. Je n'arrive pas à déterminer exactement dans quel groupe te mettre. C'est mis CDP/Révo mais la bio mentionne le fait que le perso soit un révo infiltré dans la Marine mais pas un mot sur comment il est devenu CDP. À la fin de la bio, il est toujours marine. Dans le test RP non plus, pas de mention sur comment le perso devient CDP. Vu comment la bio et le test RP se terminent, pour moi le perso est officiellement marine mais officieusement révo. Si tu veux le passer CDP, il va falloir nous pondre un RP pour le justifier après ta validation mais à l'état je te valide plutôt marine.

    Bon, épluchons à présent cette présentation.

    Tu as changé d'avatar entre-temps alors ta description physique ne colle plus du tout à ton avatar actuel mais bon, je ne vais pas chipoter sur ce détail car t'es libre d'habiller ton perso comme tu veux.

    Dans la biographie mais surtout dans le test RP, il y a trop des rebondissements qui n'ont aucun lien logique. J'avais l'impression de sauter dans le temps sans savoir le pourquoi du comment. C'était comme lire un truc écrit par une personne qui a décidé de mettre sur papier ce qui lui passait par la tête sans chercher à lier les idées pondues entre elles ensuite. Du coup, j'ai été plus que perdue en te lisant. Par moments, je ne comprenais vraiment rien que j'ai été obligée de reprendre ma lecture pour voir si je n'avais pas loupé un détail. Par exemple à la fin du test RP tu mentionnes ceci " je goûte le pavé pour la seconde fois aujourd’hui" puis tu mets " j’essaye de me lever mais mes bras son lié par de fortes chaines et des cadenas bien vissés dans le sol. La chaise est inconfortable et mon dos me fait mal" Comment a-t-il pu mangé le sol s'il est solidement immobilisé sur une chaise par des chaines fixées au sol ??? Toujours dans le même paragraphe, au début le personnage parle puis on apprend ceci "Ils m’enlèvent mon bâillon, je leur crache à la gueule et leur dit d’aller se faire foutre".

    Il y a vraiment trop des détails futiles dans cette présentation qui ne font que rallonger le tout sans apporter rien d'intéressant. D'ailleurs l'introduction du test RP est bien trop longue à mon gout. Tu nous noies d'informations sur ta coéquipière. Certes, il est important de savoir qui c'est mais quelques lignes pour la décrire aurait suffit car ce n'est pas le sujet principal du test.

    Sinon, tu as une plume bien maitrisée mais c'est tâchée de maladresses et des fautes sur le "se" au lieu de "ce" et vice versa et tu as tendance à ajouter un "s" là il ne faudrait pas. Je t'ai fait un relevé qui est loin d'être exhaustif:
    C'est pourquoi on voit envoi sur place pour démêler la situation >> on l'envoie sur place
    pour ses satanés fauteurs de malheurs >> Ces satanés
    un signe bien connus de tous >> connu
    aucun renforts ni soutiens >> renfort ni soutien
    Il avança sa mains dans l'ombre >> sa main
    Gomora sa ne lui disait rien de rien ! >> ça ne lui
    qu'il portait autours du coup >> cou
    il savait comme prendre ses bêtes là >> ces bêtes
    sa le connaissait et sa lui servait à chaque fois >> ça […] ça
    Je te l'avais dis que sa marcherait pas ton truc >> ça
    il n'y en a aucuns qui pourraient, ne voudraient, ou n'envisageraient même pas l'idée de nous trahir >> il n'y en a aucun qui pourrait, ne voudrait, ou n'envisagerait

    Enfin bref, je m'arrête là.

    J'achète pour 600 D et validation en tant que marine et non CDP.

    Si tu as des remarques à faire ou des questions à me poser, n'hésite pas à m'envoyer un MP ou guette-moi sur la CB ^^

    Sur ce, amuses-toi bien à bord une fois le second avis donné ;)
    • https://www.onepiece-requiem.net/t10809-fiche-de-la-danseuse-du-
    • https://www.onepiece-requiem.net/t10689-yamiko-la-danseuse-du-vent-completed
    Bienvenue à toi, premier commentaire sur ta fiche :

    Niveau forme :
    J’ai un petit souci avec ta façon d’écrire. Des fois, tu utilises des mots pas du tout à leur place :
    « D'un point de vue leitmotiv, le petit gars traîne ses basques dans la révolution depuis cinq ans »
    Typiquement, là. C’est pas du tout le sens de ce mot.

    « Vaincre ou mourir deviendrait peut-être son leitmotiv si jamais elle s'en sortait cette fois. »
    Là, c’est le sens de ce mot.

    « Mais qui sait combien de face possède la pièce de sa volonté ? »
    Là aussi, une pièce a deux faces. Tu aurais pu juste l’enlever et laisser ta phrase avoir du sens.

    « Avec des amis, des parents aimants et des perspectives d'avenir sereines et tranquilles, notre petit révolutionnaire devenait de plus en plus grand. Bien que l'adolescence le toucha comme tout le monde à l'age de douze ans. Et ce fut le debut des embrouilles. »
    Pourquoi bien que ? Où sont les accents ?

    « Il fallait le voir à l'époque, une vraie petite boulette »
    Qu’est-ce que tu veux dire par boulette ? Il fait des boulettes ?

    « Si on lui aurait posé la question, il aurait répondu qu'il ne voulait pas être témoin et cautionnaire d'une deuxième vie maudite par un mauvais coup du sort »
    Si + imparfait, conditionnel présent
    Si + plus-que-parfait, conditionnel passé
    Et pourquoi du vert dans le texte ?

    « Heureusement, les soldats comme lui commençaient à pleuvoir sur la marine, et bientôt peut-être ils pourraient régler leurs problèmes autrement que dans le sang et les cadavres.

    C'était sans compter sur Alessia Ravanez (la p'tite blonde qui faisait plus briller son sabre que ses souliers) avec qui il devait faire équipe. »
    Un petit saut de ligne sans raison.

    « Il avait fort à faire et beaucoup à craindre, deux éléments qui plaçait cette mission dans l'une des plus difficiles de sa carrière : Manier avec une brute qui possède un utérus et une paire plus aimable encore que les croissants du petit dej. »
    Je n’ai rien compris, là.

    Niveau concordance des temps, ce n’est pas maîtrisé. Tu alternes sans raison entre les temps du passé et du présent.

    Niveau fond :
    Description physique :
    Pour le coup, tu n’as presque pas décrit ton personnage. Pourquoi n’aurais-tu pas de visage ? Pourquoi crois-tu que tu vas avoir des pouvoirs magiques ? Et même en supposant que tu aies cette capacité que je contesterai, ça ne t’empêche pas de décrire ton personnage quand tu ne l’utilises pas.
    Du coup, tu aurais pu laisser la section vide tellement tu n’en as rien dit.

    Description psychologique :
    J’ai toujours eu du mal avec l’archétype : intelligent, déterminé, fort. Mais, passons.
    Finalement, elle est meilleure que la description précédente, mais reste assez floue. Et pas un flou artistique, mais plutôt une impression d’étrangeté. Comme si ce n’était pas un personnage fini. Je préfère supposer que tu vas développer ton personnage IRP.

    Histoire :
    Le souci que j’ai avec ton histoire est que tu développes pas mal des parties du récit qui n’apportent rien à ta narration et tu sautes les points importants. Cette histoire d’incendie me semble essentielle quand même. Surtout de la manière dont tu l’as présentée.

    « Quelques années passèrent, des péripéties aussi, beaucoup de mésaventures et de poilade. »
    Parler de ça par exemple me semble plus important que de raconter l’absence de rénovation d’une école, non ?

    Tu ne peux pas être de la marine ET chasseur de prime. Je peux admettre que tu sois un révolutionnaire infiltré, mais pas ça. Fais ton choix, ou alors justifie ton départ de la marine et ton intégration aux chasseurs de prime. Les deux en même temps, ce n’est pas possible.

    Test RP :
    Pour le coup, il est carrément mieux écrit ce test. Les fautes restent égales à elles-mêmes, mais on va plutôt parler du fond.
    Un petit bateau sur Calm Belt ? C’est juste surréaliste. Même si la mer est calme, il faudrait qu’on confie à deux marins un bateau à fond de granit marin pour qu’ils ne soient pas emmerdés. Et encore, c’est juste parce que les monstres marins ont du mal à réaliser qu’il s’agit d’un bateau.
    Le FB n’apporte rien à l’intrigue.
    Un agent du CP se fait fumer et ils envoient deux petits jeunes de la marine d’élite enquêter dessus ? Ça n’a aucun sens.
    Qui te tire dessus, en fait ? Et pourquoi des révolutionnaires te torturent alors que tu y es depuis des années ?

    Bref, une présentation assez brouillonne tant en termes de syntaxe que de contenu. Le tout reste relativement bien écrit. Je serai moins généreux que Yamiko en partant sur 500 Dorikis ce qui te valide à 550D

    Pour le groupe de ta validation, cela dépend de l’identité de ceux qui t’ont tiré dessus. Soit c’est la marine est tu seras révolutionnaire, soit ce sont les révolutionnaires et tu seras validé en tant que marine. Quant à être CDP, ce n’est pas possible avec cette biographie. En ce qui concerne tes capacités, elles sont toutes gravement abusées. Tu l’apprendras en passant en FT de toute façon, nul besoin de se précipiter.
    • https://www.onepiece-requiem.net/t17103-truc-administratif
    • https://www.onepiece-requiem.net/t6089-julius-raconte-fiche-terminee
    Ok je comprends les gars pas de soucis vous avez raisons je modifierais ma façon d'écrire en fonction de ça pour mieux coller à l'étiquette du forum et a ses codes.
    Sa me va d'être vu comme marine et je jouerai IG son intégration en tant que révolutionnaire infiltré.

    Voilà merci pour vos commentaires bises a tous.
      Tu m'as mal compris, ce ne sont pas des codes d'écritures pour le forum. Ils sont classiquement les mêmes partout. Le sens des mots est tiré du dictionnaire et la concordance des temps fait partie des règles de français. En ce qui concerne le fond, c'est à toi de faire parvenir à ton lecteur le sens de ton texte et pas à lui de se faire une entorse du cerveau pour te suivre. Ce n'est pas une originalité intrinsèque au forum de te demander de faire attention à la forme et au fond de tes écrits.

      D'ailleurs, au pire, tu n'as pas à t'adapter au forum. Écris comme tu le sens si tu estimes que rien dans ce qu'on a dit n’est pertinent. C'est un espace de liberté ici. Si tu as ton propre style qui est parfois en contradiction avec les règles usuelles de rédaction, fais-toi plaisir. Assume simplement quand ça ne fonctionne pas comme tu le voudrais.

      Mais là, tu n'as pas encore répondu à la question : quelle est l'identité de ceux qui t'ont tiré dessus et pourquoi l'ont-ils fait ?

      Pour ma part, tu as parfaitement le droit de porter la double casquette dès le début. Ta biographie le justifie et ça ne pose pas de soucis. Mais tu ne peux être chasseur de prime alors que tu es engagé dans la marine.
      • https://www.onepiece-requiem.net/t17103-truc-administratif
      • https://www.onepiece-requiem.net/t6089-julius-raconte-fiche-terminee
      C'est la marine qui nous tire dessus car ils pensent qu'il y'a un traitre dans les rangs (moi) en l'occurrence. Je pensais In Game, me faire sauver par des révolutionnaire et devenir CDP pour prouver ma bonne foi au EMM.

      S'en suit tout un jeu de poursuite entre celle qui m'accompagnait, ma nemesis, etmoi. Car elle a eu la promotion et compte bien m'éliminer. Voila si ça convient bien sur.

      Pour les règles de français je suis la pour les réaprendre donc tout vas bien.