Staz D. HIRAKI
• Pseudonyme : Pour le moment aucun, c'est au monde de le lui créer.
• Age : 15
• Sexe : Homme
• Race : Humain
• Métier : Marine
• Groupe : Marine
• But : Devenir Amiral et prendre le contrôle du G5
• Équipement : La carte de vie de sa soeur, qu'il n'a plus revue depuis qu'il est entré dans la Marine.
• Parrain : Google
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Non
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? Personne
Codes du règlement :
• Age : 15
• Sexe : Homme
• Race : Humain
• Métier : Marine
• Groupe : Marine
• But : Devenir Amiral et prendre le contrôle du G5
• Équipement : La carte de vie de sa soeur, qu'il n'a plus revue depuis qu'il est entré dans la Marine.
• Parrain : Google
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Non
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? Personne
Codes du règlement :
Description Physique
Staz D. Hiraki est normal pour notre monde, bien petit dans celui de One Piece. Ses 1m73 ne lui permettent en effet pas de dépasser grand monde, entre les humains de 3 mètres et les géants qui l'entourent. Ses cheveux presque blancs semblent danser devant son visage, quitte à lui cacher la vue et à l'empêcher de bien se battre. Ses camarades de la Marine le charient souvent dessus d'ailleurs. Ses deux grands yeux marrons transpersent les pirates qui osent croiser son chemin, et qui ne font d'ailleurs pas long feu.
Lorsqu'il se déplace, il aime traîner les pieds, avec son air dédaigneux, signifiant qu'il ne faut pas le déranger. Et lorsqu'un malheureux ose le faire, il se voit jeté en pleine face un "Quoi ?!" qui semble signifier de le laisser tranquille, même, et surtout quand il s'agit d'un de ses supérieurs, ce qui lui vaut de se faire punir assez régulièrement de corvée de patates. Cela ne le dérange pas plus que cela.
Ses bras ballants s'agitent en tous sens, lorsqu'il marche, tels deux balnciers symétriquements opposés, dans un "tic tac" provoqué par ses bracelets qui claquent sur ses fins poignets.
Enfin, il a la faculté de se trouver là où on ne l'attend pas. Sans même que vous ne vous en rendiez compte, il se trouve déjà derrière vous, vil pirate, et vous a déjà menotté et quasiment égorgé.
Au niveau du combat, il se bat à mains nues et préfère tuer ses adversaires en leur tordant le cou et en les immobilisant plutôt qu'en les attaquant de front avec un sabre.
Méfiez-vous donc de lui. Malgré son aspect enfantin, il peut être bien plus dangereux que le plus vicieux des pirates.
Lorsqu'il se déplace, il aime traîner les pieds, avec son air dédaigneux, signifiant qu'il ne faut pas le déranger. Et lorsqu'un malheureux ose le faire, il se voit jeté en pleine face un "Quoi ?!" qui semble signifier de le laisser tranquille, même, et surtout quand il s'agit d'un de ses supérieurs, ce qui lui vaut de se faire punir assez régulièrement de corvée de patates. Cela ne le dérange pas plus que cela.
Ses bras ballants s'agitent en tous sens, lorsqu'il marche, tels deux balnciers symétriquements opposés, dans un "tic tac" provoqué par ses bracelets qui claquent sur ses fins poignets.
Enfin, il a la faculté de se trouver là où on ne l'attend pas. Sans même que vous ne vous en rendiez compte, il se trouve déjà derrière vous, vil pirate, et vous a déjà menotté et quasiment égorgé.
Au niveau du combat, il se bat à mains nues et préfère tuer ses adversaires en leur tordant le cou et en les immobilisant plutôt qu'en les attaquant de front avec un sabre.
Méfiez-vous donc de lui. Malgré son aspect enfantin, il peut être bien plus dangereux que le plus vicieux des pirates.
Description Psychologique
Staz voit le monde comme un grand échiquier, dirigé uniquement par le destin, Dieu suprême du monde, omniprésent, omnipotent et tout puissant, invisible, mais malgré tout influençable. Selon lui, chaque personne en ce monde a son rôle à jouer et représente une pièce sur ce grand échiquier. Un mort n'est selon lui, rien de plus qu'une pièce qui se fait manger, et que si elle se fait manger, c'est car le joueur d'échec l'a sacrifiée pour mettre en place sa stratégie.
Selon lui, rien ne sert de fuir face à un adversaire, puisque s'il est là, c'est à cause du joueur d'échec. Selon lui, il faut l'affronter, et tenter de le mettre hors jeu, afin de mettre en place cette stratégie géante. Cependant, bien qu'il ne serve à rien de fuir, Staz essayera tant bien que mal d'éviter le combat direct. Il préfèrera laisser ses compagnons se battre à sa place, et donner le coup de grâce par derrière.
Staz a également l'habitude de jouer aux dés. Le bruit qu'ils font en roulant lui permet de se détendre.
Il s'entend assez bien avec les marines bien qu'il soit parfois un peu (beaucoup) "bougon". Par contre, il hait les pirates. Selon lui, ce sont des hommes sans foi ni loi qui ne servent qu'à déstabiliser le monde et qui sont prêts à tout pour arriver à leurs fins, même à commettre les pires attrocités. Il ne voit donc aucun mal à, comme le faisaient les membres du G5 en leur temps, les torturer et les tuer. Ils ne méritent que ça.
Par contre, il adores les gâteaux et le thé. Si vous voulez devenir son ami, un bon cake suffit.
Ah ! Et il est claustrophobe. Désolé pour les sous-marines, mais il ne peut pas les rejoindre...
Selon lui, rien ne sert de fuir face à un adversaire, puisque s'il est là, c'est à cause du joueur d'échec. Selon lui, il faut l'affronter, et tenter de le mettre hors jeu, afin de mettre en place cette stratégie géante. Cependant, bien qu'il ne serve à rien de fuir, Staz essayera tant bien que mal d'éviter le combat direct. Il préfèrera laisser ses compagnons se battre à sa place, et donner le coup de grâce par derrière.
Staz a également l'habitude de jouer aux dés. Le bruit qu'ils font en roulant lui permet de se détendre.
Il s'entend assez bien avec les marines bien qu'il soit parfois un peu (beaucoup) "bougon". Par contre, il hait les pirates. Selon lui, ce sont des hommes sans foi ni loi qui ne servent qu'à déstabiliser le monde et qui sont prêts à tout pour arriver à leurs fins, même à commettre les pires attrocités. Il ne voit donc aucun mal à, comme le faisaient les membres du G5 en leur temps, les torturer et les tuer. Ils ne méritent que ça.
Par contre, il adores les gâteaux et le thé. Si vous voulez devenir son ami, un bon cake suffit.
Ah ! Et il est claustrophobe. Désolé pour les sous-marines, mais il ne peut pas les rejoindre...
Biographie
Staz est né sur une petit île de Grand Line. Il passa son enfance dans le plus grand des calmes, sans incident majeur. Il allait souvent se promener sur les rochers, au plus grand désespoir de ses parents. Il partait ainsi le matin, sans rien dire à personne, et rejoignait Near et Nemo, avant de courir et de sauter, de caillou en caillou, de pierre en pierre, d'arbre en arbre... C'était comme ça presque tous les jours. Mais, parce qu'il y a un mais, le jour de ses 13 ans, il partit comme d'habitude. Tout se passa bien au début. Il partit accompagné de ses deux amis dans la forêt et se mit en tête de pourchasser un animal qu'il avait entraperçu dans les fougères. Il le pourchassa donc, laissant ses amis derrière lui. Après plusieurs minutes de longue chasse, il se rendit compte qu'il ne savait plus où il était, mais également que le soleil se couchait à l'horizon. Il entama donc un retour au village en s'orientant à partir des étoiles. En réalité, il n'en eût pas besoin. A peine commença-t-il à marcher qu'il aperçut une trainée de fumée noire s'élevant de là d'où il venait. Il comprit alors aussitôt ce qu'il se passait : le village était en train de brûler.
Il se mit alors à courir comme il n'avait jamais couru, ne faisant même plus attention aux branches fouettant son visage. Rapidement, il fut couvert de blessures plus ou moins profondes. Une, particulièrement, se trouvait au niveau de son arcade sourcilière et faisait couler un flot quasi ininterrompu de sang. Alors qu'il arrivit au village, la première chose qu'il vit fut la mort. Plus précisément les corps inanimés de ses amis, de ses parens et même de son chien, prénommé "Luka".Puis, il apperçut autre chose. Deux hommes, de près de deux mètres, sortant d'une maison, traînant la petite "Lucie" derrière eux. Ils la firent se mettre à genoux et, alors qu'elle était terrorisée, dégainèrent leur sabre. Tandis que l'un la força à mettre sa tête sur une souche morte, l'autre leva les bras bien haut avant de les faire retomber d'un coup sec. Seul un "clac" retentit. Puis, la tête de la défunte roula dans la direction de Staz, caché dans un arbre et observant la scène, sans mot dire, à la fois terrorisé et horrifié par ce qu'il venait de voir.
Les deux hommes se tournèrent donc et commencèrent une conversation dont Staz ne put entendre que quelques bribes :
- ... Retourner ... bateau ...
- Capitaine ... Barbe ... Savon !
Ce fut à ce moment qu'il se jura de retrouver ces hommes et de les traquer, de les capturer et de les torturer jusqu'à ce qu'ils meurent de douleur, en repensant au mal qu'ils avaient fait autour d'eux.
Puis, sanglotant, il mit sa main dans sa poche et remarqua que la Carte de Vie de sa soeur était intacte : Elle était en vie ! Malheureusement, elle devait être déjà loin à l'heure qu'il était. Il décida cependant de suivre sa piste. Après une bonne journée de marche, il arriva au port et se rendit compte que ses craintes s'étaient avérées fondées : sa soeur était déjà partie en bateau. Il se résigna donc à aller dormir dans une auberge, encore traumatisé des évènements de la veille.
"La mouette enchantée". C'était le nom de l'auberge qu'il avait choisie. Une sorte de saloon miteux de trois étages, autour duquel tourbillonnaient des mouettes. Peut être son nom venait-il de là, pensa-t-il. Enfin bref, il entra poussant les deux battants en bois, et se retrouva dans une sorte de bar lugubre et décrépi comprenant notamment un comptoir sur lequel étaient accoudés deux officiers de la marine. Il s'approcha de l'hotesse afin de lui demander s'il pouvait dîner quelque chose. Alors qu'il l'appela et qu'elle lui dit d'attendre un peu, qu'elle était occupée, il se surprit à écouter la conversation des officiers.
- Ce batard de Barbe Rouge a encore fait des siennes. Tu connais pas la nouvelle ? Il aurait détruit un village de l'île et torturé ses habitants. Un vrai monstre. J'espère qu'on l'aura un jour !
- D'autant plus qu'on pourrait faire pas mal de choses avec les 3 millions promis pour sa tête... Si tu vois ce que je veux dire...
- C'est clair ! Ca fait pas de mal de se détendre un peu après le boulot. En plus après on bouge sur East Blue apparemment ! A ce qu'on dit, les femmes là bas sont superbes !
- Eh ! Petit ! Tu voulais quoi ?
Une voix le sortit de sa réflexion. C'était l'aubergiste. Elle lui demandait ce qu'il souhaitait boire. Il répondit qu'un verre d'eau suffirait mais qu'il souhaitait néanmoins une chambre pour la nuit. Il dit cela en posant ce qu'il avait pris d'économies sur lui. Elle regarda les pièces avant de se tourner vers le garçon. Et lui cracha qu'avec ça il ne pourrait espérer plus qu'un repas. Il se dit qu'après tout ce n'était pas si mal, un repas, et qu'au pire il pourrait dormir à la belle étoile sur le port. Staz accepta donc la proposition de l'hotesse.
Puis, tandis qu'elle lui servit son repas - une bouillie d'oeufs avec du riz - il recommença à tendre l'oreille. Malheureusement, les officiers ne parlaient plus de rien, si ce n'est de la dégaîne de la femme et du fait qu'ils la trouvaient très laide mais "baisable" pour reprendre leurs termes.
Ce fut alors que Staz eut l'illumination. Il allait rentrer dans la marine, pour traquer ce Barbe Rouge qui avait tué ses parents ! Il se tourna donc vers les officiers, qui ne le prirent tout d'abord pas au sérieux, mais qui, après de très longues supplications, acceptèrent finalement de l'amener au Colonel Murphy, qui dirigeait le vaisseau.
A ce moment commença alors sa vie de Marine.
Il se mit alors à courir comme il n'avait jamais couru, ne faisant même plus attention aux branches fouettant son visage. Rapidement, il fut couvert de blessures plus ou moins profondes. Une, particulièrement, se trouvait au niveau de son arcade sourcilière et faisait couler un flot quasi ininterrompu de sang. Alors qu'il arrivit au village, la première chose qu'il vit fut la mort. Plus précisément les corps inanimés de ses amis, de ses parens et même de son chien, prénommé "Luka".Puis, il apperçut autre chose. Deux hommes, de près de deux mètres, sortant d'une maison, traînant la petite "Lucie" derrière eux. Ils la firent se mettre à genoux et, alors qu'elle était terrorisée, dégainèrent leur sabre. Tandis que l'un la força à mettre sa tête sur une souche morte, l'autre leva les bras bien haut avant de les faire retomber d'un coup sec. Seul un "clac" retentit. Puis, la tête de la défunte roula dans la direction de Staz, caché dans un arbre et observant la scène, sans mot dire, à la fois terrorisé et horrifié par ce qu'il venait de voir.
Les deux hommes se tournèrent donc et commencèrent une conversation dont Staz ne put entendre que quelques bribes :
- ... Retourner ... bateau ...
- Capitaine ... Barbe ... Savon !
Ce fut à ce moment qu'il se jura de retrouver ces hommes et de les traquer, de les capturer et de les torturer jusqu'à ce qu'ils meurent de douleur, en repensant au mal qu'ils avaient fait autour d'eux.
Puis, sanglotant, il mit sa main dans sa poche et remarqua que la Carte de Vie de sa soeur était intacte : Elle était en vie ! Malheureusement, elle devait être déjà loin à l'heure qu'il était. Il décida cependant de suivre sa piste. Après une bonne journée de marche, il arriva au port et se rendit compte que ses craintes s'étaient avérées fondées : sa soeur était déjà partie en bateau. Il se résigna donc à aller dormir dans une auberge, encore traumatisé des évènements de la veille.
"La mouette enchantée". C'était le nom de l'auberge qu'il avait choisie. Une sorte de saloon miteux de trois étages, autour duquel tourbillonnaient des mouettes. Peut être son nom venait-il de là, pensa-t-il. Enfin bref, il entra poussant les deux battants en bois, et se retrouva dans une sorte de bar lugubre et décrépi comprenant notamment un comptoir sur lequel étaient accoudés deux officiers de la marine. Il s'approcha de l'hotesse afin de lui demander s'il pouvait dîner quelque chose. Alors qu'il l'appela et qu'elle lui dit d'attendre un peu, qu'elle était occupée, il se surprit à écouter la conversation des officiers.
- Ce batard de Barbe Rouge a encore fait des siennes. Tu connais pas la nouvelle ? Il aurait détruit un village de l'île et torturé ses habitants. Un vrai monstre. J'espère qu'on l'aura un jour !
- D'autant plus qu'on pourrait faire pas mal de choses avec les 3 millions promis pour sa tête... Si tu vois ce que je veux dire...
- C'est clair ! Ca fait pas de mal de se détendre un peu après le boulot. En plus après on bouge sur East Blue apparemment ! A ce qu'on dit, les femmes là bas sont superbes !
- Eh ! Petit ! Tu voulais quoi ?
Une voix le sortit de sa réflexion. C'était l'aubergiste. Elle lui demandait ce qu'il souhaitait boire. Il répondit qu'un verre d'eau suffirait mais qu'il souhaitait néanmoins une chambre pour la nuit. Il dit cela en posant ce qu'il avait pris d'économies sur lui. Elle regarda les pièces avant de se tourner vers le garçon. Et lui cracha qu'avec ça il ne pourrait espérer plus qu'un repas. Il se dit qu'après tout ce n'était pas si mal, un repas, et qu'au pire il pourrait dormir à la belle étoile sur le port. Staz accepta donc la proposition de l'hotesse.
Puis, tandis qu'elle lui servit son repas - une bouillie d'oeufs avec du riz - il recommença à tendre l'oreille. Malheureusement, les officiers ne parlaient plus de rien, si ce n'est de la dégaîne de la femme et du fait qu'ils la trouvaient très laide mais "baisable" pour reprendre leurs termes.
Ce fut alors que Staz eut l'illumination. Il allait rentrer dans la marine, pour traquer ce Barbe Rouge qui avait tué ses parents ! Il se tourna donc vers les officiers, qui ne le prirent tout d'abord pas au sérieux, mais qui, après de très longues supplications, acceptèrent finalement de l'amener au Colonel Murphy, qui dirigeait le vaisseau.
A ce moment commença alors sa vie de Marine.
Test RP
Tu arrives enfant dans la Marine, affecté sur un QG des Blues, tu dois faire tes preuves en tant que matelot. Tout les autres engagés sont plus doués, plus travailleurs et plus aguerris que toi. Ton seul soutien réside en la personne de Farouk, un jeune homme d'Hinu Town lui aussi désireux de vouer sa vie à la justice. Narre nous comment tu as réussi à faire tes preuves dans ce dur milieu et à te faire remarquer de tes supérieurs.
- Réveillez-vous bande de putes ! Vous pensez que c'est comme ça que vous deviendrez colonels ?! Non ! Bien sûr ! Aucun de vos ne le sera jamais ! Vous n'êtes que des merdes !
La personne ayant hurlé cela n'était autre que le Colonel Murphy, qui venait de rentrer dans le "dortoir" afin de réveiller et de "motiver" - drôle de façon de motiver - ses troupes. Il se trouvait dans l'encadrure de la porte, laissant entrer une lumière aveuglante. Non pas qu'il faisait jour, non, bien sûr, mais plutôt qu'il tenait une lampe à la main. Son corps imposant faisait presque peur à voir. Du haut de ses deux mètres, il balaya du regard la pièce et les couchettes d'où émergeaient lentement des Marines, déjà habillés et prêts à en découdre avec le moindre pirate osant s'approcher. Malheureusement, sur East Blue, c'est assez calme... Et cela faisait donc presque deux semaines qu'il se s'était rien passé. Depuis que Staz était monté sur le bateau en réalité. Il n'avait donc pas encore eu le temps de faire ses armes. Cela ne lui déplaisait pas tellement de toute manière. Selon lui, pas de combat dit pas de risque de blessure.
Cette absence de combat avait néanmoins un aspect négatif pour Staz : il ne se faisait absolument pas respecter. En effet, personne ne l'ayant jamais vu se battre, tout le monde le traitait comme une mauviette. D'autant plus que du haut de ses 13 ans, il n'était pas bien grand. Une personne néanmoins avait cherché à sympathiser avec lui : Farouk, un jeune homme originaire d'Hinu Town, sous les ordres du colonel Murphy depuis presque un an. D'autant plus que leurs couchettes étaient juste à côté l'une de l'autre. Cela leur permettait de se motiver mutuellement.
Ils sortirent donc tous deux du "dortoir" avant d'aller prendre leur ration et d'entamer leur journée. Alors qu'ils se trouvaient en face de ce qui était censé être une purée de pommes de terres, ils entamèrent une discution à propos du colonel :
- C'est quand même un batard le colonel. Il vient nous réveiller en hurlant alors qu'il est 6 heures du mat'.
- Je te rappelle quand même que c'est grâce à lui que tu es sur ce navire. Il a accepté de te prendre. Enfin bref, même si il a l'air vachement chiant, il a un bon fond, tu verras. Il n'hésitera pas à risquer sa vie pour sauver un de ses hommes.
- J'espère bien. C'est son job après tout !
*rire*
Staz avait été dépêché au nid de pie tandis que Farouk avait été envoyé à la cuisine. La journée passa donc tranquillement, sans évènement majeur - pour changer. Du moins, jusqu'à la relève. Au moment où Staz redescendit par la corde, sa main glissa et emporta son bras, puis son corps tout entier. Staz crût mourir à ce moment là. Il se souviendra toujours de ce qu'il à pensé en tombant : "Je vais mourir ? Sans m'être vengé ? Sans avoir retrouvé ma soeur et sans avoir servi à rien ? Ce n'est pas vrai, je vais survire, je le veux."
Puis un grand bruit se fit entendre dans tout le bateau. Le corps de Staz gisait là, inerte, sur le pont. Des dizaines d'yeux écarquillés le regardaient, tandis que des voix au loin criaient de l'emmener à l'infirmerie.
Il se réveilla quelques heures plus tard, avec un mal de crâne digne d'une trépanation. Un jeune homme, d'apparence 20 ans, assez beau, les cheveux noirs et les yeux vairons apparut soudainement au dessus du lit et lui demanda :
- Ca va mieux Staz ? Tu te souviens comment je m'appelle ?
- Euh... Raph c'est bien ça ?
- Ok ! Nickel ! T'as rien de cassé. T'as eu pas mal de chance. Et en plus t'as pas de trouble de la mémoire apparemment. Enfin bref, je te conseille de te reposer, le colonel t'a donné une journée de repos.
Là dessus, Staz ferma les yeux et s'endormit.
*Shlink ! Bang ! Bang !*
Des bruits de combat ainsi que quelques cris de rage réveillèrent Staz en sursaut. Encore un peu chamboulé de sa chute, il comprit néanmoins immédiatement ce qu'il se passait : un combat était en train de faire rage sur le bateau. Tétanisé, il se recroquevilla sous son drap en attendant que les bruits ne cessent, se répétant en boucle qu'ils allaient gagner. Puis, au bout de plusieurs minutes, plus rien. Staz décida alors de sortir un peu pour voir ce qu'il se passait dehors et vit plusieurs pirates prendre la fuite tandis que d'autres étaient allongés, inconscients et sûrement morts, sur les planches de bois imprégnées de sang. Il sortit de sa cachette - de l'infirmerie donc - et commença à enjamber les cadavres jonchant le sol. Ce fut là qu'il le vit, le corps inanimé de Farouk, transporté sur un brancard dans sa direction par deux autres marines. Staz ne fit rien, il se contenta de laisser passer les hommes et de continuer son chemin. Il ne disait rien, ne pensait à rien. Il se contentait d'avancer tout droit, comme si une force surnaturelle l'y obligeait.
Puis, il aperçut le colonel, blessé à l'épaule gauche mais toujours aussi imposant en train de maîtriser un pirate pas encore totalement mort. Alors qu'il le rouait de coups de poings et que ce dernier semblait sur le point de rendre l'âme, un marine accourut pour l'aider. Le marine, Joe, se pencha alors pour immobiliser l'espèce d'immonde enflure qu'était l'homme à terre, et lui prit son pistolet. Cependant, au lieu de le pointer sur le pirate, comme Staz aurait pu s'y attendre, il le pointa directement en direction du colonel et lui chuchota à l'oreille :
- Merci pour tout colonel. Maintenant, c'est mon tour. On me chérira pour avoir capturé celui qui vous aura tué...
Sans réfléchir, Staz attrapa alors un bout de bois arraché par la bataille et se rua sur le traître. Il brandit son arme au dessus de sa tête et l'abattit de tout son poids sur Joe. Il tomba sur le coup, inerte et mort, dans une flaque de sang où se mélaient celui du pirate et celui du marine, dans une ultime union, comme pour signifier qu'ils faisaient en réalité partie du même camp : celui des méchants.
Informations IRL
• Prénom : Théodore
• Age : 15
• Aime : Les sushis, Le thé, Le piano, Les mangas, Les jeux vidéos
• N'aime pas : L'autorité, Les abrutis
• Personnage préféré de One Piece : Trafalgar D. Water Law
• Caractère : Je suis censé me décrire ? Je suis gentil, je pense... En fait j'en sais rien, c'est à vous de juger... Mais globalement oui, je suis gentil. Bizarre aussi, mais vous vous y habituerez...
• Fait du RP depuis : 2 ans
• Disponibilité approximative : Tous les jours des vacances plusieurs heures par jour, à partir du 2 septembre, rentrée des classes, un peu moins...
• Comment avez-vous connu le forum ? En tapant sur google "rpg one piece", deuxième lien, classement des forums rpg de manga.
ONE PIECE REQUIEM ©
Dernière édition par Hiraki le Mer 3 Aoû 2016 - 14:33, édité 21 fois