Quitter Bliss était la seule possible afin d'éviter tout problème ou périlleux combats sanglants qui ne me mènerait pas loin de façon. Le lendemain de l'assaut avait été ébouillanté, la marine avait agi de manière à ce que personne ne quittait l'île, mais le pire dans tout ça, c'était qu'il fouillait chaque matin une maison de fond en comble sans rien laisser passer. Durant la nuit, j'avais pu soigner mes blessures et retiré la balle qui s'était logé dans ma cuisse grâce aux connaissances médicales de base de la mère à Paulo. Une fois retiré, la douleur était resté dans ma chair et me fit pousser un gémissement de douleur qui s'entendit dans toute l'allée. Pour remédier à la situation, elle employa les grands moyens en se servant d'une bouteille d'alcool qui relâcha son liquide jaunâtre franchement acide et un autre hurlement sortit de ma voix qui résonna dans un grand secteur de l'île. Je ne dormis uniquement à partir de quatre du matin, la douleur ne s'était pas totalement évaporé et les courbatures m'empêchaient de lever le plus petit de mes doigts. Revenons à mes oignons, c'est à dire le moment où était venu les marines, la maman de Paulo avait prévu une idée d'enfer mais comportait pour moi des risques à prendre. Le concept permettant de me tirer de ces ennuis était à dégoûter un Tenryuubito: Se cacher dans sa poubelle, lors de la visite des messieurs en blanc et bleu obéissant au doigt et à l'oeil au QG de la marine, l'une des trois forces qui permettaient justement de maintenir le monde. Le plus surprenant fut qu'elle marcha, l'idée de se cacher dans un sac poubelles était des plus stupides mais il faut croire que les plus débiles pouvaient fonctionner.
Afin de retirer toute cette saleté ainsi que ces putrides odeurs, cinq lavages au bourd de la mer avait été nécessaire, et j'avais du forcer sur la dose de savon à utiliser. Mais maintenant, où aller ? Quel direction prendre ? Quitter l'île ou retourner dans la demeure du jeune garçon ? Une question s'installe dans mon esprit, la réponse était logique, elle permettait de sauver ma peau, de même que celle de ma sympathique famille d'accueil. Il y'avait un bateau amarré ici et qui faisait escale dans deux îles différentes de South Blue, Bliss et Suna Land, une île dont je n'avais que très peu d'informations à son sujet. "Suna", rien que le mot m'indiquait que j'irais poser pied sur du sable et que la chaleur serait certainement étouffante. Par chance, un marchand avait accosté sur le port et sa prochaine escale était Suna Land, il possédait un bateau assez luxueux, et son propriétaire avait déjà engagé deux hommes à son bord afin d'accomplir les meilleurs comme les plus ingrates tâches. Il restait toute la journée allongé sur une chaise longue en train de siroter sa fraîche petite grenadine.
Il fallait essayer de monter à bord mais sans brutalité, je ne tenais guère à recevoir une troupe de marine sur le dos, ou des gros costauds à écraser. En tentant l'approche normale, je pouvais espérer sans trop difficultés sauf s'il me demanderait des berrys, là je serais coincé. Afin d'effrayer personne, je pris mes sabres que je cachai au fond de mon sac, puis je pris une boufée de respiration et montai sur le pont du bateau où se trouva sans grande surprise, le riche vendeur allongé tranquillement tout buvant sa boisson rafraîchissante. Ma vue sur son bateau luxueux le leva aussitôt de son lit et il entra dans une colère noire:
Que vient tu faire, sur mon merveilleux bateau pendard ?
Qui moi ?
Oui toi, bien sûr, jeune malotru, qui t'ammeène ici, va en enfer, si tu veux mon or ?
Je ne suis point là pour vos berryslui dis-je en prenant le ton d'une de ces crapules d'aristocrateSi je suis venu, jusqu'à vous dans votre si somptueux navire, c'est pour vous formuler une requête: Auriez-vous l'amabilité de m'accompagner à Suna Land ?
Les mots de flatteries ne lui faisaient guère d'effets, et il reprit ce ton orgueilleux qui avait le don de m'agacer, je ne voulais pas en finir avec lui, la violence ne servait pas à grand chose:
Vieux chein galeux, tu oses formuler devant moi, une tâche si infructueuse à mon égard. Serviteurs, au pied, j'ai une mission pour vous, dépêchez-vous d'exterminer ce sale rat qui traîne ici, c'est l'heure de ma grenadine à la framboise
Afin de retirer toute cette saleté ainsi que ces putrides odeurs, cinq lavages au bourd de la mer avait été nécessaire, et j'avais du forcer sur la dose de savon à utiliser. Mais maintenant, où aller ? Quel direction prendre ? Quitter l'île ou retourner dans la demeure du jeune garçon ? Une question s'installe dans mon esprit, la réponse était logique, elle permettait de sauver ma peau, de même que celle de ma sympathique famille d'accueil. Il y'avait un bateau amarré ici et qui faisait escale dans deux îles différentes de South Blue, Bliss et Suna Land, une île dont je n'avais que très peu d'informations à son sujet. "Suna", rien que le mot m'indiquait que j'irais poser pied sur du sable et que la chaleur serait certainement étouffante. Par chance, un marchand avait accosté sur le port et sa prochaine escale était Suna Land, il possédait un bateau assez luxueux, et son propriétaire avait déjà engagé deux hommes à son bord afin d'accomplir les meilleurs comme les plus ingrates tâches. Il restait toute la journée allongé sur une chaise longue en train de siroter sa fraîche petite grenadine.
Il fallait essayer de monter à bord mais sans brutalité, je ne tenais guère à recevoir une troupe de marine sur le dos, ou des gros costauds à écraser. En tentant l'approche normale, je pouvais espérer sans trop difficultés sauf s'il me demanderait des berrys, là je serais coincé. Afin d'effrayer personne, je pris mes sabres que je cachai au fond de mon sac, puis je pris une boufée de respiration et montai sur le pont du bateau où se trouva sans grande surprise, le riche vendeur allongé tranquillement tout buvant sa boisson rafraîchissante. Ma vue sur son bateau luxueux le leva aussitôt de son lit et il entra dans une colère noire:
Que vient tu faire, sur mon merveilleux bateau pendard ?
Qui moi ?
Oui toi, bien sûr, jeune malotru, qui t'ammeène ici, va en enfer, si tu veux mon or ?
Je ne suis point là pour vos berryslui dis-je en prenant le ton d'une de ces crapules d'aristocrateSi je suis venu, jusqu'à vous dans votre si somptueux navire, c'est pour vous formuler une requête: Auriez-vous l'amabilité de m'accompagner à Suna Land ?
Les mots de flatteries ne lui faisaient guère d'effets, et il reprit ce ton orgueilleux qui avait le don de m'agacer, je ne voulais pas en finir avec lui, la violence ne servait pas à grand chose:
Vieux chein galeux, tu oses formuler devant moi, une tâche si infructueuse à mon égard. Serviteurs, au pied, j'ai une mission pour vous, dépêchez-vous d'exterminer ce sale rat qui traîne ici, c'est l'heure de ma grenadine à la framboise
Dernière édition par Ryo Sadomaru le Sam 28 Mai 2011 - 16:38, édité 1 fois