- Vindiou de vindiou de vindiou ! Enfin arrivés ! Terminus ma p'tite dame et mon p'tit monsieur !
Qassim le fermier venait de déposer Myosotis, Scarlett et Ramsès à l'entrée de Verminia. Il avait accepté de les déposer là. Il leur avait gardé le voyage jusqu'à l'usine à laquelle il devait se rendre, dans les tréfonds de la ville. Une véritable géhenne de tuyaux, chaleur et fumée. Là où le Vizirat de Rosetta était singulier d'apparence avec ses bâtiments construits à même la végétation à l'intérieur des gigantesques champignons de la forêt, le Vizirat de Verminia ressemblait à un immense complexe de conteneurs de métal qui s'entassaient les uns sur les autres, formant une véritable forteresse d'acier qui s'élançait vers les nuages. Ni les deux agents ni le petit poulpe n'avaient vu des constructions pareilles. Le Sultanat de Pétales regorgeait de surprises et de curiosités, et ils n'étaient pas au bout de leurs émotions. Tout était perpétuellement en mouvement à Verminia. Les usines n'arrêtaient jamais de fonctionner, les ouvriers effectuant des tours et des roulements pour permettre aux machines d'être actives. De même, les constructions s'entassaient encore et encore dans cette colossale tour de fer, il fallait qu'elle grandisse, qu'elle soit toujours plus grande, toujours plus performante et efficace.
Ici, les riches et favorisés habitaient bien évidemment dans les hauteurs tandis que les plus pauvres habitaient dans les bas-quartiers. Plus sombres, plus insalubres, moins éclairés et moins sécurisés également. Qassim n'avait pas vraiment voulu aller plus loin parce qu'il avait quand même peur d'aller dans ces ghettos défavorisés. Il avait entendu plusieurs histoires, qui s'avèrent plus être des ragots qu'autre chose, au sujet de disparitions ou d'agressions mais jamais rien a été prouvé. Pauvre naïf qu'il était il ne voulait même pas essayer de s'aventurer là bas....Myo et Scarlett s'en fichaient, ça n'était pas une brochette de traîne-patins qui allaient avoir raison d'eux. Ils étaient capable de les rosser d'un revers de la main s'ils le voulaient !
- C'est parfait, merci beaucoup. Nous allons nous débrouiller à présent !
- Polooooop ! Fit Ramsès en sautant de la charrette, agitant une de ses huit tentacules pour dire au revoir à Qassim.
Ils laissèrent le fermier pour s'engouffrer dans la ville de métal. Deux gardes surveillaient les allées et venues à l'entrée et contrôlaient les individus qui avaient l'air les plus suspects. Ils étaient armurés, intégralement couverts d'une cuirasse hérissée de picots aussi tranchants que des rasoirs. Leurs armes, leurs cottes, leurs jambières, casques et même boucliers, toute leur tenue était criblée de ces pics menaçants et effrayants. Leur aspect si imposant leur avait valu le surnom de Garde des Ronces. La Garde des Ronces et ses chevaliers avait été placée spécialement à Verminia par le Sultan lui même afin de garder la ville. Tout était en perpétuelle expansion dans ce vizirat, en mouvement constant vers les hauteurs. Les tours d'acier poussaient aussi rapidement que les plantes-maisons de Rosetta, de ce fait les chevaliers des ronces avaient pour principale mission d'encadrer ce développement et, bien tendu, qu'il y ait le moins d'esclandres et d'infractions possibles.
Ils passèrent sous la grande porte, passant doucement entre les deux vigiles aux épines et rentrèrent enfin dans la première rue de Verminia. Les deux agents ne s'attendaient pas vraiment à voir ça, l'intérieur était aussi étrange que l'extérieur. La rue était verticale et semblait s'étendre à perte de vue, éclairée par de petites loupiotes qui pendaient au plafond. Plusieurs Den Den haut-parleurs semblaient disposés un peu partout également, des annonces diverses devaient sûrement être diffusées via ces escargots. Cette rue était commerçante, plutôt logique quand on savait que c'était par ici qu'entrait la plupart des visiteurs. S'alignaient d’innombrables boutiques qui avaient des allures de baraques, encastrées et encadrées d'acier. Il y avait également quelques étals montés ça et là par les commerçants qui ne pouvaient se payer une bicoque ou qui étaient tout simplement ambulants.
- Regarde tout ce monde...Il faut qu'on trouve un moyen de se frayer un chemin vers les districts pauvres.
- Effectivement, il y a une cantina là-bas. On peut se renseigner !
- Oui, allons-y. Ne traîne pas Ramsès, reste près de nous.
- Polop polo !
Le poulpe s'empressa de se faufiler près des pieds de Myosotis pour le coller à la trace. Le pauvre ne voulait en aucun cas se perdre au milieu de cette marrée humaine. C'est vrai que le monde affluait, c'était jour de marché après tout. Ce jour où tout les maraîchers sortaient leurs plus beaux fruits et légumes, le jour où les quincailliers exposaient leurs plus belles camelotes et où tout les sujets du vizirat sortaient pour faire leurs emplettes. Le poulpe se focalisait sur sa route mais il ne pouvait s'empêcher de donner des coups d’œil à droite et à gauche. Son attention fut longuement captée par un un stand roulant de nourriture, le cuisinier vendait de la soupe à la tomate qu'il versait dans des gobelets, avec un petit supplément il agrémentait ces bols de soupe de brochettes de poulet qui s'imbibaient du breuvage au fur et à mesure qu'elles marinaient.
- Je n'ai aucune envie de rentrer là-dedans...Enfin, allons-y...
La cantina n'était pas bien grande, elle ressemblait d'ailleurs plus à une alcôve avec un comptoir et quelques tables avec banquettes. Là-bas, on pouvait s'asseoir, siroter son verre, et repartir aussi vite qu'on était venu. C'était plus un endroit pour faire une petite pause que pour se détendre ou se saouler. De toute façon, personne ne se risquerait à se saouler et à régurgiter ce qu'il avait absorbé avec tout les chevaliers de ronces qui patrouillaient régulièrement. Le patron était un bonhomme moustachu avec un gros nez rond et une calvitie frontale. Il était en train de nettoyer et astiquer tout son service à verre en jetant quelques coup d’œil à sa clientèle continuellement changeante.
Myo' abhorrait ce genre de lieux, là où tout les ivrognes passaient leur temps, où ils venaient méditer sur le sens d'une existence qui les dépassait totalement, où ils oubliaient leurs tracas et l'insignifiance de leur place au milieu de ce micmac qui se dessinait chaque jours autour d'eux. Le jeune homme était néanmoins plutôt satisfait de voir que cet établissement semblait propre et avec une clientèle tournante qui n'avait pas le temps de biberonner leurs pintes ou verres de rhum. Ils s'approchèrent du tenancier tout doucement.
- Bonjour, qu'est ce que je vous sers ?
- Rien du tout, on est un peu perdus. Nous sommes détectives, nous enquêtons au sujet de l'affaire Robin Dubois. Est-ce que vous pouvez nous indiquer comment descendre dans les bas districts les moins favorisés ?
- Hm...Écoutez, je veux pas de problème avec la Garde des Ronces. Au bout de la rue, il y a plusieurs réseaux d'escaliers et d'ascenseurs à poids. Nous sommes au niveau 0, descendez au niveau – 7. C'est un vaste quartier relativement pauvre, de même que tout les autres niveaux jusqu'au – 10. Je peux pas vous aider davantage, désolé.
- Bien merci à vous. Fit Scarlett en lui glissant discrètement une compensation pécuniaire pour son info.
Ils s'en allèrent discrètement en faisant un bref signe de tête au barman, s'engouffrant à nouveau dans la foule. Des escaliers et des ascenseurs, Myo n'aimait déjà pas la tournure que leurs recherches allaient prendre. Ils risquaient de se perdre avec tout ces accès, ces couloirs qui se ressemblaient tous et ces rues parallèles toutes identiques. Cette ville était complètement différente de Rosetta, elle était sinistre, oppressante, plutôt étouffante et n'avait certainement pas un cadre touristique idyllique. Elle n'était qu'un immense amas de conteneurs d'aciers où la moindre place était prise d'assaut et agencée afin qu'elle soit le plus utile possible. Rien était laissé au hasard, et si les habitations des plus fortunées s'avéraient somptueuses et paradisiaques, les autres classes sociales avaient à peine droit à un aménagement standard. Quant aux pauvres, ils avaient agencé leurs propres bidonvilles dans les niveaux inférieurs. C'était là où ils étaient censés se rendre, la Garde des Ronces ne devait pas y mettre les pieds bien souvent...
- Une fois arrivés en bas, on se sépare et on cherche de notre côté. Tu viens avec moi Ramsès ?
- Po polo polop !! Fit l'intéressé en guise de réponse. Il avait visiblement envie de marcher un peu avec Myosotis.
- Et, au sujet de Circé ?
- Il faut qu'on la trouve également. Je refuse de voir cette fille nous voler dans les plumes une seconde fois. Donc on se concentre à la fois sur l'enquête, mais aussi sur elle.
Circé, Myosotis était bel et bien décidé à se venger de cette femme. Ils l'avaient rencontré à Rosetta lorsqu'ils enquêtaient sur les vols de Robin Dubois. Elle s'était présentée comme une détective également et les avait roulé en prenant de l'avance en partant vers Verminia, les laissant seuls à Rosetta. L'androgyne était déterminé à lui faire payer cet affront, il ne supportait pas d'avoir été traité de la sorte. Ils arrivèrent vers l'escalier mais se dirigèrent vite vers l'ascenseur afin de descendre plus vite les niveaux inférieurs.
*Aller....C'est parti. *
Qassim le fermier venait de déposer Myosotis, Scarlett et Ramsès à l'entrée de Verminia. Il avait accepté de les déposer là. Il leur avait gardé le voyage jusqu'à l'usine à laquelle il devait se rendre, dans les tréfonds de la ville. Une véritable géhenne de tuyaux, chaleur et fumée. Là où le Vizirat de Rosetta était singulier d'apparence avec ses bâtiments construits à même la végétation à l'intérieur des gigantesques champignons de la forêt, le Vizirat de Verminia ressemblait à un immense complexe de conteneurs de métal qui s'entassaient les uns sur les autres, formant une véritable forteresse d'acier qui s'élançait vers les nuages. Ni les deux agents ni le petit poulpe n'avaient vu des constructions pareilles. Le Sultanat de Pétales regorgeait de surprises et de curiosités, et ils n'étaient pas au bout de leurs émotions. Tout était perpétuellement en mouvement à Verminia. Les usines n'arrêtaient jamais de fonctionner, les ouvriers effectuant des tours et des roulements pour permettre aux machines d'être actives. De même, les constructions s'entassaient encore et encore dans cette colossale tour de fer, il fallait qu'elle grandisse, qu'elle soit toujours plus grande, toujours plus performante et efficace.
Ici, les riches et favorisés habitaient bien évidemment dans les hauteurs tandis que les plus pauvres habitaient dans les bas-quartiers. Plus sombres, plus insalubres, moins éclairés et moins sécurisés également. Qassim n'avait pas vraiment voulu aller plus loin parce qu'il avait quand même peur d'aller dans ces ghettos défavorisés. Il avait entendu plusieurs histoires, qui s'avèrent plus être des ragots qu'autre chose, au sujet de disparitions ou d'agressions mais jamais rien a été prouvé. Pauvre naïf qu'il était il ne voulait même pas essayer de s'aventurer là bas....Myo et Scarlett s'en fichaient, ça n'était pas une brochette de traîne-patins qui allaient avoir raison d'eux. Ils étaient capable de les rosser d'un revers de la main s'ils le voulaient !
- C'est parfait, merci beaucoup. Nous allons nous débrouiller à présent !
- Polooooop ! Fit Ramsès en sautant de la charrette, agitant une de ses huit tentacules pour dire au revoir à Qassim.
Ils laissèrent le fermier pour s'engouffrer dans la ville de métal. Deux gardes surveillaient les allées et venues à l'entrée et contrôlaient les individus qui avaient l'air les plus suspects. Ils étaient armurés, intégralement couverts d'une cuirasse hérissée de picots aussi tranchants que des rasoirs. Leurs armes, leurs cottes, leurs jambières, casques et même boucliers, toute leur tenue était criblée de ces pics menaçants et effrayants. Leur aspect si imposant leur avait valu le surnom de Garde des Ronces. La Garde des Ronces et ses chevaliers avait été placée spécialement à Verminia par le Sultan lui même afin de garder la ville. Tout était en perpétuelle expansion dans ce vizirat, en mouvement constant vers les hauteurs. Les tours d'acier poussaient aussi rapidement que les plantes-maisons de Rosetta, de ce fait les chevaliers des ronces avaient pour principale mission d'encadrer ce développement et, bien tendu, qu'il y ait le moins d'esclandres et d'infractions possibles.
- Un membre de la Garde des Ronces:
Ils passèrent sous la grande porte, passant doucement entre les deux vigiles aux épines et rentrèrent enfin dans la première rue de Verminia. Les deux agents ne s'attendaient pas vraiment à voir ça, l'intérieur était aussi étrange que l'extérieur. La rue était verticale et semblait s'étendre à perte de vue, éclairée par de petites loupiotes qui pendaient au plafond. Plusieurs Den Den haut-parleurs semblaient disposés un peu partout également, des annonces diverses devaient sûrement être diffusées via ces escargots. Cette rue était commerçante, plutôt logique quand on savait que c'était par ici qu'entrait la plupart des visiteurs. S'alignaient d’innombrables boutiques qui avaient des allures de baraques, encastrées et encadrées d'acier. Il y avait également quelques étals montés ça et là par les commerçants qui ne pouvaient se payer une bicoque ou qui étaient tout simplement ambulants.
- Regarde tout ce monde...Il faut qu'on trouve un moyen de se frayer un chemin vers les districts pauvres.
- Effectivement, il y a une cantina là-bas. On peut se renseigner !
- Oui, allons-y. Ne traîne pas Ramsès, reste près de nous.
- Polop polo !
Le poulpe s'empressa de se faufiler près des pieds de Myosotis pour le coller à la trace. Le pauvre ne voulait en aucun cas se perdre au milieu de cette marrée humaine. C'est vrai que le monde affluait, c'était jour de marché après tout. Ce jour où tout les maraîchers sortaient leurs plus beaux fruits et légumes, le jour où les quincailliers exposaient leurs plus belles camelotes et où tout les sujets du vizirat sortaient pour faire leurs emplettes. Le poulpe se focalisait sur sa route mais il ne pouvait s'empêcher de donner des coups d’œil à droite et à gauche. Son attention fut longuement captée par un un stand roulant de nourriture, le cuisinier vendait de la soupe à la tomate qu'il versait dans des gobelets, avec un petit supplément il agrémentait ces bols de soupe de brochettes de poulet qui s'imbibaient du breuvage au fur et à mesure qu'elles marinaient.
- Je n'ai aucune envie de rentrer là-dedans...Enfin, allons-y...
La cantina n'était pas bien grande, elle ressemblait d'ailleurs plus à une alcôve avec un comptoir et quelques tables avec banquettes. Là-bas, on pouvait s'asseoir, siroter son verre, et repartir aussi vite qu'on était venu. C'était plus un endroit pour faire une petite pause que pour se détendre ou se saouler. De toute façon, personne ne se risquerait à se saouler et à régurgiter ce qu'il avait absorbé avec tout les chevaliers de ronces qui patrouillaient régulièrement. Le patron était un bonhomme moustachu avec un gros nez rond et une calvitie frontale. Il était en train de nettoyer et astiquer tout son service à verre en jetant quelques coup d’œil à sa clientèle continuellement changeante.
Myo' abhorrait ce genre de lieux, là où tout les ivrognes passaient leur temps, où ils venaient méditer sur le sens d'une existence qui les dépassait totalement, où ils oubliaient leurs tracas et l'insignifiance de leur place au milieu de ce micmac qui se dessinait chaque jours autour d'eux. Le jeune homme était néanmoins plutôt satisfait de voir que cet établissement semblait propre et avec une clientèle tournante qui n'avait pas le temps de biberonner leurs pintes ou verres de rhum. Ils s'approchèrent du tenancier tout doucement.
- Bonjour, qu'est ce que je vous sers ?
- Rien du tout, on est un peu perdus. Nous sommes détectives, nous enquêtons au sujet de l'affaire Robin Dubois. Est-ce que vous pouvez nous indiquer comment descendre dans les bas districts les moins favorisés ?
- Hm...Écoutez, je veux pas de problème avec la Garde des Ronces. Au bout de la rue, il y a plusieurs réseaux d'escaliers et d'ascenseurs à poids. Nous sommes au niveau 0, descendez au niveau – 7. C'est un vaste quartier relativement pauvre, de même que tout les autres niveaux jusqu'au – 10. Je peux pas vous aider davantage, désolé.
- Bien merci à vous. Fit Scarlett en lui glissant discrètement une compensation pécuniaire pour son info.
Ils s'en allèrent discrètement en faisant un bref signe de tête au barman, s'engouffrant à nouveau dans la foule. Des escaliers et des ascenseurs, Myo n'aimait déjà pas la tournure que leurs recherches allaient prendre. Ils risquaient de se perdre avec tout ces accès, ces couloirs qui se ressemblaient tous et ces rues parallèles toutes identiques. Cette ville était complètement différente de Rosetta, elle était sinistre, oppressante, plutôt étouffante et n'avait certainement pas un cadre touristique idyllique. Elle n'était qu'un immense amas de conteneurs d'aciers où la moindre place était prise d'assaut et agencée afin qu'elle soit le plus utile possible. Rien était laissé au hasard, et si les habitations des plus fortunées s'avéraient somptueuses et paradisiaques, les autres classes sociales avaient à peine droit à un aménagement standard. Quant aux pauvres, ils avaient agencé leurs propres bidonvilles dans les niveaux inférieurs. C'était là où ils étaient censés se rendre, la Garde des Ronces ne devait pas y mettre les pieds bien souvent...
- Une fois arrivés en bas, on se sépare et on cherche de notre côté. Tu viens avec moi Ramsès ?
- Po polo polop !! Fit l'intéressé en guise de réponse. Il avait visiblement envie de marcher un peu avec Myosotis.
- Et, au sujet de Circé ?
- Il faut qu'on la trouve également. Je refuse de voir cette fille nous voler dans les plumes une seconde fois. Donc on se concentre à la fois sur l'enquête, mais aussi sur elle.
Circé, Myosotis était bel et bien décidé à se venger de cette femme. Ils l'avaient rencontré à Rosetta lorsqu'ils enquêtaient sur les vols de Robin Dubois. Elle s'était présentée comme une détective également et les avait roulé en prenant de l'avance en partant vers Verminia, les laissant seuls à Rosetta. L'androgyne était déterminé à lui faire payer cet affront, il ne supportait pas d'avoir été traité de la sorte. Ils arrivèrent vers l'escalier mais se dirigèrent vite vers l'ascenseur afin de descendre plus vite les niveaux inférieurs.
*Aller....C'est parti. *
Dernière édition par Myosotis De Ville le Sam 20 Aoû 2016 - 23:34, édité 1 fois