Nombre et noms des participants : Yamamoto, Ethan, moi même.
Difficulté : Moyenne.
Récompense voulue : Médaille de la pacification.
PNJ destiné à mourir lors de la quête :
- Spoiler:
- Noah Voltury
As de la révolutionLes jeux sont faits...
Noah a toujours défendu la cause révolutionnaire. Ses parents l’étaient depuis sa douce enfance et il a fini par nourrir les mêmes idéaux qu’eux avec le temps. C’est tout naturellement qu’il s’engagea dans les rangs dès son adolescence et qu’il fit rapidement ses preuves au point de devenir un « cavalier » en un rien de temps. Il faut dire que s’il manquait d’expérience au tout début, il avait une intelligence hors normes et des facultés au combat plutôt remarquables. Une grande figure en devenir de la révolution à n’en point douter. Le futur Adam selon beaucoup de partisans.
C’est en 1625 après quelques faits armes notables sur les blues qu’il décida, en tant que « stratège » d’essayer d’implanter un réseau sur Shabondy. Bien lui en a pris puisque ses premiers « tests » s’avérèrent concluants. En quelques mois seulement, son équipe engagea pas mal de personnes qui purent être mutés dans d’autres endroits du monde où la révolution avait besoin de bras. Ses initiatives lui valurent en fin 1626 le rang « d’as », mais Noah garda la tête sur les épaules et préféra resta sur place pour continuer ses œuvres fructueuses pour sa faction sur Shabondy.
Niveau évalué :
Dorikis : 5000
PP : +300
PI : -300
PRIME : 150 M. du fait de son rang et de sa montée en puissance.
Habiletés/Pouvoirs :
Bretteur, surdoué, mantra.Christian Caraena
Cavalier de la révolutionTout n'est qu'une question d'expérience, petit.
Christian est le fidèle bras droit de Noah. Les deux hommes ont intégré au même moment une section de la révolution et ont cheminé ensemble. Malgré leur différence d’âge (Christian est de 20 ans l’ainé de Noah) leur binôme fut l’un des plus prolifiques de l’histoire de la révolution. Si le passé de Christian est obscur (On sait qu’il a un moment fait partie d’une armée royale sur les Blues), ses actions sur le terrain et son expérience au combat ont vite fait de faire taire les mauvaises langues. Ses coups d’éclats lui valurent à lui aussi le grade « cavalier » et on pourrait le considérer à juste titre comme le « bras armé » de Noah, étant le combattant plus fort du réseau que l’as aura mis sur pieds sur Shabondy.
Niveau évalué :
Dorikis : 6500
PP : -150
PI : -200
PRIME : 140 M.
Habiletés/Pouvoirs :
Bretteur expérimenté, haki de l'armement.Shiraki Arisu
Cavalier de la revolutionAllez... Si vous me dites tout, vous aurez droit à quelque chose de spécial ! ♥
Intégrée dans la révolution dès son plus jeune âge, Shiraki fut sauvée par Noah lors d’une bataille sur les blues alors que les deux n’étaient pas de la même cellule révolutionnaire. Comme toutes les histoires classiques et du fait de son jeune âge, elle tomba immédiatement amoureuse de son sauveur et se jura de le suivre partout où il ira. Si elle n’est clairement pas la plus forte, elle est en revanche très douée dans le domaine de l’espionnage et de l’infiltration où elle joue parfois de ses charmes pour avoir toutes les informations qui pourraient servir à son bien-aimé et à la cause révolutionnaire en général. Si Christian est le bras armé de Noah, on pourrait aisément dire qu’elle est ses « yeux » partout sur Shabondy. Tout comme l’ainé du groupe, elle a aussi le rang de cavalier et il serait mal avisé de la sous-estimer lors d’un combat.
Niveau évalué :
Dorikis : 3500
PP : +100
PI : -100
PRIME : 47 M.
Habiletés/Pouvoirs :
Bretteuse, Séduction (ou la Volonté du Q).
Voulez-vous qu'ils soient joués par PNJ Requiem ? Nan merci.
Situation initiale : https://www.onepiece-requiem.net/t1282-fiche-d-ile-archipel-shabondy
Intrigue : Shabondy. Un eldorado à n’en point douter pour maintes personnes : Dragons célestes, civils, pirates, divers commerçants… Mais aussi un excellent vivrier pour la révolution. Surtout au niveau de la zone de non droit. Zone assez vaste pour qu’ils puissent s’y installer et recruter masse de personnes sans forcément se faire remarquer par qui que ce soit.
Après tout, la discrétion est le credo des révolutionnaires.
On croit peut-être que la zone de non droit n’attire que des racailles, mais ce n’est qu’un préjugé parmi tant d’autres dans ce vaste monde. De braves zigs, opprimés ou peut-être marginalisés, s’y trouvent aussi sans pour autant chercher les emmerdes comme la plupart des forbans qui pullulent dans ces grooves : Des licenciés, des orphelins, des pauvres, des hommes-poissons paumés…
La liste n’est pas exhaustive. Vie cruelle.
1625. Tout est parti d’une réflexion d’un stratège de la révolution. Si la révolution était bien implantée dans les blues, ce n’était clairement pas le cas sur la première moitié de Grand Line. Shabondy avait le profil idéal pour du recrutement et de la propagande : La marine ne s’intéressait jamais à cette zone de non droit, les pirates qui y passaient n’étaient pas forcément un problème…
Bref, un eldorado à n’en point douter.
Pour se fondre dans la masse et implanter leurs différentes cellules, les révolutionnaires construisirent des bars ou des commerces à première vue peu recommandables où ils avaient le loisir d’observer, de sélectionner et de recruter tous ceux qu’ils jugeaient aptes à rejoindre leurs causes. Discrétion était le maitre mot de ces gens qui finirent par instaurer plusieurs petites cellules sur shabondy.
Ces cellules, reliées entre elles, devinrent au fil du temps un véritable réseau révolutionnaire. Discret et d’une importance capitale.
L’espoir était permis.
Sauf que l’être humain est complexe. Peu fiable. Instable.
« Instable ». C’est d’ailleurs le mot pour qualifier l’une de leurs dernières recrues : Il s’agissait d’un pauvre père de famille, licencié de la boite où il travaillait honnêtement. L’homme avait découvert une magouille de ses collègues qu’il comptait dénoncer auprès des patrons. Sauf que lesdits collègues firent tout retomber sur sa gueule, preuves falsifiés à l’appui. Sa parole contre la leur.
Une histoire classique, comme on en voit tous les jours.
Son licenciement provoqua une cascade de malheurs : Sans le sou, sa femme et sa fille le quittèrent. Sans le sou, son bailleur le vida de son appartement. Sans le sou, tous ses prétendus « amis » lui tournèrent le dos. Un triste sort qui l’emmena à errer jusqu’à la zone de non droit où il voulut en finir avec sa vie après de longs mois de galère. Sauf qu’il fut au dernier moment approché par des révolutionnaires.
Dans un premier temps, il adhéra à la cause : Ce monde était pourri et il fallait le changer ! Il fit tout ce qui lui fut dicté comme ordres, s’entraina à combattre et reprit gout à la vie. Pour la révolution, il était un énième œil, un futur espoir en devenir. Sauf que lors d’une mission banale dans la zone franche pour tester ses aptitudes, il vit sa femme aux bras d’un autre homme. Un richard.
De quoi le briser une deuxième fois.
S’il mena tout de même sa mission à bien, il se mit à douter à son retour. A réfléchir aussi. Cette vie aussi précaire et dangereuse était-elle la bonne ? N’était-il pas un vulgaire pion d’une cause qui le dépassait ? La vue de sa femme au bras d’un autre le tortura, si bien que des mauvaises idées germèrent dans son esprit ? Il lui fallait récupérer sa femme. Et il n’y avait qu’un seul moyen :
L’argent.
Pour ce faire, il n’y avait là aussi qu’une chose à faire : Trahir ces idiots qui se disaient défendre le peuple dans l’ombre. Alors, l’homme désespéré, prit le chemin de la caserne de la marine discrètement. Une fois arrivé à bon port, il raconta tout dans l’espoir d’être bien récompensé. Tout ce qu’il savait sur ce réseau bien implanté sur l’archipel. Les marines locaux ne prêtèrent pas attention à ses dires. Un mytho, sans doute.
Un homme cependant fut particulièrement intéressé par son récit : Le vice-amiral Fenyang Jr.
La raison de sa présence à Shabondy ? Une simple mission de routine : L’amiral Shiro lui avait ordonné de se rendre sur l’archipel pour sécuriser l’arrivée prochaine d’une importante délégation de dragons célestes, désireux de se réapprovisionner en esclaves de luxe. Le vice-amiral était alors venu en avance et était tombé par le plus grand des hasards sur l’histoire de cet homme.
De quoi titiller sa curiosité et l’occuper de fort belle manière, avant l’arrivée des dragons célestes sur les lieux.
Cependant, le vice-amiral ne pouvait pas agir brusquement. S’il croyait cette balance, il lui fallait tout de même confirmer ses informations. C’est dans cette optique des choses qu’il envoya sur le terrain, le seul sociologue de l’équipage, Ethan Levi pour confirmer toutes les informations acquises. Déguisé, Ethan allait devoir se passer pour une « victime » de ce monde et ainsi se faire recruter par les révos.
Le dénouement est proche…
Situation finale : Ethan réussit à se faire enrôler, confirme les doutes et une vaste opération de démantèlement dirigée par Alh’ se met en place. Objectif ? Mettre tous ces scélérats sous les verrous ou mieux même… Tous les tuer sans aucune pitié.
Merci d'avance de considérer ma demande.