==> Venant de rouge et marron
J'ai toujours le même objectif en vue depuis que j'ai commencé avec ma première boutique. Je veux contrôler le marché des escargophones. J'ai perdu Cagouilles Land quand je suis devenu révolutionnaire. J'ai massacré Revtavy quand je suis devenu pirate pour qu'ils n'aillent pas utiliser leurs connaissances pour quelqu'un d'autre que moi. Il reste une boutique de den den que je n'ai pas encore acquise. Il reste la PPK et la PPPK. La première étant à Marie-Joie, ça fait trop loin. Je me rabats donc sur la seconde, l'entreprise de Red. J'aurais le monopole des den den un jour, quoi qu'il arrive. Je marche dans Armada, me dirige vers le Kraken, quartier où je vais trouver la boutique. Après quelques détours, quelques soucis pour trouver mon chemin, j'arrive devant le magasin. Il ne paie pas de mine dis donc vu de dehors. On dirait un vieux bric-à-brac d'antiquaire où on trouver des trucs hors d'âge. Avec un peu de chance, on pourrait trouver un Pludbus Céldèborde.
On rentre dans la boutique avec Yuma. Enfin, si on peut appeler ça une boutique. Pour moi, ça tient presque d'une ruine. Vu les moyens qu'il a, le patron aurait pu lâcher un peu plus de thunes pour sa boutique. Bon, j’exagère en disant que c'est détérioré. Mais ça manque clairement de neuf, c'est fait avec de l'ancien et ça se voit. Ça se sent, même. Personne dans la boutique. On pourrait voler que personne ne s'en rendrait compte. Mais bon, voler sa boutique, c'est pas intelligent, donc je m'en abstiens. On entend du bruit dans le fond, on s'y rend donc. Oui, je dis on, parce que j'ai amené des marins du bateaux. Juste des types lambdas dont on se fou éperdument et qui sont remplacé automatiquement à chaque accostage. Je frappe à la porte du labo. Un espèce de grognement nous surprend. Puis une petite voix rauque et agressive nous dit qu'elle arrive. Quelques secondes plus tard, un vieux type rabougris ouvre la porte et se présente à nous.
« C'pour quoi ? » Vive l'accueil. C'est tellement chaleureux qu'on s'en brûle presque.
« J'viens racheter la boutique.
Z'êtes pas bien ? Savez à qui qu'elle est ?
A Red. Et ça tombe bien, je lui ai parlé un peu plus tôt, lui exposant mon idée. Il est d'accord pour me céder sa boutique et tout ce qu'elle contient pour que j'en fasse ma propriété et qu'il ne soit qu'un acossié à 33%. Je veux la développer plus. Beaucoup plus.
J'crois pas.
Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! »
Yuma pousse un cri en ouvrant la porte. On regarde tous. Et c'est pas joli. Des escargots par-ci tirés de tout côté par des pinces, dans du sel, ouvert en deux sur le plan de travail … L'odeur est … pestilentielle. Yuma referme la porte et fonce vers le scientifique. Enfin, quand on dit fonce … Vous avez déjà vu un escargot courir un sprint alors qu'il est collé avec de la super-glue ? Là, ça fait pareil. Yuma est dans son fauteuil roulant, mais a toujours un peu de mal à le manier, alors elle n'arrive pas vite. Voyant que ça pourrait déraper, je m'interpose.
« Vous avez pas honte ?! Faire ça à des escargots ! De pauvres petit gastéropodes qui ne peuvent pas se défendre ! Boucher ! Assassin ! Tueur ! Éventreur ! Malfaiteur ! Horrible personnage ! »
Au bout d'un moment, elle commence à changer de registre. Elle passe aux oiseaux et réussit à m'apprendre de nouveaux noms dont j'ignorais l'existence. Le boucher tente tant bien que mal de la faire taire, mais elle essaie de lui mordre les doigts. C'est bien la première fois que je vois Yuma dans cet état. Elle est vraiment en colère. Voyant qu'elle n'est pas prête d'arrêter, j'emploie la manière forte. A savoir gueuler un grand coup, sans prévenir personne, et bien plus fort que tout le monde. Tout le monde sursaute puis me regarde.
J'ai toujours le même objectif en vue depuis que j'ai commencé avec ma première boutique. Je veux contrôler le marché des escargophones. J'ai perdu Cagouilles Land quand je suis devenu révolutionnaire. J'ai massacré Revtavy quand je suis devenu pirate pour qu'ils n'aillent pas utiliser leurs connaissances pour quelqu'un d'autre que moi. Il reste une boutique de den den que je n'ai pas encore acquise. Il reste la PPK et la PPPK. La première étant à Marie-Joie, ça fait trop loin. Je me rabats donc sur la seconde, l'entreprise de Red. J'aurais le monopole des den den un jour, quoi qu'il arrive. Je marche dans Armada, me dirige vers le Kraken, quartier où je vais trouver la boutique. Après quelques détours, quelques soucis pour trouver mon chemin, j'arrive devant le magasin. Il ne paie pas de mine dis donc vu de dehors. On dirait un vieux bric-à-brac d'antiquaire où on trouver des trucs hors d'âge. Avec un peu de chance, on pourrait trouver un Pludbus Céldèborde.
On rentre dans la boutique avec Yuma. Enfin, si on peut appeler ça une boutique. Pour moi, ça tient presque d'une ruine. Vu les moyens qu'il a, le patron aurait pu lâcher un peu plus de thunes pour sa boutique. Bon, j’exagère en disant que c'est détérioré. Mais ça manque clairement de neuf, c'est fait avec de l'ancien et ça se voit. Ça se sent, même. Personne dans la boutique. On pourrait voler que personne ne s'en rendrait compte. Mais bon, voler sa boutique, c'est pas intelligent, donc je m'en abstiens. On entend du bruit dans le fond, on s'y rend donc. Oui, je dis on, parce que j'ai amené des marins du bateaux. Juste des types lambdas dont on se fou éperdument et qui sont remplacé automatiquement à chaque accostage. Je frappe à la porte du labo. Un espèce de grognement nous surprend. Puis une petite voix rauque et agressive nous dit qu'elle arrive. Quelques secondes plus tard, un vieux type rabougris ouvre la porte et se présente à nous.
« C'pour quoi ? » Vive l'accueil. C'est tellement chaleureux qu'on s'en brûle presque.
« J'viens racheter la boutique.
Z'êtes pas bien ? Savez à qui qu'elle est ?
A Red. Et ça tombe bien, je lui ai parlé un peu plus tôt, lui exposant mon idée. Il est d'accord pour me céder sa boutique et tout ce qu'elle contient pour que j'en fasse ma propriété et qu'il ne soit qu'un acossié à 33%. Je veux la développer plus. Beaucoup plus.
J'crois pas.
Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! »
Yuma pousse un cri en ouvrant la porte. On regarde tous. Et c'est pas joli. Des escargots par-ci tirés de tout côté par des pinces, dans du sel, ouvert en deux sur le plan de travail … L'odeur est … pestilentielle. Yuma referme la porte et fonce vers le scientifique. Enfin, quand on dit fonce … Vous avez déjà vu un escargot courir un sprint alors qu'il est collé avec de la super-glue ? Là, ça fait pareil. Yuma est dans son fauteuil roulant, mais a toujours un peu de mal à le manier, alors elle n'arrive pas vite. Voyant que ça pourrait déraper, je m'interpose.
« Vous avez pas honte ?! Faire ça à des escargots ! De pauvres petit gastéropodes qui ne peuvent pas se défendre ! Boucher ! Assassin ! Tueur ! Éventreur ! Malfaiteur ! Horrible personnage ! »
Au bout d'un moment, elle commence à changer de registre. Elle passe aux oiseaux et réussit à m'apprendre de nouveaux noms dont j'ignorais l'existence. Le boucher tente tant bien que mal de la faire taire, mais elle essaie de lui mordre les doigts. C'est bien la première fois que je vois Yuma dans cet état. Elle est vraiment en colère. Voyant qu'elle n'est pas prête d'arrêter, j'emploie la manière forte. A savoir gueuler un grand coup, sans prévenir personne, et bien plus fort que tout le monde. Tout le monde sursaute puis me regarde.