Le silence est d'or - Django

Django est un type totalement banal, voir plutôt même chétif puisqu'il ne pèse que seulement 58 kg. Il n’est pas plus haut que le mètre soixante-dix, très maigrichons on le confond très souvent avec un gosse d’une quinzaine d’année ce qui n’est pourtant pas le cas.

Sa peau es pâle, ses cheveux sont noir, un noir émeraude étincelant ce qui fais ressortir ses joli petit yeux bleu clair azur. De magnifiques yeux pour un regard totalement inexpressif et pensif. Voila ce qu’est notre jeune spécimen, un jeune homme de vingt et un ans sans atout physique particulier, sans aucune carrure ni prestance, un être qui passe inaperçue dans n’importe qu’elle situation puisque personne ne s’en prendrais à une personne qui ressemble à un enfant totalement inoffensif.

Ses vêtement ne sont pas vraiment gai non plus étant donné qu’ils sont entièrement noir, que ce soit son pantalon, ses chaussures ou mêmes sa longue veste déchiré flottante au vent de par sa longueur. Cette veste appartenant autrefois à son géniteur et donc es faite pour être porté par un homme  carré d’un bon mètres quatre-vingts dix. Est-un mendiant ? Non loin de là, il s’agit juste d’un goût vestimentaire particulier et que cette veste à une valeur sentimentale inégalable à ses petit yeux.

La particularité de son physique est l’abominable brûlure lui servant de cicatrice s'étendant de la nuque jusqu'à l'avant bras, une blessure survenue un jour bien particulier, mais nous en reparlerons plus tard.

Notre jeune homme est donc un cure dent avec des jambes fine mais robuste, des bras fin et frêle comme une brindille et d’une longue chevelure sombre.

Maintenant allons voir ce qui se passe dans la tête de ce jeune énergumène !

C’est un jeune homme parfaitement calme, limite au point de le prendre pour une âme errant dans ce bas monde. Il n’est pas très bavard et aime particulièrement la solitude.

Il passe le plus clair de son temps le regard perdu vers le ciel à attendre que quelque chose se passe, malgré ça c’est une personne aux prouesses intellectuelles très développer, chaque seconde d’inoccupation est un moyen pour lui de réfléchir à tout et à rien, à imaginer chaque situation possible de la vie et multiple moyenne de les affronter.

Il aime avoir toujours un coup d’avance sur tout le monde, particulièrement sur ses adversaires, lorsqu’il part en infiltration il prévoit plusieurs opportunités d’accomplir sa mission à bien et ne se fait jamais surprendre. Ses seuls défauts sont la boisson et les jolies femmes et où trouve-t-on cela ? Dans une taverne bien sûr, le lieu également le plus propice pour obtenir des informations sur ses potentielles cibles.

Il es extrêmement téméraire et ne recule jamais devant un obstacle, pour lui une tâche entamé ce doit d'être fini avant de penser à tout autres choses. Même si il n'est pas très bavard, il faut tout de même se méfier, ce jeune homme est très sournois et peu être un très beau parleur quand il le souhaite, particulièrement avec les femmes qui aime son côté sombre et mystérieux ou tout simplement son regard perçant et glaciale.

Hormis cela Django est une personne extrême réserver, inexpressif en toutes circonstances, imperturbable est surtout renfermée sur lui-même. Son passé a fait de lui ce qu’il est aujourd’hui, un homme qui refuse la compagnie de quelques-conques personne et encore moins l’aide de qui que ce soit.

CHAPITRE PREMIER
Il y a de cela vingt et un ans dans une petite maison du Royaume de Bliss une femme nommée Nathalya et son mari Doryon Tekyro mirent au monde un jeune garçon du nom d’Ishiin…

La mère était commerçante de fruit et légume dans une petite étale du marché, ce qui à vrai dire rapporte peu, surtout pour élever un enfant. Heureusement son mari lui était charpentier naval pour le compte du gouvernement, un excellent maitre de chantier reconnu pour son talent dans la maitrise d’établir des plans de navire toujours plus performant, solide et rapide. Sa renommée était telle que tout South Blue connaissait son nom. Il avait le don de convaincre ses supérieurs et membres du gouvernement à lui faire livrer des marchandises de très grande qualité des quatre coins des mers.
C’est dans cette famille qu’Ishiin eut la chance de voir le jour...

Au fil des années le jeune homme grandissant lui aussi se faisait connaître sur l’île, non pas pour ses talents de charpentier mais pour sa gentillesse et sa joie de vivre. Il passait son temps sur les chantiers aux côtés de son père et des autres ouvriers, il était un petit rayon de soleil qui venait égailler ces jeunes travailleurs mais aussi les membres de la marine qui passait beaucoup de temps à s’amuser avec.

CHAPITRE SECOND

Le temps passait et c’est à l’âge de seulement huit ans que le jeune garçon prit la fervente décision de rejoindre la marine une fois qu’il en aurait l’âge et les capacités, c’est pourquoi pendant que son père travaillait, lui commençait à s’entrainer au QG de la marine du Royaume. Mais étant donné le physique peut développer du jeune garçon celui-ci ne pouvait même pas soulever un sabre et encore moins effectuer des mouvements avec alors il utilisait une simple petite dague qui lui fut offerte par son père.

Cependant un jour son père tomba gravement malade et perdit son travail en à peine quelques semaines dues à sa santé qui se dégradait. Naturellement il fut pris en charge et commença à subir des soins, mais cela prenait trop de temps alors le gouvernement cessa de le payer. Très vite l’argent commença à manquer au sein du foyer quoique tout le monde tentait de les soutenir du mieux qu’il le pouvait. Un un an la famille fut ruinée.

Un soir un navire pointa le bout de son nez à l’horizon brandissant le pavillon noir, l'alerte aussitôt donnée tout le monde se mit au branle bat de combat. La nuit fut sanglante et terrifiante. Vingt-sept membres de la marine perdirent la vie ainsi que treize ouvriers du chantier qui travaillaient encore ce soir-là, mais le pire dans tout ça c’est qu’il y eut deux civils abattus à l’arme à feu d’une balle pleine tête à bout portant… Les parents du Jeune Ishiin.

Ce fut tragique pour l’enfant, qui mit près de cinq longues années pour accepter le deuil, seules deux questions subsistaient : Qui ? Et surtout POURQUOI ? Il avait assisté à la scène et se souvenait juste du visage d’un des trois membres responsable de cette atrocité...

CHAPITRE TROISIÈME

Quatorze ans, le jeune garçon a bien grandi et a subi de rude épreuve émotionnelle due au manque d’affection parentale, c’est devenue un être froid, distant et renfermé, ce qui est peu habituel pour un jeune adolescent.

Malgré tout ça il a poursuivi son initiation au sein de la marine, il est reconnu pour être l’un des plus agiles parmi sa promotion. C’est justement à deux semaines d’un examen final de pratique qui lui permettrait d’intégrer un équipage que le pire se produit...

Le jeune homme déjà fan de boisson se tenait à l’entrée d’une taverne à fumer l’une de ses premières cigarettes quand tout à coup un groupe de soldats entra dans la taverne avec en tête un homme au visage inoubliable, un regard malsain et vif, celui de l’assassin !

Il s’empressa de jeter sa clope et entra à son tour, il fixa les soldats qui venaient de s’attabler puis fixa l’homme, un regard vide s’installa sur son visage, il serra du poing mais né put bouger, il resta là planté tel un imbécile pendant près de quarante cinq minutes. Après quoi les hommes quittèrent la table et sortirent en le bousculants étant donné qu’il n’avait toujours pas bougé.

Il reprit ses « esprits » et leva la tête, l’assassin se tenait droit devant lui alors le jeune garçon s’écarta fou de rage et resta là à observer où se dirigerait le groupe d’hommes.
Pur hasard ? Le groupe se sépara et l’assassin prit seule une direction, l’adolescent réalisant ce qui se passait ne laissa pas passer sa chance et débuta une filature.

Après une dizaine de minutes dans les rues de la ville l’homme s’arrêta pour uriner dans un coin isolé et sombre d’une ruelle, Ishiin s’approcha sans soupçon et lui planta un coutelas dans le mollet, le retira et regarda l’homme s’écrouler en criant.

L’homme à genoux, Ishiin lui plaça un couteau sous la gorge et c’est là que débuta un interrogatoire… Cinq petites minutes plus tard deux soldats arrivèrent dans la ruelle interpeler par le cri, le jeune adolescent trancha alors la gorge de l’homme devant les soldats. Ne sachant pas comment réagir face à ce gosse ils restèrent immobiles ce qui ne fut pas le cas de l’adolescent qui s’approcha d’eux, le visage tacher de sang et se jeta sur les deux marines tel un sauvage pour écorcher le visage du premier. Le second l’attrapa mais se fit mordre, il lâcha prise et s’en suivi une violente scène… Dix-sept coups de couteau dans l’abdomen, il laissa cependant la vie au soldat écorché et s’enfuit le plus vite possible, en larmes mais au moins il avait eu les réponses à ses questions...

Plus tard il rejoint un groupe de réfugiés de la révolution et décida d’en intégrer l’organisation

West blue – Mardi – Quatorze heure.

«  Allez du nerf tas de feignant il faut que vous appareiller dans l’heure !»

*Arf qu’elle plaie ce type, on n’est pas au pièce là, allez se tourné les pouces pendant plus de huit jours sur ce rafiot dans quoi j’me suis embarqué moi*

Django lève la tête vers le ciel, s’allume une clope

*Le temps se couvre il risque d’y avoir de la tempête pendant le voyage*

Il s’occupa de chargé a l’aide des marins les derniers barils d’eau potable et les cagettes de légumes, il prit ses affaires, c'est-à-dire une couette et chercha sa cabine. Il n’arrêtait pas de faire des allées retour dans les couloirs de la soute sans trop savoir ou se foutre, il avait beau regarder les numéros de dortoir il ne trouvait pas le sien, enfin si il l’avait trouvé mais quand il a voulu ouvrir la porte il est tombé sur une jeune fille dénudé en train de se changer alors il n’ose même plus remettre un pied là bas.

Pour finir il retourna sur le pont du navire et grimpa au mat, posa sa couette et décida de ne plus bouger d’ici cela lui convenait, il alluma sa énième clope de la journée ferma les yeux et tendit que le navire quittait le port il sentit l’agréable brise d’air fraîche caresser son visage.

Deux petites heures après avoir quitté le port cette agréable brise se transforma en une tempête et un déluge complet. Il s’empressa de redescendre dans la soute, il se secoua pour enlever les gouttes d’eau qui ruisselait de sa chevelure quand tout d’un coup il se retrouva étaler au sol.
Il ouvrit les yeux et vit la jeune femme de la cabine sur lui, il tira une tronche de dix kilomètres. Elle le regardait l’air gêner avec un léger sourire

« Ex..Excuse moi je.. Je suis vraiment maladroite ! Mais tu es tout mouillé tu sors d’où ? Mais t’es pas bien, va te sécher. En plus tu ma mouillé aussi tu est une vrai plaie comme type »

Voyant qu’il avait à faire à une casse couille doublé d’une blonde sans capacité intellectuelle majeur il se contenta de répondre

« Veux tu bien te pousser c’est génant »

Elle le regarda offusqué

« Comment ? C’est toi qui te pointe dans ma cabine pendant que je me change et c’est moi qui suis gênante ? Ah les bonhommes tous des rabat joie »

La jeune fille se releva et par maladresse posa sa main sur le pantalon de jeune homme qui se mit a poussé un léger cri de détresse et se mit en reculer en faisait l’araignée.

« Oui oui bon écoute moi faut que j’y aille»

Il se releva et parti en vitesse grand V. Pour lui c’est clair et net pas possible de partager sa cabine avec une femme, il aurait trop d’obscénité en tête. La nuit tomba alors il décida de prendre le tour de garde et retourna donc se percher sur le mat mais plus équipé cette fois pour paré la pluie. Il tenta d’allumer une cigarette mais en vain il flottait trop, tout était trempé.

Il passa la nuit là haut a attendre que quelqu’un vienne le remplacé mais personne ne montra le bout de son nez

*Surement le bisoutage rien de grave …*

Mercredi Matin – Neuf heures

La tempête se calma et laissa place au premier rayon du soleil, Django descendit donc de son tronc et alla à la cuisine pour manger il en avait bien besoin. Là ce trouvait tout ses collègues qui prenait le déjeuner. Il essaya de se sécher et s’asseya dans un coin de la pièce lorsqu’une voix l’interpella

« Mais tu as passé la nuit dehors ? On ne ta pas remplacé ? »

Il fit un signe négatif de la tête, alors l’homme se leva d’un air décider et mécontent

« CANDYYYYYYYYYYY sale petite feignasse vient ici tout de suite »

Sauf que la petiote dormait encore comme pas possible alors l’homme entra dans sa cabine et trouva la fille endormit a moitié sur son lit (les jambes) et le reste par terre en train de ronfler. Django pointa sa tête a la porte et regarda la scène ahuri. A la longue d’entendre crié elle se reveilla et ne trouva rien de mieux a dire

« Oué attend j’prend la garde vers minuit » Et elle se rendormit.

Sur les nerf l’homme que nous appelleront Mike et qui est le capitaine de se navire et de cette mission de reconnaissance et de patrouille, chopa un sceau d’eau froide et le jeta sur Candy qui fit un bond de deux mètre.

« Chef oui chef » dit-elle

« Sacré feignasse il est neuf heures et demi tu n’a pas prit ton tour de garde cette nuit et le pauvre Django a passer la nuit dehors ! D’ailleurs vous ne saviez pas ? Vu que vous êtes les nouveaux vous partagez cette cabine »

Django entra alors dans la pièce et affirma que ce n’était pas possible, qu’il refusait catégoriquement de partager cette cabine avec qui que ce soit surtout une femme et particulièrement cette femme qui avait un chou en guise de cerveau. Pour de tel propos Django fut de corvée de nettoyé le pont à la brosse, autant dire que cela lui prit deux jours.

SAMEDI – Vingt-deux heures

Django monte au sommet du mat et y trouve Candy, exaspérer il prend son tour de garde, la jeune fille commença a descendre quand il entendu un « boum », elle venait de louper un filet et de s’enfoncé la tête dans le pont du bateau

*Vraiment une plaie celle là*

Les heures passèrent et leur navire approcha d’une petite île, la lune éclairait si bien qu’il pouvait apercevoir une ville et une navire, mais le pavillon était celui de la marine. Il ne broncha pas s’alluma un clope, plissa les yeux et descendit du mat. Il avait une petite idée en tête, il descendit une chaloupe a la mers et commença à ramer vers l’île quand soudain il vit une couette bouger dans sa chaloupe. Il la souleva et trouva Candy y dormant alors il se dépécha de la reveillé.

« Idiote qu’est ce que tu fais fais là, bordel tu es vraiment stupide maintenant va falloir que je fasse attention à toi, alors tu écoute bien ce que je vais te dire. Tu ne bouge pas de la chaloupe temps que je ne suis pas revenu »

La jeune idiote acquisa de la tête a moitié somnolente, arrivé a quelques mètres du rivage Django plonga et nagea jusqu’à l’île en étant le plus discret possible. Une fois sur place il observa ce qui se passait sur le navire, apparement aucun signe de vie. Il monta alors a bord car son objectif était de dérober des armes pour le compte de son organisation seulement la il se fit prendre la main dans le sac.

« SONNEZ L’ALERTE UN INTRUS A BORD ABATTEZ LE »

Les coups de fusil commencèrent à partir, Django ne perdit pas de temps a grimper en haut du mat où il trouva un soldat qui pionçait, il le prit et le jeta, sa tête éclata sur le rebord du navire.

*Enfin un peu d’action ce voyage m’ennuyait *

Il vit les soldats grimpant au filet, il se posta debout, sorti un berry de sa poche et le jeta en l’air. De la il se pencha en avant et se laissa tombé entre deux soldats qu’il découpa net durant sa chute. Il posa le genoux au sol, quelques seconde après deux tête et deux corps séparé touchèrent aussi le sol. Il mit une balayette au soldat le plus proche de lui et l’embrocha trois fois de suite avec son couteau. Il se redressa et récupéra son berry qui venait de retomber.

Seulement la il était encerclé, sabre et fusil pointer sur lui, il se sentit con d’avoir voulu joué les malin sachant que le navire était surement blindé de soldat.

« EN JOUE ! »

La il était pièger, mais au moment  où il ne s’y attendait pas, des barils volèrent sur les soldats. C’était Candy, qui avec une force surhumaine balançait a la voler ces barils sur les ennemies.
Django mit quelqques seconde a réagir, c’était tellement le bordel sur le pont il s’alluma une clope, chopa un fusil ainsi que candy avant de quitté la navire.

Il posa la jeune fille au sol et la remercia de l’avoir sauvé. Il mit le fusil à l’épaule et visa les barils, il se doutait que c’était soit de la poudre, soit de l’alcool, les deux étant inflammable il tira. Il s’agissait en faite des deux et l’explosion fut grandiose, une partie du navire flambait pendant qu’il coulait petit à petit.

Fier d’eux il regagnèrent leur chaloupe sans plus tardé car d’autre soldat les avait nettement repéré et leurs couraient après..

Une fois de retour sur leur navire, tout le monde était sur le pont reveillé par le bruit de l’explosion. Django et Candy se regardèrent et sourirent.
La fin du voyage se passa tranquillement sans encombre et Django avait enfin accordé sa confiance a la jeune idiote.