De la patrouille sur terre, à la patrouille en mer. On peut dire que je gravissais vraiment bien les échelons. Pour ma première virée aujourd’hui en tant que patrouilleur de l’eau, je n’aurai que le deuxième rôle le plus important abord, montrant à quel point j’étais proche de prendre le contrôle, raison de plus de fournir des efforts maximales et obtenir la seule promotion qui me manquait et enfin ne plus avoir à obéir aux ordres de cette taré aux cheveux multicolores avec un excès d’énergisant dans le sang. Sérieux, elle était vraiment trop infatigable. À quoi aurait ressemblée la Marine si tout le monde était aussi hyperactif.
Il était temps de partir. Nous quittâmes les quais à bord d’une caravelle de la marine, accompagnée d’une quarantaine d’hommes. Ils étaient là au cas où, on n'est jamais sur de ce sur quoi on va tomber, mais ce qui est sur c’est que peu importent sur quoi tu tomberas, tu auras besoin d’hommes, la mer c’est pour les grands. Le navire gagnait peu à peu en vitesse et la terre ferme disparaissaient derrière nous au fur et à mesure que nous prenions le large et le lieutenant Kuzuryu était sur tous les fronts. Tu fous quoi Blériot……. Ça dort par ici ? ...... On va pas assez vite……. Du nerf….. On pisse pas dans l’eau ! …..
- Ed', arrête de tirer au flanc, j't'ai pas foutu là pour que tu te la coule douce !
- Non mais ho. Observe plutôt l'entourage et trouve nous des trucs suspects.
Répondis-je à Ryuko, assis en tailleur à l’avant du bateau, croisant mes bras et tendant mes lèvres comme un gamin en pleine bourde. Depuis son affectation au G-2, nous ne cessions de chamailler matin et soir, mais ce n’était qu’un témoignage de la bonne entente qui régnait entre nous. Ce n’est pas tous les jours qu’on trouvait des personnes encore pleines de joie de vivre au sein des forces de la marine et j’ai eu la chance d’avoir de suite deux supérieures super génial, après le lieutenant Will qui vogue à présent sur les mers, je suis assigné pour un temps au service de Ryuko Kuzuryu et tous les deux se sont montré super cool envers moi, tout ce qu’un Marin peut demander.
Le vent nous souriait à pleines dents alors que les deux mats de la caravelle étaient lâchés, nous procurant une vitesse de déplacement fabuleuse, encore que le bateau ne fut pas énormément chargé nous permettant de naviguer à plein gaz. Le lieutenant commandant de bord jouait son rôle à merveille ne laissant aucune place à la flemmardise à bord, tandis que je restais à l’avant du bateau en guetteur un télescope en main, ne laissant aucun détail au hasard. Je ne pouvais me permettre de faillir dans une mission de routine comme celle-ci.
La caravelle de la marine fendait l’océan sous sa coque pour emmener ses passagers toujours plus loin. Une autre bonne nouvel pour nous était que la mer était très calme, nous facilitant ainsi la navigation. Un trait de sueur froide me traversa la tempe lorsque que je m’imaginais traverser une mer agitée à bord d’une caravelle dirigée par Kuzu. Tout se passait super bien depuis le début de la croisière, lorsque du bout de mon télescope, j’aperçus quelque chose d’intriguant. Me mettant lentement debout en prenant appui sur le télescope, je ramenais celui-ci à mon œil et ce qui n’était plus tôt qu’une ombre masquée derrière la brume, commençait peu à peu à prendre forme alors que notre navire se rapprochait à toute allure. Ma réaction fit que le lieutenant à bord s’approcha de moi.
- Ça va Ed' ?.
Sans dire un mot, je lui passais le télescope.
Il était temps de partir. Nous quittâmes les quais à bord d’une caravelle de la marine, accompagnée d’une quarantaine d’hommes. Ils étaient là au cas où, on n'est jamais sur de ce sur quoi on va tomber, mais ce qui est sur c’est que peu importent sur quoi tu tomberas, tu auras besoin d’hommes, la mer c’est pour les grands. Le navire gagnait peu à peu en vitesse et la terre ferme disparaissaient derrière nous au fur et à mesure que nous prenions le large et le lieutenant Kuzuryu était sur tous les fronts. Tu fous quoi Blériot……. Ça dort par ici ? ...... On va pas assez vite……. Du nerf….. On pisse pas dans l’eau ! …..
- Ed', arrête de tirer au flanc, j't'ai pas foutu là pour que tu te la coule douce !
- Non mais ho. Observe plutôt l'entourage et trouve nous des trucs suspects.
Répondis-je à Ryuko, assis en tailleur à l’avant du bateau, croisant mes bras et tendant mes lèvres comme un gamin en pleine bourde. Depuis son affectation au G-2, nous ne cessions de chamailler matin et soir, mais ce n’était qu’un témoignage de la bonne entente qui régnait entre nous. Ce n’est pas tous les jours qu’on trouvait des personnes encore pleines de joie de vivre au sein des forces de la marine et j’ai eu la chance d’avoir de suite deux supérieures super génial, après le lieutenant Will qui vogue à présent sur les mers, je suis assigné pour un temps au service de Ryuko Kuzuryu et tous les deux se sont montré super cool envers moi, tout ce qu’un Marin peut demander.
Le vent nous souriait à pleines dents alors que les deux mats de la caravelle étaient lâchés, nous procurant une vitesse de déplacement fabuleuse, encore que le bateau ne fut pas énormément chargé nous permettant de naviguer à plein gaz. Le lieutenant commandant de bord jouait son rôle à merveille ne laissant aucune place à la flemmardise à bord, tandis que je restais à l’avant du bateau en guetteur un télescope en main, ne laissant aucun détail au hasard. Je ne pouvais me permettre de faillir dans une mission de routine comme celle-ci.
La caravelle de la marine fendait l’océan sous sa coque pour emmener ses passagers toujours plus loin. Une autre bonne nouvel pour nous était que la mer était très calme, nous facilitant ainsi la navigation. Un trait de sueur froide me traversa la tempe lorsque que je m’imaginais traverser une mer agitée à bord d’une caravelle dirigée par Kuzu. Tout se passait super bien depuis le début de la croisière, lorsque du bout de mon télescope, j’aperçus quelque chose d’intriguant. Me mettant lentement debout en prenant appui sur le télescope, je ramenais celui-ci à mon œil et ce qui n’était plus tôt qu’une ombre masquée derrière la brume, commençait peu à peu à prendre forme alors que notre navire se rapprochait à toute allure. Ma réaction fit que le lieutenant à bord s’approcha de moi.
- Ça va Ed' ?.
Sans dire un mot, je lui passais le télescope.