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THE GREAT V-HISTORY

>> Nom & Prénom

J'veux pas m'montrer !
(Et ce serait mieux si ce s'rait l'majeur...)

THE GREAT V-HISTORY 100910065217836304

Pseudonyme : Dr Vegapunk
Age: Aimes mieux l'ignorer...
Sexe : Okama
Race : Homme avant un grand H
Rang : JE suis LE savant n.1 mondial le plus génial que le globe n'est jamais connu !

Métier : Il y a un truc que tu dois pas trop comprendre, petite cellule de cornichon phosphoré... Use un peu de l'atome de fluor ionisé que t'as comme cerveau et relis le dernier passage.
Groupe : En tête de la branche scientifique de la Marine !
Déjà un équipage : Je travail seul, do you understand that minus ?
But : Devenir le plus grand savant du monde !... Hoho ! mais je le suis déjà ! MWOUAHAHAHAHA !

Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : J'aimerais bien avoir le zoan de la Libellule. Ainsi que l'Aptitude spéciale du Dr V., soit la capacité de comprendre plus ou moins bien le fonctionnement d'une machine. Mais je le décrirai mieux plus tard.
Équipements : Bon. J'espère que t'es patient.
Un fauteuil roulant fonctionnant au jus de cornichon.
    [Il comprend :
    - Un escargot-phone-micro cyborg intégré (avec un V™ tatoué sur la coquille)
    - Un canon au centre de chaque roue pour des confettis roses
    - Des amplificateurs de 150W
    - Un second escargot-phone cyborg, mais pour appeler qui je veux
    - Des roues tous terrains
    - Un canot de sauvetage jaune (ça se fait pas en rose) pouvant se gonfler/dégonfler sous le fauteuil en forme de V
    - Un escargot-visio-projecteur cyborg incrusté dans l'arrière du siège (même tatou que les autres)
    - Un siège multi-position
    - Moteur pouvant pousser l'engin à 25 km/h]

Le V.Gun Action
Une trousse utile d'objets du quotidien (pince à sourcil, tournevis, sandwich corni-mayo, scie à métal)
Béquilles rétractables sous le commandement du FABULEUX... hasard
Miss Rose
    [Elle comprend :
    - Une robe à paillette large (ROSE !)
    - Un décolleté plongeant
    - Des patins à roues alignées fonctionnant au jus de cornichon
    - Un escargot-phone, ligne privée avec ma sublime personne
    - Des bouquins
    - Un tonneau gigantesque de jus de cornichon
    - Un parapluie
    - La marque V™ dans le cou]



Codes du règlement (2) :

>> MA description morphologique

L'on dit de Vegapunk qu'il est un homme de bonne taille, et n'ayant d'égal à ses muscles que son intelligence. Portant avec un chic exemplaire le sarrau blanc du docteur, il aurait également une coupe broussailleuse, longue et brûlée sur les bords. Gants de latex, scalpel à la main en permanence, à hauteur du visage. Sourire carnassier. Lueur de folie derrière ses verres ronds... Un fou quoi ! OUAIS, UN PUTAIN DE FOU !
...
Non mais sans blague, pourquoi il faut toujours que l'on s'imagine ce type de savant. Je suis pas ainsi, moi, bordel. Est-ce que vous me voyez me shooter au stupéfiant pour accroître considérablement ma masse musculaire ? Je crois pas, non. ELLES SONT OÙ MES JAMBES, DANS TOUT ÇA ? Et pour vrai, pourquoi je dois avoir absolument ce regard de débile et un scalpel à la main ? Certes, je suis Docteur, mais c'est simplement comme titre honorifique à mon grand panel de connaissances... MWOUHAHAHAHA ! Hum. Bah, y'a pas à dire, un civil, ça s'imagine n'importe quoi !
...
Bon, c'vrai, je ne m'affiche pas en public souvent.
Je vais donc de ce pas te lister ce à quoi je ressemble réellement. Ouvres bien tes canaux auditifs, ce sera pas demain la veille que tu auras la chance d'assister à un tel discours digne d'Homère ! Tu sais pas c'est qui ? Bah, oublies vulgaire cornichon, et pries pour que le ciel te donne un peu de ce qui te manque dans ta tête de piaf alité sur tubes !

Premièrement, effaces cette fausse image de ma sublime personne. Les muscles, les lunettes, le scalpel ; oublies, c'pas pour moi. Moi, c'est la mécanique, la puissance d'une machine, l'énergie cinétique et potentielle d'un corps que j'aime et façonne. Je portes toujours un tournevis sur moi, et quelques plans d'un nouvel objet utile/inutile quelconque, par-ci par-là. J'ai également une petite sacoche d'outils, histoire de ne pas me retrouver à ne rien faire lorsque je suis en pause syndicale.
Côté muscles, je suis plutôt le contraire. Le gym, c'est pas ma place, surtout avec ma capacité limité de déplacements. Bah si, je suis grand et élancé, mais fixé sur un beau petit fauteuil-roulant. La V-mobile quoi. C'est sûr qu'avant, quand je me déplaçais en poussant les roues de mes bras nues et forts, je battais quiconque qui voulait s'opposer à moi au tire au poignet... Mais maintenant, avec son nouveau système énergétique au jus de cornichon, elle me facilite grandement la vie, bien que j'ai perdu ces épaules d'Adonis.
Lunettes, sarrau blanc... Ils se fourrent le doigt profond dans l’oeil. Moi, c’est le rose ! Bah si, j’aime le rose. Et sur mon grand sarrau tout de rose, dans mon dos, il y a écrit le meilleur. Tu dois pas comprendre ce que c’est d’être le meilleur, après tout... MWOUAHAHAHAHA !
Mes cheveux, c’est ce qu’il y a de plus précieux. Ils sont longs et soyeux. Disons qu’après mon amour intarissable pour la technologie, il y a mes cheveux. M’arrivant aux fesses, ils se prennent souvent dans mes roues de fauteuil, à mon plus grand désarroi...
Tu te maquilles toi, parfois ? Moi si. Même souvent. C’est vrai, t’as raison, le maquillage, ça prend dans la barbe... Mais je peux pas la raser comme ça, tout d’même. Pourquoi ? Hola, n’allons pas trop loin, OK ? Espèce de crotte de carbonate d’hydrogène. Allez, retournes à tes occupations, avant que je n'appelles mes gardes... Et d’abord, qu’est-ce tu fais dans mon labo’ ? Ah ! Tu es mon nouveau cobaye ? Parfait alors !
...
Mais où est passé ma scie à métal ?
~ Okama, okama waaay ! ~



>> Mon génie, ma vie !

Avant de de te découper et de t’insérer le modèle 75-PX-1 à la place de ce morceau de chair qu’on appel coeur, laisses-moi donc un peu te décrire qui je suis vraiment. Histoire de sympathiser un peu avant que tu ne deviennes une vraie machine à tuer...
...
~ Okama, okamaaa waaay ! ~
J’aime bien la mayo. Je sais pas pourquoi, mais ce petit goût sucré et cette mixture blanchâtre, et ben, j’en raffoles. C’est juste assez crémeux pour pas que je l’avales trop vite, mais pas assez pour que ça me stagne dans la bouche. Et il n’y a pas à dire, de la mayo dans un sandwich aux cornichons, c’est le must !
...
Pourquoi tu me regardes avec ces yeux là ? Je sais ce que je fais ? C’est vrai, ta tête de moineau doit plus trop se souvenir de qui je suis. Surtout avec ce clou au beau milieu de ton front... Bon, et bien, au risque de me répéter, je suis le GÉNISSIME Dr Vegapunk ! Savant mondial N.1 et reconnu à travers le globe entier !
~ Okama, okamaaaaaa waaaaaaay ! ~
...
Tu sais, j’ai jamais vraiment aimé m’appeler Sengoku. Je sais pas pourquoi mes parents ont insisté pour me donner ce nom, mais je te jures que s’appeler comme son grand-père, aussi connu soit-il, c’est embêtant. De trop hautes estimes de la part des gradés, des tâches trop lourdes pour ma personnalités, des travaux pas adaptés... Moi, c’que j’aimais, c’était danser, à l’époque. Quand j’ai eu mon accident... Quand j’ai eut mon accident, je me suis passionné de la mécanique et... Enfin, voilà.
Non, pour vrai, j’aime pas combattre. C’est d’abord et avant tout avec la tête que ça se passe. Les brutes épaisses dans le genre des vices-amiraux, qui n’ont foi quand leurs glaives, non merci. Des muscles, des muscles, des muscles... La grâce d’une femme : c'est bien mieux !
Non, le seul vrai homme que je respecte, c’est la reine des Okamas, Ivankov-sama !
~ OKAMA, OKAMA WAAAAAAAAY ! ~
...
Hola, mais attention à ce que tu penses. J’ai la mouette tatouée sur le coeur, tout d'même. Les malfrats, c’est juste bons pour les ordures... Ou pour en faire des cobayes acceptables ! Yes my dear !

Hoho ? Mais tu fermes les yeux ? Serais-tu fatigué par pur hasard ? Je t’ennuies, c’est ça ?... Ah non ! Tu pisses le sang mec ! Ne paniques pas, ne paniques pas ! Voyons, je sais... je sais comment régler ça ! Bah si, car... JE SUIS LE MEILLEUR ! MWOUAHAHAHAHAHAHAHAHA !
...
Oh et zut, t’es encore mort... Il faudrait que j’apprennes à me concentrer parfois, au lieu de déblatérer...

APPORTEZ LE PROCHAIN PATIENT, MISS ROSE !



>> V-HISTORY

Sengoku le bouddha... et sa progéniture
Rencontre des membres de la branche scientifique de la Marine

C'est sous un tonnerre d'applaudissements que je roule jusqu'au bout de la scène, actionnant de mon doigt l'interrupteur qui fait avancer ma V-mobile. Je n'ai pas le goût d'être là, à sourire comme un cornichon et à faire de grands gestes pour expliquer mes propos. En plus, il y a mon dernier projet qui m'attend, tout chaud, sur ma table de travail. Mon bébé... Il est tout seul, sans surveillance, à la merci du premier rat venu. Bordel. Ces idiots sont donc pas capables de s'expliquer le projet Pacifista V.2 eux-mêmes ? C'est pas si compliqué, ils n'ont qu'à demander à l'inventeur de venir sur la scène à ma place et... Mais c'est moi l'inventeur ! MWOUAHAHAHAHA !
...
Bon, commençons. Miss Rose ! Allumez l'escargot-visio-projecteur s'il vous plaît ? Comment ça on appel juste ça un escargot-projecteur ? C'est qui le génie ici ?!

Oups. Malaise. Je me retrouve devant, avec le micro qui est d'au moins un bon cinquante-cinq centimètres au dessus de ma tête savante. Le bout de ma V-mobile cogne le pied de l'escargot-(phone-)micro. Je fronce les sourcils, tend la main et agrippe l'obstacle. Aussi ironiquement que cela puisse paraître, en dehors de mon labo, je suis plutôt maladroit... La bestiole me tombe sur la tête. Poc. Gros poc, amplifié par un puissant système de son. Puis roll, roll, roll (l'escargot roule au sol). Je regarde la foule, le rouge me montant aux joues... Silence, grand silence. Ils me regardent tous, avec leurs yeux de cornichon baignant dans le mercure... Ils se permettent, je le sais, car je le sais puisque je suis intelligent ; de me juger.
J'explose. « QUI M'A FOUTU ÇA LÀ ! cris-je tout en ramassant la pauvre bestiole et la balançant à bout de bras sur la première tête venue. »

J'attrape ensuite mon propre escargot-phone-micro et je le place à ma bouche. Grésillement dû au déplacement trop rapide du molusque. Silence à nouveau. Puis j'entonne avec force ma présentation : « V-E-G-A-P-U-N-K ! What did I say ? VEGAPUNK ! »

Au même moment, Miss Rose vient se placer derrière moi, et lève les bras, en V. De mes roues sortent deux nuages de confettis, qui s'éparpillent en un nuage tout de rose. Et l'escargot-projecteur s'allume, laissant apparaître le V miraculeux de la science moderne, entouré de The Best minuscules en répétition.
...
Ils me regardent tous, impressionnés. Ils ne devaient pas s'attendre à ça, sûrement. Ne devaient pas s'attendre à ça du petit-fils de Sengoku.
Ma présentation commence avec énergie, alors que je m'exclame de tout mon savoir faire. Mais en vrai, je me souviens de mon enfance, n'écoutant pas vraiment ce que ma bouche ose dire. Mon esprit replonge dans ce passé jouissif par moment mais souvent difficile.


Le service militaire est obligatoire
Premier jour en caserne

Je me retrouvais à nouveau dans mon corps de dix ans, casquette blanche sur la tête et fusil de bois appuyé sur l'épaule. J'étais parvenu à me soustraire de l'attention de mon tuteur, fuyant dans un endroit isolé. Je ne voulais pas être soldat, je m'en rappel. Je préférais à l'époque rêvasser au soleil, dans l'herbe haute, verte et fraîche, écoutant les airs de musique que quelques rossignols voulaient bien m'apprendre. Hoho, je n'avais à l'époque aucune idée de ce que je ferais plus tard, mais surtout, j'étais loin de me douter que j'irais un jour à m'enfermer dans un labo à étudier et à fabriquer, moi qui était quelqu'un de plein air.
En encore, à servir ce qui me répugnait : la Marine.

J'étais nul autre que le petit-fils de l'Amiral en Chef Sengoku le bouddha. J'étais donc né dans une famille de justiciers. De marins. De héros. De personnalités connus, à mon grand désarrois. Je m'étais vite écoeuré du rythme effréné que l'on ne s'était pas arrêter de me soumettre : je pratiquais le kendo chaque après-midi de chaque mardi, jeudi et samedi, d'une façon intense ; sinon, je faisais des exercices chaque matin ; je tirais sur des cibles de pailles et de bois après le déjeuner et le dîner ; j'apprenais l'histoire de la Marine tout les jours de 9h à 12h et devait en faire de longs exposés, jusqu'à mes sept ans, où l'on se concentra sur ma formation de futur gradé (car on croyait que je le deviendrais). Si bien qu'à mes seize ans, j'étais prêt à partir pour Grand Line et à diriger une petite équipe pour mon grade de Lieutenant d'élite. Du gros bourrage de crâne, une lobotomie astucieuse.
Seul mon grand-père osait me prendre sur ses épaules et me citer quelques doux poèmes, sur une plage de galet. Il m'accordait le peu de temps qu'il avait, et je l'admirais beaucoup. Hoho ! je me rappels lorsque je lui annonçais, vers mes six ans, que je ne voulais pas devenir Marin, et que de sa grosse main, il me frottait gentiment mes cheveux (frisés à l'époque). Puis il me donnait la racler de ma vie (à noter que je me suis beaucoup identifié à Mugiwara no Luffy, à l'aube de mes treize ans, sachant que lui aussi avait eu un grand-père difficile ; et pour faire chier bon-papa). C'est un peu ce bougre de Sengoku qui m'a permit de m'identifier plus tard à la Marine dans mes moments les plus désastreux, je le remarque aujourd'hui.
...
Ce n'était sûrement pas mon père. Où même un seul de mes tuteurs. Tous des embryons de cellules végétales de cornichons ! Enfin, aujourd'hui, ils ne sont rien face à mon génie. MWOUAHAHAHA !


Le nom sauveur
Quelque part, sur les mers périlleuses de Grand Line

Ça faisait déjà plusieurs mois que je rôdais sur Grand Line, et mes mousses me surnommaient à l'époque Le Seigneur faible. Non pas que j'étais plutôt fétiche face à mes adversaires, seulement que mon attitude envers cette grande croisade contre le mal me fatiguait et ma mine était toujours basse. J'avais le moral faible. Cependant, malgré ce petit défaut d'humeur, mes hommes croyaient en moi, car je savais manier le sabre et le mousquet comme nul autre sur le pont. Affrontant les pirates avec vergogne, mon nom faisait trembler les adversaires et brisaient leurs appuis avant même que l'on ne croise le fer. Car pour mes ennemis, je n'étais pas Le Seigneur faible, mais Sengoku le Moine, car on disait que je manipulais mes actions avec une patience à l'honneur des moines bouddhistes. Encore un truc avec mon nom, quoi.
Bien qu'il est vrai que ce nom est été pour la plupart du temps mon salut. Il me fut arrivé, une fois, avec mon équipage, de faire une mauvaise rencontre. Nous ayant mis la déculotté comme nous le méritions suite à notre parcours sans échec, lorsqu'ils apprirent le nom du Lieutenant qui dirigeait le bâtiment, ils déguerpirent plus vite qu'une tortue au haut d'une montagne.
Hoho ? une tortue c'est lent ? Et bien, l'génie, laisses-moi te dire que une tortue sur le dos, ça glisse plus vite que ta grand-mère dans un toboggan !

Il y a aussi les premiers pas des mollusques qu'étaient mes mousses sous mon étendard. Un étendard blanc à l'époque. Ils n'avaient foi qu'en le patronyme pour qui ils travailleraient, et lorsqu'ils connurent enfin qui j'étaient, ils voulurent mourir. Il m'a fallut passer quelques forbans au fil de ma lame pour gagner leur confiance. MWOUAHAHAHAHA ! Je me rappels encore leur tête quand je leur ai annoncé que je n'avais aucune confiance en leur survie, mais également que mourir serait plus plaisant que de partir à l'aventure avec ces cornichons !
...
Ou tout simplement toutes mes ascensions fulgurantes niveau grade, grâce à Sengoku, puisque j'étais pourris de renommée.


La danse de la Femme
La révélation : être Okama

Être un otage, ça n'a rien de rassurant. Enfermé dans une salle sans issus, on se retrouve les yeux bandés la plupart du temps, une bouffe et un traitement bien mauvais. Et mauvais, c'est peu dire de ce qu'on m'a servit dans ce trou à rat... Bon, en fait, sur Kamabaka, c'est pas ainsi que ça se passe.
Disons que lorsque tu es « capturé », tu te retrouves dans une masse uniforme d'Okamas, qui te courent après, voulant te faire essayer une multitude de robes tous plus froufroutées les unes que les autres. En gros, être un otage sur l'île des travestis revient à dire être en survie, et en survie sur l'île des travestis revient à dire être en enfer. À la fin, tu as les jambes bien douloureuses : une semaine à parcourir les grandes étendues de sable à la course, ça travaille les mollets et les cuisses, j'peux t'le dire, my Dear !
Je m'étais retrouvé là dans le plus grand des hasards, naviguant plus tôt sur mon bateau. Moi, les prises d'otage, ça me connaît, bien qu'on ne fait pas marcher la marine bien longtemps... Tous cherchent à récolter un peu d'argent du gouvernement mondial, pour le petit fils de Sengoku, tu vois ? Enfin, cette fois, ce fut pour la garde-robe des messieurs, et disons que le poids de la communauté travelo a fait chanter un bon moment la Marine. Un mois que cela à prit, pour amasser les fonds nécessaires et de tenter divers procéder d'entente avec Kamabaka. Un mois que je fuyais sur l'île... Mon moral est tombé après seulement deux semaines, et je me suis convertis comme tout homme sensé l'aurait fait... C'est ça ou un essayage forcé de trucs absurdes que je ne porte même pas présentement !
Bref, je fus content d'être retrouvé et ramené dans la quartier générale de la Marine, mais ce se fit avec mon nouveau moi. Ce petit changement psychologique m'a baissé dans l'estime des hauts gradés, et pour une fois, les promotions, médailles, félicitations, tapes dans le dos, serrages de main, sourires admiratifs, et tous ce que tu peux t'imaginer de gratifiant ont arrêtés de pleuvoir. J'étais maintenant un simple Lieutenant d'élite, dit Sengoku l'Okama !
...
J'suis sûr que vous vous imaginez mon grand-père avec sa chèvre, dansant sur un air de Bretnay Spicy !


La danse de l'Homme
L'accident

J'ai commencé à me détacher du service marin, me tournant plus vers les coulisses du métier, comme les sciences et l'administration. Ma petite aventure sur l'île des travestis m'avait ouvert les yeux sur ce que je voulais être, sur ce que je voulais faire. Adieu mes petits mousses, adieu mon grand bateau : dans mon armoire sont rangés mon épée et mon fusil, tout empoussiérés. À la place du vieux décor fade de mes quartiers, je mis en place un beau décor rose, et dès lors, la vieille photo de Grand-Père fut entourée de fleurs.
Entre deux pas de danse, je plongeais mon nez dans des bouquins savants, apprenant peu à peu la mécanique et la chimie. Au départ, ce n'était que par curiosité, et les formules qui se déployèrent à mes yeux ne furent pas toutes des plus enchanteresses ; apprendre à les lire avec patience et intérêt me fut ardu.
Trois ans plus tard, j'étais un savant ambitieux avec ma petite réputation. Déjà quelques trouvailles auprès des têtes les plus illustres, on pouvait me reconnaître lorsque l'on me croisait dans les couloirs froids de l'institut scientifique de Marie Joie.
Dans ce métier, il y a la recherche, la découverte qui fait de toi la tête en première page, mais également l'événement qui te triturera les limbes cervicales pour le reste de tes jours... Hoho ! et tu ne t'en attends jamais... Je travaillai sur les nouvelles propriétés énergétiques du jus de cornichon quand mes fioles aux drôles de couleurs m'ont éclatés aux yeux ! Effrayé, je reculai de plusieurs pas et je tombai. À mon réveil d'un court coma, mes jambes étaient inutilisables. L'on m'a dit qu'un incendie avait prit et qu'il avait rongé tous mes nerfs... La peine que cela me fit ne fut pas que comparable au choc que j'eus lors de la mort de mon grand-père. Mais je me remis. Me voilà donc dans ma V-mobile.


Néo-Vegapunk
Partout dans le monde, la nouvelle était communiquée

Ce bête accident m'a donné un méchant coup de pied pour mon avancement dans ce métier m'étant prédestiné (à mon insu). Les années qui passèrent, ne pouvant plus perdre la tête dans de nouvelles chorégraphies, je me suis versé complètement dans l'art de la science, et je suis devenu ce que je suis aujourd'hui. Une dizaine d'année plus ou moins à étudier et perfectionner mon génie, à me hisser sur ce piédestal mondial ! Je suis Number One, après tout !

MWOUAHAHAHAHA !
MWOUAHAHAHAHAHAHAHAHA !
MWOUAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA !



>> Test RP

Le côté Okama de la force
Sur Kamabaka, la seconde voie de Grand Line


Je tombe. Je fuis. Je percute le sable de mes paumes. Je sus.
Exténué, je prends une poignée de grains dorés, la soulevant, doigts écartés. Ils s'échappent, et bientôt, le petit monticule n'est plus. À eux-seuls, ils représentent parfaitement ma situation...
Je dois fuir.
Je dois courir.
Lèves-toi, bordel !



L'ancre jeté, la planche baissée, on attend mon retour. Un premier marin s'avance, sa casquette masquant son regard inquiet. Nul ne remarque ce soucis. On applaudit. Mais il est mal à l'aise, le gamin, et peine à dire la vérité. Sa gorge se noue, il ne veut trahir personne... Mais en même temps, la grande voile blanche avec la mouette bleue, les tonnes de marines qui le fixent... S'en est trop, il rompt et dégage. Le silence retombe. On m'attend.


Cours encore, cours toujours, c'est peine perdu. Seul que je suis, seul que je serai.
Qu'elle idée j'eus aussi, de nous arrêter sur cette drôle d'île en forme de coeur, où ça resplendissait de rose et de fausse joie. Pourtant, nous étions affamés, nous ne pouvions pas continuer notre périple. Et maintenant ?
Nous nous divisâmes, une part repartant pour Marie-Joie, avertissant, criant, braillant. L'autre restant à mes côtés, à m'escorter, à me protéger. Malheureusement, ils tombèrent, ces fidèles, un à un, passant entre les griffes de ces panthères. La panique. La peur. L'angoisse... Et la fatigue.
Pas le temps de se reposer, on nous pourchassait sans arrêt. Un simple petit feu sur la plage, à contempler les drôles de bestioles, un simple soupir, et voilà, nous étions pris. Alors non ! une gorgé de rosée, le ventre dans les talons : on ne s'arrêtait jamais !
...
Je suis maintenant seul, sur le point de craquer.



Mes pas résonnent. Je monte. Escorté de deux grands gaillards, eux-mêmes inquiets. C'est vrai que je suis défiguré... pour eux. Le silence est de plomb, tout comme le soleil. Cette vieille odeur me vient au nez, cette odeur de garçons passant des mois ensembles, dans la même cale, sur le même pont. On se côtoie, on rit. On crit. On gueule. J'étais lieutenant, mais aujourd'hui, je suis quoi ? Enfin, je le sais, mais j'attends leurs réponses. On m'a rasé. On m'a coupé les cheveux et passé des vêtements. Je suis propre. Mais pourtant...
Le bout de ma calotte pointe son nez, et les souffles se coupent. Le moment est crucial, après un mois d'attente. L'anxiété à son paroxysme.
Un marin commence à claquer des mains, suivit de plusieurs autres. Sous un tonnerre assourdissant que je me retrouve sur le pont, au travers de ces cornichons.

En tailleur, je regarde le soleil tombé à l'horizon. Les ombres approchent, se resserrent sur moi. Je pleurs. Je ne pensais pas finir ainsi. Je ne me contrôles plus. Tous les cours de self-control me reviennent, alors que je n'étais que gosse... Ça me fait pleurer de plus belle. Au moins, ma solitude à un avantage : on ne me voit pas dans une tel moment d'absence de maturité. Enfin. On me comprendrait.
Une main se pose sur mon épaule. J'ai le goût de me retourner, de fuir, de plonger dans le grand bleu. Je n'ai plus la force. Je baisse la tête ; plutôt, elle tombe. Je suis vaincu. Sengoku le Moine est vaincu. Je me lève, me retourne. Mes pieds nus (car depuis longtemps que j'ai laissé tomber mes souliers) frôlent les grains. Ils sont chauds. Drôle de sensation.
Je les suis.



Les applaudissements cessent, un à un, et on me regarde, estomaqué. Je les défis du regard, d'un grand sourire, les yeux humides. L'émotion monte. Puis elle éclate. Explose !
Ils pleurent, ces mousses. Mes mousses ! Ils pleurent à chaudes larmes. Comme des gamins. Le bras devant les yeux, dents retenant la lèvre inférieure, ils tentent d'être tout de même fiers, en bombant le torse et regardant le ciel, mais il est trop tard, leur masculinité est mit en doute. Je suis heureux, de les voir à nouveau.
...
Ils ne me verront plus jamais de la même façon.
Je pleurs. De joie.


Je baisse la tête, je ne veux pas les voir. Je ne veux pas qu'on me voit. Ai-je honte ? C'est vrai, j'ai craqué, je suis tombé et ~
« AU REVOOOOOIR !! SENGOKUUU-CHAAAAN !! »

Ça vient de la plage. D'un pas souple et délicat, je sautille vers la rambarde, d'où je vois mes anciens marines m'envoyer la main. Ils pleurent aussi. Nous avons vécus des moments intenses.
Robes à paillettes éclatantes, maquillages magnifiques, fuuuiit, ils sont à siffler ! Belles comme jamais, une partie danse, l'autre me salut. L'île est également là, soulignant mon départ des plus attachants. On essaye toujours de rire dans ces moments, mais on y arrive jamais. On ne sait pourquoi.
...
Pourtant, pas la peine de pleurer ! Pas la peine de se morfondre ! C'est un nouveau départ pour moi ! Je dois être fier !
Le vie est belle, le monde est beau car :


~ OKAAMAAA, OKAAMAAA-WAAAAAAA ~ et ~ AAAAAAAAAAAAAYYY !!! ~


_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _________
Informations IRL

    Prénom : Secondo conto

    Age : Bah, le mien !

    Aime : Vous faire chercher.

    N'aime pas : Que vous devinez...

    Personnage préféré de One Piece : Moi !

    Caractère : I speak english softly !

    Fais du RP depuis : Chais pas !

    Disponibilité : L'été approche, l'été approche !

    Comment avez vous connu le forum ? J'm'aime.


Dernière édition par Sengoku no Vegapunk le Ven 1 Juil 2011 - 16:06, édité 13 fois
    C'est moi qui ai autorisé ce DC ^^
    Attention toutefois, tu ne commenceras pas directement à la tête de la brigade scientifique !

    Bonne chance pour la suite !
      J'ai pas dis à la tête, cornichon moisi, j'ai dit en tête !

      (Compris chef ! C'que j'voulais dire, c'tait que j'étais en tête niveau performance ^^ Et fais pas attention à l'autre taré, il a un peu de grosses chevilles...)


      Dernière édition par Sengoku no Vegapunk le Sam 4 Juin 2011 - 19:09, édité 1 fois
        Ok XD
        Up quand tu veux ton test airpay (je parle comme Yuji maintenant ^^')
          Yop, première et dernière relance !
            Tu peux envoyer ton test airpay, cornichon noirci !

            (J'avais oublié, s'cuses moi xD)
              Hop, voilà le test RP

              Tu es sur l'île de Kamabaka. Raconte ton passage du côté Okama de la force puis ton retour au QG de la Marine.

              Bonne chance.
                Voilà, espérant que ça vous plaise ^^"
                  Yop, alors en ce qui me concerne, tu as le niveau rp pour prétendre au titre de docteur Végapunk...
                  Niveau dorikis, je pencherais pour 750 car c'était assez marrant, complet et bien écrit.
                  Il aurait fallu allonger un peu le test rp mais ça reste correct !

                  Donc je te donne ma voix !
                    Game Master a écrit:
                    Niveau dorikis, je pencherais pour 750 car c'était assez marrant, complet et bien écrit.

                    Yop !

                    Je tiens simplement à préciser que oui, il est marrant, mais non, il n'est pas puissant.
                    Ce qui fera sa force, ce ne sera pas lui, mais ses engins fabuleux.
                    En outre, ses Pacifistas.

                    Donc, si le staff est à l'unanimité d'accord pour que j'ailles le titre (et oui, je suis démasqué, et non, je ne viens pas floodé), j'aimerais bien que l'on m'accorde 200 dorikis tout au plus pour sa force à lui.
                    Ou sinon, 750, ça me va, au pire, pour moi, il ne sera jamais puissant.
                    ...
                    Ça peut-toujours être la puissance de Miss Rose, son assistante aussi... Enfin, on verra bien.
                    Merci.
                      Hop, deuxième comm.

                      Alors, je rejoins GM, la fiche est originale, pas de doute. J'aime bien le fait que l'nn en apprenne finalement autant si ce n'est plus sur ton personnage par ce que tu ne dis pas de lui, juste par le jeu d'Okama que tu proposes.

                      Ce style que tu mets en place demande encore à être rôdé ça surprend ou grince un peu par moments , mais y'a du potentiel, c'est sûr.

                      Par contre, c'est dommage, il y a pas mal de fautes de conjugaison, et quelques-unes d'ortho.

                      Au final j'aurais quand même proposé un peu moins que GM, je suggère donc 700 pour faire une moyenne.

                      Si tu veux 200 ça doit être jouable, ça c'est déjà vu pour d'autres persos; et dans ce cas, basculer la différence entre ta note et la puissance que tu demandes sur Miss Rose. ( soit grâce à un savant et complexe calcul mathématique 700 - 200 = 500 Dorikis pour la Miss, si on choisit 700, et si tu te fixes sur 200 )
                        Z'ont tout dit les bougres.

                        Bref si tu veux un max de 200 ça donne 175 Dorikis si on maintient qu'on peut avoir un maximum de 800.

                        Bref pour moi ça sera 175 ou 700.

                        Sinon, ouai mais pour avoir des trucs bien puissant en guise de robot etc faut avoir un nombre de Dorikis minimum, après c'est à tes adversaires/donneurs de récompenses de lire ta FT pour savoir comment t'es etc.. ;)

                        • https://www.onepiece-requiem.net/t109-greed#772
                        • https://www.onepiece-requiem.net/t100-termine-satoshi-noriyaki
                        Bon, ok, si c'est pour les robots, je vais prendre les 700... x)

                        Conjugaison ? Et merde, mon présent est même pas bon on dirait xD
                          Donc 700 dorikis, je valide, re-bienvenue.
                          Et attention, tu devras être plus actif avec ce compte qu'avec Crow ! (ou au moins autant).
                            Oups, petite erreur de ma part => Je ne peux pas te valider, il te faut un avatar avant !
                              J'ai trouvé pour l'instant x)
                                C'est bon, je te mets tout !
                                  Pourrait-on changer mon nom pour Sengoku tout court ?
                                  C't'un peu moche de voir deux fois vegapunk... Merci, et tu peux locker x)


                                  Et si ça marche pas Sengoku, heu, Sengoku Jr ?