Voilà quelques mois que j’ai quitté la mer de sable d’El Jezada, à bord du navire de mon sauveur que j’ai sauvé, le brave Commandant d’élite Pognefer. Je nous ai sauvé des sables, il nous a fait sauvé sur les eaux. Maintenant je suis loin de ces cités dorées qui étriquent l’âme ou te rejettent.
Je me fichais de vouloir grimper jusqu’au sommet, je m’étais fixée un plafond de verre, je voulais suivre mon propre chemin et j’ai découvert des choses interdites qui ne demandent qu’à être percées au grand jour. Mais j’ai aussi découvert qu’on irait jusqu’à te tuer pour t’en empêcher. Moi qui avançait à tâtons, je devais m’élancer et courir pour ne pas me faire rattraper.
Alors le loyal et fier Commandant Pognefer voulait me déposer à Hinu Town, pour que je ne sois pas dépaysée. L’intention était bonne mais j’avais eu vent d’une immense bibliothèque, celle de la Nouvelle Ohara. Il avait un temps hésité mais il me devait une fière chandelle alors il nous y accosta sans vraiment s’arrêter. Il ne voulait pas être un oiseau de mauvaise augure. Maintenant, j’étais livrée à moi-même contre le monde. Contre le Gouvernement mondial. Là bas, j’y ai étudié les livres d’une certaine exploratrice, Jodiana Innes, qui évoquait les Ponéglyphes dans sa jeunesse. Elle aussi traquée, elle s’est officiellement faite passer pour folle puis morte. En réalité, derrière les apparences insensées de ses derniers ouvrages, elle laissait des pistes pour qu’on puisse la retrouver. Je suppose qu’on ne se lasse jamais du goût des énigmes. Alors à forces de mystères littéraires et de messes basses, j’avais appris qu’elle avait été cachées en Amerzone par la Révolution. En décryptant son dernier bouquin qu’elle avait écrit sur cette île, et en le couplant avec le premier, j’ai pu retrouver sa trace.
Ma destination était toute tracée, j’ai donc trouvé un équipage apte à m’y emmener après quelques efforts. Et pour moi qui aime jouer sur l’apparat, le choc a été bien difficile face à cette île boueuse, hostile et malodorante ... Pourtant, je n’ai visité que sa capitale ...
Après quelques péripéties, j’ai enfin mis la main sur la main sur un explorateur local un peu étrange qui a accepté de m’accompagner sur place.
Je me fichais de vouloir grimper jusqu’au sommet, je m’étais fixée un plafond de verre, je voulais suivre mon propre chemin et j’ai découvert des choses interdites qui ne demandent qu’à être percées au grand jour. Mais j’ai aussi découvert qu’on irait jusqu’à te tuer pour t’en empêcher. Moi qui avançait à tâtons, je devais m’élancer et courir pour ne pas me faire rattraper.
Alors le loyal et fier Commandant Pognefer voulait me déposer à Hinu Town, pour que je ne sois pas dépaysée. L’intention était bonne mais j’avais eu vent d’une immense bibliothèque, celle de la Nouvelle Ohara. Il avait un temps hésité mais il me devait une fière chandelle alors il nous y accosta sans vraiment s’arrêter. Il ne voulait pas être un oiseau de mauvaise augure. Maintenant, j’étais livrée à moi-même contre le monde. Contre le Gouvernement mondial. Là bas, j’y ai étudié les livres d’une certaine exploratrice, Jodiana Innes, qui évoquait les Ponéglyphes dans sa jeunesse. Elle aussi traquée, elle s’est officiellement faite passer pour folle puis morte. En réalité, derrière les apparences insensées de ses derniers ouvrages, elle laissait des pistes pour qu’on puisse la retrouver. Je suppose qu’on ne se lasse jamais du goût des énigmes. Alors à forces de mystères littéraires et de messes basses, j’avais appris qu’elle avait été cachées en Amerzone par la Révolution. En décryptant son dernier bouquin qu’elle avait écrit sur cette île, et en le couplant avec le premier, j’ai pu retrouver sa trace.
Ma destination était toute tracée, j’ai donc trouvé un équipage apte à m’y emmener après quelques efforts. Et pour moi qui aime jouer sur l’apparat, le choc a été bien difficile face à cette île boueuse, hostile et malodorante ... Pourtant, je n’ai visité que sa capitale ...
Après quelques péripéties, j’ai enfin mis la main sur la main sur un explorateur local un peu étrange qui a accepté de m’accompagner sur place.