Mandoriru Volka
• Pseudonyme : Gueule de Mandrill
• Age : J’ai vu passé des saisons, des hivers, des printemps, des été et des automne. Tant de saison à travailler, travailler pour survivre. Pour pouvoir manger. En tout, j’ai vu passer 24 fois l’hiver.
• Sexe : De quoi ? Mais je suis un homme, cela ne se voit donc pas. Ma voix rauques, mon corps puissant, cela ne signifie donc rien.
• Race : Z’avez regarder ma face, je suis un humain et à ne pas en douter. Je n’ai pas branchies, pas d’aile et je ne mesure pas 20 mètre. Je ne peux donc être qu’un humain.
• Métier : J’ai eu plusieurs métier, mais ce qui reviens souvent, dans mes cordes, c’est le minage et la forgerie. Je suis un mineur et forgerons.
• Groupe : Je suis devenu un pirate et un malfaiteur, car dans cette société corrompue, l’on ne peut avoir ce que l’on souhaite de manière légale, donc il faut trouver une autre solutions et la piraterie est celle qui me conviens le plus.
• Age : J’ai vu passé des saisons, des hivers, des printemps, des été et des automne. Tant de saison à travailler, travailler pour survivre. Pour pouvoir manger. En tout, j’ai vu passer 24 fois l’hiver.
• Sexe : De quoi ? Mais je suis un homme, cela ne se voit donc pas. Ma voix rauques, mon corps puissant, cela ne signifie donc rien.
• Race : Z’avez regarder ma face, je suis un humain et à ne pas en douter. Je n’ai pas branchies, pas d’aile et je ne mesure pas 20 mètre. Je ne peux donc être qu’un humain.
• Métier : J’ai eu plusieurs métier, mais ce qui reviens souvent, dans mes cordes, c’est le minage et la forgerie. Je suis un mineur et forgerons.
• Groupe : Je suis devenu un pirate et un malfaiteur, car dans cette société corrompue, l’on ne peut avoir ce que l’on souhaite de manière légale, donc il faut trouver une autre solutions et la piraterie est celle qui me conviens le plus.
• But : J’ai un rêve, vivre peinard sur une île qui m’appartiendrait, dans le luxe et l’or. Et avec mon frère bien entendue.
• Équipement : Le seul équipement et objet que je possède sont mon enclume, ma pioche, mes marteaux et une poignée de berry. Je ne suis pas riche, et malheureusement, c’est la seul chose qui m’appartient.
• Parrain : Je n’ai pas besoin de parrain, la communauté est déjà ma famille.
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? ] Non, c’est ma première aventure en tant que pirate et j’espère que ce ne sera pas la dernière.
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? ...
Codes du règlement :
• Équipement : Le seul équipement et objet que je possède sont mon enclume, ma pioche, mes marteaux et une poignée de berry. Je ne suis pas riche, et malheureusement, c’est la seul chose qui m’appartient.
• Parrain : Je n’ai pas besoin de parrain, la communauté est déjà ma famille.
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? ] Non, c’est ma première aventure en tant que pirate et j’espère que ce ne sera pas la dernière.
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? ...
Codes du règlement :
Description Physique
Je me lève, je craque mes doigts. Je m’avance devant le miroir de ma cabine. Je jauge mon corps musclé. Je suis grand, près de 2 mètre 30. Je fais jouer mes muscles, ceux-ci, noueux bouge sous ma peau fine. Je possède sur le cœur, un tatouage représentant un mandrill, car cette animale me fascine depuis que je suis tout petit. Mon dos musclé laisse apercevoir une cicatrice, celle-ci en croix est vestige s’une bagarre dans un bar. Une ronce est tatoué sous mon oreilles gauche, celle-ci descend jusqu’à ma cheville. Pourquoi une ronce ? Parce que comme elle, j’ai une fleur, mais aussi des épines. Je regarde attentivement le miroir, avance ma tête et regarde mes favoris noirs. Ceux si magnifiquement taillé. Je regarde attentivement mon double, mes yeux verts émeraude. Mon nez aquilins, mes sourcils arqués. Je passe la main dans mes cheveux, et les lissent. Ceux-ci noir et descendant jusqu’à la mâchoire, coupé au carré. Je m’avance pour m’habiller, j’ouvre mon armoire, et sort une veste de cuir noir, je la pose sur une chaise. Je sors aussi mon pantalon de toile de rouge, mon boxer et mes bottes. Je prends aussi un débardeur blanc. J’enfile ce dernier, celui-ci épousant presque parfaitement mes pectoraux. J’enfile mon boxer et mon pantalon. J’enfile ma veste en cuir noir, celle-ci est doublée de polaire. Je prends ma pioche, qui m’attend dans un coin. Et part, pour le travail, l’enfer : les mines. Je sors, et lâche un grognement sarcastique, un petit tic que j’ai. Je sors aussi un cigare, et m’enfonce dans la nuit. Je lâche des jurons sur la routes, telles est ma façon d’être.
Description Psychologique
J’ai passé la moitié de ma vie dans une mine, et l’autre moitié dans un bar. Autant vous dire que ce n’est pas la fête. Je suis un rebelle, et vous une haine fondée au gouvernement mondiale. Je vais devenir un pirate, c’est une certitude, mais je n’aurais aucun regret à devenir chasseur de prime à des heures perdu. Je ne deviendrai pas un révolutionnaire, car ceux-ci sont trop extrêmes et menaces bien souvent la vie d’innocent. Rejoindre une branche de la mafia à mon temps perdu est intéressant. Je n’aspire qu’à rétablir l’ordre du monde. Les personnes méritantes en haut, et les bouses de la société en bas. C’est une idéologie, qui va avec mon rêve, avoir une île à moi et vivre tranquillement. C’est donc par la piraterie que j’effectuerais cette mission. Je suis une personne tolérante qui accepte toute les ethnies, les hommes poisson ne me pose aucun problème, par contre je ressens une haine viscérale envers les tenryobitto. Je veux les tuer et les déloger de leur trône, mais c’est une inspiration que je sais impossible. Et je suis un homme, comme tous les hommes, j’ai des faiblesses. J’ai le vertige, je ne supporte pas d’être en altitude, j’ai le mal de l’air. J’aime l’alcool, l’argent et la nourriture. Je me vois avant tout comme un grand frère protecteur envers son petit frère. C’est la seul famille qui me reste et n’importe qui le touchera aura affaire à moi. C’est ma vie. Je suis plutôt d’un naturel confiant et dis ce que je pense. Mais je reste méfiant, car il y a toujours une zone d’ombre en un individu, pour tout le monde et surtout moi. Je peux être violent et agressifs. Je suis d’un tempérament colérique, sauf quand je suis sobre (pas souvent). Je ne fais que rarement confiance aux personnes, mais quand ils acquièrent ma confiance, ils la gardent.
Biographie
Je suis née sur une petite île de North Blue, celle-ci continuellement dévastée par les pluies, la mafia étant omniprésente et le gouvernement mondiale invisible. Le seul métier qui payait à peu près bien, c’est mineur dans les mines. Mon père était mineur. Etait ? Et oui, le pauvre est mort d’un coup de grisou quand j’avais à peine 8 ans, ma mère folle de chagrin mourut peu après de chagrin, me laissant seul et abandonné avec mon petit frère de quatre ans. Il fallut donc commencer à travailler. Et je choisis les mines de charbons bien sûr. Et je me souviens de mon premier jour comme si c’était hier.
Il pleuvait, je regardais avec fièvre la fenêtre de notre maison. Mon frère est à l’école, il faut que je lui paye ses études. Je décidai donc à y aller. Je fis le chemin sous la pluie, et arriva tremper et en retards. Là bas, je me fis violemment poussé par un mineur. Je ne répondis riens, de peur. Enfila une salopette top grande pour moi, et rentra dans l’ascenseur, qui nous conduit directement en enfer. L’air commença à se raréfié et bientôt nous étions tout en bas. Comme une ligne sans âme, nous nous approchâmes, prîmes nos pioche, et commencèrent à creusé, creusé. Encore et encore. Je revins chez moi le soir, noir de charbon et fatiguée.
Chaque jour commença à être la même chose, comme une routine, dodo, boulot, dodo. Puis le temps passa et peu à peu je m’habituais, et mon corps aussi. Bientôt, j’eu 10 ans, et le poids du travail devins important et je commençai à aller au bar, je devins vite un ivrogne, qui dis bar dis alcool, qui dis alcool dis saoul, qui dis saoul dis bagarre. J’ai appris à me battre dans les bars. Ma première bagarre eu lieu le jour de mes 14 ans.
Je venais de m’enfiler 2 pinte de bière, dans un bar, j’étais saoul, un collègue, et mon supérieur s’approcha de moi et me dis :
Le bonhomme était autant bourré que moi, et je lui répondis :
Le porc me répondit d’un air courroucé :
A la suite de ça, je fus mutée autre part, car nous avons été jugée inaptes à travailler ensemble. J’entrai donc dans le service de forgeron et ce fus une découverte pour moi. J’adorai, je retournai aussi dans les mines, mais ça c’est une autre histoire. Puis, un jour, j’avais 20 ans :
Il pleuvait, je rentrais du travail plus tôt, car c’était aujourd’hui que Sosu mon frère reçois les résultats des examens de fin d’année. J’arrivai chez moi, et vis Sosu assis sur le canapé, celui pleurais. J’accourais à lui, et lui demanda ce qui n’allait pas :
A ces paroles, mon cœur fis un bon, ces enfoirée du gouvernement, ils ont osée, le virée, alors que je paye les cours depuis que j’ai 8 ans. Je serai les dents, un jour je me vengerai soyez en sûr. Je réponds donc à mon frère :
C’est comme ça que je commençai à économiser pour partir de cette île, bientôt nous eûmes assez et nous partîmes sur l’océan, en quêtes d’aventure et de nuisance au gouvernement mondiale
Il pleuvait, je regardais avec fièvre la fenêtre de notre maison. Mon frère est à l’école, il faut que je lui paye ses études. Je décidai donc à y aller. Je fis le chemin sous la pluie, et arriva tremper et en retards. Là bas, je me fis violemment poussé par un mineur. Je ne répondis riens, de peur. Enfila une salopette top grande pour moi, et rentra dans l’ascenseur, qui nous conduit directement en enfer. L’air commença à se raréfié et bientôt nous étions tout en bas. Comme une ligne sans âme, nous nous approchâmes, prîmes nos pioche, et commencèrent à creusé, creusé. Encore et encore. Je revins chez moi le soir, noir de charbon et fatiguée.
Chaque jour commença à être la même chose, comme une routine, dodo, boulot, dodo. Puis le temps passa et peu à peu je m’habituais, et mon corps aussi. Bientôt, j’eu 10 ans, et le poids du travail devins important et je commençai à aller au bar, je devins vite un ivrogne, qui dis bar dis alcool, qui dis alcool dis saoul, qui dis saoul dis bagarre. J’ai appris à me battre dans les bars. Ma première bagarre eu lieu le jour de mes 14 ans.
Je venais de m’enfiler 2 pinte de bière, dans un bar, j’étais saoul, un collègue, et mon supérieur s’approcha de moi et me dis :
« Gamin, file-moi ta pinte »
Le bonhomme était autant bourré que moi, et je lui répondis :
« Rêve pas face de thon, tu as qu’à te l’a payer tout seul, j’suis pas ton esclave »
Le porc me répondit d’un air courroucé :
« Te fout pas de moi, passe-moi ta pinte »
Je fis mine de résister, et le balourd m’envoya son poing dans la face. Je m’étalai par terre et me releva tandis que je crache un filet de sang. Tout le monde commence à se rapprocher de nous, nous formons un rond serré, j’assenai un coup de coude dans le ventre du porc, j’enchaînai avec une balayette, ce qui l’envoya au sol. Je pensais avoir détruit le déchet, mais celui-ci se releva et me donna un coup de bouteille à l’arrière du crâne, je m’effondrais par terre de douleur, le porc pensais lui aussi avoir gagné, mais la vie dans les mines m’a endurcis, je me relevai et luis fit lariat. Le pauvre fus envoyé sur une table qui se brisa sous le poids de l’imbécile. Ce fut ma première baston, et surement pas ma dernière. A la suite de ça, je fus mutée autre part, car nous avons été jugée inaptes à travailler ensemble. J’entrai donc dans le service de forgeron et ce fus une découverte pour moi. J’adorai, je retournai aussi dans les mines, mais ça c’est une autre histoire. Puis, un jour, j’avais 20 ans :
Il pleuvait, je rentrais du travail plus tôt, car c’était aujourd’hui que Sosu mon frère reçois les résultats des examens de fin d’année. J’arrivai chez moi, et vis Sosu assis sur le canapé, celui pleurais. J’accourais à lui, et lui demanda ce qui n’allait pas :
« Nous avons oublié de payer un cours, donc, je ne suis donc pas un élève de l’école, et j’ai été renvoyée. Le gouvernement mondial est venu faire le tri et j’ai été virée. »
A ces paroles, mon cœur fis un bon, ces enfoirée du gouvernement, ils ont osée, le virée, alors que je paye les cours depuis que j’ai 8 ans. Je serai les dents, un jour je me vengerai soyez en sûr. Je réponds donc à mon frère :
« Ce n’est rien, nous allons nous venger, tu peux en être sûr. Nous allons nous vengée, ils regretteront amèrement de s’être attaquer aux frères Mandoriru. Ils verront ce qu’il verront »
C’est comme ça que je commençai à économiser pour partir de cette île, bientôt nous eûmes assez et nous partîmes sur l’océan, en quêtes d’aventure et de nuisance au gouvernement mondiale
Test RP
Nous sommes quatre, nous sommes dans une galerie, celle-ci sombre et rebutante, semble mener à un filon, pourquoi ? Nous trouvons de temps à autre des petits extraits, signe qu’il y a du charbon. Si nous arrivons à trouver un filon, une prime est assurée. Je suis devant avec Hembourg, un quadragénaire chauve d’un mètre 80. Celui-ci se porte très bien pour son âge et est musclé. Son crâne chauve est mis en valeur par sa barbe noire qui orne son menton. Nous creusons à la sueur de nos bras. Derrière nous, Gabe, un gros trentenaire qui passe son temps à boire, celui-ci est encore plus alcoolique que moi, il a une calvitie. Il est imberbe et possède les dents jaunies, il est tellement dégelasse que je vomis presque en le voyant, c’est le même gars avec lequel je me suis battu dans le bar la première fois, j’en garde encore une cicatrice, celui-ci me tient donc une rancœur tenace. Ce dernier est accompagné de Chris, un jeune de 14 ans qui vient de commencer le métier. Celui-ci n’est pas forcement musclé. Il fait 1 mètre 75, est roux et possède le visage couvert de taches de rousseurs. Les deux derniers solidifient la galerie avec des poutres de bois. Quant à moi, 19 ans, je suis presque née dans une mine et je rêve de partir de cette île, mais rien ne presse. Nous creusons toute la journée, puis au bout d’un moment, Hembourg nous arrêtes et nous dis :
Tout le monde l’écoute, parce que Hembourg, c’est Hembourg, celui-ci est ultra-respecté et ne pas l’écouté reviens à se faire virer, sa famille est une des plus vielle de l’île. Sa famille possède presque la moitié des actions de la mine. Nous nous asseyons en rond autour d’une lampe à huile. Et nous sortons les provisions de notre panier, nous avons du jambon, du pain, du fromage, en gros un bon repas en perspective. Hembourg partage le tout équitablement. Une fois le repas terminé, nous nous levons et recommençons notre labeur, dans la sombre galerie. Puis, une fois le temps finis, nous nous retirons, des gouttes d’eau tombent à intervalle régulier, signe de la situation climatique de notre île. Nous marchons tranquillement dans la clarté ténébreuse quand soudain Gabe se prit le pied dans un caillou, et essaye de se rattraper sur une poutre, mais soudain, celle-ci glissa sur le plafond trempé et le poids du bonhomme, la différence de force fis effondre le plafond. Le souffle de l’effondrement nous envois tous aux tapis.
Je me réveille, j’ai de la poussière partout, j’arrive à allumer une lampe à gaz. Je regarde la galerie, l’entrée est entravée par un éboulement, les murs de terre noire et humide semble me regarder, et un ruisseau d’eau noire sort d’un mur. Je me lève pour voir si il y a une sortis. Et là je tombe d’horreur, je vois Chris, à moitié coincée sous le tas de gravât. Je me dépêche près de lui, et essaye de le sortir, sans succès, je me mets à hurler pour que l’un de mes compagnons me rejoigne, personne ne vient. Puis, je regarde si le pauvre respire encore, je pose ma main sur son cou et découvre avec tristesse que la vie à quitter le jeune garçon. Je pose ma main sur son cœur et lâche un sanglot. Derrière moi, une voix retentis :
Gabe se tenait, accoler au mur, il était noir de terre et de charbon. Son ton vibrait de colère. Je me rends compte que c’est à cause de cette imbécile que l’on en est là. Je me lève donc et dis :
Le porc me regarde d’un air dédaigneux, désigne le tunnel pour aller plus profondément, et me dis :
Le porc se jette sur moi et nous commençons à nous battre, celui-ci me cogne le visage de ses mains boursouflée est dégoutante, le repousse, et m’apprête à lui enfoncer mon poing dans la gueule, quand soudain quelque chose me percute la tête. Je roule sur le côté et vois Hembourg, qui nous regarde avec un regard énervé, celui-ci est encore plus sale que Gabe, il porte aussi sur son torse dénudée un énorme bleu. Le vétéran nous dit :
Nous acquiesçons, c’est vrais notre baston peut attendre. Je regarde autour de moi, crache une dent et demande :
Mes deux camarades tournent la tête négativement. Je lâche un juron de désespoir. Nous commençons alors à déblayer l’éboulement. Nous travaillons 30 minutes, puis nous commençons à nous allonger par terre, nous avons du mal à respirer. L’air se fait de plus en plus rare, si nous ne sortons pas rapidement, nous allons mourir. Mais, quelque minute de sommeil ne nous fera pas de mal. Nous nous endormons et dormons d’un soleil mauvais et léger. Le lendemain, ou plutôt après le sommeille que nous avons eu, nous nous relevons et trouvons que Gabe a disparu, Hembourg et moi pestons, ce salaud a sans doute réussi à s’échapper, sans nous, nous inspectons rapidement la paroi, mais nous ne trouvons rien. Il ne faut pas nous épuisé. Nous continuons, jusqu’à trouver un trou dans l’éboulement, je passe le premier dans le trou, les rochers m’écorche le dos. Mais Hembourg ne me suis pas, par le trou ou je viens de passer, je vois celui effondré dans la poussière, je veux aller le sauver, mais je n’y arrive pas, je me mets à ramper sur le sol, je ne peux plus respirer. Puis, je m’évanoui, je sens le manque d’oxygène, je dois respirer. J’ai l’impression d’entendre des voixs, vais-je mourir ?
Je me réveille en sursaut dans un lit, je suis couvert de sueur, la pièce a des murs blanc, à mon chevet il y a Gabe et Sosu. Ce salaud, il est allé chercher du secours, j’ouvre la bouche et dis d’une voix faible et minable :
Gabe me regarde avec un grand sourire et me dis d’un air fier :
Je le regarde, j’ai eu vraiment des préjugés, je suis sincèrement désolé envers lui, j’espère que cela n’aura pas d’importance à l’avenir, pour le remercier, je lui dis :
Celui-ci me sourit et nous éclatons de rire. Je reste plusieurs jours dans l’hôpital, mais réussi à aller voir Hembourg. Celui-ci va bien et à décider de prendre sa retraite, retraite bien mérité après plus de 30 ans de loyaux service. Tout c’est finis comme tout à commencer, rapidement.
« Les gars, on creuse encore une heure, là on mange puis on rentre, je commence à avoir faim. »
Tout le monde l’écoute, parce que Hembourg, c’est Hembourg, celui-ci est ultra-respecté et ne pas l’écouté reviens à se faire virer, sa famille est une des plus vielle de l’île. Sa famille possède presque la moitié des actions de la mine. Nous nous asseyons en rond autour d’une lampe à huile. Et nous sortons les provisions de notre panier, nous avons du jambon, du pain, du fromage, en gros un bon repas en perspective. Hembourg partage le tout équitablement. Une fois le repas terminé, nous nous levons et recommençons notre labeur, dans la sombre galerie. Puis, une fois le temps finis, nous nous retirons, des gouttes d’eau tombent à intervalle régulier, signe de la situation climatique de notre île. Nous marchons tranquillement dans la clarté ténébreuse quand soudain Gabe se prit le pied dans un caillou, et essaye de se rattraper sur une poutre, mais soudain, celle-ci glissa sur le plafond trempé et le poids du bonhomme, la différence de force fis effondre le plafond. Le souffle de l’effondrement nous envois tous aux tapis.
Je me réveille, j’ai de la poussière partout, j’arrive à allumer une lampe à gaz. Je regarde la galerie, l’entrée est entravée par un éboulement, les murs de terre noire et humide semble me regarder, et un ruisseau d’eau noire sort d’un mur. Je me lève pour voir si il y a une sortis. Et là je tombe d’horreur, je vois Chris, à moitié coincée sous le tas de gravât. Je me dépêche près de lui, et essaye de le sortir, sans succès, je me mets à hurler pour que l’un de mes compagnons me rejoigne, personne ne vient. Puis, je regarde si le pauvre respire encore, je pose ma main sur son cou et découvre avec tristesse que la vie à quitter le jeune garçon. Je pose ma main sur son cœur et lâche un sanglot. Derrière moi, une voix retentis :
« T’ain, tu ne vas pas pleurer pour un bouffon comme lui, c’est parce qu’il ne sait pas consolider une galerie que l’on en est là »
Gabe se tenait, accoler au mur, il était noir de terre et de charbon. Son ton vibrait de colère. Je me rends compte que c’est à cause de cette imbécile que l’on en est là. Je me lève donc et dis :
« T’a pas vu Hembourg ? Et puis, c’est de ta faute si on en est là, si ne t’était pas aussi gros, Chris serait toujours en vie! »
Le porc me regarde d’un air dédaigneux, désigne le tunnel pour aller plus profondément, et me dis :
« Hembourg est partis voir si il n’y a pas une sortis. Et petit, tu vas regretter de m’avoir traité de gros ! »
Le porc se jette sur moi et nous commençons à nous battre, celui-ci me cogne le visage de ses mains boursouflée est dégoutante, le repousse, et m’apprête à lui enfoncer mon poing dans la gueule, quand soudain quelque chose me percute la tête. Je roule sur le côté et vois Hembourg, qui nous regarde avec un regard énervé, celui-ci est encore plus sale que Gabe, il porte aussi sur son torse dénudée un énorme bleu. Le vétéran nous dit :
« Purée, arrêter de vous battre, on est dans le même pétrin, on est tous coincés, il faut trouver un moyen de sortir de là. »
Nous acquiesçons, c’est vrais notre baston peut attendre. Je regarde autour de moi, crache une dent et demande :
« Quelqu’un à trouver des pioches? »
Mes deux camarades tournent la tête négativement. Je lâche un juron de désespoir. Nous commençons alors à déblayer l’éboulement. Nous travaillons 30 minutes, puis nous commençons à nous allonger par terre, nous avons du mal à respirer. L’air se fait de plus en plus rare, si nous ne sortons pas rapidement, nous allons mourir. Mais, quelque minute de sommeil ne nous fera pas de mal. Nous nous endormons et dormons d’un soleil mauvais et léger. Le lendemain, ou plutôt après le sommeille que nous avons eu, nous nous relevons et trouvons que Gabe a disparu, Hembourg et moi pestons, ce salaud a sans doute réussi à s’échapper, sans nous, nous inspectons rapidement la paroi, mais nous ne trouvons rien. Il ne faut pas nous épuisé. Nous continuons, jusqu’à trouver un trou dans l’éboulement, je passe le premier dans le trou, les rochers m’écorche le dos. Mais Hembourg ne me suis pas, par le trou ou je viens de passer, je vois celui effondré dans la poussière, je veux aller le sauver, mais je n’y arrive pas, je me mets à ramper sur le sol, je ne peux plus respirer. Puis, je m’évanoui, je sens le manque d’oxygène, je dois respirer. J’ai l’impression d’entendre des voixs, vais-je mourir ?
Je me réveille en sursaut dans un lit, je suis couvert de sueur, la pièce a des murs blanc, à mon chevet il y a Gabe et Sosu. Ce salaud, il est allé chercher du secours, j’ouvre la bouche et dis d’une voix faible et minable :
« Hembourg ? »
Gabe me regarde avec un grand sourire et me dis d’un air fier :
« J’ai trouvé une sortie et suis allé chercher du secours, je t’ai aidé à remonter et en plus, des personnes sont allé chercher Hambourg. Tu as raison, c’est de ma faute si Chris est mort. J’aurais pas dû l’accuser, je suis un imbécile.»
Je le regarde, j’ai eu vraiment des préjugés, je suis sincèrement désolé envers lui, j’espère que cela n’aura pas d’importance à l’avenir, pour le remercier, je lui dis :
« Purée, je vais devoir te payer une pinte, un de ces soirs. Ce n'est pas ta faute, les conditions météorologique y sont aussi pour quelque chose. Je suis désolé, j'aurais pas du t'insulter. »
Celui-ci me sourit et nous éclatons de rire. Je reste plusieurs jours dans l’hôpital, mais réussi à aller voir Hembourg. Celui-ci va bien et à décider de prendre sa retraite, retraite bien mérité après plus de 30 ans de loyaux service. Tout c’est finis comme tout à commencer, rapidement.
P.S : Paix à ton âme Chris.
Informations IRL
• Prénom :Adrien
• Age : 15 pige et des pousières
• Aime :les mangas
• N'aime pas : Justin Bieber
• Personnage préféré de One Piece : Donquichotte Rosinante
• Caractère : passionné, pressé tolérant
• Fait du RP depuis : 8 mois
• Disponibilité approximative : 30 minute par jour minimum
• Comment avez-vous connu le forum ?: topsite
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