Tout à commencer, par un jour de pluie. Nous avions travaillé plus longtemps que prévue. Et lorsque nous sommes sortis de la mine, la pluie battait son plein. Je regardais le ciel avec angoisse. La dernière fois que des pluies de ce genre ont eue lieux, je suis resté coincé 2 journées en bas, à cause d’un éboulement. Pour en revenir à l’histoire, la pluie est souvent présente sur l’île, mais jamais avec une telle intensité. Je me mettais donc à courir dans les rues désertes, plus aucune âme ne montre le bout de son nez. La lumière même de la lune semblait aspirée par l’eau. Un temps de merde. Je continuais de courir, j’étais trempée. Je courais. Soudain, je percutais un homme habillé avec une cape de voyageur verte. Sa capuche tomba sur son dos, je tournai la tête et vis une longue chevelure châtain tombée sue ses épaules. L’homme portait un bouc roux il souriait d’un regard arrogant. Ses yeux semblaient exprimer une émotion que je n’ai jamais vraiment ressentie, le bonheur. Mais déjà le charme de la rencontre était rompue et nous continuons notre chemin chacun de notre côté.
Je réussissais à rentrer chez moi au bout d’une petite heure. Je rentrais détrempée et mouillé jusqu’aux os dans la petite maison. Le son de mes pas résonnais, signe de qu’étais rentré. J’enlevais tous mes habits, me changeait et allais me changer. Lorsque j’entrais dans la cuisine, je vis le repas servis et mon frère qui lisait le journal. Je m’asseyais à table et lui demandais :
Celui-ci toujours aspiré dans son journal me répondit négligemment :
Je le regardai et leva les yeux au ciel avant de lui dire :
Celui-ci leva la tête de son journal, le pli négligemment et me répondis :
Je le regardais et repensais à ma rencontre sous la pluie. Personne n’irait se cacher sur cette île, c’est sans doute le lieu le plus malfamé de North Blue. Je réfléchissais un instant. Je répondis à mon frère :
Mon sang me regarda avec des yeux brillants, celui ajouta :
Je me reculai sur ma chaise, sortis un cigare, l’alluma pris une bouffée et dis :
Le repas se termina dans le silence. Une fois celui-ci finis, nous nous séparâmes et allèrent nous coucher. Je dormis d’un sommeil agité. Plein de rêve sans cohérence.
Le lendemain matin, je me levai aux aurores. Je sortis dehors, il ne pleuvait plus et l’aube faisait briller le ciel de ses doux rayons. Je partis donc à la mine avec le sourire. Je descendis jusqu’au niveau habituelle où je travaillais d’habitude. Vu que je travaille au plus profond, je suis souvent seul, mais qu’elle ne fut pas ma surprise, quand je vis un homme, long cheveux châtains accroché par un chouchou. Bouc roux. Sourire aux lèvres. J’ai un mouvement de recul. L’homme d’hier. Celui-ci commença à s’approcher de moi. Une fois près, celui-ci ouvris la bouche et déclara :
Je le regardai avec des yeux étonné, puis balbutia :
Je n'avais aucune envie d'héberger un révolutionnaire, certe tous le monde mérite une nouvelle chnace, mais je cela risque d'âtre dangereux pour moi et Sosu, je ne peux donc pas. Celui-ci leva les yeux au ciel, avant de dire :
Je regardai l’homme d’un regard fiévreux, qu’elle impact cela va-t-il avoir. A l’époque je n’en n’avais aucune idée.
Je réussissais à rentrer chez moi au bout d’une petite heure. Je rentrais détrempée et mouillé jusqu’aux os dans la petite maison. Le son de mes pas résonnais, signe de qu’étais rentré. J’enlevais tous mes habits, me changeait et allais me changer. Lorsque j’entrais dans la cuisine, je vis le repas servis et mon frère qui lisait le journal. Je m’asseyais à table et lui demandais :
« Alors, ta journée elle s’est bien passé ? »
Celui-ci toujours aspiré dans son journal me répondit négligemment :
« Ouais, ouais, tout va bien. Aucun problème. »
Je le regardai et leva les yeux au ciel avant de lui dire :
« Qu’est-ce qu’il y de si important pour que tu sois si distrait ? S’il y a des nouvelles importantes, tu peux tout me dire. »
Celui-ci leva la tête de son journal, le pli négligemment et me répondis :
« Tu sais la base à côté, celle-ci à essuyer une violente vague de d’évasion, il paraît qu’un dangereux révolutionnaire c’est échappé. »
Je le regardais et repensais à ma rencontre sous la pluie. Personne n’irait se cacher sur cette île, c’est sans doute le lieu le plus malfamé de North Blue. Je réfléchissais un instant. Je répondis à mon frère :
« J’en doute, ok, la marine ne vient jamais ici, mais il y a la mafia qui tourne que grâce au gouvernement mondial, donc se serais dangereux pour un révolutionnaire. »
Mon sang me regarda avec des yeux brillants, celui ajouta :
« Si il souhaite une nouvelle vie, il a le droit. Il regrette sans doute ses crimes passé. Qu’en penses-tu ? »
Je me reculai sur ma chaise, sortis un cigare, l’alluma pris une bouffée et dis :
« Notre société est corrompue, tout le monde mérite une deuxième chance, même les criminelles. »
Le repas se termina dans le silence. Une fois celui-ci finis, nous nous séparâmes et allèrent nous coucher. Je dormis d’un sommeil agité. Plein de rêve sans cohérence.
Le lendemain matin, je me levai aux aurores. Je sortis dehors, il ne pleuvait plus et l’aube faisait briller le ciel de ses doux rayons. Je partis donc à la mine avec le sourire. Je descendis jusqu’au niveau habituelle où je travaillais d’habitude. Vu que je travaille au plus profond, je suis souvent seul, mais qu’elle ne fut pas ma surprise, quand je vis un homme, long cheveux châtains accroché par un chouchou. Bouc roux. Sourire aux lèvres. J’ai un mouvement de recul. L’homme d’hier. Celui-ci commença à s’approcher de moi. Une fois près, celui-ci ouvris la bouche et déclara :
« N’ai crainte, je suis Maximilien François Robespierre. Un révolutionnaire, j’ai besoin d’aide. Cache-moi chez toi. »
Je le regardai avec des yeux étonné, puis balbutia :
« Pourquoi me dire tout ça, qui te dis que je vais t’aider. Il se trouve que je suis un marine. »
Je n'avais aucune envie d'héberger un révolutionnaire, certe tous le monde mérite une nouvelle chnace, mais je cela risque d'âtre dangereux pour moi et Sosu, je ne peux donc pas. Celui-ci leva les yeux au ciel, avant de dire :
« Parce que tu m’as l’air d’être un chic type et je ne penses réellement pas que tu sois un marine. »
Je regardai l’homme d’un regard fiévreux, qu’elle impact cela va-t-il avoir. A l’époque je n’en n’avais aucune idée.