C’était une journée sans soleil, les nuages, moutons du ciel, était en grands nombres. Une pâle lueur fantomatique se dégageait de la voute céleste. J’étais sur une île du nom de Hat Island, je venais d’amarrer il n’y avait pas 5 minutes. Je déambulais dans les rues, je marchais droit. Moi, marché droit ? Alors que je suis toujours saoul ? Hélas, je n’étais pas saoul, j’étais strictement sobre et le besoin en alcool devins rapidement présent, j’avais besoin de sentir la sensation du liquide descendant dans ma gorge. Je marchais donc tranquillement mais à la recherche d’alcool. Sosu n’était pas moi, celui ci avais préféré rester au bateau pour surveiller ce dernier. Je vis rapidement un bar.
Celui-ci était un petit bâtiment en bois, l’enseigne disparaissait sous la crasse. Je poussai la porte à battant et apparu dans le lieu le plus lugubre que je n’ai jamais vu. L’intérieur était encore plus sale que la façade. Je m’avançai jusqu’au bar et héla le barman et lui dis :
Celui arriva, c’était un petit homme cours sur patte, au crâne dégarnis, celui-ci portait sur son nez de petites lunettes rondes. Celui-ci leva un sourcil étonné et me demanda :
Je fus étonné par tant de violence envers les touristes, mais je répondis d’un ton calme et courtois :
Le barman me regarda et leva les yeux aux ciels avant de dire :
Je le regardai avant de lui dire :
Le vieil homme se tourna, sortis une bouteille, la vida dans l’énorme pinte qu’il me servit. J’empoignais ma pinte et au moment où j’allais l’engloutir, la porte s’ouvris avec fracas, tandis qu’un homme armée entrait dans le bar, celui portais une chemise entrouverte. Et arborais un sabre d’abordage. Celui hurla :
Le barman regarda l’homme avec effroi, avant de dire :
« Part Billy, j’ai promis que je ne te servirais plus jamais, et en plus, j’ai déjà finis mon meilleur pour cet homme. »
Je buvais joyeusement quand je me rendis compte que le barman parlait de moi. Je descendis ma pinte et dis au caïd :
Le titan hurla :
Je le regardai avec irritations, je pris ma pinte la bus cul-sec, la reposa sur la table, me leva et commença à partir, je ne veux pas de problème. Le monstre derrière moi cracha par terre avant de me dire :
Je fis volte-face, m’approchai de lui et lui dis :
Ce dernier souriait de toutes ses dents et avant qu’il n’est le temps de répondre, je lui enfonçai mon point dans la mâchoire, lui cassant accessoirement trois dents. Celui recula de trois pas puis cracha du sang. Il semblait étonné. Sans lui laissé de répits, comme un fléau rendue flou par la vitesse, je lui assenais un magistrale coup de pied dans le ventre. Celui-ci s’écrasa par terre. J’étirais narcissiquement mes bras. Puis, je me retournai vers le barman avant de dire :
Je me mis donc à marcher vers la porte, puis, j’entendis un cri étouffé du barman, je me retournais pour voir à temps le sabre d’abordage de mon ami l’imbécile foncée vers moi. Presque comme le limbo, je m’écrasais à terre, faisant donc échouée l’attaque de mon camarade. Puis, avant qu’il ne puisse retenter sa chance, je fis avec mon corps un mouvement de vague avant d’utiliser toute l’énergie que j’ai accumulée pour envoyer mes pieds dans son visage. Le titan fus envoyé au tapis sur le coup. Puis me relevant je pris le fourreau et le sabre. Adressa un signe d’au revoir au barman avant de partir.
Une fois dehors, je devais avoir fier allure avec un sabre d’abordage à la main. Je marchais donc d’une démarche chancelante dans la rue. Il devait avoir un marché, car il y avait des étals et des échoppes partout. Dedans rien me n’intéressait, jusqu’au moment où je passai devant un stand d’alcool avant de la voir, la bouteille de cognac de mes rêves. Utilisant ma vitesse naturel, je subtilisai celle-ci sans que personne ne s’en aperçoivent. Puis, je tournai dans une petite ruelle avant d’ouvrir la bouteille et de la boire arrogamment. Mais mon bonheur fus de courte durée, car…
Celui-ci était un petit bâtiment en bois, l’enseigne disparaissait sous la crasse. Je poussai la porte à battant et apparu dans le lieu le plus lugubre que je n’ai jamais vu. L’intérieur était encore plus sale que la façade. Je m’avançai jusqu’au bar et héla le barman et lui dis :
« Mon brave, sers moi une pinte s’il te plait. »
Celui arriva, c’était un petit homme cours sur patte, au crâne dégarnis, celui-ci portait sur son nez de petites lunettes rondes. Celui-ci leva un sourcil étonné et me demanda :
« T’es un putain de touriste ? Hein ? »
Je fus étonné par tant de violence envers les touristes, mais je répondis d’un ton calme et courtois :
« Ouais et alors, qu’est-ce que ça fait ? Vous ne servez pas les touristes ? Dîtes le tout de suite que, pour que je trouve un nouvelle endroit pour me saoulez. »
Le barman me regarda et leva les yeux aux ciels avant de dire :
« Ce n’est pas ça, mais il y a de plus en plus de pirate ces temps-ci, du coup on apprend à être méfiant »
Je le regardai avant de lui dire :
« C’est vrai, ceux-ci sont partout. Et maintenant, je peux avoir ma pinte s’il te plaît ? »
Le vieil homme se tourna, sortis une bouteille, la vida dans l’énorme pinte qu’il me servit. J’empoignais ma pinte et au moment où j’allais l’engloutir, la porte s’ouvris avec fracas, tandis qu’un homme armée entrait dans le bar, celui portais une chemise entrouverte. Et arborais un sabre d’abordage. Celui hurla :
« T’ain, culé sers moi une pinte de ton meilleur alcool sinon j’te bute toi et ta famille ! »
Le barman regarda l’homme avec effroi, avant de dire :
« Part Billy, j’ai promis que je ne te servirais plus jamais, et en plus, j’ai déjà finis mon meilleur pour cet homme. »
Je buvais joyeusement quand je me rendis compte que le barman parlait de moi. Je descendis ma pinte et dis au caïd :
« Sorry frère, fallait arrivée avant, tu veux que je te paye quelque chose ? »
Le titan hurla :
« Te fous pas moi gamin, donne-moi ta pinte ! »
Je le regardai avec irritations, je pris ma pinte la bus cul-sec, la reposa sur la table, me leva et commença à partir, je ne veux pas de problème. Le monstre derrière moi cracha par terre avant de me dire :
« Fils de catin ! »
Je fis volte-face, m’approchai de lui et lui dis :
« Retire ce que tu viens de dire tous de suite, sinon je vais te buter. »
Ce dernier souriait de toutes ses dents et avant qu’il n’est le temps de répondre, je lui enfonçai mon point dans la mâchoire, lui cassant accessoirement trois dents. Celui recula de trois pas puis cracha du sang. Il semblait étonné. Sans lui laissé de répits, comme un fléau rendue flou par la vitesse, je lui assenais un magistrale coup de pied dans le ventre. Celui-ci s’écrasa par terre. J’étirais narcissiquement mes bras. Puis, je me retournai vers le barman avant de dire :
« Tiens, 500 berry, garde la monnaie. »
Je me mis donc à marcher vers la porte, puis, j’entendis un cri étouffé du barman, je me retournais pour voir à temps le sabre d’abordage de mon ami l’imbécile foncée vers moi. Presque comme le limbo, je m’écrasais à terre, faisant donc échouée l’attaque de mon camarade. Puis, avant qu’il ne puisse retenter sa chance, je fis avec mon corps un mouvement de vague avant d’utiliser toute l’énergie que j’ai accumulée pour envoyer mes pieds dans son visage. Le titan fus envoyé au tapis sur le coup. Puis me relevant je pris le fourreau et le sabre. Adressa un signe d’au revoir au barman avant de partir.
Une fois dehors, je devais avoir fier allure avec un sabre d’abordage à la main. Je marchais donc d’une démarche chancelante dans la rue. Il devait avoir un marché, car il y avait des étals et des échoppes partout. Dedans rien me n’intéressait, jusqu’au moment où je passai devant un stand d’alcool avant de la voir, la bouteille de cognac de mes rêves. Utilisant ma vitesse naturel, je subtilisai celle-ci sans que personne ne s’en aperçoivent. Puis, je tournai dans une petite ruelle avant d’ouvrir la bouteille et de la boire arrogamment. Mais mon bonheur fus de courte durée, car…